Vendredi, le ministre grec de la Défense, Nikolaos Panagiotopoulos, a déclaré que le gouvernement du pays était prêt à envoyer des systèmes de défense aérienne S-300 de Crète en Ukraine si les États-Unis "installaient le système Patriot à leur place".
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Les Infos du 18 décembre 2022
Tensions en Asie: La Corée du Nord a tiré deux nouveaux missiles balistiques
La Corée du Nord a tiré ce dimanche deux missiles balistiques en direction de la côte est de la péninsule coréenne, a annoncé l'armée sud-coréenne.
Le vice-ministre japonais de la Défense, Toshiro Ino, a déclaré que les missiles balistiques tirés par Pyongyang semblaient être tombés en dehors de la zone économique exclusive du Japon.
Aucun dégât n'a été rapporté, a-t-il ajouté
Crimée : le projet de la Grèce de transférer les systèmes S-300 vers l'Ukraine est une « étape risquée »
SIMFEROPOL, Russie, (Spoutnik) - Le représentant permanent de la Crimée auprès du président russe Georgiy Muradov a qualifié dimanche l'intention d'Athènes de transférer les systèmes de missiles anti-aériens S-300 à l'Ukraine d'"étape risquée" pour les intérêts nationaux grecs.
"Une telle décision d'Athènes serait non seulement une démonstration insensée d'hostilité envers la Russie, mais aussi une étape risquée vers ses propres intérêts nationaux, ce que le public grec déclare déjà haut et fort", a déclaré Muradov à Sputnik.
Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'Ukraine frappe Belgorod, un mort selon Moscou…
L’ESSENTIEL
- De nouvelles frappes russes ont fait cinq morts samedi en Ukraine, où les autorités s’efforçaient de rétablir au plus vite l’électricité après les tirs massifs de missiles de la veille qui ont provoqué des coupures de courant.
- Les présidents russe et biélorusse Vladimir Poutine et Alexandre Loukachenko doivent se retrouver lundi à Minsk pour un sommet destiné à resserrer encore leur alliance. Selon Alexandre Loukachenko, le sommet sera « avant tout (consacré) à la sphère économique », mais les deux dirigeants parleront aussi de « la situation politico-militaire autour de (leurs) pays ».
- Selon le Kremlin, Vladimir Poutine s’est entretenu vendredi avec les responsables de l’intervention militaire en Ukraine, demandant aux commandants quelles étaient leurs « propositions » sur la suite des opérations.
12h33 : Un mort et cinq blessés dans les frappes ukrainiennes contre la région russe de Belgorod
Une personne a été tuée dimanche et cinq autres ont été blessées dans des frappes ukrainiennes contre la région russe de Belgorod, frontalière de l’Ukraine, a indiqué sur Telegram le gouverneur de la région, Viatcheslav Gladkov. Selon lui, les tirs ont visé Belgorod, la capitale régionale, faisant quatre blessés, ainsi qu’un district situé à proximité où « il y a malheureusement un mort et un blessé ». Les vitres de plusieurs immeubles ont été brisées et 14 maisons ont été endommagées, a précisé Viatcheslav Gladkov.
Sanctions de l’UE: bloquer RT pour maintenir les gens "dans l’ignorance"
Au lendemain de l’entrée en vigueur d’un neuvième paquet de sanctions contre la Russie ciblant notamment des médias, un ex-analyste de la CIA est revenu sur le blocage de RT au mois de mars. Il s’agit, selon lui, d’une tentative de maintenir la population dans l’ignorance.
Lors d'un sommet européen qui s'est tenu à Bruxelles jeudi soir, les 27 pays membres de l'Union européenne ont approuvé un neuvième paquet de sanctions contre la Russie et ses médias, entré en vigueur vendredi 16 décembre avec sa publication au Journal officiel de l'UE.
L’ex-analyste de la CIA Larry Johnson a commenté les restrictions européennes contre les médias russes, notamment RT.
Selon lui, les gouvernements qui se conduisent de cette façon font montre de leur faiblesse et de leur impuissance.
Aucun entretien préliminaire
"Je suis beaucoup passé à la télévision, sur toutes les grandes chaînes américaines: ABC, CBS, NBC, sur différentes chaînes par câble, sur Fox News et la BBC. RT est l’unique chaîne d’information à laquelle j’ai été invité sans entretien préliminaire pour savoir si mon opinion correspond à ce que la chaîne veut entendre", a-t-il révélé.
"C’est une tentative désespérée de l’Occident de maintenir sa population dans l’ignorance."
Larry Johnson a ajouté que lorsque la Russie remportera la victoire, l’Occident, surtout l’Europe, devra choisir: continuer de rester sans ressources énergétiques ou "grandir enfin" et entretenir de bonnes relations avec Moscou.
Des chaînes TV et une société de télécommunication ciblées
Dans le cadre de son neuvième paquet de sanctions, l’UE a notamment engagé la procédure de suspension des licences de diffusion de quatre autres médias russes, Sputnik et RT ayant été bloqués dès le mois de mars.
Il s’agit des chaînes de télévision NTV/NTV Mir, Rossiya 1, REN TV et Pervyi Kanal. La mesure s'impose également à la société Intelsat qui fournit des services de télécommunication par satellites.
David, 47 ans, est mort de froid à Nantes : « Il dormait sous un préau, dans un parc potager »
David, 47 ans, s’était installé dans le parc potager de la Fournillière, quartier Zola-Dervallières à Nantes. Il dormait sous un préau. S’il était connu des maraudes, personne, en revanche, ne savait son nom. Après une semaine, la police a pu l’identifier et retrouver une partie de sa famille.
Note ; David (FRANÇAIS) mort de froid sous un préau, pendent que les migrants étrangers , non français sont logés dans un châteaux !
Le ministre du logement Olivier Klein réquisitionne le château de Grignon (78) pour “mettre à l’abri les plus en détresse” : autrement dit, y seront logés 200 migrants
Présentés comme des “SDF”…
Les premiers SDF sont arrivés vendredi, principalement des Yvelines. L’association Emmaüs va les suivre au quotidien et travailler sur la scolarisation des enfants dans les écoles des communes voisines. Le domaine appartient à l’État qui, malgré les oppositions, souhaite toujours le vendre.
…les 200 individus logés au château de Grignon sont tous des migrants
Antifascisme : quand des députés LFI accueillent sous les acclamations Salah Hamouri, un terroriste, qui voulait tuer un rabbin, membre d’un mouvement cofondé par des anciens SS
Salah Hamouri (arabe : صلاح حموري), né le 25 avril 1985 à Jérusalem, est un avocat franco-palestinien.
En 2005, il est inculpé en Israël pour avoir projeté de tuer le rabbin Ovadia Yosef et pour son appartenance au Front populaire de libération de la Palestine. En 2008, après trois ans de détention administrative, il accepte une procédure de plaidoyer de marchandage afin d’échapper à une peine éventuelle de quatorze ans. Il est finalement condamné par un tribunal militaire à une peine de sept ans d’emprisonnement.
Il sort de prison de façon anticipée en 2011, dans le cadre d’une libération de prisonniers palestiniens contre Gilad Shalit. Il est de nouveau placé en détention administrative en août 2017, soupçonné d’avoir renoué avec le Front populaire de libération de la Palestine ; il est libéré un an plus tard. Il est de nouveau incarcéré en mars 2022.
Le FLP a été créé par Ahmed Jibril en 1959, qui a reçu un fort soutien de la Syrie. En 1967, le FLP fusionne avec deux autres groupes, tout d’abord avec Héros du retour (abtal al-awda) un mouvement affilié au Mouvement nationaliste arabe (MNA), puis avec un groupe dépendant du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP).
Le FPLP était alors dirigé par l’ancien leader du MNA, Georges Habache, mais Jibril décide en 1968 de faire sécession pour créer le Front Populaire pour la Libération de la Palestine-Commandement Général (FPLP-CG), qui s’est énormément rapproché de la Syrie.
L’ex-SS Standartenführer Baurnann ayant participé à la liquidation du Ghetto de Varsovie ainsi que Boerner Wilhelm, alias Ali Ben Keshir, SS Untersturmführer Gardien du camp de Mauthausen y servent d’instructeur.
Comment l’argent public finance l’immigration clandestine : « Au-delà de leur idéologie, les ONG qui aident les migrants ont financièrement intérêt à ce qu’ils soient les plus nombreux possible »
ENQUÊTE – Les gouvernements successifs ont sous-traité l’essentiel de la gestion des migrants à des associations qui militent pour l’accueil inconditionnel des étrangers dans notre pays. Elles les hébergent, subviennent à leurs besoins quotidiens et leur fournissent une assistance juridique dans leurs démarches. Le tout aux frais du contribuable.
(…) Au-delà de ces actions spectaculaires, d’autres ONG comme la Cimade et France terre d’asile prennent en charge les demandeurs d’asile, leur fournissent assistance matérielle et juridique, s’occupent de les héberger et sont censées veiller à leur intégration. Elles aident aussi les déboutés, le tout dans un cadre fixé par la loi. « Le choix de sous-traiter la gestion des immigrés à des associations diverses et variées a été fait depuis très longtemps, rappelle Patrick Stefanini. Pour des raisons idéologiques, sous l’influence de la gauche, mais en partie aussi pour des raisons budgétaires. On s’est dit que ça permettrait d’économiser les deniers de l’État. » Un calcul qui s’est révélé « totalement erroné », précise l’ancien secrétaire général du ministère de l’Immigration, auteur en 2020 d’un livre * qui fait autorité sur la situation migratoire en France.
(…) Tout un écosystème s’est ainsi constitué autour des étrangers qui tentent leur chance dans notre pays. Au-delà de leur idéologie, les ONG qui les aident sont mues par des motifs humanitaires qu’il n’est pas, ici, question de contester, mais force est de constater qu’elles ont financièrement intérêt à ce qu’ils soient les plus nombreux possible.
(…) Quand l’État ne les mandate pas directement, la plupart des associations qui s’occupent des migrants bénéficient de subventions, nationales et/ou versées par des collectivités publiques, dans des proportions variables.
(…) Certaines associations ne se contentent pas du combat idéologique contre l’État qui les finance, au moins partiellement : elles l’attaquent aussi en justice. En 2019, huit ONG dont Amnesty International France, la Cimade, Gisti, la Ligue des droits de l’homme et Médecins sans frontières ont saisi le tribunal administratif pour « dénoncer la complicité de la France dans les violations des droits humains en Libye ».
Le budget de la Cimade est alimenté à plus de 50% par l’argent des contribuables
(…) Parmi les missions officielles des associations figure « l’aide au récit » : elles mettent en forme et en français le dossier que les demandeurs d’asile devront présenter aux différentes instances et juridictions devant lesquelles ils vont plaider leurs cas, de l’Office français pour les réfugiés et apatrides (Ofpra) à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).
(…) Un bon connaisseur du droit des étrangers raconte que « curieusement, il semble souvent n’exister qu’un récit par nationalité » : « Au Nigeria, ce sont presque exclusivement des femmes, qui racontent qu’une amie immigrée en Italie leur a dit “tu devrais venir, ils cherchent des coiffeuses”. Une fois sur place, elles s’aperçoivent que l’amie est en fait tombée aux mains d’un réseau de prostitution, alors elles passent en France. En Somalie, ce sont des hommes menacés d’être enrôlés de force par les shebabs (groupe islamiste). Au Bangladesh, on voit défiler des pauvres jeunes gens victimes d’un méchant oncle qui veut faire main basse sur le terrain… Les récits se ressemblent au détail près, comme s’ils étaient fabriqués à la chaîne ! »
(…) Le projet de loi sur l’immigration qui doit être adopté en janvier n’aborde pas, dans sa partie connue, la question de la mainmise des associations sur l’hébergement et l’accompagnement des migrants.
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Presque autant de policiers et gendarmes mobilisés pour la petite finale (Maroc-Croatie) que pour la grande (France-Argentine), à laquelle pourtant nous participons
Le porc, la viande la plus consommée en France, en voie de disparition dans les cantines
ENQUÊTE. La viande la plus consommée en France semble en voie de disparition dans les restaurants scolaires de certaines villes. Et non des moindres.
Jambon, rôti, échine, coppa, grattons, lardons, filet mignon… Depuis que les statistiques sur le sujet existent, le porc a toujours été la viande préférée des Français, juste devant la volaille. Apprécié des enfants, bon marché et facile à cuisiner, ses atouts sont évidents. Selon les dernières données de France Agrimer, les Français mangent 87,5 kg de viande par an, dont 32 kg de viande de porc, 30 kg de volaille et 23 kg de bœuf, repas à domicile et restauration hors foyers confondus. Le porc représente ainsi à lui seul un volume égal à tous les produits de la mer consommés dans notre pays (33 kg/an/habitant).
(…) À la rentrée 2013, déjà, l’interprofession porcine Inaporc avait tiré la sonnette d’alarme à la suite d’une série de constats alarmants pour les producteurs. À Lille, le porc avait été absent des menus tout le mois de septembre. À Séméac (Hautes-Pyrénées, 4 900 habitants), il avait été décidé de le retirer totalement du menu pour l’année entière. Au Havre (Seine-Maritime), 8 500 portions de mousse au chocolat avaient été jetées à la poubelle car elles pouvaient contenir de la gélatine de porc. Dans ces deux derniers cas, il n’était plus question de diététique, mais de gestion du fait religieux. Séméac voulait épargner un surcroît de travail à ses cuisiniers, contraint de préparer des plats de substitution quand le porc était au menu. Au Havre, il s’agissait d’éviter que des élèves musulmans en ingurgitent à leur insu, même sous la forme ultra-transformée de mono-diglycérides d’acide gras.
Dix ans ont passé et la situation ne semble pas s’améliorer pour le cochon, pris en tenaille entre la diététique et la religion. « Nous devinons ce qui se passe, commente Anne Richard, directrice d’Inaporc depuis 2021. Bannir le porc est la solution de facilité… » Une solution mise en œuvre à bas bruit. Contactée, la ville de Lille n’a pas donné suite. Impossible de savoir si cette quasi-disparition du porc répond à des demandes de parents d’élèves, si elle les anticipe, ou si elle est dictée par le souci de simplifier le service, lourd à gérer. « On sert 500 couverts, explique un responsable de cuisine scolaire. On doit passer nos commandes des mois à l’avance, faire du circuit court, du bio, varier les plats, penser aux allergènes, calculer les portions au gramme près et peser les restes pour faire la chasse au gaspillage. Comme on a notre fierté, on tient aussi à ce que les élèves apprécient ! Tout cela avec un budget par repas de 7 € environ, dont 2 € de marchandise, le reste passant en frais divers, salaires, énergie, etc. »
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