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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 15 janvier 2024

 

 

 

 

 

Tensions en Asie - élection présidentielle à Taïwan : les diplomates chinois condamnent les messages de félicitations après la victoire du parti démocrate progressiste

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2024

Le ministère chinois des Affaires étrangères et les ambassades de Chine à travers le monde ont mis en garde ce week-end les pays désireux de soutenir le Parti démocrate progressiste (DPP) au pouvoir à Taïwan et condamné les gouvernements étrangers qui ont félicité son nouveau président élu, Lai Ching-te.

Le Parti démocrate progressiste (DPP), qui a remporté un troisième mandat malgré les pressions chinoises, défend l'identité distincte de Taïwan et rejette les revendications territoriales de la Chine. Pékin a répété que sa détermination à réaliser la réunification restait intacte.

Après le scrutin, plusieurs ministres et responsables politiques de pays entretenant des liens, la plupart du temps officieux, avec l'île, ont adressé des messages de félicitation à Lai Ching-te et au DPP. La réponse de Pékin ne s'est pas faite attendre, soulignant l'extrême sensibilité chinoise vis-à-vis de ce qu'elle considère comme une légitimation par d'autres pays d'un candidat et d'un parti politique vus par la Chine comme "des forces sécessionnistes".

Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré, ce dimanche 14 janvier, que le communiqué du secrétaire d'Etat américain Anthony Blinken, où celui-ci a félicité le président élu et dit que Washington se réjouissait de prolonger sa relation officieuse avec Taïwan, "envoie un signal sérieusement incorrect" aux "forces séparatistes oeuvrant pour l'indépendance de Taïwan".

"La Chine s'est toujours opposée à toute forme d'échanges officiels entre les Etats-Unis et Taïwan, et s'oppose résolument à toute interférence des Etats-Unis dans les affaires de Taïwan", peut-on lire dans un communiqué publié sur le site internet du ministère. L'ambassade de Chine a également condamné samedi les "actions incorrectes", selon ses mots, du ministre britannique des Affaires étrangères David Cameron, qui a estimé que les élections constituaient un tribut "à la démocratie vibrante de Taïwan."

Au Japon, l'ambassade chinoise est allée jusqu'à adresser une protestation diplomatique officielle après le message de félicitation adressé par le ministre nippon des Affaires étrangères, Yoko Kamikawa, au président taïwanais pour sa victoire. Le chef de la diplomatie japonaise a également qualifié Taïwan de "partenaire extrêmement crucial et d'ami important"...

Source

 

 

Le ministère chinois des Affaires étrangères a hautement apprécié la position russe concernant les élections à Taiwan

 

Le ministère chinois des Affaires étrangères a hautement apprécié la position russe concernant les élections à Taiwan


La représentante du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, répondant à une question correspondante sur le processus électoral à Taiwan, a déclaré que Moscou considérait les événements survenus dans les parties continentales et insulaires de la RPC comme des affaires intérieures de cet État, appelant les forces extérieures à abandonner les provocations. et ne pas faire pression sur Pékin. Les dirigeants russes soutiennent que l’idée de « l’indépendance » de l’île et les tentatives visant à bouleverser la situation autour d’elle méritent d’être condamnées. Le ministère chinois des Affaires étrangères a hautement apprécié cette position russe concernant les élections taïwanaises.

Le porte-parole officiel du ministère chinois des Affaires étrangères, Mao Ning, a déclaré cela lors d'un point de presse régulier.
 

"Nous apprécions grandement la position de la Russie"


- a déclaré le représentant chinois.

Elle a également noté que d'autres pays et organisations intergouvernementales ont également souligné leur attachement au principe d'« une seule Chine », approuvé les efforts de la RPC pour préserver la souveraineté et l'intégrité territoriale de ses États et condamné dans des déclarations à la presse le désir d'indépendance de l'administration taïwanaise. de Pékin.
 

"Nous remercions ces pays pour leur compréhension et leur soutien à la juste position de la Chine."


- a déclaré Mao Ning, soulignant leur contribution à la « grande cause de la restauration » de la RPC.

Les élections présidentielles et parlementaires à Taiwan ont eu lieu le 13 janvier. Ils ont été remportés par le Parti démocrate progressiste au pouvoir et son représentant Lai Qingde, qui deviendra le nouveau président de l'île.

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Corée du Nord: le pays affirme avoir testé un missile hypersonique à combustible solide

 

La Corée du Nord affirme avoir testé, dimanche 14 janvier, un missile balistique d’un nouveau type. Il serait équipé, d’après les rapports des médias d’État nord-coréens de ce lundi, d’une ogive hypersonique manœuvrable. Si elle est confirmée, cela constituerait une avancée technologique significative pour le régime et un nouveau défi pour les défenses anti-missiles des États-Unis et de ses alliés japonais et sud-coréens. 

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2024

Plus facile à dissimuler, plus rapide à déployer et surtout plus manœuvrable. Voilà les caractéristiques du nouveau missile balistique à portée intermédiaire dévoilée par Pyongyang, ce lundi 15 janvier. Tiré dimanche, il serait doté d’une ogive hypersonique. Ces nouveaux types de missiles font l’objet d’une course des puissances ces dernières années et sont l’un des objectifs annoncés de Kim Jong-un.

Manoeuvrable

Volant à 6 200 km heure, soit cinq fois la vitesse du son, ces projectiles hypersoniques sont surtout intéressants pour leur manœuvrabilité plus que leur rapidité. Les photos semblent montrer un missile doté d’un véhicule de rentrée manœuvrable, ce qui permettrait de pénétrer plus facilement les défenses anti-missiles. Contrairement aux derniers tests hypersoniques nord-coréens effectués sur des missiles à combustible liquides, ce dernier est à propergol solide.

Déploiement plus rapide

Cela permet un déploiement nettement plus rapide. La portée de ce nouveau projectile a de quoi inquiéter les États-Unis, puisqu’elle placerait la base militaire américaine de Guam sous sa menace. En revanche, difficile de déterminer si ce missile est totalement opérationnel, car le test effectué était assez court. Seul tir qui passerait au-dessus du Japon pour finir sa course dans l’océan Pacifique permettrait d’en avoir le cœur net.

Source

 

Note : qui leur a donné cette technologie, les chinois ou les russes ! 

Ça fait bien 30 ans que les américains aurait dû éradiquer cette menace communiste coréenne, mais ils ont préféré aller en 2003 en Irak pour se remplir les poches avec l'argent du pétrole irakien (comme ils le font encore aujourd'hui avec le pétrole syrien). 30 ans d'erreurs stratégiques militaires vont avoir des conséquences dramatiques dans un futur proche

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev affirme avoir abattu deux avions russes de commandement aéroporté…

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L’ESSENTIEL

  • Plus de 80 pays étaient réunis dimanche en Suisse pour chercher un terrain d’entente sur une formule de paix en Ukraine proposée par son président Volodymyr Zelensky mais les co-organisateurs suisses ont admis qu’ils étaient encore loin d’être prêts à inclure la Russie.
  • Le nouveau chef de la diplomatie française et son homologue allemande ont réaffirmé dimanche la volonté de leurs pays de soutenir l’Ukraine « aussi longtemps » que nécessaire face à l’offensive de la Russie.
  • Le ministre nord-coréen des Affaires étrangères se rendra en Russie la semaine prochaine alors que les deux alliés de longue date affichent un rapprochement depuis le voyage du dirigeant nord-coréen Kim Jong Un dans l’Extrême-Orient russe en septembre 2023.

 

11h59 : La Russie dit avoir condamné plus de 200 prisonniers de guerre ukrainiens

La Russie a affirmé lundi avoir condamné plus de 200 soldats ukrainiens, prisonniers de guerre, à de lourdes peines de prison. Les autorités russes accusent ces soldats, qui sont nombreux à avoir été faits prisonniers durant le siège de Marioupol en 2022, d’exactions contre des civils. C’est pourtant l’armée russe qui a mené un siège dévastateur de Marioupol, y faisant, selon Kiev, des dizaines de milliers de morts.

Alexandre Bastrykine, le président du Comité d’enquête russe, a déclaré que « 200 militaires ukrainiens (avaient été) condamnés à de longues peines de prisons pour avoir tué des civils et maltraité des prisonniers » de guerre. La Russie compte « continuer » à juger des soldats de l’armée de Kiev, y compris des « hauts responsables », a-t-il assuré dans une interview à l’agence d’Etat Ria Novosti, publiée lundi.

Moscou n’a en revanche jamais enquêté sur les crimes de guerre dont ses soldats sont accusés, comme le massacre de Boutcha, que la Russie a qualifié de mise en scène occidentale. Elle dément aussi frapper des cibles civiles et considère ne pas être responsable de la destruction de villes comme Bakhmout ou Marioupol.

 

11h03 : L’Ukraine affirme avoir abattu deux avions russes de commandement aéroporté

L’armée de l’air ukrainienne a affirmé lundi avoir abattu deux avions de commandement aéroportés russes au-dessus de la mer d’Azov, ce qui constituerait un coup dur pour la Russie dans une zone qu’elle est censée contrôler. « Je remercie l’armée de l’air pour cette opération parfaitement planifiée et exécutée dans la région de la mer d’Azov ! », a réagi le commandant en chef de l’armée ukrainienne Valery Zaloujny, après l’annonce de la destruction d’un A-50, un appareil de détection et de commandement aéroporté, et d’un Il-22, avion servant aussi de poste de commandement.

 

08h34 : L’ONU réclame 4,2 milliards de dollars pour l’aide humanitaire en 2024

Les Nations unies ont annoncé lundi avoir besoin de 4,2 milliards de dollars pour l'aide humanitaire à l'Ukraine en 2024, et pour aider les millions de réfugiés qui ont fui le pays depuis l'invasion russe il y a bientôt deux ans. « Des centaines de milliers d'enfants vivent dans des localités en première ligne, terrifiés, traumatisés et dépourvus des choses les plus élémentaires », a expliqué dans un communiqué le secrétaire général adjoint aux affaires humanitaire, Martin Griffiths.

 

07h22 : Volodymyr Zelensky se rend en Suisse aujourd’hui

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky effectuera une visite en Suisse à partir de lundi, ont annoncé dimanche ses services, à un moment où l’Ukraine tente de s’assurer un appui fiable de ses alliés à l’approche du deuxième anniversaire de l’invasion russe.

« Le président Zelensky va commencer sa visite dans la Confédération helvétique le 15 janvier », a déclaré la présidence, précisant qu’il doit y « rencontrer les chefs des deux chambres du parlement, des chefs de parti ainsi que le président suisse et participer au Forum économique mondial » de Davos.

Volodymyr Zelensky, qui s’est par le passé adressé aux dirigeants présents à ce rendez-vous annuel par message vidéo, fera à cette occasion un « discours spécial ».

DIRECT

 

 

 

 

L’Allemagne se prépare à une guerre avec la Russie, selon Bild. Moscou réagit

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2024
Le quotidien allemand se serait procuré un "document secret exclusif" de la Bundeswehr portant sur une prétendue escalade à venir entre la Russie et l'Otan. Les porte-paroles du Kremlin et de la diplomatie russe n'ont pas jugé sérieuses ces assertions.
 
 
Voici les détails de ce "scénario":
 
  • L’escalade pourrait commencer dès février prochain. Des dizaines de milliers de soldats allemands seraient envoyés au combat peu après. À l'été 2024, l'Ukraine devrait essuyer une défaite après une offensive réussie de Moscou.
  • En juillet, Moscou lancerait des cyberattaques contre l’Occident et "d'autres formes de guerre hybride" principalement contre les pays baltes.
  • Ensuite, des "affrontements" serviraient de prétexte à la Russie pour lancer des exercices à grande échelle sur son territoire et en Biélorussie.
  • En octobre, la situation pourrait s'aggraver si Moscou transférait des effectifs et des missiles de moyenne portée dans la région de Kaliningrad. En décembre, un conflit frontalier pourrait commencer dans le corridor de Suwalki (une zone de 100 kilomètres de long près de la ville polonaise éponyme située entre la Biélorussie et la région russe de Kaliningrad).
  • Lorsque les États-Unis se retrouveront temporairement sans dirigeant à la suite des élections, "la Russie, avec le soutien de la Biélorussie, répétera sur le territoire de l'Otan l'invasion de l'Ukraine en 2014", affirme le quotidien allemand sans fournir plus de détails.
  • En mai 2025, l'Otan déciderait de mesures de dissuasion et déploierait 300.000 militaires dans l'est de l'Europe.

Réagissant à ces "révélations", la porte-parole de la diplomatie russe s'est montrée sarcastique. "Un horoscope puissant de l'année dernière pour le Poissons en Cancer. Je n'exclus pas que c’est le ministère allemand des Affaires étrangères sous la direction de Mme Baerbock qui ait fourni la partie analytique à la Bundeswehr", a écrit Maria Zakharova sur Telegram.

De son côté, le porte-parole de Vladimir Poutine a dit que "ce média ne dédaigne pas d’écrire divers intox, c’est pourquoi je préférerais ne pas commenter".

La position de Moscou

Ces dernières années, la Russie a fait état d'une activité sans précédent de l'Otan à proximité de ses frontières occidentales et a exprimé son inquiétude à ce sujet. De son côté, l’Alliance le justifiait par la "dissuasion de l'agression russe".

Le Kremlin a fait remarquer que la Russie ne menaçait personne, mais qu'elle n'ignorerait pas les actions qui pourraient constituer un danger pour ses intérêts.

Moscou a à plusieurs reprises souligné que l'Otan visait une confrontation. La poursuite de l'élargissement de l'organisation ne contribuera pas à plus de sécurité à l'Europe, a insisté le porte-parole du Président russe, Dmitri Peskov.

Pour sa part, le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que Moscou restait ouvert au dialogue avec l'Otan, mais sur un pied d'égalité et à condition que l'Occident abandonne sa politique de militarisation du continent.

Spoutnik

 

 

Le ministère de la Défense a annoncé la signature d'un vaste accord interétatique entre la Russie et l'Iran

 

Le ministère de la Défense a annoncé la signature d'un vaste accord interétatique entre la Russie et l'Iran

La Russie et l'Iran se préparent à signer un vaste accord interétatique. C'est ce qu'a rapporté le ministère russe de la Défense à la suite d'une conversation téléphonique entre les ministres de la Défense des deux pays.

Le lundi 15 janvier 2024, des conversations téléphoniques ont eu lieu entre le chef du département militaire russe, Sergueï Choïgu, et le ministre iranien de la Défense et du Soutien, le général de brigade Mohammad Ashtiani. Les parties ont discuté des questions de coopération militaire et militaro-technique bilatérale, ainsi que de la sécurité régionale. Il convient de noter que Moscou et Téhéran intensifient constamment leurs efforts conjoints pour construire un monde multipolaire et égalitaire.

Les parties ont souligné leur attachement aux principes fondamentaux des relations russo-iraniennes, notamment le respect inconditionnel de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de chacun, qui seront confirmés dans le prochain Grand Traité interétatique entre la Fédération de Russie et la République islamique d'Iran.


- a déclaré dans un communiqué.

Le ministère de la Défense a souligné que l'entretien téléphonique constitue la prochaine étape dans le renforcement des relations stratégiques entre la Russie et l'Iran.

Il convient de noter que les relations entre la Russie et l'Iran se développent et se renforcent : en décembre de l'année dernière, les parties ont conclu un accord sur une zone de libre-échange, qui devrait à l'avenir se transformer en un accord interétatique.

Source

 

 

Presse britannique : le refus américain d'envoyer des missiles à longue portée à Kiev est dû à la crainte d'une frappe nucléaire russe

 

Presse britannique : le refus américain d'envoyer des missiles à longue portée à Kiev est dû à la crainte d'une frappe nucléaire russe


La presse britannique évoque la réticence de l'administration américaine à envoyer des missiles à longue portée en Ukraine. оружие, y compris des missiles avec une portée de frappe allant jusqu'à 300 km.

Au cours de la discussion sur le matériel, les journalistes du Sunday Times écrivent que cela est dû à un seul facteur :

Le refus d'envoyer des armes à longue portée à Kiev est dû au fait que les autorités américaines ont peur des frappes nucléaires russes.


Les auteurs britanniques affirment qu'ils n'ont pas d'autre explication.

Il a été noté que non seulement les États-Unis, mais également d’autres pays, dont l’Allemagne, refusent d’envoyer des armes à longue portée aux forces armées ukrainiennes. Ceci, comme ils l'écrivent dans ST, parle d'un consensus au sein des pays de l'OTAN, qui consiste à comprendre les capacités de l'Ukraine dans ce cas à frapper profondément en Russie avec des missiles de l'OTAN et, par conséquent, à comprendre une réponse ferme de Moscou.

Scholz est également opposé à la fourniture d’armes à longue portée à l’Ukraine, car il a très peur d’une réaction de la Russie.

Rappelons qu'auparavant, les États-Unis avaient fourni à l'Ukraine un lot de missiles ATACMS d'une portée allant jusqu'à 160 km. Toutefois, ces missiles sont dotés d’une ogive à fragmentation et Kiev souhaitait se doter de telles armes dotées d’une « unique » ogive afin, par exemple, de frapper le pont de Crimée. Jusqu’à présent, aucun missile de ce type n’a été livré à Kiev. Du moins, ces livraisons n’ont pas été officiellement signalées.

Source

 

Note; pour l'instant, ils ne veulent pas, mais ils finiront par leurs donnés des armes plus puissance et il aura des conséquences grave. Difficile de comprendre comment cette guerre va s'aggraver, mais elle nous mènera à une 3GM.

 

 

 

Guerre Hamas-Israël EN DIRECT : Au moins 13 blessés dans un  attentat  à la voiture bélier en Israël…

 

L’ESSENTIEL

  • Plus de cent jours après le début du confit, la guerre fait toujours rage au Proche-Orient entre Israël et le Hamas.
  • Ce lundi matin, le Hamas a annoncé la mort d’au moins d’une soixantaine de Palestiniens dans des bombardements nocturnes menés par Israël, portant le bilan des opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza à au moins 23.968 tués, essentiellement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
  • Dimanche soir, le Hamas publiait une vidéo montrant trois otages Israéliens capturés lors de leur raid du 7 octobre. 140 personnes sont toujours retenues en otages à Gaza.

 

12h36 : L’ONU demande l’accès au port israélien d’Ashdod pour acheminer l’aide à Gaza

Trois agences des Nations unies ont demandé lundi à Israël d’autoriser l’accès à son port d’Ashdod pour acheminer l’aide humanitaire dans la bande de Gaza où les Palestiniens souffrent d’une importante insécurité alimentaire.

L’accès à ce port « est absolument nécessaire pour les agences humanitaires », ont souligné les responsables du Programme alimentaire mondial (PAM), de l’Unicef et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un communiqué conjoint.

L’accès au port d’Ashdod, situé à environ 40 km au nord de la bande de Gaza, « permettrait d’acheminer des quantités d’aide bien plus importantes, puis de les envoyer directement par camion vers les régions du nord de Gaza, durement touchées, que peu de convois ont réussi à atteindre », estiment les trois agences.

 

09h46 : Le Hamas annonce plus de 60 morts dans des frappes israéliennes « intenses »

Plus de 60 Palestiniens ont été tués à travers la bande de Gaza dans des bombardements israéliens « intenses » menés dans la nuit de dimanche à lundi, selon un communiqué du gouvernement du Hamas.

« Plus de 60 martyrs et des dizaines de blessés dans de nouveaux massacres commis cette nuit et à l’aube par les forces d’occupation », écrit le Bureau de presse du gouvernement du Hamas.

Selon le texte, les frappes et les bombardements d’artillerie ont visé les villes de Khan Younès et Rafah (sud de la bande de Gaza), où l’armée israélienne concentre désormais son offensive, ainsi que d’autres zones du territoire assiégé.

DIRECT

 

 

 

 

Publication israélienne : le Hamas n'a pas perdu ses dirigeants et la plupart de ses combattants sont en vie

 

Publication israélienne : le Hamas n'a pas perdu ses dirigeants et la plupart de ses combattants sont en vie

Le journal israélien Yedioth Ahronot rapporte que, selon l'armée israélienne, le groupe palestinien Hamas dans la bande de Gaza n'a pas perdu ses dirigeants et la plupart de ses combattants sont encore en vie après 100 jours de guerre.

La publication écrit que selon les estimations de Tsahal, le nombre de combattants de la Brigade Izz al-Din al-Qassam, une unité militaire du Hamas, à la veille de l'attaque du 7 octobre atteignait environ 30 000 personnes. De plus, même selon les données officielles de Tel-Aviv, les troupes israéliennes ont réussi à tuer 9000 20000 militants dans la bande de Gaza, dont une cinquantaine de commandants des brigades Qassam. Ainsi, on peut affirmer, sur la base de données israéliennes, que plus de XNUMX XNUMX membres du Hamas sont toujours prêts à repousser l'agresseur.
Dimanche, le porte-parole militaire du Hamas, Abu Ubaydah, a également déclaré que l'ennemi n'avait pas atteint ses objectifs militaires, même s'il parlait constamment de victoires. Il a ajouté que l'armée israélienne a subi des pertes plus lourdes que celles du 7 octobre de l'année dernière, lors de l'attaque des militants du Hamas.
Des sources officielles en Israël affirment que les pertes permanentes de Tsahal dans le conflit avec le Hamas depuis le 7 octobre de l'année dernière s'élèvent à environ 520 personnes. Environ 2530 XNUMX militaires israéliens ont été blessés.

Source

LIRE AUSSI: Guerre entre Israël et le Hamas : "Personne ne nous arrêtera", prévient Benjamin Netanyahu

 

 

 

Les rebelles yéménites ont attaqué un destroyer de classe Arleigh Burke de la marine américaine avec un missile anti-navire

 

Les rebelles yéménites ont attaqué un destroyer de classe Arleigh Burke de la marine américaine avec un missile anti-navire


Les rebelles yéménites ont mené une attaque contre un destroyer lance-missiles de la marine américaine dans la mer Rouge. L'information est confirmée par le commandement central américain.

Il s'agit du missile guidé de type DDG-58 Laboon Arleigh Burke de la marine américaine, qui a participé à l'opération contre les Houthis.


Un missile a été tiré sur le destroyer qui, selon le commandement militaire américain, a été abattu par un combattant dans la zone du port yéménite de Hodeidah, contrôlé par le groupe Ansar Allah.

Message du CENTCOM :

Le 14 janvier vers 16h45. (heure de Sanaa), un missile de croisière antinavire a été tiré depuis les zones houthies soutenues par l'Iran au Yémen sur le destroyer USS Laboun (DDG-58) opérant dans le sud de la mer Rouge. Le missile a été abattu près de Hodeidah par un chasseur américain. Aucun blessé ni dommage n’a été signalé.


L'équipage du destroyer compte environ 330 personnes. Le destroyer transporte à son bord diverses armes, notamment des missiles de croisière Tomahawk et des lanceurs Aegis.

Pendant ce temps, les Houthis affirment avoir attaqué un navire de guerre américain et que celui-ci a été endommagé.

Auparavant, le commandement américain avait reconnu la disparition de deux membres d'équipage d'un autre navire de guerre situé dans les eaux entre le Yémen et la Somalie. Cela pourrait confirmer que l’une des précédentes attaques des Houthis a conduit à la défaite de la cible qu’ils avaient choisie.

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L’Observatoire de l’Immigration et de la Démographie : « Les immigrées algériennes ont un taux de fécondité de 3,69 enfants par femme en France contre 2,2 en Algérie, la convergence est ensuite très lente »

(…)

Ce constat vaut particulièrement lorsque l’on s’intéresse à la ventilation des naissances selon le lieu de naissance des parents. Ainsi, depuis l’an 2000, le nombre annuel d’enfants nés sur le territoire et issus de deux parents eux-mêmes nés en France a diminué de 22% ; mais dans le même temps, les naissances issues d’au moins un parent né hors-UE ont augmenté de 40% et celles issues de deux parents nés hors-UE ont augmenté de 72%. Cela signifie que la France se trouve aujourd’hui confrontée à des dynamiques de fécondité contradictoires sur son sol : la natalité « native » se contracte fortement, tandis que la natalité issue de l’immigration extra-européenne augmente de manière très significative. Un tel constat se retrouve dans la répartition globale des naissances : près d’un tiers (29%) des enfants nés en France en 2022 ont au moins un parent né hors de l’Union européenne.

Ce bouleversement démographique doit être compris par l’action conjointe de deux moteurs explicatifs : l’accélération des flux migratoires d’une part, la natalité différenciée de certaines populations immigrées d’autre part. La hausse rapide et forte de l’immigration vers la France depuis la fin des années 1990 est attestée par de multiples indicateurs, le plus central résidant dans l’évolution du nombre annuel de premiers titres de séjour accordés par notre pays : celui-ci a augmenté de 153% entre 1999 et 2022 – dans l’attente des premières données provisoires pour 2023 qui devraient confirmer cette tendance haussière.

(…)

Par ailleurs, plusieurs études institutionnelles attestent de l’existence d’un différentiel de fécondité notable entre les femmes immigrées de certaines origines et les femmes non immigrées. L’un de ces travaux scientifiques, publié par l’Ined en 2019 et portant sur les données de l’année 2014, établissait ce fait de manière saisissante : les immigrées algériennes en France avaient en moyenne 3,69 enfants par femme, soit nettement plus qu’en Algérie même (où l’indice conjoncturel de fécondité était seulement de 3 enfants par femme).

Le même constat différentiel vaut pour les femmes immigrées tunisiennes, marocaines et turques, dont le taux de fécondité en France était compris entre 3,12 et 3,5 enfants par femme, tandis que l’indice de fécondité dans leurs pays d’origine se situait entre 2,1 et 2,4 enfants. Les études démographiques indiquent que les taux de fécondité des personnes immigrées ont tendance à diminuer à la génération suivante et à converger progressivement vers la moyenne des natifs. Toutefois, cette convergence est lente et ses effets se trouvent fortement mitigés par l’accélération des nouveaux flux entrants, d’autant plus que le pic de naissances chez les femmes immigrées se situe dès la première année suivant leur arrivée en France – comme l’Insee l’a établi dans une étude parue au printemps dernier. Il se maintient à un niveau particulièrement élevé durant les cinq années qui suivent leur installation, puis diminue ensuite progressivement.

(…)

Le Figaro

 

 

Répartition des migrants en milieu rural : la vice-présidente de l’Assemblée nationale affirme que « les territoires qui perdent en population sont extrêmement demandeurs d’avoir des jeunes et des familles qui viennent s’installer »

L’idée d’une répartition des migrants dans les zones rurales ne fait plus grand bruit, et pour cause : la mesure ne figure pas dans le texte immigration voté par le Parlement en décembre dernier. Pourtant, le dispositif est déjà mis en place depuis plusieurs années, et devrait même se renforcer à la faveur des Jeux olympiques.

Le 29 septembre 2022, dans une allocution devant les préfets, Emmanuel Macron annonce en grande pompe un ambitieux projet de loi asile-immigration, prévu pour début 2023. Une proposition fait alors polémique : le chef de l’Etat suggère de loger les migrants dans les zones rurales désertées. L’objectif ? « Redynamiser les espaces ruraux, qui eux sont en train de perdre de la population », explique-t-il à l’époque. Dans ces régions, estime alors le président de la République, « les conditions de leur accueil seront bien meilleures que si nous les mettons dans des zones qui sont déjà densément peuplées, avec une concentration de problèmes économiques et sociaux massifs ».

Mais si de fait la mesure ne figure finalement pas dans le texte définitif voté par le Parlement le 19 décembre dernier, le dispositif est déjà bel et bien mis en place un peu partout sur le territoire métropolitain. Depuis 2021, ​​le schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés (SNADAR, aussi appelé « plan Schiappa »), prévoit la répartition des réfugiés sur l’ensemble du territoire national, en particulier en milieu rural.

L’idée est de « désengorger » l’agglomération parisienne, qui concentre l’essentiel des demandes d’asile : aujourd’hui encore, 40% des immigrés vivent en région parisienne. « En Île-de-France se polarise environ 45% de la demande d’asile et pourtant il n’y a que 19% du parc d’hébergement qui est disponible, et donc des campements s’organisent régulièrement », détaille à l’époque Marlène Schiappa, alors ministre déléguée à la Citoyenneté. « Il y a une nécessité d’une répartition géographique des demandeurs d’asile plus homogène sur le territoire, notamment dans des territoires qui perdent en population et qui sont extrêmement demandeurs d’avoir des jeunes et des familles qui viennent s’installer », avance auprès de Factuel la députée (MoDem) de l’Isère Élodie Jacquier-Laforge, vice-présidente de l’Assemblée nationale. […]

Factuel

 

Note : elle ment comme elle respire, personne ne veut de ces migrants, tous les sondages le démontre, comme celui qui suit 

 

Sondage : pour les Français, l’immigration est le 2nd enjeu des élections européennes ; plus de 75% critiquent l’action de l’UE sur le sujet migratoire

« Les Français et les élections européennes 2024 » / Elabe / 13/01/2024

(…)

Principaux enjeux des Européennes : le pouvoir d’achat et la lutte contre l’inflation, l’immigration, la lutte contre le changement climatique et contre le terrorisme

La majorité des Français n’est pas satisfaite de l’organisation, du fonctionnement…

…et de l’action de l’Union européenne sur les principaux enjeux (pouvoir d’achat, immigration, environnement et guerre en Ukraine)

(…)

Elabe

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