Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Que s'est-il passé au Niger, où des humanitaires français ont été abattus?
ATTAQUESelon des sources nigériennes, six Français et deux Nigériens ont été abattus dimanche. Le parquet antiterroriste annonce ouvrir une enquête pour assassinats
« Une attaque meurtrière qui a lâchement frappé », a dénoncé Emmanuel Macron. Dimanche, un groupe de travailleurs humanitaires français et deux Nigériens ont été tués dans le sud-ouest du Niger. 20 Minutes fait le point sur ce que l’Elysée qualifie d’attentat. Un conseil de défense se tiendra mardi matin pour en élucider les circonstances de l'attaque. Une enquête pour assassinats est ouverte, annonce le parquet antiterroriste.
Que s’est-il passé ?
D’après des sources nigériennes, huit personnes, soit deux Nigériens et six Français, ont été tuées dimanche lors d’une excursion touristique, par des hommes armés, à 6 kilomètres de Kouré, une localité située dans le Sud-Ouest, où se trouve une réserve de girafes. Niamey, la capitale du Niger, se trouve à une cinquantaine de kilomètres.
« Les assaillants, qui se déplaçaient à moto dans la réserve », auraient attendu les touristes, selon une source. La plupart des victimes ont été abattues par balles et une femme qui a réussi à s’enfuir a été rattrapée et égorgée. Pour le moment, l’attentat n’a pas été revendiqué.
Qui sont les victimes ?
Le Quai d’Orsay n’a pas encore confirmé le nombre de victimes françaises. Les vérifications sont toujours en cours, précise le ministère des affaires étrangères, contacté ce lundi par 20 Minutes. L' ONG Acted confirme que plusieurs des victimes françaises travaillent pour l’organisation, à qui appartenait le véhicule qui a brûlé lors de l’attaque.
Côté nigérien, on confirme la mort du chauffeur du 4x4 qui transportait le groupe ainsi que celle du président de l’Association des guides de la réserve de Kouré.
Quelle est la situation sécuritaire dans cette région ?
Aux alentours de Kouré, il s’agit bien de la première attaque ayant visé des Occidentaux depuis que la zone est devenue une attraction touristique, pour ses troupeaux de girafes. « Tout le monde y va, même les ambassadeurs, les diplomates, les professeurs, tout le monde ! Ce n’est pas du tout considéré comme dangereux comme zone. Il y a des ONG de protection des girafes qui travaillent là-bas », a expliqué à l’AFP un humanitaire occidental à Niamey.
Selon la carte du ministère des affaires étrangères, la zone dans laquelle a eu lieu l’attaque est classée orange « déconseillée sauf raison impérative » mais pas « formellement déconseillée », comme cela est le cas dans la partie Nord du pays et sur le long des frontières avec le Mali et le Burkina Faso.
Toutefois, la situation sécuritaire de la région de Tillabéri, où se situe Kouré, est devenue un repaire des djihadistes sahéliens, dont l’Etat islamique au Grand Sahara (EIGS). « On sait qu’il y a une circulation de groupes dans les pourtours (…) de Kouré. Il y a eu des incidents assez proches de Kouré ces derniers mois », a expliqué sur RFI Mathieu Pellerin, chercheur à l’International Crisis Group. Selon la radio, le groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), lié à Al-Qaida, a démenti être impliqué dans l’attaque.
Note: la guerre contre les groupes islamistes en Afrique est perdu d'avance. Mais le pire c'est que la France continue de recevoir des gens de ces pays sur son territoire
Lyon : un milicien des « Loups Gris » demande au gouvernement turc de l’argent et des armes afin de « faire ce qu’il y a à faire, où que ce soit en France »
Depuis la France : des miliciens nationalistes turcs réclament de l'argent et des armes au gouvernement turc afin de... "faire ce qu'il y a à faire, où que ce soit en France"
La CEDH condamne la France pour "traitement dégradant" sur trois demandeurs d'asile
La France a été condamnée jeudi par la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) pour les "conditions d'existence inhumaines et dégradantes" de trois demandeurs d'asile contraints de "vivre à la rue". C'est la quatrième fois en moins d'un mois que le pays des droits de l'Homme est condamné par cette juridiction.
"Les autorités françaises ont manqué à leurs obligations". La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a condamné jeudi 2 juillet la France pour manque d'assistance envers trois demandeurs d'asile.
Ces trois personnes - un Afghan, un Russe et un Iranien, âgés de 27, 33 et 46 ans - ont été "victimes d'un traitement dégradant témoignant d'un manque de respect pour leur dignité", a estimé dans un communiqué la juridiction basée à Strasbourg.
"Sentiments de peur, d'angoisse ou d'infériorité"
La Cour reproche à la France d'être "responsables des conditions dans lesquelles les requérants se sont trouvés pendant des mois, vivant dans la rue, sans ressources, sans accès à des sanitaires, ne disposant d'aucun moyen de subvenir à leurs besoins essentiels et dans l'angoisse permanente d'être attaqués et volés".
La juridiction chargée de veiller au respect des droits de l'Homme au sein des 47 pays du Conseil de l'Europe observe que les trois hommes "ont vécu dans la rue sans ressources financières", ne percevant l'Allocation temporaire d'attente (ATA) qu'après des délais très longs.
Émeute sur une plage belge à cause des mesures imposées contre la pandemie - vidéo
D'après les témoignages recueillis par la radio-télévision RTBF, une émeute sur une plage dans la station balnéaire de Blankenberge a été déclenchée par un groupe de jeunes priés de respecter les mesures de sécurité imposées contre la propagation du Covid-19.
Plusieurs personnes ont été interpellées le 8 août au cours d'une émeute provoquée par un ordre d'évacuation d'une plage dans la station balnéaire de Blankenberge, sur le littoral de la Belgique.
«Ça ne peut plus durer. Nous faisons tout pour maintenir la sécurité dans notre station balnéaire, et maintenant ça...», s'est insurgée la maire de la station, Daphné Dumery.
Les incidents ont été déclenchés par un groupe de jeunes priés de respecter les mesures de sécurité imposées contre la propagation du Covid-19, d'après les témoignages recueillis par la radio-télévision RTBF.
En Île-de-France, «nous sommes au début d'un rebond épidémique», selon l’ARS
«La tendance n’est pas bonne» quant à la situation épidémiologique en Île-de-France, a annoncé le 9 août au micro de Franceinfo Nicolas Peju, directeur général de l’Agence régionale de santé Île-de-France (ARS)
En effet, le nombre de cas positifs dépistés quotidiennement sur l’ensemble de la région a presque doublé de la mi-mai à fin juillet. Ces derniers temps, plus de 500 cas ont été recensés tous les jours, a mis en garde M.Peju.
Il a insisté à cet égard sur la nécessité d’agir, car «nous sommes dans un début de rebond épidémique»:
«Si on ne veut pas qu'il se transforme en début de deuxième vague, il faut impérativement cette prise de conscience pour renforcer toutes les mesures de prévention et inverser cette tendance dans les jours et dans les semaines qui viennent».
Rouen : un couple se fait tabasser pour avoir demandé à trois « jeunes », qui étaient en train de hurler, de faire moins bruit
Un jeune homme et une jeune femme ont été roués de coups par trois jeunes individus dans une rue de Rouen (Seine-Maritime), dans la nuit du vendredi 7 au samedi 8 août 2020.
Quatre et dix jours d’ITT
Alors qu’il marche avenue Champlain, le couple demande à trois jeunes hommes de 20,21 et 24 ans en train de hurler, de faire moins de bruit. Une remarque qui n’a pas plu à la bande qui s’est jetée sur le couple. L’homme de 33 ans s’est vu prescrire dix jours d’interruption temporaire totale de travail (ITT) et son amie de 27 ans, a eu quatre jours d’ITT.
Insécurité : le sénateur Philippe Bas (LR) demande à Jean Castex un plan gouvernemental pour la sécurité des maires
Depuis janvier dernier, 233 maires ou adjoints ont été agressés physiquement, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur que s’est procurés le JDD. L’an passé, on en dénombrait 198 à la même époque. Les violences contre les élus municipaux sont donc en progression […]
[…] Mais le compte n’y est pas pour Philippe Bas, président (Les Républicains) de la commission des lois du Sénat, qui a écrit jeudi au Premier ministre, Jean Castex, pour demander « un véritable plan gouvernemental pour la sécurité des maires ». « Je dis au Premier ministre qu’il faut absolument mettre en place dans les préfectures une cellule qui apporterait conseils, accompagnement et soutien, y compris moral, aux maires et à leurs adjoints en cas d’agression, explique-t-il au JDD.
[…]
« Il faut que ça s’arrête », lance Chantal Gantch, maire de Savignac-de-Lisle (Gironde), 550 habitants. Elle en est à sa troisième plainte, pour des insultes et menaces proférées depuis plusieurs années par le même individu. « Les gendarmes font leur travail, souligne-t-elle. Ils transmettent à la justice, mais il ne se passe rien derrière. »
[…]
Croisilles (62) : le maire, Gérard Dué, hospitalisé après avoir été violemment agressé parce qu’il voulait faire cesser des nuisances sonores
Une altercation a éclaté sur un parking dans la soirée, entre un homme et le maire, Gérard Dué.
La soirée a mal fini vendredi soir dans la résidence de la Ferme. Aux alentours de 22 h 30, les pompiers de Bapaume, l’équipe médicale du SMUR d’Arras et les gendarmes de Vis-en-Artois sont intervenus après une altercation a priori consécutive à un problème de tapage nocturne.
Le différend a opposé un homme stationné sur un parking et le maire Gérard Dué, qui s’était rendu sur place pour faire cesser les nuisances. Au cours de cet accrochage, l’individu aurait porté un ou plusieurs coups au premier magistrat, le faisant chuter. Marqué au visage et blessé au poignet,…
Toussieu (69) : il écope de 12 mois de prison…avec sursis pour avoir renversé un élu municipal lors d’un rodéo urbain (MàJ)
Le conseiller délégué à la sécurité de Toussieu avait été percuté par une voiture le 25 juillet dernier. Le conducteur, coupable d’avoir renversé l’élu, a été condamné pour blessures involontaires et délit de fuite.
Il écope de 12 mois de prison avec sursis, de 1 100 euros de dommages et intérêts et de 800 euros de frais d’avocat, révèle BFM Lyon. L’automobiliste, qui assure ne pas avoir percuté l’élu volontairement, doit par ailleurs repasser son permis de conduire.
Pour rappel, l’homme s’amusait à faire crisser ses pneus lors d’un rodéo urbain dans la commune de Toussieu, à l’Est de Lyon. Voulant faire cesser ces agissements, l’élu a alors tenté d’arrêter la voiture. Mais l’automobiliste l’a renversé avant de prendre la fuite.
Le conseiller municipal Thomas Daudré-Vignier, délégué à la sécurité de Toussieu, dans le Rhône, a été percuté par une voiture alors qu’il tentait de faire cesser un « Rodeo ». A sa vue, le véhicule a accéléré, l’a percuté, et a roulé sur son pied en prenant la fuite.
« Je ne pensais pas qu’ils iraient jusqu’à accélérer »
L’incident se produit vers 00h40, dans la Grande rue de Toussieu. La voiture fait des « burns », brûlant la gomme des pneus à l’arrêt, dans un grand nuage de fumée, pendant une dizaine de minutes. L’élu, qui habite à proximité, décide alors d’intervenir.
« J’étais dans mon canapé, en train de regarder un film, quand j’ai entendu la voiture qui faisait crisser ses pneus. Je me suis présenté en tant qu’élu, et comme il y avait de la fumée, je me suis mis devant les phares. Je ne pensais pas qu’ils iraient jusqu’à accélérer, » explique-t-il. La voiture zigzague et l’éjecte, tout en lui roulant sur une partie du pied. Il s’en tire avec des hématomes au pied, des ongles arrachés, 3 jours d’ITT et une dizaine de jours de soins.
Le président des Amis de l’orgue de Nantes sur le pyromane rwandais : « Quelqu’un qui est expulsable, on ne lui confie pas les clés de la cathédrale (…) C’est impardonnable »
Le grand orgue est parti en fumée, samedi 18 juillet, dans l’incendie de la cathédrale de Nantes. Le président des Amis de l’orgue est en colère. Il condamne « des négligences » et souhaite participer à la reconstruction.
« La cathédrale de Nantes était bien entretenue mais mal protégée »
« Un joyau de l’architecture flamboyante, un magnifique buffet d’orgue que l’on ne reverra plus. » Dominique Métaireau, président des Amis de l’orgue de Nantes, est en colère. Depuis le début, « je n’ai pas cru à la piste accidentelle » explique-t-il, profondément affecté.
(…)
« Quelqu’un qui est expulsable, on ne lui confie pas les clés . » Il déplore en outre qu’il ait pu aussi avoir les clés de la tribune de l’orgue, un accès qui n’est pourtant pas public. Dans la mesure où c’est un endroit interdit d’accès pour le grand public, cela ne se justifiait pas. C’est impardonnable.
Héraklion (Grèce) : un Algérien arrêté pour avoir vandalisé une cathédrale, deux fois, en quelques jours
Grèce – Les autorités ont arrêté un Algérien de 38 ans, accusé d’avoir vandalisé une cathédrale, deux fois, en quelques jours.
Un inconnu muni de pierres a endommagé le vitrail de la cathédrale Agios Minas d’Héraklion.
La même personne, armé d’un marteau, a endommagé la porte de cette cathédrale. Le suspect de 38 ans, originaire d’Algérie, a été arrêté quelques heures plus tard.
Birmingham (GB) : Keeley fête ses 20 ans dans un bar, un « ami d’enfance » propose de la raccompagner chez elle, il la viole, l’étrangle à mort et jette son corps dans la rivière (MàJ : il est condamné à vie)
09/08/2020
Royaume-Uni – Une jeune femme dansait avec son ami d’enfance lors d’un soirée d’anniversaire quelques heures avant qu’il ne la viole et l’assassine.
Keeley Bunker, 20 ans, a fait confiance à Wesley Streete, 20 ans, pour la raccompagner chez elle après avoir quitté un bar de Birmingham. Elle a dit à ses copines : « Wes va me raccompagner, tout ira bien. »
Wesley a violé la jeune femme avant de l’étrangler à mort et de jeter son corps à moitié nu dans une rivière à Tamworth.
Après un procès de trois semaines, le meurtrier a été condamné à perpétuité.
Calais : un Calaisientabassé par 3 hommesparce qu’il a refuséde leur offrir une cigarette. « Je ne sortirai plus jamais dans les rues de Calais, j’ai trop peur »
Dans la nuit du vendredi 7 août au samedi 8, près de la place d’Alsace, un Calaisien a été violemment agressé par trois hommes alors qu’il avait refusé de leur offrir une cigarette. Il a porté plainte au commissariat.
Julia*, une Dunkerquoise de 17 ans, devait retrouver son père pour un dîner en famille samedi 8 août. Mais au réveil, elle découvre des messages signés de son père qui la terrifient : il a été agressé durant la nuit à Calais.
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La victime avoue « ne pas avoir compris tout ce qu’ils disaient »
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« Je ne sortirai plus jamais dans les rues de Calais, j’ai trop peur », confie l’homme encore sous le choc
Délinquance : « Deux refus d’obtempérer chaque heure en France et 30 membres des forces de l’ordre blessés chaque jour »
Au total, près de 24.000 refus d’obtempérer ont été notifiés en 2019, soit un toutes les 30 minutes.
(…) Le nombre des refus d’obtempérer et des violences contre les forces de l’ordre de ce genre ont explosé ces derniers mois. En 2019, 28.558 outrages à agent dépositaire de l’autorité publique, ont été signalés. Soit une augmentation de 5,3% par rapport à 2018.
(…) Au total, 11.217 policiers et gendarmes ont été blessés sur le terrain, soit près de 30 par jour et +17% par rapport à 2017. Et malgré deux mois de confinement, les forces de l’ordre n’ont pas été épargnées non plus début de l’année.
Conspué sur les réseaux sociaux pour avoir traité Éric Zemmour de “sous-humain”, Taha Bouhafs persiste et signe, alors même qu’il a supprimé son tweet dans la matinée.
Taha Bouhafs récidive. Après avoir traité Éric Zemmour de « sous-humain » sur son compte Twitter, le militant indigéniste a insisté sur le réseau social, assumant totalement ses propos et tenant de nouveaux propos dégradants à l’encontre de l’essayiste. Devant le tollé qu’avait provoqué son insulte, Taha Bouhafs avait pourtant supprimé son tweet initial dans la matinée de ce dimanche 9 août. « Depuis que je suis gamin, je vois Zemmour à la télé en train d’attiser la haine et d’expliquer que nous autres les arabes nous sommes des sauvages à dégager. Alors clairement, rien à foutre de vos états d’âme, je lui pisse dessus, lui et tous ses soutiens », a écrit ainsi le militant.
“Le climatde la France se maghrébise”, affirme Denhez. “Pas seulement le climat”, ironise Messiha
Londres veut que les migrants restent en France
«Les entreprises françaises doivent affronter leur passé négrier» (Edito du Monde)
Editorial du Monde sur le « passé négrier » des entreprises françaises.
La France, comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas et le Portugal, comptent parmi les principaux Etats européens à avoir pratiqué le commerce triangulaire. […] Un large volet de cette réalité reste pourtant occulté : le passé négrier de certaines entreprises. Qui sait que l’assureur Axa compte, parmi ses lointains ancêtres, une compagnie créée en 1816 grâce à une fortune tirée de plantations de canne à sucre peuplées d’esclaves ? Que des barriques de cognac Hennessy auraient pu être échangées contre des esclaves africains ? En enquêtant, Le Monde a débusqué plusieurs exemples de sociétés autrefois impliquées, plus ou moins directement, dans la traite négrière ou dont la prospérité repose sur la perception des indemnisations financières versées par l’Etat français aux propriétaires d’esclaves après l’abolition. […]
Au Royaume-Uni, ces faits sont largement connus. […]Les banques Barclays et HSBC, ou la compagnie d’assurances Lloyd’s, ont reconnu récemment qu’une partie de leurs fondateurs ou ex-administrateurs avaient bénéficié de la traite des Noirs. Elles ont présenté des excuses au public et se sont engagées à promouvoir la diversité. […]
Incalculable en raison du temps, l’indemnisation individuelle des descendants d’esclaves doit être remplacée par une réparation de la connaissance, qui suppose elle aussi des budgets. […]
Note: c'est nous Occidentaux, blancs chrétien, qui avons aboli l'esclave. Sans nous l'esclavage, qui existait depuis que l'homme existe, existerait encore.
Charia, apartheid, esclavagisme, gestion raciste et ethniciste de l’Etat. La situation ne cesse d’empirer en République Islamique de Mauritanie.
Biram Dah Abeid milite pour l’abolition de l’esclavage en Mauritanie. D’après lui, dans ce pays africain, « des hommes, des femmes peuvent être vendus, gagés, cédés, loués, ils travaillent sans repos, sans salaire, sont violés ».
Lorsque Biram Dah Abeid a débarqué, en février dernier, dans la petite salle dédiée aux interviews lors du Sommet de Genève pour les droits de l’homme, le militant abolitionniste mauritanien nous apparaît fébrile et fatigué. Après quelques minutes d’entretien, son engagement et sa détermination vont, pourtant, prendre le pas sur sa forme physique. Le président du mouvement IRA (Initiative de Résurgence du Mouvement Abolitionniste) n’est pas du genre à lâcher le morceau. Pour son père, affranchi, le parlementaire se bat depuis des années afin que cesse l’esclavage dans la république islamique du Nord-Ouest de l’Afrique. (…)
La situation a-t-elle changé en Mauritanie depuis l’élection du président Mohamed Ould el-Ghazouani en juin 2019 ?
Non, elle a empiré, notamment concernant la question de l’esclavage. Depuis l’avènement du président, les juges éconduisent systématiquement les victimes. Ils les remettent à leurs maîtres, dans l’enfer qu’elles ont fui. Je prends l’exemple de Ghaya Maiga, une fille âgée de 14 ans. Le juge d’instruction a purement et simplement remis la fillette à ses bourreaux. Ils ont utilisé son exemple pour menacer les autres esclaves avec un mot d’ordre : si vous fuyez vers l’IRA ou la justice, vous subirez le même sort. La discrimination raciale a également empiré. Avant, l’Etat prenait le soin de « colorer » les différents corps de l’Etat en recrutant 1%, 2% ou 3% de ses membres parmi les communautés noires. Sous Ould el-Ghazouani, les recrutements dans les différents corps de l’Etat sont systématiquement monocolores. (…)
Non, les anciens Romains n’étaient pas tous blancs (L’Obs)
DU FOND DES ÂGES (5/8)- Les origines ethniques des Romains de l’Empire étaient beaucoup plus variées qu’on ne l’imagine. Et la Rome antique était une capitale… de la diversité.
En 2017, un dessin animé diffusé sur la BBC allumait un incendie culturel de l’autre côté de la Manche. Les auteurs avaient commis l’irréparable, aux yeux d’une frange de la population aux opinions aussi rassies que sa culture historique : ils avaient osé mettre en scène un officier romain noir de peau. Aussitôt, les historiens, les vrais, ont volé au secours des auteurs en expliquant pourquoi l’idée n’est pas si absurde qu’on pourrait le penser.
Les habitants de Britannia, selon l’appellation de l’époque, étaient bien sûr des Celtes avant l’arrivée des légions de César. Mais ces mêmes légions, comme dans tout l’Empire, ont amené avec elles de la diversité ethnique. L’intégration au monde romain, c’était aussi l’arrivée de flux de voyageurs, de marchands, venus souvent de très loin. Résultat, dans les cités britanno-romaines, la mixité ethnique existait bien.
[…]
Note : mensonge et encore mensonge, venant encore d'un article d'islamo gauchiste
L’auteur de Game of Thrones George R.R. Martin accusé de racisme
RACISME L’écrivain a choqué en présentant les Hugo Awards qui récompensent les auteurs de science-fiction et de littérature fantastique
[…]
Et malgré la grande diversité affichée parmi les nominés – uniquement des écrivaines pour la catégorie meilleur roman –, l’auteur a constamment fait référence à des figures associées au suprémacisme blanc comme H.P. Lovecraft et John W. Campbell. Mieux encore, il a écorché plusieurs noms, y compris ceux de certains lauréats comment Rebecca F. Kuang ou encore FIYAH, un magazine entièrement rédigé par des auteurs noirs.
[…]
De son côté, l’auteur a présenté ses excuses en commentaire d’un post de blog consacré à l’événement. Il a expliqué avoir découvert certains des noms qu’il devait prononcer au moment où il a ouvert l’enveloppe des lauréats.
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