____________________________
Les Infos du 16 juillet 2021
Variant Delta : le masque de nouveau obligatoire en extérieur dans les Pyrénées-Orientales
Au total, 16 départements français dépassent désormais le seuil d’alerte en présentant un taux d’incidence au Covid-19 supérieur à 50 cas pour 100 000 habitants. En parallèle, le débat se poursuit après l’annonce de l’extension du périmètre du pass sanitaire
Note: javais bien dit que c’était trop tôt pour enlever les masques. La France est gouverné par des ânes
Saint-Étienne : des dizaines de “jeunes” s’introduisent dans un cinéma et sèment le chaos, des spectateurs agressés et menacés de mort, un homme étranglé, un projectionniste tabassé (MàJ)
[Vidéo] Pour Éric Zemmour, il faut “ôter les droits aux immigrés de décider de la politique d’immigration de la France”
Lors de la dernière émission de la saison de Face à l’info sur CNews, le journaliste est revenu sur un thème qu’il a longuement abordé toute l’année et qui devrait être très présent lors de la campagne de la prochaine présidentielle.

Pour Eric Zemmour, l'immigration est un sujet majeur pour les Français. Photo © Alain ROBERT/SIPA
Lors d’un débat avec le magistrat Marc Trévidic en décembre dernier, Éric Zemmour était clair sur la question : « Il faut arrêter l’immigration, il faut l’arrêter totalement. Il faut qu’on arrête de recevoir des centaines de milliers de personnes qui aggravent ce terreau. » L’immigration, un thème sur lequel il est revenu une dernière fois cette saison dans l’émission Face à l’info sur CNews, jour de fête nationale, et dont il a tenté d’expliquer l’origine du problème.
Selon lui, le problème de l’immigration « se règle d’abord à Paris », chose qu’il a répétée tout au long de l’année, et c’est parce qu’on a « sous-traité la politique d’immigration aux immigrés eux-mêmes » que rien ne va aujourd’hui, estime l’essayiste. Il y a donc une seule solution d’après lui : « ôter ces droits aux immigrés de décider de la politique d’immigration de la France et les rendre au peuple français et à ses représentants », car il l’assure, « ça ira beaucoup mieux ».
Nuit de violences urbaines à Paris : attaques aux cocktails Molotov et aux mortiers d’artifice contre les forces de l’ordre
15 juillet
Nice : le commissariat de l’Ariane attaqué aux mortiers d’artifice et aux cocktails Molotov, 5 suspects interpellés
Inondations en Belgique : le bilan provisoire est de 7 morts, des pilleurs en profitent, un couvre-feu instauré pour éviter que ça se reproduise
La Pologne fait un pas décisif vers un « Polexit juridique » : le Tribunal constitutionnel polonais refuse de se soumettre aux décisions de la Cour de justice de l’UE

En pleine bataille avec l’Union européenne sur la question de l’Etat de droit, le Tribunal constitutionnel polonais, proche du pouvoir, refuse de se soumettre aux décisions de la Cour de justice de l’UE
La Pologne et l’Union européenne se sont livrées à un bras de fer par tribunaux interposés, ce mercredi, sur la question de l’Etat de droit, qui empoisonne les relations entre Varsovie et la Commission depuis l’arrivée au pouvoir de Droit et Justice, le parti ultraconservateur dirigé par Jaroslaw Kaczynski, en 2015.
C’est la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), qui a tiré la première. Vers 15h, la juridiction suprême de l’UE, à Luxembourg, a demandé la suspension immédiate de la Chambre disciplinaire de la Cour suprême polonaise, institution qui n’est pas conforme au droit de l’Union. Une heure plus tard, à Varsovie, le Tribunal constitutionnel, après une courte journée de débats houleux, jugeait que les décisions de la CJUE sur la Chambre disciplinaire étaient incompatibles avec la Constitution polonaise.
«Autrement dit, le Tribunal constitutionnel ne reconnaît plus l’autorité judiciaire de l’Union européenne en matière d’Etat de droit, qui est pourtant l’élément fondateur des traités européens, analyse Laurent Pech, professeur de droit constitutionnel à l’Université de Middlesex à Londres, et spécialiste de la Pologne. Autrement dit, le Tribunal constitutionnel polonais, avec ses pseudo-juges, vient de créer les conditions d’un non-respect systématique du droit de l’Union, c’est un Polexit juridique.»
Commenter cet article