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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 février 2023

 

 

 

 

Tensions en Asie: Acte "provocateur" de la Corée du Nord qui a testé un missile intercontinental près des eaux territoriales du Japon

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

La Corée du Nord a annoncé samedi le tir d'un missile balistique intercontinental (ICBM) dans le cadre d'un "exercice de lancement soudain", visant à confirmer la fiabilité de son armement, ont rapporté les médias officiels.

"L'exercice de lancement surprise d'ICBM (...) est une preuve réelle des efforts constants de la force nucléaire stratégique de la République populaire démocratique de Corée (RPDC) pour transformer sa capacité de contre-attaque nucléaire fatale contre les forces hostiles en une capacité irrésistible", a déclaré l'agence de presse officielle KCNA.

Elle a ajouté que le missile a parcouru 989 km, à une altitude de 5.768 km pendant 4.015 secondes (soit environ 67 minutes).

Selon les autorités japonaises, le missile est retombé dans les eaux de la zone économique exclusive du Japon, plus d'une heure après son lancement.

14.000 km de portée

Le missile pourrait avoir une portée de plus de 14.000 km, suffisante pour atteindre le continent américain, a indiqué le ministre japonais de la Défense. Fumio Kishida, le Premier ministre japonais, a qualifié ce tir de menace pour la communauté internationale et la Corée du Sud a dénoncé le lancement comme une "violation manifeste des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies".

Ce tir, le premier depuis le début d'année, intervient après les menaces proférées vendredi par la Corée du Nord qui a promis une réaction "forte et sans précédent" aux exercices militaires annuels conduits par Séoul et Washington. 

Pas de menace immédiate

Le Conseil national de sécurité sud-coréen s'est réuni ce samedi et a convenu d'accroître la coopération en matière de sécurité avec les Etats-Unis et Japon. Cherchant à présenter un front uni avec la Corée du Sud et le Japon, le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a qualifié le tir d'acte "provocateur".

"Le résultat de ces actes de la Corée du Nord est simplement de solidifier encore plus le travail que nous faisons ensemble, l'alliance que nous partageons et notre engagement à la défense de nos partenaires et alliés", a affirmé le chef de la diplomatie américaine en marge de la conférence annuelle de Munich sur la sécurité.

La Maison blanche a déclaré qu'elle prenait toutes les mesures nécessaires pour protéger le territoire américain mais que le lancement ne représentait pas une menace immédiate.

Par ailleurs Kim Yo Jong, la sœur du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, a mis en garde contre une réponse "forte et écrasante" à tout acte "hostile" contre Pyongyang.

La Corée du Nord, dotée de l'arme nucléaire, a tiré l'an dernier un nombre record de missiles, dont des ICBM capables d'atteindre l'ensemble du territoire américain, tout en reprenant les préparatifs en vue du premier essai nucléaire depuis 2017.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Pour la première fois, les Etats-Unis accusent la Russie de « crimes contre l’humanité »…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Réunis à Munich en marge de la Conférence sur la sécurité, les chefs de la diplomatie des grandes puissances du G7 ont réaffirmé leur « solidarité inébranlable avec l’Ukraine aussi longtemps que nécessaire » près d’un an après le lancement de l’invasion russe le 24 février 2022.
  • La vice-présidente des Etats-Unis Kamala Harris a accusé samedi pour la première fois la Russie d’avoir perpétré des « crimes contre l’humanité » depuis le début de son invasion de l’Ukraine, prévenant que les responsables devront « en rendre compte ».
  • Tout en réaffirmant qu’il désirait « la défaite » de Moscou, Emmanuel Macron a mis en garde ceux qui veulent « avant tout écraser la Russie », ce qui ne sera « jamais » la « position de la France ».
  • Le sentiment général côté alliés et Ukrainiens est que la guerre risque de se prolonger. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen considère donc qu’il est essentiel de « redoubler d’efforts » dans le soutien militaire à Kiev en accélérant la production d’armements standard, comme les munitions, dont l’Ukraine « a désespérément besoin »

13h27 : Bilan du soutien militaire français

L’aide de la France à l’Ukraine, c’est aussi : la « livraison de matériels, dont des canons Caesar, des chars de combat légers AMX10-RC, des systèmes de défense anti-aérienne Crotale », un « fonds de 200 millions d’euros pour l’acquisition d’équipements de défense français », la « fourniture de munitions, de carburant et d’assistance », et « jusqu’à 2.000 militaires ukrainiens formés en France », souligne la diplomatie française sur Twitter.

 

12h05 : Le point sur l’aide humanitaire

Après un an de guerre, la diplomatie française fait le point sur l’aide humanitaire apportée aux Ukrainiens.

10h05 : Les chars français arrivent bientôt sur le front

Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a annoncé dimanche dans Le Parisien que les chars légers AMX-10, promis par Paris à Kiev, doivent arriver sur le front « la semaine prochaine ». 

 

08h50 : Moscou revendique une victoire près de Kharkiv

Samedi, l’armée russe a revendiqué la rare prise d’une localité dans la région de Kharkiv, dans le nord-est de l’Ukraine, où ses troupes sont passées à l’offensive depuis quelques semaines, en parallèle de ses offensives autour de Bakhmout et Vougledar.

 

08h35 : Kamala Harris accuse Moscou de « crimes contre l’humanité »

La vice-présidente des Etats-Unis a accusé samedi pour la première fois la Russie d’avoir perpétré des « crimes contre l’humanité » depuis le début de son invasion de l’Ukraine, prévenant que les responsables devront « en rendre compte ».

Intervenant à la Conférence de Munich sur la sécurité, Kamala Harris, une ancienne procureure, a fait une énumération glaçante des exactions attribuées à Moscou, citant les bombardements systématiques visant les civils et les infrastructures critiques, les tortures et les viols attribués aux soldats russes, les déportations d’Ukrainiens en Russie, y compris de milliers d’enfants séparés de leur famille.

Depuis le début de l’invasion, les Etats-Unis ont documenté ou répertorié plus de 30.600 cas de crimes de guerre commis par les forces russes en Ukraine, a pour sa part précisé le département d’Etat américain.

 

08h20 : Macron ne veut pas « écraser la Russie »

Emmanuel Macron est clair : il veut « la défaite » de Moscou. Mais, le chef de l’Etat met dans le même temps en garde ceux qui veulent « avant tout écraser la Russie », ce qui ne sera « jamais » la « position de la France ».

« Je suis convaincu qu’à la fin, ça ne se conclura pas militairement », a-t-il dit à Munich dans un entretien accordé à un groupe de journalistes. Et, selon lui, « toutes les options autres que Vladimir Poutine au sein du système actuel » lui « paraissent pires » que le président russe.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : "La France n'a pas commencé avec Macron" tacle le Kremlin qui compare le président à Napoléon après ses propos sur la défaite de la Russie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

La Russie dénonce ce dimanche les propos tenus samedi par Emmanuel Macron dans la presse française dans laquelle le président français a dit vouloir la défaite russe dans le conflit qui l'oppose à l'Ukraine.

Emmanuel Macron a dit souhaiter une défaite russe tout en disant vouloir éviter que la Russie soit "écrasée". Maria Zakharova, la porte-parole du Kremlin, a évoqué le souvenir de Napoléon 1er, défait lors de la campagne de Russie.

"La France n'a pas commencé avec Macron, et la dépouille de Napoléon, vénéré au niveau de l'Etat, repose au centre de Paris", a-t-elle dit.

Dans la mémoire russe, le premier empereur des Français est un ennemi du pays depuis sa campagne de 1812 où Bonaparte avait tenté d'envahir la Russie. 

Changement de régime

"La parole de Macron n'a guère de valeur", a-t-elle déclaré, ajoutant que ses propos démontraient que l'Occident avait engagé des discussions sur un changement de régime en Russie.

Vendredi, Macron a exhorté ses alliés à renforcer le soutien militaire à l'Ukraine, mais a également déclaré qu'il ne croyait pas au changement de régime et qu'il faudrait des négociations à un moment donné.

"Soyons clairs, je ne crois pas une seconde au changement de régime, et quand j'entends beaucoup de gens appeler à un changement de régime, je leur demande : 'Pour quel changement ? Qui est le prochain ? Qui est votre chef ?' "

Source

 

 

 

La France n’exclut pas de former des pilotes de chasse ukrainiens

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

« La Russie ne peut ni ne doit gagner cette guerre… L’agression russe doit échouer », a déclaré le président Macron, lors de la Conférence sur la sécurité de Munich, le 17 février. Puis, plus tard, face à la presse, il a précisé son propos.

« Je veux la défaite de la Russie en Ukraine, et je veux que l’Ukraine puisse défendre sa position. Mais je suis convaincu qu’à la fin ça ne se réglera pas militairement. Je ne pense pas, comme certains, qu’il faut défaire la Russie totalement, l’attaquer sur son sol. Ces observateurs veulent avant tout écraser la Russie. Cela n’a jamais été la position de la France et cela ne le sera jamais », a en effet M. Macron, pour qui aucun des deux belligérants « ne peut l’emporter entièrement ».

De son côté, dans un entretien accordé au quotidien Le Parisien, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a fait valoir que « l’agression russe » en Ukraine « doit échouer » car « c’est dans notre intérêt, pour notre sécurité collective, en Europe comme d’ailleurs en Afrique », au-delà du fait que « la Russie de Vladimir Poutine est source de
crimes et de désordre bien au-delà du territoire ukrainien ».

D’où l’aide militaire que Paris apporte à Kiev. Actuellement, celle-ci prend la forme d’un fonds de soutien doté de 200 millions d’euros, afin de permettre aux forces ukrainiennes d’acquérir les matériels dont elles ont besoin auprès de l’industrie française de l’armement. Et elle passe évidemment par la cession de carburants, de munitions, d’équipements individuels et d’armements, comme les CAESAr, les canons TRF1, les lance-roquettes unitaires [deux ont été livrés, nldr] les systèmes sol-air CROTALE et Mamba ou encore les chars légers AMX-10RC, dont les premiers exemplaires arriveront très bientôt en Ukraine.

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Guerre en Ukraine: Les États-Unis mettent en garde la Chine contre toute aide à la Russie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

Le secrétaire d'Etat américain (équivalent du ministre des Affaires étrangères), Antony Blinken, a mis en garde son homologue chinois Wang Yi contre les conséquences d'un soutien de Pékin à Moscou au cours d'une "franche" discussion samedi en marge de la conférence annuelle de Munich sur la sécurité, ont déclaré des responsables américains.

Les deux chefs de la diplomatie américaine et chinoise se sont rencontrés dans le plus grand secret dans un lieu tenu secret à Munich, le département d'Etat américain n'ayant confirmé la réunion, longue d'environ une heure, qu'après sa tenue.

Le différend lié au ballon, qui a survolé les États-Unis et le Canada avant d'être abattu sur les ordres du président Joe Biden, a détérioré encore des relations bilatérales déjà tendues à un moment où l'Occident surveille de près la réponse de Pékin à la guerre en Ukraine.

"Jouer sur les deux tableaux"

La Chine essaie de "jouer sur les deux tableaux" en affirmant vouloir contribuer à la paix et à la stabilité tout en prenant des mesures "inquiétantes" pour soutenir l'invasion de l'Ukraine, a déclaré un haut fonctionnaire du département d'Etat lors d'une conférence de presse.

"Le secrétaire d'Etat n'a pas hésité à mettre en garde contre les implications et les conséquences d'un soutien matériel de la Chine à la Russie ou d'une aide à la Russie pour contourner systématiquement les sanctions", a-t-il ajouté.

"Réfléchir calmement"

Dans une interview à NBC, Antony Blinken a fait savoir que Washington disposait d'informations selon lesquelles Pékin pourrait fournir une aide de guerre létale à la Russie.

Lors d'un débat à Munich, Wang Yi avait réitéré auparavant son appel au dialogue et invité les pays européens à "réfléchir calmement" à la manière de mettre fin à la guerre.

Il a également dit qu'il y avait "certaines forces qui, apparemment, ne veulent pas que les négociations aboutissent ou que la guerre prenne fin rapidement", sans préciser à qui il faisait référence.

Source

 

Samedi 18 février, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a rencontré Wang Yi, ancien ministre des Affaires étrangères et actuel directeur du bureau central des Affaires étrangères du Parti communiste chinois, le plus haut responsable de la politique étrangère en Chine.

Dans une interview accordée à la chaîne de télévision NBC, il a fait savoir qu’au cours de cette rencontre en marge de la conférence de Munich sur la sécurité il avait abordé la possibilité de l’aide létale chinoise à la Russie, qui préoccupe les États-Unis. Selon lui, une telle aide pourrait avoir des retombées sérieuses pour Pékin.

"J'ai clairement indiqué que cela aurait de graves conséquences sur nos relations", a-t-il ajouté.

Conséquences du soutien matériel

Les menaces de faire payer Pékin pour son assistance à Moscou ont été évoquées sur le site du département d’État:

"Le secrétaire a mis en garde contre les implications et les conséquences possibles si la Chine fournissait un soutien matériel à la Russie ou une assistance pour le contournement des sanctions systémiques".

Pas d’excuses pour le ballon

À l’issue de cette première rencontre entre les diplomates après l’interception du ballon chinois au-dessus de l’océan Atlantique, M.Blinken a déploré que le responsable n’ait présenté aucune excuse.

 

"C'était l'occasion de parler très clairement et très directement du fait que la Chine a envoyé un ballon de surveillance sur notre territoire, violant notre souveraineté, violant le droit international. Et je lui ai dit tout simplement [à Wang Yi, ndlr] que c'était inacceptable et que cela ne pourrait plus jamais arriver", a-t-déclaré à NBC.

Avertissements de Washington et efforts de paix chinois

Washington avait déjà mis en garde Pékin contre l’aide à Moscou dans le contournement des sanctions et dans le domaine militaire. Antony Blinken a cependant déclaré dans son intervention à la conférence de Munich samedi que pour l’heure les États-Unis n’avaient pas constaté des indices d’une telle coopération.

Pékin, pour sa part, fait état de son attachement à un règlement pacifique du conflit en Ukraine.

Le porte-parole de la diplomatie chinoise Wang Wenbin avait déclaré fin janvier que son pays poursuivait ses efforts en ce sens.

Selon lui, Pékin œuvre activement pour promouvoir des négociations de paix et continuera à "jouer un rôle constructif dans un règlement pacifique de la crise".

Spoutnik

 

 

Pékin dit que Washington devrait "réparer les dommages" causés par l'engouement pour les "ballons espions"

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

BEIJING (Spoutnik) - Le directeur du Bureau central des affaires étrangères de la Chine, Wang Yi, a appelé Washington à changer la direction des relations bilatérales qui ont été affectées par le scandale, soulevé aux États-Unis concernant "l'incident du ballon".

Wang Yi a rencontré le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken en marge de la conférence de Munich sur la sécurité. samedi

"Wang Yi a exprimé la position ferme et juste de la Chine sur le soi-disant incident du ballon et a exhorté les Etats-Unis à changer de cap, et à évaluer et réparer sobrement les dommages causés aux relations sino-américaines par l'usage excessif de la force", a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères. a déclaré dimanche dans un communiqué après les pourparlers.

La réponse est intervenue après que le porte-parole du département d'État américain, Ned Price, a déclaré à l'issue de la réunion que Blinken avait dit à Wang Yi que "l'acte irresponsable ne devait plus jamais se reproduire" et que la "violation de la souveraineté américaine et du droit international" par le ballon chinois était inacceptable.

Au cours de ce mois, l'armée américaine a abattu quatre objets aéroportés non identifiés, dont un que Washington a prétendu être un ballon de surveillance chinois . Pékin a souligné à plusieurs reprises que son dirigeable civil était engagé dans des recherches scientifiques et avait pénétré accidentellement dans l'espace aérien américain.

Spoutnik

 

 

 

Moscou condamne les frappes israéliennes sur la Syrie touchée par un séisme dévastateur

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

Le ministère russe des Affaires étrangères a vivement condamné les attaques menées par l'armée israélienne sur le territoire syrien dans le sillage du séisme qui avait ravagé le nord-ouest du pays.

La Russie condamne fermement les récentes attaques israéliennes contre Damas, qui constituent une violation flagrante du droit international, a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

"Nous exhortons la partie israélienne à mettre fin aux provocations armées contre la République arabe syrienne (RAS) et à s'abstenir de démarches lourdes de conséquences et dangereuses pour l'ensemble de la région", a indiqué la diplomate.

Elle a souligné que les raids israéliens sont d'autant plus inacceptables qu'ils se produisent alors que de nombreux pays, dont la Russie, apportent à la Syrie leur assistance après un tremblement de terre dévastateur.

Plus tôt dans la journée de dimanche, cinq personnes, dont des civils, avaient trouvé la mort dans une frappe israélienne qui avaient touché un immeuble d'habitation à Damas, selon le ministère syrien de la Défense. Quinze civils ont également été blessés dans le quartier visé où se trouvent les sièges des services de sécurité.

Raids israéliens réguliers

Depuis le début de la crise syrienne en 2011, Israël a mené des centaines de frappes aériennes chez son voisin, ciblant notamment des positions de l'armée syrienne et du Hezbollah libanais, alliés de Damas.

Or, ces dernières frappes sont les premières depuis le séisme du 6 février qui a frappé la Turquie et la Syrie voisine, faisant au moins 3.688 morts dans ce pays.

Spoutnik

 

 

 

L'administration américaine dissimule des rapports sur la santé mentale de Biden, déclare un ancien médecin de la Maison Blanche

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 février 2023

MOSCOU (Spoutnik) – Le membre du Congrès américain et ancien médecin de la Maison Blanche Ronny Jackson a accusé l'administration américaine d'avoir dissimulé des informations sur la santé mentale du président Joe Biden après qu'un récent examen physique l'ait trouvé "apte au travail".

Jeudi, le médecin présidentiel Kevin O'Connor a déclaré que Biden restait apte à exécuter les responsabilités du bureau, le qualifiant d'homme de 80 ans "en bonne santé et vigoureux".

"La majorité des Américains peuvent voir que la santé mentale de Biden est en déclin total, mais il n'y a aucune transparence de la Maison Blanche sur ce qui se passe, le cas échéant, pour résoudre ce problème et son incapacité à faire son travail", a déclaré Jackson à American médias.

Jackson a fait valoir que le rapport de l'examen physique de jeudi " confirme en outre que cette administration est toujours catégorique quant à la dissimulation de la vérité ". Il a également souligné que le document ne faisait aucune mention de Biden passant un test cognitif au milieu de sa « détérioration de la santé mentale ».

Biden a eu 80 ans en novembre 2022. Il était la personne la plus âgée inaugurée au poste, prêtant le serment présidentiel à l'âge de 78 ans. Si Biden cherche à être réélu en 2024 et remporte la course, il aura 86 ans avant de terminer un deuxième mandat en tant que président. Le président avait précédemment déclaré qu'il serait franc avec le peuple américain, leur parlant de ses problèmes de santé s'il en avait.

Spoutnik

 

 

 

Pour le journal britannique « The Times », Marine Le Pen est désormais la favorite de l’élection présidentielle de 2027

La troisième sera la bonne. Pour le quotidien britannique The Times, Marine Le Pen s’impose comme « l’ennemie populiste » d’ Emmanuel Macron à l’ Assemblée nationale face à « la tentative impopulaire du président de faire travailler les Français plus longtemps ». La présidente du Rassemblement national a, selon le quotidien, « renforcé sa stature de présidente en attente après quinze jours de débats chaotiques » à l’Assemblée. Et ainsi devenue une « politicienne mainstream », elle serait « désormais favorite pour être présidente » en 2027.

Le quotidien argumente notamment sa position en s’appuyant sur les sondages d’opinion et souligne que « le taux d’approbation de Le Pen a légèrement augmenté de quelques points depuis les élections du printemps dernier à 37 %, contre 38 % pour Macron dans le sondage Louis Harris de ce mois-ci ». Il rappelle également le contexte européen, marqué par l’élection de Giorgia Meloni au poste de Premier ministre en Italie. Surtout, écrivent nos confrères, « la « diabolisation » de Le Pen s’est émoussée depuis qu’elle a abandonné son opposition à l’Union européenne et assoupli sa position sur l’immigration ».

(…)

Le Point

The Times

 

 

Sandrine Rousseau (EELV) : “La seule chose dont vous avez été capables, c’est de nous parler de natalité, mais de natalité de femmes blanches”.

 

 

 

 

Hautes-Alpes : l’étau se resserre sur les associations qui viennent en aide aux migrants

Depuis 2016, le flux de migrants qui traverse illégalement la frontière entre l’Italie et la France, s’il a parfois faibli, ne s’est jamais tari. Chaque jour, une poignée de personnes exilées rejoignent Briançon après plusieurs heures de marche sur les sommets enneigés. Ils sont originaires du Maghreb, de l’Afrique de l’Ouest ou encore des Balkans.

Face à ces arrivées, les associations locales d’aide aux migrants continuent de se mobiliser. Mais le ton vis-à-dis de ces associations se durcit. La nouvelle municipalité refuse d’apporter toute aide financière à ces associations et la Préfecture souhaite encore renforcer les forces de police à la frontière. Les bénévoles réfutent, eux, les accusations d’encourager les passages illégaux et de créer un appel d’air. Ils dénoncent en retour “le désengagement de la Ville et de l’État” sur les mises à l’abri. La crispation s’intensifie dans le Briançonnais, sept ans après le début des premiers passages.

La Provence

 

 

Beyssenac (19) : 40 migrants vont débarquer dans un petit village corrézien de 357 habitants, sans aucune consultation ; colère et inquiétude des riverains (MàJ : “Non aux migrants dans nos campagnes”)

19/02/23

Le projet de centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) à Beyssenac fait débat. Ce samedi 18 février, opposants et défenseurs se sont fait face, sur la place du château de Pompadour

Un drapeau français. Une affiche « Non aux migrants dans nos campagnes ». Le message du collectif, « Sauvons Beyssenac », pouvait difficilement être plus clair, ce samedi 18 février, devant les remparts du château de Pompadour. Soutenu par les partis des Patriotes et Reconquête, ce rassemblement, réunissant une vingtaine de personnes, s’opposait au projet de création de centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) à Beyssenac, d’une capacité de 40 places.

(…) La Montagne


14/02/23

Un nouveau Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile va voir le jour en Corrèze, avec la création de 40 places d’hébergement dans une ancienne auberge de Beyssenac. L’implantation de cette nouvelle structure, décidée par le préfet, soulève l’opposition de certains riverains.

La Corrèze va ouvrir 40 places d’hébergement supplémentaires pour les demandeurs d’asile. Un CADA va ainsi s’installer à Beyssenac, dans une ancienne auberge rachetée par l’association Viltaïs, qui sera chargée de gérer ce centre d’accueil. Cela permettra de passer de 310 à 350 places pour les demandeurs d’asile en Corrèze, où le préfet Etienne Desplanques précise qu’il y avait encore des efforts à faire pour permettre d’assurer une meilleure répartition des demandeurs d’asile au sein de la Nouvelle-Aquitaine. L’ouverture est prévue dès le mois d’avril, malgré les critiques et les inquiétudes que suscite cette nouvelle structure.

(…)

Mais ça pose des questions de sécurité pour Philippe Ponge, référent du collectif “Sauvons Beyssenac”, qui a lancé une pétition contre ce CADA.

“On ne sait pas qui seront les gens, donc on ne sait pas ce que ça va donner autour du village et ça nous inquiète. Les gens ont l’habitude de laisser leurs portes ouvertes, ils ne pourront plus le faire. J’ai parlé à une dame qui m’a dit qu’elle ne pourra plus faire son footing dans le coin parce que c’est risqué… Pour les écoles, ça risque aussi de rabaisser le niveau scolaire, c’est tout un ensemble qui nous inquiète.”

(…)

La peur de l’inconnu va vite s’estomper selon l’association Viltaïs

(…)  

Le représentant de l’Etat espère que, parmi les futurs pensionnaires du CADA de Beyssenac, certains choisiront aussi de rester dans le secteur, pour postuler dans des entreprises qui peinent à recruter.

France Bleu

 

 

Expulsé d’Allemagne, un pédophile afghan a été renvoyé, non pas en Afghanistan, mais en Suisse, pays par lequel il est entré sur le territoire allemand

Un Afghan a été renvoyé d’Allemagne vers notre pays après avoir purgé sa peine de prison. La Suisse lui a signifié son renvoi.

L’histoire avait fait les gros titres de la presse à sensation en Allemagne. Après avoir purgé une peine de 3 ans et demi de prison pour actes pédophiles, un Afghan allait être expulsé du pays. Mais pas pour son pays d’origine, non. Pour la Suisse. Car l’homme était entré en Allemagne en passant par la Suisse. Accords de Dublin obligent, les autorités allemandes ont donc remis l’ancien criminel aux autorités suisses à la frontière, la semaine dernière.

Or, comme le note «Blick» ce vendredi, plus personne ne sait où se trouve cet homme aujourd’hui. Et tout est dans l’ordre, d’un point de vue des procédures. Le Secrétariat d’État aux migrations a indiqué à l’homme, à son arrivée, qu’il était renvoyé de Suisse. Il doit quitter le territoire de lui-même. Comme l’indique le SEM, rien ne permet à la Suisse de le détenir. L’Afghan a purgé entièrement sa peine en Allemagne et a droit à sa liberté.

Comme le note encore le journal alémanique, la chose serait différente si la police appréhendait à nouveau cet Afghan en Suisse. Il n’aurait alors pas respecté la décision de renvoi. Pour l’heure, nul ne peut savoir s’il est toujours en Suisse, s’il est reparti en Allemagne ou s’il est allé dans un autre pays. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est sans doute pas retourné en Afghanistan. Il y avait déjà été renvoyé avant la prise de pouvoir des Talibans mais était tout de même revenu en Europe ensuite. Aujourd’hui, ni l’Allemagne ni la Suisse ne mènent de renvois forcés vers l’Afghanistan.

20min.ch

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