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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 8 juin 2023

 

 

Annecy : 6 personnes blessées dans une attaque au couteau, dont 4 enfants en bas âge, 2 sont en urgence absolue. Le suspect, Abdalmasih H., un migrant syrien, a obtenu le statut de réfugié en Suède ; il s’est vu refuser l’asile en France il y a 4 jours (MàJ)

Un frère et une soeur de 2 ans et 3 ans en urgence absolue

Six personnes ont été blessées par l’assaillant. Parmi elles, un frère et un soeur de 2 et 3 ans. Ils sont tous les deux en urgence absolue.

Deux autres enfants, un âgé de 22 mois et de nationalité allemande, un autre de 2 ans, de nationalité anglaise, ont également été blessés.

Deux adultes figurent aussi parmi les victimes: deux hommes, dont l’un âgé de 78 ans.

BFMTV


L’agresseur est né en 1991, de nationalité syrienne, selon les informations de CNEWS, et est entré régulièrement sur le territoire français. Il a introduit sa demande d’asile auprès de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) à Grenoble en novembre 2022.

Avant d’arriver dans l’Hexagone, il était en Suède depuis 10 ans, où il était marié avec une Suédoise avec qui il a eu un enfant. Il y avait obtenu son statut de réfugié en 2022 avant sa demande en France. Cette dernière a été déclarée irrecevable le 4 juin dernier. 

Selon nos informations, l’agresseur, qui s’était déclaré chrétien de Syrie dans son dossier de demande d’asile, portait sur lui une croix chrétienne au moment des faits.

CNews


Twitter

L’agresseur présumé est un homme de nationalité syrienne, identifié comme Abdalmasih H. et né en 1991, selon une source policière.

Entré de manière légale sur le territoire français, il avait fait une demande d’asile en novembre dernier, indique une source policière. Il avait depuis obtenu le statut de réfugié en Suède, a-t-on appris de même source.

BFMTV

L’auteur présumé avait le statut de réfugié en Suède, selon nos informations

Selon nos informations, l’individu de nationalité syrienne, âgé de 31 ans, avait introduit sa demande d’asile à l’Ofpra le 28 novembre 2022. Entre temps, il avait obtenu le statut de réfugié en Suède par une décision du 26 avril 2023. 

La Sous-direction anti-terroriste (SDAT) de la police judiciaire a été saisie.

Le Parisien

L’assaillant a “sauté”, “il a commencé à crier, il s’est dirigé vers les poussettes et a commencé à asséner des coups de couteau à répétition sur les petits”, raconte Ferdinand, un autre témoin.

Anthony dit avoir vu “des enfants et une maman à terre”.

“Quand il a vu qu’il était cerné par les policiers, il s’est dirigé vers un couple et il a mis un coup de couteau à la personne âgée”, poursuit Ferdinand. “Il a foncé tout droit sur un papi qui était avec sa femme et il l’a poignardé”, confirme Anthony. “Je disais (aux policiers) de l’abattre, de lui tirer dessus. (…) Ils l’ont immobilisé, mais j’ai été très surpris de la lenteur (des forces de l’ordre).”

BFMTV

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Des morts dans une frappe russe à Kherson, touchée par les inondations..

 

L’ESSENTIEL

  • Volodymyr Zelensky a réaffirmé qu’il n’était pas impliqué dans l’explosion du gazoduc Nord Stream et ne croyait pas que d’autres responsables ukrainiens aient joué un rôle. Selon un article du Washington Post publié mardi, une agence de renseignement d’un pays européen avait prévenu la CIA en juin 2022 que des forces spéciales ukrainiennes comptaient faire exploser le gazoduc.
  • Emmanuel Macron a annoncé mercredi l’envoi, « dans les toutes prochaines heures », d’une « aide pour répondre aux besoins immédiats » de l’Ukraine face à la destruction du barrage de Kakhovka. Le ministère des Affaires étrangères va acheminer une dizaine de tonnes d’équipements et biens humanitaires d’urgence, notamment des purificateurs d’eau, des kits familiaux d’hygiène, 500.000 tablettes de purification d’eau et plusieurs réservoirs de stockage.
  • Le chef de l’Etat ukrainien a déploré mercredi soir l’absence d’aide de la part des Nations unies et de la Croix-Rouge après la destruction du barrage.

14h56 : La Russie affirme avoir contré une offensive ukrainienne dans la région de Zaporojie

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, a dit que ses troupes avaient contré jeudi une offensive ukrainienne dans la région de Zaporojie, dans le sud de l’Ukraine, à l’heure où Kiev se dit prêt à lancer un assaut pour reconquérir les territoires occupés par Moscou.

« Aujourd’hui à 1h30 du matin dans la zone de Zaporojie, l’ennemi a tenté de percer nos défenses avec (…) jusqu’à 1.500 hommes et 150 véhicules blindés », a affirmé Sergueï Choïgou dans un communiqué. « L’ennemi est stoppé et recule avec de lourdes pertes », a-t-il ajouté.

 

14h28 : Début du procès d’un responsable de l’ONG Memorial pour « discrédit » de l’armée russe

Le procès de l’un des responsables de l’ONG Memorial, Oleg Orlov, accusé d’avoir « discrédité » l’armée russe et qui risque jusqu’à cinq ans de prison, s’est ouvert jeudi à Moscou, a constaté une journaliste de l’AFP.

Figure de Memorial, co-lauréate du prix Nobel de la paix, Oleg Orlov, 70 ans, qui a critiqué à plusieurs reprises l’offensive russe en Ukraine, rejette toutes les accusations le visant.

 

14h07 : Des morts dans une frappe russe à Kherson, touchée par les inondations

Une frappe russe sur le centre de Kherson (sud), ville touchée par des inondations importantes après la destruction d’un barrage en amont du fleuve Dniepr, a fait des morts et des blessés, a indiqué un responsable de l’armée ukrainienne.

« A la suite des bombardements de l’artillerie russe, il y a des civils blessés et tués dans le centre-ville de Kherson. Leur nombre est en cours de clarification », a indiqué à l’AFP Serguiï Sergueïev, un attaché de presse dans la zone.

 

13h02 : L’occupation russe accuse Kiev d’avoir tué deux civils dans une frappe sur un point d’évacuation

Les autorités d’occupation russe en Ukraine ont accusé jeudi Kiev d’avoir tué deux personnes dans une frappe sur un point d’évacuation, où les secours installés par Moscou aident les civils à quitter les zones inondées, près du barrage de Kakhovka détruit.

« (Les forces ukrainiennes) ont commis aujourd’hui un crime odieux. Ils ont bombardé le point d’évacuation des civils à Gola Pristan. Deux personnes sont décédées, dont une femme enceinte de 33 ans », a affirmé Vladimir Saldo, un responsable de l’occupation russe dans la région de Kherson. « Deux autres personnes sont blessées et ont été transportées à l’hôpital », a-t-il ajouté sur Telegram.

 

10h20 : Le président ukrainien se rend dans la région de Kherson

Selon une source officielle ukrainienne, le président Volodymyr Zelensky se rend dans la région de Kherson, touchée par les inondations après la destruction du barrage de Kakhovka.

«Voyage de travail dans la région de Kherson. Réunion de coordination pour faire face aux conséquences de l'explosion du barrage de Kakhovka», a-t-il indiqué sur ses réseaux sociaux, affirmant vouloir notamment «indemniser les habitants touchés par la catastrophe».

 

06h55 : Zelensky redit ne pas être derrière l’explosion de Nord Stream

Volodymyr Zelensky a réaffirmé mercredi qu’il n’était pas impliqué dans l’explosion le 26 septembre du gazoduc Nord Stream et ne croyait pas que d’autres responsables ukrainiens aient joué un rôle. « Je n’ai rien fait de tel, je ne ferais jamais cela », a affirmé le président ukrainien dans une interview diffusée par les médias allemands Welt-TV et Bild qui l’interrogeaient sur le mystère entourant l’explosion du gazoduc. « Je pense que notre armée et nos services de renseignement n’ont rien fait de tel, sinon j’aimerais voir des preuves, nous ne savons rien de tout cela, à cent pour cent ».

Selon un article du Washington Post publié mardi, une agence de renseignement d’un pays européen avait prévenu la CIA en juin 2022 que des forces spéciales ukrainiennes comptaient faire exploser le gazoduc. Le quotidien cite des informations issues des nombreux documents confidentiels publiés en ligne par le jeune militaire américain Jack Teixeira arrêté mi-avril.

DIRECT

 

 

 

 

L'Ukraine avait le motif et l'intention de détruire le barrage de Novaya Kakhovka

 

Vers une guerre de religion, infos du 8 juin 2023

Les dirigeants occidentaux ont laissé entendre qu'ils soutenaient l'affirmation de Kiev selon laquelle la Russie aurait "bombardé" le barrage de Kakhovka. L'analyste des relations internationales et de la sécurité Mark Sleboda et l'auteur Jeremy Kuzmarov, rédacteur en chef du magazine CovertAction, ont déclaré que Kiev avait de nombreuses raisons de détruire le barrage et que Moscou avait toutes les raisons de le défendre.

L'Ukraine avait plusieurs motifs pour détruire un important barrage hydroélectrique sur le fleuve Dniepr et avait déjà signalé son intention de le faire, selon les commentateurs.

Les forces ukrainiennes ont bombardé et percé le barrage hydroélectrique contrôlé par la Russie Novaya Kakhovka sur le cours inférieur du Dnepr aux petites heures du mardi matin, inondant plusieurs villes en aval.

Le ministre russe de la Défense, le général Sergueï Choïgou, a qualifié l'attaque de « nouveau crime terroriste » du « régime de Kiev ».

Choïgou a déclaré que le but de l'attaque était d'empêcher les troupes russes de menacer la rive ouest de la région de Kherson, permettant ainsi à l'armée ukrainienne de transférer des forces de la région de Kherson vers l'est vers Zaporozhye, car les renforts pour sa nouvelle "offensive" sud ont subi d'énormes pertes . d'hommes et de matériel au cours de ses trois premiers jours.

L'analyste Mark Sleboda a déclaré à Sputnik qu'après un an d'Ukrainiens menaçant de faire s'effondrer le barrage, "ils l'ont finalement fait".

"Ils ont inondé le Dnepr. Et je sais qu'ils nient qu'ils l'ont fait, tout comme ils nient avoir attaqué le pont de Crimée, et ils nient avoir attaqué le Kremlin et ils nient avoir assassiné Darya Dugina et Vladen Tatarsky ", a déclaré Sleboda.

"L'année dernière, le Washington Post a publié un article dans lequel il admettait que le régime de Kiev, parlant à un responsable militaire du régime, avait tiré trois coups de feu HIMARS sur le barrage de Novaya Kakhovka", a-t-il souligné. "Ils l'ont admis avant et maintenant ils l'ont finalement détruit."

La partie ukrainienne avait un motif clair pour détruire le barrage, a-t-il soutenu, pour des avantages purement militaires.

"Il y a beaucoup plus d'inondations du côté russe du Dnepr là-bas, du côté russe, car c'est beaucoup plus bas. Les effets des inondations seront donc beaucoup plus importants du côté russe", a souligné Sleboda. "Les positions défensives russes, les tranchées, les champs de mines qui y sont posés sont complètement anéantis. Quand cela s'épuise, ces positions russes disparaissent et le régime de Kiev trouvera des passages amphibies, des ponts flottants, beaucoup plus faciles qu'avant ."

L'expert en sécurité s'est également aventuré sur le fait que la chute rapide du niveau d'eau dans le réservoir artificiel derrière le barrage pourrait "compliquer" le refroidissement de la centrale nucléaire de Zaporozhye, la plus grande d'Europe, à Energodar, sur la rive sud-est du Dniepr sous contrôle russe. .

"Je pense qu'il y aura une grande poussée latérale là-bas, à la fois amphibie et terrestre vers Energodar pour prendre également la centrale nucléaire de Zaporozhye", a déclaré Sleboda. "Ce n'est pas l'objectif principal, mais ce sera une autre opération importante, je crois."

Un troisième inconvénient pour la Russie était que la rupture du barrage coupe l'approvisionnement en eau de la Crimée, qui n'avait été rétablie que 15 mois plus tôt lorsque les troupes russes ont envahi la région de Zaporozhye et débloqué les canaux barrés par le régime de Kiev depuis que la péninsule a voté pour se réunir avec la Russie en 2014.

"Cela prendra des années à réparer. La Crimée va à nouveau faire face à des pénuries d'eau, ce qui ne représentera probablement pas une menace pour la vie, mais réduira considérablement l'agriculture des vignobles de la péninsule de Crimée et pourrait éventuellement conduire à nouveau à un rationnement de l'eau. à un moment donné dans quelques années », a averti Sleboda. "C'est de la rancune. C'est, encore une fois, punir le peuple de Crimée pour avoir collectivement choisi le mal."

Le rédacteur en chef du magazine CovertAction, Jeremy Kuzmarov, a déclaré à Sputnik que la tentative de l'Occident de rejeter la faute sur la Russie pour l'attaque de Novaya Kakhova faisait écho à sa tentative de déplacer la culpabilité pour l'attentat à la bombe contre le pipeline Nord Stream de septembre 2022 de la Maison Blanche au Kremlin.

"C'est clairement l'Ukraine derrière cette attaque", a-t-il déclaré, soulignant que Moscou avait "essayé de renforcer l'économie de la Crimée et de connecter l'économie russe à la Crimée".

"Ils n'essaieront pas de saboter l'économie de la Crimée, car ce barrage fournissait de l'eau douce", a déclaré Kuzmarov. "Et l'Ukraine était connue depuis 2014, depuis le coup d'État de Maïdan et la réintégration de la Crimée dans la Russie, ils essaient de couper l'approvisionnement en eau douce de la Crimée depuis 2014."

"Il y a eu tellement de mensonges, y compris liés à Nord Stream, qu'à ce stade, beaucoup de choses ont été dites sur le gouvernement ukrainien et ses méfaits", a-t-il ajouté. "Je pense que le public et même les experts pro-guerre encadrent toujours leur analyse … en reconnaissant que ce n'était pas un gouvernement parfait et qu'ils ont fait de mauvaises choses."

après la Seconde Guerre mondiale L'éditeur a établi un autre parallèle avec le tribunal des crimes de guerre de Nuremberg , où les nombreuses accusations portées contre les dirigeants nazis allemands comprenaient le bombardement de digues et de barrages dans les Pays-Bas occupés. Il a soutenu que les dirigeants ukrainiens étaient coupables de la même chose.

"C'est un crime, un crime de guerre. Ils ciblent des infrastructures comme avec le pipeline Nord Stream, et ils essaient d'affamer cruellement les gens ou de les priver d'approvisionnement en eau pour remplir une fin politique plus large, comme dans le cas de Crimée, essayant de la couper de la Russie", a déclaré Kuzmarov. "C'est une politique très cruelle de la part de l'Ukraine. Cela devrait être un scandale dans la communauté mondiale."

 

«C’est Poutine qui l’a fait ! disent les grands médias»

 
 

«C’est Poutine qui l’a fait. C’est Poutine !», disent les grands médias en réponse aux spéculations sur qui a détruit le barrage de Kakhovka. «Et leur raisonnement est simple. Poutine est le mal. Et les méchants font de mauvaises choses purement pour la joie obscure d’être mauvais. Dans ce cas précis, Poutine s’est attaqué lui-même, ce qui est la chose la plus mauvaise que vous puissiez faire, et donc parfaitement dans le caractère d’un homme aussi maléfique. Telle est leur explication».

source : Jean-Dominique Michel

 

 

Guerre en Ukraine : Documents de la CIA, scénario ukrainien, de nouvelles révélations sur le sabotage du gazoduc Nord Stream

 

  • La CIA aurait eu connaissance d'un scénario similaire dès juin 2022.
    La CIA aurait eu connaissance d'un scénario similaire dès juin 2022. MAXPPP - OLIVIER DOULIERY

De nouveaux éléments viennent accréditer la thèse d'une responsabilité ukrainienne dans cette explosion en mer Baltique.

L'Ukraine est-elle à l'origine du sabotage du gazoduc Nord Stream ? La piste est de plus en plus sérieuse comme le révèle la dernière enquête du Washington Post

La CIA aurait ainsi appris en juin dernier, via une agence d'espionnage européenne, qu'une équipe de six membres des forces d'opérations spéciales ukrainiennes avait l'intention de saboter le projet de gaz naturel Russie-Allemagne, explique nos confrères. L'information provient de la fuite des documents classifiés sur Discord dont serait à l'origine Jack Teixeira, le jeune membre de la Garde nationale aérienne qui a été arrêté. 

 

Ces documents révèlent que trois mois avant le sabotage du gazoduc Nord Stream, l'administration Biden a appris d'un proche allié que "l'armée ukrainienne avait planifié une attaque secrète sur le réseau sous-marin, en utilisant une petite équipe de plongeurs qui relevaient directement du commandant en chef des forces armées ukrainiennes". On ne sait pas quel pays européen a eu connaissance de ce scénario et a transmis l'information aux Américains alors que la guerre avait commencé seulement quatre mois plus tôt.

Le 26 septembre 2022 trois explosions sous-marines en mer Baltique avaient provoqué des fuites massives sur les pipelines Nord Stream 1 et 2, ne préservant qu'une seule des quatre liaisons gazières du réseau du relie la Russie à l'Allemagne.

Moscou avait immédiatement été soupçonné d'être à l'origine de cet acte de sabotage. Mais plusieurs théories ont été avancées. Après la Russie, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, l'Ukraine et la Pologne ont été suspectés en avril dernier d'avoir participé à la pose d'engins explosifs sous la surface de la mer Baltique en septembre.

Selon le Washington Post, les derniers renseignements comportent des détails très précis qui n'avaient jamais été communiqués auparavant. Les enquêteurs allemands ont découvert que le mode opératoire de l'explosion en mer Baltique présentait des similitudes frappantes avec les éléments recueillis par le service européen sur le scénario ukrainien. 

Ni le gouvernement ukrainien, ni la Maison blanche ni la CIA n'ont souhaité commenter ces informations.

Source

 

 

 

La Biélorussie refoulée du Conseil de sécurité de l’ONU par la candidature surprise de la Slovénie

 
 

La Biélorussie a perdu face à la Slovénie lors du vote à l’Assemblée générale pour un siège de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU pour 2024-2025. À la suite du vote, Ljubljana a reçu 153 voix, Minsk 38. Pour être élu, un État doit obtenir les deux tiers des voix des participants au vote, soit 128 voix.

L’ambassadeur de Russie en Biélorussie, Boris Gryzlov, a critiqué les résultats des élections à l’ONU et a déclaré que l’Occident, avec ses alliés, avait organisé une campagne pour empêcher Minsk de poursuivre une politique indépendante.

«Le bloc des pays occidentaux et leurs alliés ont organisé une campagne ciblée, dont la tâche était d’empêcher l’apparition d’un autre État au Conseil de sécurité qui n’a pas peur de poursuivre une politique étrangère indépendante. C’est le cas, sans aucun doute, de la république de Biélorussie», a-t-il affirmé.

Gryzlov a rappelé que la Biélorussie avait présenté sa candidature en 2007, tandis que la Slovénie n’avait postulé qu’en 2017 et n’avait initialement demandé un siège non permanent au Conseil de sécurité que pour 2042-2043.

Lire l’article complet

source : News.ru via Stratpol

 

 

Belgique/Pays-Bas : 2 jeunes arrêtés parce qu’ils préparaient un attentat ; ils pourraient être liés aux 7 jeunes Tchéchènes arrêtés à Eindhoven

Un jeune homme de 16 ans a été arrêté chez lui au début du mois dernier et est toujours en détention. Au début de cette semaine, un autre jeune de 19 ans a également été arrêté, a précisé le ministère public.

Selon les informations de nos confrères d’HLN, les deux hommes se seraient contactés via une messagerie en vue de préparer un attentat visant notamment la Belgique. […]

Un lien pourrait exister entre ces arrestations et l’arrestation à Eindhoven , le même jour, de 7 jeunes d’origine tchétchène, soupçonnés également de préparer des attentats en Belgique. […]

RTL.be

 

 

Fonds Marianne : Schiappa a personnellement sucré 100 000 euros de subvention à SOS Racisme

Marlène Schiappa pourrait rejoindre la chaîne C8 à la rentrée

L’ancien directeur de cabinet de la ministre a reconnu devant la commission d’enquête sénatoriale que Marlène Schiappa était directement intervenue dans le processus de sélection du fonds Marianne. Selon nos informations, elle a personnellement retoqué le dossier de SOS Racisme en raison des positions politiques de son président. Alors que l’administration avait validé cette candidature.

www.mediapart.fr

 

 

Depuis quelques semaines, des “bataillons” (par exemple 10 inspecteurs pour une école de 90 élèves) de l’Éducation nationale aux « pratiques scandaleuses » et inhabituelles investissent les écoles catholiques hors-contrat

Alors que le ministre de l’Éducation a été mis en cause dans l’affaire Lindsay par les parents de la défunte adolescente de 13 ans, qui accusent aussi l’établissement et l’académie de Lille de non-assistance à personne en danger, on apprend que ces dernières semaines, des inspections massives, façon « commando », ont été diligentées… dans des écoles catholiques hors contrat.

Dans un communiqué commun publié le 3 juin dernier, la Fondation pour l’école et la Fédération des parents d’élèves des écoles indépendantes (FPEEI) font état de « pratiques scandaleuses » : des arrivées surprises « par des portes dérobées », des « inspecteurs en surnombre : 10 pour une école de 90 élèves, par exemple », des « fouilles de cartables » et de casiers – d’élèves comme de professeurs – ainsi que des questions intrusives dépassant largement le périmètre scolaire : « Avez-vous des problèmes familiaux ? »« Parlez-vous de sexualité à la maison ? »« En parlez-vous beaucoup ? »« Supportez-vous l’uniforme ? »« Cela ne vous dérange-t-il pas de ne jamais changer d’aspect ? »« Avez-vous accès à Internet à la maison ? »« En avez-vous assez d’être cloîtrés toute la journée sans votre téléphone ? »… des interrogations qui ne manquent pas de sel, quand on sait que le ministre de l’Éducation, dans le drame du harcèlement de Lindsay, charge aujourd’hui les réseaux sociaux…

Le professeur d’un collège de l’Ouest parisien, interrogé par BV, évoque une rafale de questions vétilleuses « dont les inspecteurs n’écoutent pas la réponse ». Marie des Neiges Guillotel, de la FPEEI, témoigne auprès de BV du « mécontentement de nombreux parents dont les enfants ont été interrogés par des inspecteurs sans leur accord, sans qu’un adulte puisse assister à l’entretien, et sur des sujets relevant en grande partie de la sphère familiale ». Michel Valadier, président de la Fondation pour l’école, dénonce quant à lui des « méthodes de voyou ». Pas plus que les directeurs d’établissement il ne remet en cause, bien sûr, le bien-fondé des inspections. Déroulées dans un climat serein, ces inspections se sont souvent révélées, par le passé, constructives et positives, tient-il à préciser. Mais là, c’est d’autre chose qu’il s’agit. Il souligne les intimidations dont on fait l’objet les directeurs d’école pour que les élèves, quoique mineurs, puissent être interrogés seuls, sans présence d’un tiers ni autorisation des parents. À l’institut d’Argentré, dans l’Orne, la directrice Sylvie Biget explique avoir été menacée de voir fermer son école si elle n’obtempérait pas. Cette directrice est d’autant plus surprise que, par le passé, elle a connu des inspections tout à fait professionnelles et neutres. La remarque candide, à l’issue, d’une fillette en classe de 5e l’a spécialement touchée : « Ils voulaient que l’on dise que l’on était malheureux dans l’école, mais on leur a dit que ce n’était pas vrai ! »

[…]

Boulevard Voltaire

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