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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 6 mars 2022

 

 

Poutine menace de priver l'Ukraine de son "statut d'Etat" et compare les sanctions à une "déclaration de guerre"

 

Le président russe a mis en garde l'Occident contre la tentation d'imposer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine samedi, une mesure que Kiev réclame avec insistance.

L'armée russe maintient ce dimanche la pression sur le sud de l'Ukraine et sur Kiev au onzième jour de l'invasion, le président Vladimir Poutine menaçant de priver le pays de son "statut d'Etat" et comparant les sanctions internationales qui frappent la Russie à une "déclaration de guerre".

Le président russe a notamment averti samedi que l'Ukraine pourrait perdre son "statut d'Etat" si elle continuait à refuser de céder aux exigences russes. Moscou réclame un statut "neutre et non nucléaire" pour l'Ukraine et sa démilitarisation, ce que Kiev, qui cherche à adhérer à l'Union européenne et à l'Otan, juge inacceptable.

Les autorités ukrainiennes "doivent comprendre que si elles continuent de faire ce qu'elles font, elles mettent en question l'avenir du statut d'Etat ukrainien. Et si cela se passe, elles en seront entièrement responsables", a déclaré Vladimir Poutine au cours d'une rencontre samedi avec des employées des compagnies aériennes russes.

 

LIRE AUSSI : Poutine prévient qu'établir une zone d'exclusion aérienne sera vu comme une participation au conflit

 

Des sanctions qui s'apparentent à une "déclaration de guerre"

Alors que les sanctions continuent de se multiplier, de la part d'états comme d'entreprises, le maître du kremlin a dénoncé ce qui, selon lui, "s'apparente à une déclaration de guerre".

"Ces sanctions qui sont mises en place, cela s'apparente à une déclaration de guerre", a affirmé Vladimir Poutine. "Mais Dieu merci, on n'en est pas encore arrivé là", a-t-il ajouté.

Vladimir Poutine a cependant mis en garde l'Occident contre la tentation d'imposer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine, une mesure que Kiev réclame avec insistance mais à laquelle l'Otan se refuse, afin de ne pas se retrouver entraînée dans un affrontement direct avec la Russie.

L'instauration d'une zone d'exclusion serait considérée par Moscou "comme une participation au conflit armé de tout pays" dont le territoire serait utilisé pour "créer une menace envers nos militaires", a prévenu Vladimir Poutine.

Selon les autorités ukrainiennes, une troisième session de négociations avec les Russes se déroulera lundi, mais les chances de parvenir à des progrès paraissent infimes.

Source

 

Note ; jusqu’où va aller la patience de Poutine, puisqu'il a bien compris que les occidentaux cherchent a détruire l’économie de la Russie

 

 

 

Guerre en Ukraine: Visa et Mastercard suspendent leurs opérations en Russie

 

Les géants mondiaux des cartes bancaires Visa et Mastercard suspendent leurs opérations en Russie.

Les géants mondiaux des cartes bancaires Visa et Mastercard suspendent leurs opérations en Russie. - Thomas Kohler - Flickr - CC

Après l'invasion de l'Ukraine, les géants mondiaux des cartes bancaires ont annoncé la suspension de leurs opérations en Russie.
 

Les géants mondiaux des cartes bancaires Visa et Mastercard ont annoncé ce samedi qu'ils suspendaient leurs opérations en Russie après l'invasion de l'Ukraine.

Mastercard a "décidé de suspendre (son) réseau de services en Russie", et Visa va "cesser toutes les transactions Visa au cours des prochains jours", ont fait savoir les deux sociétés dans des communiqués.

 

Dans les prochains jours, il deviendra progressivement impossible d'effectuer des transactions bancaires avec des cartes Visa ou encore Mastercard émises en Russie, et il sera également impossible d'effectuer des opérations sur le territoire russe avec des cartes émises à l'étranger. Les deux entreprises avaient fait savoir il y a quelques jours leur intention d'exclure les institutions financière russes de leur réseau financier.

 

Cette guerre et les sanctions imposées à la Russie "auront aussi un impact substantiel sur l'économie mondiale et les marchés financiers, avec des effets collatéraux pour d'autres pays", a averti le Fonds monétaire international, disant craindre des conséquences "dévastatrices".

Source

 

LIRE AUSSI : La Nasa cherche une solution en urgence pour piloter la Station spatiale sans la Russie

ET : Guerre en Ukraine : la Banque centrale russe demande aux banques du pays de ne pas publier leurs bilans financiers après les sanctions occidentales

 

Note: les banques russes ont déjà trouvé la parade a ces sanctions

 

 

Guerre en Ukraine : Des banques russes se tournent vers le réseau chinois UnionPay

 

(..)

Le système bancaire russe touché par les sanctions économiques

« Sberbank travaille à la possibilité d’émettre des cartes co-marquées Mir-UnionPay. Nous vous informerons plus tard du calendrier d’émission », a expliqué le numéro 1 du secteur bancaire russe. « Nous travaillons déjà à l’émission de cartes UnionPay, le système de paiement national de la Chine. Avec cette carte, on peut faire des paiements dans 180 pays du monde », a aussi précisé Alfa Bank, sur son compte Telegram. Selon les agences de presse russes, Rosbank, Tinkoff-Bank, Raiffeisen et MKB ont toutes indiqué travailler aussi sur ce dossier...

Source

 

 

Guerre en Ukraine : qu'est-ce que l'exclusion aérienne, mesure sollicitée par Zelensky mais refusée par l'Otan ?

 

Publié le

Le président ukrainien Volodimir Zelensky implore l'Otan de mettre en place une exclusion aérienne dans le ciel de son pays. Mais l'organisation transatlantique refuse cet acte de guerre offensif par crainte de provoquer la fureur de Poutine et un point de non-retour définitif dans le conflit.

La mesure pourrait avoir des conséquences catastrophiques et Vladimir Poutine l'a une fois de plus rappelé. Ce samedi 5 mars, le président russe a souligné que la Russie considérerait comment cobelligérant de cette guerre tout pays qui tenterait d'imposer une exclusion aérienne en Ukraine. Mais de quoi parle-t-on au juste ? 

Qu'est-ce-qu'une "No fly zone" ? 

La zone d'exclusion aérienne, ou "No fly zone" en anglais, est une mesure consistant à interdire le survol aérien d'une zone. Ici, l'intégralité du ciel ukrainien. Cette action est prévue dans l'article 42 du chapitre VII de la charte des Natons Unies. Elle prévoit notamment "toute action nécessaire au maintien ou au rétablissement de la paix et de la sécurité internationales".

Concrètement, tous les avions qui doivent survoler le territoire aérien de l'Ukraine devront, si une NFZ est mise en place, demander une autorisation à l'institution responsable de la mesure. Dans notre cas : l'Otan. Si un avion ne dispose pas de l'autorisation, alors, il peut être abattu sur-le-champ.

Pourquoi l'Ukraine implore l'Otan de le faire ? 

Volodimir Zelenski ne cesse de réclamer à l'Occident la mise en place une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine depuis le début du conflit. L'objectif est clair pour le président ukrainien : empêcher tout survol du pays par des avions russes et donc stopper immédiatement les bombardements. Moscou ne pourra plus, en théorie, exercer sa toute-puissance aérienne en Ukraine.

"Merci pour ce que vous avez fait, mais désormais, il s'agit d'une guerre et en temps de guerre tout doit être fait au nom de la sécurité en Europe. Ne laissez pas Poutine transformer l'Ukraine en Syrie. Nous allons continuer à nous battre. Mais nous avons besoin de partenaires pour nous aider par des actions concrètes, résolues et rapides ", a déclaré vendredi Dmytro Kuleba, le ministre des Affaires étrangères ukrainien.

Pourquoi l'Otan refuse ? 

Mais les États-Unis et leurs alliés de l'Otan ont écarté cette possibilité, craignant une confrontation directe avec Moscou. En effet, appliquer l'article 42 reviendrait pour l'Otan à abattre les avions russes et démarrer ainsi un conflit de manière frontale avec la Russie. "Cela entraînerait de facto des affrontements directs entre l’Otan et la Russie et conduirait inévitablement à une escalade du conflit”, indique Dominique Trinquand, expert militaire et ancien chef de la mission française à l’Onu à l'Express.

Muriel Domenach, ambassadrice française à l'Otan rappelle que l'exclusion aérienne est avant tout une mesure offensive. Et les Occidentaux ne veulent pas se retrouver engagés militairement dans le conflit.

Une guerre totale en Europe

“La différence fondamentale, c’est que l’on risque une guerre nucléaire avec la Russie si l’on entre dans un affrontement réel entre ses forces et celles de l’Otan. Ce qui n’était pas le cas lors des opérations passées”, explique Mathieu Boulègue, chercheur spécialiste de l’Eurasie à la Chatham House, un think tank londonien, cité par L’Express.

Une mesure que l'Élysée rejette aussi : “La zone d’exclusion aérienne est une demande très légitime des Ukrainiens, mais également très difficile à satisfaire. Cela demanderait des moyens considérables et n’empêcherait pas la guerre au sol", indique un haut diplomate français comme le rapporte le Huffpost.

Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'Otan, a expliqué à l'issue d'une réunion sur le sujet que "La seule façon de mettre en œuvre une zone d'exclusion aérienne est d'envoyer des avions de chasse de l'Otan dans l'espace aérien de l'Ukraine, puis d'abattre des avions russes pour la faire respecter". et de rajouter : "Les Alliés sont convenus que nous ne devrions pas avoir d'avions de l'Otan opérant dans l'espace aérien ukrainien ou des troupes de l'Otan au sol, car nous pourrions nous retrouver avec une guerre totale en Europe"

Une prise de position jugée "faible" et "confuse" par Volodimir Zelensky : "Tous ces gens qui vont mourir à partir d'aujourd'hui vont aussi mourir à cause de vous. C’est un processus d’auto-hypnose pour ceux qui sont faibles, en insécurité intérieure, alors qu’ils ont des armes bien plus puissantes que les nôtres.", a-t-il déclaré.

Le spectre de la menace nucléaire

Sur ce sujet, Vladimir Poutine est on ne peut plus clair. "Nous allons considérer toute évolution en ce sens comme une participation au conflit armé de tout pays du territoire duquel une menace serait créée envers nos militaires", a-il déclaré samedi 5 mars, considérant ainsi les pays en faveur d'une NFZ comme "cobelligérants" dans cette guerre.

Le Président russe a dès le début de son offensive activé les "forces de dissuasions" de son pays. La Russie dispose à ce jour de la moitié du stock d'armes nucléaires au monde. 

Source

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Au moins 364 civils ont été tués, d’après un nouveau bilan de l’ONU…

 

L’ESSENTIEL

  • L’armée russe a de nouveau attaqué samedi le port stratégique de Marioupol et avancé ailleurs en Ukraine, avec toujours de féroces combats autour de Kiev
  • Selon l’ONU, la crise humanitaire s’aggrave : 1,37 million de personnes se sont déjà réfugiées à l’étranger depuis le début de l’invasion
  • Malgré les demandes répétées du président Zelensky, l’Otan a refusé de mettre en place une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine
  • En France, la mobilisation en soutien à l’Ukraine a rassemblé samedi 41.600 personnes, dont 16.000 à Paris

 

 

15h37 : Poutine accuse Kiev d’empêcher les évacuations humanitaires à Marioupol

Le président russe Vladimir Poutine a accusé les autorités ukrainiennes de mettre en échec les opérations d’évacuation humanitaire de Marioupol, grand port du sud-est de l’Ukraine encerclé par les forces russes, lors d’un entretien téléphonique avec son homologue français Emmanuel Macron dimanche.

Lors de cet entretien, Vladimir Poutine « a attiré l’attention sur le fait que Kiev continue de ne pas respecter les accords trouvés sur ces questions humanitaires », ajoutant que « les nationalistes ukrainiens ont empêché l’évacuation » samedi de Marioupol et de Volnovakha, une ville proche, a rapporté le Kremlin.

 

15h23 : Informations « très crédibles » de crimes de guerre

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a jugé dimanche « très crédibles » des informations faisant état de « crimes de guerre » commis par la Russie en Ukraine, lors d’un entretien à la chaîne américaine CNN.

« Nous avons vu des informations très crédibles concernant des attaques délibérées sur des civils qui constitueraient un crime de guerre », a-t-il dit, assurant que les Etats-Unis « examinaient » ces informations.

 

DIRECT

 

Note : vu que les USA crient aux crime de guerres , c'est pour moi l'occasion de publier cette vidéo

 

Comment l'Amérique camoufle ses crimes de guerre

 

 

 

 

Wall Street finit en baisse, les craintes géopolitiques prédominent

 

Le 5 mars

NEW YORK (Reuters) - La Bourse de New York a terminé vendredi en baisse, les craintes liées à l'intensification du conflit en Ukraine l'emportant largement sur la hausse plus marquée qu'attendu des créations d'emplois aux Etats-Unis.

La plupart des 11 indices sectoriels du S&P ont fini dans le rouge, les valeurs bancaires affichant la plus forte baisse en raison des inquiétudes des investisseurs quant à l'impact des sanctions occidentales contre la Russie sur le système financier international.

Lire la suite

 

 

 

 

Cognac (16) : un professeur accusé à tort d’islamophobie et menacé de mort par un parent d’élève raconte la vie dans son ancien collège et l’absence de soutien de sa direction (MàJ)

 

06/03/2022

Citation du professeur à la fin de l’entretien:

« Les gens qui sont des croyants il faut les respecter. Moi je respecte tous les croyants quels qu’ils soient. Mais je veux aussi qu’il y ait une liberté d’expression et c’est la loi telle qu’elle a été écrite en 1905 et telle que l’a pensée Aristide Briand. Aristide Briand a eu cette phrase absolument remarquable: “la loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne veut pas faire la loi” »


Europe1 / lien direct


17/06/2021

C’était le 16 décembre 2020, deux mois jour pour jour après la décapitation du professeur Samuel Paty par un jeune Tchétchène radicalisé. Ce matin-là, aux alentours de 10 heures, Stéphane Didier, professeur d’histoire-géographie au collège Claude-Boucher de Cognac, a rendez-vous avec la mère d’une élève, Mme K., pour parler de la situation de sa fille, dont les résultats sont en baisse. Le rendez-vous se déroule dans la salle des professeurs. Deux autres collègues de Stéphane Didier, cachés par une cloison, sont également présents dans la pièce – où ils prennent leur pose, et deviendront des témoins auditifs clés de l’altercation.

Rapidement la conversation s’envenime avec Mme K. « Durant notre échange, cette femme a volontairement porté des propos diffamatoires intimidants, avec menaces verbales, et outrageux relatifs au racisme antimusulman à l’égard de sa fille », indique Stéphane Didier, dans le procès-verbal de sa plainte, déposée quelques heures plus tard. Dans ce document – que Valeurs actuelles a pu consulter -, il affirme « n’avoir jamais tenu de tels propos » dans ses cours. « Je suis républicain et je respecte la laïcité appliquée dans mon pays », déclare le professeur, qui se voit reprocher par la mère de l’élève, musulmane, de pousser sa fille au suicide. La discussion monte d’un cran lorsqu’elle l’accuse de « regarder sa fille de travers » et de la « harceler » avec ses « remarques sur son travail et ses mauvais résultats ».

Ce ne sont pourtant pas ces allégations qui inciteront Stéphane Didier à porter plainte, mais la suite de l’entretien, lors duquel Mme K. « a alors évoqué toute seule l’affaire Samuel Paty » tentant de « faire le lien entre le meurtre de cet homme et mon enseignement », affirme le professeur. « Elle a réitéré ses propos et ajouté dans un accès de colère irrationnel : “Vous savez ce qu’est l’affaire Samuel Paty. ” » Stéphane Didier décide de couper court à l’entretien, mais se voit encore traiter de « sale prof raciste »« En état de choc psychologique », il se rend le même jour chez le médecin, qui lui prescrit deux jours d’arrêt maladie, soit jusqu’au 18 décembre, date du début des vacances scolaires de Noël. Les professeurs témoins de la scène accepteront quant à eux de se rendre au commissariat. Tous deux confirment les insultes et l’évocation de l’affaire Samuel Paty comme point de départ de ces insultes.

La suite de l’enquête sur Valeurs Actuelles

 

 

5 syndicats français menacent d’exclure Solidarnosc de la confédération syndicale internationale, pour sa complaisance à l’égard de Marine Le Pen et d’Éric Zemmour (màj : fermeture de l’édition francophone du média du syndicat)

 

05/03/22

15/12/21

Extrait de l’interview donnée par Marine Le Pen pour l’organe du syndicat polonais :

L’Union européenne et ses institutions mettent en œuvre leur projet politique, qui a pour vocation d’aller vers un fédéralisme européen, visant à l’uniformisation des normes et des valeurs et à la disparition progressive des États-nations et de leur spécificité. Et ce, bien loin des volontés des Peuples.

L’Union européenne vise à ce que ses États membres abandonnent peu à peu leur souveraineté. Cela inclut le droit des nations à l’autodétermination, mais aussi à défendre leur culture, leurs valeurs, leurs modes de vie et leurs traditions.

Cette énorme entreprise de démantèlement – ce que les anglo-saxons appellent la “cancel culture” – est l’aboutissement de ce processus fatal. (…)

L’Union européenne ne s’est jamais développé dans un esprit de Démocratie, ses dirigeants ne l’ont jamais caché. Il suffit de rappeler les propos de Viviane Reding en 2013, alors commissaire à la justice et vice-président de la Commission européenne : “Nous devons comprendre lentement mais sûrement qu’il n’y a plus de politiques internes nationales. Il n’y a que des politiques européennes communes sous souveraineté partagée”. 

Mes compatriotes le savent bien car leur vote souverain a été ignoré après le référendum sur la Constitution européenne en 2005.

Tygodnik Solidarność

Intervention d’Eric Zemmour rapportée dans le même organe, en octobre 2021 :

Je soutiens pleinement le gouvernement polonais et la société polonaise dans leur confrontation avec la Commission de Bruxelles. 

Les menaces à peine dissimulées et le chantage envers des pays comme la Pologne est quelque chose d’extraordinaire. 

Les institutions européennes sont devenues des instruments au service d’une idéologie qui empêche les nations de prendre leurs décisions de façon individuelle sur des questions aussi fondamentales que l’organisation de la société et la politique de l’État. 

La Pologne doit résister.

Tygodnik Solidarność

La CFDT, la CFTC, la CGT, FO et l’UNSA ont saisi la Confédération européenne des syndicats pour discuter de l’hypothèse d’une exclusion du mouvement polonais de l’organisation internationale.

Le torchon brûle entre cinq organisations de salariés françaises et Solidarnosc. La CFDT, la CFTC, la CGT, FO et l’UNSA reprochent à la direction du mythique syndicat polonais, qui fut l’acteur principal de la chute du communisme dans le pays et dans tout le bloc de l’Est, sa complaisance extrême à l’égard de Marine Le Pen et d’Eric Zemmour. Comme l’a révélé l’agence de presse AEF, elles viennent de saisir la Confédération européenne des syndicats (CES) afin que celle-ci se détermine sur l’attitude à adopter, l’une des options possibles étant de suspendre, voire d’exclure, Solidarnosc de l’organisation internationale. Sollicitée par Le Monde, la CES a déclaré, lundi 13 décembre, que les protagonistes seront auditionnés afin de « clarifier les faits » et d’« identifier des solutions ».

Cet avis de tempête survient après plusieurs articles parus récemment dans des organes de presse du syndicat polonais – dont l’hebdomadaire Tygodnik Solidarnosc. Dans son édition du 23 novembre, ce journal met à la « une » Mme Le Pen, tout sourire et présentée sous son meilleur jour. La candidate du Rassemblement national (RN) à l’élection présidentielle dénonce, dans un entretien en pages intérieures, « l’attaque sur la Pologne » de la part des institutions européennes, qui poursuivent le gouvernement conservateur du PiS (Droit et justice), pour ses atteintes répétées aux principes de l’Etat de droit et à la séparation des pouvoirs, depuis son arrivée au pouvoir en 2015. (…)

www.lemonde.fr

 

 

Sandrine Rousseau (EELV) : “Ça me déprime de faire de la politique dans des groupes du Ku Klux Klan. Je veux faire de la politique avec des visages de toutes les couleurs”

Sandrine Rousseau était de passage à Toulouse dans le cadre d’un grand débat autour des questions féministes dans les cités. Si elle a éludé les questions sur son éviction de l’équipe de campagne de Yannick Jadot, l’écoféministe a partagé sa vision de l’écologie politique actuelle pendant la conférence. 

(…) Après Nora Hamadi, journaliste, et Yamina Aissa Abdi, co-fondatrice de l’association Izards Attitude, qui ont raconté leurs parcours inspirants, place à la « femme blanche et bourgeoise », comme l’a appelé Tayeb Cherfi en clin d’œil à l’un de ses tweets.

(…) Au fil des phrases déclamées avec un large sourire, le discours s’est politisé. «La peur des femmes est organisée politiquement, a-t-elle assuré. Je le sens bien quand je prends la parole et que certains disent « sa parole n’est pas légitime » que c’est un acte de domination »

(…) Pendant la conférence, elle a tout de même confié son rêve d’une “écologie plus sociale et populaire, pas une écologie de riche”. « Ça me déprime de faire de la politique dans des groupes du Ku Klux Klan. Je veux faire de la politique avec des visages de toutes les couleurs”. Une sortie comme elle en a le secret. Une de celles qui lui valent d’être persona non grata à la distribution de tracts des militants EELV ce dimanche, sur le marché Cristal, près de Jeanne-D’Arc.

(…) La Dépêche

 

Note :mais cela ne la déprime pas de vivre dans un pays qui se transforme en pays halal

 

 

Le président d’une association pro-migrants déplore que les réfugiés ukrainiens soient mieux traités, selon lui, que les Syriens, Afghans, Soudanais ou Érythréens. “Il ne devrait pas y avoir de discrimination”

Calais – “Merci la France!”: à Calais, ultime étape avant l’Angleterre, les réfugiés ukrainiens saluent la solidarité dont ils bénéficient, entre hébergement, aide de la population et services consulaires britanniques. Un accueil dont les migrants non-européens, dans les camps avoisinants, rêvent de profiter un jour.

(…) Ils sont hébergés avec une soixantaine d’autres Ukrainiens par la mairie de Calais dans une auberge de jeunesse spécialement ouverte depuis lundi, un épais bâtiment en béton au milieu des immeubles. 

J’ai voulu payer et on m’a dit non“, indique Aleksandra, une énergique quinquagénaire. “On est vraiment accueillis.” 

Dès jeudi soir, des habitants des environs ont apporté des produits de première nécessité comme des vêtements, des couches, ou des biberons. 

(…) Un traitement qui a ému parmi les militants locaux et sur les réseaux sociaux, dans une ville où les migrants du Soudan, d’Érythrée, d’Afghanistan ou de Syrie, sont installés dans des conditions souvent dramatiques et régulièrement chassés par les forces de l’ordre. 

La grosse différence, c’est que les Ukrainiens sont en situation régulière“, réplique la maire. 

(…) “C’est génial de voir tout cela se mettre en place“, se réjouit François Guennoc, de l’Auberge des migrants, une coalition d’associations venant en aide aux exilés. 

Mais on aimerait que tous ceux qui fuient la guerre soient traités ainsi. Si les autorités britanniques ouvrent un bureau à Calais, pourquoi serait-il réservé aux Ukrainiens?” s’interroge-t-il. “Il ne devrait pas y avoir de discrimination.” 

(…) L’Express

 

 

Valence (26) : un policier de la BAC visé par deux coups de feu, “il a échappé de peu à la mort” ; Samir et Farid interpellés au terme d’une course-poursuite, “l’un d’eux est déjà connu pour une quarantaine de faits”

Il a échappé de peu à la mort. Un policier de la BAC a été visé par deux coups de feu ce jeudi soir à Valence (Drôme). Deux hommes bien connus des services de police ont été interpellés peu après au terme d’une course-poursuite.

Vers 18 heures, un équipage de policiers de la BAC en civil s’est placé en surveillance d’un point de deal dans le quartier Fontbarlettes. Alors qu’ils sont debout non loin de leur véhicule, les agents aperçoivent un homme sur un deux-roues qui passe par là. “Le scootériste a vraisemblablement reconnu les policiers et a fait soudainement demi-tour”, explique une source proche de l’enquête. La surveillance se poursuit. Quelques minutes après, c’est une Renault Mégane qui arrive dans leur direction. Il y a deux individus à bord. “Le conducteur s’arrête à environ 200 mètres des forces de l’ordre. Son passager descend puis fait feu sur l’un des policiers, à deux reprises”, expose cette même source.

(…) Les fuyards sont malgré tout interceptés puis interpellés peu après. Âgés de 45 et 42 ans, Samir et Farid ont été placés en garde à vue. “Le plus vieux d’entre eux est déjà connu de la police pour une quarantaine de faits”, souligne-t-on de même source.

(…) Sous le choc, le fonctionnaire qui a vu sa vie défiler s’est vu attribuer trois jours d’incapacité totale de travail (ITT). 

Actu 17

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