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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 31 juillet 2023

 

 

Guerre en Ukraine : « La guerre revient sur le territoire de la Russie », clame Zelensky après une attaque de drones...

 

 

L’ESSENTIEL

  • La Russie a annoncé dimanche avoir repoussé dans la nuit deux attaques distinctes de drones ukrainiens, qui ont visé un important quartier d’affaires de Moscou et la Crimée annexée, sans faire de victime.
  • Volodymyr Zelensky a noté dimanche que la « guerre » arrive « sur le territoire de la Russie, dans ses centres symboliques et ses bases militaires ».
  • Vladimir Poutine s’est affiché vendredi entouré d’une quinzaine de chefs d’Etats africains à Saint-Pétersbourg lors du deuxième Sommet Russie-Afrique. Malgré l’offensive en Ukraine et les efforts des Occidentaux pour l’afficher en paria, la Russie peut toujours compter sur le soutien de plusieurs pays africains.

 

12h34 : Moscou a intensifié ses frappes en Ukraine, dit le ministre de la Défense russe

Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a affirmé lundi que l’intensité des frappes sur les infrastructures militaires ukrainiennes avait « augmenté en flèche » en réponse aux attaques visant le territoire russe.

« L’intensité des frappes sur les installations militaires ukrainiennes, y compris celles qui soutiennent ces actes terroristes, a augmenté en flèche », a-t-il affirmé lors d’une allocution avec des responsables militaires russes.

 

12h13 : Le Kremlin estime que Kiev est désespéré par l’échec de sa contre-offensive

Le Kremlin a jugé lundi que les drones lancés contre Moscou la veille étaient un « acte de désespoir » de l’Ukraine, dont la contre-offensive serait un échec.

« Il est évident que la contre-offensive n’est pas réussie », a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, en qualifiant la situation de « très difficile » pour les forces ukrainiennes qui n’ont selon lui « aucun succès ». « Et dans un acte de désespoir, le régime de Kiev recourt à de telles frappes terroristes », a-t-il assuré. Dmitri Peskov a affirmé que « toutes les mesures possibles sont prises pour défendre les sites d’infrastructure civils ».

La Russie a annoncé dimanche avoir repoussé une attaque de drones ukrainiens à Moscou où les façades de deux tours de bureaux dans le quartier d’affaires « Moscou City », le plus important de la capitale, ont été endommagées et plusieurs fenêtres ont été soufflées.

 

07h56 : Attaque de drones ukrainienne contre un commissariat de police russe, pas de victimes

Une attaque de drone ukrainienne a visé dans la nuit un commissariat de police dans la région russe de Briansk, frontalière de l’Ukraine, sans faire de victimes, a annoncé lundi le gouverneur régional, Alexandre Bogomaz.

« Les forces ukrainiennes ont attaqué dans la nuit le district de Troubtchevski », a écrit Alexandre Bogomaz sur Telegram. « Un drone a frappé le commissariat de police de ce district. Pas de victimes », a-t-il précisé, en ajoutant que les fenêtres et le toit du bâtiment ont été endommagés.

 

06h25 : Poutine et plusieurs dirigeants africains assistent à une parade navale

Vladimir Poutine a fait l’éloge dimanche de la marine russe lors d’une parade navale à Saint-Pétersbourg, à laquelle assistaient plusieurs dirigeants africains après le sommet Russie-Afrique organisé dans la même ville. Dans son discours, le président russe a salué « les équipages courageux des navires et des sous-marins » russes, qui jouent un rôle dans l’offensive en Ukraine, notamment la flotte de la mer Noire qui prend part régulièrement à des bombardements.

Quarante-cinq navires de surface et sous-marins et environ 3.000 marins participaient à la parade dans l’ancienne capitale impériale à l’occasion de la Journée de la Flotte russe, largement célébrée à travers le pays.

 

HIER

16h54 : A Saint-Pétersbourg, le président du Burkina Faso soutient « l’opération militaire spéciale » de Vladimir Poutine

Réuni avec une partie des dirigeants africains pour un sommet à Saint-Pétersbourg, le militaire Ibrahim Traoré, président de Transition du Burkina Faso depuis le coup d’Etat militaire en septembre 2022, a adressé son soutien à la Russie pour son « opération militaire spéciale » en Ukraine.

 

16h23 : La guerre arrive en Russie, dit Zelensky après l’attaque de drones à Moscou

« Progressivement, la guerre revient sur le territoire de la Russie, dans ses centres symboliques et ses bases militaires, et c’est un processus inévitable, naturel et absolument juste », a lancé Volodymyr Zelensky, lors d’un message vidéo en marge d’une visite à Ivano-Frankivsk, après l’attaque de drones qui a visé un quartier d’affaires à Moscou.

DIRECT

 

 

 

 

 

Medvedev : Nous étions sur le point d’utiliser des armes nucléaires si la contre-attaque de Kiev avait réussi

 

Le chef adjoint du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a affirmé que Moscou aurait été «forcée d’utiliser des armes nucléaires» si la contre-attaque de Kiev soutenue par l’OTAN avait réussi.

Medvedev a souligné que «les forces russes, en affrontant les forces ukrainiennes, défendent les citoyens russes et les terres russes et empêchent un conflit mondial», tout comme «les combattants russes empêchent le feu nucléaire mondial de s’enflammer».

Dans un tweet sur son compte Twitter, Medvedev a écrit : «Imaginez si la contre-attaque de Kiev, soutenue par l’OTAN, réussit, et qu’ils s’emparent d’une partie de notre terre. Alors nous serons forcés, selon un décret présidentiel, d’utiliser des armes nucléaires».

Le chef adjoint du Conseil de sécurité russe a souligné qu’«il n’y aura tout simplement pas d’autre moyen».

Il a félicité l’occasion de la Journée de la marine russe, en disant : «Nos ennemis devraient prier pour le succès de nos guerriers».

Le 4 juin, la contre-attaque, dont les autorités ukrainiennes parlent depuis longtemps, a commencé sur de larges axes au sud de Donetsk, Zaporijia et Artyomovsk. Jusqu’à présent, l’attaque principale des forces armées ukrainiennes s’est concentrée sur le secteur de Zaporijia, au sud vers la Crimée.

Il y a quelques jours, le ministre ukrainien de la Défense, Alexeï Reznikov, a reconnu que la contre-attaque planifiée par Kiev «n’a pas atteint ses objectifs dans les délais impartis», attribuant les raisons de sa lenteur à un manque de munitions et de systèmes de défense aérienne».

Auparavant, le 9 juillet, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a admis que le rythme de la contre-attaque des forces ukrainiennes n’était «pas comme prévu» et a ajouté «nous voulons tous que cela se produise plus rapidement. Chaque jour signifie des pertes parmi les Ukrainiens».

source : Al Manar

(..)

Ces propos ont été tenus à travers un message diffusé sur Telegram, où Medvedev a clairement exprimé la position russe face à une hypothétique défaite sur le terrain. Selon lui, si l'offensive ukrainienne en tandem avec l'OTAN parvient à confisquer une partie du territoire russe, l'utilisation des armes nucléaires serait inévitable, se basant sur les stipulations du décret présidentiel russe. « Imaginez simplement que l'offensive… en tandem avec l'OTAN, a réussi et s'est soldée par la confiscation d'une partie de nos terres. Ensuite, nous devrons utiliser des armes nucléaires en vertu des stipulations du décret présidentiel russe », a déclaré Medvedev.

"Il n'y aurait tout simplement pas d'autre solution", a ajouté l'ancien président russe qui poursuit "nos ennemis devraient prier nos combattants pour qu'ils ne laissent pas le monde exploser en flammes nucléaires". Une telle déclaration a immédiatement fait craindre le spectre d'un conflit nucléaire, mettant en danger la stabilité de la région et du monde entier. En agitant cette menace, Medvedev semble vouloir avertir les pays occidentaux de ne pas sous-estimer la détermination de la Russie dans le conflit avec l'Ukraine....

Source

 

Note : La Russie avait prévu d'utiliser l'arme nucléaire si la contre-offensive avait réussi. Voilà, une information qui démontre que mes interprétations des quatrains de Nostradamus sont exacts.

Dmitri Medvedev parle au passé, mais la guerre en Ukraine n'est pas terminée, et les occidentaux vont tous faire pour prendre le dessus. Ce qui poussera les Russes à utiliser l'arme nucléaire, parce qu'il n'a pas d'autre issus à ce conflit, chacun étant déterminé à l'emporter sur l'autre  

 

L'article qui suit démontre que le danger d'une réussite ukrainienne est toujours bien réel. N'oublions pas aussi les attaques sur le sol russes qui se multiplient, et qui mettent en danger d'une riposte nucléaire de la Russie sur l'Otan

 

 

L’Ukraine intensifie ses offensives contre les positions russes : Les SAS britanniques jouent un rôle central dans la poussée vers la Crimée

 
 

L’armée ukrainienne et les paramilitaires de soutien ont intensifié leurs offensives contre les positions russes dans l’est de l’Ukraine, selon des informations provenant de sources russes et occidentales. L’Institute of Study of War, basé à Washington, a signalé le 26 juillet le début d’une «importante opération de contre-offensive mécanisée» dans l’ouest de la région de Zaporijia, le New York Times rapportant que c’était «l’axe principal» de l’offensive et comprenait «des milliers de soldats tenus en réserve, dont beaucoup sont formés et équipés par l’Occident».

Véhicules de combat d’infanterie Bradley ukrainiens fournis par les États-Unis

Le président russe Vladimir Poutine lui-même a souligné que «les hostilités se sont considérablement intensifiées». «Toutes les tentatives de contre-offensive ont été repoussées, et l’ennemi a subi de lourdes pertes et a été repoussé», a déclaré le président, rapportant que l’Ukraine a subi des pertes de 26 chars et 13 autres véhicules blindés et plus de 200 victimes. «L’ennemi n’a réussi dans aucune des directions de la ligne de feu», a-t-il ajouté. Il y a eu des spéculations selon lesquelles de nouvelles offensives visaient en partie à jeter une ombre sur le sommet africain de la Russie à Saint-Pétersbourg, dont les résultats ont été perçus avec beaucoup d’appréhension dans le monde occidental alors que les États du continent, à l’exception du Maroc, ont généralement soutenu Moscou dans son bras de fer avec l’OTAN.

Les combats se sont particulièrement concentrés le long de la frontière dans la région de Zaporijia, longue de 1000 km, dans l’est de l’Ukraine, où toute percée majeure a le potentiel de permettre aux forces ukrainiennes de se diriger vers la péninsule de Crimée. La Crimée a été la cible d’attaques ukrainiennes intensifiées ces dernières semaines et qui a longtemps été une cible d’une valeur symbolique importante à la fois pour Kiev et ses partisans occidentaux. Le manque de puissance aérienne de l’Ukraine et les graves limitations de ses défenses aériennes désormais très affaiblies ont cependant été largement soulignés par les analystes des deux côtés comme un facteur majeur sapant les efforts potentiels pour gagner du terrain sur les lignes de front. S’adressant aux médias d’État russes, le colonel à la retraite de l’armée russe Anatoly Matviychuk a rapporté à cet effet concernant la nouvelle offensive qu’un sérieux obstacle était «l’absence totale de la présence de l’armée de l’air ukrainienne dans les airs, l’armée de l’air russe contrôlant l’ennemi tout au long de l’opération dans la profondeur de sa zone opérationnelle. Je pense que cette «offensive» peut avoir quelques succès tactiques temporaires… mais je ne prévois aucun changement en première ligne. Et tout se terminera très probablement de la façon dont la «première» avancée de l’Ukraine s’est terminée». «Plus important encore, notre aviation est pratiquement passée à des actions de combat systématiques dans toute la zone d’opération militaire spéciale russe… C’est-à-dire que nous menons actuellement une défense active pour affaiblir l’ennemi en lançant des attaques», a-t-il ajouté.

Concernant la présence de conseillers et de combattants occidentaux, en particulier du Royaume-Uni, le colonel Matviychuk a expliqué les nouvelles offensives : «La chose la plus intéressante est qu’il y a de nombreux militaires anglophones dans l’UAF qui sont repérés dans cette zone, y compris des conseillers, instructeurs, et même le «Special Air Service» de l’armée britannique». Il a ainsi qualifié la nouvelle offensive de «fruit de la créativité des quartiers généraux conjoints des États-Unis et du Royaume-Uni». Des sources gouvernementales russes ont allégué peu de temps après l’escalade des hostilités en Ukraine en février 2022 que des troupes de combat britanniques avaient été déployées près des lignes de front, ce qui a d’abord été largement ridiculisé par des sources occidentales avant d’être confirmé par le chef des Royal Marines britanniques en décembre. Les Marines ont été déployés pour des opérations à haut risque près des lignes de front à partir d’avril 2022. Des combattants du monde occidental ont joué un rôle majeur dans l’effort de guerre ukrainien, y compris des volontaires idéologiquement motivés tels que la Légion géorgienne et le Corps des volontaires polonais, des entrepreneurs militaires privés de des entreprises de sécurité, en particulier en Pologne, et des membres actifs des forces armées occidentales telles que les Royal Marines et le Special Air Service.

source : Military Watch Magazine

 

 

 

 

Les armes nucléaires russes resteront en Biélorussie à moins que les États-Unis et l'OTAN ne renoncent à leur politique hostile - Diplomate

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 31 juillet 2023
MOSCOU (Spoutnik) - Le président russe Vladimir Poutine a déclaré à la mi-juin que Moscou avait transféré la première partie des ogives nucléaires en Biélorussie et achèverait la tâche de déplacer les armes nucléaires tactiques d'ici la fin de l'année.
Un retrait hypothétique des armes nucléaires tactiques russes de la Biélorussie ne pourrait se produire que si les États-Unis et l'OTAN abandonnaient la politique d'atteinte à la sécurité de la Russie et de la Biélorussie , ce qui implique un retrait complet de toutes les armes nucléaires américaines sur le territoire des États-Unis, un haut responsable Un diplomate russe a déclaré à Spoutnik.

"Je voudrais immédiatement noter que le déploiement d'armes nucléaires tactiques russes sur le territoire de la Biélorussie était une réponse aux nombreuses années de politique nucléaire déstabilisatrice de l'OTAN et de Washington, ainsi qu'aux changements fondamentaux qui ont récemment eu lieu dans des domaines de la sécurité européenne", a déclaré Aleksey Polishchuk, chef du deuxième département du ministère russe des Affaires étrangères pour les pays de la Communauté des États indépendants (CEI).

Polishchuk a souligné que le déploiement d'armes nucléaires tactiques russes en Biélorussie est une mesure de confinement forcé, conçue pour assurer la sécurité de la Biélorussie, qui a un espace de défense commun avec la Russie.

« À cet égard, le retrait hypothétique des armes nucléaires tactiques russes du territoire de la Biélorussie ne sera possible que si les États-Unis et l'OTAN abandonnent leur cours destructeur de saper délibérément la sécurité de la Russie et de la Biélorussie . Cela stipule le retrait complet de tous les États-Unis. armes nucléaires sur le territoire des États-Unis avec l'élimination de l'infrastructure correspondante en Europe", a déclaré Polishchuk à Sputnik.

En juin, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que Moscou avait transféré la première partie des ogives nucléaires au Bélarus et qu'il achèverait la tâche de déplacer les armes nucléaires tactiques d'ici la fin de l'année. Poutine a déclaré que le déploiement était un élément de dissuasion et un signal pour ceux qui envisagent d'infliger une défaite stratégique à la Russie.

Spoutnik

 

 

 

 

 

Coup d'État au Niger : la France autorisée à attaquer le palais présidentiel ?

 

  • Coup d'Etat au Niger.
    Coup d'Etat au Niger. dpa - Djibo Issifou

La junte militaire qui a pris le pouvoir la semaine dernière au Niger a affirmé ce lundi que le gouvernement renversé avait autorisé la France à conduire des frappes sur le palais présidentiel pour tenter de libérer le président déchu Mohamed Bazoum.

Ces déclarations ont été faites par le colonel Amadou Abdramane, un des officiers qui ont mené le putsch, à la télévision d'Etat. Il y affirme que l'autorisation a été signée par le ministre nigérien des Affaires étrangères Hassoumi Massoudou, agissant en tant que Premier ministre par intérim. Hassoumi Massoudou n'était pas joignable dans l'immédiat pour un commentaire.

A lire aussi : Niger : un coup d'Etat "parfaitement illégitime et profondément dangereux", Emmanuel Macron appelle à la libération du président Mohamed Bazoum

La France, qui a condamné le coup d'Etat militaire au Niger, a demandé que Mohamed Bazoum soit rétabli dans ses fonctions, sans annoncer son intention d'intervenir militairement. Dimanche, l'Elysée a fait savoir que le président français Emmanuel Macron ne tolérerait aucune attaque contre la France et ses intérêts dans le pays alors que des milliers de manifestants se sont réunis dans la journée devant l'ambassade française à Niamey.

Source

 

 

 

Un nouvel exemplaire du Coran brûlé devant le Parlement : malgré le risque sécuritaire, la Suède a autorisé un nouveau rassemblement

 

  • Le rassemblement a été autorisé par la police suédoise dans un permis datant de ce samedi 29 juillet.
    Le rassemblement a été autorisé par la police suédoise dans un permis datant de ce samedi 29 juillet. MAXPPP - Leyla Vidal

Deux participants à un rassemblement devant le Parlement ont brûlé un exemplaire du Coran.

Le rassemblement a eu lieu ce lundi 31 juillet devant le Parlement de Stockholm, rapporte franceinfo. Il a été autorisé par la police suédoise dans un permis datant de ce samedi 29 juillet et deux hommes ont brûlé plusieurs pages d'un exemplaire du Coran.

Des tensions diplomatiques

Cette décision intervient alors que les relations entre la Suède et plusieurs pays musulmans se sont détériorées après des épisodes de profanation du Coran, donc certains à l'initiative de l'extrême droite. Un ressortissant irakien avait notamment déchiré et brûlé le livre sacré de l'islam devant la Grande Mosquée de Stockholm à la fin du mois de juin, lors d'une manifestation autorisée par la police. Le même homme a piétiné un autre exemplaire peu de temps après, devant l'ambassade d'Irak. Son permis de séjour est toutefois en train d'être réexaminé.

En réaction, l'ambassade suédoise à Bagdad a été prise d'assaut le 20 juillet et l'ambassadrice de Stockholm en Irak a été exclue du territoire. L'Iran a également indiqué qu'il n'accepterait pas de nouvel ambassadeur suédois sur son sol.

Des risques sécuritaires

Le pays scandinave a également renforcé son alerte antiterroriste et la mobilisation de ses services de police et forces armées en raison de risques "accrus", selon le Premier ministre Ulf Kristrsson.

Le Danemark voisin a de son côté décidé de limiter d'éventuelles nouvelles manifestations, lorsqu'elles prévoient des profanations du Coran, pour réduire les risques sécuritaires, rapporte Le FigaroCes rassemblements ont "atteint un niveau où le Danemark, dans de nombreuses régions du monde, est perçu comme un pays qui facilite l'insulte et le dénigrement des cultures, religions, et traditions d'autres pays" s'est justifié le ministère des Affaires étrangères danois.

Source

 

 

 

La Haye-Malherbe (27) : Enzo, 15 ans, un adolescent “sans histoire”, tué d’un coup de couteau dans un village pour un simple regard (MàJ : « Personne ne parle de mon fils parce qu’il ne vient pas d’une cité mais d’une petite commune ? »)

30/07/23

ENTRETIEN EXCLUSIF – La mère de l’adolescent de 15 ans, récemment tué à coups de couteau à La Haye-Malherbe (Eure), s’est confiée au Figaro.

Ce jour-là, Enzo – maçon en apprentissage -, sort du travail et se rend au stade de la commune pour voir son groupe d’amis. Deux jeunes, extérieurs au groupe, arrivent et un «mauvais regard» est échangé. «Pourquoi vous nous regardez de travers ? On ne se connaît pas», leur lance Enzo. Une bagarre éclate. «Mon fils n’était pas bagarreur mais il ne se laissait pas faire. Il les a mis au sol mais pour avoir le dernier mot, un des deux jeunes a planté mon fils», relate Sophie. Enzo reçoit deux coups de couteau : un premier à la cuisse puis un second, fatal, au niveau du thorax.

Enzo parvient à courir pendant 150 mètres, jusqu’à une caserne de pompiers. «Je me sens partir mais je ne peux pas partir : il y a maman, ma sœur et ma petite amie», souffle-t-il, avant de s’effondrer. «J’étais très fusionnel avec mon fils. Il se levait tous matins à 6h30 pour aller au travail, il avait des projets avec sa petite amie et était apprécié de tout le monde», poursuit Sophie.

(…)

La mère d’Enzo déplore par ailleurs le silence des politiciens, des sportifs et des stars. «La France en a marre. Pourquoi ne parle-t-on pas de mon fils ? Parce qu’il ne vient pas d’une cité mais d’une petite commune de 1400 habitants ? Parce que nous sommes restés dans le respect, le silence et le calme ? Pourquoi notre chef de l’État ne vient pas nous rendre hommage», s’interroge la mère de famille.

«On a tué mon enfant. Je suis une personne discrète mais je ne peux pas rester dans le silence. Quand des jeunes agissent comme ça à 15 ans, c’est qu’il y a un réel problème. Il faut que l’histoire de mon fils serve de leçons», conclut Sophie.

Le Figaro

 

 

Thouars (79) : 17 voitures brûlées, plusieurs départs de feu en centre-ville et un immeuble évacué la nuit dernière dans cette commune de moins de 10.000 habitants

D’après la police, cinq départs de feu ont été constatés dans la nuit, entre 3h50 et 6h30 du matin. Il y a eu trois départs de feu dans le centre-ville et deux départs de feu dans le quartier des Capucins. À chaque fois, ce sont des voitures qui ont été visées. Avec la propagation des flammes, 17 véhicules au total ont été endommagés, explique la police.

Une enquête ouverte

Par ailleurs, **les occupants d’un immeuble d’une quinzaine d’appartements, situé au 13 boulevard de Strasbourg dans le quartier des Capucins ont été évacués dans la nuit. À cause des voitures en flammes au pied du bâtiment, la façade a été noircie et les fenêtres ont fondu sous l’effet de la chaleur. Selon la police, il n’y a eu aucun blessé. Une locataire d’un appartement en rez-de-chaussée va être relogée provisoirement chez un proche.

(…) France Bleu

 

 

 

Pour le député LFI Antoine Léaument, dénoncer l’abaya à l’école c’est « pointer du doigt » des personnes pour « la religion supposée qu’elles ont »

 

 

Marseille : un homme, connu de la police, abattu d’une dizaine de coups de feu sur une avenue des quartiers Nord

Un homme a été tué par balle dimanche soir à Marseille, vers 23h30, dans les quartiers Nord, a appris franceinfo de source concordantes. Le ou les auteurs sont en fuite, a appris franceinfo de source policière.

La victime, âgée de 32 ans, a été abattue d’une dizaine de coups de feu avenue Alexandre Ansaldi, dans le 14e arrondissement (…) Le trentenaire était connu des forces de l’ordre.

France Info

Deux fusillades en trois jours

(…) Un homme y avait été pris pour cible, vendredi, par un commando armé. Attablé à la terrasse d’un restaurant, il a essuyé deux tirs. (…)

Valeurs Actuelles

 

 

Lencloître – 2.500 habitants (86) : une église du XIIe siècle, classée monument historique, vandalisée

Samedi 29 juillet 2023, l’église Notre-Dame de Lencloître a été la cible d’actes de vandalisme. Tabernacle forcé, ciboire et hosties jetés au sol, cierges cassés… Le curé a déposé plainte à la gendarmerie.

Un ou plusieurs individus ont certainement profité de la fermeture la veille peu avant 20 h pour s’introduire dans cette église romane du 12e siècle (qui dépendait de l’abbaye de Fontevraud) pour se livrer à des actes de déprédation.

La porte en bois du tabernacle a été cassée. Dans cette petite armoire fracturée sur l’autel, le ciboire a été pris et jeté au fond de l’église.  (…)

Des dessins tendancieux ont aussi été découverts sur les chaises poussiéreuses.

 (…) Des prélèvements ont été effectués par les gendarmes dans l’église classée au titre des Monuments historiques depuis le 19 mars 1908.

À la suite de ces actes de vandalisme, le curé et le vicaire épiscopal célébreront une messe dite de réparation ce lundi 31 juillet 2023 (…)

La Nouvelle République

(…) Lencloître, population (2020) : 2.474 (…)

Insee

 

 

 

Yassine Belattar et Thomas Barbazan adaptent “Tonton du Bled” de 113, pour “tous ceux qui partent en vacances dans leur famille raciste”

 

 

 

Vivre-ensemble : selon des chercheurs néerlandais, dans les villes d’Europe où les immigrés sont majoritaires, les personnes non issues de l’immigration devront faire plus d’efforts pour une meilleure cohabitation

Dans certaines villes d’Europe, il y a plus d’habitants issus de l’immigration, que l’inverse. C’est le résultat d’une étude menée par des chercheurs néerlandais et détaillée dans De Morgen. C’est le cas d’Anvers depuis trois ans, mais aussi d’Amsterdam ou Rotterdam aux Pays-Bas. La question que ces chercheurs se sont posée : que fait cette ancienne majorité devenue minorité pour améliorer la cohabitation au sein d’une communauté très diversifiée ?

Ils ont en fait remarqué que dans un groupe d’amis, il y avait rarement des Belges non issus de l’immigration ET des Belges enfants de personnes immigrées (de deuxième génération donc). Si le premier groupe pense généralement que la diversité est une bonne chose, en pratique, socialement, ils ne l’appliquent pas.

Acheter des légumes au Marocain, de la viande au Turc et des olives au Grec : c’est bien, mais c’est insuffisant. Si nous voulons vraiment bien vivre ensemble, les personnes non issues de l’immigration devront faire plus d’efforts, selon ces chercheurs.

Savoir comment vivre ensemble, agréablement, et dans les meilleures conditions, c’est une question pertinente, assure le chercheur dans de Morgen. Une question qu’il ne faut pas avoir peur de traiter, au risque de la voir reprise par l’extrême droite.

Cette cohabitation en harmonie passe en effet par la politique. Une politique du logement, une politique culturelle aussi pour que les gens se rencontrent dans la rue ou dans les clubs sportifs. Les chercheurs ajoutent une pointe d’optimisme : les jeunes vivent entourés de diversité, tombent amoureux, forment des couples mixtes. C’est autant de moyens de rassembler les groupes, de les souder,54321_f0b72323d79a1c620f8343a4524a3d28_565.jpg

RTBF

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