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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale

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Les Infos du 15 septembre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : « Aucun accord » n’a été signé durant la visite de Kim Jong-un en Russie, selon Moscou...

 

L’ESSENTIEL

  • Les autorités ukrainiennes ont ordonné jeudi des évacuations obligatoires de civils dans la région de Kherson, dans le sud du pays, en partie contrôlée par les forces russes et régulièrement visée par des bombardements.
  • La Cour pénale internationale (CPI) a ouvert un bureau à Kiev, « le plus grand » en dehors de La Haye, a annoncé le procureur général ukrainien Andriï Kostine alors que l’Ukraine cherche à établir un tribunal spécial pour mettre en accusation les dirigeants russes après l’invasion du pays, lancée le 24 février 2022.
  • La Russie a annoncé l’expulsion de deux diplomates américains, accusés d’avoir servi d’agents de « liaison » pour un ex-employé russe arrêté en début d’année et soupçonné d’avoir transmis aux Etats-Unis des informations sur le conflit en Ukraine.

 

 

13h23 : Le mail de Marine Le Pen au vice-président de la Douma

C’est une découverte qui pourrait mettre le Rassemblent national dans l’embarras. Des hackers ukrainiens ont déniché un mail de Marine Le Pen adressé à Alexander Babakov le vice-président de la Douma, la chambre basse de l’Assemblée fédérale de Russie, relayé par Mediapart. « Je souhaiterais vous demander, cher Alexandre Mikaïlovitch, de nous aider, comme vous l’avez fait la dernière fois, à l'organisation de cette rencontre et de toutes celles que vous jugerez utiles », peut-on lire dans le courrier. De quoi mettre à mal la défense du parti d’extrême droite dans l’affaire des prêts russes.

 

 

11h50 : « Aucun accord » n’a été signé durant la visite de Kim Jong-un

« Aucun accord n’a été signé, et cela n’était pas prévu », durant la visite du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un en Russie, a affirmé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à des journalistes. Les Etats-Unis soupçonnaient la Russie de vouloir acheter des armes à Pyongyang pour le conflit en Ukraine, tandis que la Corée du Nord est suspectée de vouloir acquérir des technologies pour ses programmes nucléaires et de missiles.

 

11h21 : Une « percée » importante vers Bakhmout

La reprise de la localité d’Andriïvka ouvre la voie à « une percée sur le flanc droit de Bakhmout » et est importante pour le succès de la contre-offensive ukrainienne, a assuré ce matin la troisième brigade d’assaut ukrainienne, engagée sur le terrain et qui avait démenti la veille la prise d’Andriïvka.

« A la suite d’une opération éclair, la garnison russe d’Andriïvka a été encerclée, coupée des forces principales et détruite », a assuré la troisième brigade sur Telegram, affirmant avoir « liquidé quasiment toute l’infanterie de la 72e brigade » russe ainsi que plusieurs membres de son commandement. « Les combats se poursuivent, nos unités continuent de consolider leurs positions », selon la même source.

 

08h37 : Kim Jong-un à Komsomolsk-sur-l’Amour pour visiter une usine aéronautique

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, en déplacement en Russie, est arrivé ce matin à Komsomolsk-sur-l’Amour, dans l’Extrême-Orient russe, pour y visiter une usine aéronautique, ont rapporté des agences de presse russes.

« Kim Jong-un est arrivé en train à la gare ferroviaire de Komsomolsk-sur-l’Amour », a indiqué l’agence de presse publique russe TASS, avant de préciser que le numéro un nord-coréen se rendait dans une « usine aéronautique ». Selon l’agence Interfax, cette entreprise produit des « équipements militaires et civils ».

 

07h17 : Difficile communication sur la prise ou non d’Andriïvka

L’armée ukrainienne a annoncé vendredi matin avoir repris le village d’Andriïvka, à quelque dix kilomètres au sud de la ville dévastée de Bakhmout sur le front est, sur l’un des axes de la difficile contre-offensive des troupes de Kiev.

« Les Forces de Défense ont eu un succès partiel dans la zone de Klichtchiïvka lors d’opérations offensives. Au cours de leur assaut, elles ont libéré Andriïvka dans la région de Donetsk (et) ont infligé des pertes significatives à l’ennemi en matière de d’effectifs et d’équipements », a communiqué l’état-major ukrainien dans son compte rendu quotidien diffusé sur Facebook.

 

 

HIER

20h41 : Les autorités ordonnent des évacuations de civils dans la région de Kherson

Les autorités ukrainiennes ont ordonné jeudi des évacuations obligatoires de civils dans la région de Kherson, dans le sud du pays, en partie contrôlée par les forces russes et régulièrement visée par des bombardements. « Le Conseil de défense régional de Kherson a décidé d’évacuer de manière obligatoire les familles avec enfants des localités soumises à des tirs ennemis constants », a indiqué sur Telegram le gouverneur Oleksandre Prokoudine.

 

19h48 : Washington prévoit de riposter à l’expulsion de diplomates américains de Russie

Les Etats-Unis ont dénoncé jeudi la décision « injustifiée » de Moscou d’expulser deux de ses diplomates en poste dans la capitale russe et promis de « riposter » en temps voulu. « Cette expulsion injustifiée de notre personnel diplomatique est sans aucun fondement », a déclaré à la presse le porte-parole du département d’Etat, Matthew Miller.

DIRECT

 

 

 

 

En Russie, Kim Jong-un monte à bord d'un chasseur Su-35 - photos

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 septembre 2023

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a inspecté les usines aéronautiques russes dans la ville extrême-orientale de Komsomolsk-sur-l'Amour, a indiqué le cabinet russe dans un communiqué.

Kim Jong-un continue son voyage à travers la Russie. Cette fois, le dirigeant nord-coréen a visité des usines d'avions à Komsomolsk-sur-Amour.

Accompagné du vice-Premier ministre russe et ministre de l'Industrie et du Commerce Denis Mantourov, le dirigeant a notamment visité l'atelier d'assemblage final des avions Su-35 et SJ-100, a indiqué le cabinet.

Au cours de sa visite, il a également assisté à un vol de démonstration du chasseur multirôle russe Su-35.

Vers une guerre de religion, infos du 15 septembre 2023
Vers une guerre de religion, infos du 15 septembre 2023

Une visite historique

Le leader nord-coréen est arrivé en Russie à bord d'un train blindé le 12 septembre. Le lendemain, il s'est rendu sur le cosmodrome Vostotchny, en Extrême-Orient russe, pour tenir des pourparlers avec Vladimir Poutine.

Il s'agit du premier voyage de Kim Jong-un à l'étranger depuis le début de la pandémie de Covid-19. Le Coréen a invité son homologue russe à se rendre dans son pays à tout moment. Une invitation que Vladimir Poutine a acceptée "avec plaisir".

Spoutnik

 

 

 

La Russie fabrique 7 fois plus de munitions que l'Occident, selon un responsable estonien

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 septembre 2023

L’industrie militaire russe continue de tourner à plein régime et la production de munitions dépasse les niveaux d’avant-guerre, ont déclaré des responsables occidentaux au New York Times.

Le complexe militaire russe ne connaît pas la crise. En dépit des sanctions, la production de missile et de munitions prospère, ont déclaré des responsables occidentaux au New York Times. Moscou produit désormais 7 fois plus de munitions que l'Occident, a même expliqué au quotidien un haut responsable du ministère estonien de la Défense.

Les sanctions occidentales ont d'abord contraint la Russie à ralentir sa production militaire pendant six mois, écrit le New York Times. Mais depuis, Moscou est parvenu à contourner l'essentiel des restrictions, en exploitant notamment certaines failles dans les plans de sanctions, insiste le quotidien..

"Ils sont devenus de plus en plus créatifs (…). Nous avons travaillé agressivement, de différentes manières pour y mettre un frein", a déclaré au New York Times Matthew S.Axelrod, secrétaire assistant au ministère américain du Commerce pour le contrôle des exportations.

D'autres responsables ont déclaré au journal que la Russie pouvait désormais fabriquer deux millions d’obus par an, soit deux fois plus que ce que les renseignements occidentaux estimaient possible avant le conflit.

La bonne santé du complexe militaro-industriel russe dépasse d'ailleurs la production de munitions. La Russie est désormais capable de fabriquer 200 chars par an, contre seulement 100 avant le début du conflit, explique un haut responsable occidental de la défense au quotidien new-yorkais.

Un automne et un hiver compliqués

Les experts craignent désormais qu’un stock accru d’artillerie russe complique l'hiver côté ukrainien, en particulier si la Russie intensifie ses attaques contre les infrastructures énergétiques, rapporte le New York Times.

Plusieurs observateurs estiment par ailleurs que la contre-offensive ukrainienne vit ses dernières heures. N'ayant pu engranger les succès espérés, Kiev n'a désormais plus une capacité de combat que pour tenir trois ou quatre semaines, avait ainsi récemment affirmé l'ancien analyste de la CIA Larry Johnson.

Spoutnik

 

 

La Russie prend de l’avance dans la course à l’armement

 

par Andrew Korybko

La politique de sanctions de l’Occident n’a pas réussi à réduire la production militaro-industrielle de la Russie, qui a plutôt augmenté au cours des 18 derniers mois en raison de l’approvisionnement clandestin et de la transition réussie vers une économie de guerre chez plusieurs des puissances de l’alliance du Pacifique. En outre, toutes les lacunes qui existent encore dans la production, le matériel et la main-d’œuvre peuvent facilement être comblées par la RPDC, ajoutant ainsi un contexte stratégique crucial à la visite de Kim Jong Un en Russie plus tôt cette semaine.

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a admis tardivement à la mi-février que son bloc était engagé dans une «course logistique»/«guerre d’usure»  avec la Russie, et plus de six mois plus tard, le New York Times (NYT) vient de confirmer que Moscou est loin devant dans cette compétition à l’armement et à la guerre. Voici les points saillants pertinents de leur dernier article sur la façon dont «la Russie surmonte les sanctions pour accroître la production de missiles, disent les responsables», qui sera ensuite analysé pour informer les lecteurs de la dernière dynamique de OTAN-Russie procuration guerre en Ukraine.

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Le complexe militaro-industriel russe fonctionne mieux que jamais

La Russie a réussi à surmonter les sanctions et les contrôles à l’exportation imposés par l’Occident pour étendre sa production de missiles au-delà des niveaux d’avant-guerre, selon des responsables américains, européens et ukrainiens, laissant l’Ukraine particulièrement vulnérable à l’intensification des attaques dans les mois à venir.

Ses services de renseignement militaire sont responsables de ce succès stupéfiant

La Russie a subverti les contrôles à l’exportation américains en utilisant ses services de renseignement et son ministère de la Défense pour gérer des réseaux illicites de personnes qui font passer en contrebande des composants clés en les exportant vers d’autres pays d’où ils peuvent être expédiés plus facilement en Russie.

L’Ukraine devrait se préparer à une attaque de missiles à l’échelle nationale

Les responsables craignent que l’augmentation des stocks de missiles ne signifie un hiver particulièrement sombre et froid pour les citoyens ukrainiens … L’Ukraine ne dispose pas de suffisamment de systèmes de défense aérienne pour couvrir l’ensemble du pays et doit choisir les sites qu’elle défend. Un barrage accru de missiles pourrait submerger les défenses aériennes du pays.

La Russie a réussi sa transition vers une économie de guerre

Aujourd’hui, les responsables russes ont refait leur économie pour se concentrer sur la production de défense…de guerre.  Le haut responsable occidental de la défense a déclaré que la Russie avait réaffecté près d’un tiers de son économie commerciale à la production d’armes.

Sa production d’artillerie est 7 fois supérieure à celle de l’OTAN.

À la suite de la poussée, la Russie produit maintenant plus de munitions que les États-Unis et l’Europe. Dans l’ensemble, Kusti Salm, un haut responsable du ministère estonien de la Défense, a estimé que la production actuelle de munitions de la Russie est sept fois supérieure à celle de l’Occident.

Et ses coquilles coûtent 10x moins cher à produire

«Il en coûte à un pays occidental 5 000 à 6 000 dollars pour fabriquer un obus d’artillerie de 155 millimètres, alors qu’il en coûte à la Russie environ 600 dollars pour produire un obus d’artillerie comparable de 152 millimètres», a-t-il déclaré.

La Russie a aussi maintenant plus de certains types de missiles qu’avant l’opération spéciale.

«Il n’a pas d’énormes stocks de missiles, bien qu’ils en aient plus de certains types – comme le missile de croisière Kh-55 lancé par air – en stock maintenant qu’ils ne l’étaient au début de la guerre, selon des personnes informées des rapports de renseignement.»

Plusieurs sacs à dos de puces de contrebande peuvent faire plusieurs centaines de missiles de croisière

Dans les cas où la Russie a besoin de millions d’un composant particulier, les contrôles à l’exportation peuvent interrompre la production. Mais les puces nécessaires pour fabriquer quelques centaines de missiles de croisière tiendraient dans quelques sacs à dos, ce qui rend le contournement des sanctions relativement simple, a déclaré M. Alperovitch.

Et seules les puces de base et largement disponibles sont nécessaires, pas les puces high-tech et ultra-restreintes

«L’un des défis pour le gouvernement américain est que la Russie n’a pas besoin de puces haut de gamme plus faciles à suivre, mais de puces banalisées qui peuvent être utilisées dans un large éventail de choses, pas seulement des missiles guidés.»

La Russie se tournerait vers la Corée du Nord pour renforcer davantage son arsenal

Même si la Russie est sur le point de produire deux millions de cartouches par an, elle a tiré environ 10 millions de cartouches d’artillerie l’année dernière. Cela a conduit Moscou à chercher désespérément des sources alternatives pour augmenter ses stocks, plus récemment en essayant de conclure un contrat d’armement avec la Corée du Nord, ont déclaré des responsables américains et occidentaux.

Ce pays ou d’autres pourraient aussi théoriquement aider la Russie à se procurer des matériaux supplémentaires

Et bien que Moscou ait réussi à faire passer des processeurs et des cartes de circuits imprimés, elle est confrontée à une pénurie de propergol de fusée et d’explosifs de base, ont déclaré des responsables américains, du matériel qui peut être plus difficile à faire passer en contrebande que les circuits imprimés. Ces pénuries sont susceptibles de contraindre Moscou s’il tente d’intensifier sa production de munitions, de missiles ou de bombes.

Andrew Korybko

 

 

Les États-Unis sont prêts à envoyer les armées de leurs pairs de l’OTAN se faire massacrer, selon un haut responsable russe de la sécurité

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 septembre 2023

Washington enverra facilement les troupes des autres pays membres de l’alliance [OTAN] se faire massacrer sans risquer la vie de ses militaires, a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolai Patrushev.

Patrushev a précisé que les États-Unis traitent les troupes des membres de l'alliance comme des « armées coloniales », ce qui signifie qu'elles sont inutilisables par rapport au peuple américain « privilégié ». Il a ajouté que les organisations terroristes internationales sont également soutenues et financées par les services secrets occidentaux et sont utilisées pour renforcer « l'influence atlantiste ».

Patrushed a ajouté que des centaines d'employés des services de renseignement étrangers et d'autres personnes impliquées dans des travaux de reconnaissance et subversifs contre la Russie et ses partenaires stratégiques ont été neutralisés ces dernières années.

Les Etats-Unis et l'Europe consacrent d'énormes ressources à la recherche et à l'éducation de soi-disant « jeunes dirigeants démocrates » dans des centres éducatifs spécialisés, qui seront ensuite utilisés pour organiser des coups d'État visant à créer des régimes dépendants de l'Occident dans des États auparavant indépendants, a déclaré Patrushev dans un article pour le magazine Razvedchik ("Intelligence Officer").

"Ces dernières années, des centaines d'employés des services de renseignement étrangers , ainsi que d'autres personnes impliquées dans l'organisation de renseignements et d'activités subversives contre notre pays et nos partenaires stratégiques, ont été identifiés et neutralisés", a déclaré Patrushev.

Activités subversives des envoyés occidentaux

Les ambassadeurs des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France ont tenté de contraindre les délégations d'autres pays à ne pas se rendre en Russie pour une réunion internationale sur la sécurité sous les auspices du Conseil de sécurité russe, a déclaré Nikolai Patrushev dans un article.

Du 23 au 25 mai, la Russie a accueilli la 11e réunion internationale des hauts représentants chargés des questions de sécurité sous les auspices du Conseil de sécurité russe. Le forum a réuni des délégations de 101 pays et de six organisations internationales.

"La conférence s'est déroulée dans une situation internationale difficile, sous des pressions manifestes, lorsque les ambassadeurs des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France ont tenté de contraindre les participants à refuser de se rendre en Russie", a souligné Patrouchev.

Spoutnik

 

 

 

L’Occident ne parvient pas à monter les pays émergents contre Moscou, selon le Wall Street Journal

 

La plupart des pays émergents ne comptent pas prendre parti pour Kiev, malgré les efforts occidentaux. Ces économies montantes veulent avant tout préserver leur indépendance et leurs intérêts.

Des efforts mal payés. Depuis plusieurs mois, l’Occident essaie en vain de faire basculer les pays émergents sur le dossier ukrainien, rapporte le Wall Street Journal. Mais c’est peine perdue, car ces économies émergentes, comme l’Inde, le Brésil ou l’Afrique du Sud, ne comptent pas s’aliéner la Russie.

Ces puissances régionales comptent bien «rester neutres face au conflit», note le quotidien américain. Certaines d’entre elles aident même la Russie à contourner les sanctions occidentales. Ceci explique que les critiques à l’égard de Moscou soient devenues moins virulentes sur la scène internationale depuis quelque temps.

«Ces derniers mois, disent les diplomates et observateurs, la volonté de la communauté internationale de critiquer publiquement la Russie a faibli. Un certain nombre de pays en développement se sont opposés aux appels de l’Ukraine et de ses partisans, qui exigent de la Russie des réparations pour les dommages causés», écrit ainsi le Wall Street Journal.

Pas les mêmes priorités

Cette résistance des pays émergents à la ligne occidentale sur l’Ukraine s’explique par une différence de calendrier. Ces États n’ont en effet pas les mêmes priorités et souhaitent avant tout s’appesantir sur les inégalités mondiales et l’allégement de la dette, souligne le quotidien américain. Des questions qui devraient d’ailleurs être mises sur la table lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies, le 19 septembre.

L’Occident a en outre sous-estimé le degré d’hostilité envers les États-Unis et l’Europe dans certaines parties du monde. Méfiants, les pays émergents veulent «défendre leur indépendance et leurs intérêts sur la scène internationale», plutôt que de se plier aux desiderata occidentaux.

Le dernier sommet du G20 en Inde avait déjà cristallisé les tensions entre l’Occident et les puissances émergentes au sujet de l’Ukraine. La déclaration finale des membres avait été un «coup dur» pour les pays occidentaux, avait ainsi affirmé le Financial Times.

source : Sputnik Afrique

 

 

 

 

Le Quai d’Orsay interdit aux scènes culturelles subventionnées toute collaboration avec les artistes du Mali, du Niger et du Burkina Faso

Le Quai d’Orsay interdit aux scènes culturelles subventionnées toute collaboration avec les artistes du Mali, du Niger et du Burkina Faso

Sidération dans le spectacle vivant, où la crise qui sévit entre la France et le Niger, le Mali et le Burkina Faso vient de s’inviter sur un territoire artistique qui n’en demandait pas tant. « Sur instruction du ministère de l’Europe et des affaires étrangères », les établissements culturels subventionnés ont appris qu’ils devaient « suspendre, jusqu’à nouvel ordre, toute coopération avec les pays suivants : Mali, Niger, Burkina Faso ».

Ce message, expédié par les directions générales des affaires culturelles (DRAC) aux structures culturelles qui dépendent de ses services (centres dramatiques et chorégraphiques nationaux et scènes nationales) a transité par le secrétariat du ministère de la culture. Les mesures préconisées sont radicales : « Tous les projets de coopération qui sont menés par vos établissements ou vos services avec des institutions ou des ressortissants de ces trois pays doivent être suspendus, sans délai, et sans aucune exception. Tous les soutiens financiers doivent également être suspendus, y compris via des structures françaises, comme des associations par exemple. De la même manière, aucune invitation de tout ressortissant de ces pays ne doit être lancée. A compter de ce jour, la France ne délivre plus de visas pour les ressortissants de ces trois pays sans aucune exception, et ce jusqu’à nouvel ordre. »

Qualifié de « comminatoire » par le tout-puissant Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles (Syndeac), cet ordre venu d’en haut sème la stupeur dans les rangs du milieu culturel. « Nous n’avons jamais connu d’injonction de la sorte », explique Bruno Lobé, vice-président du syndicat et directeur du Manège, scène nationale de Reims. « La philosophie de la France vis-à-vis d’artistes vivant dans des pays avec lesquels elle est en conflit a toujours été de continuer à les inviter, sans jamais rompre le dialogue. Ces créateurs sont déjà empêchés de travailler par leurs propres gouvernants. Si nous en rajoutons une couche, ce sera pour leur viabilité mais aussi pour l’image de la France, une véritable catastrophe. »

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Comment la France est devenue indésirable dans le Sahel

 

 

« C’est l’apocalypse » : en Italie, près de 7.000 migrants ont débarqué sur l’île de Lampedusa en 48 heures (MàJ)

15/09/2023


14/09/2023


Le maire de la petite île italienne de Lampedusa, Filippo Mannino, a indiqué, jeudi, que “ces dernières 48 heures, environ 7 000” migrants ont débarqué sur l’île. Le maire précise à la radio italienne RTL 102.5 qu’un “point de non-retour” a été atteint et que “l’île est en crise”.

​​​​​​Lampedusa n’arrive plus à faire face à l’affluence des migrants qui débarquent sur ses côtes. “Ces dernières 48 heures, environ 7 000 personnes sont arrivées à Lampedusa, qui les a toujours accueillies à bras ouverts”, a déclaré, jeudi 14 septembre, le maire Filippo Mannino, à la radio italienne RTL 102.5. “Cependant, nous avons atteint un point de non-retour et l’île est en crise”, a-t-il déploré. “L’Europe et l’État italien doivent intervenir immédiatement en lançant une opération de soutien et d’évacuation rapide.”

“C’est l’apocalypse”, voilà comment le prêtre de l’île résume la situation.

France 24

 

Note : et ce sont eux qui créent cette apocalypse 

 

Depuis mars, 1600 migrants clandestins SDF ont été déplacés de Paris vers la province afin de faire place nette pour les JO 2024

L’État est il vraiment en train de faire place nette dans les rues de Paris avant les Jeux olympiques ? C’est ce que dénoncent certaines associations, alors que 1 600 migrants ont été dirigés vers d’autres régions françaises depuis la mi-mars et la mise en place de ce dispositif lancé il y a tout juste six mois.

(…)

A l’issue de ces trois semaines, certains de ces migrants vont dans des centres pour demandeurs d’asile, d’autres, très peu, trouvent des logements. En fait, deux points posent problème. D’abord, une grande partie s’évapore, ne reste pas dans le dispositif : 40% à Bordeaux partent sans que l’on sache ce qu’ils deviennent. C’est 20% au niveau national. Des personnes qui, selon la préfecture et les associations, retournent très certainement à Paris où ils ont des connaissances et des opportunités de travail au noir. L’autre problème que soulèvent les élus locaux, c’est que plus de la moitié de ces migrants, une fois qu’ils sont partis du sas, se retrouvent dans des centres d’hébergement d’urgence, dans des villes déjà saturées. Harmonie Lecerf-Meunier est adjointe écologiste à la mairie de Bordeaux, en charge des solidarités.  “À Bordeaux, on est saturés, sur-saturés… Des associations ont fait une étude avec huissier : pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, ils ont suivi avec un huissier des maraudes. À chaque appel du 115, ils avaient 100% de réponse : ‘Nous n’avons pas de places’. On a des familles à la rue, on a des enfants à la rue, on a des bidonvilles, des squats. De toute façon, à Bordeaux, on ne peut pas accueillir plus de personnes.” 

Toutes ces villes concernées, tout comme les associations, sont favorables à la solidarité des territoires. Mais elles demandent au gouvernement de créer des places d’hébergement d’urgence, au risque de déplacer un problème de Paris vers les autres villes françaises.

France TV

 

 

Cour d’assises de la Côte-d’Or : Muhamad Usman, un Pakistanais parti en Turquie pour emprunter la route des migrants jusqu’à Paris puis Dijon, viole Marie-Christine ; il n’a pas eu d’émotion ni d’empathie pour sa victime, dix ans de réclusion

Sans grande surprise, malgré les dénégations de l’accusé, la cour d’assises de la Côte-d’Or a condamné Muhamad Usman à dix ans de réclusion pour le viol de Marie-Christine, une quinquagénaire dijonnaise, le 9 avril 2021.

Le jeune ressortissant pakistanais n’a, il est vrai, pas été très convaincant au cours des deux jours de débats. « Il n’a rien laissé transparaître », remarque l’avocate générale Marie-Eugénie Avazéri dans ses réquisitions. Pas d’émotion, pas d’empathie pour sa victime.

[…]

 

Bien Public

Muhamad Usman est lui aussi englué dans une addiction. Au Pakistan, il prend jusqu’à 5 grammes de cocaïne par jour. Sa famille tente de le désintoxiquer et l’envoie un an en Arabie Saoudite. Là-bas, les cures sont radicales : les toxicomanes sont décapités.

« Je suis revenu après treize mois là-bas, mais j’ai retrouvé mes amis et un mois après, j’ai replongé », explique l’accusé. Deuxième tentative : sa famille l’envoie en Turquie, loin de ses mauvaises fréquentations. Mais l’aventure tourne court. Et Muhamad Usman emprunte la route terrible des migrants. Jusqu’à Paris puis Dijon.

« Pourquoi n’êtes-vous pas rentré auprès de votre famille au Pakistan », l’interroge la présidente Martinet. « Si j’y retourne, je vais retrouver mes amis drogués », assure-t-il. On sent que la famille n’est pas, ou n’est plus, un cocon protecteur pour lui, comme pour Marie-Christine. En fait, il semble surtout terriblement seul, ici où là-bas.

[…]

 

Bien Public

 

Marseille : Quentin, 23 ans, tué de plusieurs coups de couteau lors d’un différend routier ; un suspect, connu des services de police, interpellé

INFO ACTU17. Quentin, un jeune homme de 23 ans, a reçu plusieurs coups de couteau lors d’un différend entre automobilistes, le 1er septembre dernier, dans le 8e arrondissement de Marseille. Il est finalement décédé des suites de ses blessures ce lundi. L’auteur présumé des faits a été interpellé.

Un jeune homme de 23 ans a été poignardé et grièvement blessé le 1er septembre dernier à Marseille, au cours d’un différend entre automobilistes qui a dégénéré. Quentin, qui était depuis hospitalisé en réanimation à l’hôpital de La Timone, est finalement décédé des suites de ses blessures ce lundi, a appris Actu17.

(…) Le jour des faits, vers 19h45, deux automobilistes ont eu une altercation à hauteur du 550 avenue du Prado, dans le quartier de La Plage (8e), comme révélé par Actu17. La tension est rapidement montée et l’un d’eux est descendu, armé d’un couteau. Il a poignardé Quentin, qui était passager dans la seconde voiture, une Peugeot 206, au niveau de la gorge, du thorax, à l’aine et à un bras. Le conducteur de la 206, qui est le frère de la victime âgé de 22 ans, a lui aussi été blessé à l’arme blanche, plus légèrement, tout comme le second passager.

(…) Les policiers de la brigade de sûreté urbaine (BSU) sud sont chargés des investigations. Selon nos informations, l’auteur présumé des faits, âgé de 24 ans, déjà bien connu des services de police notamment pour des faits de violences, a été interpellé dans la nuit du 2 au 3 septembre peu avant 1 heure par les policiers de la brigade spécialisée de terrain (BST) du Centre, avant d’être placé en garde à vue.

(…) Actu 17

 

 

Pierre Conesa: «mieux vaut être un expulsé inexpulsable qu’un SDF français, vous êtes logé, nourri, blanchi» ; «la France a la + grosse communauté chinoise, vietnamienne, arménienne, juive [et] on a des problèmes qu’avec»

 

 

 

Guillaume Bigot : « je connais un citoyen français d’origine sénégalaise qui s’est fait passer pour un migrant pour être logé » ; « on traite mieux les étrangers qui arrivent que les pauvres du pays »

 

 

 

Des migrants clandestins de Lampedusa interrogé sur le racisme : « Les Tunisiens sont des racistes ! Tous les pays du Maghreb ! », mais ce ne sont pas les blancs européens qui sont vus comme des racistes ? « Non ! »

 


 

Nous sommes depuis le début” : quand la BBC conçoit pour ses programmes jeunesse une chanson expliquant que les Noirs ont toujours fait partie de la population des îles Britanniques

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