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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

 

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Les Infos du 13 au 14 février 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Moldavie ferme temporairement son espace aérien...

 

L’ESSENTIEL

  • Lors de la réunion du groupe de soutien à l’Ukraine dirigé par les Etats-Unis, les membres de l’Otan vont tenter ce mardi d’accélérer leurs livraisons d’armements et de munitions à Kiev et discuter de la fourniture d’avions de combat.
  • Les munitions pour les armements fournis aux Ukrainiens sont devenues la priorité et le problème des alliés. « Le rythme actuel d’utilisation de munitions par l’Ukraine est beaucoup plus élevé que notre rythme actuel de production », a en effet averti Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’Otan.
  • Volodymyr Zelensky a effectué la semaine dernière une tournée européenne. A Londres, Paris et Bruxelles, il a exhorté ses alliés à fournir des missiles de longue portée et des avions de chasse, ce que ni les Européens ni les Américains n’ont à ce stade accepté, de crainte d’une escalade avec Moscou. Les Britanniques ont toutefois ouvert la porte à de possibles livraisons « à long terme ».
  • A quelques jours du premier anniversaire de l’invasion russe, le 24 février, la Maison-Blanche a fait savoir que Joe Biden comptait se rendre en Pologne voisine du 20 au 22 février. Le Kremlin a pour sa part annoncé que Vladimir Poutine prononcerait le 21 février son discours sur l’état de la Nation, trois jours avant l’anniversaire de l’invasion.

 

 

13h46 : La Moldavie ferme temporairement son espace aérien

La Moldavie a fermé mardi temporairement son espace aérien, a annoncé la compagnie nationale Air Moldova, les médias locaux citant « des raisons sécuritaires » sans plus de précision sur fond de tensions entre l’ex-république soviétique et Moscou.

La Russie a démenti mardi tout « plan de déstabilisation de la Moldavie », la présidente moldave Maïa Sandu ayant accusé la veille Moscou de préparer de « violentes attaques » dans son pays, un voisin pro-occidental de l’Ukraine.

 

 

12h37 : La Norvège va donner huit chars Leopard 2 à l’Ukraine

La Norvège va donner à l’Ukraine huit chars de combat Leopard 2 ainsi que des munitions, des pièces de rechange et jusqu’à quatre véhicules de soutien, a indiqué mardi le gouvernement norvégien, qui quantifie ainsi une contribution déjà annoncée.

La date de livraison des chars n’a pas été précisée dans le communiqué du ministère norvégien de la Défense, mais le ministre Bjorn Arild Gram, actuellement à Bruxelles pour une réunion des donateurs, a précisé aux médias norvégiens qu’elle interviendrait sous peu.

 

 

12h09 : L’UE ajoute la Russie à sa liste noire des paradis fiscaux

L’Union européenne a ajouté mardi la Russie à la liste noire des paradis fiscaux, une mesure avant tout symbolique, ce pays étant déjà sous le coup de sanctions économiques liées à l’invasion de l’Ukraine. Outre la Russie, les Iles Vierges britanniques, le Costa Rica, les Iles Marshall ont également été inclus dans cette liste comprenant désormais seize entités, après le retrait de la Macédoine du Nord, de la Barbade, de la Jamaïque et de l’Uruguay.

 

11h38 : L’Otan n’exclut pas des adhésions séparées pour la Suède et la Finlande

Le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg a assuré mardi « travailler dur » pour obtenir « le plus rapidement possible » les dernières ratifications des adhésions de la Suède et de la Finlande à l’Otan par la Turquie et la Hongrie, sans écarter des adhésions séparées.

« La question principale n’est pas de savoir si les adhésions de la Finlande et de la Suède sont ratifiées ensemble, mais qu’elles soient toutes deux ratifiées dès que possible », a-t-il déclaré lors d’une réunion des ministres de la Défense de l’Alliance à Bruxelles. « Je suis persuadé qu’elles le seront toutes les deux et je travaille dur pour qu’elles soient ratifiées le plus rapidement possible », a-t-il ajouté.

 

 

10h18 : Moscou dément un projet de « déstabilisation de la Moldavie »

La Russie a démenti mardi tout « plan de déstabilisation de la Moldavie », la présidente moldave Maïa Sandu ayant accusé la veille Moscou de préparer de « violentes attaques » dans son pays, un voisin pro-occidental de l’Ukraine.

Les affirmations de la dirigeante moldave « sont absolument infondées et sans preuves », a dénoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Il accuse en outre l’Ukraine d’être à l’origine de cette « désinformation » pour nourrir les tensions entre Moscou et Chisinau.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait dit la semaine dernière que son pays avait intercepté des documents faisant état d’un plan de déstabilisation de la Moldavie. « Le plan prévoit des attaques d’édifices étatiques et des prises d’otages par des saboteurs au passé militaire camouflés en civil », a affirmé Maria Sandu lundi, devant la presse.

 

07h43 : Vladimir Poutine ne concédera jamais la défaite, selon une experte américaine

Liana Fix, experte au Council on Foreign Relations (CFR), un centre de réflexion américain, ne croit ni en une victoire de la Russie, ni en une « victoire totale » de l’Ukraine en 2023.

Une mobilisation « massive » pour étoffer l’armée russe signifie des besoins énormes en entraînements, équipements, nourriture, domaines dans lesquels Moscou a été en échec « jusqu’à présent », souligne l'experte. Ce n’est pas tant la quantité que la qualité qui fera la différence. Elle s’attend à « quelques avancées » de l’armée ukrainienne tout en doutant de sa « victoire totale » car le président russe Vladimir Poutine ne concédera jamais la défaite.

 

06h35 : L’Otan engagée dans une course à la logistique sur les munitions

Dans le cadre de la réunion du groupe de soutien à l’Ukraine dirigé par les Etats-Unis, les membres de l’Otan vont tenter ce matin d’accélérer leurs livraisons d’armements et de munitions à l’Ukraine. Ils doivent également discuter de la fourniture d’avions de combat à Kiev pour lui permettre de résister à la nouvelle offensive préparée par la Russie.

Les Alliés se sont engagés à fournir de l’artillerie, des véhicules blindés et chars, des systèmes de défense antiaériens et « d’autres engagements vont être pris » lors de cette réunion, a assuré lundi Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’organisation transatlantique. « Nous sommes engagés dans une course à la logistique pour des capacités clés, (…) Vladimir Poutine ne se prépare pas à la paix. Il lance de nouvelles offensives. Nous devons donc continuer à fournir à l’Ukraine ce dont elle a besoin pour vaincre », a-t-il insisté, soulignant que le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov serait présent à Bruxelles.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : la nouvelle offensive majeure de Moscou imminente ? Bakhmout frappée par d’intenses bombardements russes ce lundi

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 au 14 février 2023

La ville de Bakhmout, à l'est de l'Ukraine, a subi lundi d'intenses tirs d'artillerie de la part des forces russes dans ce qui semble être le prélude à une nouvelle offensive majeure de Moscou à l'approche de la date-anniversaire de l'invasion russe en Ukraine.

Les soldats ukrainiens, qui résistent depuis des mois, se préparent à de nouvelles attaques terrestres, ont déclaré des responsables militaires ukrainiens. Les positions à Bakhmout ont été renforcées et seules les personnes ayant un rôle militaire ont été autorisées à entrer dans la ville, a déclaré un commandant adjoint de bataillon. Les civils qui voudraient encore quitter Bakhmout devront braver les tirs, a-t-il ajouté.

La prise de Bakhmout est devenue un objectif majeur pour le président russe Vladimir Poutine. La ville, pratiquement vidée de ses quelque 70.000 habitants d'avant la guerre par des mois de bombardements, est en grande partie détruite. Sa capture donnerait à la Russie un nouvel ancrage dans la région de Donetsk dont elle cherche à prendre le contrôle et lui offrirait une rare victoire d'ampleur après avoir subi plusieurs revers militaires ces derniers mois.

Pour l'OTAN, la nouvelle offensive russe a déjà commencé

À Bruxelles, le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, a dit considérer que l'offensive russe redoutée depuis plusieurs semaines avait déjà commencé. "Nous ne voyons absolument aucun signe que le président Poutine se prépare à la paix", a-t-il déclaré avant une réunion des ministres de la Défense des pays membres de l'Otan. "Ce que nous voyons, c'est que le président Poutine et la Russie veulent toujours contrôler l'Ukraine. Nous voyons comment ils envoient plus de troupes, plus d'armes, plus de capacités", a-t-il déclaré aux journalistes.

L'assaut russe contre Bakhmout est mené par le groupe militaire privé Wagner, qui a réalisé des gains modestes sur le terrain mais constants. Les bombardements russes incessants sur la ville compliquent encore la situation pour les forces ukrainiennes. "La ville, sa banlieue, tout le périmètre, et essentiellement toute la direction de Bakhmout et Kostiantynivka sont sous un pilonnage fou et chaotique", a déclaré Volodimir Nazarenko, commandant adjoint du bataillon ukrainien Svoboda. Pour le moment, aucun combat n'a lieu dans le centre-ville, a-t-il dit mais l'armée ukrainienne est prête à faire face à tout assaut. "La ville est une forteresse, chaque position et chaque rue, presque chaque bâtiment, est une forteresse", a-t-il déclaré.

 

 

Guerre en Ukraine : la France demande à ses ressortissants en Biélorussie de quitter le pays sans délai

Vers une guerre de religion, infos du 13 au 14 février 2023

 

Le 13 février

La France a exhorté ce lundi ses ressortissants à quitter la Biélorussie sans délai en raison de l'offensive armée engagée par la Russie contre l'Ukraine, a indiqué le ministère des Affaires étrangères. 

"Les Français se trouvant en Biélorussie sont invités à quitter sans délai le pays par la route, via les points de passage frontaliers avec la Lituanie, la Pologne ou la Lettonie", précise le Quai d'Orsay sur son site Internet. Proche allié de la Russie, la Biélorussie a permis au président Vladimir Poutine d'utiliser son territoire pour lancer l'invasion de l'Ukraine le 24 février.

De leur côté, les États-Unis ont aussi demandé à leurs ressortissants de quitter immédiatement la Russie en raison de la guerre en Ukraine et du risque d'arrestation arbitraire ou de harcèlement par les forces de l'ordre du pays. "Les citoyens américains résidant ou voyageant en Russie doivent partir immédiatement", a déclaré l'ambassade des États-Unis à Moscou.

L'ambassade a mis en garde les ressortissants américains sur les risques de détentions injustifiées et a également demandé de ne pas se rendre en Russie. "Les services de sécurité russes ont arrêté des citoyens américains sur la base d'accusations fallacieuses, ont ciblé des citoyens américains en Russie pour les détenir et les harceler, leur ont refusé un traitement équitable et transparent et les ont condamnés lors de procès secrets ou sans présenter de preuves crédibles", selon l'ambassade.

Risques de détentions injustifiées

Le Kremlin a déclaré que ce n'était pas la première fois que des citoyens américains étaient invités à quitter la Russie. Le dernier avertissement public de ce type remonte à septembre, après que le président Vladimir Poutine a ordonné une mobilisation partielle. "Ils (les avertissements) ont été exprimés par le département d'État à de nombreuses reprises au cours de la récente période, ce n'est donc pas une nouveauté", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

La Russie maintient en détention Paul Whelan, un vétéran du corps des Marines américain qui a été condamné à seize ans de prison pour espionnage en 2020 lors d'un procès jugé injuste et opaque par les diplomates américains. En décembre dernier, la star américaine du basket-ball Brittney Griner qui avait été condamnée à neuf ans de prison pour possession de cartouches de cigarette électronique contenant de l'huile de cannabis — interdite en Russie — a été libérée dans le cadre d'un échange de prisonniers entre les deux pays.

Source

 

 

 

Snowden explique pourquoi les USA créent la panique autour des "ovnis" abattus

 

Les États-Unis diffusent sciemment des rumeurs sur une prétendue origine extraterrestre de plusieurs objets volants abattus par le Pentagone, a déclaré l’ex-employé de la CIA, Edward Snowden. Selon lui, cette stratégie a pour objectif de faire oublier la récente enquête sur l’implication US dans les explosions des Nord Stream.

Les rumeurs faisant état d’une origine extraterrestre des objets volant abattus par l’armée américaine ont un but précis, a estimé Edward Snowden, lanceur d’alerte et ancien employé de la CIA.

Selon ses dires, cette panique viserait à détourner l’attention des médias après l’article de Seymour Hersh, journaliste américain lauréat du prix Pulitzer, sur l’implication de l’Otan dans l’explosion des Nord Stream.

Sur son compte Twitter, Edward Snowden estime que les objets volants abattus "ne sont pas extraterrestres":

Vers une guerre de religion, infos du 13 au 14 février 2023

"C'est juste une vieille panique artificielle, une nuisance attrayante garantissant que les journalistes de la natsec [sécurité nationale] sont affectés à enquêter sur des conneries de ballons plutôt que sur des budgets ou des attentats à la bombe (de type Nord Stream)."

Précédemment, le général de l’US Air Force Glen VanHerck n’avait "rien" exclu, interrogé sur la version d’une origine extraterrestre des objets abattus ces derniers jours au-dessus du lac Huron, de l’Alaska, du Montana et du Canada.

Par ailleurs, cette piste a été rejetée par la porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre.

Enquête sur les Nord Stream

Début février, le journaliste américain Seymour Hersh, réputé pour ses nombreuses enquêtes et titulaire du Prix Pulitzer, a annoncé que des plongeurs de la marine américaine avaient posé en juin dernier des explosifs sur les gazoducs Nord Stream. Ensuite, ces explosifs auraient été activés par l’armée norvégienne.

D’après lui, le sabotage a été précédé par "plus de neuf mois de débats très secrets au sein de la communauté de la sécurité nationale" sur "la meilleure façon" d'atteindre l’objectif.

Les explosions ont eu lieu le 26 septembre sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2, dans les zones économiques exclusives de la Suède et du Danemark. Ils ont endommagé une conduite du Nord Stream 2 et deux du Nord Stream 1 et entraîné une fuite massive de gaz.

Vladimir Poutine les a qualifiés d’actes "terroristes" et a tenu l’Occident pour responsable. La Russie n’a pas été autorisée à enquêter.

Spoutnik

 

Note : pour rappel

 

 

Nord Stream 2 : RÉVÉLATIONS sur un sabotage des USA ordonné par Joe Biden ?

 

Le 10 févr. 2023

 

 

"Damn Stupid": le journaliste américain à l'origine de la bombe de Nord Stream vise Biden et Legacy Media


 

Vers une guerre de religion, infos du 13 au 14 février 2023

Dans sa première interview depuis la publication de son article explosif sur l'attaque des pipelines Nord Stream, le journaliste d'investigation légendaire Seymour Hersh a étoffé les détails de son rapport explosif exposant le rôle de la marine américaine dans l'explosion d'infrastructures énergétiques germano-russes critiques.

Le journaliste américain Seymour Hersh « prend de la chaleur » pour son récent rapport explosif documentant comment les États-Unis ont saboté les pipelines Nord Stream, a révélé le journaliste légendaire dans une nouvelle interview.

Dans une large discussion sur le podcast War Nerd , Hersh a appelé le président américain Joe Biden à dire au peuple américain le rôle de l'administration Biden dans l'attaque. Le journaliste a souligné que le public américain est massivement mal informé sur la guerre par procuration en Ukraine.

La semaine dernière, Hersh a publié un rapport vertigineux détaillant comment des plongeurs de la marine américaine ont planté des charges C-4 sur les pipelines Nord Stream lors d'un exercice d'entraînement de l'OTAN, puis les ont fait exploser à distance avec un plan de reconnaissance norvégien.

Le journaliste de guerre chevronné suggère que les médias refusent de couvrir ses nouvelles révélations parce qu'"ils pensent que l'histoire que j'ai écrite soutient la Russie" - ce qui "est le cas", concède-t-il.

Mais Hersh a déclaré qu'en dépit d'être "colossalement mauvais" pour l'économie européenne et "inexcusable", l'attaque intentionnelle du gouvernement américain contre l'infrastructure énergétique critique d'un allié américain n'est pas techniquement illégale en vertu du droit international.

« La loi sur la mer est très intéressante. Il y a des traités qui remontent à 1884, lorsque nous avons commencé à poser des lignes télégraphiques à travers l'océan, et si vous traversiez la ligne par inadvertance ou délibérément, c'était une très mauvaise affaire.

Mais "il y avait surtout des conséquences économiques" pour ces infractions, a souligné Hersh, notant qu'il n'y a en fait "aucune loi dans les livres qui dit que la construction délibérée d'un pipeline est un crime".

Un tel crime "n'a jamais été envisagé", a déclaré Hersh, mais il y a "certainement beaucoup de lois sur les dommages, si vous endommagez un pipeline. Et c'est un pipeline qui va probablement coûter… — il y a une entreprise suisse qui a fait une estimation — 1,5 milliard pour réparer les pipelines.

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait déjà couvert quelque chose comme un gouvernement « faisant exploser l'infrastructure critique de votre allié », Hersh a répondu que l'administration Biden « ne le voyait pas de cette façon ». Au lieu de cela, Biden « considérait ce gaz comme une arme, a affirmé Hersh, « parce que tant que la Russie vendait autant de gaz, elle pensait que la Russie se militariserait si… il y avait une guerre ».

En réalité, Hersh a déclaré que «la peur était: Biden veut cette guerre.

« Ne me demandez pas pourquoi les présidents veulent la guerre. Je pense que c'est bon pour leurs notes. Je ne sais tout simplement pas.

"Mais Biden était très important pour montrer aux Russes qu'en Ukraine, avec des corps ukrainiens, des soldats, nous leur montrerons - nous pouvons tenir tête à la Russie", explique le journaliste.

La posture anti-russe est "bonne politiquement en Amérique aussi", a ajouté Hersh, notant qu'aux États-Unis, "nous tous, vous savez, nous nous réveillons tous les jours en donnant des coups de pied à la Russie et à Poutine, notre..."

"Notre ennemi juré", a ajouté l'hôte.

Dans l'interview complète, Hersh a visé des médias comme le New York Times et le Washington Post, qui, selon lui, ne sont intéressés qu'à brûler sa source pour l'histoire de Nord Stream. Selon son récent rapport, ce personnage anonyme avait «une connaissance directe de la planification opérationnelle» de l'attaque du pipeline.

"Je pense que ce que les journaux... pensent que je devrais faire" est "d'utiliser son nom et de le mettre en prison" – quelque chose qui mettrait fin à ma carrière", a ajouté Hersh, déclarant qu'en aucun cas il ne renoncerait à une source. "Au sein de la communauté, je protège les gens."

« Je prends de la chaleur, j'ai une source, je prends de la chaleur – mais ça va, c'est mon boulot, non ? Mais c'est leur boulot de comprendre un peu mieux le métier. Et en ce qui concerne le conflit en Ukraine, les grands médias occidentaux "ne semblent avoir personne à l'intérieur", a déclaré Hersh.

"La couverture de la guerre ukrainienne est, comparée à ce que j'entends de mes amis qui ont accès à l'information... c'est - la pensée est tellement stupide."

"La guerre que je connais n'est pas la guerre dont vous parlez", a déclaré Hersh de manière énigmatique, soulignant que les opérations militaires contre la Russie ne se déroulaient en aucun cas bien. « Non, bien sûr que non. Tu plaisantes ?

Tout en admettant que les forces russes "ont fait de grandes erreurs de jugement", il a reconnu "qu'elles ont une armée régulière de 350 000 hommes qui n'est pas encore entrée".

L'une des causes probables de ces vagues de désinformation peut être ce que l'hôte appelle les "Bellingcats et les frères OSINT [open source intelligence]".

En réponse à leur mention, Hersh ne mâche pas ses mots : "Personne ne se soucie de ces gens."

Le célèbre journaliste a apparemment suggéré à la place que Bellingcat, le média autoproclamé "indépendant" soutenu par la plupart des médias grand public, est en fait une opération de renseignement britannique :

"Je veux dire, pourquoi ne pensez-vous pas à leur lien avec certaines agences de renseignement dans un certain pays", a demandé Hersh de manière rhétorique. "Vous savez, vous apprenez à savoir qui est qui."

"Mais il y a des gens légitimes qui se plaignent" de ses reportages également, a-t-il ajouté.

"C'est incroyable pour moi de voir comment ils s'alignent, mes collègues", a déclaré le journaliste. "Quand j'étais au New York Times, ils ne faisaient pas ça."

"Je ne suis pas sûr qu'ils sous-estiment le peuple américain", a déclaré Hersh. "Nous sommes prêts à accepter le fait qu'un président américain ait fait cela."

Et "ce n'est pas seulement l'accepter", a ajouté le journaliste. "Vous devez demander des comptes au président."

Parmi les grands médias occidentaux qui ont couvert l'histoire, Hersh a fait face à une réaction féroce de la plupart d'entre eux, qui avaient tendance à mettre l'accent sur les démentis de la Maison Blanche et de la CIA concernant les allégations de Nord Stream.

Reuters a qualifié son exposé à couper le souffle de « billet de blog », et un titre d'Insider a décrit le rapport comme une « affirmation d'un journaliste discrédité » qui, selon les auteurs, « prouve un cadeau à Poutine ».

Hersh a fait face à des attaques majeures contre sa réputation à la suite d'histoires démystifiant les affirmations désormais discréditées des gouvernements occidentaux sur les forces syriennes utilisant du gaz sarin, et pour ses écrits démantelant l'histoire officielle du meurtre d'Oussama Ben Laden. Quant aux critiques, il dit qu'il y est "habitué".

Mais cette fois, cela "m'a en quelque sorte stupéfait parce que c'était une histoire tellement évidente", a-t-il déclaré.

Comme Hersh l'a noté dans son histoire, de hauts responsables américains - dont Biden - ont menacé à plusieurs reprises de saboter le pipeline au cas où les troupes russes engageraient les forces ukrainiennes. La sous-secrétaire aux affaires politiques, Victoria Nuland, a prévenu en janvier : "si la Russie envahit l'Ukraine, d'une manière ou d'une autre, Nord Stream 2 n'avancera pas".

"Alors qu'est-ce que cela signifie?" demanda Hersh. « Je ne sais pas ce que les gens pensent, mais je vais vous dire ce que cela signifie : c'est ce qu'on appelle une menace . »

« Un de mes amis l'a dit ainsi : ce que tu as fait, [Seymour]… tu es un expert pour déconstruire l'évidence. Qu'est-ce que c'était d'autre ? Qu'est-ce que c'était d'autre ?

"Les Russes ne l'ont pas fait, [et] si les Russes ne l'ont pas fait, quel pays de l'OTAN [l'a fait] ?" interrogea-t-il.

"Ce n'est même pas une histoire difficile à comprendre - le président des États-Unis et le sous-secrétaire d'État ont tous deux dit qu'ils allaient le faire, puis ils l'ont fait", a déclaré Hersh, ajoutant : "ils ont attendu longtemps mais ils couper l'huile.

"Littéralement moins d'un mois après l'événement réel", a noté Hersh, le secrétaire d'État Antony Blinken "a prononcé un discours dans lequel il a parlé d'empêcher la Russie de militariser le pétrole et le gaz -" c'est maintenant que nous pouvons le faire ", a-t-il déclaré. ”

Pendant ce temps, l'effet sur l'économie européenne est "dévastateur".

Comme l'a souligné Hersh, l'allemand BASF, le plus grand producteur de produits chimiques au monde, a fermé près de 100 usines et "a en fait discuté avec la Chine de la possibilité d'y déplacer certaines installations".

En termes "d'aspects économiques, qui n'ont pas été suffisamment rapportés dans la presse occidentale ici", a déclaré Hersh, "cela s'appelle, je suppose que vous pourriez [dire], tirer du pied gauche".

« Sans aucune raison, oui, nous nous sommes tiré une balle dans le pied. Oui, c'est stupide au-delà de toute croyance. Oui."

« Je pense que c'est certainement, incontestablement, un merveilleux degré de stupidité à la Maison Blanche et de [la] part du président. C'est juste stupide - c'est juste sacrément stupide.

Le journaliste a déclaré qu'il était peu probable que Biden fasse l'objet d'un examen minutieux de ses actions dans de nombreux médias grand public de si tôt, car "cette Maison Blanche", a déclaré Hersh, a "le New York Times et le Washington Post et MSN et CNN pour eux".

Et "l'ennemi est Fox News".

Mais "le seul journaliste qui m'a appelé de n'importe quelle chaîne de télévision - en dehors de quelqu'un qui manque de la cuisine de la maison de sa mère" était l'animateur de Fox News, Tucker Carlson.

Hersh a décliné la demande, mais a déclaré que Carlson avait "tout à fait raison" à propos de l'attaque du Nord Stream. "Et je vais vous dire autre chose - Tucker avait raison à propos de la guerre en Ukraine ."

Le journaliste a souligné à plusieurs reprises sa réticence à discuter de son approvisionnement, expliquant que "la seule chose dans laquelle le gouvernement est bon est de traquer les gens qui parlent". Mais finalement, il a suggéré que l'information pourrait provenir de quelqu'un de l'industrie pétrolière et gazière américaine, disant à son intervieweur : "il y a quelque chose qui s'appelle une industrie des pipelines".

« Il y a une industrie [avec] des entreprises américaines impliquées. Ils construisent des pipelines dans le monde entier. Est-ce que tu m'écoutes? Ils savent ce qui s'est passé", a déclaré Hersh. "La dernière chose qu'ils veulent faire est de se retrouver dans un putain d'article de journal, mais ils savent qui a fait quoi."

"Bien sûr qu'ils savent - ils ont construit ces putains de choses !"

"Je ne parle pas nécessairement de Nord Stream 1 ou 2, mais ils construisent des pipelines et ils parlent aux plongeurs, et ils savent ce qui se passe, ils savent qui a la capacité, et ils savent ce qu'ils entendent à l'intérieur", a conclu Hersh.

Spoutnik

 

Note: cette info a été ignoré par les plupart des journaux du poison gauchiste français (Libé, Le Monde, l'Obs etc) mais le Figaro, journal de droite en parle 

LIRE AUSSI: Nord Stream 2 : un journaliste américain accuse Washington du sabotage

 

Un OVNI abattu par l'armée américaine au Canada : altitude, "forme octogonale", "des cordes qui pendaient", ce que l'on sait de ce mystérieux appareil

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 au 14 février 2023

 

Le 13 février

Ce dimanche un mystérieux OVNI a été abattu au-dessus du Canada par l'armée américaine. Voici les détails fournis par un haut responsable de l'administration.

Un avion de chasse américain a abattu ce samedi un objet volant au-dessus du Canada, un jour après qu'un autre engin volant à haute altitude a été abattu au-dessus de l'Alaska. Des incidents qui s'inscrivent dans l'affaire des ballons espions chinois repérés au-dessus du continent américain.

A lire aussi : Alerte aux Etats-Unis et au Canada : un ballon espion chinois survole des sites "sensibles"

Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, a annoncé sur Twitter que l'objet avait été abattu au-dessus du Yukon, territoire du nord-ouest du Canada, avant d'ajouter que les forces canadiennes récupéreraient et analyseraient les débris. Le Premier ministre canadien a par ailleurs indiqué qu'il s'était entretenu avec le président américain, Joe Biden, au sujet de l'incident.

"Sans charge utile perceptible"

Un incident qui intervient quelques jours après la découverte de plusieurs ballons chinois au-dessus du continent américain. L'un d'entre eux avait notamment été repéré au-dessus du Montana, là où se situe l'une des plus importantes bases militaires des Etats-Unis. Ces ballons chinois ont été considérés comme des ballons espions.

Sur CNN, Arlette Saenz, correspondante à la Maison Blanche, a livré de nouveaux détails sur cet objet volant. Des informations fournies par "un haut responsable de l'administration"

"Il (l'OVNI) volait à environ 20 000 pieds lorsqu'il a été abattu. Il survolait une partie de la péninsule supérieure du Michigan et s'approchait du lac Huron. Il a finalement été abattu par un avion de chasse. Un haut responsable de l'administration l'a décrit comme ayant une forme octogonale et il y avait des cordes qui pendaient sans charge utile perceptible"

Les dirigeants américains se sont refusés à comparer l'OVNI abattu au-dessus du Yukon au ballon chinois repéré au-dessus du Montana. 

 
 

 

Ballons « espions » au-dessus du sol français : l’armée n’est pas en capacité d’assurer formellement l’absence ou non de ballon espion au-dessus de la tête des Français

Après la crise sino-américaine déclenchée par le survol de ballons dits « espions » au-dessus des Etats-Unis, qu’en est-il de l’espace aérien français et de la présence potentielle de ces outils d’espionnage ?

Contactée, l’armée de l’Air française n’est pas très à l’aise. Le dispositif radar hexagonale voit tout… sur une tranche de 0 à 20 kilomètres d’altitude. Au-delà, c’est plus compliqué.

« Si on observe quelque chose au-dessus des 20 km, ce serait de manière opportune car, actuellement, nous n’avons pas de moyens dédiés à l’observation permanente de cette zone supérieure » confie Béatrice Hainaut, capitaine de l’armée de l’Air et de l’Espace, chercheuse à l’Irsem.

Or les ballons « espions » peuvent voler à 40 km d’altitude. En d’autres mots, l’armée n’est pas en capacité d’assurer formellement l’absence ou non de ballon espion au-dessus de la tête des Français. De source interne, à l’armée de l’Air et de l’Espace, cette situation préoccupe. 

Le Progrès

 

 

Pékin affirme que Washington a aussi envoyé des ballons au-dessus de son territoire

 

 

La Chine a accusé lundi les États-Unis d'avoir envoyé des ballons au-dessus de son territoire à plus de dix reprises depuis début 2022. Washington a rejeté ces accusations.

La Chine a accusé, lundi 13 février, les États-Unis d'envoyer illégalement des ballons au-dessus de son territoire – accusation portée dans un contexte de tensions entre Pékin et Washington après le survol du territoire américain par un engin chinois.

"Rien que depuis l'année dernière, des ballons américains ont survolé (le territoire de) la Chine à plus de dix reprises sans aucune autorisation", a assuré un porte-parole de la diplomatie chinoise, Wang Wenbin.

Cette affirmation intervient après la destruction début février par l'armée américaine d'un ballon chinois survolant les États-Unis et qui, selon Washington, était un engin espion.

L'affaire de cet aérostat, présenté par Pékin comme un engin civil destiné à des relevés météorologiques, a poussé le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken à reporter, in extremis, une visite prévue en Chine.

Depuis cet incident, d'autres objets volants ont été aperçus au-dessus du Canada et des États-Unis, avant d'être abattus. La nature de ces engins et leur appartenance ne sont pour l'heure pas connues.

Rejet des accusations chinoises par Washington

Des médias chinois ont pour leur part rapporté dimanche qu'un objet volant non identifié avait été repéré au large de la Chine, sur sa côte est, et que l'armée se préparait à l'abattre. Wang Wenbin a refusé lundi de commenter l'information, arguant que cela était du ressort des "autorités compétentes".

Mais le porte-parole a accusé des ballons américains d'avoir violé ces derniers mois l'espace chinois, sans donner de détails sur ces incidents et invitant les journalistes à se "tourner vers la partie américaine". Wang Wenbin a toutefois indiqué que ces incursions avaient été gérées par Pékin de manière "responsable et professionnelle".

Washington a de son côté rejeté les accusations de Pékin. "Toute affirmation selon laquelle le gouvernement américain utilise des ballons espions au-dessus de la Chine est fausse", a assuré Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche. Pékin tente de "limiter les dégâts", a-t-elle ajouté, l'accusant d'avoir "violé la souveraineté des Etats-Unis et de plus de 40 pays" avec son "programme de ballons espions".

La porte-parole du président américain Joe Biden avait accusé Pékin mercredi d'avoir une "flotte de ballons destinés à des opérations d'espionnage" sur les cinq continents.

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L'Ukraine fait la guerre à crédit

 

 

 

 

Séismes en Turquie et en Syrie : le bilan monte à plus de 37.000 morts, de nouveaux survivants retrouvés dans les décombres

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 au 14 février 2023

Un jeune homme de 18 ans a été extrait des décombres d'un immeuble dans le sud de la Turquie, quelque 198 heures après les tremblements de terre meurtriers qui ont frappé le pays, alors que les travailleurs humanitaires se concentrent sur les personnes sans abri dans le froid glacial en Turquie et en Syrie.

Le tremblement de terre survenu le 6 février et l'importante réplique qui a suivi quelques heures plus tard ont causé la mort en Turquie et en Syrie voisine de plus de 37.000 personnes, selon les derniers bilans.

Un peu plus tôt, des sauveteurs ont sorti vivants des ruines d'un immeuble dans la province turque de Kahramanmaras deux frères de 17 et 21 ans, a rapporté l'agence de presse Anadolu.

Les secouristes ont encore travaillé toute la nuit pour trouver des survivants, mais certaines équipes ont commencé à réduire leurs opérations, les basses températures réduisant les chances de survie. Des sauveteurs polonais, qui font partie des nombreuses équipes internationales arrivées par avion dans le pays, ont annoncé qu'ils partiraient mercredi.

Dans la ville syrienne d'Alep, en ruines, Martin Griffiths, coordonnateur des secours d'urgence de l'Onu, a déclaré lundi que la phase de sauvetage "touchait à sa fin", l'accent étant mis sur les abris, la nourriture et la scolarisation.

Le président syrien Bachar al-Assad a accepté de laisser entrer davantage d'aide de l'Onu en provenance de Turquie, ont indiqué des diplomates lundi en fin de journée, afin d'aider les habitants du nord-ouest de la Syrie, une région contrôlée par les groupes rebelles qui a reçu peu d'aide jusqu'à présent.

Raed Al Saleh, responsable des Casques blancs, a dénoncé cet accord de l'Onu, estimant qu'il accordait à Bachar al-Assad un "avantage politique gratuit".

LE PRIX À PAYER

Dans la ville d'Antioche, dans le sud de la Turquie, des excavatrices ont commencé à démolir des bâtiments fortement endommagés et à déblayer les décombres dans un quartier résidentiel dévasté.

Le bilan en Turquie s'élève à 31.643 morts, a indiqué lundi l'Autorité de gestion des catastrophes et des urgences.

Le nombre total de morts en Syrie, pays ravagé par plus d'une décennie de guerre civile, s'élève à 5.714, y compris dans les zones tenues par les rebelles.

Selon la Confédération turque de l'entreprenariat et du monde des affaires, la catastrophe pourrait coûter 84 milliards de dollars à la Turquie. De son côté, le ministre turc de l'Urbanisation, Murat Kurum, estime que quelque 42.000 bâtiments dans dix villes se sont effondrés, doivent être démolis de toute urgence ou ont été gravement endommagés.

Des dizaines d'habitants et de secouristes ont fait part de leur désarroi face au manque d'eau, de nourriture, de médicaments, de sacs mortuaires et de grues au cours des premiers jours qui ont suivi le séisme, et beaucoup ont critiqué la lenteur et la centralisation de la réponse de l'Autorité turque de gestion des catastrophes et des urgences (AFAD).

"Les gens ne sont pas morts à cause du tremblement de terre, ils sont morts à cause des précautions qui n'ont pas été prises plus tôt", a déclaré Said Qudsi qui s'était rendu à Kahramanmaras depuis Istanbul pour enterrer son oncle, sa tante et leurs deux fils, tandis que leurs deux filles étaient toujours portées disparues.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui doit affronter une élection serrée en juin, a reconnu des problèmes dans la réponse initiale mais a déclaré que la situation était désormais sous contrôle.

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Montpellier : âgés de 17, 19 et 22 ans, trois clandestins algériens arrêtés après s’être introduits dans un appartement ; le mineur placé en foyer, les deux majeurs, remis en liberté

Les faits se sont produits ce dimanche 12 février, en début de soirée, dans une résidence de l’avenue du Professeur-Louis-Ravas à Montpellier.

[…]

 

Âgés de 17, 19 et 22 ans, ces trois Algériens, en situation irrégulière sur le territoire national, ont été conduits au commissariat pour audition. Après avoir reconnu l’intrusion, le mineur a finalement été placé au foyer de l’enfance. Quant aux deux majeurs, ils ont été remis en liberté, semble-t-il au vu du faible préjudice.

Midi-Libre

 

 

Adolescents cambrioleurs : de plus en plus jeunes et nombreux, ils ne craignent ni la justice, ni la police

 

 

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