/image%2F0938097%2F20201026%2Fob_8f0ac5_ea1b2967f8617ac0a851b1bb95531b50.jpg)
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
_____________________________
Les Infos du 8 février 2023
J'ai décidé de continuer de poster l'actualité quelque mois, malgré que je n'ai plus trop de motivation. Faut dire que je tiens ce blog depuis 11 ans, et je commence à fatiguer. Comme je l'avais déjà dit, je pensais arrêté mon travail en janvier 2022, mais la guerre en Ukraine ma pousser a continuer. J'aimerais vraiment m'arrêter, mais est-ce que je peux laisser mes lecteurs, alors que l'escalade en Ukraine devient des plus préoccupent (depuis le début du conflit je ne cesse de dire qu'il a aucune issue, si ce n'est des 3GM) .
Encore aujourd'hui les nouvelles annoncent que les Anglais forment des pilotes ukrainiens sur des avions de guerre de l'Otan, ce qu'il veut dire donc qu'ils finiront par leurs données de tels avions. Ils continueront à alimenter l'escalade, et cela quoique la Russie est à plusieurs reprises prévenue sur des risques d'une riposte nucléaire. Aveugles, sourds, ils continuent a ignoré le danger
/image%2F0938097%2F20230208%2Fob_6b19ca_capture-d-ecran-2023-02-08-195856.png)
Photo :Zelensky en Inde, non au Royaume Unie
L’ESSENTIEL
13h31 : « Nous continuerons à soutenir l’Ukraine pour permettre une victoire militaire décisive sur le champ de bataille »
Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a promis mercredi de continuer à soutenir l’Ukraine pour lui permettre une victoire « décisive (…) cette année », peu après l’arrivée à Londres du président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Rappelant devant le Parlement l’offre britannique de former notamment des pilotes de chasse ukrainiens, le chef du gouvernement a déclaré que « la Chambre peut être rassurée sur le fait que nous continuerons à soutenir l’Ukraine pour permettre une victoire militaire décisive sur le champ de bataille cette année ».
13h12 : Rishi Sunak promet de continuer à soutenir l'Ukraine pour une victoire «cette année
Le Premier ministre britannique a promis à Kiev de continuer son soutien afin de parvenir à une victoire sur la Russie « cette année », alors que Volodymyr Zelensky est en visite à Londres.
12h51 : « L’avenir » de l’Ukraine est « dans l’Union européenne », affirme Olaf Scholz
« L’Ukraine appartient à l’Europe, son avenir est dans l’Union européenne ! Et cette promesse compte », a estimé devant le Bundestag le chancelier allemand Olaf Scholz, au moment où Volodymyr Zelensky est à Londres et doit se rendre à Bruxelles demain.
12h50 : Un an après l’invasion, Olaf Scholz convaincu que Vladimir Poutine « n’atteindra pas ses objectifs »
Le président russe Vladimir Poutine « n’atteindra pas ses objectifs » en Ukraine ni sur « le champ de bataille », ni en « imposant un traité de paix », a déclaré mercredi le chancelier Olaf Scholz, insistant sur l’unité intacte des alliés occidentaux dans leur soutien à Kiev. « C’est le constat que l’on peut faire après un an de guerre », a jugé le chancelier lors d’un discours devant les députés du Bundestag avant le sommet des dirigeants de l’UE à Bruxelles.
HIER
18h10 : Kiev va recevoir au moins 100 chars Leopard 1 « dans les prochains mois », annonce Berlin
L’Ukraine va recevoir « au moins 100 chars Leopard 1 A5 (…) dans les prochains mois », ont annoncé mardi les ministres de la Défense de l’Allemagne, des Pays-Bas et du Danemark, dans un communiqué commun.
Ces Leopard 1, plus vieux que les Leopard 2 - dont Berlin a promis également à Kiev 14 exemplaires donnés par la Bundeswehr - proviennent des stocks industriels et seront remis à neuf. Cette annonce intervient au moment où le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius effectue une visite surprise à Kiev.
Le président ukrainien va notamment rendre visite aux soldats en formation en Grande-Bretagne. C'est sa deuxième visite en dehors de l'Ukraine depuis le début de la guerre.
Le président ukrainien Zelensky est attendu ce mercredi au Royaume-Uni où il rencontrera le Premier ministre Rishi Sunak, a annoncé le gouvernement britannique. Volodimir Zelensky rendra visite à des soldats ukrainiens actuellement en formation en Grande-Bretagne. Il s'adressera également au Parlement, a précisé le 10, Downing Street dans un communiqué.
"La visite du président Zelensky au Royaume-Uni est un témoignage du courage, de la détermination et de la lutte de son pays et un témoignage de l'amitié indéfectible entre nos deux pays", a déclaré le gouvernement britannique. L'exécutif a ajouté qu'il prévoyait d'élargir aux forces aériennes et maritimes ses programmes de formation de l'armée ukrainienne - afin notamment de permettre aux pilotes de maîtriser à l'avenir des appareils sophistiqués aux normes Otan - et d'accélérer la livraison de matériel militaire à l'Ukraine. "10.000 soldats ukrainiens ont déjà été formés durant ces six derniers mois. Cette année, 20.000 militaires supplémentaires sont attendus", a précisé Skynews.
Le gouvernement de Rishi Sunak présentera également dans la journée de nouvelles sanctions contre les individus qui ont aidé le président russe Vladimir Poutine à "bâtir sa fortune personnelle, et les entreprises qui profitent de la machine de guerre du Kremlin". Londres a déjà imposé depuis le début de la guerre en Ukraine, il y a près d'un an, des sanctions contre des centaines d'individus et d'entités russes.
Volodimir Zelensky ne s'est rendu qu'une fois à l'étranger depuis le début de la guerre d'invasion russe en février 2022. C'était en décembre dernier à Washington, où il a rencontré le président américain Joe Biden et a pris la parole devant les élus du Congrès.
Charles Michel l'a invité en personne à un futur sommet de l'Union européenne, a déclaré lundi le porte-parole du président du Conseil européen. Selon plusieurs médias, Volodimir Zelensky participera au sommet de l'UE, qui doit avoir lieu jeudi et vendredi à Bruxelles.
/image%2F0938097%2F20230208%2Fob_355d4f_capture-d-ecran-2023-02-08-203521.png)
Le chef du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien, Oleksiy Danilov, a affirmé ce mardi que l'Ukraine est capable de mener des frappes sur le territoire russe.
Alors que les combats se poursuivent en Ukraine et plus particulièrement la ligne de front du Donbass, Oleksiy Danilov, plus haut responsable de la sécurité nationale ukrainienne, a déclaré à nos confrères de CNN que Kiev était en capacité de frapper la Russie sur son propre territoire.
"En ce qui concerne le territoire russe, personne ne nous interdit de détruire des cibles avec des armes produites en Ukraine. Avons-nous de telles armes ? Oui, nous en avons", a-t-il affirmé.
Le chancelier allemand Olaf Scholz avait indiqué la semaine dernière dans le Bild am Sonntag qu'il existait un "consensus" avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour que les armes livrées par les alliés occidentaux de l'Ukraine ne servent pas à mener des attaques sur le territoire russe.
L'Ukraine n'a jamais revendiqué de frappe en territoire russe jusque-là, bien qu'il y ait eu plusieurs explosions inexpliquées sur des sites stratégiques situés en Russie depuis le début de l'invasion de l'Ukraine.
/image%2F0938097%2F20230208%2Fob_f56464_capture-d-ecran-2023-02-08-202914.png)
Le 7 février 2023
En déplacement à Kiyv, le ministre de la Défense allemand a confirmé la livraison prochaine de chars Leopard 1 à l'Ukraine.
Dans l'après-midi de ce mardi 7 février, c'est le ministère allemand de l'Économie qui a autorisé l'exportation de jusqu'à 178 chars de combat Leopard 1A5, un modèle plus ancien du très attendu char allemand sur le front du conflit entre l'Ukraine et la Russie.
"Le nombre de chars de combat Leopard 1A5 qui seront effectivement livrés à l'Ukraine dépendra des travaux de réparation nécessaires", a toutefois indiqué le communiqué des ministères de l'Economie et de la Défense.
Un peu plus tard, en déplacement à Kiyv ce mardi, Boris Pistorius, ministre de la Défense allemand, a déclaré que, par ailleurs, l'Ukraine devrait recevoir d'un groupe de plusieurs pays européens plus de 100 chars de combat de type Leopard 1A5.
Au moins trois bataillons devraient en être équipés d'ici le premier ou le deuxième trimestre 2024, a déclaré mardi Pistorius, dont le séjour en Ukraine avait été tenu secret pour des raisons de sécurité.
LIRE AUSSI: L’armée ukrainienne devra essentiellement se contenter de chars Leopard 1… pour le moment
/image%2F0938097%2F20230208%2Fob_fedaa1_capture-d-ecran-2023-02-08-203833.png)
Les résultats exceptionnels sont en partie dus à l'activité du gaz naturel liquéfié (GNL), qui est devenu une denrée importante dans la guerre en Ukraine.
TotalEnergies a publié mercredi des résultats en nette hausse au quatrième trimestre 2022, tirés par les prix et l'augmentation de sa production d'hydrocarbures et a annoncé une hausse de 6,4% de son dividende au titre de l'exercice passé, à 2,81 euros par action. TotalEnergies a réalisé le meilleur bénéfice de son histoire en 2022 avec 20,5 milliards de dollars (19,1 milliards d'euros).
Ce chiffre record est fortement lié à l'activité du gaz naturel liquéfié (GNL), qui est devenu une denrée importante avec la guerre en Ukraine. TotalEnergies en est le deuxième producteur mondial, derrière Shell, souligne FranceInfo.
A lire aussi : 6 millions d'euros par an : La rémunération du PDG de TotalEnergies a bondi de 52% en 2021
A lire aussi : Prix des carburants : Bruno Le Maire va demander "un nouvel effort" à TotalEnergies
A lire aussi : Guerre en Ukraine : TotalEnergies accusé d'avoir fourni du carburant aux avions de combat russes
Le groupe pétrolier et gazier, également très présent dans les énergies renouvelables, a enregistré au titre du quatrième trimestre un résultat net ajusté de 7,6 milliards de dollars (+11%), un Ebitda ajusté de 16,0 milliards (+12%) et une production de 2,812 millions de barils par jour (Mb/j), en hausse de 5%. Selon un consensus établi par Refinitiv, les analystes attendaient en moyenne un résultat net ajusté de 7,6 milliards de dollars.
Tous les grands leaders mondiaux du pétrole et du gaz ont vu leurs bénéfices s'envoler en 2022.
/image%2F0938097%2F20230208%2Fob_47e7c6_capture-d-ecran-2023-02-08-203140.png)
Alors que la loi norvégienne, comme en Scandinavie en général, n'a pas de notion de blasphème et permet de brûler le Coran, un récent sondage a indiqué que près de la moitié des Norvégiens sont favorables à l'interdiction de la pratique de la dégradation des symboles religieux. Ce débat a été stimulé par le fait que plusieurs exemplaires du Coran ont été brûlés à travers la Scandinavie ces dernières semaines.
Le service de sécurité de la police norvégienne (PST) a mis en garde contre le fait que le Coran ne brûle pas le signal qu'il pourrait potentiellement envoyer aux islamistes du monde entier.
Selon le chef adjoint du PST, Hedvig Moe, incendier le livre sacré de l'islam pourrait faire de la Norvège " une cible pour les extrémistes islamiques ". Moe a également osé qu'"un instantané momentané peut affecter la perception de la situation au pays et à l'étranger".
Dans le même temps, Moe a également souligné que le travail du PST est de faire des évaluations larges, laissant les décisions concrètes sur les événements à annuler ou à déplacer à la police et aux autorités.
Le 3 février, le groupe d'activistes Stop the Islamization of Norway (SIAN), qui au fil des années a brûlé plusieurs exemplaires du Coran pour montrer son opposition à l'islam, prévoyait d'organiser une manifestation devant l'ambassade de Turquie à Oslo, mais ses la demande a finalement été rejetée par la police pour des raisons de sécurité. Le porte-parole du district de police d'Oslo, Martin Strand, a admis que la sécurité ne peut être assurée "de manière satisfaisante".
Cela faisait suite à une série d'incendies de Coran en Suède et au Danemark par le politicien suédo-danois et chef du parti Hard Line, Rasmus Paludan, qui prétendait ainsi « donner une leçon au président turc Recep Erdogan sur le fonctionnement de la liberté d'expression ». Alors que Paludan a depuis longtemps fait de la dégradation du Coran un élément incontournable de son répertoire politique et une partie de sa rhétorique anti-immigrés et anti-islam, ses actions ont rarement attiré l'attention en dehors de la Scandinavie. Cette fois, cependant, la candidature de la Suède à l'OTAN étant en jeu et suspendue à l'approbation finale de la Turquie, elle a déclenché une vague de protestations dans le monde musulman, des drapeaux suédois étant brûlés à plusieurs endroits.
Notamment, après qu'un membre du SIAN a mis le feu au Coran dans la ville de Kristiansand le 16 novembre 2019, des manifestants au Pakistan ont également réagi en brûlant des drapeaux norvégiens.
La loi norvégienne, comme toute la Scandinavie, n'a pas de concept de blasphème et permet de brûler le Coran. Cependant, une récente enquête du sondeur InFact a montré que près de la moitié des personnes interrogées, 44,5%, pensent qu'il devrait être interdit de brûler le Coran, ou d'autres symboles religieux d'ailleurs. En revanche, 33 % ont soutenu que l'incendie de symboles religieux devrait être autorisé.
Les récents incendies du Coran ont résumé l'énigme entre le célèbre engagement de l'Occident en faveur de la liberté d'expression, la lutte contre le discours de haine et la quête pour garantir ses intérêts politiques et sécuritaires. Entre autres, l'ancien Premier ministre suédois et ministre des Affaires étrangères Carl Bildt a critiqué la police de Stockholm pour ne pas avoir pris en compte les risques potentiels pour la sécurité de la Suède lorsqu'elle a autorisé la combustion du Coran. En revanche, le leader démocrate suédois Jimmie Akesson a défendu la liberté d'expression et a critiqué le gouvernement pour "se prosterner devant l'islamisme dictatorial".
Après les récents incendies du Coran, les États-Unis ont spectaculairement lancé un avertissement terroriste à leurs citoyens en Suède, tandis que le ministère norvégien des Affaires étrangères a modifié les conseils de voyage pour les pays africains tels que la Tanzanie, le Kenya et l'Ouganda, mettant en garde contre un risque d'attaques terroristes contre des cibles occidentales.
Le terrible bilan de cette catastrophe naturelle ne cesse de s'alourdir.
Plus le temps passe et plus les chances de retrouver des survivants s'amenuisent. C'est une course contre la montre pour les secours à la recherche de la moindre trace de vie encore prisonnière des décombres. Des opérations rendues difficiles par un froid glacial qui frappe le pays.
Le bilan du tremblement de terre, de magnitude 7.8, qui a frappé lundi matin la Turquie et la Syrie fait état de plus de 9500 morts. Ce matin, les autorités avaient annoncé le décès de 5894 personnes en Turquie et 2470 en Syrie, mais ces chiffres ne cessent d'être revus à la hausse.
L'aide internationale a commencé à arriver en Turquie où un deuil national a été décrété pour sept jours par le président Erdogan.
Deux hommes ont été mis en examen lundi soir, et l’un d’eux a été placé en détention provisoire, pour la violente agression de trois policiers qui n’étaient pas en service samedi à Toulon, a appris BFM Toulon Var auprès du procureur de Toulon.
Le premier, un Guinéen de 31 ans, a été mis en examen pour violences aggravées et laissé libre sous contrôle judiciaire. Le second, demandeur d’asile âgé 28 ans, a également été mis en examen pour les violences aggravées ainsi que le vol en réunion du téléphone d’un des policiers. Il a été placé en détention provisoire à la prison de La Farlède. Ils encourent une peine de 10 ans d’emprisonnement.
(…) Les agents de police avaient d’abord été insultés puis roués de coups par une dizaine d’individus. “Ces trois à quatre individus, d’après les images de vidéosurveillance, les ont tout de suite interpellés sur leurs qualités de fonctionnaires de police” avant de “commettre des violences particulièrement graves à leur encontre”, avait souligné lundi le procureur.
Trois policiers hors service ont été victimes d’une violente agression dans la nuit de vendredi à samedi à Toulon (Var) a-t-on appris. Ils sont blessés, dont deux sérieusement. Une dizaine de suspects sont en fuite et une enquête a été ouverte.
Cette agression s’est déroulée au centre-ville, sur la place-d’Armes, vers 01h40, dans des circonstances qui restent à déterminer. Un groupe d’une dizaine de personnes ont violemment frappé les trois fonctionnaires. Ces derniers ont été pris en charge par les secours. L’un, souffrant d’une fracture ouverte au niveau d’un coude, a été opéré à son arrivée à l’hôpital. Un second avait le visage tuméfié et souffrirait d’une fracture du plancher orbital, tandis que le troisième présentait une plaie ouverte au niveau de la tête. L’un des agents se serait fait voler son téléphone durant cette agression indique une source policière.
Sans arrêt avec leurs "valeurs européen " 😡 ils rabâchent jours après jours leur catéchisme laïque des "droits de l'autre", nouveau commandement "divin" de l'union 🇪🇺 communisme
— Childebrand (@Childebrand11) February 8, 2023
Le peuples d'🇪🇺 doivent OUVRIR leurs yeux, ns subissons une nouvelle forme de communisme pic.twitter.com/0FkkFIUE5l
Environ 200 personnes ont manifesté contre la présence d’un camp de Roms dans le bois jouxtant la commune. Ils ont mis en fuite les familles installées illégalement avant d’entrer en nombre et de commencer à détruire eux-mêmes des cabanes de fortune. Une pelleteuse a finalement rasé toutes les baraques.
Ils manifestaient pour obtenir l’évacuation du camp de Roms installé dans le bois de leur village. Les habitants de Villeron (Val-d’Oise) se sont finalement fait justice eux-mêmes. « On a gagné ! » criaient ainsi certains d’entre eux ce dimanche après-midi alors que les familles de Roms, apeurées, avaient quitté les lieux peu avant.
(…) Mais cela n’a pas empêché la quasi-totalité des manifestants de se précipiter dans le bois pour rentrer dans les baraques, filmer, prendre des photos et commencer à détruire les cabanes de fortune à main nue ou avec des planches et des barres.
Coups de pied, coups d’épaule, tout est alors bon pour abattre ces cabanes qui ont cristallisé les peurs ces dernières semaines. Cette scène surréaliste a finalement été écourtée par les gendarmes qui ont demandé aux habitants de sortir du bois. Une pelleteuse est ensuite arrivée sous les hourras et les applaudissements. La machine a détruit toutes les baraques, ne laissant au sol qu’un amas de détritus, avant de creuser une tranchée pour éviter toute nouvelle occupation.
(…) Les riverains dénoncent les dégradations commises par les occupants. « Ils font des feux tous les soirs, c’est très dangereux ! D’ailleurs les pompiers interviennent tout le temps sur place », peste Martine. « Et puis ils coupent des arbres ! On en a marre que la loi ne soit pas la même pour tous. » De nombreux habitants évoquent également un climat d’insécurité qui serait lié à l’existence du camp. « Il y a même des habitants qui organisent des rondes le soir pour prévenir les cambriolages », nous souffle-t-on.
« Dehors les Roms ! Villeron ne veut pas de vous ! » hurlaient les habitants au mégaphone. « Villeron n’est pas une poubelle ! »
(…) « Heureusement qu’on a gagné sinon on aurait foutu le feu », marmonne un homme d’un certain âge en déambulant dans les allées boueuses. Une fois l’effervescence un peu retombée, la foule s’est retirée, obéissant finalement aux gendarmes. Et surtout pour laisser la place à… une pelleteuse. En une demi-heure, toutes les baraques ont été réduites en petits morceaux.
« L’odeur est insoutenable. Ils ont détruit la forêt. C’est immonde », s’indigne la personne qui enregistre la vidéo.
« Dégagez », « rendez-nous notre bois », hurlent les 200 à 300 manifestants massés à l’entrée du camp de fortune, en présence d’un important dispositif de gendarmerie. « Aux armes », lancent même certains d’entre eux.
« Ce bois, c’était l’endroit où l’on allait se promener le dimanche. Aujourd’hui, ce n’est plus possible. C’est devenu un véritable dépotoir », témoigne Olivier, qui réside à Villeron avec sa famille depuis plus de 20 ans.
« En temps normal, c’est le poumon de la commune, abonde Laurent, mégaphone à la main. On avait l’habitude de s’y retrouver. Il y avait beaucoup de fleurs et de beaux arbres, mais tout a disparu. »
Note: toute les villes française devraient faire de même. On devrait faire partir les gens nuisible de notre pays (et ceux qui les aide)
Le député nationaliste Grégoire de Fournas reproche aux élus du conseil départemental de «donner 50.000 euros pour financer l’immigration illégale», en subventionnant l’association SOS Méditerranée.
Il persiste et signe. Grégoire de Fournas, député Rassemblement national de la Gironde, connu pour avoir scandé à l’Assemblée nationale, à propos de migrants à bord de l’Ocean Viking, «qu’ils retournent en Afrique», a publié sur son compte Twitter ce vendredi un photomontage qui a fortement déplu aux élus du département.
On y aperçoit les visages de cinq élus socialistes et communistes de la majorité au conseil départemental, Jean-Luc Gleyze, Dominique Fedieu, Pascale Got, Stéphane Le Bot et Michelle Saintout, devant un canot rempli de migrants. L’image porte comme inscription : «les conseillers départementaux de gauche du Médoc attribuent à l’association immigrationniste SOS Méditerranée 50.000 euros».
«Nous en avons assez de ces gens qui dilapident notre argent», écrit également le député nationaliste. Une accusation qui n’a pas manqué de faire réagir le président socialiste du département, Jean-Luc Gleyze, visé directement par ce photomontage. «Ce qui nous est reproché, c’est de voter des subventions pour une association qui favorise l’immigration, mais c’est un mensonge», se défend l’élu. «SOS Méditerranée a trois objectifs : sauver, protéger, témoigner», et les migrants recueillis en mer «sont généralement déposés en Italie». Cette subvention n’a d’ailleurs pas encore fait l’objet d’un vote.
/image%2F0938097%2F20250122%2Fob_d4a3fc_capture-d-ecran-2025-01-22-212410.jpg)
/image%2F0938097%2F20250121%2Fob_1fd8a6_capture-d-ecran-2025-01-21-211542.jpg)
/image%2F0938097%2F20250120%2Fob_c3c43c_capture-d-ecran-2025-01-20-213302.jpg)
/image%2F0938097%2F20250119%2Fob_7055a0_capture-d-ecran-2025-01-19-201149.jpg)
Commenter cet article