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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 13 mars 2023

 

 

 

La Corée du Nord lance deux missiles depuis un sous-marin avant des exercices militaires entre Séoul et Washington

 

Pyongyang avait averti que les exercices militaires entre la Corée du Sud et les États-Unis - les plus importantes manoeuvres conjointes entre les deux pays depuis cinq ans - pourraient être considérés comme une "déclaration de guerre".

Washington et Séoul mènent un exercice de simulation de conflit nucléaire de Pyongyang

Pyongyang a lancé dimanche deux missiles de croisière depuis un sous-marin, a annoncé lundi l'agence nord-coréenne KCNA, à quelques heures d'exercices militaires conjoints entre Séoul et Washington. Le tir a eu lieu au large de la ville côtière de Sinpo (est de la Corée du Nord) dimanche matin, selon KCNA. L'armée sud-coréenne, citée par l'agence Yonhap, a déclaré avoir détecté le lancement d'un seul missile non spécifié, sans donner de détails.

 

KCNA assure que l'exercice a été couronné de succès, les missiles ayant atteint leurs cibles désignées et non spécifiées au large de la côte est de la péninsule coréenne.

Ce lancement a eu lieu quelques heures avant le lancement des plus importantes manoeuvres conjointes entre la Corée du Sud et les Etats-Unis depuis cinq ans.

 

Pyongyang, qui dispose de l'arme nucléaire, avait averti que de tels exercices pourraient être considérés comme une "déclaration de guerre".

KCNA a souligné que le tir de dimanche exprimait "la position invariable" de la Corée du Nord face à une situation dans laquelle "les impérialistes américains et les forces fantoches sud-coréennes avancent de manière de moins en moins dissimulées dans leurs manoeuvres militaires contre la RPDC", la République populaire démocratique de Corée.

Selon KCNA, le tir d'essai a permis également de "vérifier la posture opérationnelle actuelle des moyens de dissuasion nucléaire dans différents espaces".

Dans une déclaration séparée, le ministère nord-coréen des Affaires étrangères a assuré que les États-Unis "complotaient" dans le but de convoquer une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies sur les droits de l'homme en Corée du Nord.

Jeudi, Pyongyang avait déjà tiré un missile balistique de courte portée en direction de la mer au large de sa côte ouest, selon l'armée sud-coréenne.

Washington et Séoul ont renforcé leur coopération en matière de défense face aux menaces militaires et nucléaires croissantes de la Corée du Nord, qui a multiplié ces derniers mois les essais d'armes.

Les entraînements "Freedom Shield" entre les forces américaines et sud-coréennes, qui débutent lundi pour au moins dix jours, seront axés sur "l'évolution de l'environnement de sécurité" due à l'agressivité redoublée de la Corée du Nord, ont déclaré les alliés.

Pyongyang considère ces exercices comme des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à un renversement de son régime, tout en justifiant ses propres programmes d'armes nucléaires et balistiques par la nécessité de se défendre.

Vendredi, l'agence d'Etat KCNA avait rapporté que le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un avait ordonné à son armée d'intensifier ses manoeuvres militaires en vue d'une "guerre réelle".

Source

LIRE AUSSI: Péninsule coréenne : Washington et Séoul lancent leurs plus importantes manœuvres militaires conjointes en cinq ans

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L’UE « va faire en sorte » d’augmenter sa production de munitions pour Kiev..

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 mars 2023

L'ESSENTIEL 

  • Les importations d'armement en Europe ont quasiment doublé en 2022, tirées par les livraisons massives vers l'Ukraine devenue troisième destination mondiale, selon un rapport de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) publié ce lundi.
  • Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont confirmé dimanche l'identité du soldat que l'on voit en train de se faire fusiller dans une vidéo devenue virale, après que plusieurs sources officielles eurent donné deux noms différents.
  • L'Oscar du meilleur documentaire a été décerné dimanche à «Navalny», film relatant les événements liés à l'empoisonnement du célèbre opposant russe emprisonné. Réalisé par le Canadien Daniel Roher, cette enquête décrit l'ascension politique d'Alexeï Navalny, la tentative d'assassinat à laquelle il a difficilement survécu et son emprisonnement qui a suivi.

 

12h33 : Xi Jinping va s’entretenir avec Volodymyr Zelensky

D’après nos confrères américains du Wall Street Journal, le président chinois Xi Jinping va prochainement s’entretenir par visioconférence avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky. Une première depuis le début du conflit. La rencontre devrait avoir lieu après la visite du président chinois à Moscou, qui aura lieu la semaine prochaine, note le journal new-yorkais.

 

11h39 : Emmanuel Macron reçoit Viktor Orban pour insister sur « l’unité des pays européens » face à la Russie

Emmanuel Macron va insister sur « l’unité des pays européens » sur la guerre en Ukraine face à la voix dissonante que fait régulièrement entendre le Premier ministre hongrois. Viktor Orban navigue à contre-courant de ses partenaires européens sur le dossier ukrainien depuis l’invasion russe. Il fustige la « guerre indirecte » menée par l’Europe contre la Russie et a encore lancé fin février un nouvel appel à un cessez-le-feu.

Depuis le début du conflit en février 2022, Budapest, très dépendant des importations d’hydrocarbures russes, maintient une position ambiguë, se gardant de critiquer le président russe. Viktor Orban, qui entretenait des liens étroits avec Vladimir Poutine avant la guerre, refuse d’envoyer des armes à Kiev et fustige les sanctions européennes visant Moscou, même s’il les a votées.

 

10h40 : L’Iran et la Biélorussie « ont la volonté de renforcer [leur] coopération »

Les présidents iranien Ebrahim Raïssi et biélorusse Alexandre Loukachenko ont affirmé lundi leur volonté de renforcer les liens entre les deux pays, au cours d’une rencontre à Téhéran dans le contexte de la guerre en Ukraine.

Arrivé dimanche soir en Iran pour une visite de deux jours, Alexandre Loukachenko, plus proche allié de Vladimir Poutine, s’est entretenu dans la matinée avec Ebrahim Raïssi avant de signer une feuille de route pour développer la coopération entre les deux pays dans les domaines politique, économique ou culturel.

« 30 ans après le début des relations bilatérales (…), les deux pays ont la volonté de renforcer la coopération » alors qu’ils partagent « une vision stratégique » commune, a annoncé le président Raïssi à l’issue de la rencontre.

 

10h16 : Xi Jinping sera à Moscou la semaine prochaine

D’après plusieurs agences de presse, le président chinois Xi Jinping rendra visite à son homologue russe Vladimir Poutine à Moscou la semaine prochaine. Cette visite d’Etat se tiendra alors que la Chine se positionne depuis quelques semaines en médiateur du conflit en Ukraine, proposant son aide à l’écriture d’un accord de paix. Une nouvelle accueillie avec méfiance de la part des Occidentaux.

 

10h00 : L’UE « va faire en sorte » d’augmenter la production de munitions pour l’Ukraine

L’Union européenne « va faire en sorte » d’augmenter sa production de munitions à destination de l’Ukraine, fabriquées par « quinze industriels dans onze pays » de l’Union, a indiqué lundi le commissaire européen à l’Industrie Thierry Breton.

« Il faut aller très vite, la guerre en Ukraine, voulue par Vladimir Poutine, tragique, se traduit maintenant par une guerre de tranchée, de face-à-face, et c’est évidemment à qui envoie le plus de munitions, d’un côté ou de l’autre » a déclaré le Commissaire européen sur la radio RMC lundi, en rappelant que les Ukrainiens « dépendent » de l’Europe pour les livraisons de munitions.

« C’est un sujet qui concerne le monde entier occidental », a-t-il dit, en rappelant la réunion des ministres de la Défense de l’UE la semaine dernière à Stockholm avec le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, qui a décidé d’un plan de 2 milliards d’euros portant sur des livraisons d’urgence de stocks existants à l’Ukraine et de commandes en commun de munitions.

 

07h10 : Les importations d’armes en Europe ont doublé en 2022

Les importations d’armement en Europe ont quasiment doublé en 2022, tirées par les livraisons massives vers l’Ukraine devenue troisième destination mondiale, selon un rapport de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) publié lundi. Avec une envolée de 93 % sur un an, les importations ont aussi augmenté du fait de l’accélération des dépenses militaires de plusieurs Etats européens comme la Pologne et la Norvège, qui devrait encore accélérer, selon cette étude faisant référence.

« L’invasion a vraiment provoqué une envolée significative de la demande d’armes en Europe, qui n’a pas encore montré sa pleine puissance et va selon toute vraisemblance mener à de nouvelles hausses d’importations par des Etats européens », souligne Pieter Wezeman, coauteur du rapport annuel depuis plus de trois décennies.

L’Ukraine, jusqu’à l’an dernier un importateur négligeable d’armement, est devenue subitement en 2022 la troisième destination d’armement dans le monde, derrière le Qatar et l’Inde, conséquence directe de l’aide occidentale pour repousser l’invasion russe. A lui seul, le pays a concentré 31 % des importations d’armement en Europe et 8 % des échanges mondiaux, selon les données du Sipri. Les importations de Kiev, incluant les donations occidentales, ont été multipliées par plus de 60 en 2022, selon l’institut.

DIRECT

 

 

 

 

Ukraine : ce que l'on sait du soldat fusillé par des Russes dans une vidéo devenue virale

Vers une guerre de religion, infos du 13 mars 2023

 

Les services de sécurité ukrainiens ont formellement identifié dimanche Oleksandre Matsievskiï comme étant l'homme balafré en uniforme criant «Gloire à l'Ukraine», avant de se faire faucher par des rafales de mitraillettes russes.

Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont confirmé dimanche 12 mars l'identité du soldat que l'on voit en train de se faire fusiller dans une vidéo devenue virale, après que plusieurs sources officielles eurent donné deux noms différents.

«Les enquêteurs du (SBU) ont établi que le soldat ukrainien qui a été abattu (...) était un tireur d'élite du 163e bataillon de la 119e brigade de défense territoriale de la région de Tchernihiv, Oleksandre Igorovitch Matsievskiï», ont annoncé les enquêteurs dans un communiqué.

Sur la vidéo en question d'une douzaine de secondes, abondamment relayée début mars, on voit un homme balafré en uniforme militaire mais désarmé en train de fumer une cigarette avant de s'écrier «Gloire à l'Ukraine !» et de se faire faucher par des rafales de mitraillettes.

Confusion entre deux identités

L'annonce du SBU intervient quelques jours après que plusieurs sources officielles au sein de l'armée ukrainienne eurent donné deux identités différentes - dont celle d'Oleksandre Matsievskiï -, entretenant la confusion.

Lire la suite

 

Note: je n'ai pas vue cette vidéo, j'ai fait quelque recherche mais rien 

Il a quelque jour un autre soldat ukrainien est mort,  un nazie de Secteur Droit. La Premiere ministre finlandaise etait presente !!   

Note: je n'ai pas vue cette vidéo, j'ai fais quelque recherche mais rien 

Il a quelque jour un autre soldat ukrainien est mort,  un nazi de Secteur droit. La première ministre finlandaise était presente pour ces funérailles

Meme Bernard-Henri Lévy lui a rendu hommagen sans dire qui il etait vraiment !

Et regardez bien les uniforme des soldats ukraniens

 

 

Aucun intérêt pour Kiev de faire exploser les Nord Stream, contrairement à Washington, selon Moscou

 

L’Occident diffuse des informations impliquant un groupe pro-ukrainien dans le sabotage des Nord Stream pour dissimuler les vrais commanditaires, estime le chef du Conseil de sécurité russe. Mais Kiev n’en tire aucun profit, alors que cette destruction fait le jeu de Washington qui était intéressé à rompre ce lien entre Moscou et Berlin.

La véracité de la version relayée par des médias occidentaux sur l’implication d’un groupe pro-ukrainien dans l’explosion des Nord Stream a été mise en cause par le secrétaire du Conseil de sécurité russe.

"Quand les journaux affirment avec pathos que ce sabotage a été commis par un groupe de terroristes ukrainiens, il faut se poser la question s’il en existe un et s’il en est capable", a déclaré Nikolaï Patrouchev à l'hebdomadaire russe AIF.

Vers une guerre de religion, infos du 13 mars 2023

"Kiev n’a rien perdu et n’a rien gagné. (…) De plus, cet acte ne sert à rien pour le régime de Zelensky qui mendie toujours à Berlin, comptant sur l’augmentation d’aides notamment militaires".

"D’autres pays de l’Otan utilisent aussi des plongeurs de combat pour réaliser des missions de sabotage mais uniquement avec l’aval et l’accord d’un pays qui dicte l’ordre du jour dans l’Alliance transatlantique", a-t-il fait remarquer.

Brouiller les pistes

Selon lui, cette piste vise à blanchir les États-Unis et le Royaume-Uni, soupçonnés d’être derrière l’acte terroriste, et à dissimuler les véritables commanditaires par la désignation d’une partie tierce comme coupable.

"Elle est promue dans l’espoir que le public est incapable de penser logiquement", a affirmé Nikolaï Patrouchev au sujet des articles du New York Times et du journal allemand Die Zeit qui ont relayé la thèse.

Berlin, pantin de Washington

Quant à l’Allemagne qui recevait du gaz russe bon marché pour son industrie, elle semble s’en désintéresser. Cependant, "Berlin se rend bien compte que cet étroit partenariat économique russo-allemand n’a jamais satisfait Washington et Londres".

De ce fait, il est évident que "l’État allemand moderne n’est pas autonome", a tranché le chef du Conseil de sécurité russe.

"Washington impose à Berlin sa politique économique et écologique et maintient un contingent militaire de 35.000 effectifs sur le territoire de ce pays", rappelle-t-il.

 

 

Faillites de banques américaines: Trump prédit une nouvelle "Grande dépression"

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 mars 2023

Donald Trump a accusé le Président Biden d’être responsable des problèmes économiques des États-Unis et a tablé sur une nouvelle "Grande dépression", plus importante même que celle d’il y a presque 100 ans. Un discours qui intervient après la faillite consécutive de plusieurs banques américaines importantes.

Réagissant à la faillite de plusieurs grandes banques américaines survenue en moins d’une semaine, Donald Trump a tenu pour responsable le Président Biden.

"Nous aurons une Grande Dépression - beaucoup plus grande et plus puissante que celle qui a commencé en 1929. La preuve en est que les banques commencent déjà à s'effondrer!", a déclaré l’ex-chef de l’État sur le réseau social Truth Social.

Compte tenu de la situation économique actuelle, "Joe Biden pourrait devenir le Herbert Hoover (Président américain de 1929 à 1933) de l'ère moderne", a ajouté M.Trump.

L’homme politique a également jugé la récente proposition d'augmentation des impôts comme "la plus importante et la plus stupide de l'histoire" du pays.

La Grande dépression est une crise économique mondiale qui a débuté le 24 octobre 1929 avec une chute boursière aux États-Unis. Elle a duré dix ans. Les villes industrielles ont été les plus affectées car la construction a été pratiquement mise à l’arrêt, alors que les prix pour les produits agricoles ont dégringolé. Le chômage a touché 14 millions de personnes.

Panique bancaire aux USA

Cette série de faillites a commencé sur fond d’augmentation du taux directeur visant à contenir la hausse des prix alimentaires et à contrôler l’inflation. Par précaution, les gros clients ont opté pour réduire leurs investissements et pour retirer leurs dépôts.

Le 8 mars, Silvergate Bank, petite banque régionale devenue la destination favorite du milieu des cryptomonnaies, a annoncé sa mise en liquidation.

Le même soir, une autre banque, de taille nettement plus importante, Silicon Valley Bank (SVB), annonce qu'elle fait face, elle aussi, à des retraits inattendus. Elle a fermé le 10 mars et a été reprise par les régulateurs fédéraux. Cela constitue la plus grande faillite après Washington Mutual en 2008.

Fondée en 1983, SVB s'est spécialisée dans les services pour une grande partie des startups américaines technologiques. Relativement inconnue en dehors de la Silicon Valley, elle était parmi les 20 premières banques commerciales américaines, avec un actif total de 209 milliards de dollars fin 2022.

Le 12 mars, la Signature Bank, 21e banque du pays, a également fermé d'office.

Spoutnik

 

 

 

Des migrants subsahariens fuyant leurs pays protestent en Libye afin d’être évacués en Europe, ils dénoncent le mauvais traitement qu’ils subissent (MàJ : Plus de 600.000 migrants prêts à traverser vers l’Italie)

13/03/2023

Plus de 600 000 migrants prêts à traverser vers l’Italie

Deux semaines après le naufrage dramatique avec des migrants en Italie, quelque 685 000 migrants attendent en Libye de partir pour l’Italie. C’est ce qu’affirme le service de renseignement italien dans un rapport au gouvernement italien Meloni. Les gens sont en partie dans des camps de migrants libyens, en partie ailleurs.

Depuis son entrée en fonction le 22 octobre, la Première ministre italienne Giorgia Meloni a eu quelques réunions avec les autorités libyennes pour réduire le nombre de migrants en Italie. Fin janvier, Meloni s’est rendu avec deux ministres dans la capitale libyenne Tripoli, il y a vingt jours, il y a eu une réunion à Rome avec le ministre libyen de l’Intérieur Imad Mustafa Trabelsi.

Jusqu’à présent, les pourparlers n’ont pas fonctionné. Le nombre de migrants arrivant sur les côtes italiennes augmente rapidement. En comparaison, « seulement » 104 000 migrants sont arrivés sur les côtes italiennes l’année dernière. Depuis le début de l’année, 17 592 migrants sont arrivés, contre 5 976 à la même période l’an dernier. Le nombre de migrants a ainsi augmenté de près d’un tiers. Il y a actuellement 109 294 migrants dans les centres d’accueil italiens. Ils disent qu’ils ne peuvent pas faire face à un nouveau flux de migrants.

Après le naufrage du Cutro fin février, qui a tué au moins 78 migrants, la consternation était grande. Le gouvernement Meloni a été accusé de ne pas travailler pour sauver les migrants, dont plusieurs enfants, et de détourner le regard. La Première ministre a ensuite délibérément tenu son dernier conseil des ministres à Cutro jeudi dernier, pour montrer son engagement envers les victimes et les familles endeuillées. Meloni a annoncé des peines sévères contre les passeurs, allant jusqu’à trente ans de prison. La nouvelle mesure était censée avoir un effet dissuasif.

Cependant, 998 migrants viennent d’arriver sur l’île de Lampedusa, dans le sud de l’Italie. En outre, 1300 migrants de trois bateaux différents ont maintenant été secourus sur la mer Ionienne au large de la côte sud de l’Italie. Selon les services de renseignement, ce n’est qu’un très petit signe avant-coureur de ce qui attend le pays du sud de l’Europe.

Meloni est chef du parti de droite Fratelli d’Italia. Ce parti a toujours été considéré comme une droite radicale, ce gouvernement comme le plus à droite que l’Italie ait connu depuis après la Seconde Guerre mondiale. Meloni, lorsqu’elle était dans l’opposition, avait des opinions radicales sur l’immigration. Elle était amie avec le Premier ministre hongrois Orbán et voulait que des navires de guerre bloquent les migrants d’Afrique du Nord. Après avoir pris ses fonctions en tant que première femme Premier ministre d’Italie en octobre de l’année dernière, il ne reste rien de ces opinions radicales. En fait, lors du dernier conseil des ministres, il a été décidé d’encourager l’immigration par des voies régulières, en fonction des besoins des entreprises et de l’agriculture. L’Italie est aux prises avec une population vieillissante et, malgré une immigration de masse, une population en diminution. L’expulsion des migrants indésirables est facilitée.

La semaine dernière, le Premier ministre Rutte a rendu visite à Meloni à Rome. Il lui a suggéré de faire un voyage en Afrique ensemble pour prendre des dispositions avec les dirigeants des gouvernements africains afin d’endiguer le flux de migrants.

Telegraaf


06/12/2021

Des violences ont émaillé le rassemblement organisé dimanche devant les locaux du HCR à Tripoli

Dimanche, des centaines de migrants, qui se sont installés début octobre devant les locaux du Haut-commissariat des Nations unies aux réfugiés à Tripoli, ont manifesté pour réclamer leur évacuation de Libye. Des violences ont émaillé le rassemblement : les migrants accusent l’agence onusienne, qui elle pointe du doigt la responsabilité des manifestants.

La situation devant le centre du Haut-commissariat des réfugiés aux Nations unies (HCR) à Tripoli ne cesse d’empirer. Depuis deux mois, des centaines de migrants, dont des femmes et des enfants, se sont installés devant les locaux de l’organisation pour réclamer leur évacuation de Libye et leur réinstallation dans un pays tiers. Certains sont des demandeurs d’asile ou des réfugiés.

Une “violence inacceptable” pour Jean-Paul Cavalieri, chef de mission en Libye du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés

Lors de ce rassemblement, des violences ont éclaté. Difficile de savoir exactement ce qu’il s’est passé, tant les versions divergent. Selon le HCR, certaines personnes ont mis le feu devant le centre. “La police est venue pour éteindre l’incendie et ils ont reçu des pierres“, jetées par les manifestants, assure dans une vidéo le chef de mission du HCR en Libye Jean-Paul Cavalieri. “Cette violence est inacceptable“, estime-t-il.

[…]

InfoMigrants

 

 

Clichy-la-Garenne (92) : une femme de 96 ans cambriolée, et violée pendant 2h ; le suspect Walid, 20 ans, était déjà connu pour agression sexuelle sur une ado de 14 ans dans le même immeuble (Màj)

 

13/03/2023

Mi-février, une nonagénaire a été violée et volée dans son appartement à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine). L’auteur présumé des faits était pourtant connu des services de police. Il avait déjà sévi dans le même immeuble en 2020 où sa victime était âgée de 14 ans. Sa mère a accepté de témoigner pour CNEWS.


Son calvaire a duré plus de deux heures. Dans la nuit du 13 au 14 février, un homme s’est introduit au domicile d’une femme âgée de 96 ans à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine). Avant de repartir avec ses objets de valeurs, son agresseur l’a également violée. Or, l’individu était déjà connu des services de police pour des actes de délinquance sexuelle sur mineur, commis dans ce même immeuble.

[…]

 

CNews


10/03/2023

 

 

 

 

Selon le ministère de l’Intérieur italien, 17.592 migrants clandestins sont entrés sur le territoire entre janvier et le 10 mars 2023, un record (Màj)

13/03/2023

Ministère de l’Intérieur


09/02/2023

Mercredi 8 février, plusieurs groupes de secouristes (Garde des finances, Croix-Rouge de Suse, sapeurs-pompiers et Secours alpin) ont été dépêchés à la recherche de quatre migrants, perdus en montagne alors qu’ils cherchaient à gagner la France depuis Clavière, à la frontière avec les Hautes-Alpes.

Ces jeunes gens ont été retrouvés dans la soirée. Ils s’étaient abrités dans la chapelle San Gervasio, près du village de Clavière. En état d’hypothermie légère, ils ont été pris en charge par la Croix-Rouge.

Le Dauphiné

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