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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 17 mai 2024

 

 

DIRECT. Guerre en Ukraine :

la Russie revendique la prise de 12 villages de la région de Kharkiv en une semaine

 

L’offensive russe dans la région de Kharkiv se poursuit ce vendredi. L’Ukraine reconnaît une situation "difficile" sur place. La Dépêche du Midi vous propose de suivre l’évolution de la situation dans ce direct.

L’offensive russe dans le nord-est de l’Ukraine se poursuit. Kiev reconnaît une situation "extrêmement difficile" sur place. Voici ce qu’il faut savoir de la situation sur place :

  • L’Ukraine a affirmé ce jeudi avoir "freiné" la progression de la Russie dans la région de Kharkiv, mais la situation y reste "extrêmement difficile" selon le président Volodymyr Zelensky, Moscou y menant une offensive qui lui a permis d’engranger ses plus importants gains territoriaux depuis fin 2022.
  • Le ministre de l’Intérieur Igor Klymenko a accusé la Russie d’avoir procédé à des détentions arbitraires de civils et à au moins une exécution sommaire à Vovtchansk, ville de 18 000 habitants avant la guerre.
  • La Russie a affirmé avoir détruit ou intercepté plus de 100 drones ukrainiens dans la nuit de jeudi à vendredi, lors d’attaques lancées contre le sud-ouest du territoire russe et la Crimée annexée.
  • Poutine est actuellement en déplacement en Chine pour un voyage diplomatique.

 

La Russie revendique la prise de 12 villages de la région de Kharkiv en une semaine 

La Russie affirme progresser dans la région ukrainienne de Kharkiv (nord-est), où elle mène depuis une semaine une offensive dont l'objectif, selon Vladimir Poutine, est de créer une zone tampon pour empêcher des frappes de Kiev en territoire russe. "En une semaine, les unités du groupe +Nord+ (...) ont libéré douze localités de la région de Kharkiv (...) et continuent d'avancer en profondeur dans les défenses de l'ennemi", a indiqué dans un communiqué le ministère russe de la Défense.

 

L'offensive dans le nord-est de l'Ukraine est une réplique aux frappes ukrainienne en Russie, dit Vladimir Poutine

Vladimir Poutine affirme que l'offensive dans le nord-est de l'Ukraine était une réponse aux attaques ukrainiennes en territoire russe, assurant que Moscou n'avait pas "à l'heure actuelle" l'intention de conquérir la grande ville de Kharkiv. "J'avais dit publiquement que si cela continuait, nous serions contraints de créer une zone de sécurité, une zone sanitaire. C'est ce que nous faisons", a-t-il déclaré, lors d'une conférence de presse depuis Harbin, en Chine.

 

La Russie ne prévoit pas de conquérir la ville de Kharkiv, assure Vladimir Poutine

Interrogé en Chine sur la possibilité de conquérir Kharkiv, la deuxième ville du pays et capitale de la région ukrainienne actuellement visée par l'offensive, Vladimir Poutine a dit que ce n'était pas l'objectif pour l'heure. "En ce qui concerne (la conquête, NDLR) de Kharkiv, nous n'avons pas ce projet à l'heure actuelle", a-t-il déclaré, tout en affirmant que ses troupes progressaient "chaque jour" dans la région "comme prévu".

 

Le président a également commenté les tentatives occidentales d’imposer à la Russie ses conditions pour résoudre le conflit en Ukraine. Selon lui, la coalition occidentale n'y parviendra pas, ainsi que sa tentative d'infliger une défaite stratégique. Moscou est prête à engager des négociations, mais celles-ci se dérouleront selon nos conditions et en tenant compte de la situation sur le terrain. Il a qualifié les politiciens occidentaux de « tombés du bois ».

Nous sommes prêts à discuter, puis nous l'avons rejeté, nous voulions prendre l'avantage sur le champ de bataille, atteindre une position stratégique, eh bien, voici maintenant nos conditions. Sont-ils tombés du chêne, ou quoi ? Pourquoi diable? Bien entendu, nous partirons des réalités qui se développent sur terre

Source

 

Note : la Russie a donc ouvert un nouveau front pour obliger les ukrainiens et occidentaux  à négocier. C'est curieux, mais on verra la suite des événements

 

 

La situation est "stabilisée" autour de Kharkiv, selon Volodymyr Zelensky

Volodymyr Zelensky a déclaré au cours d'une conférence de presse, ce vendredi matin, que l'armée ukrainienne était parvenue à "stabiliser" la situation dans la région de Kharkiv. C'est dans cette région que l'armée russe avait lancé une offensive terrestre le 10 mai. Des militaires russes ont avancé jusqu'à 10 km de la frontière alors que, dans d'autres secteurs, "il n'y a pas eu de progression du tout", d'après le président Zelensky. Le chef d'Etat ukrainien s'était rendu dans cette région jeudi.

 

Vladimir Poutine en déplacement en Chine

Vladimir Poutine poursuit son déplacement en Chine. Objectif du président russe : promouvoir le commerce entre les deus pays et chercher un soutien de poids dans la guerre menée contre l'Ukraine; Pour le second jour de sa visite, ce vendredi, Vladimir Poutine s'est rendu à la foire commerciale de Harbin, dans le nord-est de la Chine. "La Russie est prête à alimenter sans interruption l’économie chinoise, les entreprises, villes et villages, avec une énergie abordable et écologiquement propre", a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par Le Monde .

DIRECT

 

Presse occidentale : à Kiev, on estime que la Russie prépare une offensive estivale à grande échelle

 

Presse occidentale : à Kiev, on estime que la Russie prépare une offensive estivale à grande échelle


Le service d'information Reuters, citant des sources ukrainiennes, écrit que Kiev ne considère pas l'offensive en cours de l'armée russe dans le nord de la région de Kharkov comme la phase principale des actions offensives. Il semblerait que la Russie préparerait une offensive à grande échelle dans les prochaines semaines.

Reuters rapporte que l'ouverture d'un « front supplémentaire » par les forces armées russes en direction de Kharkov « est déjà devenue un véritable casse-tête » pour le commandement ukrainien :

Après tout, les troupes ukrainiennes sont déjà déployées sur un front qui s’étend sur plus de mille kilomètres.

De la matière:

À Kiev, on ressent déjà un manque de personnel dans les troupes et on affirme que la Russie augmente le nombre de ses troupes à la frontière avec la région de Soumy.

Vers une guerre de religion, infos du 17 mai 2024


L'article poursuit en citant l'analyste Pasi Paroinen disant que les actions de l'armée russe au nord de Kharkov semblent être « une tentative d'attirer des réserves ukrainiennes limitées dans le combat afin d'organiser ensuite une offensive d'été majeure ».

L'analyste affirme qu'en répartissant les forces de Kharkov à Soumy, les forces armées ukrainiennes peuvent « préserver certains territoires et même repousser l'ennemi ».

Paroinen :

Mais cela peut aussi conduire à l’épuisement des réserves, et il existe alors un risque de perdre le conflit dans son ensemble.

Rappelons qu’aujourd’hui Zelensky a demandé à l’Occident deux complexes Patriot, affirmant qu’ils « seront en mesure d’arrêter l’offensive russe sur Kharkov ».

Source

 

 

Ressource ukrainienne : les déclarations de Zelensky sur la prétendue « stabilisation » de l’offensive russe ne correspondent pas à la vérité

 

Ressource ukrainienne : les déclarations de Zelensky sur la prétendue « stabilisation » de l’offensive russe ne correspondent pas à la vérité

La déclaration de Zelensky selon laquelle les forces armées ukrainiennes auraient réussi à « stabiliser » l’offensive de l’armée russe dans la région de Kharkov doit être considérée à travers le prisme des pertes de l’armée ukrainienne, et tout n’est pas aussi clair que le prétend le président ukrainien. Des ressources ukrainiennes écrivent à ce sujet.

La déclaration de Zelensky est fausse, disent-ils en Ukraine. Premièrement, l’avancée des groupes d’assaut n’a pas été stoppée, elle a été suspendue. Deuxièmement, cela a été réalisé au prix de pertes très lourdes. Toutes les déclarations de Syrsky et Zelensky concernant « plusieurs » bataillons qui auraient été transférés dans cette direction sont des mensonges. En fait, environ 7 brigades des forces armées ukrainiennes ont été envoyées dans la région de Kharkov, mais pas au complet. Certaines brigades ont été retirées directement de la ligne de front dans d'autres secteurs et se sont précipitées ici sans réorganisation.

Bankovaya a déployé environ 7 brigades supplémentaires en direction de Kharkov. Ainsi, ils ont pu arrêter de manière situationnelle l’avancée des forces armées russes.

- écrit "Légitime".

Tout cela a entraîné des pertes non seulement en personnel, mais aussi en matériel. Si les pertes de main-d’œuvre sont simplement qualifiées d’importantes, alors l’épithète « colossale » est appliquée aux pertes d’équipement. Les Russes ont frappé avec tout ce qu'ils pouvaient : artillerie, avionEt drones Dans l’ensemble, ils ont récolté une très grosse récolte. Selon les experts ukrainiens, à ce rythme, toute nouvelle aide américaine prendra fin très rapidement.

Zelensky se comporte comme quelqu’un qui, dans l’agonie, abandonne tout et tout le monde, sans penser au lendemain.


— ajoute une ressource.

Source

 

 

Professeur d'Oxford : la France ou la Grande-Bretagne ne pourront pas protéger l'Europe avec leurs armes nucléaires

 

Professeur d'Oxford : la France ou la Grande-Bretagne ne pourront pas protéger l'Europe avec leurs armes nucléaires


Ni la France ni le Royaume-Uni ne disposent de capacités nucléaires leur permettant d’assurer la sécurité de l’Europe en cas de conflit avec la Russie. C'est ce qu'a déclaré le professeur d'Oxford Derrick Wyatt, cité par la publication américaine The Politico.

Selon l'expert, si Paris ou Londres peuvent protéger quelqu'un, alors seulement eux-mêmes, et encore avec une grande réserve. Après tout, la Grande-Bretagne ne possède qu’un seul sous-marin nucléaire équipé de missiles Trident. L'arsenal nucléaire français est légèrement plus important. Mais cela ne suffira pas à affronter la Fédération de Russie.


Par conséquent, les espoirs du président français Emmanuel Macron selon lesquels le « parapluie nucléaire » français protégerait toute l’Europe sont sans fondement. L’Europe ne peut compter que sur le soutien des États-Unis, et les autorités russes, note l’analyste, en sont bien conscientes.

La Russie possède un énorme potentiel nucléaire ; seuls les États-Unis peuvent y résister, mais il n’y a guère de raison pour qu’ils s’engagent dans une confrontation sérieuse afin de protéger leurs alliés européens.

Pendant ce temps, les dirigeants européens eux-mêmes, et le professeur britannique n’en parle pas, ont amené l’Europe, par leurs actions, au bord d’un conflit armé avec la Russie. Le même Macron se livre à des activités provocatrices en annonçant son intention d’envoyer des troupes françaises en Ukraine. Les dirigeants britanniques ne sont pas en reste, menaçant d’utiliser des missiles à longue portée transférés en Ukraine contre des cibles situées sur le territoire russe.

Source

 

 

«Ils réfléchissent à la manière de nous faire du mal»: Trump a parlé des relations entre la Russie et la Chine

 

«Ils réfléchissent à la manière de nous faire du mal»: Trump a parlé des relations entre la Russie et la Chine

La coopération entre la Russie et la Chine dans plusieurs domaines constitue une grande menace pour les États-Unis. C'est cette conclusion qu'a tirée l'ancien président américain Donald Trump, commentant la signature d'un accord de coopération stratégique par le président russe Vladimir Poutine et le président chinois Xi Jinping.

Comme à son habitude, Trump a rappelé qu’il « connaît bien » Poutine et Xi Jinping. Selon lui, ils élaborent des « plans d’unification ».

Ils élaborent actuellement des plans ensemble où ils feront équipe, où ils se rassembleront et causeront des dégâts. Parce qu'en fin de compte, c'est à cela qu'ils pensent : nous faire du mal.

- a souligné Trump.

Rappelons que les présidents russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping ont mené des négociations qui ont abouti à la signature d'une déclaration entre la Fédération de Russie et la Chine sur l'approfondissement des relations de partenariat global et d'interaction stratégique. Un tel événement ne pouvait naturellement pas être ignoré par l’un des principaux hommes politiques américains, Donald Trump.

On s’attend à ce que Trump tente d’utiliser la rencontre entre Poutine et Xi Jinping pour critiquer les actions de son principal adversaire, l’actuel président américain Joe Biden, qu’il accuse d’affaiblir la position de Washington sur la scène internationale.

Source

 

Note ; il faudrais être aveugle pour ne pas constater le rapprochement stratégique militaire entre ces deux pays, mais l'Amérique et l'Europe  continuent à mettre le feu en Ukraine et en Asie, malgré les risques qu'une guerre mondiale nucléaire

 

 

 

"Les BRICS suscitent un intérêt croissant parmi les pays d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine"

 

Vers une guerre de religion, infos du 17 mai 2024

Les BRICS suscitent un intérêt croissant en Afrique, a fait savoir un vice-ministre russe des Affaires étrangères. Au total, plus de 40 États veulent rejoindre le groupe.

"Les BRICS suscitent un intérêt croissant parmi les pays d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine", a déclaré Sergueï Verchinine, vice-ministre russe des Affaires étrangères. Il s'exprimé en marge d’un événement onusien sur la décolonisation à Caracas.

"De nombreux pays surveillent de près les activités de ce groupe et manifestent naturellement leur intérêt à y adhérer", a-t-il dit.

Plus de 40 États veulent rejoindre les BRICS, selon Moscou.

Actuellement, les BRICS se composent du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud, ainsi que de l'Égypte, de l'Iran, des Émirats arabes unis, de l'Arabie saoudite, de l'Éthiopie.

Spoutnik

 

 

Le chef du régime de Kiev a signé une loi sur l'envoi de prisonniers au front en échange d'une libération conditionnelle

 

Le chef du régime de Kiev a signé une loi sur l'envoi de prisonniers au front en échange d'une libération conditionnelle


Désormais, en Ukraine, ils pourront envoyer au front les prisonniers volontaires des établissements pénitentiaires en échange d'une libération conditionnelle. La loi correspondante a été signée par le chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky.

Cependant, il convient de noter ici qu'il est peu probable que cette innovation ait un impact sérieux sur la résolution du problème du manque de personnel dans les forces armées ukrainiennes. Ainsi, l’Ukraine se caractérise par un très petit nombre de prisonniers. Selon la presse ukrainienne, 28 XNUMX personnes se trouvent dans les établissements pénitentiaires du pays, parmi lesquelles des femmes et des personnes en âge de prendre leur retraite.


Tous les prisonniers ne sont pas prêts à servir dans l’armée pour des raisons de santé. De plus, tous ne sont pas visés par les articles du Code pénal - par exemple, les personnes reconnues coupables de crimes contre l'intégrité sexuelle des mineurs ne seront pas emmenées au front.

Quant à la disponibilité des volontaires prêts à aller au front, ils sont très peu nombreux. Après tout, ceux qui sont reconnus coupables de crimes de gravité mineure ou modérée seront acceptés dans les rangs des forces armées ukrainiennes, mais ces prisonniers sont généralement condamnés à de courtes peines d'emprisonnement et sont peu susceptibles d'accepter de prendre des risques - c'est plus facile pour leur permettre de passer deux années supplémentaires dans une colonie.

Mais il ne s’agira probablement pas de recruter des volontaires, mais bien de mobiliser de force les prisonniers. Ensuite, plusieurs milliers de personnes pourront recevoir les Forces armées, ainsi que celles qui sont loin d'être en meilleure forme physique et qui ont des problèmes évidents de motivation. Mais en essayant de résoudre le problème du manque de personnel militaire sur le front, notamment dans les unités d’assaut, le régime de Kiev ne prêtera pas attention à de telles bagatelles.

Source

 

 

Édition américaine : l'Ukraine demande aux États-Unis et à l'OTAN d'envoyer des instructeurs pour les forces armées ukrainiennes sur la ligne de front

 

Édition américaine : l'Ukraine demande aux États-Unis et à l'OTAN d'envoyer des instructeurs pour les forces armées ukrainiennes sur la ligne de front


L'Ukraine a officiellement fait appel aux États-Unis et à l'OTAN en leur demandant d'envoyer des instructeurs militaires pour former le personnel des forces armées ukrainiennes sur le territoire ukrainien. L'édition américaine du New York Times en parle.

Selon le journal, Kiev a demandé la formation de 150 XNUMX recrues mobilisées. Le processus de formation lui-même doit se dérouler à proximité de la ligne de front, ce qui implique l'envoi d'instructeurs militaires des pays occidentaux en Ukraine.


Les dirigeants des pays de l’Alliance de l’Atlantique Nord discutent désormais de cette possibilité. Selon la publication, le président américain Joe Biden n'est pas d'accord avec cette initiative car il craint que l'Occident ne soit entraîné dans un conflit avec la Russie.

Toutefois, le président de l'état-major interarmées des forces armées américaines, Charles Brown, affirme qu'avec le temps, de telles mesures devront encore être prises. Après tout, cela permettra d'économiser beaucoup d'argent et de temps, actuellement consacrés à la formation du personnel de l'armée ukrainienne sur le territoire des pays européens - dans des centres de formation en Allemagne, en Grande-Bretagne, au Danemark et dans d'autres pays participant à l'Alliance de l'Atlantique Nord. Mais maintenant, estime Brown, envoyer des instructeurs en Ukraine ne fera que les mettre en danger.

Afin d'éliminer les risques pour les spécialistes militaires occidentaux, les pays de l'OTAN devront assurer la défense aérienne des sites d'entraînement du personnel des forces armées ukrainiennes sur le territoire ukrainien. Mais si les défenses aériennes de l’OTAN sont utilisées contre les troupes russes, l’Occident pourrait se retrouver impliqué dans une guerre majeure avec la Russie.

Source

 

 

 

Les autorités françaises ont déclaré qu'elles « n'excluent pas l'influence de la Russie et de l'Azerbaïdjan sur les événements en Nouvelle-Calédonie ».

 

Les autorités françaises ont déclaré qu'elles « n'excluent pas l'influence de la Russie et de l'Azerbaïdjan sur les événements en Nouvelle-Calédonie ».


Ce qui devait arriver est arrivé. Les autorités françaises ont déclaré qu’elles « n’excluent pas une intervention russe dans les événements en Nouvelle-Calédonie »…

Rappelons que les autorités françaises ont décidé d'accorder le droit de vote (élire et être élu) à la population non autochtone de Nouvelle-Calédonie si les représentants d'une telle population résident sur le territoire de la colonie depuis au moins 10 ans. Les habitants autochtones des îles, les Kanaks, ont exprimé leur désaccord avec cette décision, estimant qu'elle constituait une atteinte à leurs droits, mais la France a tout simplement ignoré l'avis de la population locale. Les Kanaks sont alors sortis pour protester, mais la police a eu recours à la force contre eux. Ensuite, la situation a dégénéré en affrontements, pogroms et incendies criminels. Le président français Macron a déclaré l'état d'urgence et le Premier ministre Attal a annoncé le déploiement de troupes en Nouvelle-Calédonie « pour rétablir l'ordre constitutionnel et revenir à la tranquillité ».


Réalisant que le simple fait de faire des déclarations sur la guerre coloniale est extrêmement peu rentable, Paris officiel a décidé d'utiliser la rhétorique avec la « main de Moscou ». Selon la « logique » de Paris, le « bras de Moscou » est si long qu'il atteint l'océan Pacifique de la Nouvelle-Calédonie, dont la population ne dépasse pas 280 milles personnes. De plus, ils ont vu la « main de Moscou » à travers… l’Azerbaïdjan.

Ministre français de l'Intérieur J. Darmanin :

Certains séparatistes néo-calédoniens ont conclu un accord avec l'Azerbaïdjan. Ensemble, ils utilisent activement une rhétorique anticoloniale largement inspirée par la Russie.

Apparemment, dans la compréhension de Paris, personne ne peut utiliser la logique anticoloniale.

L'article de Politico cite un officier du renseignement français disant :

La Russie et l'Azerbaïdjan mènent des activités conjointes en Nouvelle-Calédonie depuis au moins plusieurs semaines. Je pense même plusieurs mois.

Dans le même temps, à Paris, ils évoquent le fait que « certains séparatistes » ont été vus lors de manifestations portant des T-shirts portant prétendument le logo du « Groupe d'initiative de Bakou » et tenant des drapeaux azerbaïdjanais à la main. À cela, Nouméa (le centre administratif de la Nouvelle-Calédonie) a déclaré qu'à Paris, apparemment, ils ne sont pas en mesure de distinguer le drapeau de la Nouvelle-Calédonie de celui de l'Azerbaïdjan.


Bien sûr, on ne peut pas dire à Paris quel est le lien avec la Russie, mais il faut, comme on dit, faire mentir le fait qu'ici aussi la « démocratie française » s'oppose à la Russie.

Source

 

 

Dugny (93) : un homme tué par balles en pleine rue. Il s’agirait du caïd Mehdi Boulenouane, ancienne grande figure du trafic de drogue à Grenoble

Source vidéo : Telegram BassemTH

Mehdi Boulenouane, considéré dans les années 2010 comme l’un des principaux caïds de la région grenobloise, et plus spécifiquement comme le patron du trafic de stupéfiants dans le quartier Mistral, a été tué par balles ce jeudi 16 mai après-midi en Seine-Saint-Denis, apprend Le Dauphiné Libéré de sources concordantes.

Âgé de 38 ans, il faisait l’objet d’un aménagement de peine sous surveillance électronique dans ce département de la région parisienne.

Condamné fin 2016 à dix ans d’emprisonnement pour trafic de stupéfiants et blanchiment de trafic de stupéfiants, le Grenoblois avait bénéficié à la fin du mois de mars de cet aménagement pour purger les derniers mois de cette peine. C’est donc sous bracelet électronique qu’il avait comparu en avril dernier à la barre du tribunal correctionnel de Lyon qui jugeait l’affaire de la caution de 500 000 euros payée en espèces et qui avait permis sa libération au printemps 2016.

Le Dauphiné Libéré

 

Rouen (76) : un migrant clandestin algérien sous OQTF armé d’un couteau et d’une barre de fer entre dans une synagogue pour y mettre le feu ; en ressortant, il attaque un policier avant d’être abattu (Màj : « Des dégâts significatifs » )

Le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol appelle à un rassemblement républicain ce soir à 18 heures, devant l’hôtel de ville.

Le maire de Rouen, qui s’est rendu sur place ce vendredi matin, indiquait évoquait “des dégâts significatifs” à l’intérieur de l’édifice et dénonçait “un acte profondément antisémite”.

L’incendie a pu être maîtrisé par les pompiers, “arrivés extrêmement rapidement sur place” avec les forces de l’ordre.

BFMTV


D’après une source proche du dossier, le suspect de l’incendie de la synagogue, abattu par les policiers qu’il a menacés ensuite, était un ressortissant algérien de 29 ans, sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) « depuis moins d’un an. Mais celle-ci était non exécutable car il avait engagé un recours devant les juridictions administratives ».

Actu.fr


Selon les informations de RTL, le suspect est un migrant algérien de 29 ans, ayant reçu une OQTF en 2023

RTL


« Il y a deux enquêtes distinctes : une première sur l’incendie volontaire visant un lieu de culte et sur les violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique, et une deuxième sur les circonstances du décès de l’individu », a indiqué à l’AFP le procureur Frédéric Teillet. La première enquête a été confiée à la Direction générale de la police nationale (DGPN) et la seconde à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), d’après la même source.

Le Parisien


Le maire de Rouen a fait le point, avec prudence, sur ce que l’on sait à ce stade de l’enquête. Il explique que ce matin, un individu a tenté de rentrer dans la synagogue « en escaladant une poubelle » pour accéder au premier étage. Là, il aurait « jeté un élément incendiaire, une sorte de cocktail Molotov, faisant des dégâts significatifs » mais sans faire de victime humaine dans le lieu de culte.

Pompiers et policiers sont « arrivés très vite sur place » et lors de l’interpellation, le suspect aurait jeté une barre de fer sur les policiers avant de tenter de les agresser « avec un long couteau ». C’est là qu’il a été abattu.

Actu.fr


Muni d’un couteau et d’une barre de fer, l’homme s’est jeté sur les policiers qui intervenaient pour un départ de feu sur une synagogue. Un fonctionnaire a fait usage de son arme pour le neutraliser.

Le suspect a été intercepté alors qu’il était muni d’une arme. Le départ de feu sur le lieu de culte est actuellement en train d’être maîtrisé par les pompiers, indique sur le réseau social le maire de la ville, Nicolas Mayer-Rossignol, qui exprime son «soutien total à la communauté israélite de Rouen».

[…]

 

Le Figaro

 

 

Finlande: démantèlement d’un réseau de trafic de migrants venus du monde entier mais tous passés par la Biélorussie

Selon un communiqué des garde-frontières finlandais publié mardi 14 mai, un vaste réseau de trafic de migrants a été démantelé par les autorités de Helsinki. Des passeurs irakiens – munis de titres de séjour lettons – ont été arrêtés. Leur but : transporter des migrants de Biélorussie vers l’Allemagne.

[…]

Dans le détail, les trafiquants faisaient passer les migrants de Biélorussie en Lettonie, puis en Estonie. De là, les exilés prenaient un ferry pour la Finlande. Ils rejoignaient ensuite l’Allemagne via la Suède puis le Danemark.

[…]

Les passeurs fournissaient aux migrants des tickets de transports publics contenant de fausses données personnelles. Les migrants transportés étaient Iraniens, Irakiens, Bangladais, Sri-lankais, Afghans, Syriens, Camerounais ou encore Cubains… Des enfants faisaient également partie des migrants victimes de trafic.

[…]

InfoMigrants

 

5 mois avec sursis pour le migrant irakien qui a sauvagement étranglé une contrôleuse SNCF à bord d’un TGV. Elle est traumatisée et a 10 jours d’ITT. En France depuis 9 mois, Blind Y. a déjà été “mis en cause pour cinq faits” (MàJ)

17/05/2024

(…) « Il est 14h25 quand une contrôleuse SNCF entre dans la rame. Elle salue les passagers et demande leurs titres de transport. C’est à ce moment-là qu’un homme bondit sur elle, l’étrangle, la projette sur une table, lève le poing comme prêt à la frapper. La victime crie à l’aide. Un collègue arrive. Le passager retourne s’asseoir sans difficulté. » L’homme, un ressortissant irakien âgé de 27 ans, est arrêté sur un quai de la gare de Lille-Europe par les policiers. Extrêmement choquée, l’agent SNCF est transportée aux urgences de Saint-Vincent-de-Paul, à Lille. Blessée à la mandibule et présentant des ecchymoses sur le corps, la jeune femme bénéficie de dix jours d’ITT. « Le médecin note qu’elle souffre d’un net retentissement psychologique et d’un stress aigu », précise la magistrate. (…)

Jugé en comparution immédiate, Blind Y. reconnaît a minima tout en demandant pardon.

(…) le traducteur qui explique que ce jeune homme (qui dit également vivre dans à Valenciennes) est arrivé en France il y a neuf mois, sans ressource. (…)

Pauline Lequien, pour le parquet, pointe du doigt un comportement inquiétant. « C’est bien plus grave qu’une simple bousculade. Il a déjà été mis en cause pour cinq faits, ça pose question. (…) »

« Mon client a quitté l’Irak à l’âge de 19 ans. Sa mère, ses deux frères l’ont rejoint en Allemagne où il vivait avec l’idée d’aller en Angleterre. La jungle, c’est très compliqué. Le rapport du psychologue dit qu’il a un discours très clair, qu’il n’est pas dangereux. Je vous demande de le condamner à un gros sursis simple. » L’avocat de la défense a été entendu. Son client écope de cinq mois avec sursis. « C’est un sévère avertissement que vous donne le tribunal, conclut la présidente. Il faut soigner vos difficultés. » (…)

La Voix du Nord

(Merci à Julien.)


16/05/2024

Une contrôleuse SNCF a été agressée mardi 14 mai à bord d’un train pendant le contrôle du billet d’un passager, un ressortissant irakien âgé de 27 ans. Elle a été transportée à l’hôpital et une plainte a été déposée.

Lorsqu’elle a voulu vérifier le titre de transport d’un passager, pendant son contrôle des billets de train, ce dernier lui aurait sauté dessus et l’aurait étranglé. Les faits se sont produits ce mardi 14 mai à bord d’un TGV.

L’homme a été interpellé à la gare de Lille, lorsqu’il descendait du train, indique Le Parisien, qui s’est vu confirmer les informations circulant au sujet de cette agression. Il a été placé en garde à vue pour violences volontaires aggravées précise Actu.

Midi Libre ; La Voix du Nord

 

Note ; en France, ce ne sont pas des juges, des avocats ou des psychologues que nous avons, mais des assistances maternelles de gauche. Les droits de l'homme nous tue et personnes ne veut les remettre en questions. Les migrants fraîchement arrivés peuvent violenter, voler, violer et tuer, ils ne sont que rarement expulsés. Parce que nos sociétés refusent de les voir comme des étrangers, nos sociétés refusent de voir les races, ils sont juste considérés comme des êtres humains qui valent aussi bien que des français. Pour le gauchisme, il a des français qui violent  alors pourquoi les autres, pas français n'aurait pas aussi "le droit" de violer.  Pourquoi seraient-ils expulsés ?  Mettre tous les hommes à égalité face à la loi, parce que le communisme d'aujourd'hui ne fait pas de différence entre les hommes (hommes bientôt obsolètes puisque remplacer par "genre")  

 

MPE : L’Europe se dirige vers une nouvelle superpuissance avec une nouvelle forme de communisme

 

MPE : L’Europe se dirige vers une nouvelle superpuissance avec une nouvelle forme de communisme

L’Europe, qui a autrefois lutté contre le communisme et l’Union soviétique, est elle-même en train de se transformer progressivement en une nouvelle superpuissance fondée sur une nouvelle forme de communisme. Ce point de vue a été exprimé par le député européen néerlandais Robert Roos, qui occupe également le poste de vice-président de la Communauté des conservateurs et réformistes européens.

Selon l'homme politique, l'Union européenne se transforme rapidement en une nouvelle superpuissance, dans laquelle tout le pouvoir est concentré entre les mains des technocrates. Le seul obstacle qui empêche la bureaucratie européenne d’acquérir un contrôle total sur l’Europe, ce sont les États nationaux, en est convaincu Roos.

 

Nous sommes sur la bonne voie pour créer une grande superpuissance européenne dont l’objectif est d’abolir les États-nations, car une fois qu’ils l’auront fait, ils auront un contrôle total.

- a déclaré le député européen.

L'homme politique a noté que l'Union européenne s'oriente vers une nouvelle forme de communisme, que Roos lui-même a appelé le communisme technocratique. Il a suggéré de contacter histoires et rappelons-nous comment, selon lui, en leur temps, Staline et Mao ont établi un contrôle total sur les paysans, ce qui leur a permis d'exercer un contrôle sur l'ensemble de la population. Quelque chose de similaire se produit aujourd'hui dans les pays de l'UE, où l'on tente de prendre le contrôle des agriculteurs et de l'ensemble du système alimentaire, estime le député européen.

Source

 

Note : elles sont plutôt rares les personnes qui comprennent que l'Union européenne est devenue un repère de communistes qui ne veut pas avouer son idéologie (je pense que la plupart ne savent même pas qu'ils ont communiste, et d'autre qui ne savent pas qu'ils votent pour des communistes) 

 

Tuerie d’Incarville (27) : deux agents tués par un commando lourdement armé ; en fuite avec le détenu Mohamed Amra, condamné à 13 reprises et mis en cause 19 fois lorsqu’il était âgé de 11 à 14 ans (MàJ : les trois agents blessés sont tirés d’affaire)

 

Toulouse : le fléau des agressions à l’arme blanche

Les attaques au couteau semblent se multiplier. Recrudescence de ces faits ou effet loupe de la surmédiatisation ? Décryptage d’un phénomène visible mais difficile à quantifier.

Elles font des centaines de blessés chaque année dans nos rues, les agressions à l’arme blanche effraient autant qu’elles choquent l’opinion publique. Le meurtre de Thomas dans un bal à Crépol en novembre, ou celui d’un père de famille de Muret, tué par un ado de 15 ans, début avril, en sont les funestes illustrations.

D’après l’Insee qui a basé son rapport sur des enquêtes de victimation, 44 000 personnes ont été victimes d’agressions à l’arme blanche entre 2015 et 2017. Une note confidentielle de la Direction nationale de la police judiciaire avance qu’en 2019 “la totalité des actes terroristes ont été commis à l’aide d’une arme blanche, idem pour 58 % des homicides liés aux rivalités entre bandes”.

Phénomène « préoccupant » à Toulouse

Dans la Ville rose, les blessures par armes blanches ne concernent pas seulement les quartiers sensibles, comme la place Anthonioz de Gaulle. Elles intervenaient encore récemment aux alentours de la gare Matabiau. Depuis début 2024, une trentaine d’individus ont été appréhendés en possession d’armes blanches par la police municipale : “Ce sujet est préoccupant, on ne le découvre pas” rappelle Emilion Esnault, adjoint au maire en charge de la sécurité.

(…) “Ce type d’attaques est souvent dû à des règlements de comptes entre dealers ou vendeurs de cigarettes à la sauvette, ou des intimidations entre mineurs non accompagnés” et en centre-ville, “les rixes entre marginaux constituent le gros du volume des affaires.”

La Dépêche

 

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