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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 8 avril 2022

 

D'autre informations pourraient être rajoutées

 

 

Le discours de Volodymyr Zelensky au Parlement grec éclipsé par la vidéo du bataillon Azov

 

 

le 8 avril 2022

Le discours prononcé par le président ukrainien Volodymyr Zelensky devant le parlement grec jeudi 8 avril a été assombri par l’inclusion d’un message vidéo de la milice d’extrême droite, le Bataillon Azov, qui s’adressait aux parlementaires.

S’adressant au parlement grec par vidéoconférence, M. Zelensky a appelé Athènes à faire pression sur l’UE pour qu’elle adopte des sanctions plus strictes contre Moscou.

Cependant, une vidéo montrant un membre du bataillon Azov, qui a été diffusée aux législateurs grecs juste après le discours de Zelensky, a déclenché de vives réactions à Athènes.

«  Je me réveille chaque jour depuis plus d’un mois en pensant à Marioupol, qui est détruite par les troupes russes  », a déclaré le président ukrainien.

«  Il y a encore 100  000 personnes à la frontière de Marioupol. Il n’y a plus aucun bâtiment. Marioupol a été détruite  », a ajouté M. Zelensky.

Il a souligné que «  l’Ukraine est l’un des pays orthodoxes qui a été christianisé par les Grecs. Dans la culture et l’histoire ukrainiennes, on verra que nous perdrons une grande partie de l’histoire si nous perdons la culture apportée par la culture grecque  ».

«  La liberté ou la mort, c’est ce que disaient vos révolutionnaires. Nous crions la même chose aujourd’hui  », a déclaré le président ukrainien, faisant référence à la révolution grecque de 1821.

M. Zelensky a également appelé les Grecs à faire pression sur l’UE et à adopter des mesures plus strictes contre la Russie.

«  Nous devons fermer la porte aux banques russes. Aucun navire russe ne doit approcher des ports européens. Aucune acceptation sur les pétroliers russes. Avec l’argent que la Russie gagne, elle détruit nos villes  », a-t-il déclaré, soulignant également le besoin d’armes, d’équipements anti-aériens et de blindages.

Les députés des plus grands partis, Nouvelle Démocratie (PPE), Syriza (Gauche européenne) et socialistes ont assisté au discours de M. Zelensky, tandis que les communistes et le parti populiste Solution Grecque se sont abstenus. Diem25, le parti de gauche de Yiannis Varoufakis, n’était représenté que par un seul élu.

Bien que tous les législateurs présents aient salué le discours du président ukrainien exprimant leur soutien à l’Ukraine, un message vidéo au Parlement montrant un membre du bataillon Azov décrivant le désastre de Mariupol a assombri l’événement.

«  Je suis né à Marioupol, et je participe à la défense de la ville contre les nazis russes. Je ne parlerai pas des difficultés que nous rencontrons dans la défense, en participant par le biais du bataillon Azov. C’est ma dette envers ma ville, ma dette en tant qu’homme et je dois parler des conditions catastrophiques dans lesquelles se trouve la Mariupol grecque.  », a déclaré le soldat dans la vidéo.

La vidéo du soldat du bataillon Azov a déclenché la réaction des partis d’opposition ainsi que des membres influents du parti au pouvoir, Nouvelle Démocratie.

«  Le discours des membres du bataillon néo-nazi Azov au Parlement grec est une provocation. La responsabilité absolue incombe au Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. Il a parlé d’un jour historique, mais c’est une honte historique. La solidarité avec le peuple ukrainien est une évidence. Mais les nazis ne peuvent pas avoir leur mot à dire au Parlement  », a publié Alexis Tsipras, leader de Syriza, sur Facebook.

De même, l’ancien Premier ministre Antonis Samaras a déclaré que permettre la diffusion de cette vidéo à la Chambre grecque était une «  grosse erreur  ».

«  Le gouvernement grec a sapé de manière irresponsable la lutte du peuple ukrainien, en donnant la parole à un nazi. Les responsabilités sont lourdes. Le gouvernement devrait publier un rapport détaillé de la préparation et des contacts pour cet événement  », a commenté l’ancien ministre des Affaires étrangères Nikos Kotzias.

Les socialistes ont publié une déclaration demandant pourquoi les législateurs grecs n’avaient pas été informés de l’intervention vidéo d’un membre du bataillon Azov et ont appelé le président du Parlement grec à porter la responsabilité.

M. Mitsotakis a publié une déclaration disant que «  l’Europe est appelée à éteindre immédiatement le feu de la guerre qui a enflammé en son cœur le régime russe. Les crimes odieux qui ont été commis doivent être punis  ».

De son côté, le porte-parole du gouvernement, Giannis Oikonomou, a déclaré que l’inclusion du message du bataillon Azov était «  incorrecte et inappropriée  ». Il n’a toutefois pas précisé qui devait en être tenu pour responsable.

Source

LIRE AUSSI (video) : Volodymyr Zelensky et un membre du régiment Azov s’expriment devant le Parlement grec

 

Note ; le président ukrainien Volodymyr Zelensky qui vient parlais au parlement grec avec un de ces rat nazie !!  Mais la grande majorité des  "grands journaux" français  n'en éboute pas un mot (le Monde en a parlais)

 

Vers une guerre de religion, infos du 8 avril 2022

S’adressant au parlement grec par vidéoconférence, M. Zelensky a appelé Athènes à faire pression sur l’UE pour qu’elle adopte des sanctions plus strictes contre Moscou.

Cependant, une vidéo montrant un membre du bataillon Azov, qui a été diffusée aux législateurs grecs juste après le discours de Zelensky, a déclenché de vives réactions à Athènes.

«  Je me réveille chaque jour depuis plus d’un mois en pensant à Marioupol, qui est détruite par les troupes russes  », a déclaré le président ukrainien.

«  Il y a encore 100  000 personnes à la frontière de Marioupol. Il n’y a plus aucun bâtiment. Marioupol a été détruite  », a ajouté M. Zelensky.

Il a souligné que «  l’Ukraine est l’un des pays orthodoxes qui a été christianisé par les Grecs. Dans la culture et l’histoire ukrainiennes, on verra que nous perdrons une grande partie de l’histoire si nous perdons la culture apportée par la culture grecque  ».

«  La liberté ou la mort, c’est ce que disaient vos révolutionnaires. Nous crions la même chose aujourd’hui  », a déclaré le président ukrainien, faisant référence à la révolution grecque de 1821.

M. Zelensky a également appelé les Grecs à faire pression sur l’UE et à adopter des mesures plus strictes contre la Russie.

«  Nous devons fermer la porte aux banques russes. Aucun navire russe ne doit approcher des ports européens. Aucune acceptation sur les pétroliers russes. Avec l’argent que la Russie gagne, elle détruit nos villes  », a-t-il déclaré, soulignant également le besoin d’armes, d’équipements anti-aériens et de blindages.

Les députés des plus grands partis, Nouvelle Démocratie (PPE), Syriza (Gauche européenne) et socialistes ont assisté au discours de M. Zelensky, tandis que les communistes et le parti populiste Solution Grecque se sont abstenus. Diem25, le parti de gauche de Yiannis Varoufakis, n’était représenté que par un seul élu.

Bien que tous les législateurs présents aient salué le discours du président ukrainien exprimant leur soutien à l’Ukraine, un message vidéo au Parlement montrant un membre du bataillon Azov décrivant le désastre de Mariupol a assombri l’événement.

«  Je suis né à Marioupol, et je participe à la défense de la ville contre les nazis russes. Je ne parlerai pas des difficultés que nous rencontrons dans la défense, en participant par le biais du bataillon Azov. C’est ma dette envers ma ville, ma dette en tant qu’homme et je dois parler des conditions catastrophiques dans lesquelles se trouve la Mariupol grecque.  », a déclaré le soldat dans la vidéo.

La vidéo du soldat du bataillon Azov a déclenché la réaction des partis d’opposition ainsi que des membres influents du parti au pouvoir, Nouvelle Démocratie.

«  Le discours des membres du bataillon néo-nazi Azov au Parlement grec est une provocation. La responsabilité absolue incombe au Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. Il a parlé d’un jour historique, mais c’est une honte historique. La solidarité avec le peuple ukrainien est une évidence. Mais les nazis ne peuvent pas avoir leur mot à dire au Parlement  », a publié Alexis Tsipras, leader de Syriza, sur Facebook.

De même, l’ancien Premier ministre Antonis Samaras a déclaré que permettre la diffusion de cette vidéo à la Chambre grecque était une «  grosse erreur  ».

«  Le gouvernement grec a sapé de manière irresponsable la lutte du peuple ukrainien, en donnant la parole à un nazi. Les responsabilités sont lourdes. Le gouvernement devrait publier un rapport détaillé de la préparation et des contacts pour cet événement  », a commenté l’ancien ministre des Affaires étrangères Nikos Kotzias.

Les socialistes ont publié une déclaration demandant pourquoi les législateurs grecs n’avaient pas été informés de l’intervention vidéo d’un membre du bataillon Azov et ont appelé le président du Parlement grec à porter la responsabilité.

M. Mitsotakis a publié une déclaration disant que «  l’Europe est appelée à éteindre immédiatement le feu de la guerre qui a enflammé en son cœur le régime russe. Les crimes odieux qui ont été commis doivent être punis  ».

De son côté, le porte-parole du gouvernement, Giannis Oikonomou, a déclaré que l’inclusion du message du bataillon Azov était «  incorrecte et inappropriée  ». Il n’a toutefois pas précisé qui devait en être tenu pour responsable.

Source

LIRE AUSSI (video) : Volodymyr Zelensky et un membre du régiment Azov s’expriment devant le Parlement grec

 

Note ; le président ukrainien Volodymyr Zelensky qui vient parlais au parlement grec avec un de ces rat nazie !!  Mais la grande majorité des  "grands journaux" français  n'en éboute pas un mot (le Monde en a parlais)

 

Kramatorsk : Revendications ukrainiennes d'une « attaque au missile » russe sur la provocation d'une gare - MoD

 

 

Derniére info

Auparavant, le bureau du DPR au Centre conjoint de contrôle et de coordination sur le cessez-le-feu et la stabilisation de la ligne de démarcation (JCCC) avait signalé que des unités ukrainiennes avaient ouvert le feu sur le territoire de la république 32 fois au cours de la journée.

Le ministère russe de la Défense a rejeté les déclarations du régime de Kiev affirmant qu'une roquette russe avait frappé la gare de Kramatorsk comme une "provocation".

 

"Les forces armées russes n'ont effectué aucune mission de tir dans la ville de Kramatorsk le 8 avril", a indiqué le ministère.

Les missiles balistiques Tochka-U, dont des fragments ont été retrouvés dispersés près de la gare ferroviaire de Kramatorsk, ne sont utilisés que par les forces ukrainiennes, a ajouté le ministère de la Défense russe dans son communiqué. L'armée ukrainienne a frappé la station depuis la colonie de Dobropilya, située à 45 kilomètres, a déclaré le ministère de la Défense russe.

Selon Moscou, le but de l'attaque de Kiev contre la gare de Kramatorsk était de perturber l'évacuation massive et d'utiliser les habitants comme bouclier humain.

Plus tôt, le porte-parole de la milice populaire de la République populaire de Donetsk, Eduard Basurin ., a déclaré que les forces ukrainiennes avaient organisé une provocation délibérée à Kramatorsk, où environ 30 personnes sont mortes à la suite d'une frappe de missile.

"Une provocation a eu lieu à Kramatorsk. Les autorités ukrainiennes n'ont pas caché qu'elles préparaient une autre provocation. Premièrement, une évacuation a été annoncée des villes de Kramatorsk, Kostyantynivka, Slovyansk. Les gens ont commencé à se rassembler dans des endroits où vous pouvez partir — gares ferroviaires. Les munitions ont été touchées, il y a environ 30 morts », a déclaré Basurin à la chaîne de télévision russe Channel One.

L'armée ukrainienne a d'abord annoncé l'évacuation des citoyens de Kramatorsk et de Slavyansk, puis a mené l'attaque avec un missile balistique Tochka-U, a-t-il déclaré, avertissant que d'autres provocations similaires pourraient être attendues.

Auparavant, les Forces de défense territoriales de la République populaire de Donetsk avaient annoncé que les forces ukrainiennes avaient frappé Kramatorsk dans le Donbass avec un missile balistique Tochka-U.

"La frappe de missiles a ciblé une zone proche de la gare de Kramatorsk, où l'évacuation de la population locale est en cours. Des fragments du missile balistique Tochka-U sont tombés près de la gare", ont ajouté les forces de la RPD sur leur chaîne Telegram .

« Ce système de missiles obsolète de l'ère soviétique n'est pas enregistré auprès des forces militaires de la République populaire de Donetsk, de la République populaire de Lougansk ou de la Fédération de Russie. Il est cependant activement utilisé par les militants ukrainiens », a ajouté le post.

Auparavant, les autorités de la RPD avaient signalé que les forces ukrainiennes avaient ouvert le feu sur le territoire de la république au moins 32 fois au cours des dernières 24 heures.

Source Spoutnik international (traduction)

 


Note ; dans une telle situation, il faut réfléchir, "à qui profite le crime", quel intérêt pour les Russes déjà accusés du pire, de s'attaquer à des civils en évacuation ! Surtout en sachant que les Russes ont ouvert des couloirs humanitaires !

Par contre les néonazies d'Ukraine sont prêts à tous pour provoquer une guerre mondiale

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev et Moscou « désireuses » de tenir de nouveaux pourparlers en Turquie malgré Boutcha…

 

L’ESSENTIEL

  • Vingt-six corps ont été extraits de décombres d’habitations à Borodianka, près de Kiev, où les destructions pourraient être pires que celles de Boutcha selon Volodymyr Zelensky.
  • L’Union européenne a approuvé un embargo sur le charbon russe, et va proposer de débloquer 500 millions d’euros supplémentaires pour l’envoi d’armes en Ukraine.
  • Selon le ministre américain de la Défense, Lloyd Austin, « Poutine a renoncé à ses efforts pour capturer la capitale », Kiev, et se concentre sur le sud et l’est du pays.

 

 

14h46 : Ce que l’on sait de l’attaque aux tirs de roquettes de la gare de Kramatorsk

Au lendemain de sa suspension au Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies, la Russie frappe à nouveau. Ce vendredi matin, deux roquettes se sont abattues sur la gare de Kramatorsk, dans  l'Est de l'Ukraine , faisant de nombreux morts et blessés. 20 Minutes fait le point sur cette nouvelle offensive qui ne laisse que peu de doutes sur la détermination du Kremlin.


 

 

 

14h35 : Près de 700 personnés tuées à Tcherniguiv depuis le début de l'invasion russe

Près de 700 personnes ont été tuées dans des bombardements russes à Tcherniguiv, centre régional situé au nord de Kiev, la capitale de l'Ukraine, près de la frontière bélarusse, a indiqué vendredi le maire de cette ville cité par l'agence de presse Unian.

 

 

14h29 : La Russie et l'Ukraine « désireuses » de tenir de nouveaux pourparlers malgré Boutcha

La Russie et l'Ukraine restent « désireuses » de tenir de nouveaux pourparlers en Turquie malgré les récentes exactions survenues notamment à Boutcha, a affirmé vendredi un haut responsable turc. « La Russie et l'Ukraine sont désireuses de s'entretenir à nouveau en Turquie, mais elles restent loin d'un accord sur un texte commun », a indiqué à des journalistes ce responsable de haut niveau, refusant d'être nommé.

 

13h51 : Moscou accuse l’Ukraine d’avoir délibérément tiré sur la gare de Kramatorsk

« Le but de la frappe orchestrée par le régime de Kiev sur la gare ferroviaire de Kramatorsk était d’empêcher le départ de la population de la ville afin de pouvoir l’utiliser comme bouclier humain », a accusé le ministère russe de la Défense, assurant que le missile avait été tiré depuis la localité de Dobropillia.

 

13h35 : « Pour nos enfants »

Ce sont les mots inscrits en russe sur le missile russe envoyé sur la gare de Kramatorsk, faisant 39 morts, dont quatre enfants.

 

 

11h59 : L'armée russe dément avoir frappé Kramatorsk, dénonce une « provocation » ukrainienne

L'armée russe a démenti vendredi tout tir de missile sur la gare de Kramatorsk, dans l'est de l'Ukraine, dénonçant une «provocation» des forces de Kiev, alors que cette frappe a fait au moins 35 morts. « Toutes les déclarations des représentants du régime nationaliste de Kiev sur le fait que la Russie a mené une attaque de missile contre la gare ferroviaire de Kramatorsk sont une provocation et ne correspondent pas à la vérité », a dit le ministère de la Défense, affirmant même que seules « les forces armées ukrainiennes » utilisent ce type de missile « Totchka-U ».

DIRECT

 

 

 

 

 

L'Assemblée générale de l'ONU suspend la Russie du Conseil des droits de l'Homme des Nations un…

 

07/04/2022

L'Assemblée générale de l'#ONU a suspendu la Russie du Conseil des droits de l'Homme des Nations unies

Note: de toute façons cette assemblé d'islamo collabos , ne sert a rien

La France devrais aussi quitter cette racaille bureaucratique qui ne cherchent qu' a islamiser  l'Europe, au nom de leur religions séculière, des droits de l'homme

 

 

La Chine met en garde contre la politisation de la question des droits de l'homme alors que la Russie est expulsée d'un organe de l'ONU

 

L'Assemblée générale des Nations unies a adopté le 7 avril une résolution suspendant le travail de la Russie au sein du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, le ministère russe des Affaires étrangères qualifiant cette décision de "démarche illégale et politiquement motivée".

Pékin s'oppose à la politisation de la question des droits de l'homme, a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères à propos de la suspension de la Russie de son siège au Conseil des droits de l'homme de l'ONU.

"La Chine s'oppose fermement (...) au double standard électoral et à la confrontation sur les questions des droits de l'homme, et à l'utilisation de la question des droits de l'homme pour faire pression sur d'autres pays", a déclaré à la presse le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian.

Suite aux demandes des États-Unis et du Groupe des Sept, les Nations Unies ont suspendu la Russie du CDH lors d'un vote jeudi. La résolution de dépouiller la Russie de son siège a été adoptée avec 93 voix pour, 24 contre et 58 abstentions.

La préparation de la résolution n'a pas été transparente, et cette décision ne servira qu'à exacerber la scission au sein du Conseil, « à accroître les contradictions entre les parties et à jeter de l'huile sur le feu », a ajouté Zhao Lijian.

Les pays qui ont voté contre sont l'Algérie, la Biélorussie, la Bolivie, le Burundi, la RCA, la Chine, la République du Congo, Cuba, la Corée du Nord, l'Érythrée, l'Éthiopie, le Gabon, l'Iran, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Laos, le Mali, le Nicaragua, la Russie, la Syrie. , Tadjikistan, Ouzbékistan, Vietnam et Zimbabwe.

L'Égypte, le Cameroun, le Ghana, l'Inde, le Koweït, le Mexique, la Mongolie, le Pakistan, l'Arabie saoudite, l'Afrique du Sud et les Émirats arabes unis font partie de ceux qui se sont abstenus.

La Serbie, Israël et la Turquie faisaient partie de ceux qui ont soutenu la décision de suspendre la Russie de l'organisme.

C'est la première fois qu'un membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU est expulsé de force d'un organe de l'ONU.

Alors que cette décision privait Moscou du droit de vote et de parole au conseil, en réponse, le représentant permanent adjoint de la Russie auprès des Nations Unies, Gennady Kuzmin, a déclaré que la Russie mettait fin à son adhésion à l'organe de l'ONU.

La décision d'expulser la Russie du CDH a été critiquée par le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, comme "illégale" et "politiquement motivée". Il a ajouté que Moscou regrettait sa suspension et continuerait à défendre ses intérêts et à clarifier sa position.

Les États-Unis avaient appelé à cette décision plus tôt dans la semaine, après que les forces russes se sont retirées de la ville ukrainienne de Bucha et que des images de dizaines de civils morts ont circulé dans la presse occidentale. Washington a affirmé que les troupes russes les avaient exécutés.

Moscou a nié toutes les accusations de ciblage de civils et a souligné un intervalle de plusieurs jours entre le retrait russe et la découverte des corps, période pendant laquelle la police ukrainienne avait effectué des ratissages dans la région pour expulser des citoyens pro-russes.

Source Soutnik (traduction)

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine va "concentrer ses efforts sur le Donbass" en vue d'une "victoire le 9 mai", estime Emmanuel Macron

 

Emmanuel Macron lors d'un meeting de campagne pour l'élection présidentielle, à Paris, le 2 avril 2022. (SANDRINE MARTY / HANS LUCAS / AFP)

Vladimir Poutine va concentrer ses attaques sur la région ukrainienne du Donbass pour chercher une "victoire" début mai, a avancé Emmanuel Macron sur RTL, vendredi 8 avril. "Pour la Russie, le 9 mai est une fête nationale, un rendez-vous militaire important. Il est à peu près sûr que, pour le président Poutine, le 9 mai doit être un jour de victoire", a expliqué le chef de l'Etat. "Ils vont concentrer leurs efforts dans le Donbass, nous allons vivre des scènes très difficiles dans les prochaines semaines" dans cette région de l'est de l'Ukraine, a-t-il jugé.

Vendredi matin, un bombardement a touché la gare de Kramatorsk, dans l'est de l'Ukraine, par laquelle des milliers de personnes sont évacuées depuis plusieurs jours vers le reste du pays. Elle a fait au moins 30 morts et une centaine de blessés, selon un responsable du réseau ferroviaire ukrainien. Les autorités ukrainiennes accusent la Russie d'être responsable de cette attaque.

Emmanuel Macron a par ailleurs rappelé que la France, la Grèce et la Turquie tentaient d'organiser des opérations humanitaires à Marioupol, mais "avec beaucoup de difficultés" en raison d'un "refus russe complet". Ce port du sud du pays est assiégé par les forces russes depuis plusieurs semaines.

Source

 

 

 

Attaque à Tel-Aviv : la police israélienne annonce avoir abattu l'assaillant

 

07/04/2022

Les services de sécurité israéliens ont annoncé, vendredi 8 avril dans la matinée, avoir tué l'homme soupçonné d'avoir mené la veille une attaque à Tel-Aviv ayant fait deux morts et une dizaine de blessés. Après une chasse à l'homme de plusieurs heures, le suspect a été abattu lors d'un "échange de tirs" avec l'armée et les forces de l'ordre, près d'une mosquée située dans le quartier de Jaffa, a précisé la police israélienne.

Selon le Shin Beth, le service de renseignement intérieur israélien, l'assaillant était âgé de 28 ans et se nommait Raëd Hazem. C'est un Palestinien "sans affiliation connue" à une faction armée et il était originaire du secteur de Jénine, dans le nord de la Cisjordanie, un territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

L'attaque de jeudi soir est la seconde attaque en neuf jours dans la région de Tel-Aviv et la quatrième en moins de trois semaines en Israël. L'armée israélienne avait répliqué en menant une série de raids en Cisjordanie occupée, fin mars, tuant trois combattants du groupe Jihad islamique.

Source

 

 

Attentat à Tel Aviv (Israël) : le terroriste traqué dans toute la ville, au moins deux morts (MàJ)

C’est la quatrième attaque en un peu plus de deux semaines en Israël. Les forces de l’ordre ont demandé à la population de ne pas sortir dehors.

Au moins deux personnes ont été tuées ce jeudi soir, dans une attaque au cœur de la métropole israélienne Tel-Aviv. La Magen David Adom, l’équivalent de la Croix-rouge israélienne, a par ailleurs indiqué dans un bref message avoir traité plusieurs blessés, dont certains sont dans un état critique et ont été transférés à l’hôpital Ichilov. Ce dernier a fait état de huit personnes dans ses services.

L’attaque a eu lieu rue Dizengoff, dans le centre de Tel-Aviv. Des témoins sur place ont indiqué à l’AFP avoir entendu des coups de feu et vu des scènes de chaos dans le centre de Tel-Aviv où la police israélienne a indiqué être déployée. « C’est une ambiance de guerre, des soldats et des policiers partout… ils ont fouillé le restaurant, des gens pleurent et courent dans tous les sens », a déclaré à l’AFP Binyamin Blum, qui travaille dans un restaurant près du lieu de l’attaque.

Le Parisien

 

Toulouse : le prêtre de la cathédrale St-Etienne agressé par un individu qui venait de déposer un engin explosif devant l’autel (MàJ : le suspect arrêté)

Le suspect a été arrêté 

Le suspect, recherché depuis ce matin à Toulouse, vient d’être interpellé à Toulouse. C’est la BRI (Brigade de recherche et d’intervention) de la police judiciaire qui est intervenue. L’homme a été placé en garde à vue.

La Dépêche




Les démineurs ont neutralisé un dispositif amateur, sans système de mise à feu, dans le sac abandonné par le suspect dans la cathédrale selon plusieurs sources policières. Gérald Darmanin annonce la fin de l’opération de police, confirmant qu’il n’y a “aucune victime”.

Actu 17


(…) L’agresseur est activement recherché par les forces de l’ordre, il s’agirait d’un individu “de type méditerranéen” et “portant une casquette” nous précise le sacristain qui regrettait de ne pas avoir pu le plaquer au sol. Le secteur est très sensible puisque la préfecture de Haute Garonne et d’Occitanie jouxte la cathédrale dans le centre de Toulouse. 

100% radio


Un prêtre a fait face à un individu ce vendredi matin à Toulouse dans la cathédrale Saint-Etienne qui a pris la fuite. Le secteur est bouclé par un important dispositif policier.

Un prêtre officiant à la cathédrale Saint-Etienne de Toulouse a tenté de maîtriser un individu qui s’était introduit ce vendredi matin vers 8h30 dans l’édifice pour y déposer un sac. Il a pris la fuite.

France Bleu 

Un sacristain de la cathédrale Saint-Etienne de Toulouse a été bousculé ce vendredi matin. L’agresseur a pris la fuite. Un périmètre de sécurité est mis en place.

Un sacristain de la cathédrale Saint-Etienne de Toulouse a été bousculé par un homme, ce vendredi 8 avril. Selon nos premières informations, au cours de la messe de 8 heures, un homme est entré dans l’édifice et a déposé un colis devant l’autel en hurlant des propos qui n’ont pas été compris par l’assistance. Il a ensuite pris la fuite en courant avant de bousculer le sacristain qui tentait de l’intercepter. L’homme d’église n’a pas été blessé

Une cinquantaine de policiers dont des démineurs sont mobilisés sur place. Les images de vidéosurveillance sont en cours d’analyse. Un périmètre de sécurité a été mis en place. Le secteur est à éviter ce vendredi matin.

La Dépêche

 

 

Christiane Taubira annonce qu’elle votera pour Jean-Luc Mélenchon « dès le premier tour » afin de « barrer la route » à l’extrême droite

 

La vainqueure de la Primaire populaire, qui avait finalement jeté l’éponge faute d’avoir pu recueillir cinq cents parrainages, a appelé, vendredi 8 avril, à voter pour le candidat de La France insoumise.

Christiane Taubira, lors de l’annonce de son retrait de la campagne présidentielle, à Paris, mercredi 2 mars 2022.

Elle aura finalement donné sa position à deux jours du premier tour de la présidentielle. L’ancienne ministre de la justice Christiane Taubira a appelé à voter pour le candidat « insoumis », pour « barrer la route » à l’extrême droite « dès le premier tour ». « Le candidat de gauche en situation de le faire est aujourd’hui Jean-Luc Mélenchon. Dimanche, il aura mon vote », assure-t-elle dans un communiqué.

« L’extrême droite au pouvoir parut longtemps une idée délirante. Il y a cinq ans, cette hypothèse semblait encore extravagante, tout en appelant la vigilance. La perspective devient plausible à l’échéance de cette élection présidentielle », prévient-elle encore.

« Merci à Christiane Taubira pour son appel à construire un deuxième tour digne de notre histoire », a répondu le candidat de la gauche radicale dans un tweet.

Lire la suite

 

Note: qui se ressemble , s'assemble, la vermine islamo collabo se reconnais

 

 

 

Échirolles (38) : trois personnes agressées sur un parking “pour un mauvais regard”, l’une des victimes blessée au visage par une pince coupante

Un homme soupçonné d’avoir, en compagnie d’un complice, agressé trois personnes sur le parking d’un magasin de l’avenue d’Honhoue à Échirolles, a été interpellé par la police, jeudi vers 17 heures. Un deuxième homme est parvenu à prendre la fuite.

Selon le témoignage de l’un des trois hommes agressés, deux inconnus s’en seraient pris à eux sans autre raison qu’un prétendu mauvais regard. L’une des victimes, blessée au visage avec une pince coupante, a été secourue par les sapeurs-pompiers et transportée en milieu hospitalier. L’agresseur a été placé en garde à vue.

La Dauphiné

 

 

Escroquerie aux emplois aidés : Théo Luhaka et ses frères condamnés. Ils avaient détourné 678.000 euros d’argent public. (MàJ)

Personnage central du dossier, Mickaël Luhaka, 38 ans, grand frère de Théo et qui se présente comme entrepreneur, était poursuivi pour avoir mis sur pied des structures juridiques, officiant sur le papier dans le football ou la médiation de rue, afin de toucher les subventions de faux emplois aidés.

Dans la réalité, les salariés n’existaient pas ou ne travaillaient qu’à temps partiel. L’argent public servait largement à des dépenses étrangères à l’activité, ou était transféré sur les comptes personnels de l’entourage de Mickaël Luhaka.

Celui-ci a été condamné à quatre ans de prison dont deux avec sursis, ainsi qu’une interdiction de gérer pendant dix ans. Sa peine de prison ferme sera aménagée en surveillance sous bracelet électronique. Le chéquier associatif lui servait à payer de nombreuses dépenses personnelles : des vacances en Espagne en amoureux, sa voiture, son loyer, un séjour au cap d’Agde, des abonnements à Canal+ et SFR…

Moins impliqué que son grand frère dans le montage, Théo Luhaka s’est vu infliger une peine de douze mois de prison avec sursis et cinq années d’interdiction de gérer. Le jeune homme de 27 ans avait reçu sur son compte en banque des dizaines de milliers d’euros provenant des associations subventionnées. Au procès mi-février, il avait entretenu le flou sur son rôle exact, arguant du manque de «souvenirs». Le troisième frère, Grégory, a été condamné à deux ans et demi de prison dont un an et demi avec sursis.

Le Figaro17/02/2022

La représentante du ministère public a requis la peine la plus importante pour Mickaël, le prévenu sur lequel pèsent les poursuites les plus lourdes, à savoir 4 ans de prison dont la moitié avec sursis, l’autre pouvant être aménagée sous la forme d’une détention à domicile sous surveillance électronique. Deux ans de prison avec sursis dont six mois ferme également aménageables ont été requis à l’encontre de Grégory Luhaka. Chacune de ces peines a été assortie par le parquet d’une amende de 50 000 euros.

« On n’a pas affaire à des escrocs guidés par l’appât du gain »

La procureure a aussi requis trois ans de prison, dont deux avec sursis, contre la seule femme poursuivie et la relaxe pour deux autres prévenus. Contre Théo Luhaka, le plus jeune et le plus médiatisé des membres de la fratrie, il a été requis deux ans de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende. Cet habitant d’Aulnay-sous-Bois est devenu un symbole des violences policières depuis sa violente interpellation en février 2017. Depuis ce jour, le jeune homme souffre d’une infirmité permanente.

(…) Le Parisien15/02/2022

Théo, très grièvement blessé par un policier en 2017, se retrouve mêlé à un dossier de détournement d’aides publiques. Avec deux de ses frères, Mickaël et Grégory, il est poursuivi pour escroquerie en bande organisée. De forts soupçons de travail dissimulé et de fraude pèsent sur une partie de la fratrie.

À partir du mercredi 16 février et pour trois jours, Mickaël, Grégory et Théodore Luhaka sont renvoyés devant le tribunal de Bobigny, pour une supposée escroquerie en famille. La justice les soupçonne de détournement d’aides publiques au profit d’associations dont l’un des frères avait la gestion. La somme de 678 000 euros qui a été versée n’aurait pu être retracée. Une quarantaine d’emplois devaient être créés mais ils n’ont pas été déclarés à l’Urssaf.

(…) Le Parisien


06/06/2018

Mickaël Luhaka, 34 ans, avait été convoqué en mars dernier par la police judiciaire (PJ) de Seine-Saint-Denis mais ne s’était pas rendu à la convocation par négligence. Cette fois, la justice a choisi d’aller le chercher au domicile de ses parents à Aulnay-sous-Bois, tout comme son frère Théo et trois autres membres de leur famille.

(…) L’enquête de la PJ porte sur le fonctionnement trouble de trois associations et sur l’utilisation de plusieurs centaines de milliers d’euros de fonds publics par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi (emplois aidés). (…)

170 000 € directement virés sur les comptes de huit membres de la famille

Au cœur de ce réseau familial d’escroqueries présumées, il y a Michaël, l’aîné de la fratrie. Interdit bancaire et condamné aux Prud’hommes, Mickaël s’est parfois associé à son frère cadet, Grégory, 28 ans, notamment à travers une association de sport de combat domiciliée à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Le grand frère a parfois aussi géré certaines structures, via des prête-noms, comme l’association Essence de la réussite, basée à Paris, mais rayonnant dans d’autres départements comme la Haute-Vienne. L’ex président, Serge F., est aujourd’hui en garde à vue.

Dans chacune des structures, Mickaël Luhaka est soupçonné d’avoir recruté des salariés sous contrat d’avenir sans jamais les payer ou très peu, ni régler l’Urssaf. Sauf quand il s’agissait de ses proches… Entre janvier 2014 et juin 2016, une association de médiation, Aulnay Events, présidée par Mickaël Luhaka, a embauché 42 emplois et touché 678 000 € de subventions d’Etat, dont 170 000 € directement virés sur les comptes de huit membres de la famille. Théo a perçu à lui seul 52 000 €. L’association déclarait mener des interventions dans les quartiers contre les violences alors que son unique occupation était le ballon rond.

(…) Le Parisien

 

 

Furieux d’avoir été critiqué par la Pologne, Emmanuel Macron traite le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki, qui a des origines juives revendiquées, d’«antisémite d’extrême-droite»

Face aux lecteurs du Parisien – Aujourd’hui en France, le candidat Emmanuel Macron attaque la candidate du RN, qu’il accuse d’avoir un «programme social mensonger». Et il précise son propre projet sur les questions de pouvoir d’achat, d’éducation et de santé.

Il est arrivé dans nos locaux sous haute escorte, dans une salle en rez-de-jardin à l’abri des snipers, mais bien décidé à répondre à toutes les questions des lecteurs du Parisien -Aujourd’hui en France. « Je vais essayer d’être sincère tout du long ! » leur promet Emmanuel Macron au moment d’entamer cet entretien (…)

Le Parisien


En complément :

Un homme politique aux racines juives qui a déclaré que ses deux tantes ont été sauvées par des non-juifs pendant l’Holocauste a été nommé Premier ministre de la Pologne lors d’un remaniement ministériel.

(…) Ses racines juives étaient connues en Pologne. Morawiecki les a évoquées cette année lors d’une cérémonie au zoo de Varsovie en l’honneur d’un ancien directeur de zoo et de son épouse, Jan et Antonina Żabiński, qui ont sauvé des centaines de juifs ainsi que d’autres sauveteurs et qui ont fait l’objet d’un film.

« Toujours lors de telles cérémonies, je commence à réfléchir à la propre histoire de ma famille », avait alors déclaré Morawiecki.

« Ma tante Irena était juive, elle a survécu à la guerre alors qu’elle avait 10 ans. Jusqu’à l’âge de 16 ans, elle est restée avec une famille polonaise qui l’a sauvée » avec l’aide de quelques dizaines d’autres Polonais non juifs qui ont risqué leur vie pour la cacher, avait-il dit.

« Mon autre tante qui s’appelle Roma, vit maintenant en Israël. Elle a survécu à l’Holocauste parce qu’elle s’est enfuie vers l’est, sans doute vers les territoires occupés par les Russes, alors que le reste de sa famille est mort, avait précisé Morawiecki.

Times of Israel

Dans son premier discours en tant que Premier ministre de Pologne, Mateusz Morawiecki a indiqué que les Polonais non-juifs qui ont sauvé leurs « frères juifs » durant la Shoah représentent « l’essence même de ce que signifie être Polonais ».

Morawiecki, un ancien banquier, qui, au mois de septembre, avait évoqué ses origines juives – deux de ses tantes le sont – dans un discours sur les sauveurs de Juifs à Varsovie a présenté son discours inaugural devant le Parlement mardi.

Times of Israel

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