Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

__________________________________

Les Infos du 10 janvier 2023

 

 

Mises a jour du direct , 15:20

 

 

 

Guerre en Ukraine: La Russie montre les muscles face à l'Otan, la frégate Amiral Gorshkov équipée des nouveaux missiles Zircon mène des exercices en mer de Norvège

Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023

 

Un navire de guerre russe possédant des armes de croisière hypersoniques a effectué des exercices en mer de Norvège, a déclaré mardi le ministère de la Défense.

"L'équipage de la frégate 'Amiral de la flotte de l'Union soviétique Gorshkov' a effectué un exercice de défense aérienne en mer de Norvège", a indiqué le ministère, ajoutant que "l'équipage (...) a effectué un exercice visant à repousser les moyens d'une attaque aérienne d'un ennemi simulé en mer de Norvège".

 

La frégate a été envoyée la semaine dernière dans l'Atlantique. Elle est armée de missiles de croisière hypersoniques de nouvelle génération Zircon qui, selon la Russie, volent à neuf fois la vitesse du son et ont une portée de plus de 1.000 km – un signal à l'Occident que la Russie ne reculera pas sur la guerre en Ukraine.

Percer les défenses antiaériennes

La Russie considère ces armes comme un moyen de percer les défenses antimissiles américaines de plus en plus sophistiquées et qui, selon le président russe Vladimir Poutine, pourraient un jour abattre les missiles nucléaires russes.

"Comme je l'ai déjà dit, il n'y a d'équivalents dans aucun pays du monde" avait déclaré le président russe au sujet du missile Zircon. "Je suis sûr que des armes aussi puissantes protégeront de manière fiable la Russie des menaces extérieures potentielles. Cela contribuera à garantir les intérêts nationaux de notre pays".

 

Bientôt à proximité des côtes de l'Otan

L'ancien président russe Dmitri Medvedev avait averti les États-Unis la semaine dernière que les missiles hypersoniques seraient bientôt à proximité des côtes de l'Otan. La Norvège est des 12 membres fondateurs de l'Alliance.

Le ministre russe de la Défense Serguei Choïgou a affirmé ce mardi que la Russie continuerait à développer son arsenal nucléaire composé de missiles balistiques, de sous-marins et de bombardiers stratégiques, ces armes étant la principale garantie de sa souveraineté, a-t-il déclaré.

Source

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : "La France ne devrait pas exister", la télévision d'Etat russe menace de tirer un missile sur le pays

 

La télévision d'Etat russe déclare la guerre à la France.

La France ainsi que plusieurs pays alliés de l'Ukraine ont récemment annoncé l'envoi de chars en renfort à l'armée de Kiev. Des livraisons déjà critiquées par le Kremlin et qui ne semblent pas du goût non plus des propagandistes de la télévision d'Etat russe. 

Au sein d'une discussion sur la chaîne de télévision Russiya-1, média d'État pro-Poutine connu depuis le début de l'invasion russe en Ukraine pour ses propos particulièrement agressifs, les propagandistes préconisent une "contre-attaque" immédiate plutôt de que de "s'assoir et attendre".

La France doit "recevoir une frappe préventive"

Si "Macron fournit des chars" à l'Ukraine, la France doit "recevoir une frappe préventive, en tant que partie au conflit", a lâché le présentateur Vladimir Soloviev. En tant que "partie au conflit", la France "nuit ouvertement" à la Russie, "sans rien craindre", a dénoncé Andrey Gurulyov, commandant militaire russe à la retraite et actuel membre de la Douma russe.

Ainsi, "il ne devrait pas y avoir de France", a-t-il déclaré, se demandant si "ça dérangerait quelqu'un" si le pays disparaissait. Et d'ajouter que "frapper la France une fois" sera suffisant pour que "tout le monde ait peur". Il a également assuré que la Russie avait suffisamment de munitions pour "détruire la France ou la Grande-Bretagne".

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'UE et l'Otan promettent de renforcer leur soutien à l'armée ukrainienne...

 

L’ESSENTIEL

  • Les hostilités ont repris depuis dimanche en Ukraine après la trêve du Noël orthodoxe décrétée sans convaincre par Vladimir Poutine, à l’issue de laquelle Moscou a affirmé avoir vengé ses pertes en faisant des centaines de morts en une frappe, ce qu’a aussitôt démenti Kiev.
  • Les civils sont toujours l’une des cibles privilégiées des bombardements russes. De nouvelles frappes ont touché un marché dans le village de Chevtchenkové, dans le nord-est de l’Ukraine, tuant au moins deux personnes, selon les autorités locales.
  • Bakhmout, ville de l’est de l’Ukraine, reste le « point le plus chaud du front », où des « combats acharnés ont lieu », d’après l’armée ukrainienne. « L’ennemi y a concentré le maximum de forces prêtes au combat, y compris les unités de Wagner », groupe paramilitaire dont les mercenaires combattent aux côtés des troupes russes.

 

13h27 : Ne pas « sous-estimer » la Russie

« La Russie a subi de lourdes pertes, mais il ne faut pas la sous-estimer. Elle mobilise plus de troupes et d’équipements. Elle est prête à souffrir pour continuer la guerre. Vladimir Poutine n’a pas changé son objectif et il faut se préparer à soutenir l’Ukraine sur le long terme », a explique le chef de l'Otan Jens Stoltenberg.

« L’Ukraine doit recevoir tout le matériel militaire dont elle a besoin pour défendre son territoire », a soutenu la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

 

Note ;  c'est encore l'escalades, l'Otan se dirige vers le conflit

 

12h52 : L’UE et l’Otan s’engagent à renforcer la défense de l’Ukraine

L’UE et l’Otan se sont engagés mardi à fournir aux Ukrainiens tous les moyens militaires nécessaires pour défendre leur patrie et des discussions sont prévues « la semaine prochaine » sur les types d’armes qui peuvent être fournies, ont annoncé les dirigeants des deux organisations.

« Des discussions sont prévues la semaine prochaine avec les Ukrainiens pour voir quels types d’armes sont nécessaires et qui, parmi les alliés, est en mesure de les fournir », a précisé le secrétaire général de l’Alliance Jens Stoltenberg après la signature d’une déclaration conjointe avec les présidents des institutions de l’UE.

 

Note ; la semaine prochaine la comète ne serra plus très loin.

 

11h32 : L’Arménie refuse d’accueillir des exercices militaires russes en 2023

L’Arménie refuse d’accueillir en 2023 des manœuvres militaires d’une alliance menée par la Russie, sur fond de mécontentement envers Moscou en raison du blocage d’un axe vital pour l’approvisionnement de l’enclave du Nagorny Karabakh.

« L’Arménie ne considère pas opportun de mener des exercices de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) cette année (…) Ces exercices n’auront pas lieu », a déclaré le Premier ministre Nikol Pachinian lors d’une conférence de presse. Erevan reproche à Moscou de ne pas empêcher le blocage d’une route importante au Karabakh par des Azerbaïdjanais.

 

10h54 : Des « combats très durs et sanglants » à Soledar, près de Bakhmout

Des combats acharnés sont en cours dans les faubourgs de Soledar, ville de l’est de l’Ukraine proche de celle de Bakhmout, le point le plus chaud du front.

« Soyons honnêtes (…) L’armée ukrainienne se bat avec bravoure pour Bakhmout et Soledar. Des combats très durs et sanglants sont en cours dans la banlieue ouest de Soledar », a indiqué mardi Evguéni Prigojine, cité sur Telegram par son service de presse.

 

08h15 : Moscou contrôle « probablement la majeure partie de » Soledar

Le ministère britannique de la Défense affirme que la Russie et Wagner contrôlent « probablement la majeure partie de » Soledar au milieu de combats acharnés pour la ville du Donbass, dans sa mise à jour quotidienne ce mardi.

La Russie et Wagner ont fait des avancées tactiques au cours des quatre derniers jours, d'après Londres, dans ce qui ressemble à « un effort pour envelopper Bakhmout depuis le nord et pour perturber les lignes de communication ».

 

08h00 : Bientôt des Stryker en Ukraine ?

Les Etats-Unis envisagent d'envoyer des véhicules de combat blindés Stryker en Ukraine. L'envoi pourrait être annoncé la semaine prochaine, mais aucune décision finale n'a été prise, rapporte Politico, citant deux sources proches du dossier.

 

06h50 : Wagner derrière l’assaut sur Soledar

Le chef du groupe Wagner, Evguéni Prigojine, a affirmé que l’assaut sur Soledar était « exclusivement » mené par des membres de son organisation.

Les séparatistes prorusses de la région de Donetsk ont pour leur part affirmé avoir pris le contrôle du village de Bakhmoutské, à quelques kilomètres de Soledar.

 

06h45 : « Des assauts violents » russes près de Bakhmout

Le président ukrainien a indiqué lundi que ses troupes résistaient à « de nouveaux assauts, encore plus violents » à Soledar, près de Bakhmout, ville de l’est de l’Ukraine dont Moscou tente depuis des mois de s’emparer. Dans son message quotidien, Volodymyr Zelensky a d’ailleurs tenu à remercier l’ensemble des soldats ukrainiens « qui protègent Bakhmout ». « Grâce à la résistance de nos soldats là-bas, à Soledar, nous avons gagné du temps supplémentaire et (préservé) des forces pour l’Ukraine ».

Soledar, dans la région de Donetsk, est à quelque 15 kilomètres de Bakhmout, ville qui comptait environ 70.000 habitants avant le début de l’offensive russe en février dernier, et qui est désormais l’épicentre des combats.

DIRECT

 

 

 

 

"Nous sommes bien en Troisième guerre mondiale", assure le commandant d'un régiment spécial russe

 

La Troisième guerre mondiale a de facto débuté, car en Ukraine la Russie s’oppose à "l’ensemble de l’Alliance atlantique", estime le commandant du régiment spécial Akhmat formé en République tchétchène.

Compte tenu des volumes d’assistance apportée par l’Occident à Kiev pour faire face à Moscou, on peut dire que la Troisième guerre mondiale est déjà en cours, a déclaré le commandant du régiment spécial Akhmat Apty Alaoudinov sur la télévision Rossiya 1.

Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023

"Nous sommes bien en Troisième guerre mondiale. Au début, nous croyions que nous allions combattre l’Ukraine, et voilà qu’aujourd’hui nous combattons l’ensemble de l’Alliance atlantique", a indiqué le commandant.

Selon lui, les "dirigeants de l’Otan" planifient les opérations des forces ukrainiennes sur toute la ligne de front. Dans le même temps, l'Occident envoie non seulement son matériel de guerre en Ukraine, mais aussi des "opérateurs".

Il a notamment estimé que la ville stratégique de Bakhmout dans le Donbass, toujours contrôlée par l'armée ukrainienne, serait prise "dans les prochains jours".

Soutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine : Pressée de toute part de livrer des chars d'assaut Leopard 2 à Kyiv, "l'Allemagne n'ira pas seule", répond Olaf Scholtz

Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023

Le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré lundi qu'il restait convaincu de la nécessité que l'Allemagne coordonne avec ses alliés les livraisons d'armes vers l'Ukraine, alors que la pression s'accentue sur Berlin pour qu'il envoie à Kyiv des chars d'assaut Leopard 2.

Si l'Allemagne a fait savoir la semaine dernière qu'elle enverrait à l'Ukraine des véhicules d'infanterie Marder, les Etats-Unis et la France ont dans le même temps tous deux annoncé les livraisons de chars légers de combat.

Olaf Scholz, qui met souvent en avant la nécessité de ne pas provoquer une escalade du conflit en Ukraine ni de donner à la Russie une raison de penser que l'Allemagne est partie prenante de la guerre, a déclaré que les alliés occidentaux ont "passé un long moment à préparer, discuter et organiser cela".

"L'Allemagne n'ira pas seule", a-t-il dit lors d'un événement de son Parti social-démocrate (SPD) pour lancer la campagne en vue des élections berlinoises.

Un des principaux soutiens militaires de l'Ukraine

Berlin "restera toujours uni avec ses amis et alliés (...) Autre chose serait irresponsable dans une situation si dangereuse", a ajouté le chancelier allemand.

Devenue l'un des principaux soutiens militaires de l'Ukraine depuis le lancement de l'invasion russe, en février dernier, l'Allemagne a mis fin à un tabou qui entourait l'envoi d'armes dans des zones de conflit.

Cependant, des détracteurs reprochent toujours à Olaf Scholz ce qu'ils considèrent comme de la passivité: attendre que les alliés de l'Allemagne agissent, plutôt que de prendre ses responsabilités en tant que puissance occidentale très proche de l'Ukraine.

Source

 

Note; je poste un article qui date de 6 jours, que je viens de lire juste aujourd'hui. Le journaliste a ici bien compris que nous sommes dans une escalade dangereuse et que les médias sont largement complices de cette escalade

 

Kiev tue «des centaines» de recrues russes au moyen d’un lance-missiles américain

 

Le 04 janvier 2023

Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023

La veille du Nouvel An, aux douze coups de minuit, entre 60 et 400 conscrits russes auraient été tués lors d’une frappe menée contre une caserne de fortune en Ukraine au moyen d’un lance-missiles HIMARS.

Cette attaque, menée avec un système d’armes fourni par les États-Unis qui ont probablement désigné l’objectif, envoie un message clair au monde entier: Washington tient à intensifier le bain de sang en Europe de l’Est au cours de l’année.

Le lendemain de l’attaque, toute l’ampleur du désastre est apparue clairement au milieu des récriminations de l’establishment politique et médiatique russe quant à savoir qui était à blâmer pour cette débâcle.

Le ministère russe de la Défense affirme que 63 militaires ont été tués dans l’attaque, tandis que le ministère ukrainien de la Défense affirme en avoir tué 400. Certains journalistes russes rapportent que le nombre de victimes se situe entre 200 et 600 personnes.

(..)

Cette dernière attaque fait suite à une série de frappes menées au cœur même du territoire russe. Au cours des derniers mois, Kiev a mené trois attaques distinctes contre la base aérienne russe d’Engels, près de Saratov, y endommageant des bombardiers stratégiques et tuant des membres du personnel.

Alors que des reportages indiquent que la Russie est à court des missiles de précision qu’elle utilise pour frapper les villes ukrainiennes, les États-Unis de leur côté ne font qu’élargir la gamme d’armes qu’ils fournissent à l’Ukraine.

La National Defense Authorization Act (Loi d’autorisation de la défense nationale), promulguée à la fin du mois dernier, double l’engagement américain dans la guerre jusqu’à ce jour et donnera à l’Ukraine une batterie de missiles Patriot, le système américain le plus complexe déployé jusqu’à présent dans ce conflit.

Le mois dernier, Bloomberg rapportait que les États-Unis envisageaient de fournir à l’Ukraine des véhicules blindés de combat Bradley, un type de véhicule blindé à chenilles s’apparentant à un char léger.

Pendant ce temps, les médias américains et européens multiplient les appels à l’escalade de la guerre à glacer le sang.

Le plus flagrant d’entre eux provient du Financial Times, le plus grand journal d’affaires britannique, qui, dans un éditorial, condamne «tout cessez-le-feu ou négociations» et demande que «davantage… d’armes offensives» soient acheminées par les États-Unis dans l’ancienne république soviétique.

Lundi, le magazine Foreign Affairs publiait un article d’Andrii Zahorodniuk, l’ancien ministre de la Défense de l’Ukraine, préconisant que les États-Unis annoncent ouvertement l’objectif du gouvernement ukrainien de reconquérir la Crimée, ce que les États-Unis n’ont approuvé qu’en chuchotant jusqu’à présent.

«L’empreinte militaire de la Russie, par exemple, est en fait une raison de se battre pour la Crimée, car toute bataille sur le territoire dégraderait sérieusement la capacité de la Russie à faire la guerre et à terroriser l’Ukraine et d’autres États, écrit Zahorodniuk. Toutes préoccupations concernant la capacité de l’Ukraine à reprendre la péninsule et de possibilités d’attaques nucléaires sont pour le moins exagérées. Après des mois consécutifs de succès sur le champ de bataille, il est clair que l’Ukraine a la capacité de libérer la Crimée.» Puis il poursuit en affirmant que «les menaces nucléaires de Poutine ne sont probablement que des fanfaronnades.»

Alors que les États-Unis agissent de façon encore plus flagrante dans leur acheminement d’armes et d’«aide financière» (versements de pots-de-vin) au gouvernement ukrainien, les politiciens ukrainiens abandonnent de plus en plus leur prétention de se battre pour la «démocratie.»

Dans un message citant le collaborateur nazi Stepan Bandera, le parlement ukrainien a déclaré lundi que «la victoire complète et suprême du nationalisme ukrainien aura lieu lorsque l’Empire russe cessera d’exister.» Son message, qui loue «les enseignements de Stepan Bandera», a été mis en ligne pour commémorer l’anniversaire du collaborateur nazi et criminel de guerre. Ses commentaires ont été condamnés par des politiciens et des journalistes tant polonais qu’ukrainiens.

Réagissant au message, le journal israélien Haaretza qualifié Bandera d’«ultranationaliste et antisémite ukrainien dont les partisans se sont engagés dans une campagne de nettoyage ethnique contre les Juifs et les Polonais pendant la Seconde Guerre mondiale.»

Bandera est le meurtrier responsable d’un génocide des Polonais mené en 1943-1944, lorsque les troupes de l’UPA ont horriblement tué environ 100.000 civils polonais», a tweeté Kacper Płażyński, président de la Commission des affaires européennes au parlement polonais. L’UPA à laquelle il fait référence était une force paramilitaire ukrainienne formée pour combattre aux côtés des nazis.

Alors que la nouvelle année ne compte que quelques jours, la guerre s’intensifie rapidement, menaçant d’entraîner l’OTAN et la Russie dans un conflit direct. L’escalade rapide de la guerre montre clairement la nécessité urgente de construire un mouvement anti-guerre réunissant les travailleurs, les étudiants et les jeunes sur la base d’un programme socialiste.

Source : wsws

 

 

Le groupe américain Heico a finalisé le rachat de la pépite française de l’électronique Exxelia (Rafale, sous-marins français, fusées Ariane 5 et 6…), sans que la France n’y mette son veto (MàJ)


Le groupe américain d’électronique et de défense Heico a finalisé le rachat de l’entreprise française de technologie Exxelia, jusqu’ici contrôlée par un fonds britannique, l’Etat français ne s’y étant pas opposé.

La finalisation de la transaction, dévoilée vendredi par La Tribune, a été annoncée la veille par le groupe américain. Celui-ci avait conclu fin juillet un accord en vue d’acquérir Exxelia pour 453 millions d’euros et la reprise de 14 millions d’euros de dettes, selon un communiqué.

Le sujet de ce rachat était devenu politique à l’automne quand le député RN Alexandre Loubet avait accusé dans l’hémicycle de “brader à des intérêts étrangers” des “fleurons industriels” français.

Des composants utilisés dans le F-35

L’Etat a la faculté de bloquer le rachat d’entreprises françaises par des entreprises étrangères quand elles présentent un caractère stratégique. Il l’avait notamment fait pour le spécialiste de la vision nocturne Photonis que l’américain Teledyne souhaitait acquérir. L’entreprise avait finalement été rachetée ensuite par le fonds d’investissement HLD, basé à Paris. Mais pour Exxelia, le délégué général à l’Armement français, Emmanuel Chiva, avait indiqué que les offres françaises n’avaient pas été “à la hauteur”.

Exxelia, un groupe industriel français de 2100 personnes, est un fabricant de “composants et sous-systèmes de précision” utilisés dans de nombreux domaines industriels de pointe comme l’aviation, la défense, le spatial, le médical…

Jeudi, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a annoncé que la France allait pérenniser l’abaissement à 10% du seuil de contrôle des investissements étrangers dans les entreprises des secteurs stratégiques. Le seuil déclenchant de contrôle avait été abaissé de 25 à 10% en 2020 pour protéger les entreprises fragilisées par la pandémie de Covid-19.

bfmtv


05/10/22

Le gouvernement et le parlement, qui disposent des moyens utiles et nécessaires au fléchage de l’épargne des ménages au profit de notre force entrepreneuriale créative de valeurs économiques, n’ont pas le droit d’être sourds et aveugles face à des opérations hostiles.

disait en septembre une tribune s’adressant au ministre sur le sujet


En un demi-siècle, la discrète usine Exxelia de Pessac (33) s’est installée au sommet mondial d’une activité de niche dans l’électronique haute performance. Elle passera bientôt sous pavillon US

(…) Sud Ouest

 

Note ; Macron continue a vendre nos industries aux américains

Rappel

Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023 Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023
Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023 Vers une guerre de religion, infos du 10 janvier 2023

 

 

Ne privons pas l’Afrique de ses médecins” : des sommités de la médecine appellent le gouvernement à retirer son projet de loi sur l’immigration, visant à créer un titre de séjour spécial pour les médecins étrangers

« Ne privons pas l’Afrique de ses médecins », c’est le titre d’une tribune publiée, ce week-end, en France. Elle est signée par d’importants professeurs de médecine et également par des défenseurs des droits de l’homme qui estiment que le projet de loi sur l’immigration proposé par le gouvernement français, fin décembre, pour faire venir du personnel de santé qualifié, n’est pas acceptable.

Le projet de loi doit être présenté en janvier et prévoit, notamment, la création d’une carte de séjour spéciale pour les professionnels de santé.

(…) Nombre de syndicats ont fustigé ces propositions. Ils estiment que la formation doit être améliorée en France. Actuellement, près de 5 000 médecins étrangers exercent dans l’hexagone. Ils n’ont pas le même statut et ont des salaires plus faibles que leurs confrères français.

Le professeur André Grimaldi est l’un des signataires de la tribune : « Ne privons pas l’Afrique de ses médecins » Il estime que la France ne peut pas, une fois de plus, piller les compétences scientifiques et intellectuelles du continent africain et appelle les autorités à retirer ce projet de loi sur l’immigration.

Voilà des gens qui ont été formés par leur pays et qu’on veut récupérer en France parce qu’on manque de médecins, sans se poser la question: Et leurs malades, dans leur pays, qui va les soigner ?

RFI


André Grimaldi, Jean-Paul Vernant, Xavier Emmanuelli et Rony Brauman, respectivement professeur émérite de diabétologie ; professeur émérite d’hématologie, membre du comité des sages de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) ; ancien secrétaire d’État, président du comité des sages de l’Ofii ; ancien président de Médecins sans frontières, s’opposent à la création d’une carte de séjour dénommée « talent-professions médicales et de pharmacie » et demande au gouvernement de retirer cette proposition du projet de loi sur l’immigration. 

(…) Le nombre d’étudiants admis en faculté de médecine est passé de 8 500 au début des années 1970 à seulement 3 800 en 2000 tandis que la Sécurité sociale a payé jusqu’à cette date la retraite anticipée de près de 10 000 médecins pour réduire la supposée “pléthore médicale”. La fin du numerus clausus ne mettra pas un terme aux inégalités territoriales d’accès aux soins.

Le gouvernement pense donc que pour répondre à cette situation, il ne s’agit pas de changer de politique de santé mais, en améliorant l’“attractivité nationale”, de recruter encore plus de médecins, en provenance pour la plupart du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, qui accepteront de travailler pour des salaires moindres dans les lieux délaissés par les médecins français. Ce faisant, il entend profiter sans frais de professionnels formés par ces pays avec comme conséquence une réduction de l’accès aux soins de leurs populations.

(…) Nous demandons au gouvernement de retirer de son projet de loi cette proposition de titre de séjour spécifique pour attirer les personnels médicaux, et de négocier avec les gouvernements concernés des accords pour aider au développement de la santé sur leur territoire.

Le JDD

 

Croisilles (62) : un migrant clandestin afghan de 25 ans arrêté pour avoir violé un jeune garçon de 14 ans sur la voie publique ; il était déjà recherché pour une tentative de meurtre commise en février dernier à Paris

 

Commenter cet article