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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 avril 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le journaliste américain Evan Gershkovich « combatif » malgré son maintien en détention…

 

L’ESSENTIEL

  • Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a reçu lundi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov pour promouvoir une médiation internationale sur la guerre en Ukraine.
  • A la suite de cette visite, les Etats-Unis ont vivement critiqué le Brésil au sujet du conflit en Ukraine, sans mentionner nommément Lula. « Dans ce cas précis, le Brésil se fait l’écho de la propagande russe et chinoise sans prendre en compte les faits », a indiqué John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, organe directement rattaché au président américain.
  • Réunis au Japon, les chefs de la diplomatie du G7 ont promis mardi de faire payer « le prix fort » aux pays qui fourniraient une assistance à la Russie en Ukraine.

 

 

13h16 : Moscou convoque et accuse les ambassadeurs américain, britannique et canadien d’ingérence

Le motif exact de la convocation n’a pas été précisé dans l’immédiat, mais la veille, la diplomatie russe avait dénoncé les critiques de ces diplomates après la condamnation de l’opposant russo-britannique Vladimir Kara-Mourza.

 

11h57 : Première apparition publique au tribunal du journaliste américain Gershkovich depuis son arrestation

Le journaliste américain Evan Gershkovich est apparu mardi souriant et l’air déterminé devant un tribunal de Moscou où des médias, dont l’AFP, ont pu le voir pour la première fois depuis son arrestation fin mars.

Bras croisés et vêtu d’une chemise bleue à carreaux et d’un jean, Evan Gershkovich a regardé sans mot dire les journalistes venus le filmer ou le prendre en photo dans la cage en verre dévolue aux accusés. La cour doit décider mardi de le maintenir ou non en détention provisoire pour des accusations d’espionnage que le reporter du Wall Street Journal rejette catégoriquement.

 

10h37 : L’Ukraine accuse Poutine de visiter la scène de ses « crimes » dans les territoires occupés

L’Ukraine a accusé mardi Vladimir Poutine de visiter la scène de ses « crimes » après l’annonce par le Kremlin d’une visite surprise du président russe dans les régions occupées du sud et de l’est du pays.

Ce voyage « est une tournée spéciale de l’auteur de meurtres de masse dans les territoires occupés et ravagés pour prendre plaisir des crimes » commis par les forces russes, a déclaré sur Twitter Mykhaïlo Podoliak, un conseiller de la présidence ukrainienne.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine en visite surprise dans le Sud et l’Est ukrainien occupés

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 18 avril 2023

La visite du président russe intervient alors que les forces de Kiev préparent une grande offensive de printemps. Vladimir Poutine a effectué une visite surprise dans deux zones d’Ukraine occupées par Moscou, a annoncé ce mardi le Kremlin. Lors de ce déplacement dont la date n’a pas été précisée, le dirigeant s’est notamment entretenu avec des commandants militaires dans la région de Kherson (sud) et dans celle de Lougansk (est).

Moscou revendique l’annexion de ces deux régions que ses forces ne contrôlent que partiellement. L’armée russe a même essuyé un revers majeur l’an dernier à Kherson, étant forcée d’abandonner la capitale régionale du même nom. La présidence ukrainienne a dénoncé le déplacement du président russe, l’accusant de se rendre sur les lieux de ses « crimes ».

La « tournée spéciale » d’un « meurtrier de masse »

Ce voyage « est une "tournée spéciale" de l’auteur de meurtres de masse dans les territoires occupés », a lancé sur Twitter Mykhaïlo Podoliak, un conseiller à la présidence ukrainienne. Peu après l’annonce de la visite de Vladimir Poutine, Kiev a rapporté qu’un bombardement russe avait fait six blessés dans la ville de Kherson. Il s’agit de la deuxième visite en l’espace d’un mois du dirigeant en zone occupée par Moscou en Ukraine, pays où l’armée russe mène depuis plus d’un an une vaste offensive militaire.

« Le commandant suprême des forces armées de la Fédération de Russie s’est rendu à l’état-major du groupement militaire "Dniepr" » dans la région de Kherson, a indiqué le Kremlin dans un communiqué. Vladimir Poutine s’y est entretenu avec le commandant des forces aéroportées russes, le général Mikhaïl Teplinski, et d’autres hauts responsables militaires pour évoquer la situation dans les régions de Kherson et de Zaporojie.

Lire la suite

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : "Du jamais vu depuis 1945", les Russes construisent un mur de 800 km en territoire occupé

 

La Russie se prépare à la contre-offensive ukrainienne. 

On sait depuis de longues semaines que, sur le terrain, la Russie n'est plus aussi sereine. Afin de préparer la contre-offensive ukrainienne, promise par Volodymyr Zelensky et ses troupes d'ici la fin du mois, les Russes ont d'abord fortifié leurs positions en Crimée, comme le précisait lindependant.fr le 5 avril dernier.

A lire aussi : Guerre en Ukraine : Tranchées anti-char, fortifications... Panique en Crimée, l'armée russe se prépare à la contre-offensive ukrainienne

"Pont terrestre"

Des photos satellites montrent "des passages creusés dans la terre selon des angles conférant aux soldats une portée de tir plus étendue". "D'autres fortifications se trouvent à proximité, notamment des fossés profonds conçus pour piéger les chars et les véhicules lourds". "Plus récemment, la Russie a fortement renforcé ses défenses sur la péninsule, ajoutait le quotidien, qui est reliée au continent ukrainien par l'isthme de Perekop, une étroite bande de terre mesurant 7 km dans sa plus grande largeur."

Ce lundi, nos confrères d'El País affirment que les Russes sont allés plus loin, beaucoup plus loin. Et ont même érigé un mur de 800 km qui relierait la fameuse péninsule à la Russie via le "pont terrestre" qui passe par l'Ukraine occupée : Melitopol, Mariupol, Donetsk et Louhansk. "800 kilomètres de tranchées, fossés antichars, dents de dragon (obstacles en béton armé pour gêner les véhicules blindés), nids de mitrailleuses en béton et bunkers", détaillent nos confrères. Soit trois lignes de défense parallèle : "Du jamais-vu depuis 1945". Des obstacles que l'Ukraine va tenter de surmonter grâce à l'armement fourni par les alliés de l'Occident. Mais cela sera-t-il suffisant ?

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine : Le journaliste américain arrêté pour espionnage en Russie comparaît devant un tribunal

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 18 avril 2023

Le journaliste américain Evan Gerchkovich a comparu ce mardi devant un tribunal russe au début d'une audience visant à déterminer s'il reste placé en détention provisoire à la prison moscovite de Lefortovo au moins jusqu'au 29 mai.

Evan Gerchkovich, journaliste américain travaillant pour le Wall Street Journal, se tenait dans un box vitré à l'intérieur de la salle d'audience.

Il ne s'est pas exprimé.

Le service de sécurité russe FSB a arrêté Evan Gerchkovich le 30 mars sur des accusations d'espionnage au profit des États-Unis passibles d'une peine de 20 ans de prison.

A lire aussi : Guerre en Ukraine : un journaliste américain arrêté en Russie pour "espionnage"

La Maison blanche a estimé que le journaliste était "détenu à tort".

Source

 

 

 

France24 contrainte à supprimer son reportage sur l’armée russe depuis la zone du conflit

 

 

"De quel côté êtes-vous?". Un reportage de France24, dont les correspondants ont interviewé des militaires russes dans la zone du conflit, a fait rager à Kiev. Après que des officiels ukrainiens ont parlé de "honte", la chaîne l’a supprimé de son site.

Le 14 avril, la chaîne France24 a diffusé un reportage depuis un camp militaire de l’armée russe. S’intitulant "Guerre en Ukraine: les forces russes se préparent au combat avant la contre-offensive", le reportage présente des interviews de nombreux soldats russes. Ceux-ci parlent en détails des armes russes et confient "défendre l’histoire de leur patrie" et ne pas avoir peur de l'éventuelle contre-offensive ukrainienne.

Bien naturellement, la diffusion de ce reportage n’a pas été appréciée par des responsables ukrainiens.

L’ambassadeur ukrainien à Paris, Vadym Omelchenko, a dénoncé "un mauvais exemple de soi-disant journalisme neutre".

"Ai-je tort, est-ce normal? D’ailleurs, le journaliste évoque "une contre-offensive de l'ennemi" en parlant de l’armée ukrainienne", a-t-il tweeté.

Le diplomate s’est en outre adressé à l’auteur du reportage, Nicholas Rushworth, lui demandant: "De quel côté êtes-vous?"

Le reportage retiré

Le reportage est depuis introuvable sur les ressources officielles de France 24. L’ambassadeur ukrainien s’est vanté sur Twitter de la suppression de ce reportage qu’il a qualifié d’"honteux".

Pourtant, il circule toujours via d’autres comptes du réseau social à l’oiseau bleu, comme celui-ci:

Quant à France24, la chaîne elle-même n’a pas commenté l’incident.

Spoutnik

 
 

 

 

Au Japon, les ministres du G7 affichent leur unité face aux tensions avec la Chine et la Russie

Vers une guerre de religion, infos du 18 avril 2023

Le Groupe des sept (G7), qui regroupe les principales puissances économiques mondiales, a critiqué mardi les mesures de coercition de la Chine envers Taïwan ainsi que la menace de la Russie d'installer des armes nucléaires en Biélorussie, promettant d'intensifier les sanctions à l'encontre de Moscou pour son invasion de l'Ukraine.

"La force de la solidarité entre les ministres des Affaires étrangères du G7 a atteint un niveau jamais vu auparavant", a déclaré le ministre japonais des Affaires étrangères, Yoshimasa Hayashi, lors d'une conférence de presse, après avoir accueilli une réunion du G7 dans la station balnéaire japonaise de Karuizawa.

Cette démonstration d'unité intervient après les propos polémiques plus tôt ce mois-ci du président français Emmanuel Macron, qui a appelé l'Union européenne à réduire sa dépendance à l'égard des États-Unis et mis en garde contre le risque d'être entraînée dans une crise majeure à Taïwan. Pékin considère Taïwan comme faisant partie de son territoire et n'exclut pas de ramener l'île, sous régime démocratique, dans son giron par la force.

Le communiqué du G7 à l'issue de la réunion de trois jours indique que la double question de l'intervention militaire russe et de la crainte d'une action similaire de la Chine contre Taïwan a été au centre des discussions. Le G7, qui comprend les États-Unis, le Japon, l'Allemagne, la Grande-Bretagne, la France, l'Italie et le Canada, a qualifié d'"inacceptable" la menace russe de placer des armes nucléaires en Biélorussie. Il a ajouté que toute utilisation d'armes chimiques, biologiques ou nucléaires en Ukraine "aurait de graves conséquences".

Le mois dernier, le président russe Vladimir Poutine a annoncé un accord avec la Biélorussie, proche alliée de Moscou, pour installer sur son territoire des armes nucléaires tactiques russes. Les ministres du G7 ont également lancé dans leur communiqué un avertissement sur la livraison par d'autres pays d'armes à la Russie, les pays occidentaux redoutant notamment un soutien militaire de Pékin. "Nous renforcerons notre coordination pour empêcher que des tiers fournissent des armes à la Russie et pour y apporter une réponse", ont-ils déclaré. Dans un avertissement directement adressé à la Chine, les ministres du G7 ont également convenu que la paix et la sécurité dans le détroit de Taïwan étaient essentielles et se sont opposés à une militarisation en mer de Chine méridionale. "Nous rappelons à la Chine la nécessité de respecter les objectifs et les principes de la Charte des Nations unies et de s'abstenir de toute menace, de toute coercition, de toute intimidation et de tout recours à la force", ont-ils déclaré dans le communiqué. La déclaration du G7 s'immisce de façon grossière dans les affaires intérieures de la Chine et discrédite le pays, a réagi mardi le ministère chinois des Affaires étrangères, dénonçant un communiqué "plein d'arrogance et de préjugés".

Source

 

 

Les BRICS sèmeront l’Occident dans leur croissance économique, indique Bloomberg

 

Après avoir pour la première fois devancé la contribution économique du G7 en 2020, le groupe des BRICS va continuer sur sa lancée. Vers 2028, sa part dans la croissance économique mondiale sera de plus de 33%, contre les 28% des pays du G7, selon les calculs de Bloomberg basés sur les chiffres du FMI.

La contribution des BRICS à la croissance économique dans les années à venir dépassera celle des pays du G7, a calculé l’agence Bloomberg en se basant sur les données du Fonds monétaire international (FMI). Son pronostic de la croissance économique pour les cinq prochaines années est "le plus faible" depuis 1990, souligne l’agence.

Un peu de chiffres

C’est la Chine qui aura la principale part dans cette croissance mondiale. Dans les années 2023-2028, elle sera de 22,6% du total mondial. Ensuite arrive l’Inde, dont l’indice sera de 12,9%.

Il est attendu qu’en 2023, les BRICS affichent une croissance de 32,1%, contre celle de 29,9% des pays du G7. D'ici 2028, les chiffres devraient atteindre 33,6% et 27,8% respectivement.

Au total, 75% de la croissance mondiale des cinq prochaines années devrait être concentrée dans 20 pays et plus de la moitié sera répartie entre la Chine, l'Inde, les États-Unis et l'Indonésie. Alors que les pays du G7 représenteront une plus petite part, l'Allemagne, le Japon, le Royaume-Uni et la France figurent parmi les 10 principaux contributeurs.

Bloomberg a appuyé ses données par un diagramme selon lequel le groupe comprenant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud a commencé à dépasser le G7 en termes de croissance économique dès 2020.

Spoutnik

 

 

 

Soudan : 185 morts et plus de 1800 blessés, un appel au cessez-le-feu immédiat

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 18 avril 2023

Les pays du G7 ont demandé ce mardi un arrêt immédiat des combats. 

L'armée soudanaise et le groupe paramilitaire qu'elle affronte ont chacun revendiqué des gains lundi, alors que les combats survenus ce week-end dans le pays se sont intensifiés, provoquant des coupures d'eau et d'électricité dans la capitale Khartoum et faisant craindre un conflit plus large.

Les affrontements entre les unités de l'armée fidèles au général Abdel Fattah el Bourhan et les Forces de réaction rapide (FSR), jusque-là alliées, ont fait au moins 185 morts et plus de 1.800 blessés, a indiqué l'émissaire de l'Onu au Soudan. S'exprimant sur fond de bombardements et combats au sol à Khartoum ainsi que dans d'autres villes à travers le pays, Volker Perthes a déclaré par visioconférence à des journalistes qu'aucun des deux camps ne semblait disposé à négocier. Il a annoncé un accord sur une trêve humanitaire de trois heures mais, selon les chaînes de télévision Al Jazeera et Al Arabiya, les affrontements se sont poursuivis en dépit des promesses en ce sens des camps rivaux.

L'Egypte et les Emirats arabes unis ont entamé des travaux distincts sur des propositions de cessez-le-feu, a-t-on appris de deux sources sécuritaires égyptiennes, sans que des avancées soient obtenues pour l'heure. Alors que le Caire est le principal soutien étranger de l'armée soudanaise et se méfie de longue date de tout changement politique dans le pays, le président égyptien Abdel Fattah al Sissi a dit être en contact régulier avec l'armée et les FSR afin de "les encourager à accepter une trêve et épargner le sang du peuple soudanais".

Ces affrontements, les plus violents depuis des décennies, ont été déclenchés par un désaccord sur l'intégration des FSR dans l'armée, nouvel épisode des tumultes du partage du pouvoir mis en place à la suite du coup d'Etat militaire de 2021, survenu deux ans après la chute de l'autocrate Omar el Béchir. Abdel Fattah el Bourhan préside le Conseil souverain de transition du Soudan et a pour adjoint le chef des FSR, le général Mohamed Hamdan Dagalo, connu sous le nom de "Hemedti" et qui a cultivé des liens avec plusieurs puissances étrangères dont les Emirats arabes unis et la Russie.

Menace

Annonçant avoir listé les FSR comme entité rebelle, Abdel Fattah el Bourhan a ordonné dans la journée la dissolution du groupe paramilitaire. Des témoins ont rapporté des bombardements et des frappes menées par des avions de chasse en différents points de Khartoum, peu habituée à de tels affrontements, et contre une base militaire à Bahri, située sur l'autre rive du Nil. Les ponts reliant Khartoum à Bahri et Omdurman étaient bloqués par des véhicules blindés, de même que certaines routes menant à la capitale. Un nuage de fumée s'élevait au-dessus du tarmac de l'aéroport international de Khartoum, secoué par des explosions, ont montré des images télévisées.

Des bureaux, écoles et stations-service de la capitale étaient fermées. Quatre grands hôpitaux ont indiqué avoir été endommagés, avec pour conséquence des opérations fortement ralenties voire à l'arrêt. Les FSR ont dit avoir pris le contrôle d'un aéroport et de bases militaires, tandis que l'armée a assuré garder le contrôle de son siège à Khartoum en dépit de ce qu'elle a décrit comme des "affrontements limités" dans la zone. Ces affrontements interviennent alors qu'un accord de transition vers un pouvoir civil, conclu sous médiation internationale, devait être formellement signé plus tôt ce mois-ci.

Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a annoncé que l'ambassadeur de l'Union européenne au Soudan avait été agressé lundi dans sa résidence, sans donner plus de précisions. A Washington, la Maison blanche a déclaré n'avoir pas prévu pour l'heure d'évacuations du Soudan. Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a déclaré qu'un cessez-le-feu immédiat était nécessaire. "Il y a une grande préoccupation partagée à propos des combats, de la violence ayant lieu au Soudan - la menace qu'ils représentent pour les civils, pour la nation soudanaise et, potentiellement, pour la région", a-t-il dit lors d'un déplacement au Japon.

Mettant en avant que la situation humanitaire, déjà précaire, avait empiré, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a appelé à un retour au calme. De nombreux programmes d'aides onusiens ont été interrompus par les affrontements, a fait savoir un haut représentant.

Source

 

 

 

Le Conseil de l’UE confirme ne jamais avoir débattu de l’inscription des Frères musulmans sur la liste européenne des organisations liées au terrorisme

Question de l’eurodeputé tchèque Tomáš Zdechovský (PPE) du 24 janvier 2023 au Conseil de l’UE

Désignation des Frères musulmans comme organisation terroriste

Dans sa réponse à la question écrite E-003684/2021, le Conseil a indiqué qu’il n’avait pas débattu de la classification des Frères musulmans comme organisation terroriste après l’interdiction de cette organisation islamiste en vertu de la nouvelle loi antiterroriste adoptée par le Parlement autrichien le 8 juillet 2021.

  1. Comment le groupe de travail du Conseil sur les mesures restrictives en matière de lutte contre le terrorisme (COMET) révise-t-il la liste du Conseil, comme le prévoit l’article 1, paragraphe 6, de la position commune 2001/931/PESC ?
  2. La COMET a-t-elle déjà reçu une proposition d’un État membre ou d’un autre pays visant à inscrire les Frères musulmans sur la liste, examiné une telle proposition ou rejeté une telle proposition ?
  3. Si la COMET a déjà rejeté une telle proposition, quelles en étaient les raisons ?

Question n°E-000195/2023 du 24 janvier 2023

Réponse du Conseil de l’Union européenne du 13 avril 2023 :

Conformément à l’article 1er , paragraphe 6, de la position commune 2001/931/PESC relative à l’application de mesures spécifiques en vue de lutter contre le terrorisme (PC 931), le Conseil réexamine les noms des personnes, groupes et entités énumérés dans cette position commune à intervalles réguliers et au moins une fois tous les six mois. Le processus de réexamen mené au niveau du groupe de travail du Conseil sur les mesures restrictives en matière de lutte contre le terrorisme (GT COMET) se reflète dans les méthodes de travail de ce groupe.

Le GT COMET examine toute nouvelle information communiquée par les États membres ou le SEAE concernant les personnes, groupes et entités inscrits sur la liste du CP 931, et procède à une évaluation approfondie pour déterminer si les motifs de chaque inscription sur la liste du CP 931 sont toujours valables.

Si, au cours de cette évaluation, le GT COMET estime que les nouvelles informations présentées nécessitent une modification de l’exposé des motifs, il recommandera que l’exposé des motifs soit mis à jour en conséquence. À l’issue de son évaluation, le groupe de travail COMET formule des recommandations à intégrer dans les actes juridiques pertinents, y compris une nouvelle liste consolidée de personnes, de groupes et d’entités.

Indépendamment du processus d’examen susmentionné, le Conseil peut adopter une décision visant à ajouter des personnes, des groupes ou des entités à la liste ou à en retirer des personnes, des groupes ou des entités.

L’inscription d’une personne, d’un groupe ou d’une entité sur la liste en vertu de la position commune 931 doit satisfaire aux conditions énoncées à l’article 1er, paragraphes 2 à 4, de cette position commune, qui fournit une définition des personnes, groupes et entités “impliqués dans des actes de terrorisme” ainsi que des “actes de terrorisme” à cette fin, et qui précise les exigences liées à l’adoption d’une décision par une autorité nationale compétente à l’égard des personnes, groupes et entités concernés.

Les Frères musulmans ne figurent pas sur la liste des personnes, groupes et entités visés aux articles 2, 3 et 4 du CP 931.

Le Conseil n’a pas débattu de l’inscription des Frères musulmans sur la liste du CP 931.

Réponse du Conseil de l’UE du 13 avril 2023

Le 21 juillet 2021, l’eurodéputé Jean-Paul Garraud (RN/ID) avait posé les question suivantes au Conseil :

Alors que l’Autriche reste le seul pays d’Europe à accorder un statut officiel à l’islam, elle est devenue le premier pays européen à interdire la confrérie islamiste des Frères musulmans, avec sa nouvelle loi antiterroriste adoptée le 8 juillet 2021 au Parlement.

La confrérie est ainsi inscrite sur la liste noire des organisations liées à la «criminalité à motivation religieuse». L’Autriche interdit désormais la détention et la promotion de ses slogans et de sa littérature, passibles de 4 000 euros d’amende et d’un mois de prison.

Le Conseil a la possibilité d’inscrire sur sa liste des personnes, groupes et entités impliqués dans des actes de terrorisme une organisation ayant fait l’objet d’une interdiction par un État membre.

  1. Envisage-t-il dès lors d’inscrire la confrérie des Frères musulmans sur la liste européenne des organisations terroristes?
  2. Dans la négative, peut-il indiquer pour quelles raisons?

Question n°E-003684/2021 du 21 juillet 2021

La réponse du Conseil du 22 septembre 2021 :

Le Conseil n’a pas débattu de la question soulevée par l’Honorable Parlementaire.

La liste figurant dans la position commune 2001/931/PESC fait l’objet d’un réexamen à intervalles réguliers, au moins une fois tous les six mois.

Réponse du 22 septembre 2021

L’Union européenne, comment ça fonctionne ?

 

 

Laval (53) : un migrant clandestin algérien, sous le coup d’une OQTF, condamné à 18 mois ferme pour avoir commis 80 vols et cambriolages dans l’agglomération, en l’espace de 3 mois (MàJ)

Un ressortissant algérien de 26 ans a été condamné à 18 mois de prison pour de multiples vols et tentatives de vols dans l’agglomération de Laval à l’été 2022. Il y a près de 76 victimes dans cette affaire. L’homme est un sans domicile fixe, en situation irrégulière dans le pays.

Il devait comparaître sous le régime de la comparution immédiate le 3 avril. Son procès a été repoussé à ce lundi. Un individu de 26 ans, de nationalité algérienne, a été condamné à 18 mois de prison et une interdiction de territoire de trois ans.

Entre juin et août 2022, le jeune homme a commis plusieurs vols et tentatives de vols dans des maisons et des entreprises de Laval, Saint-Berthevin et Changé. Arrêté chez une amie, cet homme était sans domicile fixe depuis de nombreux mois et inscrit au fichier des personnes recherchées.

Ce voleur avait en effet bravé son contrôle judiciaire et son assignation à résidence. Ce garçon a déjà été condamné pour des faits de vols en juin 2020 à Montpellier, mais aussi pour usage de stupéfiants.

(…) France Bleu

 

 

Chicago : des voyous font une descente sur le quartier touristique, une jeune femme blanche lynchée. La veille, un raid similaire a fait 3 morts. (MàJ : “Il n’est pas constructif de diaboliser des jeunes privés d’opportunités” déclare le maire)


Dans un communiqué ce week-end, Lightfoot a déclaré que la ville “ne peut pas et ne permettra à aucun de nos espaces publics de devenir une plate-forme pour une conduite criminelle”. Les chefs du département de police lui ont dit qu’ils “feraient les ajustements nécessaires à ces problèmes de tendances chez les adolescents” à mesure que Chicago se rapproche de l’été, a-t-elle déclaré.

“Beaucoup de [les jeunes se rassemblant] étaient là pour passer un bon moment et profiter du temps exceptionnellement chaud”, a déclaré Lightfoot dans son communiqué. «Cependant, certains de ces jeunes ont été impliqués dans des comportements imprudents, irrespectueux et illégaux.

Blockclubchicago


Une vidéo prise lors d’une nuit de troubles dans le centre-ville de Chicago montre une foule de personnes, dont beaucoup sont présumées être des adolescents, attaquant violemment une femme sur le pas de la porte alors qu’elle hurle de terreur.

Selon CWB Chicago , la vidéo fait partie d’une “mix tape” qui compile divers clips de médias sociaux montrant des incidents perpétrés par un “grand groupe” qui est descendu sur le Loop ce samedi soir. Un autre clip montre un homme frappant un chauffeur de bus CTA à travers une fenêtre brisée. Un troisième montre des gens sautant sur un SUV et brisant ses vitres.

La police de Chicago a arrêté neuf mineurs et six adultes lors de l’incident de samedi.

 

Comme le souligne CWB Chicago, à ce jour, ni le maire de Chicago, Lori Lightfoot, ni le maire élu Brandon Johnson n’ont l’intention de répondre aux questions des médias.

Un rassemblement similaire a eu lieu à 31st Street Beach vendredi soir. Trois adolescents ont été abattus, deux samedi et un vendredi.

Raw Story

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