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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 6 aout 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Russie annonce avoir frappé des bases militaires dans l'ouest de l'Ukraine…

 

L’ESSENTIEL

  • Une bombe russe sur un centre de transfusion sanguine dans l’est de l’Ukraine a fait « des morts et des blessés » samedi soir, a annoncé Volodymyr Zelensky. Le centre se trouve à Koupiansk, dans la région de Kharkiv.
  • Dans la nuit de vendredi à samedi, une offensive ukrainienne à l’aide d’un drone et d’explosifs contre un pétrolier russe dans le détroit de Kertch a interrompu brièvement le trafic sur le pont stratégique reliant la Crimée à la Russie. Les tensions vont croissant en mer Noire. Moscou a également affirmé samedi avoir fait décoller un Su-30 pour intercepter un drone américain Reaper au-dessus de la mer.
  • Le président ukrainien était samedi en Arabie saoudite pour une réunion incluant des puissances émergentes proches de la Russie pour discuter de la « crise ukrainienne ». A la fois proche de Moscou et de Washington, Riyad a particulièrement tenu à recevoir le Brésil, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, puissances émergentes membres des Brics (avec la Russie) qui, contrairement aux Occidentaux, n’ont pas pris partie pour l’Ukraine sans toutefois soutenir l’invasion russe. La Russie n’était pas représentée, Kiev étant à l’origine de ces discussions.

 

 

11h08 : Le maire de Moscou affirme que l’armée à abattu un drone qui visait la capitale

Le maire de Moscou Sergueï Sobianin a annoncé qu'un drone visant la capitale russe avait été abattu dimanche par les forces de défense aériennes, après plusieurs attaques similaires. « Aujourd'hui, vers 11 heures, un drone a tenté une percée vers Moscou. Il a été détruit à son approche par les forces de défense aérienne », a affirmé le maire sur Telegram.

 

HIER

16h55 : La Russie dit avoir intercepté un drone américain au-dessus de la mer Noire

Moscou a affirmé ce samedi avoir intercepter un drone américain Reaper qui s’approchait, selon elle, de sa frontière au-dessus de la mer Noire, et qui a ensuite fait demi-tour.

« L’équipage du chasseur russe a identifié la cible aérienne comme étant un drone de reconnaissance MQ-9A "Reaper" de l’US Air Force », a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : ses bateaux attaqués en mer Noire, la Russie riposte avec plus de 70 tirs de missiles et de drones confondus

Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023

Une nuit très compliquée en Ukraine. 

Guerre en Ukraine, jour 528. 

Cette nuit, la Russie s'est littéralement déchaînée sur l'Ukraine. Selon la publication de l'armée de l'air ukrainienne sur le réseau social Telegram, la Russie a fait feu de tout bois.

Jugez plutôt : les Russes ont procédé à plusieurs vagues d'attaque avec plus de 70 tirsmissiles et drones confondus. Les missiles utilisés étaient de types différents : de croisière, aérobalistiques et balistiques, et les drones étaient de type Shahed, soit de fabrication iranienne. 

Riposte

Selon The New Voice of Ukraine, les tirs de missiles ont été effectués depuis "des navires de guerre et des sous-marins dans la mer Noire, des bombardiers stratégiques et des bases de lancement de drones dans le sud de la Russie et au nord de l'Ukraine".

Dans son rapport quotidien, l'armée de l'air ukrainienne a annoncé avoir détruit 30 missiles te 27 drones.

Une riposte russe en guise de réponse aux attaques ukrainiennes qui ont visé et touché un navire de guerre ainsi qu'un pétrolier de Poutine ces deux derniers jours. 

Source

 

 

 

Moscou frappe des bases aériennes ukrainiennes

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023

Les forces armées russes ont frappé des bases aériennes ukrainiennes et détruit plusieurs hangars se trouvant sur un aérodrome, selon le dernier bilan quotidien de la Défense russe. 16 drones, 11 projectiles de HIMARS et un missile HARM ont été interceptés.

La nuit dernière, l'armée russe a porté une frappe groupée, avec des armes de haute précision basées en mer et dans les airs, sur des bases aériennes de Kiev situées dans les régions de Khmelnytskyï et de Rovno, a annoncé ce dimanche le ministère russe de la Défense dans son bilan quotidien.

Les forces armées russes ont détruit, en ces dernières 24 heures, un dépôt d'artillerie mais aussi des hangars sur un aérodrome et un poste de commandement de brigade.

En outre, la défense antiaérienne a abattu 16 drones ukrainiens et a intercepté 11 projectiles de lance-roquettes multiples HIMARS et un missile antiradar HARM.

Les troupes ukrainiennes ont de leur côté poursuivi les tentatives de contre-attaques sur les axes de Donetsk, de Koupiansk, de Krasny Liman, de Donetsk-Sud et de Zaporojié.

 

Pertes de Kiev sur les différents axes:

 

 

  • Axe de Koupiansk: huit attaques et contre-attaques ont été repoussées; l'Ukraine a perdu trois véhicules blindés de combat, trois autres véhicules, deux canons automoteurs M109 Paladin de fabrication américaine, un obusier automoteur polonais Krab et deux obusiers Msta-B.
  •  
  • Axe de Donetsk: cinq attaques ont été repoussées; trois véhicules blindés de combat, cinq autres véhicules et un obusier automoteur polonais Krab ont été détruits.
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  • Axe de Krasny Liman: deux attaques ont été repoussées; deux véhicules blindés de combat, trois véhicules, un obusier M777 américain et un canon automoteur Gvozdika ont été anéantis.
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  • Axe de Donetsk-Sud: une attaque a été repoussée; Kiev a perdu deux véhicules blindés de combat, quatre autres véhicules, un lance-roquettes multiple Grad et un obusier M777 américain.
  •  
  • Axe de Zaporojié: deux attaques ont été repoussées; trois véhicules blindés de combat, quatre autres véhicules et un obusier D-30 ont été détruits.
  •  
  • Axe de Kherson: huit véhicules ont été anéantis.

Source

 
 

 

 

Tebboune avertit qu’une intervention au Niger serait "une menace pour l’Algérie"

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023
Dans le sillage du plan d'intervention militaire au Niger élaboré par la CEDEAO, plusieurs pays africains dont l'Algérie et le Tchad ont refusé net d’envoyer leurs troupes dans ce pays pour venir en aide au Président déchu Mohamed Bazoum.
Le plan en vue d'une possible intervention militaire au Niger mis au point par la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) n'a pas été soutenu par tous les pays africains. Ainsi, le sénat du Nigeria, pourtant membre de cette organisation, a repoussé une proposition visant à déployer des troupes dans ce pays.

Un "rejet total et catégorique"

Le Président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a lui aussi réaffirmé samedi l’impératif de "rétablir la légitimité constitutionnelle au Niger".

"L'Algérie partage près d'un millier de kilomètres de frontière avec le Niger", a-t-il souligné. "Les menaces d'intervention militaire au Niger sont une menace directe pour l'Algérie, et nous la rejetons totalement et catégoriquement".

Il a ainsi réitéré la position formulée par son ministre des Affaires étrangères Ahmed Attaf, qui avait reçu le 4 août à Alger un envoyé spécial du président du Nigeria, Bola Ahmed Tinubu, qui préside actuellement la CEDEAO.

Dans son entrevue périodique avec des représentants de médias nationaux, M. Tebboune a averti que toute intervention militaire ne ferait qu'exacerber la situation, à l'image de ce qui s’est passé en Libye et en Syrie, où "des problèmes persistent et les situations sont de plus en plus complexes". Il a également mis en garde contre toute action qui ne ferait qu'"enflammer la région du Sahel tout entière".

"Le Tchad est un facilitateur"

Pour sa part, le Tchad a lui aussi déclaré vendredi ne pas vouloir intervenir au Niger, par la bouche de son ministre de la Défense.

"Le Tchad n'interviendra jamais militairement" au Niger, a affirmé Daoud Yaya Ibrahim face caméra.

Selon lui, le Tchad a toujours prôné le dialogue entre les auteurs du coup d'État et le Président déchu. Et de rappeler la récente visite au Niger du Président tchadien de la transition, Mahamat Idriss Déby, qui avait rencontré Mohamed Bazoum et le chef autoproclamé du Niger Abdourahamane Tiani.

"Le Tchad est un facilitateur" mais les Nigériens doivent décider de leur sort et régler leurs problèmes, a-t-il souligné.

Ces trois pays ne sont pas les seuls à s'opposer à l'option militaire. Le Mali et le Burkina Faso ont indiqué qu’elle serait perçue comme une "déclaration de guerre commune", se disant prêts à quitter la CEDEAO en cas de déploiement de troupes.

Spoutnik

 

 

Les sénateurs nigérians refusent le déploiement de troupes chez leur voisin le Niger

 

Le Sénat du Nigéria a repoussé une proposition présidentielle visant à déployer des troupes au Niger dans le sillage de la CEDEAO. Les élus ont invité le gouvernement à privilégier la voie diplomatique.

Le Sénat du Nigéria a refusé la demande du Président Bola Tinubu, lequel avait proposé un plan d’intervention militaire au Niger voisin, sous la houlette de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Les sénateurs ont salué les efforts de la CEDEAO pour mettre fin à la crise, tout en repoussant «catégoriquement» l’option d’un déploiement de troupes, a déclaré le président du Sénat, Godswill Akpabio. De nombreuses voix se sont élevées parmi les élus pour condamner cette idée, encourageant plutôt le gouvernement à continuer de discuter avec les autorités nigériennes, pour trouver une issue diplomatique.

«L’accent doit être mis sur les moyens politiques et diplomatiques […] Nous nous opposons à l’utilisation de la force militaire jusqu’à ce que ces voies mentionnées soient épuisées, car cela aura pour conséquences de faire des victimes parmi les citoyens innocents vaquant à leurs occupations quotidiennes», a ainsi insisté Abdulrahman Kawu Sumaila, porte-parole des sénateurs du Nord.

Paris à la manœuvre?

L’idée d’un déploiement militaire au Niger fait son chemin depuis plusieurs jours. Certains observateurs accusent la France d’agir en coulisse, pour préserver ses intérêts dans le pays, qui est notamment l’un de ses fournisseurs en uranium, nécessaire au bon fonctionnement de ses centrales nucléaires. Paris serait d’ailleurs prêt à envoyer la CEDEAO en première ligne pour mener ses combats, l’institution restant «sous son diktat», expliquait récemment à Sputnik Hyacinthe Wendlarima Ouédraogo de l’Université Nazi Boni/Bobo au Burkina Faso. Cette intransigeance française sur la crise au Niger pourrait même abîmer ses relations avec d’autres pays du continent, comme l’Algérie, affirmait pour sa part l’universitaire Abd al-Rahmane ben Chrit.

L’idée d’une intervention militaire de la CEDEAO a déjà été repoussée par plusieurs pays de la région. Le Mali et le Burkina Faso ont fait savoir qu’une telle action serait perçue comme une «déclaration de guerre commune», se disant prêts à quitter l’institution en cas de déploiement de troupes.

L’Algérie s’est également dit opposée à une action armée de la CEDEAO, qui «ne ferait qu’exacerber la situation», avait souligné son ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf. Le Tchad a aussi annoncé qu’il ne n’interviendrait pas.

Au Niger même, certains sont fortement opposés à une intervention de la CEDEAO. Le président du Parlement, Seyni Oumarou, a ainsi tancé l’institution sur la direction prise, alors qu’elle est «censée œuvrer à la promotion de la paix et de la stabilité» dans la région. Outre une intervention armée, qui pourrait «mettre en péril de multiples vies humaines», le responsable s’est opposé à de possibles sanctions économiques, parlant de «mesures apocalyptiques» pour la population.

Le 4 août, le Président nigérian, Bola Tinubu, avait transmis à l’Assemblée nationale un plan de déploiement de troupes au Niger impliquant la CEDEAO. Il entendait demander «le retour du gouvernement» chassé par les putschistes.

source : Sputnik Afrique

 

Niger : Les militaires au pouvoir font appel aux mercenaires russes Wagner

 

A l’approche de la date limite imposée par la CEDEAO pour rétablir un régime civil au Niger, les militaires au pouvoir ont demandé l’aide du groupe mercenaire russe Wagner.

La demande a été formulée lors d’une visite du chef du coup d’État, le général Salifou Mody, au Mali voisin, où il a pris contact avec un représentant de Wagner.

Cette semaine, la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest a posé un ultimatum aux militaires au pouvoir faisant planer la menace d’une intervention militaire au Niger si le président Mohamed Bazoum retenu à son domicile depuis le 26 juillet n’était pas libéré au plus tard ce dimanche.

Les chefs d’état-major des pays membres de la CEDEAO ont finalisé vendredi un plan d’intervention et demandé aux armées de préparer des ressources.

Après sa visite au Mali, le général Mody a mis en garde contre une intervention militaire, promettant que le Niger ferait ce qu’il faut pour ne pas devenir «une nouvelle Libye», a rapporté vendredi la télévision d’État nigérienne.

Le Niger était l’un des derniers alliées des Occidentaux dans la lutte contre le terrorisme dans la région.

La France a 1 500 soldats au Niger, bien que les dirigeants du coup d’État affirment avoir rompu les accords de sécurité avec Paris, et les États-Unis ont 1 100 militaires sur place.

Samedi, la ministre française des affaires étrangères, Catherine Colonna, a déclaré que la menace régionale de recours à la force était crédible et a averti les putschistes de la prendre au sérieux. Ajoutant que la France soutient la décision de la CEDEAO.

Source : Africa News

 

 

 

 

Les délégations russe et chinoise attendues en RPDC

 

Le ministre russe de la Défense et une délégation chinoise se rendront en RPDC pour participer aux célébrations du 70e anniversaire de l’armistice de la guerre de Corée.

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgu, est censé se rendre en RPDC pour prendre part aux célébrations du 70e anniversaire de l’armistice de la guerre de Corée, selon les médias d’État nord-coréens.

«Une délégation militaire de la Fédération de Russie menée par le ministre de la Défense Sergueï Choïgu rendra une visite de félicitations à la RPDC», annonce l’agence de presse officielle nord-coréenne KCNA, un jour après avoir confirmé qu’une délégation chinoise assisterait également à l’événement jeudi.

La chaîne télévisée France 24 a également rapporté que la RPDC accueillerait cette semaine le ministre russe de la Défense et une délégation chinoise de haut niveau à Pyongyang pour les célébrations de l’anniversaire de l’armistice de la guerre de Corée.

«Cette visite contribuera au renforcement des liens militaires russo-nord-coréens et constituera une étape importante dans le développement de la coopération entre les deux pays», a déclaré le ministère russe de la Défense dans un communiqué. 

La Chine, principal partenaire commercial de la RPDC, a également confirmé mardi qu’elle enverrait une délégation conduite par le membre du bureau politique du Parti communiste chinois, Li Hongzhong.

Les visiteurs étrangers devraient assister à des événements à Pyongyang pour marquer les 70 ans de la signature de l’armistice, connu sous le nom de Jour de la Victoire en RPDC, qui, selon l’agence KCNA, serait célébré d’une «grande manière qui restera dans l’histoire».

Un défilé militaire à grande échelle et d’autres événements devraient avoir lieu cette semaine, des images satellites indiquant que des soldats et des civils s’entraînent pour le défilé depuis des mois, a rapporté le site spécialisé basé à Séoul, NK News.

Les plus gros missiles à capacité nucléaire du leader Kim et d’autres capacités militaires devraient traverser la place Kim Il Sung pendant l’événement, a-t-il ajouté.

source : Parstoday

 

 

Le paquet d’armes américain destiné à Taïwan annonce «Ukraine 2ème partie»

 
 

Les États-Unis ont annoncé un nouveau programme d’armement pour Taïwan d’une valeur de 345 millions de dollars américains. Dans un article consacré à ce programme, l’agence Reuters laisse entendre qu’il vise à fournir à Taïwan une «assistance en matière de sécurité».

En réalité, le transfert d’armes des États-Unis à Taïwan constitue une violation de la souveraineté chinoise en vertu du droit international, qui reconnaît Taïwan comme une province insulaire de la Chine.

Sur son site Internet officiel, le département d’État américain admet que «les États-Unis n’ont pas de relations diplomatiques avec Taïwan» et que «nous ne soutenons pas l’indépendance de Taïwan». Pourtant, le soutien continu aux partis politiques taïwanais qui aspirent à l’indépendance et l’envoi d’armes américaines à Taïwan pour soutenir ces aspirations constituent une violation flagrante des accords conclus par Washington avec Pékin dans le cadre de la politique de la «Chine unique».

Les actions de Washington, qui contreviennent à la fois au droit international et à ses propres accords avec Pékin, constituent une provocation évidente à l’égard de la Chine et sont le principal moteur de l’expansion militaire chinoise, en particulier à l’intérieur et autour du détroit de Taïwan.

En violant la souveraineté de la Chine par l’envoi d’armes aux éléments séparatistes de Taïwan, les États-Unis n’assurent pas la sécurité de Taïwan et ne soutiennent pas non plus la stabilité régionale, comme Washington prétend souvent que sa présence dans la région, à des milliers de kilomètres de ses propres côtes, est censée le faire.

La nature même de ces transferts d’armes est un autre facteur qui met à mal les affirmations de Washington selon lesquelles il assurerait la «sécurité» de Taïwan par le biais de ces transferts.

Reuters rapporte que :

Au cours des dernières semaines, quatre sources ont déclaré à Reuters que le paquet devrait inclure quatre drones de reconnaissance MQ-9A non armés, mais ont noté que leur inclusion pourrait tomber à l’eau car les fonctionnaires travaillent sur les détails du retrait de certains équipements avancés des drones auxquels seule l’armée de l’air américaine est autorisée à accéder.

Même si les drones de reconnaissance MQ-9A, également connus sous le nom de Reapers, comprenaient les technologies les plus avancées utilisées par l’armée de l’air américaine, leur utilité pour assurer la «sécurité» de Taïwan serait, au mieux, discutable. Le fait que les États-Unis les dépouillent de caractéristiques maximisant leurs capacités démontre encore le manque de sincérité des intentions américaines de «sécuriser» Taïwan par le biais de ces livraisons d’armes.

La technologie des drones occidentaux, notamment les drones Reaper américains ainsi que les drones turcs Bayraktar TB2, s’est avérée inefficace dans des rôles de combat contre des concurrents pairs ou quasi pairs, à savoir la Russie, comme on l’a vu lors des combats en Ukraine et en Syrie.

Dans le cadre du conflit en cours en Ukraine, des avions de guerre russes Su-27 ont réussi à abattre un Reaper américain au-dessus de la mer Noire simplement en déversant du carburant sur sa trajectoire, ce qui a suffisamment compromis ses hélices pour entraîner sa destruction, a rapporté CNN en mars.

Les avions de guerre russes ont également défié des drones Reaper américains volant illégalement dans l’espace aérien syrien. Le magazine Air & Space Forces a publié le 27 juillet 2023 un article intitulé «Un chasseur russe endommage un deuxième MQ-9 au-dessus de la Syrie». Alors, que doivent faire les États-Unis maintenant ?

Le 26 juillet, deux chasseurs russes se sont approchés d’un MQ-9 et l’un d’eux a lancé des fusées éclairantes, frappant et endommageant l’aile gauche de l’appareil en plusieurs endroits, selon des responsables américains.

Un incident similaire survenu quelques jours plus tôt avait également endommagé un MQ-9 Reaper américain.

Bien que les commandants militaires américains aient insisté sur le fait qu’ils continueraient à utiliser les drones dans l’espace aérien syrien et à «faire preuve d’une certaine volonté et d’une certaine force», les États-Unis ne peuvent pratiquement rien faire pour empêcher les avions de guerre russes de perturber et même d’abattre les drones américains, à moins de les escorter avec des avions de guerre pilotés et de tirer sur les avions russes.

Les drones eux-mêmes sont incroyablement vulnérables face à des pays pairs ou quasi pairs comme la Russie, la Chine et même l’Iran, qui a perturbé et même détourné à plusieurs reprises certains des drones les plus avancés des États-Unis.

Le drone de combat Bayraktar TB2, fabriqué en Turquie, présente de nombreuses similitudes avec les drones américains. Son utilisation par l’Ukraine a été saluée comme une capacité qui changerait la donne et décimerait les forces terrestres russes. Quelques mois plus tard, la quasi-totalité des drones TB2 ukrainiens ont été détruits.

Les capacités de défense aérienne de la Russie, ainsi que ses vastes forces aérospatiales modernes, étaient plus que suffisantes pour faire face au type de guerre des drones dont les États-Unis avaient été les pionniers au cours de leur «guerre contre le terrorisme». Ce qui s’était avéré très efficace contre les forces irrégulières dans les pays en développement s’est révélé totalement inadapté et vulnérable face aux forces armées d’une puissance industrielle développée.

Les défenses aériennes et les avions de guerre de la Chine sont parmi les plus avancés au monde. Certains de leurs systèmes les plus performants ont d’ailleurs été achetés à la Russie, notamment le système de défense aérienne S-400 et les avions de combat Sukhoi Su-35S, qui ont fait leurs preuves.

La Chine est tout à fait capable de perturber, voire de détruire, les drones MQ-9 Reaper que Taïwan pourrait acquérir dans le cadre de ce dernier programme d’armement américain, ce qui amène à se demander ce que les États-Unis pensent obtenir en envoyant ces drones.

Parmi les autres systèmes d’armes que les États-Unis se sont engagés à envoyer à Taïwan ces dernières années figure notamment le système de défense aérienne Patriot, qui a lui aussi été révélé comme étant vulnérable aux missiles de croisière modernes, aux missiles hypersoniques et aux drones, tant dans le conflit de l’Arabie saoudite au Yémen que, plus récemment, en Ukraine. Outre leurs lacunes sur le champ de bataille, les États-Unis sont tout simplement incapables de fabriquer les systèmes de défense aérienne Patriot (lanceurs, radars et unités de commandement) et les intercepteurs qu’ils utilisent en nombre suffisant pour soutenir les opérations dans un conflit, même d’ampleur modérée.

La réalité qualitative et quantitative qui se cache derrière des années de matériel militaire occidental vanté a été pleinement révélée sur les champs de bataille du Yémen, de la Syrie et de l’Ukraine. Non seulement Washington est désireux de provoquer un conflit similaire avec la Chine, mais il cherche à le faire par l’intermédiaire d’un mandataire également armé de variétés et de quantités insuffisantes d’armes américaines.

Les États-Unis ont cherché à utiliser l’Ukraine pour «étendre» la Russie, comme l’explique un document de 2019 de la RAND Corporation intitulé littéralement «Extending Russia Competing from Advantageous Ground». L’idée était de continuer à contrarier la Russie, en la forçant à dépenser des ressources, et donc de saper sa stabilité sociopolitique et économique, de la même manière que les États-Unis prétendent avoir provoqué l’effondrement de l’Union soviétique.

Il est clair que les décideurs américains ont fait un mauvais calcul. La détermination de la Russie à empêcher la «flexibilisation» de l’Ukraine par l’OTAN et sa capacité économique et militaire à le faire se sont révélées bien plus redoutables que l’Occident ne l’avait imaginé.

La Chine, avec son armée, son économie et sa capacité industrielle bien plus importantes, est certainement en mesure de contrer les tactiques similaires utilisées par les États-Unis et leurs alliés pour saper sa souveraineté sur Taïwan et utiliser l’île-province dans le cadre d’une politique d’encerclement plus large des États-Unis. Le fait que Washington poursuive sa politique actuelle d’encerclement de la Chine en dépit des moyens militaires par lesquels elle cherche à le faire et qui se sont déjà révélés insuffisants contre la Russie en Ukraine indique un manque d’options et, dans un sens, un désespoir croissant à Washington.

La politique étrangère américaine est centrée sur la poursuite singulière de la primauté mondiale, bien qu’il soit de plus en plus évident que les États-Unis ne possèdent plus les moyens militaires ou économiques pour y parvenir. Washington va-t-il continuer à dépenser des ressources militaires, politiques et économiques pour un rendement décroissant face à une Russie renaissante et une Chine montante ? Ou bien les États-Unis vont-ils enfin abandonner leur quête de plus en plus irréaliste de la primauté mondiale et adopter une politique plus rationnelle consistant à travailler avec d’autres pays plutôt que d’essayer de s’imposer à tous les autres pays ? Si Washington ne prend pas cette décision maintenant, d’autres la prendront à sa place dans un avenir proche.

source : New Eastern Outlook

traduction Réseau International

 

Note ; les Américains reproduisent le même schéma qu'en Ukraine. Ils surarment le "pays"  jusqu'à provoquer une guerre. Par contre, je ne pense pas que les Chinois entrent en guerre contre Taïwan avant l'année prochaine, parce qu'ils attendent, d'abords le résultat, des prochaines élection sur l'ile, qui auront lieu en janvier 2024

L'opposition Kuomintang (KMT - plutôt pro Chine - en bleue clair sur les cartes), augmente chaque année, par rapport aux indépendantistes

 

LIRE AUSSI : A Taïwan, la prochaine élection présidentielle à l’ombre des relations avec la Chine

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023 Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023 Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023

 

 

La politique américaine visant à freiner l'industrie chinoise des puces pourrait se retourner contre le législateur sud-coréen

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 aout 2023

MOSCOU6 (Spoutnik) - La stratégie des États-Unis visant à freiner l'industrie chinoise des semi-conducteurs, y compris les tentatives de persuader les alliés asiatiques d'introduire des restrictions contre la Chine, pourrait entraîner la perturbation des chaînes d'approvisionnement et d'autres pays formant des alliances contre les États-Unis, un législateur sud-coréen et ancien Le dirigeant de Samsung, Yang Hyang-ja, a déclaré dimanche.

Les actions de Washington pourraient également provoquer de fortes représailles de la part de la Chine , ce qui pourrait conduire à perturber les chaînes d'approvisionnement, a-t-elle noté.

"Si [Washington] continue d'essayer de punir d'autres nations et d'adopter des projets de loi et de mettre en œuvre des politiques" America First "de manière imprévisible, d'autres pays pourraient former une alliance contre les États-Unis", a déclaré Yang dans une interview accordée à un quotidien économique britannique.

"Les États-Unis devraient abandonner leur approche actuelle consistant à essayer de tirer quelque chose de l'ébranlement et de la rupture de la chaîne de valeur mondiale", a déclaré le législateur sud-coréen.

chinoise Les États-Unis ont mené une politique visant à contrecarrer la croissance de l'industrie des semi-conducteurs alors que les États-Unis développaient leurs propres capacités de micropuces. En octobre 2022, les États-Unis ont interdit à 28 entreprises technologiques chinoises d'accéder aux schémas de semi-conducteurs produits dans le monde entier à l'aide de technologies américaines.

En avril, le quotidien britannique a rapporté que les États-Unis avaient demandé à la Corée du Sud de restreindre les exportations de semi-conducteurs vers la Chine après avoir lancé une enquête de sécurité sur le géant américain des puces Micron. En mai, les autorités chinoises ont interdit aux opérateurs d'infrastructures critiques d'acheter les produits de l'entreprise, affirmant que cela posait un risque pour la sécurité nationale de Pékin.

Spoutnik

 

 

 

Limoges (87) : 2 jeunes sur un scooter percutés et tués par une voiture en tentant de fuir un contrôle de police ; un “bref épisode” d’émeutes éclate

En apercevant un équipage de la BAC, le scooter a pris la fuite et a percuté une voiture en grillant un feu rouge.

Deux jeunes hommes sont morts dans la nuit de samedi à dimanche à Limoges, dans la Haute-Vienne, en tentant d’échapper à un contrôle de police, a appris Le Figaro de source policière, confirmant une information d’Actu17. (…)

(…) Le conducteur de la voiture accidentée n’a quant à lui pas été blessé.

(…) Selon nos informations, ce drame a déclenché un bref épisode de violences urbaines avant que le calme ne revienne.

Le Figaro

 

 

 

 

Refus d’obtempérer à Lyon : un policier municipal traîné sur plusieurs mètres

Lyon Refus d’obtempérer : un policier municipal traîné sur plusieurs mètres

Peu avant 23 heures, l’équipage faisait signe à un automobiliste de s’arrêter. Ce dernier a obtempéré mais a refusé d’éteindre le moteur.

Le conducteur arrêté

Subitement, il a accéléré et son véhicule a touché un des agents à l’épaule. Ce dernier a eu la main gauche coincée dans l’habitacle et a été traîné sur plusieurs mètres.

Finalement le conducteur, âgé de 42 ans, a pu être arrêté. Alcoolisé et sans permis de conduire, il a été placé en garde à vue.

www.leprogres.fr

 

« Nous ne sommes pas des faits divers » : Lettre ouverte de familles de victimes à Macron, pour dénoncer des crimes évitables et le profil des agresseurs, après la mort d’Enzo, 15 ans

 
Cliquez pour agrandir | Le JDD du 6 Août 2023

 

 

Agression violente de Lucienne, 88 ans, à Nantes alors qu’elle se promenait appuyée sur ses deux cannes : un an ferme pour le migrant clandestin marocain. Arrivé en France en 2022, il a déjà purgé 6 mois pour cambriolage.

Elle ne s’est pas déplacée à l’audience mais a tout de même écrit au tribunal pour dire qu’elle ne demandait pas d’argent et qu’elle espérait que justice soit faite. Lucienne, née en 1934, vit à Saint-Sébastien. Chaque matin ou presque, appuyée sur ses deux cannes, elle fait un tour du pâté de maison, au niveau du boulevard des Pas-Enchantés.

Mardi 1er août, il était 9 h 30 quand un jeune homme l’a dépassé avant de s’asseoir sur un banc. Puis l’homme a surgi derrière Lucienne et lui a arraché son collier, ce qui a entraîné la chute de l’octogénaire. Son agresseur a été interpellé à peine une heure plus tard, sur l’île Forget, dissimulé derrière des végétaux, les vêtements trempés. J’étais tellement défoncé que je suis directement parti vers le fleuve », explique par le biais de l’interprète, Anas, jugé en comparution immédiate ce vendredi.

À la dérive sur le territoire depuis son arrivée en 2022, ce Marocain de 19 ans était sorti de la prison de Bois-d’Arcy (Yvelines), après avoir purgé une peine de six mois pour un cambriolage. Une fois dehors, il est passé à Barbès pour se fournir en médicaments, dont il est dépendant depuis des années.

Puis il a embarqué pour Nantes, où il devait prendre un bus en direction de Bayonne, son projet final étant de rejoindre l’Espagne. Son bus manqué, Anas a erré et s’est alcoolisé, avant de se retrouver à Saint-Sébastien, confondu avec la ville Espagnole.

(…)

www.ouest-france.fr

 

 

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