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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 septembre 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Poutine annonce un voyage en Chine le mois prochain, pour la première fois depuis le début du conflit…

 

L’ESSENTIEL

  • A la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, Volodymyr Zelensky a accusé mardi la Russie de commettre un « génocide » en Ukraine, s’efforçant de rallier à sa cause des pays du Sud parfois sceptiques en leur disant qu’ils avaient eux aussi un intérêt en la victoire de Kiev.
  • Le président ukrainien doit également s’adresser ce mercredi au Conseil de sécurité de l’ONU, faisant face à la Russie, membre permanent, pour la première fois depuis le début de la guerre.
  • Le président iranien Ebrahim Raïssi a accusé mardi les Etats-Unis, devant l’Assemblée générale de l’ONU, de « jeter de l’huile sur le feu » dans le conflit en Ukraine, attaquée depuis février 2022 par la Russie, alliée de Téhéran.

 

13h14 : Au Karabakh, Poutine espère arriver à un « règlement pacifique » du conflit

Le président russe Vladimir Poutine a dit mercredi espérer un « règlement pacifique » du conflit au Nagorny-Karabakh, dans des propos diffusés par la télévision d’Etat peu après l’annonce d’un cessez-le-feu dans cette région que se disputent Azerbaïdjanais et Arméniens.

« Nous sommes en contact très étroit avec les parties au conflit (…) J’espère que nous pourrons arriver à une désescalade et à un règlement pacifique du problème », a-t-il déclaré au cours d’une rencontre avec le chef de la diplomatie chinoise. Il n’était cependant pas possible de dire si ces déclarations avaient été enregistrées avant ou après l’annonce de l’accord de cessez-le-feu.

 

13h11 : A l’invitation de Xi Jinping, Vladimir Poutine va se rendre en Chine en octobre

Le président russe Vladimir Poutine a confirmé mercredi qu’il se rendrait en Chine en octobre à l’invitation de son homologue Xi Jinping, son premier voyage dans le pays depuis le début du conflit en Ukraine en février 2022.

Vladimir Poutine s’est dit « ravi » d’accepter cette invitation lors d’une réunion en Russie avec le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, selon des images transmises par la télévision russe. Il avait déjà annoncé son intention de voyager en Chine pour participer au Forum « La Ceinture et la Route », qui réunit des dirigeants internationaux.

 

07h20 : Qu’a dit Zelensky hier ?

S’adressant mardi à la tribune de l’Assemblée générale, Volodymyr Zelensky, habillé comme de coutume en treillis militaire, a accusé la Russie de commettre un « génocide » en Ukraine, s’efforçant de rallier à sa cause des pays du Sud parfois sceptiques en leur disant qu’ils avaient eux aussi intérêt en la victoire de Kiev.

Il a argué du fait que la Russie se sert de l’alimentation et de l’énergie nucléaire « comme d’une arme », ce qui impacte l’Ukraine comme « le reste du monde ». « Pour la première fois dans l’histoire moderne, on a l’occasion de faire cesser cette agression selon les termes du pays attaqué », a-t-il lancé en invitant les dirigeants de la planète opposés à l’agression russe à l’aider à préparer « un sommet de la paix ».

Après un an et demi de guerre aux impacts en cascade sur le monde, notamment sur la sécurité alimentaire, certains pays du Sud plaident de plus en plus ouvertement pour une solution diplomatique.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine: "Les terroristes ne devraient pas avoir l'arme nucléaire"... A l'ONU, Zelensky fustige la Russie et l'accuse de "génocide" dans l'enlèvement d'enfants

 

Vers une guerre de religion, infos du 20 septembre 2023

 

Volodymyr Zelensky a prononcé un discours à la tribune des Nations unies, ce mardi.

Invité à s'exprimer devant l'Assemblée générale de l’ONU, ce mardi, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky a fustigé, une fois de plus, l'invasion de son pays par la Russie.

Il a appelé les dirigeants du monde entier à rester unis "afin de garantir une paix juste pour tous les peuples. Et c’est l’unité qui peut empêcher les guerres".

Et le président ukrainien de mettre en garde contre "la Troisième Guerre mondiale qui pourrait précisément être une guerre nucléaire". "Le siècle dernier a appris au monde à s’abstenir d’utiliser des armes de destruction massive et à promouvoir plutôt un désarmement total".

Pour Zelensky, la Russie "méritait le désarmement nucléaire dans les années 1990" et elle "le mérite désormais. Les terroristes n’ont pas le droit de posséder des armes nucléaires".

Le président ukrainien a déploré que la Russie utilise bien "d'autres choses comme des armes". Et d'énumérer "un terrorisme avec de la nourriture, de l’énergie et d’autres choses". Des armes "utilisées non seulement contre notre pays, mais aussi contre tous vos pays".

Zelensky a également qualifié de "génocide les enlèvements d’enfants, devenus une politique d’État".

Le président ukrainien a terminé son discours en précisant "que tout accord avec des terroristes n'a aucun sens : on ne peut pas faire confiance au mal. Il a cité l'exemple d'Evgueni Prigojine, qui croyait Poutine".

Source

 

La «phase Biden» de la guerre en Ukraine commence

 

par M.K. Bhadrakumar

La guerre terrestre en Ukraine est arrivée à son terme, une nouvelle phase commence. Même les partisans inconditionnels de l’Ukraine dans les médias occidentaux et les groupes de réflexion admettent qu’une victoire militaire sur la Russie est impossible et qu’une libération du territoire sous contrôle russe est bien au-delà des capacités de Kiev.

D’où l’ingéniosité de l’administration Biden qui a exploré le plan B en conseillant à Kiev d’être réaliste quant à la perte de territoires et de rechercher pragmatiquement le dialogue avec Moscou. Tel est le message amer que le secrétaire d’État américain Antony Blinken a récemment transmis en personne à Kiev.

Mais la réaction caustique du président Zelensky dans une interview accordée au magazine The Economist est révélatrice. Il a répliqué que les dirigeants occidentaux continuaient à tenir de beaux discours, s’engageant à soutenir l’Ukraine «aussi longtemps qu’il le faudra» (le mantra de Biden), mais lui, Zelensky, a détecté un changement d’humeur chez certains de ses partenaires : «J’ai cette intuition, je lis, j’entends et je vois dans leurs yeux [lorsqu’ils disent] «nous serons toujours avec vous». Mais je vois qu’il ou elle n’est pas là, pas avec nous». Il est certain que Zelensky lit bien le langage corporel, car en l’absence d’un succès militaire écrasant à brève échéance, le soutien de l’Occident à l’Ukraine est limité dans le temps.

Zelensky sait qu’il sera difficile de maintenir le soutien occidental. Il espère cependant que l’Union européenne, à défaut des Américains, continuera au moins à fournir de l’aide et qu’elle ouvrira des négociations sur le processus d’adhésion de l’Ukraine, peut-être même lors de son sommet de décembre. Mais il a également brandi la menace voilée d’une menace terroriste pour l’Europe, avertissant que ce ne serait pas une «bonne histoire» pour l’Europe si elle devait «pousser ce peuple [d’Ukraine] dans ses derniers retranchements». Jusqu’à présent, ces menaces inquiétantes ont été atténuées, émanant d’activistes de bas rang de la frange fasciste de Bandera.

Mais l’Europe a aussi ses limites. Les stocks d’armes occidentaux sont épuisés et l’Ukraine est un puits sans fond. Plus important encore, il n’est pas certain que la poursuite des livraisons fasse la moindre différence dans une guerre par procuration qui ne peut être gagnée. En outre, les économies européennes sont dans le marasme, la récession en Allemagne pourrait se transformer en dépression, avec les conséquences profondes de la «désindustrialisation».

En d’autres termes, la visite de Zelensky à la Maison-Blanche dans les prochains jours sera déterminante. L’administration Biden est d’humeur sombre, estimant que cette guerre par procuration entrave la mise en œuvre d’une stratégie indo-pacifique à part entière contre la Chine. Pourtant, lors d’une apparition dans l’émission «This Week» sur ABC, Blinken a explicitement déclaré pour la première fois que les États-Unis ne s’opposeraient pas à ce que l’Ukraine utilise des missiles à plus longue portée fournis par les États-Unis pour attaquer en profondeur le territoire russe, une initiative que Moscou a précédemment qualifiée de «ligne rouge», ce qui ferait de Washington une partie directe du conflit.

Le célèbre historien militaire américain, penseur stratégique et vétéran du combat, le colonel (retraité) Douglas MacGregor (qui a servi de conseiller au Pentagone pendant l’administration Trump), est prémonitoire lorsqu’il dit qu’une nouvelle «phase de la guerre de Biden» est sur le point de commencer. En d’autres termes, les forces terrestres étant épuisées, l’accent sera désormais mis sur les armes de frappe à longue portée telles que le Storm Shadow, le Taurus, les missiles à longue portée ATACMS, etc.

Les États-Unis envisagent d’envoyer des missiles à longue portée ATACMS, que l’Ukraine réclame depuis longtemps et qui ont la capacité de frapper profondément à l’intérieur du territoire russe. L’aspect le plus provocateur est que les plateformes de reconnaissance de l’OTAN, avec ou sans pilote, seront utilisées dans ces opérations, faisant des États-Unis un co-belligérant virtuel.

La Russie a fait preuve de retenue en s’attaquant à la source de ces capacités ennemies, mais personne ne sait combien de temps cette retenue durera. En réponse à une question sur la façon dont Washington verrait les attaques sur le territoire russe avec des armes et des technologies américaines, Blinken a affirmé que le nombre croissant d’attaques sur le territoire russe par des drones ukrainiens concernait «la façon dont ils [les Ukrainiens] vont défendre leur territoire et dont ils s’efforcent de reprendre ce qui leur a été confisqué. Notre rôle [celui des États-Unis], comme celui des dizaines d’autres pays qui les soutiennent, est de les aider à y parvenir».

La Russie n’acceptera pas une escalade aussi effrontée, d’autant plus que ces systèmes d’armes avancés utilisés pour attaquer la Russie sont en fait pilotés par du personnel de l’OTAN – des contractants, d’anciens militaires entraînés ou même des officiers en service. Le président Poutine a déclaré aux médias vendredi que «nous avons détecté des mercenaires et des instructeurs étrangers à la fois sur le champ de bataille et dans les unités où se déroule l’entraînement. Je pense qu’hier ou avant-hier, quelqu’un a encore été capturé».

Le calcul des États-Unis est qu’à un moment donné, la Russie sera contrainte de négocier et qu’il s’ensuivra un conflit gelé dans lequel les alliés de l’OTAN conserveront la possibilité de poursuivre le renforcement militaire de l’Ukraine et le processus menant à son adhésion à l’Alliance atlantique, ce qui permettra à l’administration Biden de se concentrer sur l’Indo-Pacifique.

Cependant, la Russie ne se contentera pas d’un «conflit gelé» qui est loin d’atteindre les objectifs de démilitarisation et de dénazification de l’Ukraine qui sont les objectifs clés de son opération militaire spéciale.

Face à cette nouvelle phase de la guerre par procuration, la forme que prendront les représailles russes reste à déterminer. Il pourrait y avoir de multiples façons sans que la Russie n’attaque directement les territoires de l’OTAN ou n’utilise d’armes nucléaires (à moins que les États-Unis n’organisent une attaque nucléaire – dont les chances sont nulles à l’heure actuelle).

D’ores et déjà, il est possible d’envisager la reprise potentielle de la coopération militaro-technique entre la Russie et la RPDC (y compris, éventuellement, la technologie des missiles balistiques intercontinentaux) comme une conséquence naturelle de la politique agressive des États-Unis à l’égard de la Russie et de leur soutien à l’Ukraine, tout autant que de la situation internationale actuelle. Le fait est qu’aujourd’hui, il s’agit de la RPDC ; demain, ce pourrait être l’Iran, Cuba ou le Venezuela – ce que le colonel MacGregor appelle «l’escalade horizontale». La situation en Ukraine est désormais liée aux problèmes de la péninsule coréenne et de Taïwan.

Le ministre de la défense, Sergueï Choïgu, a déclaré mercredi à la télévision d’État que la Russie n’avait «pas d’autre choix» que de remporter une victoire dans son opération militaire spéciale et qu’elle continuerait à progresser dans sa mission clé consistant à faucher les équipements et le personnel de l’ennemi. Cela laisse supposer que la guerre d’usure va encore s’intensifier, tandis que la stratégie globale pourrait s’orienter vers une victoire militaire totale.

L’armée ukrainienne manque cruellement de main-d’œuvre. Rien qu’au cours de la «contre-offensive» de 15 semaines, plus de 71 000 soldats ukrainiens ont été tués. Il est question que Kiev cherche à rapatrier ses ressortissants en âge de servir dans l’armée parmi les réfugiés en Europe. D’autre part, dans l’attente d’un conflit prolongé, la mobilisation en Russie se poursuit.

Poutine a révélé vendredi que 300 000 personnes se sont portées volontaires et ont signé des contrats pour rejoindre les forces armées et que de nouvelles unités sont en cours de formation, équipées de types d’armes et d’équipements avancés, «et certaines d’entre elles sont déjà équipées à 85-90%».

Il est fort probable qu’une fois que la «contre-offensive» ukrainienne se sera soldée par un échec massif dans quelques semaines, les forces russes lanceront une offensive de grande envergure. Il est même envisageable que les forces russes traversent le Dniepr et prennent le contrôle d’Odessa et du littoral menant à la frontière roumaine, d’où l’OTAN a lancé des attaques contre la Crimée. Qu’on ne s’y trompe pas : pour l’axe anglo-américain, l’encerclement de la Russie dans la mer Noire est toujours resté une priorité absolue.

M.K. Bhadrakumar

source : Indian Punchline via Le Saker Francophone

 

Note : Ce n'est qu'une question de temps, mais la guerre en Ukraine, deviendra mondiale. Il a de forte probabilité que la faute en soi aux USA de Biden, qui alimente cette guerre depuis 2014.

Mais donné des armes a longue porté à un pays qui est gangréné par le nazisme, aura forcément des conséquences sur la suite du conflit, si les Américains laissent tomber. Si Trump est élu, à mon avis, il fera tout pour laisser tomber les Ukrainiens, mais il aura de forte pression de la part des militaires et des vendeurs d'arme  pour l'en dissuader.  Que ferron les Ukrainiens si les États-Unis les laisse tombé ! Ils se serviront de leurs armes à longues portées pour atteindre la Russie et étendre le conflit a l'Europe

À force de jouer avec le feu, les Américains finiront forcément par se faire brûler à leur tour      

 

 

Michel Collon : «Les USA ont soutenu les pires extrémistes en Yougoslavie, Libye, Syrie, Ukraine…»

 

par Le Média en 4-4-2

L’Association Dialogue Franco-Russe a récemment accueilli Michel Collon, fondateur du collectif «Investig’Action» et analyste de la stratégie de guerre et de désinformation.

Au cœur de cette rencontre, Michel Collon a abordé divers sujets brûlants, notamment la guerre en Ukraine et la manipulation médiatique qui l’accompagne.

source : Le Media en 4-4-2

 

 

 

La Russie a repoussé une attaque de missiles à Sébastopol

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 20 septembre 2023
Une attaque de missiles a été repoussée par la défense anti-aérienne ce 20 septembre à Sébastopol, a indiqué le chef de la ville, Mikhaïl Razvozjaïev. Actuellement, tout est redevenu calme, selon lui.
La défense anti-aérienne russe a repoussé une attaque de missiles à Sébastopol, a fait savoir ce 20 septembre le gouverneur de la ville.

"Selon les informations actualisées, nos forces de défense anti-aérienne ont déjoué une attaque de missiles à Sébastopol. Actuellement, la situation est calme dans la ville", a indiqué Mikhaïl Razvozjaïev sur sa chaîne Telegram.

Précédemment, il a déclaré que plusieurs drones avaient été abattus et que de l'herbe avait pris feu sur les lieux.

Point chaud

La ville est régulièrement prise pour cible par l'armée ukrainienne. Dans la nuit du 12 au 13 septembre, Kiev a attaqué un chantier naval de Sébastopol au moyen de trois drones aquatiques. et 10 missiles de croisière. Deux vaisseaux en cours de réparation ont été endommagés par les missiles ennemis.

Fin août, la défense anti-aérienne avait déjà repoussé une attaque de 42 drones ukrainiens. 33 d'entre eux avaient été neutralisés par les moyens de guerre électronique et les 9 restants abattus par la défense anti-aérienne russe sans atteindre leur cible.

Spoutnik

 

 

Guerre en Ukraine: Attaque russe contre une raffinerie dans le centre du pays

 

  • La région de Poltava a été touchée ce mercredi matin. Photo d'illustration.
    La région de Poltava a été touchée ce mercredi matin. Photo d'illustration. MAXPPP - Andriy Yermak/Office of the President of Ukraine HANDOUT

Plusieurs attaques russes ont frappé l'Ukraine ce mercredi matin dont une a touché une raffinerie.

La Russie a frappé dans la nuit de lundi à mardi la raffinerie de Krementchouk, dans le centre de l'Ukraine, lors d'une attaque de drones, provoquant un incendie, a indiqué mardi le gouverneur de la région Poltava.

Les opérations de raffinage ont été temporairement suspendues et aucun blessé n'a été recensé, a déclaré sur Telegram, Dmytro Lounin.

"La nuit dernière, les Russes ont attaqué à plusieurs reprises la région de Poltava. Notre système de défense aérienne a réalisé un bon travail contre les véhicules aériens sans pilotes ennemis", a-t-il déclaré.

La raffinerie de Kremtchouk est une cible régulière de la Russie depuis son invasion de l'Ukraine en février 2022.

L'armée ukrainienne a indiqué que ses systèmes de défense ont abattu 17 des 24 drones lancés dans la nuit par la Russie. L'agence de presse Reuters n'était pas en mesure de vérifier ces informations.

La Russie a également lancé un drone kamikaze au-dessus de Stepnohirsk, dans la région de Zaporijia. À la suite de l'attaque, des hommes âgés de 32 et 42 ans ont été blessés, rapportent les médias ukrainiens.

Source

 

 

 

Haut-Karabakh : l’Azerbaïdjan relance la guerre, des villages touchés et déjà plusieurs victimes ; l’Arménie dénonce un « nettoyage ethnique »

(…) De l’artillerie lourde qui s’abat sur Stepanakert, la capitale du Haut-Karabakh, des obus de mortier sur des villages le long de la «ligne de contact» avec la région sécessionniste: l’Azerbaïdjan relance la guerre. Des vidéos et des photos postées sur les réseaux sociaux depuis Stepanakert montrent la population terrorisée dans les sous-sols des immeubles. L’offensive semble de grande ampleur et ne pas être qu’une simple «opération antiterroriste», selon la terminologie invoquée mardi matin par Bakou, pour «désarmer et assurer le retrait de formations des forces armées arméniennes de nos territoires», après la mort de six hommes tués par des mines qui auraient été récemment placées. En fin de journée, les séparatistes arméniens faisaient état d’un bilan de 5 morts et 80 blessés. (…)

Le Figaro

L’Arménie dénonce une « agression à grande échelle » à des fins de « nettoyage ethnique ». Ce mardi, la capitale du Nagorny Karabakh, Stepanakert, et d’autres villes de la région sont ciblées par des « tirs intensifs » de la part des forces azerbaïdjanaises, ont annoncé les autorités séparatistes arméniennes. (…)

Le Parisien

 

La Finlande construit le premier tronçon de son mur frontalier avec la Russie

 

par Grzegorz Adamczyk

La Finlande a l’intention de sécuriser environ 200 kilomètres de sa frontière avec la Russie.

«Les gardes-frontières finlandais protègent désormais la première section de la frontière avec la Russie où une clôture a été érigée», a rapporté jeudi la radio finlandaise Yle.

La section pilote de 3 kilomètres de long de la barrière métallique, haute de 3 mètres et surmontée de fils barbelés, est située dans la ville d’Imatra, près du poste-frontière le plus fréquenté.

La frontière finno-russe, avec les points de passage frontaliers internationaux officiels- 2015 (Source)

La construction de la clôture à la frontière orientale a commencé au printemps.

Initialement, on pensait que la première section test de la barrière serait prête à la fin du mois de juin.

Le retard a été causé par des difficultés au stade de la construction, ainsi que par des installations du système de surveillance qui ont pris du temps.

Plusieurs centaines de mètres de la section d’essai sont également situés dans la zone des casernes militaires locales, où des techniques de surveillance sont testées.

«L’expérience acquise dans le cadre du projet pilote sera utilisée pour les prochaines étapes du travail», a déclaré le chef de projet Ismo Kurki, de l’unité des gardes-frontières pour le sud-est de la Finlande. (Remix News)

À terme, il est prévu de clôturer environ 70 kilomètres de la frontière dans cette région.

Dans le même temps, le service des gardes-frontières de Laponie a indiqué que l’abattage des arbres avait commencé début septembre et que les premiers travaux de construction d’une clôture dans le nord du pays, dans la région de la ville de Salla, avaient débuté.

En Laponie, les conditions plus difficiles du sol et de l’eau, avec des marécages et des forêts impraticables, entravent déjà l’immigration clandestine, de sorte que la clôture ne sera érigée que le long de la route principale ; un ponton devra être construit pour sécuriser la frontière.

Les autorités finlandaises ont l’intention de sécuriser environ 200 kilomètres de la frontière avec la Russie, ce qui représente environ 15% de l’ensemble de la frontière orientale, longue de plus de 1300 kilomètres.

Le projet devrait être achevé d’ici 2026.

source : Remix via Géopolitique Profonde

 

 

Gérald Darmanin : “La France n’accueillera pas de migrants qui viennent de Lampedusa

 

 

 

 

Adélaïde Zulfikarpasic au sujet d’un référendum sur l’immigration : « Les Français n’ont peut-être pas l’expertise suffisante pour y répondre »

Adélaïde Zulfikarpasic, experte en études et sondages d’opinion (BVA Xsight) et enseignante à SciencesPo.

 

 

 

Sondage : près de 70% des Français favorables à l’instauration d’un blocus naval par les marines nationales des États concernés par la crise migratoire

Selon un sondage de l’institut CSA pour CNEWS, dévoilé ce mercredi 20 septembre, 69 % des Français se sont dit favorables à l’instauration d’un blocus naval par les marines nationales des États concernés par la crise migratoire, dont la France, afin d’empêcher l’afflux de migrants en Méditerranée. (…)

Dans le détail, ce sont les sympathisants d’EELV qui sont les plus défavorables à cette idée avec 61 % de «non». Ils sont suivis de la France insoumise (56 %). Du côté du Parti socialiste (PS), les résultats sont beaucoup plus mitigés et seulement 50 % des répondants ont répondu «non» à la question posée. (…)

CNEWS

 

 

Le premier terrain de tennis de France en prison inauguré à la maison d’arrêt de Limoges

Le premier terrain de tennis de France en prison installé à la maison d'arrêt de Limoges

La Ville de Limoges et la Fédération Française de tennis ont inauguré le premier terrain de tennis installé au sein d’une prison en France.

Au sein de la maison d’arrêt de Limoges, les détenus peuvent désormais pratiquer l’urban tennis, un sport à l’aide de deux raquettes, une balle en mousse et un filet sur du mobilier urbain.

Mardi 19 septembre, la Ville de Limoges et la fédération française de tennis ont inauguré le premier terrain de ce sport en France en milieu carcéral.

www.lepopulaire.fr

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