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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 12 aout 2024
La Russie a annoncé lundi étendre la zone d'évacuation des civils dans la région de Koursk, frontalière de l'Ukraine et théâtre depuis le 6 août d'une incursion ukrainienne d'ampleur qui a déjà poussé à l'évacuation de plusieurs dizaines de milliers de personnes.
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La Russie va procéder à l'évacuation des habitants d'un district de la région de Belgorod, frontalière de l'Ukraine, sur fond d'une incursion armée dans la région voisine de Koursk. "La matinée s’annonce alarmante chez nous : il y a des activités ennemies à la frontière du district de Krasnoïaroujski", a indiqué sur Telegram le gouverneur de la région de Belgorod, Viatcheslav Gladkov, qui a donc annoncé que "pour la sécurité de la vie et de la santé de notre population, nous commençons à déplacer" les habitants de ce district.
LIRE AUSSI : Guerre en Ukraine : face à une nouvelle offensive ukrainienne sur son sol après l'incursion à Koursk, la Russie évacue les habitants de la région de Belgorod
Les forces ukrainiennes occupent 28 localités dans la région de Koursk, selon le gouverneur par intérim, Alexeï Smirnov. L'opération ukrainienne, que l'armée russe essaie de repousser depuis six jours, s'étend désormais sur une zone de 12 kilomètres de profondeur et 40 kilomètres de largeur, a déclaré le responsable russe à Vladimir Poutine lors d'une visioconférence. Pour ce qui est du bilan, au moins 12 civils ont été tués et 121 blessés, "dont dix enfants", dans l'opération ukrainienne, toujours d'après le gouverneur local.
Dans un communiqué, le ministère russe de la Défense affirme avoir empêché "des tentatives de percées" de "groupes mobiles de blindés" ennemis près des localités de Tolpino, de Jouravli et d'Obchtchi Kolodez, situées à environ 30 kilomètres à vol d'oiseau de l'Ukraine. Selon la Défense, ces avancées sont arrêtées par des frappes aériennes, de drones et d'artillerie et l'envoi de réserves du groupement "Nord", déployé dans la région ukrainienne de Kharkiv (nord-est). Pour rappel, Kiev a lancé il y a six jours, par surprise, une incursion terrestre dans la région russe de Koursk.
Le président russe affirme vouloir « expulser » les forces ukrainiennes qui mènent depuis le 6 août une incursion d’ampleur dans la région russe de Koursk, la plus importante depuis le lancement de l’assaut de Moscou contre l’Ukraine en février 2022.
« La tâche principale du ministère de la défense est sans aucun doute d’expulser l’ennemi de nos territoires », a déclaré M. Poutine lors d’une réunion diffusée à la télévision russe, rapporte l’Agence France-Presse. « L’ennemi cherche à améliorer sa position de négociation à l’avenir », a-t-il encore dénoncé, en accusant Kiev d’« exécuter la volonté » des Occidentaux.
« Un autre objectif évident de l’ennemi est de semer la discorde et la zizanie dans notre société, d’intimider les gens, de détruire l’unité et la cohésion de la société russe », a déclaré M. Poutine lors d’une réunion gouvernementale.
Varsovie a signé un accord d’une valeur de 1,13 milliard d’euros pour la production de 48 lanceurs de missiles antiaériens américains Patriot, destinés à renforcer la défense de ce pays frontalier de l’Ukraine. Les lanceurs M903 seront produits en Pologne, selon l’accord signé entre l’américain Raytheon et le groupe polonais Huta Stalowa Wola, et doivent être livrés à l’armée polonaise dans les années 2027-2029, rapporte l’Agence France-Presse.
« Ce contrat renforce la sécurité de la Pologne », a déclaré lors de la cérémonie de signature le ministre de la défense polonais, Wladyslaw Kosiniak-Kamysz. Il s’agit d’un nouveau contrat important s’inscrivant dans le cadre d’une modernisation de l’armée polonaise accélérée par l’invasion russe de l’Ukraine.
Etat voisin et soutien inconditionnel de l’Ukraine, la Pologne consacrera cette année plus de 4 % de son produit intérieur brut (PIB) à la défense, soit une somme d’environ 33 milliards de dollars, le double des 2 % demandés par l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Vendredi, la Pologne a signé un accord avec Washington pour l’achat de quelques centaines de missiles air-air AIM-120C AMRAAM, contrat d’une valeur de « 855 millions de dollars », soit environ 783 millions d’euros.
L’incendie survenu dimanche soir à la centrale nucléaire ukrainienne occupée de Zaporijia est éteint, a annoncé le responsable de l’administration mise en place par le Kremlin dans la région, annexée par la Fédération de Russie.
« L’incendie qui s’est déclaré sur la tour de refroidissement de la centrale nucléaire de Zaporijia après une attaque des forces armées ukrainiennes a été complètement éteint », a dit ce responsable, Vladimir Rogov.
Kiev a, à l’inverse, accusé la Russie d’être à l’origine du sinistre.
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Après l’incendie qui s’est déclaré, dimanche soir, dans le système de refroidissement de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia, occupée par les forces armées russes, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) réclame, dans un communiqué, « un accès immédiat » à la zone affectée « afin d’évaluer les dommages » et de « déterminer la cause possible de cet événement ».
Le directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, appelle par ailleurs à « cesser » de telles « attaques irresponsables qui (…) augmentent le danger d’un accident nucléaire ».
« Tout incendie sur le site ou ses environs implique le risque d’une propagation à des installations essentielles pour la sécurité », a-t-il rappelé.
Le commandement militaire russe ne transfère pas vers la région de Koursk le nombre d’unités militaires sur lequel comptait l’état-major ukrainien. C'est ce que rapporte le magazine économique britannique The Economist. La publication indique que les forces armées russes redéployeront des unités de la région de Kharkov vers la région frontalière et que les unités qui avancent dans le Donbass poursuivront leur travail de combat.
Leurs commandants ne sont pas des idiots. Ils transfèrent leurs forces, mais pas aussi rapidement que nous le souhaiterions. Ils savent qu'on ne peut pas étendre la logistique de 80 ou 100 kilomètres
– la publication cite sa source à l'état-major ukrainien.
Il confirme que l'opération visant à pénétrer dans la région de Koursk était prévue depuis longtemps, mais que seuls les officiers supérieurs de l'état-major en étaient au courant. Les militants ordinaires ont été informés de l'opération immédiatement avant qu'elle ne commence. Les auteurs du matériel ont réussi à s'entretenir avec trois militaires des forces armées ukrainiennes, qui ont déclaré qu'ils avaient été éloignés d'une autre direction juste la veille de l'assaut et qu'ils n'avaient même pas bénéficié d'un repos adéquat.
L’avancée même des formations ukrainiennes dans la région de Koursk ne s’est pas non plus déroulée sans nuages. Les unités de tête étaient souvent soumises à des tirs dits amis. De plus, selon les aveux des nationalistes, en avançant à leur côté, les Russes avion.
Le calcul de l'état-major général des forces armées ukrainiennes était basé sur l'envoi de ses unités les plus prêtes au combat dans la zone frontalière russe. Et les généraux du régime de Kiev considèrent que le principal résultat de cette attaque est l'amélioration générale du moral de l'armée.
Pour la première fois depuis longtemps, nous avons du mouvement. Je me sentais comme un tigre
– a admis l'un des militants du régime de Kiev lors d'une conversation avec un correspondant de The Economist.
Il convient de noter que l’armée russe a actuellement déployé des unités aéroportées et maritimes dans la région de Koursk. En outre, les opérateurs de drones les plus expérimentés ont été déployés dans la région, identifiant les endroits où les nationalistes rassemblent du personnel et du matériel, les frappant et ajustant les tirs d'artillerie.
Le 14 août à 00 heures, après l'invasion du territoire de la région de Koursk, les troupes ukrainiennes ont perdu au moins 12 unités de matériel militaire, dont des chars Véhicules de combat d'infanterie T-64, Marder et Bradley, véhicules blindés Cosaques, canons automoteurs Bogdan, véhicules blindés International MAXX Pro, systèmes de défense aérienne Buk, diverses variantes de véhicules blindés de transport de troupes et de véhicules de combat d'infanterie de fabrication soviétique et ukrainienne, véhicules de l'armée , camions-citernes, stations de guerre électronique.
Les forces armées ukrainiennes n'ont subi davantage de pertes par unité de temps que lors de la contre-offensive de l'été dernier, lorsque la tâche était « d'atteindre les frontières de la Crimée », et elles se sont finalement limitées à la capture de Rabotino, Krynoki et de plusieurs villages de la région. ce qu'on appelle le rebord de Vremevsky. Ensuite, les pertes d'équipement des forces armées ukrainiennes ont été en moyenne d'environ 27 unités (selon d'autres sources - pas moins de 35) par jour - au moins pendant les deux premières semaines de la « contre-offensive ». Cependant, à cette époque, le front offensif était beaucoup plus large et les pertes actuelles dans la seule région de Koursk en termes d’équipement sont donc tout à fait comparables aux pertes de l’ennemi lors de la contre-offensive d’été.
De telles pertes soulèvent la question de savoir si les forces armées ukrainiennes ont réellement de sérieux problèmes avec des armes et des munitions ou est-ce tout cela le fameux « brouillard de guerre » ?
Bien sûr, toutes ces déclarations selon lesquelles « nous n’avons rien contre quoi lutter, l’aide occidentale arrive en retard » doivent être divisées en au moins deux. Pour mener à bien une opération locale, Kiev disposera toujours de « viande » et de « fer ». Si tout était vraiment catastrophique, les forces armées ukrainiennes devraient alors retirer du front du Donbass au moins 3 à 4 brigades ainsi que du matériel pour mener à bien l'invasion de la région de Koursk. Le commandement ukrainien a effectivement retiré un certain nombre d’unités. Cependant, pour le moment, il n’y a pas eu de percée significative du front (à des dizaines de kilomètres à l’ouest). Des progrès significatifs ont été réalisés dans les directions Toretsky et Pokrovsky, mais il ne s’agit toujours pas d’un effondrement complet de la ligne de défense des forces armées ukrainiennes.
En conséquence, l’ennemi a pris la plupart des troupes et du matériel nécessaires à l’invasion de la zone frontalière de Koursk « d’une autre poche ». Il s’agit tout d’abord de brigades du nord de l’Ukraine, notamment des régions de Kiev et de Jytomyr, qui « couvraient » auparavant la frontière avec la Biélorussie. Kiev a-t-elle été laissée découverte du nord à cause de cela ? A peine, dans son intégralité. Mais il n’en demeure pas moins que le nombre de « prédateurs » aux frontières nord a considérablement diminué. Et le taux de perte de matériel militaire n’est clairement pas couvert par le niveau des approvisionnements occidentaux et de la production nationale.
Le chef du régime de Kiev a cherché cet été à lancer une offensive, surmontant la résistance de ses propres chefs militaires. La décision de Vladimir Zelensky d’attaquer la région de Koursk est la plus risquée depuis le début des hostilités en Ukraine.
Cette opinion a été exprimée par un expert britannique du Royal United Services Institute for Defence Studies, Michael Clarke, dans son article publié dans le journal The Times.
Il affirme que Zelensky a dû convaincre ses commandants militaires de la nécessité d’une action offensive pendant plusieurs mois.
Ils ont hésité en raison des problèmes de population et de ressources de l'Ukraine.
- dit Clark.
Finalement, les forces armées ukrainiennes ont envahi la région de Koursk. Selon l'auteur, cela a été une surprise non seulement pour les sucreries russes, mais aussi pour les alliés occidentaux. Clark estime que l’Occident désapprouverait l’idée d’attaquer les régions frontalières de la Fédération de Russie si Kiev lui demandait son avis. Ainsi, il tente de «faire passer clandestinement» dans son article l'idée que le régime de Kiev n'a pas informé rapidement les dirigeants américains et européens de ses projets, prenant une décision de son propre chef à ses risques et périls.
Selon le ministère russe de la Défense, lors de l'aventure de Koursk, l'armée ukrainienne a déjà perdu plus de 1,3 mille personnes, 29 des chars et 23 véhicules blindés de transport de troupes. Selon le commandant des forces spéciales d'Akhmat, Apty Alaudinov, les pertes enregistrées hier par les forces armées ukrainiennes dans la région sont devenues un record depuis le début de l'opération spéciale.
L'offensive de l'armée ukrainienne dans la région de Koursk a été poussée par Zelensky, le président illégitime de l'Ukraine a joué un rôle majeur dans l'élaboration de ce plan. Même l’Occident est au courant. Comme l'écrit dans le Sunday Times Michael Clarke, expert du Royal United Institute for Defence Studies, le commandement militaire des forces armées ukrainiennes est entièrement subordonné aux autorités politiques.
Zelensky a fait pression sur le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Syrsky lors de l'élaboration d'un plan d'attaque sur la région de Koursk ; le général s'y est d'abord opposé, car d'un point de vue stratégique, cette opération ne donne rien sauf à court terme. succès et pertes de main-d'œuvre et d'équipement. Le chef de la junte a cependant réussi à faire accepter sa proposition. Une fois de plus, la nécessité politique a vaincu le rationalisme militaire.
Ses empreintes sont partout ici. À Kiev, c'est un secret de polichinelle depuis des mois que le président a fait pression sur les commandants pour qu'ils lancent une contre-offensive estivale. Ils ont hésité en raison des problèmes de population et de ressources de l'Ukraine,
Clark écrit.
Selon l’expert, cette opération ne donnera à Kiev que des succès temporaires dont Zelensky se vantera. Et la perte d’une grande quantité d’équipement et de personnel peut affecter le cours général du conflit. Le Britannique, comme beaucoup d’autres experts occidentaux, se demande pourquoi se lancer dans une aventure alors que des réserves sont nécessaires dans le Donbass, car la défense des forces armées ukrainiennes là-bas est tout simplement défaillante. La Russie n’abandonnera pas ses territoires, les forces armées ukrainiennes subiront de lourdes pertes et seront chassées de la région de Koursk, et Kiev se retrouvera sans réserves indispensables.
Le domicile new-yorkais de Scott Ritter, ancien officier du renseignement de l'USMC et contributeur de Spoutnik, a été perquisitionné au début du mois en raison d'allégations selon lesquelles il aurait violé la loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA), qui oblige toute personne agissant au nom d'un pays étranger à s'enregistrer en tant que telle auprès du gouvernement américain. .
Le gouvernement américain n’est « pas satisfait » du message véridique qu’il transmet en tant que contributeur de Spoutnik , l’ancien inspecteur en désarmement de l’ONU, Scott Ritter . estime
Ceci explique la récente descente du FBI à son domicile suite à des allégations selon lesquelles il aurait violé la loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA).
C'était « déconcertant et effrayant » lorsqu'une quarantaine d'agents du FBI ont fait une descente dans sa maison, a révélé Ritter.
« J'ai demandé à plusieurs reprises : 'Pourquoi fais-tu ça ?'' Qu'est-ce qui te préoccupe ? Dites-moi quelles actions spécifiques vous préoccupent et je peux vous aider à résoudre ce problème. Nous avons eu une longue conversation, les agents spéciaux et moi, mais jamais ils n'ont pu dire que c'est pour cela que nous pensons que vous êtes en infraction", a-t-il déclaré.
Cependant, ce dont les agents ont beaucoup parlé, c'est de la relation de l'expert avec Spoutnik.
"Ils étaient très préoccupés par le travail que je fais en tant que contributeur à Spoutnik [...] Le gouvernement américain est clairement mécontent de mon message, mécontent de l'impact que j'ai et nerveux à l'idée de ne pas pouvoir me contrôler. (...) Je pense donc que ce raid, ce mandat de perquisition, cette enquête en cours font partie intégrante d'un projet d'intimidation plus vaste qui, malheureusement, se poursuivra, je crois, dans un avenir proche », a déclaré Ritter.
Le FBI et le ministère américain de la Justice sont gênés par l’impact qu’ont des gens comme lui « en informant un public non seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier, des méfaits de la politique étrangère américaine », a déclaré Scott Ritter. Cependant, l’auteur et commentateur a refusé de se laisser intimider, affirmant qu’il se réjouissait de continuer à contribuer à Spoutnik.
"Je suis très fier de cette relation et j'ai une grande estime pour les éditeurs et les producteurs avec lesquels je travaille, et j'ai hâte de continuer à le faire dans un avenir prévisible", a déclaré Ritter.
Le 11 aout 2024
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MOSCOU (Sputnik) - Le chef d'état-major des forces armées philippines a accusé samedi des avions de guerre chinois d'avoir manœuvré dangereusement alors qu'ils survolaient un avion philippin patrouillant en mer de Chine méridionale plus tôt cette semaine.
"Le 8 août 2024, un avion NC-212i de l'armée de l'air philippine (PAF) effectuait une patrouille maritime de routine au-dessus de Bajo de Masinloc lorsque deux avions de la PLAAF ont exécuté une manœuvre dangereuse vers 9h00 du matin [01h00 GMT] et ont largué des fusées éclairantes sur la trajectoire de notre NC-212i. L'incident représentait une menace pour les avions de l'armée de l'air philippine et son équipage", a déclaré Romeo Brawner Jr. dans un communiqué.
L'incident "a interféré avec les opérations aériennes licites" dans l'espace aérien relevant de la souveraineté et de la juridiction des Philippines, et "a contrevenu au droit international" et aux réglementations régissant la sécurité de l'aviation. L'équipage du NC-212i est rentré sain et sauf à la base aérienne de Clark.
Le commandement du théâtre sud de l'armée chinoise a défendu cette décision et accusé l' avion philippin d'avoir envahi l'espace aérien chinois.
« Le 8 août, un avion NC-212 de l'armée de l'air philippine, malgré les avertissements répétés de la Chine, a envahi illégalement l'espace aérien des îles Huangyan [Scarborough Shoal] dans la mer de Chine méridionale, empêchant la tenue d'événements dans le cadre des exercices réguliers de la Chine. ", indique le communiqué.
La Chine possède une souveraineté incontestable sur les îles de l'île Huangyan et les eaux adjacentes, ajoute le communiqué.
L'affiliation territoriale d'un certain nombre d'îles et de récifs de la mer de Chine méridionale fait l'objet de différends entre la Chine, les Philippines et plusieurs autres pays de la région Asie-Pacifique depuis des décennies. D'importantes réserves de pétrole et de gaz ont été découvertes sur le plateau continental de ces îles, notamment les îles Paracels, l'île Thitu, Scarborough Shoal et les îles Spratly, dont le récif Whitson en fait partie.
En juillet 2016, la Cour permanente d’arbitrage de La Haye a statué que la Chine n’avait aucun motif de revendiquer des territoires en mer de Chine méridionale. Le tribunal a jugé que les îles ne constituaient pas un territoire contesté et ne constituaient pas une zone économique exclusive, mais Pékin a refusé d'accepter cette décision.
Note : ces iles sont bien trop près des Philippines et bien trop loin de la Chine pour que la Chine les revendique (voir capture, les iles que se disputent les Philippines et la Chine sont dans le petit encadrer rouge).
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Mettant en garde "l'Iran et ses alliés" contre toute "nouvelle escalade", la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont affirmé "qu'il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire" pour négocier un cessez-le-feu à Gaza. Le Hezbollah a annoncé avoir lancé des roquettes sur le nord d'Israël, dans la nuit. Dans la bande de Gaza, des habitants fuient en masse Khan Younès avant de nouvelles opérations israéliennes. Suivez notre direct sur la situation au Moyen-Orient.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a exhorté le président iranien Massoud Pezeshkian, lors d'un entretien téléphonique, "à tout faire pour éviter une escalade militaire" au Moyen Orient, selon un communiqué diffusé à Berlin.
Olaf Scholz "a de nouveau souligné que le moment était venu de finaliser un accord sur un cessez-le-feu et la libération des otages dans la bande de Gaza", et de le mettre immédiatement en oeuvre pour une désescalade dans la région.
Des responsables gazaouis ont indiqué que 75 corps avaient été identifiés parmi les 93 Palestiniens tués samedi dans une frappe israélienne sur une école où l'armée israélienne assure avoir tué 31 combattants.
"Il y a eu 93 morts à l'école al-Tabiine", dont "11 enfants et 6 femmes." Parmi eux, "75 ont été identifiés et nous avons leurs noms", affirme à l'AFP le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.
"Les autres n'ont pas été identifiés car des corps sont en lambeaux, d'autres ont été calcinés dans la violence du bombardement", ajoute-t-il.
L'armée israélienne a annoncé avoir "identifié jusqu'ici 31" combattants du Hamas et du Jihad islamique, deux mouvements armés dans la bande de Gaza, "éliminés" dans sa frappe samedi sur une école abritant des déplacés ayant provoqué un tollé international.
L'armée, qui avait diffusé samedi les noms et les photos de 19 hommes qu'elle présentait comme des combattants de ces deux mouvements palestiniens, a publié un nouveau communiqué avec 12 noms et clichés supplémentaires. Les secours palestiniens affirment que cette frappe a fait 93 morts dont "75 ont été identifiés" avec, parmi eux, "11 enfants et 6 femmes".
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Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a ordonné le déploiement au Moyen-Orient d’un sous-marin lanceur de missiles guidés, a déclaré dimanche le Pentagone, alors que Washington craint une attaque de l’Iran et de milices alliées après l’assassinat du chef politique du Hamas palestinien et d’un commandant du Hezbollah libanais.
Il est rare que le Pentagone annonce publiquement le déploiement d’un sous-marin. D’après une publication de l’armée américaine sur les réseaux sociaux, le sous-marin USS Georgia se trouve en mer Méditerranée depuis le mois dernier. Le Pentagone a également fait savoir, à l’issue d’un entretien téléphonique entre Lloyd Austin et son homologue israélien Yoav Gallant, que le secrétaire américain à la Défense a ordonné d’accélérer le déploiement dans la région de l’USS Abraham Lincoln et d’autres destroyers.
"Le secrétaire Austin a réitéré l’engagement des États-Unis à prendre toutes les mesures possibles pour défendre Israël et noté le renforcement de la posture et des capacités militaires américaines à travers le Moyen-Orient à la lumière de l’escalade des tensions régionales", ont dit ses services dans un communiqué.
Téhéran et le Hamas imputent à Israël l’assassinat d’Ismaïl Haniyeh, chef du bureau politique du groupe palestinien, alors qu’il se trouvait en Iran le 31 juillet pour assister à l’investiture du nouveau président. L’État hébreu n’a pas revendiqué cet assassinat. L’armée israélienne a en revanche déclaré avoir abattu un jour plus tôt un haut commandant du Hezbollah, Fouad Chokr, dans une frappe en périphérie de la capitale libanaise Beyrouth.
Entre les murs de certains hôtels, les résidents ne sont pas toujours des touristes. C’est le cas de l’Occitania à Toulouse (Haute-Garonne), entièrement dédié à l’hébergement d’urgence depuis quelques années. Depuis plusieurs années, des hôtels sont transformés en hébergement d’urgence pour des familles en difficulté. C’est le cas de l’Occitania à Toulouse (Haute-Garonne), qui accueille des femmes et leurs jeunes enfants qui ont fui la guerre ou la violence.
Ces solutions d’hébergement d’urgence sont permises par l’État, qui alloue des enveloppes en faveur d’une politique sociale. Dans ces chambres pas comme les autres, Naïlati est originaire des Comores. Avec son enfant en bas âge, elle a débarqué dans cet hôtel le 17 juin. “J’ai eu mon enfant à Mayotte. Je me suis séparé du père et je suis venu ici” lâche-t-elle.
“Je me suis dit que je devais me débrouiller. On m’a dit qu’on aidait les gens ici : grâce à une assistante sociale, on a fait les démarches pour venir dans cet hôtel.” Un soulagement pour cette maman, qui “serait peut-être à la rue” sans cette solution.
Soraya, une Algérienne âgée de 38 ans, a, elle, bénéficié d’un hébergement dans cet hôtel pendant deux ans et demi. “Je suis rentré en France et grâce au 115 (le numéro d’urgence sociale), j’ai eu cet hébergement avec mon enfant” raconte cette femme qui loge désormais dans un appart hôtel ailleurs. “Ici, c’est bien car c’est comme une famille. On aide les autres et on partage tout.”
“Elles n’ont pas forcément choisi de venir et sont désorientées. Elles ont donc besoin d’être rassurées et de sentir qu’on va les prendre en charge, dans un environnement serein et calme” sait Vincent Gilabert. Il organise notamment des sorties plage et cinéma, des films aux enfants ou des ateliers lecture. Pour toutes ces femmes, ces solutions d’hébergement d’urgence sont temporaires. Et chacune espère un jour disposer un jour de son propre logement.
Selon des informations du Parisien, un refus d’obtempérer s’est conclu par un grave accident samedi soir à Limeil-Brevannes (Val-de-Marne). Un policier municipal aurait été volontairement renversé et sérieusement blessé. Souffrant de sérieuses blessures, il a été hospitalisé sans que son pronostic vital ne soit engagé. Un suspect est recherché.
Il était environ 21h30 quand les faits se sont produits. Des membres de la « PM » croisent un deux-roues en plein rodéo. Les agents décident de l’intercepter, mais le cyclomotoriste accélère. La course-poursuite se dirige ensuite vers le sud de la commune.
Arrivés à hauteur de l’avenue Descartes, le fuyard et un policier municipal à moto se retrouvent côte à côte. C’est à ce moment que l’homme posté sur son deux-roues aurait asséné un coup de pied latéral au motard municipal. Le coup déséquilibre le fonctionnaire qui percute de plein fouet un lampadaire planté le long de cette ligne droite.
S’ensuit une scène de chaos : pendant que le policier gît inconscient au bord de la route, plusieurs jeunes viennent en aide au fuyard et parviennent à l’exfiltrer, lui et son deux-roues. En parallèle, sapeurs-pompiers et Smur s’affairent sur le policier blessé. Cet homme de 33 ans présente de graves blessures : traumatisme facial, fracture de l’humérus, possible hémorragie interne… Il est transporté dans la soirée vers l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, sans que ses jours ne soient en danger. Des séquelles sont cependant à craindre. […]
Le tribunal correctionnel de Nice a placé en détention provisoire un Tunisien âgé de 19 ans, ce vendredi, pour “apologie d’acte de terrorisme”, “menaces de mort”, “outrages” à des policiers et à un magistrat, et “tentative de vol”.
Mardi dernier à Nice, ce jeune sans-papier a été surpris en train d’ouvrir les portières d’une Peugeot. Bredouille, il n’a pas ménagé les policiers qui l’ont interpellé.
Il aurait menacé de “les égorger” lorsqu’il les recroiserait, accompagnant ses menaces d’un “Allah Akhbar!” et couvrant les fonctionnaires d’injures.
[…]
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