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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 7 décembre 2022

 

 

Moscou envisage trois options pour riposter contre le plafonnement des prix du pétrole russe par l'UE

 

 

Plus tôt cette semaine, le vice-Premier ministre russe Alexander Novak a averti que l'introduction d'un plafonnement des prix du pétrole russe ne peut que conduire à une diminution des investissements mondiaux dans l'industrie, ce qui entraînera à son tour une augmentation des prix.

Moscou envisage trois options possibles pour répondre à l'introduction d'un plafonnement des prix du pétrole russe par l'UE et le G7, a rapporté un journal russe.

Le média a cité plusieurs sources anonymes proches du gouvernement disant que le premier scénario stipule une interdiction totale de la vente de brut russe à ces États, y compris les membres du G7, qui ont soutenu le plafonnement des prix, même s'ils achètent le pétrole de Russie par le biais d'intermédiaires ou de leur chaîne.

Vers une guerre de religion, infos du 7 décembre 2022

La deuxième option envisage une interdiction des exportations de pétrole dans le cadre de contrats comprenant des clauses liées au plafonnement des prix, quel que soit le pays agissant en tant que destinataire, selon les initiés.

Ils ont ajouté que dans le cadre du troisième scénario , une mesure relative à un "prix indicatif" pourrait être introduite. Ce prix définit la décote maximale du pétrole russe de l'Oural par rapport au brut Brent, et un accord potentiel ne sera pas approuvé si la décote est augmentée.

Les sources ont affirmé sans préciser que "d'autres options alternatives ou une combinaison de celles-ci" sont également sur la table.

Cela survient après que l'UE a conclu un accord sur la fixation d'un plafond de prix sur le pétrole russe à 60 dollars le baril, qui est entré en vigueur lundi.

Le plafond sera revu tous les deux mois pour rester à 5 % en dessous de l'Agence internationale de l'énergie de la référence . Les pays du G7 et l'Australie ont également convenu le même jour de fixer un prix plafond de 60 dollars sur le pétrole en provenance de Russie.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a souligné que le coût du pétrole russe après l'introduction d'un plafonnement des prix par l'Occident changera.

"[Le prix] va changer. Une chose est claire et indéniable : l'adoption de ces décisions est un pas vers la déstabilisation des marchés mondiaux de l'énergie", a déclaré Peskov aux journalistes lorsqu'on lui a demandé si les Européens et le monde devaient se préparer à des prix plus élevés, alors que les États-Unis convainquent. alliés que rien ne changera.

Le vice-Premier ministre russe Alexander Novak, pour sa part, a souligné que le pétrole russe était et sera demandé, tandis que les chaînes logistiques vont changer.

"Le pétrole russe est en demande sur les marchés mondiaux ; le pétrole trouvera ses acheteurs. La Russie est le plus grand fournisseur mondial de pétrole sur les marchés mondiaux de l'énergie... Le pétrole russe a toujours été en demande et le sera. Oui, les mécanismes logistiques et les chaînes vont changer maintenant. Néanmoins, nous ne voyons aucune tragédie là-dedans », a souligné Novak.

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Seize morts à Donetsk dans une collision entre un camion militaire russe et un minibus civil…

 

L’ESSENTIEL

  • Moscou dénonce depuis le début de la semaine des attaques ukrainiennes sur des aérodromes sur son territoire, dont deux lundi à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière entre les deux pays. La Russie a fait état de trois morts et deux avions endommagés lors d’une de ces attaques. Kiev n’a pas admis officiellement une quelconque responsabilité.
  • Washington a déclaré mardi soir « ne pas encourager » les attaques ukrainiennes de drones en Russie. Les Etats-Unis ne veulent pas fournir des missiles de longue portée à Kiev, redoutant une escalade qui pourrait les conduire à jouer un rôle plus direct contre la Russie.
  • Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est rendu près du front, non loin de Bakhmout, le principal champ de bataille de l’est du pays où l’armée ukrainienne résiste depuis des mois à une offensive russe.
  • Les Ukrainiens continuent de subir des coupures de courant, au lendemain d’une nouvelle série de bombardements sur les infrastructures énergétiques de leur pays.

 

08h45 : L'encouragement de la présidente du Parlement européen

« Vous allez gagner », lance la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, aux Ukrainiens dans une vidéo partagée sur Twitter. 

 

 

DIRECT

 

 

 

Le Kosovo déposera une demande d'adhésion à l'UE d'ici la fin de l'année, selon la présidente

 

 

TIRANA (Reuters) - La présidente du Kosovo, Vjosa Osmani, a annoncé mardi que son pays soumettrait une demande d'adhésion à l'Union européenne d'ici la fin de l'année, s'engageant à participer aux pourparlers parrainés par Bruxelles avec la Serbie pour résoudre les différends en suspens.

 

"Je vais l'annoncer aujourd'hui ici devant tous les dirigeants de l'UE : le Kosovo soumettra sa demande d'adhésion à l'UE d'ici la fin de l'année", a déclaré Vjosa Osmani à son arrivée au sommet UE-Balkans à Tirana.

 

Cinq États des Balkans occidentaux - l'Albanie, la Bosnie, le Monténégro, la Macédoine du Nord et la Serbie - sont à des stades différents du processus d'adhésion à l'UE. Mais le Kosovo, qui a déclaré son indépendance de la Serbie en 2008, n'a pas encore posé sa candidature.

Belgrade et Pristina se sont engagés en 2013 dans un dialogue parrainé par l'UE pour résoudre les questions en suspens, mais peu de progrès ont été réalisés. L'accord avec le Kosovo reste l'une des principales conditions préalables à l'adhésion de la Serbie à l'UE.

Lire la suite

 

 

Victoire du Maroc : policiers attaqués et tramway caillassé à Nice ; émeutes urbaines et tirs de mortiers à Lille ; drapeau marocain accroché sur la mairie d’Amiens (MàJ)

Amiens :

Avignon :

Vitrines brisées et magasins saccagés après le rassemblement des supporters marocains hier soir

Vers 20h30, la situation a commencé à se tendre à mesure que le cortège évacuait les lieux. Un poids lourd qui tentait de se frayer un passage a été empêché de passer et des jeunes sont parvenus à l’ouvrir pour tenter de le piller mais sa remorque était vide. De petits groupes ont alors tenté de se rapprocher de la gare recevant en retour des tirs de gaz lacrymogènes des policiers. Les rares supporters restants se sont alors mis à courir dans tous les sens, certains commençant à jeter des cailloux et tout ce qu’ils trouvaient en direction des forces de l’ordre.

Des conteneurs ont aussi été déversés au milieu de la route. Quelques jeunes cagoulés se sont alors mis à fracasser les vitrines de deux commerces, un d’achat et de revente d’or et une agence d’assurance, qui ont par la suite été saccagés (nos photos). Un jeune a été interpellé alors qu’il se trouvait à l’intérieur. D’autres arrestations ont eu lieu pour des jets de projectiles sur la police.

La Provence

Lille :

Nice :

 

 

Sondage : 70% des Français réclament un durcissement de la politique d’immigration, dont 43% des électeurs de gauche

Sept Français sur dix (70%) estiment que le gouvernement doit durcir sa politique d’immigration, selon un sondage de l’institut CSA pour CNEWS, dévoilé ce mardi 6 décembre.

Une plus grande fermeté exigée. Un sondage de l’Institut CSA pour CNEWS, paru ce mardi 6 décembre, révèle que 7 Français sur 10 (70 %) jugent que la France doit durcir sa politique d’immigration.

(…) Fait marquant de ce sondage de l’Institut CSA, les propres partisans de Renaissance, le parti du président Emmanuel Macron, sont favorables à un durcissement de la politique d’immigration, à hauteur de 73 %.

CNews

 

Note: cela fait des années que les Français crient leurs ras le  bol de l’immigration, mais les politiciens nous  toujours + d'immigrés, comme ils nous ont imposé l'UE en 2005

Vers une guerre de religion, infos du 7 décembre 2022 Vers une guerre de religion, infos du 7 décembre 2022
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Marine Le Pen : « Tous les voyants sont au rouge : des quartiers entiers, des villes, voire des départements comme la Seine-Ben-Denis, sont en passe de devenir des zones étrangères »

 

 

 

Thomas Legrand juge que Houellebecq avait “tout faux” avec son roman Soumission écrit en 2014 et que les notions d’invasion et d’islamo-gauchisme qu’il aborde ne correspondent qu’aux “névroses” de l’auteur

Invasion, ensauvagement, «islamo-gauchisme»… Les deux Michel ont resservi leurs névroses dans un récent entretien croisé à la revue «Front populaire». L’occasion de rappeler que le romancier n’est pas un devin et que le philosophe arrange les faits pour qu’ils collent à sa réalité.

Ne perdons pas notre temps à commenter le dialogue indigeste paru dans la revue un peu rouge et très brune Front populaire (pauvre Léon Blum), entre Michel Houellebecq et Michel Onfray, la semaine dernière. Ils disent n’importe quoi et en plus, maintenant, on peut le démontrer : en 2015, Houellebecq publiait Soumission. L’action du roman se déroulait en 2022. Aujourd’hui, donc. Ce n’était pas qu’un roman, disait l’auteur star, invité sur toutes les antennes, c’était de l’anticipation réaliste. Houellebecq promenait sa mine en ruine de plateau en plateau, non pas pour parler littérature mais pour deviser politique et pour nous prévenir.

(…) Alors que voyait-il pour 2022 ? Une France présidée par un islamiste faussement modéré. Un pays soumis à une charia douce, qui autoriserait la polygamie. Le livre commençait par une émeute de «jeunes de cités», place de Clichy à Paris. Mais les médias, tous imprégnés d’«islamo-gauchisme» collabo, n’en faisaient pas état, histoire de cacher la réalité de l’invasion (…).

Libé

 

 

Michèle Tribalat : «En 2017, si 80 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine étrangère à La Courneuve (contre 22 % en 1968) près de 37 % des jeunes Orléanais sont d’origine africaine ou turque (contre 2 % en 1968)»

Michèle Tribalat: «On est passé d’une immigration de travail à une immigration fondée sur des droits»

«La France a toujours été une terre d’immigration», a déclaré le président de la République. La notion d’immigration est relativement récente, argumente la démographe, qui retrace l’évolution du phénomène migratoire depuis 1850.

 

(…)

Outre les nouvelles arrivées, quel est le nombre de personnes d’origine étrangère (sur deux générations)? Quelles sont les conséquences en matière démographique?

En combinant les données de recensement et de l’enquête Emploi, on estime à 21,5 % la proportion d’immigrés et de personnes nées en France d’au moins un parent immigré en 2020. Près d’un habitant sur dix serait d’origine africaine. L’immigration étrangère a joué un rôle majeur dans la dynamique démographique de ces dernières années. De 2014 à 2020, la population immigrée a augmenté de 134.000 par an en moyenne, quand celle des natifs ne gagnait que 80.000 personnes par an. Parmi ces derniers figurent les enfants d’immigrés. En 2020, 28,7 % des nouveau-nés ont au moins un parent né en dehors de l’UE, soit 10 points de pourcentage de plus en vingt ans. Par ailleurs, les concentrations ethniques, autrefois cantonnées en Île-de-France, Paca et Rhône-Alpes, se sont étendues à d’autres régions. En 2017, si 80 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine étrangère à La Courneuve (contre 22 % en 1968), c’est aussi le cas de 47 % des jeunes à Orléans (contre 9,5 % en 1968), et près de 37 % des jeunes Orléanais sont d’origine africaine ou turque (contre 2 % en 1968).

www.lefigaro.fr

 

 

Identité de genre dès 5 ans, sexto et transgenrisme dès 9 ans, un guide destiné aux écoles en Belgique, présenterait “un risque d’intrusion psychique”, selon une pédopsychiatre

EVRAS – BIEN PLUS QUE L’ÉDUCATION SEXUELLE

Aujourd’hui reconnue et promue par de nombreux organismes internationaux, dont l’OMS et l’UNESCO, l’éducation à la sexualité s’étend bien au-delà des écoles et vise à accompagner les enfants dès le plus jeune âge et les adolescent•es dans le développement de leur vie relationnelle, affective et sexuelle et les aider à devenir des adultes épanouis.


Dans les écoles, un document controversé sera bientôt publié et distribué dans les établissements. Il s’agit de la nouvelle version du guide EVRAS, le “guide d’Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle”, qui est utilisé dès les classes maternelles. C’est un guide “à destination des acteurs et actrices” de l’EVRAS, et pas directement des enfants. Il n’empêche, son contenu interpelle plusieurs pédopsychiatres. Ils estiment que certains passages sont “inadéquats”, voire “dangereux” pour les jeunes enfants.

Dès 5 ans, prendre conscience que son identité de genre peut correspondre ou ne pas correspondre à celle assignée à la naissance. Dès 9 ans, âge où se produit la grande partie du développement pour les corps mâles et les corps femelles, la notion de transgenre apparaît. Il s’agit d’informer l’enfant sur la possibilité de prendre des hormones ou de recourir à des opérations chirurgicales.

Le guide prévoit aussi de sensibiliser l’enfant, dès 9 ans, à la liberté de choisir son, sa ou ses partenaires. Et toujours à 9 ans, reconnaître que les partages de sextos ou de photos de nudes peuvent être excitants et être source de plaisir. Se sentir ainsi libre d’en envoyer dans le consentement. 

“C’est tout à fait inadmissible. Cela doit être revu et corrigé. Un enfant de 9 à 11 ans ne doit pas faire de sexto, et s’il en fait un, c’est que quelque chose ne tourne pas rond dans sa vie quotidienne et il faut consulter”, souligne Sophie Dechêne.

Plusieurs associations ont leur logo sur ce guide, notamment la Fédération des associations de parents de l’enseignement officiel. “C’est un très bon guide. C’est clair que tout le monde ne partage pas cette vision, mais il est grand temps que ces formations prennent en compte les problématiques actuelles”, explique Véronique De Thier, la responsable politique de Fapeo.

[…]

 

Les associations de parents de l’enseignement catholique évoquent un dossier problématique et disent avoir été mises devant le fait accompli. Au cabinet de la ministre de l’Enseignement, on nous répond que le document n’est pas encore finalisé.

RTL

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