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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 janvier 2023

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Berlin propose son aide dans l'enquête sur le crash de l'hélicoptère transportant le ministre de l'Intérieur…

 

L’ESSENTIEL

  • L’Ukraine a arrêté mardi sa quête de survivants à Dnipro, dans les décombres d’un immeuble résidentiel détruit par un missile russe, un des bombardements les plus meurtriers de la guerre avec 45 morts.
  • Samedi, Londres a annoncé vouloir remettre à Kiev des blindés Challenger 2 - la première livraison de chars occidentaux lourds à l’Ukraine. Au Forum de Davos, le chancelier allemand Olaf Scholz a fait face mardi à une pression accrue afin d’autoriser la livraison, y compris par des pays tiers qui en sont équipés, de chars allemands Leopard 2.
  • Les demandes ukrainiennes de chars, de blindés légers, de systèmes de défense antiaérienne et de missiles de longue portée interviennent alors que l’armée russe et le groupe paramilitaire Wagner ont redoublé d’efforts dans l’Est pour conquérir la ville de Bakhmout et ses environs, une bataille sanglante en cours depuis l’été.
  • Une nouvelle réunion sur le soutien militaire occidental à l’Ukraine est prévue vendredi sur la base américaine de Ramstein en Allemagne.

 

12h56 : Berlin propose son aide dans l’enquête sur le crash d’un hélicoptère en Ukraine

La ministre allemande de l’Intérieur Nancy Faeser a annoncé mercredi avoir proposé à Kiev le « soutien » de l’Allemagne dans l’enquête visant à clarifier les causes du crash d’un hélicoptère qui a fait au moins 18 victimes, dont son homologue ukrainien Denys Monastyrsky.

Le crash est « une nouvelle terrible », a-t-elle aussi indiqué dans un communiqué, se disant très « attristée » par la mort de son homologue et de ses collaborateurs et par le fait que des enfants aient également péri.

 

12h41 : Moscou compare les actions de l’Occident contre la Russie à celles de Hitler contre les Juifs

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a comparé ce mercredi les actions des pays occidentaux contre son pays à la « solution finale » du régime nazi pour exterminer les Juifs, des propos reflétant des thèses aujourd’hui couramment évoquées à Moscou. « Tout comme Napoléon a mobilisé presque toute l’Europe contre l’Empire russe, comme Hitler a mobilisé et conquis la plupart des pays européens pour les lancer contre l’Union soviétique, aujourd’hui les Etats-Unis ont monté une coalition » contre Moscou, a déclaré Sergueï Lavrov, lors de sa conférence de presse de début d’année.

Leur tâche est « la même : la "solution finale" à la question russe. Tout comme Hitler voulait résoudre la question juive, désormais, les dirigeants occidentaux (…) disent sans ambiguïté que la Russie doit subir une défaite stratégique », a-t-il ajouté.

 

10h35 : Le ministre de l’Intérieur se rendait sur le front lorsque l’hélicoptère s’est crashé

L’hélicoptère qui transportait le ministre ukrainien de l’Intérieur, Denys Monastyrsky, et qui s’est écrasé près de Kiev, faisant au moins 18 morts, se rendait sur le front, indique la présidence ukrainienne. « Le but de ce vol (était d’aller) vers l’un des points chauds de notre pays où se déroulent les combats. Le ministre de l’Intérieur s’y rendait », a déclaré Kyrylo Timochenko, le chef-adjoint du cabinet de la présidence, à la télévision ukrainienne.

 

10h22 : Nouveau bilan à 18 morts et 29 blessés dans le crash d’hélicoptère

Sur Telegram, le gouverneur de la région de Kiev, Oleksiï Kouleba, a déploré que le nombre de victimes ait « augmenté » après le crash d’un hélicoptère sur Brovary ce matin. Le nouveau bilan est de « 18 morts dont 3 enfants ». « Il y a aussi 29 blessés, dont 15 enfants », précise-t-il.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : Le président du Conseil européen, Charles Michel, appelle à la livraison de chars en Ukraine

Vers une guerre de religion, infos du 18 janvier 2023

Le président du Conseil européen Charles Michel s'est prononcé ce mercredi en faveur de la fourniture par l'Occident de chars à l'Ukraine pour l'aider à faire face à l'invasion russe.

"Depuis près d'un an, la Russie poursuit une stratégie de destruction, une stratégie de terreur, en essayant de soumettre le peuple ukrainien par des bombardements", a-t-il déclaré. "Mais les Ukrainiens résistent".

"Nous, l'UE, continuerons à les soutenir (les Ukrainiens) aussi longtemps qu'il le faudra. Le moment est venu, ils ont besoin de toute urgence de plus d'équipements et je suis personnellement favorable à la fourniture de chars à l'Ukraine", a-t-il ajouté.

Si, jusque-là, les alliés occidentaux de l'Ukraine refusaient de livrer des chars lourds à Kiev par crainte que la fourniture de ce type d'équipements engendre une escalade avec Moscou, la multiplication des frappes russes sur les populations et équipements civils ont convaincu plusieurs d'entre eux de changer d'approche.

Ainsi, le gouvernement britannique a annoncé samedi dernier la livraison prochaine de quatorze chars lourds Challenger 2 à Kiev. De son côté, Berlin est mis sous pression par plusieurs dirigeants occidentaux pour autoriser l’envoi de chars Leopard 2, fabriqués en Allemagne.

Source

 

 

 

Les Pays-Bas vont se joindre aux États-Unis et à l’Allemagne pour livrer des systèmes Patriot à l’Ukraine

 

D’après une évaluation du renseignement britannique, le missile qui a détruit un immeuble et fait plus de tués 40 à Dnipro [est de l’Ukraine], le 14 janvier, serait un Kh-22 « Bouria » [code Otan : AS-4 Kitchen], tiré par un bombardier russe Tu-22M3 « Backfire »… et non un missile de défense aérienne ukrainienne, comme l’a laissé entendre Moscou.

Le Kh-22 est un missile anti-navire.. qui manque de précision quand il est utilisé contre des objectifs terrestres, son système de guidage radar n’étant pas en mesure de différencier les cibles situées dans les zones urbaines. D’ailleurs, en juin 2022, un engin de ce type s’était abattu sur le centre commercial de Krementchouk [au moins 18 tués, ndlr.

Cela étant, les forces ukrainiennes n’ont pas les capacités pour intercepter de tels missiles, conçu à l’époque de l’Union soviétique pour viser les porte-avions américains. Pour rappel, d’une masse approchant les six tonnes, le Kh-22 emporte une charge conventionnelle de 1000 kg et atteint une vitesse supérieure à Mach 4 au moment de toucher sa cible.

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L’armée russe "ne frappe pas les immeubles": le Kremlin réagit à des accusations de Kiev

 

Le Kremlin a réfuté les accusations de Kiev selon lesquelles l'armée russe a tiré sur un immeuble résidentiel à Dniepropetrovsk, en Ukraine. Le bâtiment s'est effondré suite à la chute d'un missile abattu par la DCA ukrainienne, souligne le porte-parole de M.Poutine, citant le conseiller de Zelensky.

Au lendemain de l’effondrement d’un immeuble d’habitation en Ukraine, le Kremlin a réaffirmé le 16 janvier que l’armée russe ne visait jamais les quartiers résidentiels.

Vers une guerre de religion, infos du 18 janvier 2023

"Les forces armées russes ne frappent pas les immeubles, ni les infrastructures sociales. Elles visent les cibles militaires apparentes ou masquées", a déclaré le porte-parole du Président russe au sujet de tentatives de Kiev de rejeter la responsabilité des faits sur Moscou.

"Vous avez vu vous-mêmes les déclarations faites par certains représentants du côté [ukrainien] sur cette tragédie [à Dniepropetrovsk, ndlr] avait résulté de l’action de missiles antiaériens", a ajouté Dmitri Peskov.

C’est effectivement le conseiller du Président ukrainien, Oleksyi Arestovych, qui a rapporté le 14 janvier qu’un missile russe qui "survolait Dniepropetrovsk a[vait] été abattu". "Il a explosé quand il est tombé sur l’immeuble", a-t-il précisé. Il s’est ainsi désolidarisé de la position officielle des autorités ukrainiennes.

Des infrastructures ukrainiennes visées

Depuis le 10 octobre, les forces armées russes mènent des frappes contre des installations militaires, de communication et énergétiques ukrainiennes. Les bombardements les plus massifs ont eu lieu les 10 et 11 octobre.

Vladimir Poutine avait alors déclaré que c’était une réponse à l’attaque terroriste sur le pont de Crimée et contre d’autres sites civils en Russie.

Depuis, l’alerte aérienne se déclenche presque chaque jour dans la plupart des régions ukrainiennes, parfois dans tout le pays simultanément.

Spoutnik

 

 

 

OQTF : « Les magistrats font leur travail, (…) ce sont les préfectures de police qui ne prennent pas en charge les délinquants étrangers pour les expulser, ce qui a pour principale conséquence de les remettre en liberté »

Les magistrats ont décidément bon dos. À en croire certains syndicats de policiers, l’agresseur au couteau de la gare du Nord le 11 janvier dernier – sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) – aurait dû écoper de peines de prison supérieures lors de ses précédentes condamnations et aurait dû donc demeurer en détention. Mais combien de temps? Jusqu’à quand?

La réalité judiciaire est tout autre et, en la matière, les magistrats font leur travail. À chaque mesure de garde à vue arrivant à une permanence de n’importe quel parquet de France, la situation administrative du mis en cause est vérifiée, ses empreintes prises – y compris par la contrainte depuis la loi du 24 janvier 2022 – et lorsqu’il s’agit d’un étranger, les préfectures sont consultées. À ce moment-là, deux options sont sur la table pour le procureur: déférer le mis en cause pour qu’il soit jugé ou s’en remettre à la préfecture pour qu’il soit expulsé si une OQTF lui a été notifiée, OQTF prise parfois le jour même par cette même préfecture. Or, dans les faits, l’immense majorité des délinquants étrangers ne sont jamais pris en charge par les services du ministère de l’Intérieur.

Il ne s’agit en rien d’un prétendu laxisme judiciaire mais bien de l’application, une fois de plus, des dispositions légales qui se sont multipliées depuis des décennies

L’absence d’action de la préfecture a des inconvénients majeurs. Tout d’abord, celui du risque que les tribunaux prononcent soit une relaxe soit une peine alternative à l’emprisonnement soit un emprisonnement avec sursis qui ont pour effet immédiat de remettre l’individu étranger en liberté. Il ne s’agit en rien d’un prétendu laxisme judiciaire mais bien de l’application, une fois de plus, des dispositions légales qui se sont multipliées depuis des décennies faisant de la détention l’ultime recours (loi du 23 mars 2019 prévoyant un aménagement de peine obligatoire pour les peines de moins de six mois de prison, de principe pour les peines de moins d’un an ; loi du 15 août 2014 prévoyant que la peine d’emprisonnement sans sursis «ne peut être prononcée qu’en dernier recours […] et si toute autre sanction est manifestement inadéquate»). Et puis la comparution des étrangers – généralement en comparution immédiate au regard de leur absence de garanties de représentation – embolise les tribunaux correctionnels de région parisienne. À ce titre, il est cocasse de voir Beauvau livrer des statistiques marquantes sur les délinquants étrangers en région parisienne ou à Marseille – un délit sur deux, chiffre repris par le président de la République à la télévision en octobre 2022 – alors même que l’inexécution des OQTF nourrit une délinquance qui de facto ne devrait plus exister.

(…)

Le Figaro

 

Qatargate : l’un des 4 inculpés avoue « faire partie d’une organisation utilisée à la fois par le Maroc et par le Qatar dans le but de s’ingérer dans les affaires européennes » (MàJ : un suspect va collaborer avec la justice)

Rebondissement spectaculaire dans le Qatargate : l’ex-eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri, suspect clé actuellement écroué, a accepté mardi de collaborer avec la justice belge et de livrer ce qu’il sait sur ce scandale de corruption présumée au profit du Qatar.

Au terme de cet accord, l’ancien élu socialiste s’engage à informer les enquêteurs sur le modus operandi de la fraude, les arrangements financiers avec des États tiers, l’identité des personnes “qu’il admet avoir corrompues” et l’éventuelle implication de personnes “non encore connues dans le dossier”. Ses déclarations devront être “substantielles, révélatrices, sincères et complètes”, a précisé le parquet fédéral.

En échange de cette coopération, l’ex-député, devenu en 2019 dirigeant de l’ONG Fight Impunity établie à Bruxelles, sera condamné à une peine de prison ferme “limitée”.

Son avocat Laurent Kennes a précisé à l’AFP que cette peine négociée avec le parquet n’excéderait pas un an ferme. “Une peine de cinq ans sera prononcée, mais avec du sursis pour la partie excédant un an. Cela veut dire qu’il va subir un an en détention, dont une partie sous bracelet électronique”, a affirmé Me Kennes.

« Envie de déballer »

“Il a envie de déballer, il veut voir le bout du tunnel”, a ajouté l’avocat sur la chaîne francophone RTBF, soulignant que M. Panzeri avait “reconnu avoir été l’un des dirigeants d’une organisation criminelle (…) en lien avec le Qatar et le Maroc”. D’après la presse, le Maroc a utilisé le responsable italien comme point d’entrée pour appuyer ses intérêts au Parlement européen. Mais comme le Qatar, le royaume chérifien a fermement contesté ces allégations de corruption.

[…]

Actu17

 

 

 

Italie : déjà 3.862 migrants débarqués illégalement au 17 janvier 2023, soit autant que janvier 2022 et 2021 réunis, principalement des Pakistanais et Ivoiriens

Tableau de bord statistique 17 janvier 2023 (Gouvernement Italien)

 

« Comparaison des migrants débarqués en 2021/2022/2023 »

Cliquez pour agrandir

« Nationalités déclarées au moment du débarquement »

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Ministère de l’Intérieur

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