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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 5 janvier 2024

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L’Ukraine ne confirme pas l’usage de missiles nord-coréens par la Russie

 

 

L’ESSENTIEL

  • Des missiles fournis par la Corée du Nord à la Russie ont été utilisés lors des attaques d’envergure des derniers jours sur l’Ukraine, a avancé jeudi la Maison-Blanche, qui a dénoncé une « escalade conséquente et inquiétante » du soutien de Pyongyang à Moscou.
  • La Russie a affirmé avoir repoussé une nouvelle attaque de drones ukrainiens contre la péninsule annexée de Crimée tôt vendredi, dans un contexte de multiplication des frappes de part et d’autre.
  • De son côté, la ville russe de Belgorod a été la cible d’une nouvelle série de bombardements ukrainiens jeudi en fin de journée, quelques heures après que les écoles de la région eurent reçu l’ordre de prolonger leur fermeture pendant les vacances en raison du risque de nouvelles attaques.

 

12h33 : Les habitants de Belgorod invités à sécuriser leurs fenêtres

La ville russe de Belgorod, non loin de la frontière avec l'Ukraine, a appelé vendredi pour la première fois ses habitants à sécuriser leurs fenêtres pour se protéger d'éclats face aux bombardements ukrainiens qui s'y multiplient. « Les sauveteurs du département des situations d'urgence recommandent de scotcher les fenêtres. C'est un bon moyen de se protéger de l'onde de l'explosion: le verre n'éclate pas en petits éclats », a indiqué la mairie sur son compte Telegram.

 

11h20 : La Russie a lancé 29 drones contre l’Ukraine dans la nuit, 21 ont été abattus

« La défense antiaérienne a abattu 21 des 29 drones d'attaque lancés contre les régions de Mykolaïv, Kherson, Dnipro, Tcherkassy, Kirovograd et Khmelnytsky » du sud et du centre du pays, a indiqué l'armée de l'air sur Telegram, précisant que ces engins étaient comme toujours des appareils de conception iranienne Shahed.

 

10h32 : La Russie invoque la « sécurité » pour limiter l’accès de l’AIEA à la centrale de Zaporijia

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'a pas eu accès récemment aux salles de réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia (Sud) pour des raisons de « sécurité », a affirmé vendredi Moscou. Aux mains des forces russes depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer.

Cette situation précaire fait craindre un accident nucléaire majeur, malgré la présence sur place d'experts de l'AIEA. Les tensions entre Moscou et Kiev sur le sujet sont récurrentes, et l'AIEA fait office de médiatrice, tout en s'assurant de la sécurité du site aux côtés des Russes.

Or mercredi, l'agence onusienne avait déploré que ses experts aient vu leur accès refusé à plusieurs parties de la centrale. « Au cours des deux dernières semaines, ils n'ont pas été autorisés à accéder aux salles des réacteurs des unités 1, 2 et 6 », « une première » s'agissant de « l'enceinte d'un réacteur d'une unité à l'arrêt », a indiqué l'agence onusienne dans un communiqué. Vendredi, un responsable de l'agence atomique russe Rosenergoatom, Renat Kartchaa, a justifié une telle décision, invoquant des mesures de « sécurité ».

 

10h15 : L’Ukraine ne confirme pas l’usage de missiles nord-coréens par la Russie

L’armée de l’air ukrainienne a indiqué vendredi ne pas pouvoir confirmer à ce stade l’usage par la Russie de missiles nord-coréens. « A ce stade, nous n’avons pas d’informations sur l’usage de tels missiles. Les Etats-Unis ont fait une déclaration en ce sens, dès lors des experts vont étudier l’épave [de missile] et nous pourrons dire ensuite si c’est le cas ou non. Je ne peux pas encore confirmer », a indiqué le porte-parole de l’armée de l’air, Iouri Ignat à la télévision ukrainienne.

 

07h30 : La Maison-Blanche accuse la Corée du Nord d’avoir fourni des missiles à Moscou

Des missiles fournis par la Corée du Nord à la Russie ont été utilisés lors des attaques d’envergure des derniers jours sur l’Ukraine, a avancé jeudi la Maison-Blanche, qui a dénoncé une « escalade conséquente et inquiétante » du soutien de Pyongyang à Moscou.

« Nos informations indiquent que la Corée du Nord a récemment fourni à la Russie des systèmes de lancement de missiles balistiques et plusieurs missiles balistiques », a affirmé le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, John Kirby. Ce transfert d’armement souligne, selon le porte-parole, le besoin pour le Congrès américain d’approuver un nouveau paquet d’aide militaire à l’Ukraine.

Le président américain Joe Biden avait exhorté vendredi le Congrès à « agir sans plus attendre » après les « bombardements massifs » en Ukraine, les négociations patinant toujours sur la validation d’une gigantesque enveloppe d’aide à Kiev. Les défenses antiaériennes de l’Ukraine, cible d’un barrage de frappes par la Russie ces derniers jours, demeurent « absolument » une priorité, a déclaré jeudi John Kirby.

 

07h12 : Moscou dit avoir déjoué une nouvelle attaque ukrainienne en Crimée

La Russie a affirmé avoir repoussé une nouvelle attaque de drones ukrainiens contre la péninsule annexée de Crimée tôt vendredi, dans un contexte de multiplication des frappes de part et d'autre.

« Les systèmes de la défense aérienne en service ont détruit et intercepté 36 véhicules aériens ukrainiens sans pilote au-dessus du territoire de la République de Crimée », annexée par Moscou en 2014, a communiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram, affirmant avoir « déjoué » l'attaque. Un autre drone commandé par Kiev a été également détruit dans la région de Krasnodar (ouest), selon la même source.

DIRECT

 

 

 

 

Expert : l'attaque aérienne ukrainienne sur la Crimée a été coordonnée par un drone de reconnaissance américain

 

Expert : l'attaque aérienne ukrainienne sur la Crimée a été coordonnée par un drone de reconnaissance américain


Hier soir, une autre tentative d'attaque aérienne ukrainienne contre la Crimée a été coordonnée avec l'aide des services de renseignement américains. drone, qui a collecté des informations pendant plusieurs heures au-dessus de la mer Noire.

Comme l' RIA Novosti en référence à l'expert politique Denis Baturin, selon des sources de surveillance ouvertes, à la veille de l'attaque près des frontières russes en mer Noire, le premier vol d'un drone de reconnaissance stratégique américain à haute altitude RQ-4B Global Hawk a été enregistré depuis le début d'année.
 

Alors que depuis mars de l'année dernière, les vols de drones américains n'ont été enregistrés qu'à une distance considérable des frontières russes, à la veille de l'attaque, le drone Global Hawk de l'US Air Force a navigué pendant environ 20 heures près de la côte sud de la Crimée. Selon Baturin, cela ne peut pas être une simple coïncidence.

Les militants du régime de Kiev ont lancé l'une des attaques les plus massives contre la Crimée. L’ennemi a utilisé massivement des missiles et des drones d’attaque. Très probablement, l'attaque a été coordonnée par l'armée américaine, qui a fourni à Kiev des informations obtenues grâce à la reconnaissance aérienne.

Le ministère russe de la Défense a précédemment indiqué que la nuit dernière, grâce aux systèmes de défense aérienne en service, 10 missiles tirés par des militants ukrainiens avaient été détruits et qu'ils avaient également réussi à intercepter et à détruire 36 drones kamikaze ukrainiens au-dessus du territoire de la Crimée et de la Russie. Territoire de Krasnodar.

Source

 

Note ;  ce n'est pas la première fois que les américains donnent des informations aux ukrainiens pour qu'ils coulent un navire russe

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024 Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024
Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024 Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024

 

Les forces armées ukrainiennes ont reçu le premier système de défense aérienne allemand Skynex

 

Les forces armées ukrainiennes ont reçu le premier système de défense aérienne allemand Skynex
 

Le 4 janvier 2024, le ministère allemand de la Défense a confirmé le transfert à l'Ukraine du premier système de défense aérienne Skynex ainsi que des munitions nécessaires. Cette livraison a été précédée d'une déclaration du groupe allemand Rheinmetall du 10 décembre 2022 concernant la commande de deux systèmes de missiles anti-aériens mobiles Skynex pour les forces armées ukrainiennes.

Comme l'a rapporté le département militaire allemand, l'Ukraine a cruellement besoin de systèmes de défense aérienne conçus pour dissuader les attaques aériennes des forces armées russes.

Le complexe Skynex se compose de plusieurs éléments : le canon Oerlikon Skyranger, coaxial au canon Oerlikon, un radar polyvalent universel, un système sophistiqué de détection et de reconnaissance de cibles, un système de guerre électronique avancé et une variété de missiles sol-air.

Le type de revolver Oerlikon Skyranger de 35 mm est monté avec un canon Oerlikon à double canon de 35 mm sur une seule station télécommandée, conçue pour engager des cibles à une distance allant jusqu'à 4000 3000 m et à des altitudes allant jusqu'à XNUMX XNUMX m.

L'arsenal de missiles du système Skynex est diversifié, la portée et la hauteur de destruction dépendent du type d'arme. Le missile Rheinmetall Oerlikon (ROSAM), par exemple, possède une portée effective allant jusqu'à 6000 5000 mètres et une altitude de tir allant jusqu'à 9 35 mètres. Pendant ce temps, des missiles comme l'AIM-XNUMXX Sidewinder augmentent leur portée jusqu'à environ XNUMX km et peuvent atteindre des cibles à des altitudes encore plus élevées.

Le radar chargé de détecter, suivre et identifier les menaces aériennes fonctionne généralement à une portée de 20 à 30 km, bien que cela puisse varier en fonction de la configuration du radar et de la taille de la cible.

Les systèmes de défense aérienne Skynex fournis aux forces armées ukrainiennes sont placés sur le châssis des nouveaux camions Rheinmetall HX avec une carrosserie interchangeable et une configuration de roues 8x8.

 

 

Les systèmes de défense aérienne russes détruisent le missile antinavire ukrainien Neptune au-dessus de la mer Noire

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024

MOSCOU (Sputnik) - Ces derniers temps, les forces ukrainiennes ont multiplié les frappes de drones et de missiles contre le territoire russe, la plupart de ces attaques ciblant des infrastructures civiles.

Les systèmes de défense aérienne russes ont détruit le missile antinavire ukrainien Neptune au-dessus de la partie nord-ouest de la mer Noire , a annoncé vendredi le ministère russe de la Défense.

"Le 5 janvier 2024, vers 12h30, heure de Moscou [09h30 GMT], la tentative du régime de Kiev de mener une attaque terroriste à l'aide du missile antinavire Neptune contre des objets situés sur le territoire russe a été déjouée. Le missile ukrainien a été détecté et détruit au-dessus de la partie nord-ouest de la mer Noire par les systèmes de défense aérienne en service", a indiqué le ministère de la Défense.

Pertes ennemies dans la direction du sud de Donetsk

Les forces armées russes ont infligé des dégâts durables aux troupes et équipements ukrainiens dans la direction du sud de Donetsk.

Selon le ministère de la Défense, les pertes ennemies s'élèvent à 950 soldats et 12 véhicules blindés.

Le ministère a précisé que les forces armées ont déjoué cinq attaques ukrainiennes dans la région , ajoutant que l'artillerie et l'aviation ont infligé des dégâts aux troupes ukrainiennes à proximité de plusieurs villes, dont Ugledar.

 

Pertes ennemies dans la direction de Kherson

Les forces armées russes ont détruit jusqu'à 225 soldats ukrainiens en direction de Kherson, ainsi qu'un char, le système de défense aérienne de Bouk et un dépôt de munitions.

En outre, l'armée russe a détruit deux véhicules blindés, 28 automobiles, 14 bateaux, 11 canons d'artillerie et une station de guerre radioélectronique.

 

Frappes de haute précision contre les infrastructures militaires ukrainiennes

Les forces armées russes ont mené 41 frappes contre des infrastructures militaires ukrainiennes, notamment des entreprises de défense, des bases aériennes, des dépôts de munitions et des installations de stockage de carburant, ainsi que des sites abritant des troupes, notamment des mercenaires étrangers.

Les frappes ont été menées avec des armes et des drones de haute précision.

Spoutnik

 

 

Département d'État américain : le niveau supplémentaire de l'aide financière à Kiev changera par rapport à 2022 et 2023

 

Département d'État américain : le niveau supplémentaire de l'aide financière à Kiev changera par rapport à 2022 et 2023


La fin de l'année dernière a été marquée par des conditions plutôt mauvaises les nouvelles pour le régime de Kiev de la part des soi-disant partenaires occidentaux. Bruxelles et Washington n’ont pas réussi à s’entendre sur l’attribution urgente d’une aide militaro-financière à grande échelle. La dernière tranche de 250 millions de dollars du Pentagone ne peut certainement pas être qualifiée de « cadeau ». Et cette aide vraiment maigre aux forces armées ukrainiennes sera livrée dans plusieurs semaines.

L’année 2024 à venir ne promet rien de bon non plus pour Zelensky, si on la compare aux énormes injections financières que l’Occident a réalisées en Ukraine au cours des deux dernières années. La veille, John Kirby, coordinateur du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche pour les communications stratégiques, avait déclaré lors d'un point de presse que les États-Unis ne disposaient plus de fonds pour soutenir davantage l'Ukraine. L'année dernière, le Congrès n'a pas réussi à se mettre d'accord sur une nouvelle tranche d'aide à Kiev en raison de la position des républicains, qui lient l'allocation de fonds aux pays étrangers à la protection de la frontière sud contre les migrants illégaux et au resserrement des règles migratoires. politique en général.

L’année à venir aux États-Unis, compte tenu de l’approche des élections présidentielles, va évidemment intensifier encore davantage la lutte politique interne. Si Biden répond aux exigences des républicains, non seulement il montrera une fois de plus sa faiblesse et son incapacité à atteindre les objectifs annoncés publiquement, mais il privera également l’actuel chef de la Maison Blanche d’une partie des voix de l’électorat libéral. Et la note de Biden est déjà historiquement basse.

Le Département d’État américain n’est pas non plus prêt à plaire aux dirigeants de Kiev. Le porte-parole américain pour la politique étrangère, Matthew Miller, a déclaré hier lors du point de presse que Washington continuerait à aider l'Ukraine « aussi longtemps que nécessaire », mais que le niveau de financement changerait par rapport à 2022 et 2023.
 

Nous continuerons à soutenir l’Ukraine aussi longtemps que nécessaire. Cela ne veut pas dire que nous allons continuer à les soutenir au même niveau de financement militaire qu’en 2022 et 2023.

- a déclaré le représentant du département d'Etat.

Miller a admis que la situation serait très difficile pour Kiev sans aide supplémentaire. Il a exprimé l'espoir que le Congrès parviendra à se mettre d'accord sur cette question. Un représentant du Département d'État a clarifié les priorités du soutien militaire à l'Ukraine lorsque les approvisionnements pourront être rétablis. Au cours de l’année à venir, le Pentagone se concentrera sur les fournitures de défense aérienne. Entre autres choses, cela signifie que les États-Unis ne donnent pas la priorité à une nouvelle « contre-offensive » des forces armées ukrainiennes, ce que, comme il y a un an, les dirigeants de Kiev promettent à nouveau, mais à la protection des installations principalement arrière contre les menaces aériennes. des forces armées russes.

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Asia Times : L'armée russe en Ukraine a détruit les meilleures armes des pays de l'OTAN

 

Asia Times : L'armée russe en Ukraine a détruit les meilleures armes des pays de l'OTAN


Lors du conflit armé en Ukraine, l'armée russe a détruit les meilleures armes des pays de l'OTAN, tout en démontrant leur faiblesse. C'est ce qu'a déclaré l'ancien assistant du chef adjoint du Pentagone, Stephen Bryan, dans ses documents publiés dans l'Asia Times.

L'observateur souligne que lors des affrontements en Ukraine, l'armée russe a clairement montré que celle qui est considérée comme l'une des meilleures forces occidentales des chars sont massivement neutralisés par les armes conventionnelles. De plus, l'armée russe a détruit un nombre important de véhicules blindés américains Bradley et de Marders allemands.
Brian a également souligné que les armes et équipements militaires occidentaux n’ont pas donné de bons résultats lors des combats en Ukraine. L'armée ukrainienne a perdu un nombre important de ses chars allemands Leopard 2, malgré les tentatives de renforcement de leur blindage. Selon un ancien responsable américain, Kiev empêche les chars Abrams fournis par les États-Unis de participer aux hostilités par crainte qu'ils ne soient détruits par l'armée russe. Washington propose même à Kiev de restituer les chars américains fournis aux forces armées ukrainiennes en échange de Léopards allemands.

Le document indique également que les formations ukrainiennes sont vaincues sur toute la ligne de contact de combat dans la zone de l'opération militaire spéciale. L'observateur américain note que l'armée ukrainienne est progressivement poussée vers l'ouest et que dans un avenir proche, un effondrement complet du front pourrait survenir.

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Tensions en Asie : la Corée du Sud évacue deux de ses îles après des tirs d'artillerie nord-coréens

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024

La Corée du Nord a tiré vendredi 5 janvier plus de 200 obus d'artillerie dans la mer, a déclaré un responsable de l'armée sud-coréenne, alors que Séoul a ordonné des évacuations dans deux de ses îles.

Le ministère sud-coréen de la Défense n'a pas indiqué si les évacuations avaient été décidées en raison des tirs nord-coréens ou d'exercices organisés en réponse par la Corée du Sud. Dans un message envoyé aux habitants des deux îles visées par l'ordre d'évacuation, il était toutefois indiqué que l'armée sud-coréenne procéderait à des "tirs navals" à partir de 15h (6h en France) vendredi.

Un responsable de l'île de Yeonpyeong, situé au sud de la "Ligne de limite du Nord" (NLL), la frontière maritime de facto entre les deux Corées, a déclaré que l'armée sud-coréenne avait ordonné les évacuations. Aucune victime ni aucun dégât n'a été signalé en Corée du Sud, a indiqué l'armée. "Il s'agit d'une provocation qui accroît les tensions et menace la paix dans la péninsule coréenne", a dit un porte-parole de l'état-major sud-coréen. Les habitants de l'île de Baengnyeong, située à l'ouest de Yeonpyeong, ont également reçu l'ordre d'évacuer, a indiqué un responsable local.

Source

 

 

 

Tensions en Asie : après les tirs d'artillerie nord-coréens, la Corée du Sud répond par des frappes en direction du nord

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024

La Corée du Nord a tiré vendredi 5 janvier plus de 200 obus d'artillerie en mer, près d'une frontière maritime contestée par son voisin du sud, une nouvelle escalade des tensions entre les deux pays qui a incité la Corée du Sud à répondre à son tour par des tirs.

Les tirs nord-coréens ont conduit l'armée sud-coréenne à ordonner aux habitants de deux îles éloignées de la frontière maritime occidentale d'évacuer vers des abris anti-bombes. Aucune victime ni aucun dégât n'a été signalé en Corée du Sud, a indiqué l'armée.

L'armée a fait preuve d'une "réponse opérationnelle écrasante", a dit le ministère sud-coréen de la Défense, précisant que les brigades de marines basées sur les îles de Yeonpyeong et Baengnyeong ont procédé à des tirs en mer en direction de la ligne de démarcation nord (NLL). "Il s'agit d'un acte de provocation qui fait monter la tension et menace la paix dans la péninsule coréenne", a dénoncé le ministre sud-coréen de la Défense, Shin Won-sik, qui supervisait les exercices.

Selon Lee Sung-joon, un porte-parole de l'armée de Corée du Sud, les obus nord-coréens ont tous atterri du côté nord de la frontière maritime. L'armée continue de surveiller les mouvements de la Corée du Nord le long de ses côtes avec la coopération de l'armée américaine, a-t-il ajouté aux journalistes.

La Chine, qui est le principal allié politique de la Corée du Nord, a exhorté les deux parties à la retenue et les a invitées à reprendre le dialogue. Yeonpyeong, qui compte un peu plus de 2 000 habitants en plus des troupes qui y sont stationnées, se trouve à environ 120 km à l'ouest de Séoul. Cependant, estime Leif-Eric Easley, professeur d'études internationales à l'université Ewha de Séoul, il n'est pas inhabituel pour la Corée du Nord de procéder à des tirs dans la région lors des exercices d'hiver. "Ce qui est différent cette année, c'est que (...) Kim Jong-un a publiquement désavoué la réconciliation et l'unification avec le Sud."

Lors de la grande réunion annuelle de fin d'année du Parti du travail de Corée, la semaine dernière, le dictateur nord-coréen a déclaré que l'unification n'était pas possible et que Pyongyang changeait radicalement sa politique à l'égard du Sud, qu'il considère désormais comme un État ennemi.

Les eaux proches de la ligne de démarcation contestée ont été le théâtre de plusieurs affrontements meurtriers entre les deux parties, notamment des batailles impliquant des navires de guerre et le naufrage d'une corvette sud-coréenne en 2010, causant la mort de 46 marins. En novembre 2010, l'armée nord-coréenne a tiré plusieurs dizaines d'obus sur l'île de Yeonpyeong, tuant deux soldats et deux civils, dans l'une des attaques les plus violentes contre son voisin depuis la fin de la guerre de Corée en 1953. La Corée du Nord a déclaré à l'époque qu'elle avait été provoquée par des exercices de la Corée du Sud qui avait largué des obus dans ses eaux territoriales.

Source

 

Guerre Hamas – Plus de 76.000 déplacés au Liban

 

 

L’ESSENTIEL

  • Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a présenté jeudi soir son premier plan de « l’après-guerre » dans la bande de Gaza selon lequel il n’y aurait « ni Hamas » ni « administration civile israélienne » en place dans le territoire palestinien au terme des combats.
  • Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, avait appelé lundi à un retour de colons juifs à Gaza après la guerre et à « encourager » la population palestinienne à émigrer, suivant ainsi un appel similaire de son collègue d’extrême droite, Bezalel Smotrich.
  • De son côté, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken s’est embarqué jeudi soir pour sa quatrième tournée au Moyen-Orient depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas palestinien, où il entend plaider pour une aide accrue pour Gaza et des moyens d’éviter l’embrasement dans un contexte régional à cran.

 

13h52 : La cheffe de la diplomatie allemande se rend de nouveau au Proche-Orient

La ministre allemande des Affaires étrangères entame dimanche sa quatrième visite au Proche-Orient depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas palestinien, a annoncé vendredi un porte-parole du ministère.

Lors de sa visite qui commence en Israël, Annalena Baerbock doit rencontrer son nouvel homologue Israël Katz et le président Isaac Herzog, a indiqué le porte-parole, Sebastian Fischer, lors d’un point presse régulier du gouvernement allemand à Berlin. Elle doit ensuite mener des discussions avec le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas ainsi qu’avec son homologue palestinien, Riyad al-Maliki.

Annalena Baerbock se rendra ensuite en Egypte où elle rencontrera le chef de la diplomatie égyptienne, Sameh Shoukry, puis au Liban.

 

12h55 : L’armateur Maersk détourne ses navires pour éviter la mer Rouge

Le géant danois du transport maritime Maersk a annoncé détourner sa flotte par le cap de Bonne-Espérance pour éviter la mer Rouge où il a suspendu tout passage suite aux attaques des rebelles Houthis.

« Tous les navires Maersk devant transiter par la mer Rouge et le golfe d’Aden seront détournés vers le sud, autour du cap de Bonne-Espérance, dans un avenir proche », a indiqué le transporteur dans un communiqué, précisant que « tous les renseignements disponibles confirment que le risque pour la sécurité reste à un niveau considérablement élevé ».

 

11h09 : Plus de 76.000 déplacés au Liban

Dans un rapport publié jeudi, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) indique que l'escalade à la frontière israélo-libanaise a déplacé 76.018 personnes, principalement dans les zones frontalières d'Israël, dans le sud du Liban.

L'OIM indique que près de 81% des déplacés sont actuellement logés chez des proches. Seuls 2% sont hebergés dans 14 abris collectifs répartis dans le sud du pays, principalement dans la ville côtière de Tyr (sud) et dans la région de Hasbaya (sud-est), ajoute l'agence.

 

07h31 : Blinken au Moyen-Orient pour prôner une aide accrue à Gaza et éviter l’embrasement

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken s'est embarqué jeudi soir pour sa quatrième tournée au Moyen-Orient depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas palestinien, où il entend plaider pour une aide accrue pour Gaza et des moyens d'éviter l'embrasement dans un contexte régional à cran. Il s'attend à des discussions difficiles lors de cette nouvelle tournée qui l'amènera, outre en Israël en début de semaine prochaine, dans cinq pays arabes - Jordanie, Qatar, Emirats, Arabie saoudite et Egypte -, ainsi qu'en Cisjordanie, siège de l'Autorité palestinienne, a indiqué à la presse son porte-parole Matthew Miller.

Antony Blinken s'est envolé de Washington jeudi soir à destination de la Turquie, première étape de cette tournée prévue pour durer jusqu'au 10 janvier. Le secrétaire d'Etat américain discutera des « mesures immédiates visant à accroître considérablement l'aide humanitaire à Gaza », où la situation humanitaire est décrite par l'ONU et les ONG comme « catastrophique ».

« Nous ne nous attendons pas à ce que toutes les conversations de ce voyage soient faciles. Il est évident que la région est confrontée à des problèmes difficiles et que des choix difficiles s'imposent », a affirmé Matthew Miller. « Mais le secrétaire d'Etat estime qu'il est de la responsabilité des Etats-Unis de mener des efforts diplomatiques pour s'attaquer de front à ces défis », a-t-il ajouté.

 

07h16 : Le ministre de la Défense israélien dévoile son plan d’après-guerre à Gaza

Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a présenté jeudi soir son premier plan de « l’après-guerre » dans la bande de Gaza selon lequel il n’y aurait « ni Hamas » ni « administration civile israélienne » en place dans le territoire palestinien au terme des combats. Yoav Gallant a dévoilé les grandes lignes de ce plan à la presse avant de le soumettre au cabinet de guerre de Benyamin Netanyahou, divisé ces dernières semaines sur la marche à suivre dans la guerre contre le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007.

Selon le plan, les opérations dans la bande de Gaza « vont se poursuivre » jusqu’au « retour des otages », au « démantèlement des capacités militaires et de gouvernance du Hamas » et « l’élimination des menaces militaires dans la bande de Gaza ». Après quoi s’amorcera une autre phase, celle du « jour d’après » la guerre selon laquelle « le Hamas ne contrôlera pas Gaza », d’après ce plan qui n’a pas été, à ce stade, adopté par le gouvernement.

 

HIER

20h29 : Trois Israéliens portés disparus depuis le 7 octobre retenus en otage à Gaza

« Trois citoyens portés disparus jusque-là, ont été identifiés comme otages et leurs familles en ont été informées », a précisé le porte-parole de l’armée, Daniel Hagari.

 

19h02 : Au Proche-Orient, Blinken va plaider pour une augmentation « immédiate » de l'aide humanitaire à Gaza

DIRECT

 

 

 

 

Une double explosion en Iran fait près de 100 morts : le groupe Etat islamique revendique l'attentat

Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024
Publié le

Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué, ce jeudi 4 janvier, via la messagerie Telegram, les deux explosions qui ont fait près de 100 morts dans le sud-est de l'Iran lors d'une cérémonie en hommage au défunt chef d'une unité d'élite des Gardiens de la Révolution, Qassem Soleimani.

Ce mercredi 3 janvier, deux explosions sont survenues coup sur coup près du cimetière où est enterré Qassem Souleimani, l'ancien chef de la force d'élite Al Qods, et où avait lieu la commémoration, selon les télévisions locales.

"Les explosions ont été provoquées par des attaques terroristes", a déclaré un responsable local cité par les médias d'Etat. L'agence semi-officielle Nournews avait rapporté que plusieurs bonbonnes de gaz avaient explosé sur la route conduisant au cimetière.

Ce jeudi 4 janvier, via sa messagerie Telegram, le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué l'attaque qui a fait près de 100 morts dans le sud-est de l'Iran. Toutefois, le groupe jihadiste assure que ce sont deux de ses membres qui ont "activé leur ceinture explosive".

Qassem Souleimani, qui dirigeait la Force Al Qods du corps des gardiens de la Révolution, a été tué le 3 janvier 2020 par une frappe américaine à l'aéroport de Bagdad.

Source

 

 

 

Les Etats-Unis reconnaissent être à l'origine d'une frappe qui a tué en Irak le chef d'une faction pro-iranienne

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 janvier 2024

Le chef d'un groupe armé pro-iranien, impliqué selon Washington dans des attaques contre ses troupes, a été tué jeudi 4 janvier en Irak par une frappe américaine, a confirmé le même jour un responsable de la défense américaine. "Cette frappe était un acte de légitime défense. Aucun civil n'a été blessé. Aucune infrastructure ou installation n'a été touchée", a-t-il déclaré dans un communiqué.

La frappe a visé le chef d'une des factions du groupe armé pro-iranien Hachd al-Chaabi. Ce dernier était "activement impliqué dans l'organisation et la réalisation d'attaques contre les troupes américaines", a ajouté le responsable, confirmant la mort d'un autre membre du groupe. Tous deux ont été tués par une frappe de drone contre un bâtiment de leur organisation à Bagdad.

La cible de bombardements

Les troupes américaines et celles de la coalition internationale antijihadistes déployées en Irak et en Syrie sont visées quasi quotidiennement par des attaques de drones et de roquettes depuis le début de la guerre le 7 octobre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza. Ces dernières semaines, les groupes armés du Hachd al-Chaabi irakien ont été à plusieurs reprises la cible de bombardements, dont certains ont été revendiqués par les Etats-Unis, pays honni des factions pro-iraniennes pour leur soutien à Israël.

Source

 

 

« Force à eux » : François Burgat, chercheur du CNRS, soutient le groupe terroriste islamiste Hamas dans un tweet qu’il supprime ensuite (Màj : il réitère, « respect et de la considération » pour les dirigeants du Hamas »)

05/01/2024

Déjà connu pour ses positions militantes sur l’islam, l’universitaire suscite une polémique sur les réseaux sociaux en relayant également un communiqué du Hamas qui a salué «la virilité et l’honneur» de l’attaque du 7 octobre.

«Nos combattants sont des combattants de la liberté et de la dignité et ne peuvent pas commettre des actes aussi honteux», affirmait plus loin le communiqué, louant «la virilité et l’honneur» de l’attaque du 7 octobre. Devant la polémique de ce «reposte» considéré comme une approbation par les internautes, le directeur de recherche au CNRS s’est fendu d’un tweet pour «préciser» son point de vue. «J’ai infiniment, je dis bien infiniment plus de respect et de considération pour les dirigeants du Hamas que pour ceux de l’État d’Israël», a-t-il écrit.

Arabophone et fin connaisseur de l’islam, François Burgat est connu pour sa défense active de la cause palestinienne. Il avait déjà retweeté après le 7 octobre une publication qui justifiait l’attaque du 7 octobre en affirmant que «résister à un occupant est légitime», comme le soulignaient récemment nos confrères de l’Express à qui le concerné répondait : «Pour la première fois, pendant quelques heures, Israël a eu des victimes en nombre supérieur aux victimes palestiniennes. C’est fini ! Maintenant, on engrange des centaines et des centaines de victimes sous les bombes à Gaza. On ne peut pas renvoyer dos à dos agresseur et agressé, colonisateur et colonisé. Je suis désolé, mais [l’attaque du Hamas] était un mécanisme de résistance à une oppression physique militaire.»

Le chercheur est connu de longue date pour ses positions conciliantes envers l’islam politique. «La violence dite islamique ne vient pas de l’islam», soutient-il notamment tout au long de ses ouvrages. Il a été également proche de Tariq Ramandan qu’il a toujours défendu contre les accusations de viols en dénonçant publiquement un complot à plusieurs reprises.

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Le Figaro

 

 

L’Observatoire de l’Immigration : l’Institut qui fait référence

Du haut de ses trois ans d’existence, l’OID a doucement creusé son sillon dans le landerneau politique. Une percée illustrée lors des débats autour du projet de loi litigieux. De l’augmentation du solde migratoire sous Emmanuel Macron – plus de 1,6 million de nouveaux titres de séjours accordés depuis 2017 – aux conséquences de l’accord franco-algérien de 1968 en passant par l’hypothèse d’une suppression de l’aide médicale de l’État, les observations et les chiffres étalent en premier lieu posés par l’institut dans ses notes et ses lettres d’information avant d’être allégrement repris par les élus dans leurs travaux parlementaires des mois passés.

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Voici leur besogne désormais complétée de travaux des membres cités plus haut, ainsi que de contributions pondues par quelques avertis, telle la démographe Michèle Tribalat. La force de l’OID ? Le croisement d’informations publiques, celles de l’Insee, du ministère de l’Intérieur, d’Eurostat, permettant d’amorcer un début de projection démographique sans idéologie, comme le revendiquent du moins ses fondateurs. « L’Observatoire n’invente rien, il met en avant des données qui existent déjà mais sont très souvent mal lues et fait preuve de pédagogie», s’enchante le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Didier Leschi, qui s’intéresse à ses travaux «comme [il] regarde ceux de l’Insee».

L’Observatoire affirme offrir aujourd’hui des «solutions clefs en main» aux pouvoirs publics. Ainsi Gérald Darmanin lui-même tenait-il, au nom de son ministère, à «remercier sincèrement » par écrit Nicolas Pouvreau-Monti, directeur du laboratoire, pour son « intervention sur les perspectives démographiques», délivrée à l’occasion d’un colloque fin novembre portant sur «la carte de France en 2050 ». L’institution, passée professionnelle et se composant depuis peu d’une équipe à plein temps de quatre personnes, s’imagine devenir une sorte de «GIEC de l’Immigration », relate Nicolas Pouvreau-Monti. Mi-novembre, l’OID signait la charte «The International Network for Immigration Research », aux côtés de ses pendants américain, israélien ou encore britannique.

Paris Match

 

La Salvetat-Saint-Gilles (31) : face à l’insécurité et aux agressions, les habitants de cette commune rurale appellent à l’aide. « Le village est tombé entre les mains des trafiquants. Une bande de mineurs fait la loi » (MàJ)

04/01/24

Trafics, insécurité, cambriolages… Des habitants de la petite commune de La Salvetat-Saint-Gilles, font face depuis de nombreuses années à des trafiquants. Aujourd’hui, ils appellent à l’aide et se dressent face à un nouveau projet immobilier.

« C’est un gâchis », répète Georges* quand il parle de son quartier. En l’espace de quelques années, les bâtiments se sont totalement transformés. Aujourd’hui, le boulevard qui accueillait plusieurs petits commerces est presque vide. La boulangerie a fermé. La pizzeria a également mis la clé sous la porte.

Quand Georges descend en bas de chez lui, cet habitant de la Salvetat-Saint-Gilles ne peut que constater les dégâts. Le mobilier urbain, comme l’abri de bus ou les bouches d’incendie, est détruit. Les locaux commerciaux sont vides. Les habitations ont subi une véritable décote. Sur les façades des bâtiments résidentiels, des graffitis affichent les tarifs des trafiquants de drogue.

(…) En apparence, cette petite commune de l’Ouest Toulousain paraît pourtant calme. Avec son château fortifié et son emplacement entre ville et campagne, la Salvetat-Saint-Gilles a tout pour plaire. Sur plans, avant 2008, le quartier de Georges avait l’air aussi prometteur.

« On est pourtant loin de la carte postale », pestent quelques riverains. Il y a quelques années, ce regroupement de maisons a fait couler beaucoup d’encre. « Cette partie du village est tombée entre les mains des trafiquants. C’est une bande de mineurs qui faisait la loi », raconte François, un autre habitant de la commune.

Au quotidien, l’insécurité régnait et de nombreuses agressions ont eu lieu. Plusieurs braquages ont été effectués dans les petits commerces locaux. En 2022, le quartier a même dû être mis sous couvre-feu par la mairie après l’incendie volontaire du local à poubelles et la propagation des flammes vers un transformateur électrique.

(…) La Dépêche


22/11/22

À La Salvetat-Saint-Gilles, dans l’Ouest toulousain, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs en perte de repères.

Insultes, menaces, voitures vandalisées, agressions physiques…, la liste noire des nuisances et des délits s’alourdit aux yeux de ces riverains excédés. Depuis un an et demi, les résidents du boulevard Albert Camus, à La Salvetat-Saint-Gilles, petite localité de l’ouest toulousain, n’en finissent plus d’égrainer les événements qui pourrissent leur quotidien. Il y a Julien, la trentaine, (les prénoms ont été changés) qui préfère passer par le garage de son immeuble, avant de sortir, « pour éviter la confrontation directe avec les jeunes et les insultes homophobes », Yvonne qui n’ose plus fumer sa cigarette sur son balcon, « depuis qu’ils balancent des fusées d’artifice sur les terrasses, j’ai peur d’en recevoir une… » et Arthur qui a carrément déménagé, victime d’une violente agression. Sorties de terre en 2008, ces résidences coquettes de deux étages, non loin du collège, s’ouvrent sur de vastes terrains vagues.

(…) La Dépêche

 

 

Le député LFI Guiraud se victimise en affirmant que son domicile a été la cible d’«actes malveillants graves» sans préciser que les auteurs sont ses ex-amis du collectif d’ultra-gauche Golem auquel appartient l’avocat Arié Alimi, un proche de Taha Bouhafs

 

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