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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 septembre 2023

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev revendique la libération de 7 km2 au cours de la semaine écoulée...

 

L’ESSENTIEL

  • Moscou et Kiev s’affrontent à partir de ce lundi à la Cour internationale de justice (CIJ) dans une procédure lancée par l’Ukraine, qui accuse la Russie d’avoir utilisé à tort des allégations de génocide pour justifier son invasion en 2022.
  • Selon la Russie, la CIJ n’a pas compétence car le cas de l’Ukraine n’entre pas dans le champ de la Convention sur le génocide de 1948. Moscou étoffera son raisonnement lundi, Kiev y répondra mardi.
  • Les autorités ukrainiennes ont affirmé dimanche que leurs forces militaires avaient repris Klichtchiïvka, une localité tactiquement importante au sud de la ville de Bakhmout sur le front Est, mais l’armée américaine et l’Otan estiment que la guerre sera longue.

 

08h56 : Kiev revendique la libération de 7 km2 au cours de la semaine écoulée

L’Ukraine a revendiqué lundi la libération de 7 km2 dans l’Est et le Sud occupés par l’armée russe, de petites avancées que Kiev espère tôt ou tard convertir en percée des lignes adversaires, après plus de trois mois de contre-offensive.

La vice-ministre de la Défense Ganna Maliar a indiqué que les forces ukrainiennes avaient repris 2 km2 la semaine passée dans la zone de Bakhmout, notamment les villages d’Andriïvka et Klichtchiïvka. Dans le Sud, elles ont repris 5,2 km2. Au total, depuis le lancement de la contre-offensive, Kiev dit avoir repris 51 km2 aux abords de Bakhmout, et 261,7 km2 dans la partie méridionale du front.

 

 

07h20 : L’Ukraine et la Russie s’affrontent à la CIJ

Moscou et Kiev s’affrontent à partir de lundi à la Cour internationale de justice (CIJ) dans une procédure lancée par l’Ukraine, qui accuse la Russie d’avoir utilisé à tort des allégations de génocide pour justifier son invasion en 2022. Des représentants des deux nations en guerre présenteront leurs arguments devant des juges au siège de la cour, au somptueux Palais de la Paix à La Haye, dans un contentieux autour de la légitimité ou non de la plus haute juridiction de l’ONU à ordonner la fin de l’opération militaire russe en Ukraine.

Le président russe Vladimir Poutine a en partie justifié l’invasion le 24 février 2022 de l’Ukraine voisine par des accusations infondées de « génocide » orchestré par Kiev dans l’est russophone de l’Ukraine. Deux jours plus tard, le 26 février 2022, Kiev a saisi la juridiction, « niant catégoriquement » cette affirmation et arguant que l’utilisation par la Russie d’un « génocide » comme prétexte allait à l’encontre de la Convention des Nations unies sur le génocide de 1948.

En mars 2022, la CIJ s’est rangée du côté de l’Ukraine, ordonnant à la Russie de « suspendre immédiatement » ses opérations militaires, toujours en cours en Ukraine.

 

06h35 : Kim remercie Poutine après son voyage en Russie

Kim Jong-un a exprimé ses « sincères remerciements » à Vladimir Poutine, lors de son voyage retour après une visite de près d’une semaine en Russie, ont rapporté les médias d’Etat ce lundi.

Centré sur la défense, le déplacement du numéro 1 nord-coréen dans l’Extrême-Orient russe, qui s’est achevé dimanche, a révélé des liens militaires potentiels entre les deux pays, Kim Jong-un ayant passé en revue nombre d’équipements comme des fusées spatiales russes ou des sous-marins. Les deux hommes sont allés jusqu’à symboliquement s’offrir mutuellement un fusil. Ce voyage a aussi ravivé les craintes de l’Occident selon lesquelles ce pays isolé et doté de l’arme nucléaire pourrait fournir à Moscou des armes pour son attaque contre l’Ukraine.

 

13h24 : Le leader tchétchène Kadyrov qualifie de « mensonges » les rumeurs sur son état de santé

Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, fidèle allié de Vladimir Poutine en Russie, a publié dimanche une vidéo de lui, non datée, qualifiant de « mensonges » les rumeurs qui circulent sur son état de santé qui se serait dégradé.

Vendredi, des informations de la presse ukrainienne, citant des sources au sein de la diaspora tchétchène et confirmées au média « Obozrevatel » par les renseignements ukrainiens, indiquaient que Ramzan Kadyrov, soutien sans faille de l’offensive russe en Ukraine, était dans le coma, « gravement » malade. Des informations invérifiables de source indépendante par l’AFP.

« Je conseille vivement à tous ceux qui ne parviennent pas à distinguer la vérité du mensonge sur Internet de prendre l’air, de mettre de l’ordre dans leurs idées », a écrit en réponse Ramzan Kadyrov dimanche dans un message accompagnant une courte vidéo tournée en selfie. Sourire aux lèvres, il regarde la caméra, le visage toutefois visiblement gonflé.

DIRECT

 

La Russie frappe les installations de stockage d'uranium appauvri en Ukraine, selon le ministère de la Défense

Vers une guerre de religion, infos du 18 septembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - Les forces armées russes ont attaqué des installations de stockage avec des missiles de croisière Storm Shadow et des munitions à l'uranium appauvri en Ukraine, a annoncé lundi le ministère russe de la Défense.

L'objectif de la frappe a été atteint, a indiqué le ministère, ajoutant que tous les objets ont été touchés.

"Ce soir [dimanche soir], les forces armées russes ont mené une frappe groupée avec des armes aériennes de haute précision à longue portée et ont attaqué des véhicules aériens sans pilote sur les sites de stockage du régime de Kiev avec des missiles de croisière Storm Shadow . , des munitions à l'uranium appauvri , ainsi que des centres de reconnaissance radio et de formation des groupes de sabotage des forces armées ukrainiennes", a indiqué le ministère dans un communiqué.

Plus tôt en septembre, le ministère américain de la Défense a annoncé un nouveau programme d'aide militaire de 175 millions de dollars pour l'Ukraine, comprenant des munitions à l'uranium appauvri pour les chars Abrams, ainsi que des équipements de défense aérienne et des obus d'artillerie de 155 mm. Avant cela, le Royaume-Uni s’était engagé à fournir à l’Ukraine des munitions à l’uranium appauvri radioactif pour les principaux chars de combat britanniques Challenger 2.

Le président russe Vladimir Poutine a averti que Moscou réagirait « en conséquence » au transfert d'obus de chars à uranium appauvri vers l'Ukraine.

Les responsables russes ont mis en garde contre les dangers des armes à uranium appauvri. La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré à la fin du mois dernier que l'utilisation de ces armes transformerait des parties de l'Ukraine en un désert « inhabitable » , avec « une contamination radioactive du sol… déjà en cours » et en cours d'enregistrement.

Le ministère russe de la Défense a également déclaré que l'Ukraine avait perdu jusqu'à 255 militaires dans la direction de Donetsk au cours des dernières 24 heures.

Au cours de la période donnée, les forces armées russes ont repoussé six attaques de l'armée ukrainienne en direction de Donetsk et deux attaques en direction de Krasny Lyman, a indiqué le ministère dans un communiqué.

"Les pertes ennemies [dans la direction de Donetsk] se sont élevées à 255 militaires, trois véhicules blindés de combat et sept véhicules", indique le communiqué du ministère.

L'Ukraine a également perdu plus de 180 soldats tués et blessés dans la direction du sud de Donetsk au cours des dernières 24 heures, a ajouté le ministère.

Spoutnik

 

 

 

Le Canada va allouer 24 millions de dollars pour la fourniture de systèmes de défense aérienne à l'Ukraine

Vers une guerre de religion, infos du 18 septembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - Le Canada contribuera 33 millions de dollars canadiens (24,4 millions de dollars) à un partenariat international dirigé par le Royaume-Uni visant à fournir des systèmes de défense aérienne à l'Ukraine, a annoncé dimanche le gouvernement canadien.

"Le Canada contribuera 33 millions de dollars (CAD) à ce partenariat, qui fournira à l'Ukraine des centaines de missiles de défense aérienne à courte et moyenne portée et les systèmes associés nécessaires pour protéger les infrastructures nationales critiques de l'Ukraine", a indiqué le gouvernement dans un communiqué.

Le communiqué ajoute que cette contribution fera partie du financement de 500 millions de dollars annoncé en juin par le premier ministre Justin Trudeau lors de sa visite à Kiev.

Le partenariat a été créé en juin 2023 par plusieurs pays, dont le Danemark, les Pays-Bas, les États-Unis et le Royaume-Uni, pour fournir des missiles de défense aérienne à l'Ukraine, précise le communiqué.

Les alliés occidentaux ont commencé à injecter des armes et des munitions en Ukraine peu après le lancement par la Russie de son opération militaire dans le pays en février 2022. Le Kremlin a mis en garde à plusieurs reprises contre une nouvelle escalade conduisant à une implication directe de l’OTAN dans le conflit.

Spoutnik

Guerre en Ukraine : Poutine est "un deuxième Hitler" qui va provoquer "une troisième guerre mondiale", Zelensky avertit les Etats-Unis en cas de suppression des aides

 

Les Etats-Unis ont déjà aidé l'Ukraine à hauteur de 70 milliards de dollars. Joe Biden milite pour une rallonge de 20 milliards. Mais les conservateurs s'y opposent. Zelensky monte au créneau. 

Guerre en Ukraine, jour 572.

Les dirigeants mondiaux se réuniront la semaine prochaine à New York (Etats-Unis) pour participer à l'Assemblée générale des Nations unies, dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées qui poussent les grandes puissances mondiales à tenter de s'attirer les faveurs des nations émergentes. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, assistera en personne à la réunion, alors que la guerre en Ukraine devrait encore dominer les discussions cette année. Avec un enjeu de taille. 

70 milliards de dollars

Ce dimanche soir, le leader ukrainien était l'invité de la célèbre émission 60 Minutes, diffusée chaque semaine à la même heure sur la chaîne de télé américaine CBS News. Zelensky s'est montré clair et a adressé un avertissement aux Etats-Unis : "Le monde entier doit décider si nous voulons arrêter Poutine ou si nous voulons déclencher le début d'une guerre mondiale. Nous ne pouvons pas changer Poutine. La société russe a perdu le respect du monde (...) Ils l’ont élu, réélu et ont élevé un deuxième Hitler. Nous ne pouvons pas remonter le temps. Mais nous pouvons l'arrêter ici".

60 Minutes’ Scott Pelley asks Ukrainian President Zelenskyy: “Can you give up any part of Ukraine for peace?” https://t.co/KVMb7F0epu pic.twitter.com/vIn6y6fwHH

— 60 Minutes (@60Minutes) September 18, 2023

Un discours poignant de la part de Zelensky qui sait pertinemment que la question des aides fait rage au Congrès américain. En effet, le président des USA, Joe Biden, a réclamé plus de 20 milliards de dollars (près de 19 millions d'euros) d'aides supplémentaires pour l'Ukraine. Mais les conservateurs s'y opposent, alors que les Etats-Unis ont déjà versé 70 milliards de dollars d'aides en tous genres. 

"Si l’Ukraine tombe, Poutine ira sûrement plus loin. Que feront les États-Unis d’Amérique lorsque Poutine atteindra les États baltes ? Quand il atteint la frontière polonaise ? Parce qu'il le fera", assure Zelensky. "(Les aides américaines) C'est beaucoup d'argent. Nous avons beaucoup de gratitude. Mais que doit faire l’Ukraine pour que chacun puisse mesurer notre immense gratitude ? Nous mourons dans cette guerre".

Source

 

 

L’Amérique ne s’attendait pas à ça, le fusible a été allumé !

 

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Un G20 pour rien

 

par Jean-Baptiste Noé

Les chefs d’État courent après les réunions internationales, multipliant les congrès, les discours et les photos de groupe. En vain. Devenus trop nombreux, ces sommets ont perdu leur sens et leur intérêt.

Un énième sommet du G20, cette fois-ci en Inde. Mais où ni Xi Jinping ni Vladimir Poutine n’étaient présents. Trois jours de réunion, une visite au mausolée de Gandhi, des photos de groupe, des repas et des palabres et un communiqué final qui doit convenir à tout le monde, donc qui ne dit rien. Après le G20 il y aura le G7 puis le sommet des BRICS, celui de l’Europe, de l’Asie du Sud-est, du groupement Sahel, etc. Facilité par l’avion et la rapidité des moyens de communication, ces sommets se multiplient à en donner le tournis. Tout est superficiel, tout est perte de temps. Alors que les entreprises tentent de lutter contre la réunionite, les chefs d’État multiplient les réunions internationales. Ça prend l’avion pour un discours à la tribune de l’ONU, qui n’intéresse personne, puis pour un sommet sur l’environnement, enfin pour parler multilatéralisme ailleurs. Entre hôtel de luxe, petit-déjeuner continental et avion privé, les réunions internationales créent du mouvement, mais n’aboutissent à rien de tangible. Sans compter la fatigue et la dispersion que provoquent ces voyages à répétition.

Problème de représentation

Cela conduit à une concentration pyramidale et à une centralisation autour de la personne du chef d’État ou de gouvernement. À quoi servent alors les ambassadeurs et les ministres des Affaires étrangères si c’est le chef d’État qui se déplace et qui supporte tous les sommets internationaux ? Omniprésents sur la scène mondiale, ils banalisent leur rôle et perdent leur influence. Pour bien faire, les chefs d’État devraient rester dans leur capitale, parler peu et voyager le moins possible. Laissant aux ambassadeurs et au ministre des Affaires étrangères le soin de se rendre à ces réunions.

Jusque dans les années 1970, les voyages de chefs d’État étrangers étaient un véritable événement. À Paris, le pont Alexandre III fut bâti pour célébrer l’alliance russe. Des opéras étaient créés pour l’occasion, les invités se rendaient au théâtre et les sorties culturelles étaient un passage obligé et une façon de connaitre le pays où l’on se rendait. L’absence de Xi et Poutine est une manifestation de cette lassitude à l’égard de ces sommets, moulin à vent de la parole publique.

Récemment, je relisais le discours du général de Gaulle à Phnom Penh (1966). Devant 100 000 personnes, de Gaulle prononça un texte majeur qui redéfinissait la place de la France dans la guerre froide et la guerre du Vietnam et devait enclencher des négociations qui aboutirent à l’accord de Paris de 1973. Ce discours essentiel, dont on parle encore aujourd’hui, fait à peine trois pages. Rien à voir avec les discours-fleuve et creux infligés désormais. C’est une leçon de science politique et de lien entre l’action et la parole : plus on a de choses importantes à dire moins il faut faire usage des mots. La brièveté et la concision permettent la densité et la profondeur. Il en va de même pour ces multiples sommets dont l’inflation des discours est corrélée à la dévaluation de la parole politique.

Ces sommets internationaux donnent l’impression que les chefs d’État fuient leur pays et leur responsabilité en se réfugiant dans ces événements qui leur donnent l’illusion qu’ils sont importants. Un phénomène identique se constate par ailleurs à l’échelle nationale. Dès qu’il y a un accident de la circulation ou une maison de retraite qui brûle le Premier ministre, les ministres de l’Intérieur, de la Justice ou de l’Éducation nationale se déplacent. Pour donner l’impression «d’être sur le terrain», proche des gens, prenant sur eux la souffrance des victimes et de leurs proches. Cela oblige à établir des mesures de sécurité qui empêchent parfois la bonne intervention des secours. Comme secoués dans un shaker à cocktail, les ministres sont ballotés d’un point à l’autre de la France, sans pouvoir travailler leurs dossiers, sans pouvoir lire, sans pouvoir prendre le temps de travailler dans le silence. Cette agitation perpétuelle affaiblit l’action politique, que cela soit au niveau international ou au niveau local.

Fragmentation mondiale

Il est vain de penser que les BRICS pourront un jour concurrencer l’Occident. Si plusieurs pays sont puissants, jamais ils ne pourront s’entendre et s’unir sur un front commun. Ils ont trop de rancœurs, de différences et d’intérêts divergents. Jamais l’Inde et la Chine ne seront alliées, surtout pas au moment où le gouvernement chinois publie une carte mise à jour sur laquelle on voit des morceaux de ses voisins annexés. Le Brésil peut vouloir rééquilibrer ses échanges et limiter sa dépendance aux États-Unis, cela ne signifie pas pour autant qu’il va changer de pied et prendre l’Algérie ou les Philippines comme alliés principaux.

Le «sud global» est trop désuni pour opposer un véritable front à l’Occident. Trop désuni et trop concurrentiel pour former un seul bloc qui pourrait imposer une quelconque volonté. Pour l’instant, cela reste au stade du concept et ne forme nullement un nouveau bloc géopolitique. Comme les non-alignés autrefois ou même le bloc communiste, qui se fissura bien vite entre titistes et maoïstes, staliniens et castristes. Les intérêts nationaux l’emportent toujours sur les grandes idées, ni les nations ni les États n’ont encore disparu.

source : Institut des Libertés

 

 

Tunisie : avec des blindés, les forces de sécurité évacuent 500 migrants subsahariens de Sfax, une ville accusée d’être le point de départ d’une vague de migration clandestine vers l’Italie

Avec des blindés, les forces de sécurité tunisiennes ont évacué dimanche matin une place sur laquelle environ 500 migrants d’Afrique subsaharienne étaient rassemblés dans le centre de Sfax.

[…]

 

Le Parisien

 

 

 

Une “invasion” migratoire à Lampedusa ? Éric Zemmour le pense pour une île d’environ 6.000 personnes, Olivier Faure lui rétorque qu’il y a “200.000 expatriés Français en Afrique”… et son plus d’un milliard d’habitants


 

 

Lampedusa : un centre pour migrants va être installé à Menton sur réquisition de la préfecture, alors que Darmanin a encore affirmé ce matin que la France empêcherait les clandestins d’arriver

200 personnes par jour seront accueillies au maximum dans cet espace de mise à l’abri qui se situera à Menton, près de la frontière italienne.

La préfecture des Alpes-Maritimes va réquisitionner un terrain sur la commune de Menton pour accueillir des migrants pour faire face à l’afflux de Lampedusa, a appris BFMTV de la part de la protection civile et de la police aux frontière de la commune ce lundi à la mi-journée.

Un terrain va être choisi dans les prochaines heures pour y installer au moins 150, voire 200 personnes, par jour au maximum. Cet espace sera géré par la protection civile et sera installé à quelques centaines de mètres de la frontière italienne.

www.bfmtv.com

 

 

Migrants à Lampedusa: plus de 250 personnes refoulées à la frontière française (MàJ)


17/09/2023


[…]

“Ces migrants vont tenter de traverser la frontière, c’est une évidence”

C’est le cas par exemple dans les Hautes-Alpes et notamment sur la commune de Montgenèvre, à la frontière italienne, où la police intercepte déjà plus de 60 migrants par jour. Trois fois plus qu’au début de l’année. Les services de police aux frontières sont saturés et la situation pourrait empirer avec la crise migratoire de Lampedusa.

“Ces migrants vont tenter de traverser la frontière, c’est une évidence. On est une cinquantaine de policiers affrétés de manière pérenne pour tenir la frontière… Les policiers sont déjà très fatigués, on est très inquiets”, avoue Vincent Guillermin, secrétaire départemental du syndicat Alliance, au micro d’Europe 1.

“Les pouvoirs publics doivent être à la hauteur”

Une tension aux frontières constatée aussi du côté de la Savoie. Mireille Bertho, responsable de l’accueil pour l’association “Savoie Solidarité Migrants” tire la sonnette d’alarme. Aujourd’hui, les capacités d’hébergement ne sont déjà plus suffisantes. 

“Nous sommes en difficulté parce que les centres d’hébergement d’urgence n’ont pas les moyens, pour le moment, en adéquation avec les besoins. Nous disons aux pouvoirs publics qu’ils doivent être à la hauteur de l’événement. Actuellement, ce n’est plus possible pour nous”, confie-t-elle. 

[…]

 

Europe1

 

 

 

Eric Zemmour : « Cet été, on a vu tout le cycle : émeutes, abaya, Lampedusa, on envahit, on pille, on colonise »

 

 

Stains (93) : un policier encerclé et roué de coups par 20 personnes lors d’une intervention pour un refus d’obtempérer, un second fonctionnaire tire en l’air pour mettre fin à l’agression (Màj : « On n’est pas passé loin du drame »)

 


17/09/2023

INFO ACTU17. Un policier a ouvert le feu en l’air, à plusieurs reprises, ce samedi soir à Stains (Seine-Saint-Denis), pour mettre fin à la violente agression de son collègue qui était roué de coups au sol par une vingtaine d’individus. Quatre suspects ont été interpellés et deux policiers ont été blessés.

[…]

 

Dans le même temps, des renforts ont été demandés et ne tardent pas à arriver. Un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) aperçoit trois suspects qui prennent la fuite à bord d’une Audi A1. Le véhicule est stoppé et les occupants immédiatement interpellés. Les policiers de la BTC ont interpellé un quatrième suspect. “Des moyens lacrymogènes ont été nécessaires pour maintenir les agresseurs à distance durant les interpellations”, précise la même source. Les quatre hommes interpellés ont été placés en garde à vue.

[…]

 

Actu17

 

 

Mélenchon : « La plupart des pays d’Europe ont besoin d’immigration juste pour survivre » ; « Si moi et mes amis venaient à gouverner, on commencerait par une vague de régularisations massives de clandestins » (MàJ)

 

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