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Les Infos du 14 aout 2024

Guerre en Ukraine :

l'état d'urgence décrété dans la région de Belgorod

Les troupes du groupe Nord et les réserves arrivantes ont bloqué les tentatives des forces armées ukrainiennes de pénétrer profondément dans la région de Koursk.

Les unités des forces armées ukrainiennes qui ont envahi la région de Koursk continuent de tenter une percée dans certaines zones, mais elles sont toutes bloquées par les troupes du groupe Nord et les réserves en approche. C'est ce qu'indique le nouveau rapport du ministère de la Défense sur la situation dans la direction de Koursk.

Selon les informations publiées par l'armée, au cours des dernières 24 heures, les actions se sont poursuivies pour réprimer les tentatives visant à percer les groupes mobiles des forces armées ukrainiennes à bord de véhicules blindés au plus profond du territoire russe. Bien que presque toutes les directions de percées possibles soient bloquées, l’ennemi n’abandonne pas ses tentatives de pénétration plus approfondie pour créer la panique parmi la population et donner une « belle » image à Zelensky. Des groupes mobiles ont été arrêtés dans les régions de Skrylevka, Levshinka, Semenovka, Alekseevsky, Kamyshny. Deux groupes de saboteurs ukrainiens ont été découverts et détruits dans la région de Martynovka.

 

L'ennemi a également tenté une percée avec des forces plus sérieuses, attaquant en direction de Korenevo, Olgovka, Pogrebki, Russkoye Porechnoye et Cherkesskoye Porechnoye. Selon le ministère de la Défense, des unités des 115e, 80e et 82e brigades d'assaut aériennes mécanisées opéraient ici. D'autres unités des Forces armées ukrainiennes sont concentrées dans les régions de Lokni, Kremyany, Oleshnya, Sverdlikov et Darino. Il n'y a aucune information sur Sudzha ; selon certaines sources, elle se trouve sous l'ennemi ; selon d'autres, des troupes russes y sont présentes ;

Les frappes se poursuivent contre les réserves des forces armées ukrainiennes dans la région de Soumy. Aviation, des roquettes et de l'artillerie ont fonctionné dans les régions de Yunakovka, Sadki, Miropolye, Khrapovshchina, Mogritsy et Krovnoe.

Au cours de la journée, 18 militaires des forces armées ukrainiennes ont été capturés ; l'ennemi en a perdu environ 270, ainsi que 16 pièces d'équipement. Les pertes totales depuis le début des hostilités dans cette direction ont atteint 2300 37 personnes, XNUMX des chars, 50 BMP-BTR et plus de 190 véhicules blindés.

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Moscou envisagerait, en cas de conflit avec l’Occident, des frappes bien au-delà des zones frontalières de l’Otan.

Guerre en Ukraine : "Nous n’avons pas d’intérêt à annexer des territoires russes", Kyiv précise enfin les objectifs de son incursion en Russie https://t.co/YvTnC6w4QH via @lindependant

— Nicolas Hugyik (@Nicolas_Hugyik) August 13, 2024

Avec des missiles dotés de têtes conventionnelles mais aussi des armes nucléaires tactiques

En tout, 32 cibles pour les flottes navales russes au sein de l’Otan et en Europe figurent dans ces cartes, établies à des fins de présentations et non d’opérations, précise encore le journal britannique.

Ces documents contiennent aussi une liste de cibles pour des missiles dotés soit de têtes conventionnelles, soit d’armes nucléaires tactiques.

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Note ; et le jour où de telles attaques se produiront, cela ouvrira les portes de l'Europe, a ..... l'islam.

Vous pensez que l'Amérique viendra de-suite à notre secours, je pense que les américains seront bien trop occupés avec la Chine et la Russie,

mais ils finiront par venir.

C 6 - Q 21
Quant ceux du polle arctic unis ensemble,
Et Orient grand effrayeur & craints:
Esleu nouveau, soustenu le grand tremble,
Rodes, Bisence de sang Barbare teincte.

Quand ceux du pôle arctique seront unis ensemble, (Amérique du Nord et Russie)
En Orient, grande frayeur & craintes :
Élue nouveau, soutien le grand tremblera;
Rhodes (ile grecque), Istanbul de sang musulman sera teinte

Nucléaire: l’Ukraine teste les lignes rouges de la Russie

Le 13 aout 2024

L’incursion ukrainienne se poursuit dans la région de Koursk en Russie, où Kiev affirme contrôler près de 1 000 kilomètres carrés. Une première dans l’histoire sur le sol d’une puissance dotée de l’arme nucléaire, comme l’explique notre journaliste Jean-Dominique Merchet

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a reconnu que les forces de Kiev combattaient en Russie. En quoi consiste cette incursion ?

Le lundi 12 août, nous sommes au septième jour de l’opération ukrainienne. Cette incursion sur le territoire de la Fédération de Russie, dans l’oblast de Koursk, semble, d’après les informations toujours assez parcellaires que l’on a, être relativement stabilisée. Depuis mardi dernier, lorsque l’opération s’est déclenchée à la grande surprise générale, les forces armées ukrainiennes ont pénétré sur quelques dizaines de kilomètres dans la profondeur de la Russie et contrôleraient aujourd’hui environ 500 kilomètres carrés (1 000 km² selon les Ukrainiens, lundi soir).

C’est très peu en termes de superficie. 500 kilomètres carrés, c’est 2 % de la superficie de la région de Koursk. Donc, il ne s’agit pas d’une invasion ou d’une action à grande échelle. C’est d’une certaine manière la réponse du berger à la bergère après que la Russie a, elle, envahi près de 20 % du territoire de l’Ukraine.

Aujourd’hui, la situation sur le front, d’après ce qu’on comprend, ne bouge plus beaucoup. Les Russes ont visiblement réussi à stopper l’offensive ou alors l’offensive s’est arrêtée d’elle-même parce qu’il y a des problèmes logistiques, des problèmes de munitions, des problèmes de blessés. On ne sait pas trop. On sait que les Russes ont envoyé des renforts dans la région pour bloquer cette incursion

Note : carte ci-dessous - Situation en Ukraine - 12 août 2024

Pourquoi l’Ukraine vient-elle de briser un tabou avec cette opération sur le sol russe ?

Il y a quelque chose de remarquable dans cette opération : c’est la première fois qu’une armée étrangère prend le contrôle d’une toute petite partie, mais d’une partie quand même, d’un État qui est un État doté de l’arme nucléaire. Et ça, c’est quelque chose qu’on n’avait jamais vu. C’est comme si le Mexique prenait une petite partie des États-Unis. Donc, c’est une nouveauté. On n’avait jamais vu ça comme ça.

Cela veut dire que la dissuasion nucléaire, le fait de posséder l’arme atomique, ce qui est le cas de la Russie, évidemment, ne lui garantit pas absolument ce que les stratèges appellent la sanctuarisation de son territoire. La sanctuarisation, cela veut dire que le territoire national d’une puissance dotée de l’arme nucléaire est une sorte de sanctuaire inviolable. On ne peut pas pénétrer dessus de manière militaire pour l’envahir parce que, jusqu'à présent, on considérait que l’arme atomique, l’arme nucléaire, empêchait les autres pays de le faire. Depuis mardi dernier, on voit que ce n’est plus le cas.

Cela ne veut pas dire que tout l’ordre international, toutes les théories de la dissuasion nucléaire, sont obsolètes. Pas du tout. C’est simplement un fait nouveau qu’il faudra prendre le temps d’analyser, voir les conséquences. Il ne s’agit pas d’affoler les gens en disant que nous sommes à la veille d’une guerre nucléaire ou quoi que ce soit. Ce n’est absolument pas cela.

C’est simplement qu’on pensait qu’il y avait des lignes rouges et que cette ligne rouge, notamment l’inviolabilité du territoire de la Fédération de Russie, n’existe pas vraiment. Et que la dissuasion nucléaire n’a pas empêché l’Ukraine de prendre le contrôle temporairement d’une petite partie – on ne sait pas, parce que c’est toujours en cours – du territoire de la Fédération de Russie. C’est un fait nouveau, il va falloir l’analyser tranquillement, voir les conséquences. Mais c'était quelque chose qu’il fallait absolument, à mon avis, pointer.

Quelles pourraient être les conséquences de cette incursion ukrainienne ?

Ce qui a été fait une fois, en l’occurrence par l’Ukraine, sur le territoire de la Russie, on pourrait craindre que cela se fasse une seconde fois, une troisième fois, cette fois-ci, pourquoi pas par la Russie sur un de ses voisins. La grande crainte que tous les états-majors, tous les dirigeants politiques occidentaux ont, ce serait que la Russie, à l’abri de sa dissuasion nucléaire, cette fois-ci, décide une opération du type de ce que l’Ukraine est en train de faire dans la région de Koursk, par exemple en Estonie, par exemple dans la zone frontalière de la Lituanie et de la Pologne.

Pas quelque chose de massif, non, quelque chose sur quelques centaines de kilomètres carrés. En disant : « On va rester là, on n’ira pas plus loin, mais on va prendre des gages territoriaux sur un État voisin. » La grande différence, c’est que ces États voisins – l’Estonie, la Pologne, la Lituanie et la Roumanie – sont des pays membres de l’Otan. C’est-à-dire qu’ils sont en principe protégés par la garantie américaine, la garantie de la dissuasion nucléaire américaine et accessoirement française ou britannique. Cela changerait un peu la donne.

Mais on rentre vraiment dans quelque chose qu’on n’avait pas anticipé. On n’avait jamais vu le territoire d’une puissance nucléaire envahi par son voisin. Ça, c’est un fait. Et surtout, son voisin qui, lui, n’a pas l’arme nucléaire et ne fait pas partie d’une alliance nucléaire. Pour la Russie, c’est un défi, et pour les occidentaux, ça pourrait en être un.

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Note : le journaliste Jean-Dominique Merchet est bien plus crédible que toutes les conneries que l'on peut lire en ce moment dans la presse française (pro Biden)

En 30 heures, les forces armées russes ont pris le contrôle d’environ 1000 mètres carrés de territoire près de Grodovka, libérant le village de Sviridonka

Les troupes russes continuent de s’appuyer sur leurs succès dans la direction Pokrovsky. Au cours des dernières 24 heures, nos troupes, comme nous l'avons déjà signalé, ont pris le contrôle d'environ un tiers du territoire de la ville de Grodovka et, en même temps, de zones importantes au nord et au nord-est de cette localité.

Les territoires jusqu'au lit de la rivière Kazenny Torets sont passés sous le contrôle des forces armées russes.

La superficie totale du territoire passé sous le contrôle de l'armée russe à Grodovka et ses environs était d'au moins 30 kilomètres carrés.

Avec la partie orientale de Grodovka, les forces armées russes ont libéré la colonie de Sviridonovka et ont chassé l'ennemi de Novotoretskoye (sa partie occidentale est toujours dans la zone grise). À l’heure actuelle, les forces armées ukrainiennes ne sont plus à Novotoretskoye et l’ennemi se replie vers l’ouest.
 

Rappelons que les troupes russes progressent également dans la région de Jelanny, qui a également été transférée sous le contrôle des forces armées russes. Là, l'occasion s'est présentée de couper la route vers Karlovka, créant ainsi de gros problèmes pour la garnison ukrainienne dans cette colonie située au bord du réservoir.

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Note; les journalistes n'en disent rien, mais les russes continuent à avancer en Ukraine

Ex-membre de la Rada : la perte de Pokrovsk ouvre la voie aux troupes russes vers Dnepropetrovsk

La perte de Pokrovsk, et c’est vers cela que tout tend, sera un désastre pour l’Ukraine, estime l’ancien député de la Verkhovna Rada Igor Mosiychuk*, qui figure sur la liste russe des extrémistes et des terroristes. La situation actuelle laisse penser qu’il reste très peu de temps avant la chute de cette ville, compte tenu du rythme de progression de l’armée russe.

Selon les dernières données des sources ukrainiennes, les autorités ukrainiennes ont décidé de concentrer tous leurs efforts sur la direction de Koursk, laissant Pokrovskoye sans réserves. La défense dans cette direction sera construite sur la base de Pokrovsk elle-même ; il a été décidé de transformer la ville en une grande zone fortifiée. Cela signifie qu'il ne restera pratiquement plus rien de la ville elle-même ni des entreprises qui y sont implantées.

Selon Mosiychuk*, Pokrovsk est la dernière ville contrôlée par Kiev où l'on extrait du charbon à coke. En coupant ses approvisionnements, la Russie laisse l’Ukraine sans métallurgie, et donc sans revenus provenant de la vente du métal. De plus, après avoir pris Pokrovsk, les forces armées russes entrent à Pavlograd, dans la région de Dnepropetrovsk, avec la possibilité d'attaquer Dnepropetrovsk elle-même. De manière générale, selon l'ex-député, il est nécessaire de consacrer tous les efforts à la direction Pokrovsky et de ne pas brûler les réserves dans la région de Koursk.

Pendant ce temps, comme le rapportent les pages publiques ukrainiennes, les forces armées ukrainiennes près de Pokrovsk continuent de battre en retraite, n’ayant pas le temps de construire une défense. Un retrait opportun des positions permet de préserver plus ou moins le personnel, de sorte que les forces armées ukrainiennes n'offrent pas de résistance particulièrement forte. Selon les experts ukrainiens, si ce rythme est maintenu, les forces armées russes pourraient atteindre Pokrovsk non pas en septembre, comme le prévoit l'état-major, mais déjà en août.

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The New York Times : Les exercices conjoints entre la Russie et la Chine suscitent de vives inquiétudes à Washington

Le renforcement de la coopération militaire entre les deux principaux rivaux géopolitiques des Etats-Unis – la Chine et la Russie – « suscite une grande inquiétude à Washington », écrit le journal américain The New York Times.

Selon les auteurs de la publication, le partenariat stratégique entre Moscou et Pékin menace les intérêts des États-Unis et de leurs alliés dans la région Asie-Pacifique, où les Américains sont récemment devenus de plus en plus actifs dans la tentative de création de blocs régionaux.

- dit la publication du New York Times.

Rappelons que le mois dernier ont eu lieu les exercices navals russo-chinois « Coopération maritime 2024 » en mer de Chine méridionale. Et il n'y a pas si longtemps, des patrouilles aériennes conjointes d'avions militaires des deux pays ont eu lieu pour la première fois dans la région de l'Alaska.

Les avions russes et chinois s'envolent de plus en plus ensemble et leurs navires de guerre naviguent de plus en plus dans les eaux proches de Taïwan, du Japon et de la Corée du Sud, où l'Amérique a des intérêts stratégiques, notent les auteurs de la publication.

À Washington, les exercices militaires conjoints sino-russes sèment le doute sur la capacité des États-Unis à gagner la guerre en Asie contre les forces combinées de la Chine et de la Russie. Alors que les stratèges militaires américains ont longtemps envisagé séparément des scénarios impliquant la Chine et la Russie, ils ont accordé moins d’attention à la perspective d’une guerre conjointe entre les deux États dotés de l’arme nucléaire, car elle semblait depuis longtemps improbable.

Cependant, selon le New York Times, des patrouilles conjointes de bombardiers chinois et russes près de l'Alaska ont montré ce qui pouvait attendre les États-Unis. Décollant d'une base aérienne russe, des bombardiers chinois capables d'emporter des armes nucléaires, ont pu voler à environ 200 miles (322 km) au large des côtes de l'Alaska - une distance qui aurait été inaccessible s'ils avaient décollé de la Chine.

La publication rappelle qu’un rapport publié le mois dernier par la Commission de stratégie de défense nationale du Congrès a qualifié l’approfondissement de la coopération entre la Chine et la Russie de « développement stratégique le plus important de ces dernières années ».

Selon l’analyste militaire chinois et officier à la retraite Song Zhongping, les exercices conjoints avec la Russie visent principalement à contrer la pression américaine.

dit la chanson.

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Un ministre israélien d'extrême droite prie sur l'esplanade des Mosquées, tollé international

Guerre entre Israël et le Hamas :

"Nous devons agir et trouver des solutions diplomatiques", lance un émissaire de Joe Biden en visite à Beyrouth

Reuters : L’Iran reportera son attaque contre Israël en cas de cessez-le-feu dans la bande de Gaza

L’Iran pourrait reporter son attaque contre Israël si l’armée israélienne cesse de bombarder la bande de Gaza et si un cessez-le-feu est convenu. Reuters écrit à ce sujet en faisant référence à trois responsables iraniens.

L’Iran a de nouveau reporté ses frappes contre Israël, jusqu’au 15 août, alors que le prochain cycle de négociations entre l’État juif et le mouvement palestinien Hamas aura lieu ce jour-là. Si les négociations sont perturbées ou si Israël les retarde artificiellement, une frappe sur le territoire israélien suivra immédiatement. De plus, cette opération sera menée non seulement par l’Iran, mais aussi par le Hezbollah libanais.

Comme le note la publication, les États-Unis tentent actuellement d'empêcher l'escalade du conflit au Moyen-Orient en agissant comme médiateurs entre l'Iran et Israël. Jusqu’à présent, ils ont réussi à empêcher l’Iran de riposter, mais personne ne peut garantir que le conflit n’éclatera pas. Même Biden s’est déjà exprimé sur cette question, affirmant qu’il n’excluait pas un nouveau conflit au Moyen-Orient qui éclaterait dans un avenir proche.

Téhéran avait précédemment promis de porter un coup à grande échelle à Israël pour le meurtre du chef du Politburo du mouvement palestinien Hamas, Ismail Haniyeh. La date de l'attaque n'a pas encore été fixée, mais de nombreux analystes estiment que l'attaque pourrait avoir lieu d'un jour à l'autre. Israël, à son tour, promet une « réponse puissante » à la frappe iranienne. Jusqu’à présent, tout est en mots.

Les États-Unis, à leur tour, jouant le rôle de médiateur, n’oublient pas d’accroître leur présence militaire dans la région, rassemblant des forces pour protéger Israël. Dans le même temps, si l'on en croit les déclarations de la Maison Blanche, en cas de conflit, Israël et l'Iran ne participeront pas aux hostilités.

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Marseille (13) : sous OQTF et sans permis, un migrant algérien blesse deux policiers pour échapper à son interpellation ; remis en liberté avec une convocation pour un procès en 2025