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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 15 mai 2023

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'armée russe dit avoir abattu un missile Storm Shadow, fourni à Kiev par Londres...

 

L’ESSENTIEL

  • Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en quête d’un soutien accru avant la contre-offensive annoncée de son armée, a obtenu un engagement renouvelé de la France, en particulier dans le domaine des blindés légers, lors d’un dîner dimanche avec Emmanuel Macron à l’Elysée. La question de la livraison d’avions de combat reste par contre « prématurée » aux yeux de Paris.
  • Volodymyr Zelensky faisait étape à Paris après s’être rendu à Rome et au Vatican, où il a rencontré le pape François et la Première ministre italienne Giorgia Meloni, puis à Berlin et Aix-la-Chapelle durant le week-end.
  • L’étape allemande du président ukrainien, la première depuis le début de l’invasion russe, a marqué un net réchauffement des relations entre Berlin et Kiev, un temps crispées par les atermoiements du chancelier Olaf Scholz à livrer les armes réclamées par l’Ukraine.

 

 

13h59 : Le patron de Wagner juge « risibles » les accusations de collaboration avec Kiev

Le patron du groupe paramilitaire russe Wagner a qualifié lundi de « risibles » des informations de presse selon lesquelles il aurait proposé des informations sur les positions des troupes russes aux services de renseignement ukrainiens.

« Il semblerait que je me batte pour la Russie, mais qu’en parallèle Zelensky suive mes instructions. Donc la main gauche est en guerre avec la main droite », a réagi ironiquement Evgueni Prigojine lundi. « Risible », a-t-il balayé, dans un message audio publié sur Telegram par son service de presse.

 

 

13h41 : Rishi Sunak évoque l'esprit de Winston Churchill en accueillant Volodymyr Zelensky

 

 

 

 

 

13h27 : Zelensky optimiste sur des décisions rapides concernant la livraison d’avions occidentaux

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est dit lundi, lors d’une visite au Royaume-Uni, optimiste concernant des « décisions très importantes » rapides sur la livraison d’avions de combat qu’il réclame aux Occidentaux face à l’invasion russe.

« Nous voulons créer une coalition pour les avions et je suis très optimiste à ce sujet, nous en avons parlé et je pense que cela va arriver très prochainement, vous allez apprendre des décisions que je pense très importantes », a déclaré M. Zelensky à la presse à l’issue d’un entretien avec le Premier ministre britannique Rishi Sunak, qui s’est dit prêt à jouer « un rôle clé dans cette coalition ».

 

13h19 : Le chef de Wagner aurait négocié avec les Ukrainiens pour la prise de Bakhmout

Selon une fuite rapportée par le Washington Post, le chef du groupe Wagner aurait proposé à l’Ukraine de lui communiquer l’emplacement des troupes russes. Evgueni Prigojine a déclaré qu’il indiquerait aux militaires ukrainiens où attaquer les troupes russes s’ils retiraient leurs propres forces de la ville assiégée de Bakhmout, où les mercenaires de Wagner subissent de lourdes pertes.

 

13h06 : L’armée russe dit avoir abattu un missile Storm Shadow, fourni à l’Ukraine par le Royaume-Uni

La Russie a affirmé lundi avoir intercepté un missile de longue portée Storm Shadow dans le cadre du conflit en Ukraine, quelques jours à peine après l’annonce par Londres de la livraison de ces armes aux forces de Kiev.

Lors des 24 heures écoulées, « les systèmes de défense antiaérienne ont intercepté sept missiles anti-radar HARM, un missile de croisière de longue portée Storm Shadow et 10 (projectiles) de lance-roquettes multiple HIMARS », a assuré dans un communiqué le ministère russe de la Défense.

 

12h48 : Le commandant de l’armée de terre sud-africaine en visite à Moscou

Le commandant des forces terrestres de l’armée sud-africaine est en visite officielle à Moscou, ont annoncé lundi les agences de presse russes, après des accusations américaines reprochant à Pretoria des livraisons d’armes à la Russie.

Selon le ministère russe de la Défense, cité par les agences TASS et Interfax, le lieutenant général Lawrence Mbatha et sa délégation ont discuté avec leurs collègues russes de « questions de coopération militaire » visant à « accroître la préparation au combat des forces armées des deux pays ».

 

 

11h55 : Les nouvelles livraisons d’armes britanniques causeront « encore plus de destructions », regrette le Kremlin

Les nouvelles livraisons d’armes britanniques à l’Ukraine, annoncées par Londres en amont d’une rencontre entre le Premier ministre Rishi Sunak et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, vont causer « encore plus de destructions », a averti lundi le Kremlin.

« La Grande-Bretagne aspire à se placer à la tête des pays qui continuent d’inonder l’Ukraine en armements », a dénoncé devant la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Il a estimé que ces livraisons n’auront « pas d’impact important sur le déroulement » du conflit, mais « provoqueront encore plus de destructions ».

 

08h59 : Londres va livrer des « centaines » de missiles et drones d’attaque à l’Ukraine

Le Royaume-Uni a annoncé lundi la livraison prochaine de « centaines » de missiles antiaérien et de drones d’attaques à l’Ukraine, en amont d’une rencontre à Londres entre le Premier ministre Rishi Sunak et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Ce nouveau soutien militaire sera livré « au cours des prochains mois alors que l’Ukraine se prépare à intensifier sa résistance face à l’invasion russe en cours », a indiqué Downing Street dans un communiqué.

 

07h10 : La France va équiper plusieurs bataillons avec des dizaines de blindés et chars légers

La France va former et équiper plusieurs bataillons ukrainiens avec des « dizaines » de véhicules blindés et chars légers, ont annoncé les deux pays à l’issue d’un dîner entre les présidents Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky à l’Elysée.

« Dans les semaines à venir, la France formera et équipera plusieurs bataillons avec des dizaines de véhicules blindés et de chars légers, dont des AMX-10RC », est-il précisé dans une déclaration commune. Paris concentre aussi ses « efforts sur le soutien des capacités de défense aérienne de l’Ukraine », est-il ajouté.

 

DIRECT

 

 

Guerre en Ukraine : La Russie signale un important déploiement des troupes de Zelensky sur toute la ligne de front

 

  • L'armée ukrainiennes renforces ses positions en prévision de la contre-offensive.
    L'armée ukrainiennes renforces ses positions en prévision de la contre-offensive. Forces armées ukrainiennes

Les Forces armées ukrainiennes se renforcent sur la ligne de contact, assure Moscou.

"Ce n'est pas encore la contre-offensive dont on parle beaucoup", assure le chef par intérim de la République autoproclamée de Donetsk. Mais "on voit que l'ennemi essaie de sonder nos positions, essaie de faire des reconnaissances en force dans certaines zones", constate Denis Pouchiline sur les ondes de la chaîne de télévision Rossiya 24, cité par l'agence de presse officielle Ria Novosty.

Selon lui, les forces armées ukrainiennes ont renforcé leur présence sur toute la ligne de front.

Le dirigeant pro-russe souligne que les autorités de la région annexée par la Russie se préparaient à la contre-offensive annoncée comme imminente par Kyiv et les Occidentaux.

Si la situation s'est compliquée dans certaines régions, elle demeure sous contrôle, ajoute-t-il.

Couper l'accès à la Crimée

Cette vaste opération ukrainienne devrait notamment prendre la direction de la région de Zaporijjia dans le but d'atteindre la côte de la mer d'Azov et de couper le couloir terrestre d'accès à péninsule de Crimée.

L'attaché de presse de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, a souligné que Moscou surveillait attentivement toutes les déclarations concernant la contre-offensive ukrainienne à venir et s'y adaptait sur le terrain.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine : la France va fournir des dizaines de véhicules blindés et de chars légers à Kiev

 

  • Les chars AMX-10 RC sont des engins pour des combats légers.
    Les chars AMX-10 RC sont des engins pour des combats légers. MAXPPP - Arnaud Beinat

La France a annoncé à l'issue d'un dîner de travail entre le président Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky ce dimanche à Paris qu'elle allait former et équiper dans les prochaines semaines plusieurs bataillons avec des dizaines de véhicules blindés et de chars légers, dont des AMX-10RC.

Dans une déclaration conjointe diffusée par l'Elysée, la France a dit poursuivre son soutien militaire à Kiev pour tenir compte "en permanence" des besoins les plus urgents de l'Ukraine.

Paris concentre en outre ses efforts "sur le soutien des capacités de défense aérienne de l'Ukraine afin de défendre sa population contre les frappes russes", est-il écrit.

Une source à la présidence française a déclaré à des journalistes que des systèmes de défense supplémentaires, plus modernes, allaient être mis à disposition de l'Ukraine.

Il n'est pas question pour l'heure de livrer des avions de chasse à Kiev, comme celui-ci le demande, a ajouté la source.

Le dîner entre Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky, qui a duré un peu plus de trois heures dont une heure d'échanges en tête-à-tête entre les deux dirigeants, avait une vocation "très opérationnelle", a-t-on indiqué à l'Elysée.

"Des décisions ont été prises sur le renforcement des capacités", a-t-on dit, ajoutant que beaucoup d'entre elles restaient confidentielles mais que certaines devraient être annoncées en ce début de semaine par Emmanuel Macron.

"La France poursuit sur sa ligne, en écoutant les besoins de l'Ukraine"

"On a pu discuter des intentions ukrainiennes (en vue d'une contre-offensive). La France poursuit sur sa ligne, en écoutant les besoins de l'Ukraine. Aujourd'hui, c'est de former des bataillons."

Par ailleurs, dans leur déclaration commune, la France et l'Ukraine ont appelé "expressément la Russie à se retirer de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dont la saisie et la militarisation irresponsables par les forces armées russes constituent une grave menace."

Les deux pays sont aussi convenus "de la nécessité d'intensifier les efforts pour garantir une mise en œuvre efficace des sanctions (contre la Russie) et empêcher et prévenir le contournement de ces sanctions dans et par des pays tiers".

Source

 

 

 

La nouvelle grande idée de l’OTAN : « Commençons une guerre avec la Chine ! »

 
 

L’histoire de l’OTAN après la Guerre froide est celle d’une organisation qui a largement dépassé sa date de péremption. Désespérément à la recherche d’une mission après la fin du Pacte de Varsovie, l’OTAN a décidé, à la fin des années 1990, de devenir la force motrice de la militarisation des « droits de l’homme » sous l’administration Clinton.

La « menace du communisme mondial » qui avait servi à justifier les 40 ans d’existence de l’OTAN ayant disparu, l’OTAN s’est réimaginée comme une bande de super-héros atlantistes armés. Partout où il y avait une « injustice » (telle que définie par les néoconservateurs de Washington), l’OTAN était prête avec des fusils et des bombes.

Le complexe militaro-industriel américain n’aurait pu être plus heureux. Tous les groupes de réflexion du Beltway qu’ils financent abondamment ont finalement trouvé une solution gagnante pour maintenir le flux d’argent. Il a toujours été question d’argent, pas de sécurité.

Le test pour l’OTAN en tant que super-héros des droits de l’homme a été la Yougoslavie en 1999. Pour tout le monde, sauf pour l’OTAN et ses manipulateurs néoconservateurs à Washington et dans de nombreuses capitales européennes, il s’agissait d’un désastre horrible et injustifié. Soixante-dix-huit jours de bombardements sur un pays qui ne menaçait pas l’OTAN ont entraîné la mort de centaines de civils, la destruction des infrastructures et l’empoisonnement du paysage par des munitions à l’uranium pour les générations à venir.

La semaine dernière, la légende du tennis Novak Djokovic a rappelé ce qu’il avait ressenti en fuyant la maison de son grand-père au milieu de la nuit, alors que les bombes de l’OTAN tombaient et la détruisaient. Quelle horreur !

L’OTAN a ensuite participé au renversement du gouvernement de Kadhafi en Libye. La presse spécialisée a régurgité les mensonges des néoconservateurs selon lesquels bombarder le pays, tuer son peuple et renverser son gouvernement résoudrait tous les problèmes de droits de l’homme en Libye. Comme on pouvait s’y attendre, les bombes de l’OTAN n’ont pas résolu les problèmes de la Libye, mais les ont aggravés. Le chaos, la guerre civile, le terrorisme, les marchés d’esclaves, la pauvreté écrasante – pas étonnant qu’Hillary Clinton, Obama et les néoconservateurs ne veuillent plus parler de la Libye ces jours-ci.

Après une série d’échecs plus longue que nous n’avons de place ici, l’OTAN contrôlée par Washington a décidé en 2014 d’aller jusqu’au bout et de cibler la Russie elle-même pour un « changement de régime ». La première étape a consisté à renverser le gouvernement ukrainien démocratiquement élu, ce dont Victoria Nuland et le reste des néocons se sont occupés. Ensuite, pendant huit ans, l’OTAN a apporté une aide militaire massive au gouvernement putschiste ukrainien dans le but de combattre la Russie. Enfin, il y a eu le rejet en 2022 de la demande de la Russie de négocier un accord de sécurité européen qui empêcherait les armées de l’OTAN de tourner autour de sa frontière.

Malgré la propagande des médias grand public et du gouvernement américain, l’OTAN a eu autant de succès en Ukraine qu’en Libye. Des centaines de milliards de dollars ont été engloutis, avec une corruption massive documentée par des journalistes comme Seymour Hersh et d’autres.

La seule différence cette fois-ci est que la cible de l’OTAN – la Russie – possède des armes nucléaires et considère cette guerre par procuration comme vitale pour son existence même.

Ainsi, malgré son héritage d’échecs, l’OTAN a décidé d’entamer un conflit avec la Chine, peut-être pour détourner l’attention de son désastre en Ukraine. La semaine dernière, l’OTAN a annoncé qu’elle ouvrirait son tout premier bureau asiatique au Japon. Qu’en est-il de l’adhésion de Taïwan à l’OTAN ? Taïwan sera-t-elle la nouvelle « Ukraine » de l’OTAN, se sacrifiant pour la Chine au nom de l’appétit apparemment sans fin de l’OTAN pour les conflits ?

Nous ne pouvons qu’espérer que l’Amérique élira en 2024 un président qui mettra enfin un terme à la tournée mondiale mortelle de l’OTAN.

source : The Ron Paul Institute via Arret sur Info

 

 

Pourquoi ils veulent effacer l’anniversaire de la victoire sur le nazisme

 

Au niveau international est en cours une grande opération politico-médiatique pour effacer l’Anniversaire de la Victoire sur le nazisme. Le discours du président Poutine au défilé militaire du 9 mai à Moscou, pour le 78ème Anniversaire de la Victoire, a été présenté en Occident comme un discours en ton mineur sans en faire connaître le contenu réel. En Lettonie et autres pays de l’Est la police a identifié et même arrêté ceux qui rendaient hommage aux morts de la guerre contre le nazisme. En Ukraine a été imposée l’interdiction absolue de rappeler l’Anniversaire de la Victoire sur le nazisme, sous peine d’arrestation et pire. En même temps s’intensifie l’action pour extirper tout ce qui est russe. On détruit – en Ukraine, Lettonie et autres pays de l’Est – des monuments qui rappellent le prix payé par la Russie pour libérer l’Europe et le monde du nazisme : 27 millions de morts, dont plus de la moitié civils, correspondant à 15% de la population (par rapport à 0,3% des USA pendant toute la Seconde guerre mondiale) ; environ 5 millions de déportés en Allemagne ; plus de 1700 villes et gros centres habités, 70 000 petits villages dévastés ; 30 000 usines détruites.

En Lettonie on refuse aux 550 000 russophones, qui constituent plus d’un quart de la population, le droit d’utiliser leur propre langue, en leur imposant un difficile examen de letton : ceux qui ne le réussissent pas sont expulsés du pays. Cela se passe alors que la Lettonie est membre de l’Union européenne qui garantit aux minorités le droit de s’exprimer dans leur propre langue.

L’UE a fait davantage : elle a décrété que le 9 mai est la « Journée de l’Europe ». Ursula von der Leyen est allée la célébrer à Kiev, pour « montrer que l’Union européenne est aux côtés de l’Ukraine qui est en train de combattre pour les idéaux de l’Europe que nous célébrons aujourd’hui ». Elle l’a dit au président Zelensky, lequel vient juste de signer une loi pour effacer de l’Ukraine tout symbole russe, effaçant de cette façon l’histoire même de l’Ukraine. Au même moment la Cour suprême d’Ukraine a décrété que les symboles de la Division SS Galicie, qui a commis d’horribles crimes, ne sont pas nazis et peuvent donc être utilisés aujourd’hui y compris dans les manifestations.

Manlio Dinucci

Bref résumé de la 98ème revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 12 mai 2023 à 20h30 sur la chaine TV italienne Byoblu.

traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

 

Le ministre turc des Affaires étrangères déclare qu'Ankara n'attendra pas les avions F-35 américains et veut récupérer 1,4 milliard de dollars

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 mai 2023

ANKARA (Spoutnik) - Turkiye n'a pas l'intention d'attendre d'être ramené au programme de chasseurs multirôles F-35 américain, dont il a été officiellement retiré il y a deux ans, et demande le remboursement de 1,4 milliard de dollars payés pour les jets, Turkish Foreign a déclaré samedi le ministre Mevlut Cavusoglu.

"Nous voulons de l'argent maintenant. Nous voulons que l'argent que nous y avons payé nous soit rendu. Nos amis du ministère se sont réunis et ont passé en revue les mesures que nous prendrons à partir de maintenant. Nous prenons maintenant soin de nous", a déclaré Cavusoglu aux médias, ajoutant qu'Ankara ne veut pas que la situation "se transforme en une histoire de serpent comme avec le système de défense Patriot".

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a précédemment déclaré que le pays avait payé 1,4 milliard de dollars pour les jets.

En avril 2021, les États-Unis ont exclu la Turquie du programme F-35 après qu'Ankara a acheté les systèmes de défense aérienne russes S-400. Washington a annulé le mémorandum conjoint sur les chasseurs F-35 avec le pays, tout en signant le document avec sept autres partenaires du projet - le Royaume-Uni, l'Italie, les Pays-Bas, l'Australie, le Danemark, le Canada et la Norvège. Erdogan a déclaré plus tard cette année-là que Turkiye avait reçu une offre américaine pour acheter des F-16 à la place, une génération derrière les F-35. Le Congrès américain a débattu de l'opportunité d'inclure des restrictions sur la vente d'avions à réaction dans son projet de loi annuel sur les dépenses de défense pour l'exercice 2023, tandis que le département d'État américain a tenté de convaincre les législateurs que l'accord était conforme aux intérêts de Washington.

Source

 
 

 

 

Emmanuel Macron « prêt à tous les référendums » mais pas sur l’immigration

POLITIQUE – Cela fait 18 ans que les Français n’ont pas été appelés à voter lors d’une telle consultation. Et si Emmanuel Macron se dit « prêt à tous les référendums, si c’est utile pour le pays », il ferme la porte à l’organisation d’un tel scrutin sur le sujet de l’immigration.

Alors que certains, notamment à droite, le demandent, le président de la République estime que la question ne rentre pas dans le champ constitutionnel qui permettrait d’en convoquer un. « Je ne pense pas que ce soit dans le champ de l’article 11 », a répondu le chef de l’État, interrogé par le quotidien L’Opinion sur la piste d’un référendum en cas d’échec des débats au Parlement sur l’immigration.

« Je suis prêt à tous les référendums, si c’est utile pour le pays. Je suis pour utiliser la Constitution, elle permet d’avancer », ajoute toutefois Emmanuel Macron sans préciser sur quel sujet il pourrait demander leur avis aux Français. L’article 11 de la Constitution dispose notamment que le Président « peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent ».

(…) Huffington Post

 

 

“Arrête, je suis policier !” : à Montpellier, Sofiane Rahaoui, 22 ans, jugé pour avoir tenté de tuer à coups de couteau Lucas, un agent en civil qui rentrait de soirée avec sa femme ; son pronostic vital engagé

Sofiane Rahaoui, 22 ans, comparaît devant la cour d’assises de ce lundi 15 au mercredi 17 mai 2003 pour s’en être pris le 1er février 2020 à un couple qui rentrait chez lui au petit matin après une fête d’anniversaire, près de la place Albert 1er. Il est accusé d’avoir redoublé de violence en apprenant que la victime était un policier.

“Il a des attentes fortes. Il a eu une période d’arrêt de travail de près d’un an, à cause des répercussions physiques et morales. Et il sait que sa qualité de policier, le jour des faits, ne l’a pas protégée, bien au contraire.”

Défendu par Me Naomi Cazabonne-Pesse, du barreau de Bordeaux, Lucas, un policier de Montpellier va faire face à partir de ce lundi 15 mai devant la cour d’assises de l’Hérault au jeune homme de 22 ans qui est accusé d’avoir voulu le tuer, à coups de couteau, dans les rues de Montpellier, le 1er février 2020.

(…) Des propos qui vont déclencher la fureur de Sofiane Rahaoui : “T’es une femme, tu me parles pas” dit-il avant de l’insulter. Voyant que l’affaire dégénère, et que son adversaire veut en découdre, Lucas crie à sa compagne de courir se réfugier dans un snack voisin, puis l’imite, après avoir décoché un coup de poing à son agresseur.

Un deuxième coup dans le dos

Alors qu’il court, il est blessé d’un premier coup de couteau à la jambe, puis parvient à éviter un croche-patte que tente d’effectuer un deuxième agresseur, qui cherche à le faire chuter au sol.

“Arrête, je suis policier !” crie-t-il alors à son agresseur, qui semble se calmer un instant, avant de se précipiter dans le snack où Lucas est en train de se réfugier, et de le poignarder à nouveau dans le dos.

(…)

Midi Libre

 

Présidentielle en Turquie : entre Erdogan et Kiliçdaroglu, un second tour se profile ; Erdogan en tête dans plusieurs pays d’Europe dont la France, la Belgique et l’Allemagne

Les deux prétendants au pouvoir en Turquie se disent en mesure de l’emporter à l’issue du scrutin de dimanche, lors d’un second tour le 28 mai qui semble désormais avéré.

Pas tout à fait une victoire, mais certainement pas une défaite. Recep Tayyip Erdogan, autocrate islamo-conservateur à la tête du pays depuis vingt ans, s’est dit convaincu, au cœur de la nuit devant une marée de partisans, “de servir encore son pays pendant cinq ans”. Son rival, Kemal Kiliçdaroglu, a affiché la même confiance : il a promis à son camp qu’il allait “absolument gagner au second tour”, faisant valoir “le besoin de changement dans la société”.

L’élection présidentielle turque, qui s’est déroulée hier, dimanche 14 mai, semble déboucher sur un second tour historique le 28 mai prochain. Selon l’agence officielle Anadolu, sur 98,72 % des votes, le président sortant, leader du Parti de la justice et du développement (AKP), obtient 49,34 % des voix ; 45 % pour Kemal Kiliçdaroglu, candidat du Parti républicain du peuple (CHP). Si, au début de la nuit, le vote de la diaspora dévoilé au compte-goutte laissait encore planer une incertitude, les résultats – toujours partiels – de ce lundi matin (près de 75 % de dépouillés) l’ont presque réduite à néant quant à la tenue d’un second tour.

[…]

 

L’Express

Erdogan au 1er tour après 98.96% du dépouillement :

  • 61% en France
  • 71% en Belgique
  • 65% en Allemagne
  • 68% aux Pays-Bas
  • 72% en Autriche
  • 51% en Norvège
  • 59% au Danemark
Cliquez pour agrandir

Seçim 2023

 

 

Malika Sorel : « Dès 1991 un rapport européen identifia que pour la plupart des migrants la culture se confondait avec la religion, que cela constituait leur identité. Et que des éléments non négligeables étaient contraires à l’identité des peuples européens »

 

 

Un imam, historiquement proche des Frères musulmans en France, est membre d’une association promouvant la laïcité présidée par un ancien ministre socialiste

Un imam, historiquement proche des Frères musulmans en France , devient trésorier d’une association de promotion de la laïcité… Ce n’est, hélas, pas une blague. L’imam se nomme Mohsen Ngazou, né en Tunisie. Quant à l’association, il s’agit de la Vigie de la Laïcité, présidé par l’ancien ministre socialiste Jean-Louis Bianco, et compte tenu des circonstances dans lesquelles elle a été créée, le moins que l’on puisse dire est qu’elle devrait être particulièrement attentive aux tentatives d’entrisme. Jean-Louis Bianco et les personnalités qui ont rejoint la Vigie dénoncent un « intégrisme laïque » qui ferait « le jeu de l’extrême droite », jetant le soupçon sur tous les musulmans, et, à travers eux, sur les personnes issues de l’immigration arabe et africaine.

Jean-Louis Bianco annonce, moins d’une semaine après la dissolution, la création d’une association, la Vigie de la Laïcité, avec l’ex-rapporteur général de l’Observatoire, Nicolas Cadène. La nouvelle structure comprend parmi ses membres fondateurs le sociologue Jean Baubérot , spécialiste des religions, Radia Bakkouch, alors présidente de  l’association Coexister , et Jean-Marc Schiappa, père de la ministre Marlène Schiappa , alors à la manoeuvre pour la dissolution de l’Observatoire de la laïcité. La nouvelle structure, qui fêtera bientôt ses deux ans, se porte bien.

 « Nous n’avons pas remplacé l’Observatoire, soupire Jean-Louis Bianco. Nous avons beaucoup moins de moyens, et surtout, nous n’avons plus de fonction de coordination interministérielle. » L’association dispose d’antennes locales dans l’Hérault, la Gironde, en Vendée, ainsi que dans les Bouches-du-Rhône. Elles travaillent avec des établissements scolaires, avec la Ligue de l’enseignement et les sections locales de la Ligue des droits de l’homme . L’antenne vendéenne est même chargée par l’État de l’animation du réseau des formateurs de référents laïcité.

Mais c’est dans les Bouches-du-Rhône que le profil du trésorier adjoint de Vigie de la Laïcité 13 réserve quelques surprises. Mohsen Ngazou est aussi imam et directeur du collège-lycée Ibn-Khaldoun à Marseille, sous contrat avec l’État depuis 2015. Un établissement « irréprochable en termes de respect de la laïcité », explique une source au rectorat. Le maire de Marseille, le socialiste Benoît Payan, l’a visité le 5 avril 2023.

Mohsen Ngazou est aussi président depuis 2021 de Musulmans de France, structure qui a remplacé l’ex-Union des organisations islamiques de France (UOIF), et qui s’inscrit « dans la mouvance des Frères musulmans », écrit Mohsen Ngazou lui-même sur son blog . La feuille de route des Frères musulmans a toujours été claire. Leur but à long terme – totalement incompatible avec la laïcité – est d’islamiser la société et d’appliquer la charia. Sans violence, certes, mais sans concession. Mohsen Ngazou, dans ce registre, a le mérite de la clarté. Toujours sur son blog, il qualifie d’« abjecte » la loi de 2004 proscrivant les signes religieux ostentatoires à l’école. 

Sur une autre page de présentation , il appelle à « perpétuer les idéaux de nos maîtres, à la manière d’un Tariq Ramadan ». Dans des textes que Le Point a consultés, il cite comme sa référence absolue l’imam Hassan el-Banna, qui a rédigé en 1936 les « 50 demandes du programme des Frères musulmans ». Ces directives appellent à « interdire la mixité entre étudiants et étudiantes », à considérer « comme un crime susceptible d’être sanctionné » toute tentative de flirt, à interdire la danse et à éradiquer toute influence occidentale dans les foyers. […]

Le Point

 

 

Manifestations interdites : « La Fête de Jeanne d’Arc est une fête nationale, votée à l’unanimité en 1920. Donc dire que c’est antirépublicain va poser problème »

La Fête nationale de Jeanne d’Arc et du patriotisme est une fête nationale officielle en France, instituée en 1920, célébrée chaque année lors du deuxième dimanche du mois de mai, jour anniversaire de la libération d’Orléans le 8 mai 1429 par l’armée française, sous le commandement de Jeanne d’Arc.

Wikipédia

 

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