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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 16 mars 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Pour l'ONU, l'enlèvement de milliers d'enfants ukrainiens en Russie est un crime de guerre…

 

L’ESSENTIEL

  • Au lendemain de l’interception d’un drone américain au-dessus de la mer Noire par un chasseur russe, le ministre américain de la Défense Lloyd Austin a dit mercredi à son homologue russe Sergueï Choïgou que les Etats-Unis continueraient à voler « là où le permet le droit international ».
  • La Russie affirme vouloir repêcher le drone américain car il prouve selon elle l’implication des Etats-Unis dans le conflit en Ukraine. Washington annonce de son côté enquêter sur les motivations de Moscou dans cet incident.
  • Dans l’est du pays, les forces russes en sont toujours à prendre d’assaut la petite ville de Bakhmout, que les Ukrainiens défendent avec acharnement depuis des mois.
  • Les Nations unies estiment que l’accord international sur l’exportation de céréales d’Ukraine, qui a permis depuis l’été dernier d’atténuer une crise alimentaire mondiale, devrait poursuivre en l’état au-delà du 18 mars, même si la Russie en a divisé la durée par deux soit 60 jours.

 

14h45 : L’Europe « plus unie que jamais » dans son soutien à l’Ukraine, selon l’ECFR

De plus en plus d’Européens estiment que l’Ukraine doit regagner tout son territoire, même si cela signifie une guerre plus longue, selon un sondage jeudi du Conseil européen pour les relations internationales (ECFR) mettant en avant une Europe « plus unie que jamais ».

38 % des personnes interrogées en janvier 2023 dans 10 pays européens pensent que l’Ukraine doit regagner tout son territoire, même si cela signifie « une guerre plus longue et plus d’Ukrainiens morts ou déplacés ». Ce sentiment monte à 52 % en Pologne, pays voisin et soutien engagé de l’Ukraine. A l'inverse, en mai 2022, 35% des sondés par le think tank paneuropéen étaient pour «un arrêt de la guerre le plus vite possible, même si l'Ukraine doit faire des concessions territoriales à la Russie».

«Un an après le début de la guerre, l'Europe est plus unie que jamais» écrit Mark Leonard, l'un des co-auteur de l'étude. Les Européens sont désormais d'accord à 66% sur le fait que la Russie est un adversaire ou un rival.

 

14h30 : Les Suisses favorables à un rapprochement à l’Otan

Un an après le début de l’invasion russe en Ukraine, une majorité de Suisses est désormais favorable à un rapprochement avec l’Otan, une première dans un pays traditionnellement neutre, a indiqué jeudi le département fédéral de la Défense. Cette étude annuelle a été publiée par l’Académie militaire suisse et le Center for Security Studies de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich.

Elle montre qu’en janvier 2023, 55 % de la population suisse (soit une augmentation de 10 points de pourcentage par rapport à janvier 2021) se déclarait favorable à un rapprochement avec l’Otan. « C’est la première fois qu’une faible majorité de la population est de cet avis », indique le département fédéral de la Défense dans un communiqué.

 

14h25 : Selon un rapport de l’ONU, aucun génocide en Ukraine n’a été observé

Les enquêteurs de l'ONU n'ont pas observé de génocide en Ukraine depuis l'invasion russe dans ce pays, ont-ils indiqué jeudi, mais recommandent toutefois de poursuivre les études à ce sujet.

«Nous n'avons pas constaté qu'il y ait eu un génocide en Ukraine», a déclaré aux journalistes Erik Mose, un des trois commissaires en charge de l'enquête, soulignant toutefois «que certains aspects peuvent soulever des questions concernant ce crime».

 

14h19 : Selon Kiev, 16.221 enfants ont été déportés en Russie jusqu’à fin février

Le transfert par la Russie d’enfants ukrainiens dans les zones sous son contrôle en Ukraine ainsi que sur son propre territoire constitue un « crime de guerre ». C’est ce que disent des enquêteurs de l’ONU.

Selon Kiev, 16.221 enfants ont été déportés en Russie jusqu’à fin février, mais la Commission n’a pas été en mesure de vérifier ces chiffres.

Elle indique toutefois que des responsables russes ont pris des mesures juridiques et politiques concernant le transfert d’enfants ukrainiens, et que le président russe Vladimir Poutine a signé un décret en mai 2022 facilitant l’octroi de la citoyenneté russe à certains enfants.

Pour en savoir plus sur les milliers d’enfants enlevés pour être « rééduqués » à la russe, voici un article ci-dessous de notre journaliste Cécile de Sèze.

 

14h18 : L'ONU accuse Moscou de possibles crimes contre l'humanité

Les enquêteurs accusent également Moscou d'avoir commis de possibles «crimes contre l'humanité».

«La Commission a constaté que les vagues d'attaques menées par les forces armées russes, à partir du 10 octobre 2022, contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes et le recours à la torture par les autorités russes pourraient constituer des crimes contre l'humanité», indique-t-elle dans le rapport, qui recommande des enquêtes complémentaires.

 

 

13h19 : Varsovie transférera à l’Ukraine 4 chasseurs Mig-29 dans les prochains jours

Varsovie va transférer à l'Ukraine quatre avions de chasse de conception soviétique MiG-29 dans les prochains jours, a annoncé jeudi le président polonais. «Dans un premier temps, nous allons transférer à l'Ukraine, dans les prochains jours (...) quatre appareils pleinement opérationnels», a déclaré le président Andrzej Duda au cours d'une conférence de presse avec son homologue tchèque Petr Pavel.

«D'autres appareils sont actuellement en cours de maintenance et seront probablement successivement transférés» aussi, a ajouté le président polonais. «Nous pouvons donc dire que nous sommes sur le point d'envoyer ces MiG à l'Ukraine», a-t-il dit, précisant que la Pologne dispose d'une quinzaine de MiG, hérités dans les années 1990 des forces armées de la République démocratique allemande, RDA.

 

13h11 : Les images du crash du drone américain en mer Noire

Le commandement européen des forces armées américaines a publié une vidéo de la collision entre un Su-27 russe et un drone américain MQ-9 Reaper. Les images montrent l’avion russe larguant du carburant puis percutant le drone, obligeant les « opérateurs à abattre le drone dans les eaux internationales ».

DIRECT

 

 

 

 

 

Le Pentagone publie une vidéo de l’incident de son drone au-dessus de la mer Noire

 

L’incident de drone américain au-dessus de la mer Noire a fait la une pendant toute la journée de mercredi 15 mars.

La version initiale du commandement américain a affirmé que le drone MQ-9 Reaper avait été percuté par un chasseur russe Su-27 ayant décollé d’urgence pour l’intercepter.

Plus tard dans la journée, la chaîne de télévision CBS a publié une simulation des faits montrant un avion déverser du carburant devant le drone.

Enfin, une vidéo a été publiée par l’armée de l’air américaine. Elle montre un avion s’approcher du drone et déverser du carburant devant lui. Aucun tir ou collision n’a eu lieu.

Selon le porte-parole du Pentagone Pat Ryder, "en raison des dommages subis, nous avons été contraints de faire s’écraser le drone en mer Noire".

Le ministère russe de la Défense a annoncé pour sa part que dans la matinée du 14 mars un drone MQ-9 avec des transpondeurs éteints avait violé la frontière d’une zone interdite au-dessus de la mer Noire. Il se dirigeait vers la frontière russe et des chasseurs ont décollé pour l’identifier.

Selon la Défense russe, des mouvements brutaux du drone ont conduit à une perte d’altitude après quoi il s’est abîmé en mer. Les chasseurs n’ont pas eu de contacts avec le drone et n’ont pas utilisé leurs armes.

Entretien entre les chefs de la Défense russe et américain

Mercredi 15 mars, le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou s'est entretenu avec son homologue américain Lloyd Austin. M.Choïgou a notamment souligné que les vols de drones US au large de la Crimée revêtaient "un caractère provocateur" et étaient susceptibles de mener à une "escalade".

Dans le même temps, la partie russe a promis d'apporter "une réponse appropriée" à toute éventuelle provocation le long des frontières nationales.

Spoutnik

 

Note : c’est faux, ils mentent, d'après les images vidéo une hélice était abimée, mais un drone peut voler (ou planer) avec une seule hélice, s'ils l'ont délibérément détruit,  parce que leur drone avait été repéré par les russes, alors  les Américains ont détruit le drone pour pas que les Russes prennent les informations du drone, une fois celui ci capturer

 

 

 

Guerre en Ukraine: Les Occidentaux augmentent leur aide militaire, 150 chars Leopard sont désormais promis aux troupes de Zelensky

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 mars 2023

Le secrétaire américain à la Défense fait le point ce mercredi sur les promesses de livraison de chars d'assaut occidentaux à l'Ukraine.

"La coalition de pays qui ont promis de faire don de chars Leopard à l'Ukraine continue de croître. Et neuf pays se sont maintenant engagés à fournir plus de 150 unités", a déclaré ce mercredi le secrétaire américain à la Défense lors de la réunion du groupe de contact sur l'aide militaire à l'Ukraine.

"De nombreux autres pays ont fourni une défense aérienne à plus courte portée" à Kyiv, a ajouté Lloyd Austin, rapporte l'agence de presse russe TASS.

"Moment crucial"

"Nous sommes maintenant à un moment crucial dans le cours de la lutte pour la liberté de l'Ukraine", a précisé le ministre. "Et nous devons tous démontrer notre détermination et notre unité continues. Cela signifie respecter nos engagements, pleinement et rapidement".

Il a également appelé à augmenter la quantité de munitions et de systèmes de défense aérienne fournis à Kyiv et à "développer des solutions innovantes aux problèmes de production industrielle".

Selon le Pentagone, les États-Unis ont alloué plus de 32 milliards de dollars à l'Ukraine depuis le début de l'opération militaire spéciale de la Russie.

Source

 

 

Washington ne veut pas que la Russie s’empare du drone MQ-9

 

La Maison-Blanche a affirmé qu'elle était en train "de prendre des mesures" pour empêcher le drone MQ-9 de tomber "entre de mauvaises mains". Pourtant, Moscou est déterminé à retrouver les restes de l’aéronef qui a été percuté par un chasseur russe.

Les États-Unis ne veulent pas que la Russie récupère le drone américain tombé dans les eaux de la mer Noire, a déclaré à CNN le porte-parole du département de la Défense des États-Unis, John Kirby.

Vers une guerre de religion, infos du 16 mars 2023

"C'est la propriété des États-Unis. Nous ne voulons évidemment pas voir qui que ce soit d'autre que nous mettre la main dessus", a-t-il jugé.

Dans le même temps, le contre-amiral Kirby a fait souligner qu’ils n’étaient "pas trop préoccupés par le fait qu'ils [les Russes] puissent tomber entre leurs mains".

"Nous avons rendu impossible pour la Russie de récupérer quoi que ce soit de valeur de renseignement sur les restes de ce drone", a indiqué le haut gradé américain.

Deux responsables américains sous couvert d’anonymat ont fait part auprès de CNN du fait que les États-Unis avaient supprimé à distance un logiciel classifié du drone MQ-9 Reaper avant qu'il ne s'écrase dans la mer Noire pour empêcher la Russie d'obtenir des informations classifiées.

Moscou déterminé à le récupérer

Le jour de l’incident du MQ-9 Reaper, Moscou a fait part de son intention de récupérer les débris du drone. Commentant cette information du secrétaire du Conseil de sécurité de Russie, le porte-parole de Vladimir Poutine a affirmé:

"C'est la prérogative des militaires. S'ils jugent nécessaire pour nos intérêts et notre sécurité de le faire en mer Noire, ils le feront".

Spoutnik

 

 

 

 

L'AIEA perd plus de deux tonnes d'uranium libyen malgré l'avertissement de la Russie depuis une décennie

 

L'Agence internationale de l'énergie atomique a découvert qu'environ 2,5 tonnes d'uranium naturel stocké dans un site anonyme en Libye ont disparu, a déclaré mercredi l'organisme de surveillance nucléaire, citant des problèmes de prolifération.

L'AIEA a déclaré qu'elle enquêtait actuellement sur les circonstances entourant la disparition du trésor de 2,5 tonnes d'uranium et sur son emplacement actuel.

La nouvelle fait suite à une inspection de surveillance des Nations Unies le 14 mars en Libye, initialement prévue pour l'année dernière mais reportée en raison de la situation sécuritaire dans la région.

La déclaration confidentielle, initialement citée par Reuters, indique que les inspecteurs de l'AIEA "ont découvert que 10 fûts contenant environ 2,5 tonnes d'uranium naturel sous forme d'UOC (concentré de minerai d'uranium) précédemment déclarés par (la Libye)... comme étant stockés à cet endroit n'étaient pas présents sur les lieux."

L'AIEA prévoit de mener "d'autres activités" afin de déterminer les circonstances du retrait de l'uranium du site et son emplacement actuel, selon le communiqué.

Vers une guerre de religion, infos du 16 mars 2023

"La perte de connaissances sur l'emplacement actuel des matières nucléaires peut présenter un risque radiologique, ainsi que des problèmes de sécurité nucléaire", prévient le communiqué.

Selon la presse américaine, l'uranium dit « yellowcake » qui a disparu en Libye ne peut pas être utilisé dans l'immédiat pour la production d'énergie ou le combustible d'une bombe nucléaire ; cependant, chaque tonne d'uranium naturel peut éventuellement être raffinée en 5,6 kilogrammes (12 livres) de matériau de qualité militaire, s'il est obtenu par un groupe disposant de ressources technologiques et d'expertise.

Yellowcake représente une première étape dans le processus de création de combustible pour les réacteurs de puissance ou les armes nucléaires. Une fois l'uranium naturel extrait, il subit un processus spécial pour le transformer en yellowcake. À son tour, le yellowcake doit ensuite être transformé en une forme gazeuse, l'hexafluorure d'uranium, et seulement après cela, il peut être enrichi.

Même si l'AIEA n'a pas fourni plus de détails sur l'endroit exact où le lot substantiel d'uranium naturel a été extrait, les médias américains ont suggéré que l'expression du chien de garde "site précédemment déclaré" se réfère apparemment à Sabha, le site situé à quelque 660 kilomètres au sud-est de La capitale de la Libye, Tripoli. Selon certaines informations, des milliers de barils d'uranium « yellowcake » y auraient été stockés par le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui a été renversé et tué lors de l'invasion de l'État souverain par l'OTAN .

 

La Libye a abandonné son programme d'armes nucléaires en décembre 2003 et a permis aux responsables internationaux d'inspecter dix sites jusque-là non divulgués pour retirer des éléments clés du programme. Alors que l'AIEA a retiré le dernier uranium enrichi de Libye en 2009, le yellowcake est resté dans l'État nord-africain.

Selon les estimations de l'ONU, en 2013, quelque 6 400 barils étaient stockés à Sabha. Le chaos causé par l'invasion de la Libye par l'OTAN, ainsi que les activités terroristes des groupes djihadistes dans la région, ont soulevé des questions sur la sécurité du trésor du yellowcake.

La Russie a exprimé à plusieurs reprises ses inquiétudes quant à la sécurité du yellowcake libyen. Vitaly Churkin, alors ambassadeur de Russie auprès des Nations Unies, a déclaré à la presse russe en novembre 2013 qu'il avait soulevé la question lors des consultations du Conseil de sécurité et avait demandé à l'organe d'exhorter la Libye à prendre "des mesures pratiques pour remédier à la situation". Cependant, il semble que l'organisme de surveillance de l'ONU et les autorités libyennes n'aient pas réussi à résoudre le problème du yellowcake disparaissant dans les airs du site libyen une décennie plus tard.

Spoutnik

 

Note: la perte de 2,5 tonnes d'uranium dans un pays musulman remplit de terroriste musulmans, comme l'EI, c'est inquiétant

 

 

 

La France veut être moins dépendante et relocalise certaines productions militaires

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 mars 2023

Sur fond du conflit ukrainien et l’envoi d’armes sur le terrain, l’Hexagone se propose de relocaliser une vingtaine de productions industrielles stratégiques sur son sol. Il s’agit d’une question de souveraineté et de crédibilité sur la scène internationale, selon Franceinfo. "On sera moins dépendant".

Après qu’Emmanuel Macron a appelé les industriels français de l’armement à produire davantage par souci de souveraineté et de crédibilité sur la scène internationale, une vingtaine de relocalisations stratégiques suivront, rapporte Franceinfo.

Selon la radio, il s’agit des coques de bateaux produites dans les pays de l’Est, des explosifs pour gros calibres produits en Suède, Italie ou encore Allemagne, mais, surtout, des pièces jugées "critiques" pour certains moteurs d’hélicoptères. Cette production qui "va coûter plus cher" garantira qu’"on sera moins dépendant", selon le ministère des Armées. Elle n’est pourtant pas attendue avant début 2025.

La radio indique que même si des budgets nécessaires sont débloqués, il faut "que le tissu industriel français soit en capacité de répondre à cette nouvelle demande".

"En France, il y a des difficultés pour embaucher, mais aussi une perte de savoir-faire et un manque de machines dans certaines usines", explique Franceinfo.

L’initiative de Macron

La nécessité de "produire davantage" et "plus vite" avait été évoquée par le Président français dès le mois de juin dernier. Cela pour "tirer les enseignements de la guerre en Ukraine" dans la prochaine loi de programmation militaire.

"Nous devons maintenant, entrant dans une période de guerre, savoir produire plus vite, plus fort certains types d'équipements. C'est une réorganisation profonde", a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse tenue en marge du sommet de l’Otan à Madrid.

Selon le chef de l'État, cette adaptation du modèle industriel sera l'un des enjeux de la mission confiée au ministre des Armées et au chef d'état-major des Armées, à qui il a demandé mi-juin de réévaluer la loi de programmation militaire 2019-2025.

Spoutnik

 

Note: il est un peut trop tard maintenant !

 

 

Moscou: les États-Unis et l'UE exigent de l'Afrique d'arrêter les contacts avec la Russie

 

En prévision du sommet Russie-Afrique de juillet, Washington ne cesse de contacter les dirigeants africains pour les dissuader de coopérer avec Moscou, affirme un diplomate russe.

En prévision du deuxième sommet Russie-Afrique, les délégations des États-Unis, du Canada et de l'Union européenne "assiègent" les leaders africains en exigeant presque d'arrêter la coopération avec Moscou, a déclaré à Sputnik l'ambassadeur itinérant russe Oleg Ozerov.

Vers une guerre de religion, infos du 16 mars 2023

"Il y a beaucoup d'exemples de ce genre. Les délégations qui viennent quasi quotidiennement de Washington et d'autres pays anglo-saxons, du Canada, du Royaume-Uni, mais aussi de l'UE, assiègent littéralement les dirigeants africains et les organes de pouvoir africains, les Parlements. C'est tout juste s'ils n'exigent pas d'arrêter de coopérer avec la Russie."

Une pression permanente

Le diplomate a rappelé dans ce contexte les propos de la ministre américaine des Finances Janet Yellen qui a dit avoir examiné les sanctions antirusses dans tous les pays qu'elle a visités lors de sa tournée africaine. De même que sa menace de réagir rapidement et résolument à toute violation de ces sanctions.

"Voici un autre exemple de chantage, de diktat franc et de menaces qui ne peuvent pas être tolérés dans le monde contemporain", a martelé M.Ozerov.

Le premier sommet Russie-Afrique a eu lieu en octobre 2019 à Sotchi, dans le sud de la Russie. Le deuxième est prévu pour juillet 2023 à Saint-Pétersbourg. En dépit des pressions de l’Occident, certains pays, dont le Soudan, la Mauritanie, le Tchad et l’Afrique du Sud, ont déjà confirmé leur participation au prochain sommet.

Spoutnik

 

Note ; aucune diplomatie, ils ne savent que menacer, le batton sans la carotte,  résultat toute l'Afrique va se tourner vers la Russie et la chine

 

 

Gien (45) : deux frères jumeaux franco-turcs, partis combattre en Syrie, déchus de leur nationalité française après avoir été définitivement condamnés pour terrorisme

Deux hommes, frères jumeaux nés à Gien dans le Loiret, ont été déchus de la nationalité française après avoir été définitivement condamnés pour terrorisme.

Des jumeaux inséparables, définitivement condamnés pour terrorisme pour être partis ensemble faire le jihad en Syrie en 2014, ont été déchus de leur nationalité française, selon un décret paru ce 15 mars au Journal officiel.

“Radicalisés sur Internet”

Nés à Gien dans le Loiret, les deux frères aujourd’hui âgés de 30 ans, Tuncay et Tugay Durmaz, avaient été condamnés en octobre 2017 par le tribunal correctionnel de Paris à six ans de prison pour association de malfaiteurs terroriste, des peines confirmées en appel un an plus tard.

(…) En avril 2014, ils avaient pris, toujours ensemble, le chemin de la Syrie via la Turquie, espérant “faire la révolution” contre Bachar al-Assad, quitte à combattre.

Ils avaient été condamnés pour avoir rejoint l’organisation Etat islamique (Daesh), pour avoir bénéficié en Syrie d’une formation militaire et y avoir mené, pour le compte du groupe jihadiste, des missions de surveillance et de combat.

Ils étaient rentrés en France via la Turquie à l’automne 2014, d’abord Tuncay Durmaz, puis Tugay, blessé, et n’avaient été interpellés qu’en mai 2016. Depuis 2019, une vingtaine de déchéances de nationalité ont été prononcées pour terrorisme en France, selon des chiffres officiels.

(…) France 3

 

Note:  pour que notre pays soit nettoyer du radicalisme et des voyous extra européen , il faudrait une vingtaine de déchéances de nationalité minimum, par heure d'une seul journée

 

 

 

Les islamistes du CCIE félicitent le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres pour son hommage à l’islam et sa citation d’une sourate appelant à accueillir des réfugiés pour les convertir

 

 

Ouverture d’un centre de migrants dans le village de Bélâbre (36) : des habitants témoignent, certains se sont réfugiés à la campagne pour fuir les banlieues (MàJ)

 

 

KB enquête sur les conséquences de l’installation d’un centre de migrants dans un village

 

 

 

Jean-Luc Mélenchon : “Toute la France s’identifie à Rachel Kéké. Soyez Rachel Kéké.”

 

 

 

Lyon : la justice condamne une propriétaire pour avoir fait virer ses squatteurs ; elle devra leur donner 2000 euros. « Ce sont des gens qui ne sont pas dans la précarité (…) l’une des squatteuses est professeur des écoles » (MàJ)

 

16/03/23


15/03/23

Le 28 février dernier, deux squatteurs de la rue des Tuileries attaquaient en justice le propriétaire du lieu pour avoir été expulsés avant la date du 31 mars, autorisée par le tribunal. Ce mardi, le juge a tranché. Les squatteurs ne peuvent revenir, mais le propriétaire leur doit 2 000 € de dommages et intérêts pour leur procédure irrégulière.

(…) Le Progrès

Ce mardi, le tribunal judiciaire de Lyon a donné raison à deux personnes qui squattaient un immeuble de la rue des Tuileries dans le 9e arrondissement.

Les squatteurs avaient attaqué le propriétaire des lieux, la SNC “La Belle et le Clochard” dont la présidente Anne Gagneux, femme de Nicolas Gagneux (6e Sens Immobilier) et fille de Didier Caudard-Breille (DCB) pensait probablement avoir déjà tout vu en matière d’immobilier.

Les occupants illégaux des lieux s’étaient émus d’avoir découvert, le 23 janvier dernier, que les serrures avaient été changées en leur absence et que des agents de sécurité avaient été dépêchés sur place pour les empêcher d’y retourner. La justice a considéré que cela s’apparentait à une expulsion avant la date fixée par les tribunaux, à savoir le 31 mars qui devait sonner la fin du squat.

Les juges lyonnais ont estimé que le propriétaire devait être condamné à verser aux plaignants 2000 euros de dommages et intérêts. Ainsi que 1000 euros au titre de l’aide juridictionnelle.

Lyon Mag

Anne Gagneux, gérante de la SNC « La Belle et le Clochard » (6e sens) ne souhaite pas commenter la décision de justice. Les deux squatteurs de l’immeuble rue des Tuileries (Lyon 9e), détenus par la société, ont obtenu gain de cause.

Selon nos informations, la procédure de « reprise des lieux » du propriétaire a été déclarée irrégulière par le tribunal de Lyon, mardi 14 mars. La SNC « La Belle et le Clochard » est condamnée à verser 2 000 euros, ainsi que 1000 euros d’aide juridique, à chacun des deux squatteurs en réparation du préjudice subi.

Actu.fr


10/03/2023

Des squatteurs ont attaqué en justice la propriétaire d’un immeuble de la rue des Tuileries, dans le 9e arrondissement de Lyon (Rhône), pour «expulsion illégale avant la fin de la trêve hivernale».


Anne Gagneux, propriétaire de l’immeuble squatté, sur les squatteurs ayant envahi un immeuble à Lyon : « Ce sont des gens qui ne sont pas dans la précarité et qui ont un métier »


CNews

 

Note : sa peut être des migrants musulmans comme des gitans

 

 

À San Francisco, une polémique enfle autour d’un vaste plan de « réparation » du racisme systémique : un revenu annuel minimum de 100.000$ pour chaque adulte noir éligible et une maison à un dollar par famille

La ville propose notamment d’attribuer cinq millions de dollars à chaque Afro-Américain.

San Francisco a été mercredi 15 mars le théâtre d’une vive polémique, après la présentation devant le conseil municipal d’un plan de «réparations» pour compenser l’héritage du racisme systémique, qui propose d’attribuer cinq millions de dollars à chaque Afro-Américain de la ville.

Discuté lors d’une réunion publique mardi 14 mars au soir, ce plan a été réalisé par une commission chargée par la ville de faire des propositions afin de corriger les inégalités subies par les Afro-Américains aux États-Unis depuis l’esclavage.

Revenu annuel minimum

«Les vies noires comptent. Vous avez l’occasion de le démontrer aujourd’hui, faites-le avec des réparations», a déclaré mardi devant le conseil municipal Yulanda Williams, une policière noire qui milite en faveur d’une réforme des forces de l’ordre. Outre sa mesure phare, il contient une centaine de recommandations et propose par exemple de garantir un revenu annuel minimum de presque 100.000 dollars pendant 250 ans pour chaque adulte noir éligible, une maison à San Francisco pour un dollar par famille ou d’annuler les dettes des bénéficiaires.

[…]

 

Le Figaro

 

 

Disneyland Paris inaugure ses premiers WC non genrés

 

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