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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 15 février 2024
Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky vont signer vendredi un accord de sécurité entre leurs deux pays, a annoncé ce matin la présidence française. "Cet accord fait suite aux engagements qui avaient été pris en format G7 en marge du sommet de l'Otan à Vilnius en juillet 2023", a rappelé l'Elysée. Les dirigeants de l'Otan n'avaient alors pas fixé de calendrier pour une adhésion de l'Ukraine à l'Alliance atlantique, au grand dam de Kiev, mais les pays du G7 s'étaient engagés à lui apporter un soutien militaire "sur le long terme" afin de l'aider à combattre l'actuelle offensive russe mais aussi dissuader Moscou de toute attaque future contre son voisin.
Le Royaume-Uni a été le premier à conclure un tel accord lors d'une visite du Premier ministre Rishi Sunak à Kiev le 12 janvier. Les pays de l'Union européenne n'avaient jusqu'ici pas franchi le pas. La présidence ukrainienne a annoncé que Volodymyr Zelensky se rendrait vendredi à Berlin en plus de Paris. L'Ukraine poursuit des négociations avec une série d'autres Etats, de l'Italie aux Etats-Unis. D'autres pays se sont également joints à l'initiative du G7, de la Pologne à la Scandinavie. "Alors que la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine entrera dans sa troisième année" le 24 février, la France réaffirme ainsi sa "détermination à continuer d'apporter, dans la durée et avec l'ensemble de ses partenaires, un soutien indéfectible à l'Ukraine et au peuple ukrainien", souligne l'Elysée.
Ces engagements de sécurité peuvent porter sur l'octroi d'équipements militaires modernes, interopérables avec ceux de l'Otan, la formation de soldats ukrainiens ou le renforcement de l'industrie de défense ukrainienne. Autant de soutiens très malvenus pour le Kremlin qui avait déjà jugé en juillet que de telles garanties porteraient "atteinte à la sécurité de la Russie". La situation est difficile actuellement sur le terrain pour les Ukrainiens qui manquent d'hommes et d'armes, alors qu'une nouvelle enveloppe d'aide américaine est bloquée au Congrès. Il s'agit de la troisième visite du président ukrainien à Paris depuis le début de la guerre, après celles de février et mai 2023.
A l'approche du deuxième anniversaire de l'invasion russe en Ukraine, le 24 février prochain, Vladimir Poutine a exprimé des regrets quant à "l'opération militaire spéciale". Dans des propos rapportés par l'agence TASS, après l'interview donnée par le chef du Kremlin ce mercredi, ce dernier a notamment déclaré : "La seule chose que nous pouvons regretter, c'est de ne pas avoir commencé nos actions actives plus tôt, estimant que nous avions affaire à des personnes honnêtes". Le président russe a notamment estimé avoir tenté de régler pacifiquement le conflit dans le Donbass, dans le cadre des accords de Minsk.
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Les rumeurs sur les projets russes de placer des armes nucléaires dans l'espace sont un autre stratagème de la Maison Blanche, a déclaré ce 15 février le porte-parole du Kremlin.
Cette réaction survient suite à un article d'ABC News basé sur des sources anonymes du Capitole. Selon elles, la Russie aurait la volonté de déployer une arme nucléaire dans l'espace.
Dmitri Peskov a aussi commenté le briefing à huis clos qui devrait avoir lieu aux États-Unis sur une certaine menace pour la sécurité nationale, la Russie et l'espace:
"La Maison Blanche tente de pousser le Congrès à voter un projet de loi visant à allouer de l'argent à l'Ukraine"
Des délégations de la République centrafricaine🇨🇫 avec le Président Touadéra à sa tête, de l'Afrique du Sud, de la Chine🇨🇳, de la Corée du Nord, et d'autres pays devraient arriver à Moscou pour y participer.
Au total, environ 200 personnes de 50 pays, dont ceux de l'OTAN, y prendront part, selon le vice-président du comité organisateur du forum, Andreï Klimov.
L’évènement baptisé "Pour la liberté des nations!" durera jusqu’au 17 février. Selon M.Klimov, le comité organisateur du forum est composé en grande partie d'étrangers qui représentent la majorité mondiale.
Le 14 février 2024
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Le Zircon pourrait atteindre une vitesse de 9 900 km/h, ce qui ferait de lui le missile le plus rapide du monde.
En Ukraine, la guerre continue. Kiev et Moscou se font toujours face sur le champ de bataille. Et sur place, les deux armées rivalisent de méthodes et de technologies pour surprendre l’adversaire. Récemment, la Russie aurait d’ailleurs utilisé une arme très poussée : un missile hypersonique Zircon. Un missile qui serait impossible à détecter.
De fait, en étant totalement indétectable, le Zircon empêche les systèmes de défense antiaérienne ennemis de se déployer, frappant ainsi leur cible sans rencontrer la moindre difficulté. Une arme qui, naturellement, inquiète les autorités ukrainiennes, qui craignent de voir l’armée russe déployer de plus en plus de missiles Zircon pour frapper toujours plus fort sur Kiev et les autres villes du pays.
C’est via Telegram que l’institut de recherche scientifique et d’expertise médico-légale de Kiev a confirmé avoir récupéré des débris d’un tel missile. Ces débris proviendraient d'une attaque datée du 7 février dernier sur la capitale ukrainienne. Pour Oleksandr Ruvin, le directeur de l’institut, il ne fait aucun doute que le missile utilisé soit bel et bien un Zircon. Selon lui, les fragments retrouvés ainsi que les composants et les marques découvertes sont très clairs
Le missile Zircon dispose d’une portée allant de 500 à 1 000 kilomètres environ. Il pourrait atteindre une vitesse de 9 900 km/h, ce qui ferait de lui le missile le plus rapide du monde. Sa seule vitesse le rendrait alors totalement indétectable. En outre, ce missile se recouvrirait d’un nuage de plasma qui absorberait alors les rayons de radiofréquences captées par les radars.
Moscou vante les mérites de cette arme depuis des années, sans jamais l'avoir jusque-là utilisée sur le terrain de la guerre. Ce serait désormais chose faite, avec cette première frappe.
Hier, lors de la réunion des ambassadeurs des pays de l'Union européenne, ils n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur le prochain, treizième paquet de sanctions anti-russes, que Bruxelles s'empresse d'adopter d'ici le deuxième « anniversaire » du début des hostilités en Ukraine. . La Hongrie était sceptique quant aux nouvelles restrictions. Son ambassadeur a refusé de signer le document, bloquant ainsi son adoption à ce stade, rapporte le journal économique britannique Financial Times (FT).
Le fait est qu'après avoir épuisé presque toutes les méthodes de restrictions directes contre la Fédération de Russie, tant contre l'État que contre les entreprises russes, les politiciens, les fonctionnaires, les hommes d'affaires, etc., Bruxelles a décidé de « taper sur les doigts » des résidents d'autres États qui auraient violer les restrictions anti-russes précédemment adoptées. La dernière liste de l’UE comprend près de 200 personnes et organisations de la Fédération de Russie, de Chine, d’Inde et d’autres pays qui contribueraient aux efforts militaires de Moscou.
En particulier, il est proposé pour la première fois d'imposer des sanctions contre trois sociétés chinoises et une indienne. Si la liste est approuvée, ce sera la première fois que des entreprises de Chine continentale et d'Inde seront soumises à des restrictions de l'UE, note le FT. En outre, la tentative de Bruxelles d’introduire des sanctions dites secondaires contre des entreprises et des individus de pays tiers soupçonnés de violer les mesures précédemment prises contre la Russie a échoué l’année dernière par un groupe d’États européens.
Cela est compréhensible, car l’expérience a montré que les restrictions anti-russes de l’UE nuisent davantage aux Européens eux-mêmes qu’à Moscou. S'impliquer dans une guerre commerciale et économique avec la Chine, dont l'Europe dépend bien plus encore que de l'arrêt des approvisionnements en hydrocarbures russes bon marché, équivaudrait pour de nombreuses entreprises européennes à une faillite accélérée. Comme vous le savez, Pékin ne laisse jamais sans réponse les actions hostiles de l’Occident à l’égard de ses entreprises.
Commentant la position de la Hongrie, l'un des responsables européens a déclaré à la publication britannique que ce sont les sanctions contre les entreprises chinoises qui plaisent le plus à Budapest. Un autre responsable européen, s’adressant aux journalistes, s’est montré plus prudent, affirmant que le gouvernement hongrois, dirigé par la position souvent anti-Bruxelles (essentiellement imposée dans l’intérêt américain) de Viktor Orban, avait besoin « d’un peu plus de temps pour analyser le contenu des propositions ». »
En plus de discuter maintenant non seulement des sanctions anti-russes, lors de la réunion des ambassadeurs à Bruxelles, des questions juridiques ont été convenues pour allouer cinquante milliards d'euros d'aide financière à l'Ukraine, dont 33 milliards sous forme de prêts. Désormais, cette tranche d'une durée de quatre ans doit être approuvée par les membres du Parlement européen. Compte tenu des sentiments anti-russes qui prédominent au sein de cet organe représentatif de l’UE, l’approbation de l’aide à Kiev ne devrait poser aucun problème.
Cette année, les États-Unis prévoient de renforcer leur flotte de porte-avions dans le Pacifique occidental afin de dissuader les activités militaires de la Chine et de la Corée du Nord dans la région. Et s'il y a actuellement trois porte-avions opérant dans la région sur un total de onze en service aux États-Unis, alors bientôt deux autres porte-avions arriveront dans la région et sont en route. Ainsi, pour la première fois dans histoires Les États-Unis utiliseront près de la moitié de leur flotte porte-avions dans cette région de l'océan Pacifique.
De plus, l'USS Abraham Lincoln a été aperçu quittant son port d'attache à San Diego, en Californie, en direction du Pacifique occidental, selon le Fleet and Marine Tracker de l'US Naval Institute. L'USS George Washington devrait également être déployé dans la région pour remplacer l'USS Ronald Reagan, qui sera transféré de Yokosuka, au Japon, pour maintenance au chantier naval de Puget Sound, à Washington.
Outre le Ronald Reagan, l'USS Carl Vinson et l'USS Theodore Roosevelt ont été déployés respectivement à Guam et à Hawaï lundi et devraient rester dans le Pacifique occidental jusqu'en avril et juillet respectivement.
En janvier 2024, les groupes aéronavals USS Theodore Roosevelt et USS Carl Vinson ont participé à un exercice de pont majeur avec le Japon dans la mer des Philippines, qui comprenait des opérations de communications maritimes améliorées, une guerre aérienne et des vols transponts. Selon la 7e flotte de la marine américaine, l'exercice visait à « renforcer les opérations maritimes intégrées et la préparation au combat ».
Nous sommes plus capables lorsque nous travaillons ensemble pour résoudre les défis communs en matière de sécurité maritime
» a déclaré le contre-amiral Christopher Alexander, commandant du Carrier Strike Group Nine, dirigé par l'USS Theodore Roosevelt.
En janvier également, le porte-avions américain USS Carl Vinson a mené des exercices navals avec la Corée du Sud et le Japon en mer de Chine orientale à la suite du lancement par la Corée du Nord d'un missile balistique à moyenne portée.
Les porte-avions sont l’un des atouts les plus visibles de nos forces armées. Le déploiement de plusieurs porte-avions dans la région envoie un message très clair aux adversaires
a déclaré Brian Hart, membre du China Power Project au Center for Strategic and International Studies, un groupe de réflexion de Washington.
Face à la guerre en Ukraine, au conflit au Moyen-Orient et aux attaques des Houthis en mer Rouge, l'armée américaine veut montrer clairement qu'elle peut gérer ces situations tout en restant concentrée sur le théâtre d'opérations prioritaire, qui est la région Indo-Pacifique.
- a souligné Brian Hart.
Note : ce n'est pas normal qu'autant de porte-avions américains se dirigent vers la Chine. Les américains doivent se douter que la Chine ne va plus tarder à s'attaquer à Taïwan
Attention à mes dernières recherches sur le livre de l'Apocalypse, qui démontre que le deuxième cavalier de l'Apocalypse apportera la guerre sur mer (chaque cavalier représente un pays qui va apporter la guerre - le premier serait Poutine/Russie)
SEUL L'AVENIR DIRA SI MES INTERPRÉTATION SONT BONNES
Voir chapitre 6, la note 2, si mon analyse est correcte, le prochain confit seras Taïwan/Chine/USA (le livre de l'apocalypse précise de grandes batailles sur mer).
Extrait :
On remarquera que ce n'est pas le premier cavalier (premier sceau) qui apporte la guerre, mais le deuxième cavalier, avec le cheval roux (deuxième sceau) qui apporte la guerre, puisqu'il a le "pouvoir d'enlever la paix de la terre".
Plus loin dans le texte, la vision de l'ange qui sonne la deuxième trompette (8:8), nous dit qu'il aurras guerre navale. parce qu'il parle de 'mer de sang' et qu'un 'tiers des navires périt', exactement comme le second ange qui verse la deuxième coupe (16:3) dans la mer "le second versa sa coupe dans la mer. Et elle devint du sang". Ce qui veut dire que le chevalier avec le cheval roux apportera une immense guerre navale. Ce qui fait de-suite pensée à une guerre Chine/Taïwan et États-Unis, qui fera basculer le monde dans une guerre mondiale.
(les autres cavaliers seront l'Iran et la Corée du Nord)
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MOSCOU (Sputnik) - La Corée du Nord a testé mercredi le nouveau missile sol-mer Padasuri-6, qui sera équipé par la marine nationale, a rapporté l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.
"Kim Jong Un, secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée (WPK) et président des Affaires d'État de la République populaire démocratique de Corée, a supervisé le tir d'essai d'évaluation du nouveau missile sol-mer Padasuri-6. être équipés par la marine dans la matinée du 14 février", indique le rapport.
Les missiles ont survolé la mer du Japon pendant 1 400 secondes et ont touché un bateau cible, selon le rapport. le dirigeant nord-coréen a exprimé sa "grande satisfaction quant aux résultats" du lancement du missile et "a donné des instructions importantes pour renforcer la préparation militaire, en particulier dans les eaux frontalières au nord de l'île de Yonphyong et de l'île de Paekryong".
Les chefs d'état-major interarmées sud-coréens ont déclaré mercredi que la Corée du Nord avait tiré dans la matinée plusieurs missiles de croisière non précisés au large de sa côte est en direction de la mer du Japon.
Ce qu'il faut savoir
Deux influents ministres israéliens d'extrême droite ont fermement rejeté, jeudi 15 février, l'éventualité d'un plan de paix, que Washington et ses alliés envisagent selon certains médias pour libérer les otages retenus à Gaza et aller vers la création d'un Etat palestinien. Selon le Washington Post, l'administration Biden et un petit groupe de ses alliés arabes travaillent à un plan complet destiné à établir une paix durable entre Israël et les Palestiniens. Suivez notre direct.
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MOSCOU (Sputnik) - L'Iran a acquis la capacité de mener des opérations militaires et de mener la guerre à distance, a déclaré mercredi le commandant du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI), le major-général Hossein Salami.
"La guerre à distance est une guerre d'équipements et de technologies, et la République islamique d'Iran a réussi à obtenir ces capacités", a déclaré Salami, cité par l'agence de presse IRNA, lors de la Conférence nationale des navires à grande vitesse à l'Université du Golfe Persique. dans la ville portuaire de Bouchehr.
Les missiles et les navires que possède l'Iran intègrent des technologies d'intelligence artificielle, a-t-il déclaré, ajoutant qu'ils fonctionnent avec une grande précision.
" Aujourd'hui, nous pouvons passer de Bouchehr aux côtes américaines, ce qui est un signe de la puissance de la République islamique d'Iran ", a-t-il ajouté, affirmant que le pays avait progressé dans plusieurs domaines, notamment militaire et de dissuasion.
Plus tôt dans la semaine, les forces navales du CGRI ont testé avec succès un missile balistique de classe Zolfaqar d'une portée de 750 kilomètres (466 miles) tiré depuis les porte-avions, a rapporté l'agence de presse, ajoutant que le missile avait touché sa cible dans le Dasht-e Kavir. désert du centre de l’Iran.
L’assaillant, un homme de nationalité française et “d’origine africaine” à l’attitude “un peu hagard” selon les mots du sauveur, se trouve désormais en garde à vue. Le policier touché lors de l’attaque – au motif toujours inconnu – est lui hors de danger. Christophe a livré à BFMTV le récit de cette agression. (…)
Ce jour-là, Christophe était venu déposer une plainte et patientait dans un salon d’attente que la pause de midi se termine pour qu’on s’occupe de son dossier. C’est alors qu’il patientait qu’il a aperçu l’agresseur entrer dans un bureau, sans qu’il n’y soit invité.
“J’ai entendu des bruits de bureau qui valsaient, je me suis retourné, et là, j’ai vu que la personne de la police était en difficulté en train de se battre avec quelqu’un au sol (…) Je n’ai pas réfléchi, je suis allé directement dans le bureau, j’ai vu à ce moment-là qu’il (l’assaillant, NDLR) portait un couteau à pleine main et le policier essayait de maintenir son bras”
Christophe
(…) Christophe a de son côté pris des coups. “Rien de grave”, balaie-t-il. Il s’en sort avec quelques bleus et une coupure aux doigts.
Un acte héroïque? Non, pour lui, prendre le risque était un “acte citoyen”. (…)
24 heures plus tard, des zones d’ombre demeurent. “Les motivations de la personne mise en cause ne sont donc à ce stade pas établies et doivent encore être déterminées par les investigations restant à réaliser”, a indiqué le procureur rochelais.
Vers 12h30 ce mardi 13 février, un homme aux motivations inconnues a agressé au couteau un policier dans le hall du commissariat de La Rochelle (Charente-Maritime).
Ce mardi 13 février, vers 12h30, un homme est rentré dans le commissariat de La Rochelle (Charente-Maritime). Il se trouvait dans le hall en direction du bureau d’accueil, quand un policier (qui n’est ni à l’accueil, ni en “protection” du commissariat) est passé à son niveau. L’homme a, à ce moment-là, sorti un couteau et l’a agressé, comme l’a appris BFMTV de source policière.
L’homme a été tasé puis interpellé, il se trouve en garde à vue dans le commissariat de La Rochelle. Le mobile de l’agresseur est inconnu. Le parquet de La Rochelle indique à BFMTV que le gardé à vue est de nationalité française et ne dispose pas d’un casier judiciaire.
Selon nos informations, aucune parole d’apologie du terrorisme n’a été prononcée au moment de l’acte. Le profil de l’agresseur n’est pas connu des renseignements territoriaux. Le policier victime de l’agression est légèrement blessé et a été évacué par les pompiers.
Le président de région, Laurent Wauquiez, est sommé de s’expliquer sur les subventions versées à une association en charge de la répartition des migrants, ainsi que sur la présence de son directeur général parmi les élus de la majorité.
A première vue, tout les oppose. D’un côté, Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne Rhône Alpes. De l’autre, Viltaïs, association désignée comme partenaire des acteurs publics locaux dans le projet de répartition des migrants sur le territoire français. Figure totem de la droite, le premier nommé trace son bout de chemin à la tête de la région depuis 2016, le regard tourné vers l’Élysée. L’association s’est quant à elle fait un nom, depuis que les habitants du petit village de Bélâbre, dans l’Indre, se sont insurgés contre son projet d’implantation d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile. La médiatisation de l’association a fini par jeter une lumière crue sur ses ramifications politiques, à mesure que la grogne s’amplifiait. Soutien actif des villageois, le médiatique avocat Pierre Gentillet révélait récemment les liens troubles entretenus entre la région Auvergne-Rhône-Alpes et le directeur général de Viltaïs, Yannick Lucot, par ailleurs élu de la majorité LR au sein de la région.
Le nouveau PLU de Paris consacre la part belle aux logements sociaux, alerte Catherine Lécuyer, conseillère divers droite du VIIIe arrondissement. Selon elle, ce plan impose notamment à plusieurs écoles privées catholiques de transformer une partie de leurs bâtiments en HLM.
Les Parisiens ont de plus en plus de difficultés à vivre et à travailler à Paris. Principal document réglementaire et stratégique de planification de l’urbanisme et d’aménagement du territoire, l’actuel PLU est en cours de révision avant une adoption définitive fin 2024. Ses enjeux sont majeurs : logement, économie, mobilité, environnement, patrimoine, etc. Mais au terme de l’étape de l’enquête publique, le projet de futur PLU ne va pas dans le sens d’une amélioration du cadre et de la qualité de vie des Parisiens. Avec la collectivisation des logements, la décroissance économique, la densification à outrance, il poursuit sur la voie sans issue d’un urbanisme qui a déjà contribué à la fuite de plus de 125.000 habitants en à peine 10 ans.
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