12h06 : « Je prédis pour le début du mois de janvier des batailles décisives pour la guerre »
Un discours de l’Otan qui rejoint celui de Vladimir Fedorovski, diplomate et écrivain russe d’origine ukrainienne, interrogé par CNews :
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 28 et 29 novembre
L’ESSENTIEL
13h13 : L'Ukraine a reçu un lance-roquette livré par la France
La France avait annoncé la semaine dernière une livraison d'armes pour l'armée ukrainienne, notamment deux lance-roquettes unitaires. Dans un message publié ce mardi sur Twitter, le ministre de la Défense ukrainienne Oleksii Reznikov remercie le gouvernement français et confirme la réception de l'un des deux lance-roquettes.
LIRE AUSSI : Guerre en Ukraine : Londres annonce la livraison de missiles à guidage de précision Brimstone-2 à l'armée ukrainienne
12h06 : « Je prédis pour le début du mois de janvier des batailles décisives pour la guerre »
Un discours de l’Otan qui rejoint celui de Vladimir Fedorovski, diplomate et écrivain russe d’origine ukrainienne, interrogé par CNews :
Note ; et moi je prédis la guerre mondiale pour janvier 2023, une guerre qui se transformera en guerre de religion le 2 février 2023
11h57 : Vladimir Poutine veut utiliser l’hiver comme « une arme de guerre »
Tels sont les mots de Jens Stoltenberg. Le président russe Vladimir Poutine veut utiliser l’hiver comme « une arme de guerre » contre l’Ukraine avec des « attaques délibérées » contre des infrastructures civiles pour priver le pays de chauffage, d’électricité et d’eau, a dénoncé mardi le secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (Otan).
« Les attaques délibérées contre les services essentiels - le chauffage, la lumière, l’eau, le gaz - ont pour but d’infliger autant de souffrances que possible aux civils ukrainiens pour essayer de briser leur engagement, leur unité dans la lutte contre l’invasion russe », a affirmé Jens Stoltenberg à son arrivée à Bucarest pour une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Otan.
Note : il a deux jours c'était "Poutine veut utiliser l’alimentation comme une arme de guerre" , et il a quelque mois c’était, Poutine veut utiliser le gaz comme une arme de guerre "
10h51 : Une nouvelle aide américaine
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken doit annoncer une aide « substantielle » à l'Ukriane pour faire face aux dommages causés par la Russie sur ses infrastructures énergétiques, selon des hauts responsables américains. Cette aide s'inscrit dans la perspective d'une conférence internationale des bailleurs de fonds en « soutien à la résistance civile ukrainienne », qui se tiendra le 13 décembre en France, a souligné l'un des hauts responsables auprès de l'AFP.
LIRE AUSSI: Guerre en Ukraine : la Russie reporte les discussions avec les Etats-Unis sur le désarmement nucléaire
Washington a approuvé la vente de plus de 80 missiles de précision à la Finlande pour un montant total de 323 millions de dollars, a annoncé lundi le département d’Etat, alors que ce pays traditionnellement non-aligné se prépare à rejoindre l’Otan.
Le gouvernement finlandais souhaite acquérir 40 missiles tactiques et 48 bombes guidées planantes pour équiper sa flotte aérienne de chasse et cette vente de matériel sensible devait auparavant être approuvée par le gouvernement américain.
Le 26 novembre, le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des troupes de défense contre les radiations, les produits chimiques et biologiques des forces armées russes, a déclaré que la Russie était préoccupée par les tests d'agents infectieux contrôlés par les États-Unis sur le personnel militaire et les malades mentaux en Ukraine.
La Russie n'a pas reçu de réponse exhaustive des États-Unis et de l'Ukraine concernant les activités biologiques et militaires américaines sur le territoire ukrainien dans le cadre de la Convention sur les armes biologiques (BWC), a déclaré le représentant permanent de la Russie au siège de l'ONU à Genève, Gennady Gatilov.
"Nous n'avons toujours pas reçu de réponse appropriée et significative aux documents et preuves présentés, qui éclairent la véritable nature de l'interaction entre le Pentagone et ses sous-traitants et la partie ukrainienne dans le domaine des activités militaires et biologiques", a-t-il déclaré.
Le diplomate a ajouté que la plainte de la Russie avait été ignorée et que sa proposition d'enquête internationale sous les auspices du CSNU en vertu de l'article VI de la BWC avait été bloquée par les États-Unis.
Plus tôt, le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des troupes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques des forces armées russes, a déclaré qu'un réseau de plus de 30 laboratoires biologiques avait été formé sur le territoire de l'Ukraine, qui travaillait dans l'intérêt du Pentagone. Selon lui, tout pour la poursuite du programme militaro-biologique américain a été retiré de l'Ukraine après le début de l'opération militaire spéciale russe.
Plus tôt ce mois-ci, Kirillov a rappelé que le conseiller à la sécurité nationale de l'ancien président américain Donald Trump, John Bolton, avait participé à la formulation de la volonté américaine de domination mondiale dans la recherche sur les armes biologiques. Il a déclaré que Bolton avait dirigé la délégation américaine à la cinquième conférence d'examen de la Convention sur les armes biologiques et à toxines en novembre-décembre 2001. Plus tard, les États-Unis ont bloqué le fonctionnement du mécanisme de vérification de l'organe des Nations Unies, ainsi que des mesures proposées pour vérifier les sites de stockage d'armes biologiques, citant menaces que de telles mesures de vérification poseraient aux « intérêts nationaux » des États-Unis. Bolton a également qualifié le protocole de vérification de la BWC de "mort" et a promis qu'il "ne serait pas ressuscité".
Igor Kirillov a accompagné sa présentation d'une nouvelle mine de documents, y compris des articles liés aux efforts américains pour renforcer le potentiel militaro-biologique du pays.
Comme le rapportent la RTBF et RTL info, plusieurs de leurs journalistes ont été agressés physiquement et verbalement lors des incidents. Ce dimanche soir, les deux rédactions ont fermement condamné ces violences.
“Nos collègues ont été agressés physiquement par plusieurs individus. Ils ont pu trouver refuge dans un commerce situé à proximité. Barricadés de longues minutes, ils ont finalement pu quitter les lieux”, raconte le média. “La rédaction de RTL INFO condamne ces agressions contre des journalistes dans l’exercice de leurs fonctions”, ajoute RTL info.
«Vers 15h22, des dizaines de personnes, dont certaines étaient encagoulées, ont cherché la confrontation avec les forces de l’ordre, ce qui a compromis la sécurité publique», a expliqué à Belga Ilse Van de Keere, porte-parole de la zone de police Bruxelles-Capitale/Ixelles. «Il y a eu utilisation de matériel pyrotechnique, lancer de projectiles, utilisation de bâtons, incendie sur la voie publique, notamment d’un conteneur à l’intersection du Boulevard Lemonnier et de la rue de Woeringen», a détaillé la police. «On déplore aussi la destruction d’un feu de signalisation ainsi que l’encerclement d’un véhicule avec occupant sur le Boulevard Lemonnier. Mais aussi, un journaliste a été blessé au visage par des feux d’artifice. C’est pour ces raisons qu’il a été décidé de procéder à une intervention de la police, avec déploiement de l’arroseuse et utilisation de gaz lacrymogène», a exposé la porte-parole.
Des incidents ont éclaté dans plusieurs villes des Pays-Bas après la victoire du Maroc face à la Belgique en phase de poules de la coupe du monde de football au Qatar.
GRAND ENTRETIEN – Le professeur d’études africaines à l’université Duke aux États-Unis, auteur de La Ruée vers l’Europe (Grasset), voit dans l’affaire de l’Ocean Viking un épisode exemplaire de la guerre de religions entre «sans-frontierisme» et «rideau-de-ferisme».
(…)
En 1960, au moment des indépendances au sud du Sahara, moins de 30.000 Subsahariens vivaient en France ; aujourd’hui, si l’on compte la première et la deuxième génération, ils sont près de 2 millions. En 1980, 4% des immigrés arrivant en France venaient du sud du Sahara ; en 2020, toujours selon les chiffres de l’Insee, leur proportion était de 18%. Cette pression migratoire ne se relâchera pas, alors que la population africaine – quelque 300 millions d’habitants en 1960 – passera de 1,4 milliard aujourd’hui à 2,5 milliards en 2050, le temps d’une génération.
La pression montante se fait sentir même aux États-Unis. Entre 2000 et 2010, davantage d’Africains y sont arrivés – plus de 400.000 – que pendant les trois siècles et demi qu’a duré la traite transatlantique.
On analyse souvent la migration africaine du point de vue extérieur, notamment européen. Par exemple ce qui concerne le besoin de main-d’œuvre. Mais qu’en est-il du point de vue africain?
(…)
Mais le drame de l’Afrique, c’est que chaque migrant qui la quitte renforce le sentiment d’échec collectif. Car ce sont les plus dynamiques, les membres de la classe moyenne émergente, qui ont les moyens de partir. Or, si même eux ne croient pas à l’avenir du continent, quel espoir reste-t-il à la masse des plus pauvres? Je connais un village au Sénégal où les jeunes filles ne veulent épouser que les garçons «assez garçon» pour aller chercher une vie meilleure en Europe. Partout sur le continent, une nouvelle inégalité divise les villages autant que les quartiers en ville, entre ceux qui ont «quelqu’un à l’étranger» et les autres. Les premiers font envie, les barres d’armature de leurs maisons pointent vers le ciel en attendant la construction d’un étage supplémentaire, leurs enfants poursuivent leurs études et peuvent se faire soigner. Les autres, pour ne pas rester «paumés», rivalisent d’efforts pour les égaler. L’Europe est leur loterie. Comment ne pas se demander à quoi ressemblerait une Afrique qui bénéficierait de toute cette énergie actuellement mobilisée pour lui tourner le dos ?
L’institut français d’islamologie (IFI) a été inauguré mardi 22 novembre à la Sorbonne. Cette structure a été créée en février dernier sous la forme d’un groupement d’intérêt publique (GIP) réunissant des établissements d’enseignement supérieur. Sous l’égide du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, ils sont huit partenaires institutionnels à se retrouver au sein de l’IFI : aux universités de Strasbourg et d’Aix-Marseille, l’École pratique des hautes études (EPHE), l’Institut national des langues et civilisation orientales (Inalco) et l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) se sont greffées l’université Lumière-Lyon 2, l’université Jean Moulin-Lyon 3 et l’École normale supérieure de Lyon.
Installé dans le Campus Condorcet, à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, l’IFI entend proposer « des formations académiques non-confessantes à même d’éclairer scientifiquement les étudiants et citoyens dans le domaine de l’islamologie » et « encourager l’introduction de cours d’islamologie dans des cursus de licence ». Il est dirigé par le philosophe Pierre Caye, directeur de recherche au CNRS, nommé par arrêté le 15 septembre par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, en remplacement de Souad Ayada.
Le recteur délégué pour l’Enseignement supérieur, la recherche et l’innovation (ESRI) en Nouvelle-Aquitaine Claudio Galderisi, un universitaire spécialiste de civilisation et littérature médiévales, préside, quant à lui, aux destinées de ce nouvel institut qu’il présente comme « une ressource pour la recherche et la formation dans l’étude de l’islam, en offrant ainsi à la communauté nationale un horizon d’humanisme ».
[…]« L’islam a besoin d’une approche scientifique et rationnelle froide, loin des raccourcis et analyses à l’emporte-pièce de certains politistes », fait également savoir la FIF, qui salue la nomination de l’islamologue Mohammad Ali Amir-Moezzi à la tête du conseil scientifique de l’IFI. Avec ce spécialiste du chiisme, ils sont 25 universitaires à avoir intégré le conseil.
[…]Institut français d’islamologie, présentation et organisation
Selon les données de la Guardia Urbana elle-même, les trois quarts des personnes arrêtées par les forces de police à Barcelone sont des étrangers. Concrètement, sur les 2 939 criminels arrêtés au cours du premier semestre, et sans tenir compte de ceux arrêtés par les Mossos, 2 247 étaient des étrangers et 692 des nationaux. Les délits les plus courants parmi les personnes arrêtées sont le vol, le trafic de drogue et le vol avec violence et violence domestique.
C’est la réponse donnée par le chef de la Guardia Urbana, Pedro Velázquez, à Valents. Précisément, la présidente du groupe municipal, Eva Parera, a souligné que ces chiffres “nous donnent raison, la plupart des criminels arrêtés à Barcelone sont des étrangers liés au vol, au trafic de drogue, au vol avec violence et à l’intimidation”. Pour le leader de Valents, il s’agit d’un “problème évident de personnes qui ne sont pas intégrées dans la ville et de gangs violents qui viennent illégalement et commettent des délits tels que la vente de drogues”.
[…]In Barcelona, Spain’s second largest city, police have admitted that over three quarters of the arrests that took place during the first half of this year were foreign nationals, despite the fact they compose 17.6% of the population.
[…]
C’est un plan explosif : les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur travaillent en coulisses sur des règles de naturalisation nettement plus souples. Il devrait être plus rapide d’obtenir la nationalité allemande !
► Les enfants d’immigrés nés ici obtiendront un passeport allemand si la mère et/ou le père ont eu une « résidence habituelle légale » chez nous pendant cinq ans. Contre huit jusqu’à présent. Cela signifie que tous les enfants de Syriens arrivés en République fédérale avec la grande vague de réfugiés en 2015/2016 sont automatiquement des Allemands.
► Les étrangers ne doivent plus avoir résidé huit ans en Allemagne avant de pouvoir être naturalisés. À l’avenir, cinq ans devraient suffire, dans des cas exceptionnels même trois. Des naturalisations à vitesse turbo !
► L’obligation de renoncer à sa nationalité antérieure sera supprimée, rendant le double passeport normal dans de nombreux cas.
► Les seniors de plus de 67 ans issus de la génération des travailleurs invités ne sont plus obligés de passer un test de langue écrit. La « capacité à communiquer oralement » est suffisante. Le test de connaissances précédemment requis sur l’Allemagne n’est également plus applicable pour ce groupe.
► Le devoir pour les migrants de respecter “les conditions de vie allemandes” n’est plus nécessaire non plus. Jusqu’à présent, les autorités vérifiaient si les demandeurs de passeport allemand étaient éventuellement mariés à plusieurs épouses en même temps.
Les experts estiment que plus de deux millions d’étrangers en Allemagne bénéficieront de la réforme. Un document du groupe parlementaire SPD (socialistes) déclare que la nouvelle loi arrivera au cabinet d’ici Noël.
Un nouveau sujet de friction divise la coalition allemande. L’annonce par la ministre de l’Intérieur, Nancy Faeser (social-démocrate), d’un futur projet de loi pour simplifier les procédures de naturalisation a été accueillie avec le plus grand froid par le parti libéral FDP.
« Ce n’est pas le moment alors qu’il n’y a eu aucun progrès en matière de lutte contre l’immigration clandestine », a déclaré lundi le secrétaire général du FDP, Bijan Djir-Sarai, au quotidien régional « Rheinische Post ». Olaf Scholz a cependant apporté son soutien à la réforme de sa ministre, alors que l’UE se montre déterminée à agir contre ce phénomène. Un porte-parole de Nancy Faeser a précisé que la réforme n’était qu’une concrétisation des engagements pris par le gouvernement dans son accord de coalition .
(…) Aux yeux d’Olaf Scholz, faciliter la naturalisation complétera le dispositif en renforçant l’attractivité de l’Allemagne. Le chancelier rappelle que le pays compte le nombre record de 45 millions d’actifs après une hausse très vigoureuse ces dernières années. « Les deux tiers de cette progression sont dus aux immigrés sans passeport allemand », a-t-il observé. Et ce n’est qu’un début : le nombre de postes vacants est actuellement au plus haut, souligne le chancelier. A la fin du premier semestre, l’Agence fédérale pour l’emploi en recensait 2 millions.
Dans les grandes lignes, le projet que le SPD et les Verts espèrent finaliser le mois prochain prévoit de réduire de huit à cinq ans le délai au-delà duquel les étrangers résidant légalement en Allemagne pourront être naturalisés. Ils pourront en outre cumuler deux nationalités. L’interdiction de cumul de principe qui prévaut jusqu’à présent a déjà été assouplie et 69 % de personnes naturalisées ont deux passeports. Mais sa suppression devrait lever un nouveau verrou.
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