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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 26 mars 2020

 

VIDÉO - Coronavirus : un premier TGV médicalisé évacuant des malades a quitté Strasbourg en direction des Pays de la Loire

 

TRANSPORT - Le TGV médicalisé qui évacue 20 patients d'Alsace en réanimation vers des hôpitaux des Pays de la Loire a quitté comme prévu la gare de Strasbourg à 11h.

l est bien parti. Le TGV médicalisé qui évacue 20 patients d'Alsace en réanimation vers des hôpitaux des Pays-de-la-Loire a quitté ce jeudi comme prévu la gare de Strasbourg à 11H00, ont constaté des journalistes présents sur place.

Ces patients, qui devaient être répartis dans cinq voitures et accompagnés d'une cinquantaine de soignants, seront transférés vers des hôpitaux d'Angers, Le Mans, Nantes et la Roche-sur-Yon.

Une première en Europe

Les préparatifs de cette opération inédite ont commencé jeudi matin en gare de Strasbourg. Peu après 6 heures, les premières ambulances sont arrivées sur le quai 1 de la gare où stationne depuis mercredi soir le TGV Duplex médicalisé. Un ballet d'ambulances a alors débuté avec le personnel soignant en sur-combinaisons s'affairant autour des véhicules. Puis vers 8h30, les premiers patients ont été acheminés sur des civières et embarqués dans le TGV. 

Dans chaque voiture, une équipe médicale constituée d'un médecin anesthésiste-réanimateur, d'un interne, d'un infirmier anesthésiste et de trois infirmiers sera présente, selon la DGS. Ces soignants sont issus des CHU de Nantes et d'Angers ainsi que de l'AP-HP Paris, tandis que le SAMU de Paris coordonne la manoeuvre. Environ cinquante soignants et logisticiens participent au voyage. 

Le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait souligné en début de semaine que cette évacuation constituait une "première en Europe". 

VOIR VIDÉO

 

 

EN DIRECT - Coronavirus: la situation s'aggrave en Europe, «tsunami continu» de malades dans les hôpitaux de Londres

 

 

 

Les syndicats de police menacent de suspendre les contrôles, faute de masques

 
L'ensemble des syndicats de police, tous grades confondus, a lancé jeudi «un avertissement solennel» au ministre de l'Intérieur concernant le manque de masques à disposition des fonctionnaires, en menaçant de suspendre les contrôles. Dans un communiqué commun, l'intersyndicale prévient que «si les moyens de protection font défaut dans les services, les policiers ne feront que les missions réellement urgentes et ne procéderont plus au contrôle du confinement».
 
 

Les hôpitaux de Marseille anticipent un pic début avril

 

Troisième groupe hospitalier de France, l'Assistance publique - Hôpitaux de Marseille (AP-HM) attend «une vague» de malades du coronavirus dans les prochains jours, avant un pic début avril, où la prise en charge en réanimation atteindra ses limites. «Pour le moment la sollicitation est encore en-dessous de ce que nous attendons», a déclaré jeudi lors d'un point presse téléphonique le directeur général de l'AP-HM, Jean Olivier Arnaud. 

L'afflux «va vraisemblablement commencer dans les 72 heures» et atteindre «son maximum en fin de semaine prochaine», a-t-il ajouté. Selon le modèle mathématique employé par l'AP-HM, qui ne peut toutefois pas prendre en compte les effets du confinement, les hôpitaux marseillais devraient alors «arriver à la limite de (leurs) capacités de réanimation», qui atteindront 142 lits à ce moment-là. «Ça va se jouer à quelques unités», selon lui.

 

Un millier de morts et 68.000 cas aux États-Unis

 

L'épidémie de coronavirus a fait 999 morts aux États-Unis, selon le bilan établi jeudi par Reuters sur la base des chiffres communiqués par les autorités locales.

Un tiers de ces décès ont eu lieu dans l'État de New York, dont le gouverneur a averti que les hôpitaux pourraient bientôt manquer de lits et d'appareils d'assistance respiratoire. L'Etat compte en outre la moitié des quelque 68.000 cas recensés dans la fédération. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé ce mardi que les Etats-Unis pourraient devenir l'épicentre de la pandémie.

Près de la moitié des 50 États américains ont pris des mesures de confinement pour tenter de freiner la propagation du coronavirus, mais le président, Donald Trump, a exprimé sa volonté de «rouvrir» l'économie pour Pâques, le 12 avril.

 

La Chine impose une réduction drastique des vols internationaux

 

La Chine imposera à partir de dimanche 29 mars une réduction drastique des vols internationaux au départ du pays ou à l'arrivée en raison du Covid-19, a annoncé ce jeudi le Bureau national de l'aviation civile.

Une compagnie chinoise ne pourra désormais plus effectuer qu'une seule liaison hebdomadaire depuis la Chine vers un pays tiers. Dans le même esprit, une compagnie étrangère ne pourra maintenir qu'une seule desserte par semaine vers la Chine.

 

Une ONG demande à l'OMS de fermer définitivement les marchés d'animaux vivants

 

L'ONG de défense des animaux Peta a demandé jeudi à l'OMS de fermer définitivement les marchés d'animaux vivants pour éviter de futures pandémies, alors que le monde entier est touché par le Covid-19. Les scientifiques soupçonnent le coronavirus actuel de trouver son origine dans un tel marché à Wuhan en Chine. 

Selon l'association, «les marchés où sont parqués d'innombrables animaux malades et stressés sont un terreau fertile pour l’émergence de maladies mortelles».

 

 

Plus de 250.000 personnes ont été diagnostiquées positives en Europe

 
Selon un décompte réalisé par l'AFP, ce sont plus de 250.000 personnes qui ont été officiellement diagnostiquées en Europe. L'Italie et l'Espagne sont, de loin, les pays les plus touchés avec 74.386 et 56.188 cas, respectivement.
 
L'Europe est actuellement le continent le plus touché: en Asie, 100.937 personnes ont été diagnostiquées. Ce nombre de cas ne reflète toutefois qu'une fraction de celui réel des contaminations, un grand nombre de pays ne testant désormais plus que les personnes nécessitant une prise en charge hospitalière.
 
 

En Allemagne, 500.000 personnes sont dépistées chaque semaine

 
Comment expliquer que l'Allemagne enregistre si peu de décès dus au coronavirus? Selon Christian Drosten, virologue et directeur de l'hôpital de la Charité à Berlin, c'est la stratégie de dépistages massifs mise en oeuvre outre-Rhin qui porte ses fruits. «Nous effectuons un demi-million de tests chaque semaine», a-t-il précisé lors d'une conférence de presse.

 

 

L'Espagne passe la barre des 4000 morts

 

Le nombre de morts dus au coronavirus en Espagne a passé la barre des 4000, avec 655 décès en 24 heures qui ont porté le bilan à 4088, selon le bilan du ministère de la Santé communiqué jeudi.

56.188 cas ont été confirmés, en augmentation de 19% de mercredi à jeudi, une progression toutefois moins forte que les 27% de la veille. L'Espagne est le pays qui compte le plus de morts dans le monde derrière l'Italie. La région de Madrid à elle seule déplore plus la moitié de la moitié des morts (2090), devant la Catalogne (672).

 

 

Au Royaume-Uni, des millions de tests à domicile bientôt disponibles via Amazon ou en pharmacie

 

Au moins 3,5 millions de tests du coronavirus, réalisables en 15 minutes, vont être distribués aux citoyens britanniques présentants des symptômes et confinés : c'est ce qu'a annoncé la directrice de Public Health England, le service national des infections du Royaume-Uni, rapporte The Independant

Ce dispositif devrait être disponibles dès la semaine prochaine. Un revirement important dans la stratégie gouvernementale du pays pour lutter contre l'épidémie de Covid-19.

 

Afghanistan : jusqu'à 10.000 prisonniers libérés pour éviter une propagation du coronavirus

 

Jusqu'à 10.000 prisonniers seront libérés d'ici dix jours en Afghanistan pour éviter une propagation du nouveau coronavirus dans ce pays où les infrastructures de santé sont défaillantes après quatre décennies de guerre, ont annoncé ce jeudi les autorités.

Les bénéficiaires seront «les femmes, les enfants, les gravement malades et les détenus de plus de 55 ans», a indiqué le procureur général Farid Hamidi dans un communiqué. La mesure, prise par décret présidentiel paru jeudi, «n'est pas pour ceux ayant commis des crimes contre la sécurité nationale et internationale», a-t-il ajouté.

 

La Chine va fermer ses frontières à la plupart des étrangers

 

La Chine, berceau du nouveau coronavirus, va fermer temporairement ses frontières aux étrangers titulaires de visas ou de permis de séjour en cours de validité, en raison du Covid-19, a annoncé ce jeudi le ministère des Affaires étrangères.

"Il s'agit d'une mesure provisoire que la Chine se voit obligée de prendre pour faire face à l'épidémie, se référant aux pratiques de plusieurs autres pays", a-t-il indiqué dans un communiqué. La mesure entrera en vigueur samedi 28 mars à 00h00 locales.

 

40.000 nouveaux cas estimés par les généralistes la semaine dernière

 

Au moins 40.000 «nouveaux cas de Covid-19» ont été diagnostiqués par les médecins généralistes la semaine dernière, selon les estimations de Santé Publique France, alors que le nombre de malades testés positifs est de seulement 25.000 depuis le début de l'épidémie.

«Il est estimé que 41.836 nouveaux cas de COVID-19 (...) ont consulté un médecin généraliste» du 16 au 22 mars, a précisé l'agence sanitaire, précisant que ce chiffre ne peut pas être comparé avec les semaines précédentes, cette surveillance ayant été mise en place le 17 mars.

 

 

L'armée en renfort en France

 

Dans la «guerre» au coronavirus, Emmanuel Macron a annoncé mercredi à Mulhouse le lancement de l'opération Résilience qui mobilisera les forces armées pour aider la population face à la pandémie qui a fait plus de 1300 morts dans le pays, un bilan multiplié par cinq en une semaine.

Distincte du dispositif Sentinelle qui mobilise quotidiennement jusqu'à 7000 militaires contre risque terroriste, cette nouvelle opération «sera entièrement consacrée à l'aide et au soutien aux populations, ainsi qu'à l'appui aux services publics pour faire face à l'épidémie, en métropole et en Outre-mer», a affirmé le chef de l'État.

DIRECT

LIRE AUSSI : La Russie suspend tous ses vols internationaux...

 

 

 

Le bilan réel des victimes du Covid-19 en France «est bien plus lourd» qu'officiellement, assure Le Point

 

Alors que le ministère de la Santé annonce un bilan de 1.100 décès en milieu hospitalier en France, Le Point estime que le nombre de morts est bien plus lourd. Selon le magazine, celui-ci ne prend pas en compte les personnes mortes en Ehpad ou chez elles.

Les victimes du nouveau coronavirus décédées à leur domicile, dans les 7.000 Ehpad et les maisons de retraite, qui abritent 800.000 personnes âgées, ne sont pas comptabilisées dans le rapport de la mortalité liée à l'épidémie, assure Le Point.

Selon le média, bien que Jérôme Salomon ait souligné mardi 24 mars que «les décès à l'hôpital ne représentent qu'une faible part de la mortalité», son taux s’avère en réalité «bien plus lourd».

Par exemple, le bilan officiel ne prend pas en compte les 21 patients morts à la résidence d'accueil et de soins Le Couarôge à Cornimont (Vosges), les 12 à l'Ehpad de Thise (Doubs), les 7 décès dans celui à Sillingy (Haute-Savoie) et les 13 à la fondation Rothschild à Paris.

«Nous avons entre vingt et trente établissements qui sont dans des situations critiques», explique au Point Florence Arnaiz-Maumé, déléguée générale du Synerpa (Syndicat national des établissements et résidences privés pour personnes âgées), qui constitue avec ses 1.900 établissements 25% du parc.

«Ils se trouvent dans le Grand Est, autour de Mulhouse, Colmar et Strasbourg, mais aussi dans d'autres foyers de l'épidémie, l'Oise, la Bourgogne, l'Hérault. Au début, on s'est dit, c'est comme la canicule. Mais là il faut tenir de six à huit semaines. Dans le Grand Est, on ne peut plus muter les patients vers les hôpitaux. Pour le 15, nous ne sommes pas prioritaires».

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LIRE AUSSI :Coronavirus : la situation dans le monde, 683 morts en Italie en 24h

LIRE AUSSI :Un infirmier de 44 ans foudroyé en 24h par le coronavirus en Seine-et-Marne

 

 

 

Raoult, le professeur qui divise

 

Coronavirus : définition, transmission, symptômes, traitement... L’essentiel sur le Covid-19

 

Derrière la pandémie actuelle qui paralyse le monde, il y a un virus de 125 nanomètres de diamètre : le SARS-CoV-2. Et une maladie toute nouvelle. On fait le point sur les connaissances actuelles.

Alors que les mesures mises en place pour lutter contre la propagation du Covid-19 paralysent la France, Le Parisien fait le point sur les connaissances actuelles sur cette maladie.

Qu'est-ce que le Covid-19 ?

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LIRE AUSSI : De nouveaux symptômes du coronavirus découverts par des médecins

 

Le coronavirus est en train de muter en envahissant la planète, mais tout va bien

 

Comme tous les virus, le SARS-CoV-2 est sujet à des mutations fréquentes, mais qui ne présente pratiquement pas de danger à court et moyen terme. Les probabilités d’une mutation qui rendrait le virus plus nocif ou plus contagieux sont très faibles.

Comme tous les êtres vivants, le nouveau coronavirus peut être sujet à des mutations. Bien que le terme soit souvent synonyme de scénario catastrophe dans les films de science-fiction, il ne conduit pas nécessairement un virus à devenir plus dangereux. Bien que le phénomène soit relativement rare dans la nature, les virus se multiplient rapidement, et sont donc sujets à des médications bien plus fréquentes. Selon les experts, il est néanmoins très peu probable que le SARS-CoV-2 mute d’une manière qui modifierait le déroulement de la pandémie.

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Coronavirus : le nombre de décès en Ephad probablement beaucoup plus lourd que le bilan officiel

 

Les chiffres officiels de la mortalité du Covid-19 ne prennent aujourd’hui en compte que les décès survenus à l’hôpital, alors que beaucoup de résidents d’Ehpad sont morts du coronavirus. Le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a annoncé la mise en place d’un décompte de la mortalité du Covid-19 dans les Ehpad.

Le décompte officiel de la mortalité du Covid-19 est-il complet ? Non : les chiffres officiels ne recensent que les décès enregistrés à l’hôpital dans le cadre de l’épidémie de coronavirus. Des chiffres qui «ne représentent qu’une faible part de la mortalité» en France, a reconnu mardi soir le Pr Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, indiquant que «les deux principaux lieux de décès sont l’hôpital et les Ehpad».

Au total, au moins 109 décès imputables au coronavirus sont à déplorer dans les Ehpad. […] Pourquoi deux tests ? Le ministère de la Santé le recommande dans un document du 16 mars : «seuls les premiers patients résidant dans une structure d’hébergement collectif (…) font l’objet d’un prélèvement. A partir du second cas confirmé, toute personne présentant un état symptomatique ou proche est alors présumée infectée». Une consigne toujours d’actualité selon le ministère, contacté mercredi. «Les autres cas sont « assimilés à des cas Covid-19 » sur la base du tableau clinique [caractéristiques et symptômes observés de la maladie], mais ne sont pas comptabilisés car non testés», explique l’ARS d’Ile-de-France. […]

20 minutes

 

 

 

 

Coronavirus : les détails de l’opération militaire « Résilience » annoncée par Macron restent flous

 

Le chef de l’Etat a annoncé mercredi que deux navires de la marine nationale sont dirigés vers la Réunion et les Antilles, mais sans mission précise.

Contre l’épidémie de Covid-19, qu’est-ce que « l’opération militaire dédiée Résilience » annoncée par le président de la République mercredi 25 mars au soir ? Rien de précis, comme en a témoigné le communiqué exceptionnellement flou du ministère des armées après l’allocution d’Emmanuel Macron à Mulhouse (Haut-Rhin) : « Les armées s’engageront dans l’ensemble des secteurs où elles pourront apporter un soutien à la continuité de l’Etat » et « ces missions seront adaptées aux contextes locaux ».

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LIRE AUSSI : Coronavirus en France : en quoi va consister l’opération "Résilience" ?

 

 

Coronavirus : la France retire ses troupes d'Irak en raison de la pandémie

 

Frontalier de l'Iran où le virus a déjà tué près de 1 700 personnes, l'Irak a imposé dimanche à l'échelle nationale des mesures très strictes contre le nouveau coronavirus.

C'est une des conséquences collatérales du coronavirus. La France va retirer ses troupes d'Irak, où elles participaient à des missions de formation, a annoncé mercredi 25 mars l'état-major français, en raison "notamment" de la pandémie qui vient ainsi entraver une de ses opérations extérieures.

Frontalier de l'Iran où le virus a déjà tué près de 1 700 personnes, l'Irak a imposé dimanche à l'échelle nationale des mesures très strictes contre le nouveau coronavirus, faisant état de 20 décès et 233 cas confirmés de la maladie Covid-19.

Près de 200 militaires concernés

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Sondage. À cause du manque de masques, les Français ne font plus confiance au gouvernement

 

Selon un sondage, 97 % des sondés sont persuadés qu’il y a une pénurie de masques en France.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 97 % des Français sont persuadés qu’il y a une pénurie de masques en France, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour le Figaro et France info.

La confiance vis-à-vis du gouvernement s’effrite aussi au sujet de sa communication puisque près de trois quarts des sondés estiment que l’exécutif « ne dit pas la vérité » et qu’il ne « prend pas les bonnes décisions au bon moment ».

(…) Courrier picard

 

 

 

 

Antoine Bondaz : « Les autorités chinoises veulent réécrire l’Histoire et minimiser les erreurs. En Europe, des diplomates véhiculent des rumeurs »

 

"Les autorités chinoises veulent :
• réécrire l'Histoire
• rejeter la faute sur les autorités locales
• minimiser les erreurs
En Europe, des diplomates remettent en cause le fait que Wuhan soit le 1er foyer épidémique.
Ils véhiculent des rumeurs."#ConfinementJour9 #COVID2019

 

Coronavirus. Témoignage : des masques pour tous en Thaïlande et rien en France…

 

Salariée à France 3 Alsace et de retour de Thaïlande, j’ai pu comparer l’efficacité (ou non) des mesures prises dans les deux pays pour endiguer la propagation du coronavirus. De la pénurie de masques en France à la profusion à Bangkok, mon voyage se résume à ces deux images.

Tandis que les malades du Covid-19 se multiplient en France, les pharmacies sont déjà en pénurie de masques et de gel hydroalcoolique. En Thaïlande, le nombre de malades augmente lui aussi depuis ces derniers jours, mais les équipements ne viennent pas à manquer. On comptait un mort et 50 personnes infectées le 9 mars dernier, le jour de mon départ. Des distances de sécurité d’un mètre à la prise de température systématique, chaque pays contient, à sa manière, la propagation du coronavirus. […]

La première partie du séjour à Bangkok, la capitale du pays, est déroutante. Face au coronavirus, les mesures de protection sont appliquées à la lettre. Dans la rue ou sur les routes, tous les Bangkokois portent un masque, sans exception. Dans les centres commerciaux comme à l’hôtel, la prise de température et le gel hydroalcoolique sont obligatoires pour pouvoir rentrer. À l’intérieur, comme à l’extérieur du centre commercial, toutes les rampes d’escaliers sont astiquées. […]

Mais en voyageant du nord au sud du pays, on remarque que les consignes sanitaires ne sont pas appliquées de la même manière sur l’ensemble du territoire. La différence est notable entre les grandes villes et les villages. […]

De retour à Bruxelles, le 21 mars, alors que le pays est en plein confinement, on s’attend à retrouver les dispositifs rencontrés à Bangkok ou à Abu Dhabi. Mais rien de tout cela. Pas de prise de température, aucun scanneur thermique ni de gel désinfectant. La seule règle à suivre : maintenir 1,50m de distance avec la personne devant soi, de quoi faire rire les voyageurs. Nous sommes stupéfaits. […]

francetvinfo

 

Note ; la France pourrait réquisitionner des entreprises de textiles pour leurs demandés de faire des masques à la population. Demandait aussi aux Français qui sont chez eux de faire des masques pour leurs familles et leurs entourages, jouer avec la solidarité. Mais ce gouvernement est remplis d'incapable, ils sont tous juste bon a taxer et verbaliser

 

 

 

Port du masque : « Mais de qui se moque-t-on ? 

 

Tribune de Serge Galam, physicien, chercheur émérite au CNRS et au CEVIPOF de Sciences Po, qui retrace les errements du discours officiel justifiant l’inutilité du port du masque pour la population.

Il aura fallu que les soignants montent au créneau pour réclamer des masques immédiatement, pour que les journalistes se rendent finalement compte du problème, s’en emparent en cœur, suivis par beaucoup d’autres, et que finalement il soit admis qu’il n’y en avait pas assez et que des commandes importantes étaient en cours. […]

Si les masques ne protègent pas, pourquoi les soignants en ont-ils besoin ? Ce n’est pas pour éviter d’infecter les malades comme lors d’une opération chirurgicale, c’est bien pour se protéger des malades déjà infectés. Si la priorité des masques est évidemment pour les soignants qui en manquent cruellement, et personne ne le contestera, qu’on ne nous dise pas que le masque ne protège pas. Mais de qui se moque-t-on ? […]

Ainsi, il est affirmé que si le port du masque empêche les contaminés de contaminer les autres, il ne protège pas un non-contaminé d’une contamination : tiens donc, alors le masque serait asymétrique ? Depuis l’intérieur, le virus ne passe pas même projeté avec force depuis la bouche, mais depuis l’extérieur même à une certaine distance, il passerait allégrement. Si un masque protège d’un côté, il protégera également de l’autre côté, quand bien même ce serait de façon inégale. Mais de qui se moque-t-on ? […]

De surcroît, enfiler un masque, et surtout le retirer serait une opération extrêmement complexe demandant une dextérité professionnelle non accessible à tout un chacun. Enlever son masque par les élastiques sans le toucher, puis le jeter et se laver les mains serait une opération demandant une formation spéciale. Mais de qui se moque-t-on ? […]

Libération

 
 

France : les plaintes contre le gouvernement et sa gestion du coronavirus se multiplient

 

[…]

PARIS

Des ministres en ligne de mire. En France, la manière dont le gouvernement français gère la crise du coronavirus ne fait pas l’unanimité. Maintien des élections municipales, pénurie de masque, impréparation, les critiques envers la gestion gouvernementale se multiplient depuis le début du confinement.  À ce jour, cinq plaintes ont été déposées par des particuliers (non-contaminés) et des associations médicales devant la Cour de justice de la République contre le Premier ministre Édouard Philippe, l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et l’actuel ministre de la Santé, Olivier Véran. La Cour de justice de la République est la seule juridiction en France à avoir compétence sur les membres du gouvernement pendant leur mandat.

Les plaintes visent la gestion par le gouvernement de l’épidémie de COVID-19 et les accusations comprennent la mise en danger de la vie d’autrui, l’homicide involontaire, le défaut d’assistance à une personne en danger et le défaut d’action en temps utile pour contenir l’épidémie, selon la source judiciaire citée par Ouest-France, partenaire d’Euractiv. (Euractiv France)

[…]

Euractiv

LIRE AUSSI : Coronavirus: Macron et le gouvernement sont en train de «sacrifier le peuple français», selon Philippe Pascot

 

 

 

Coronavirus: l'ONU appelle à libérer des détenus pour éviter «des ravages» en prison

 

Le 24/mars

La Haut-Commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU Michelle Bachelet a appelé mercredi 25 mars à la libération urgente de détenus à travers le monde pour éviter que la pandémie de Covid-19 ne fasse des «ravages» dans les prisons souvent surpeuplées.

La Haut-Commissaire exhorte «les gouvernements et les autorités compétentes à travailler rapidement pour réduire le nombre de personnes en détention», en libérant par exemple «les détenus les plus âgés et ceux malades, ainsi que les délinquants présentant un risque faible».

Source

 

 

 

 

 

Longjumeau (91) : dénuée d’attestation, elle crache sur les policiers et les traite de « sales blancs », 7 mois ferme et 350€ d’amende

 

Lundi, elle est contrôlée à Longjumeau par des policiers municipaux. Mais l’opération dégénère rapidement. La jeune femme qui n’a pas le papier qui lui permet de se déplacer insulte les agents, les traite de « sales blancs », « fils de p… » et finit par leur lancer : « J’espère que vous allez tous crever du Covid ». Elle tente de fuir.
[…]
Elle griffe un des agents et crache sur un autre en disant : « J’ai le coronavirus, vous allez tous crever ».
[…]

Le Parisien

 

 

Disparu depuis treize ans en Iran, l’Américain Robert Levinson est mort en détention, selon sa famille

 

Le décès de cet agent du FBI à la retraite, s’il est confirmé officiellement, risque d’envenimer les relations entre Washington et Téhéran.

Agent à la retraite de la police fédérale américaine (FBI) disparu dans des circonstances mystérieuses en 2007 en Iran, Robert Levinson est « mort alors qu’il était détenu par les autorités iraniennes », a annoncé sa famille mercredi 25 mars.

Sans être en mesure de donner les causes, ni la date du décès de celui qui a souvent été présenté comme l’otage le plus ancien de l’histoire des Etats-Unis, ses proches ont toutefois estimé qu’il était survenu avant l’épidémie de Covid-19. « Il est impossible de décrire notre chagrin », ont-ils dit.

Ils avaient plusieurs fois alerté sur l’état de santé – il souffrait de diabète et d’hypertension – de ce père de sept enfants, qui aurait eu 72 ans ce mois-ci. « Sans les actes cruels et sans cœur du régime iranien, Robert Levinson serait en vie et à la maison avec nous aujourd’hui », ont-ils ajouté, soulignant avoir « attendu des réponses durant treize ans », sans aucun contact.

La famille de M. Levinson a aussi accusé les autorités iraniennes d’avoir « menti au monde pendant tout ce temps » en assurant ne pas savoir ce qui était arrivé à cet ex-agent du FBI.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Irak, des tirs de roquettes font craindre une nouvelle confrontation entre Etats-Unis et Iran

Le président des Etats-Unis, Donald Trump, n’a pas formellement confirmé son décès, mais il a laissé entendre qu’il était probable. « Ils ne nous ont pas dit qu’il était mort, mais beaucoup de gens pensent que c’est le cas », a-t-il affirmé, se disant « désolé ».

Il a reconnu que les informations n’étaient « pas encourageantes ». « Il était malade depuis des années », a-t-il aussi souligné, parlant de lui au passé et reconnaissant avoir échoué à le ramener aux Etats-Unis.

Des appels à responsabiliser Téhéran

Son décès, s’il est confirmé officiellement, risque d’envenimer plus encore les relations déjà extrêmement tendues entre les Etats-Unis et la République islamique.

Le sénateur républicain de Floride Marco Rubio a ainsi appelé l’administration Trump à « tenir le régime néfaste » de Téhéran « pour responsable ». Son collègue démocrate du New Jersey Bob Menendez a aussi jugé les autorités iraniennes « pleinement responsables de la disparition et de la mort de Bob Levinson ».

Récemment, le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, avait réclamé à Téhéran de « libérer immédiatement » tous les ressortissants américains détenus dans ses prisons face à la menace de l’épidémie de Covid-19. « Nous demandons également au régime d’honorer son engagement à travailler avec les Etats-Unis pour parvenir au retour de Robert Levinson », avait-il notamment insisté.

(..)

Washington a toujours affirmé que Robert Levinson n’œuvrait pas pour le gouvernement américain au moment de sa disparition en mars 2017, sur l’île de Kish, dans le golfe Persique. Il était alors déjà retraité du FBI depuis une dizaine d’années. Mais selon le Washington Post, il travaillait pour la CIA et devait rencontrer un informateur au sujet du programme nucléaire iranien.

Lire l'article dans son intégralité

 

Note ; si les iraniens ne l'on pas laissé sortir depuis 13 ans , c'est qu'il avait forcement des informations importantes sur le nucléaire iranien

 

 

 

Tchad: Près de cent militaires tués par Boko Haram

 

Le président tchadien Idriss Déby Itno lors du sommet G5 Sahel, le 13 janvier 2020 à Pau.
Le président tchadien Idriss Déby Itno lors du sommet G5 Sahel, le 13 janvier 2020 à Pau. — Quentin TOP/SIPA

C’est une nouvelle tragédie au Sahel, consécutive à la présence de nombreux djihadistes dans la région. Boko Haram a tué près de 100 militaires tchadiens dans une attaque à Boma, dans la province du Lac au Tchad. Le président Idriss Déby Itno s’est rendu en personne sur les lieux de l’attaque mardi pour « s’incliner sur le corps » des 92 soldats morts, précisant que c’était « la première fois » qu’il perdait autant d’hommes. Il a également décidé de rester dans la province, affirmant qu’il préparait une « réplique foudroyante ».

Un terrain qui avantage Boko Haram

Certains officiers présents sur place, qui ont réclamé l’anonymat, évoquent même un bilan encore plus lourd. Ils affirment que les djihadistes ont possiblement pris des militaires en otage lors de cette attaque qui a eu lieu lundi avant la levée du jour. Les affrontements de Boma ont duré plus de 7 heures. Les renforts envoyés par l’armée tchadienne vers la presqu’île se sont embourbés et ont eux-mêmes été pris pour cible.

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Kaboul : attaque contre un temple hindou-sikh revendiquée par l’État islamique, au moins 25 victimes

 

Des hommes armés ont pris d’assaut ce mercredi 25 mars au matin un temple hindou-sikh du centre de Kaboul, en Afghanistan, dont les forces de sécurité tentent de reprendre le contrôle, a annoncé le ministère de l’Intérieur afghan. Au moins 25 personnes, dont un enfant, ont été tuées. L’attaque a été revendiquée peu après par l’État islamique, indique l’organisme américain de surveillance des mouvements extrémistes Site.

Selon une représentante de la communauté hindou-sikh au parlement il y a environ 150 personnes dans le temple où des familles du quartier viennent régulièrement prier le matin quand d’autres y vivent. Certaines personnes à l’intérieur du temple se cachent et leurs téléphones sont éteints, a raconté Anarkali Kaur Honaryar, qui s’est dite très préoccupée.

Les talibans ont nié tout lien avec cet assaut. L’attaque n’a rien à voir avec nous, a déclaré sur Twitter leur porte-parole Zabihullah Mujahid.

ouest-france

 

Affaire Khashoggi : la Turquie lance des poursuites contre une vingtaine de Saoudiens

 

La Turquie a annoncé, mercredi 25 mars, avoir lancé des poursuites contre 20 Saoudiens à l'issue d'une enquête de plus d'un an sur le meurtre de l'éditorialiste Jamal Khashoggi à Istanbul en 2018. Le bureau du procureur général d'Istanbul a indiqué dans un communiqué qu'un acte d'accusation avait été préparé, ce qui ouvre la voie à un procès dont la date n'a pas encore été annoncée. Les autorités turques ont par ailleurs émis des mandats d'arrêt internationaux.

Dans cet acte d'accusation, deux proches du prince héritier Mohamed Ben Salmane, l'ex-conseiller Saoud al-Qahtani et le général Ahmed al-Assiri, ancien numéro deux du renseignement, sont identifiés comme les commanditaires du meurtre. Ils sont accusés d'avoir ordonné un "homicide volontaire prémédité avec l'intention d'infliger des souffrances". Dans le même document, 18 autres suspects sont accusés d'avoir pris part à ce meurtre. Ils risquent tous la prison à vie.

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Coronavirus : les « quartiers populaires » en difficulté pour faire appliquer le confinement

 

Logements surpeuplés, éducateurs sociaux confinés, délinquance… Depuis dix jours, les mesures de confinement sont plus difficiles à faire appliquer dans certains quartiers, notamment en région parisienne.

« Je ne veux pas qu’on commence à dire que, parce que ce sont des banlieues, (…) les gens ne respectent pas les règles« , s’est agacée vendredi la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. Dans les faits pourtant, les mesures de confinement liées au coronavirus sont plus faciles à faire respecter dans certains quartiers que d’autres. Logements surpeuplés, éducateurs sociaux confinés ou délinquance ne favorisent pas l’application en banlieue des restrictions mises en place depuis dix jours pour lutter contre la propagation du virus.

« Les gens ici font attention, comme tout le monde ils ont peur« , assurent à l’Agence France Presse Mohamed et Abdel, tous les deux 40 ans et ouvriers dans le bâtiment au Val-Fourré. Mais “quand vous avez trois ou quatre ados à la maison, c’est dur de les obliger à rester enfermés toute la journée« , observe Mohamed. […]

« Ils vivent tout le temps dehors, alors chez eux ils doivent trouver le temps long et la nuit est un défouloir. » Face à ces jeunes, les forces de l’ordre ont bien du mal à faire appliquer les limitations de déplacements et de rassemblements. […] Le confinement est aussi source de tensions car il met à mal le trafic de stupéfiants, estime le président du club de foot d’Aulnay. […]

bfmtv

 

Dans les cités, « le confinement va inévitablement faire monter la violence ». « Pourquoi ne pas aller chercher Ladj Ly pour la communication publique ? »

 

Alors que l’épidémie de coronavirus sévit jour après jour, pourquoi le gouvernement craint-il la réaction des banlieues aux consignes de confinement ? Les réponses de l’ancien préfet Michel Aubouin, qui redoute « une explosion ».

[…] On retrouve une tonalité générale qui imprègne le monde de la haute fonction publique, qui consiste à considérer que les quartiers vivent leur vie et qu’il faut les laisser tranquilles. […]

Et en situation d’urgence, pourquoi ne pas s’appuyer sur des personnalités écoutées dans les cités ? Un cinéaste issu des quartiers a réalisé un film sur le sujet, qui a rencontré un grand succès (Ladj Ly, réalisateur des Misérables, ndlr) : pourquoi ne pas aller le chercher pour la communication publique ? Mais ce n’est pas du tout dans le logiciel du gouvernement. Il risque de s’écouler beaucoup de temps avant qu’il ne réagisse.

Marianne

 

 

Confinement bafoué dans les zones de non-droit: «une question de rapport de force, selon Michel Aubouin

 

C’est un choix délibéré de l’État: le confinement est désormais imparfaitement appliqué dans les zones criminogènes. Or, si certains veulent acheter la paix sociale, l’ancien préfet Michel Aubouin craint que l’assèchement des trafics de drogue ne mène à de nouvelles émeutes, au pire moment. Entretien.

«Ce n’est pas une priorité que de faire respecter dans les quartiers les fermetures de commerces et de faire cesser les rassemblements», a déclaré le Secrétaire d’État Laurent Nuñez lors d’une visioconférence avec les préfets le 18 mars. Une révélation du Canard enchaîné qui conforte les instructions aux policiers du 92 que nous avions dévoilées la semaine dernière: alors que le confinement se révèle impraticable dans les zones de non-droit, l’État recule.

«C’est une question de rapport de forces: pour confiner tous ces gens, il faudrait des moyens policiers que nous n’avons pas», regrette l’ancien préfet Michel Aubouin au micro de Sputnik.

Ancien haut fonctionnaire, auteur de l’essai 40 ans dans les cités, notre interlocuteur connaît la réalité des zones sensibles. Pour lui, la situation est hautement inflammable: «ça ne m’étonnerait pas que ça se transforme franchement en émeute», nous confie-t-il. «Les maires que je vois sont très inquiets», ajoute-t-il, avant de préciser: «les préfets laissent les maires assez démunis et la Police municipale a peu de moyens juridiques, à part dire aux gens de rentrer chez eux...»

Les maires appellent l’État au secours…

Alors que les attroupements, les rodéos urbains et autres barbecues se multiplient avec le printemps et en dépit du bon sens sanitaire, certains élus craignent en effet le pire. La maire de Vénissieux (Rhône), Michèle Picard (PCF), a lancé un appel au secours pour obtenir des renforts de police. Avec 34 agents, la police municipale de cette ville de 66.000 habitants est débordée et n’est pas en mesure de faire respecter le confinement.

Mais les renforts viendront-ils? 100.000 agents devaient quadriller le territoire national, selon Emmanuel Macron, mais l’annonce tarde à être suivie d’effet. Il faut dire que la police est déjà exsangue, d’autant plus que les agents contaminés sont de plus en plus nombreux. Ayant reçu l’ordre de ne pas porter de masque, les agents sont particulièrement exposés à la contagion. Au 25 mars, 100 sont officiellement malades, et 5.000 sont quant à eux confinés. Du côté de la gendarmerie, on compte 25 malades et 600 confinés.*

… mais l’État tente d’acheter la paix sociale

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L'intervention tant attendue de l'armée?

Mais à l’échec du confinement dans les zones de non-droit, pourrait s’ajouter un coup brutal à leur économie. Les trafics de drogue, qui n’ont pas cessé à l’heure actuelle, pourraient bien s’assécher dans les jours à venir. Le secteur représente deux à trois milliards d’euros par an et pourvoit plus de 20.000 emplois à échelle nationale. Si certains collègues préfets de Michel Aubouin pensaient que le trafic pacifierait les quartiers, celui-ci dénonce «une énorme bêtise»: «je pense exactement le contraire: ça les rend incontrôlables.» Le gagne-pain de quartiers entiers est menacé à moyen terme, alors que les «go fast» sont rendus plus difficiles avec les nombreux contrôles policiers:

«Ça va créer une tension qui ne peut s’exprimer que par la violence, je ne crois pas qu’ils resteront tranquillement à regarder la télévision chez eux… sans parler des 5.000 détenus que Nicole Belloubet envisage de libérer», soupire notre interlocuteur.

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Note ; 5000 détenues qui vont rejoindre leurs quartiers  et faire grossir les rangs de l’Islam

 

C 5 - Q 30

Tout à l'entour de la grande cité,
Seront soldats logez par champs & villes.
Donner l'assaut Paris Rome incité
Sur le pont lors sera faicte, grand pille

 

Tout aux alentours de la grande ville de Paris;
Seront "soldats" ( qui seront) logés à l’extérieur et
l’intérieur des villes.
Ils donneront l'assaut de la ville de Paris, incité ( par les troubles) de Rome (invasion)
Sur terre et mer lorsque sera fait de grand pillage

 

 

 

 

 

 

Espagne : des ambulances transportant des personnes âgées contaminées bloquées et caillassées par des jeunes, des engins explosifs artisanaux lancés sur la police

 

Un groupe de jeunes d’une ville du sud de l’Espagne a caillassé des ambulances transportant 28 personnes âgées atteintes du coronavirus
[…]

Cet incident intervient alors que le bilan de la pandémie de Covid-19 en Espagne a dépassé mercredi celui de la Chine, avec 3 434 morts.

« Plusieurs jeunes se sont rassemblés dans la ville (de La Linea de la Concepcion) pour empêcher l’arrivée du convoi d’ambulances qui amenait les personnes âgées », selon la police.

Ils ont lancé des pierres et insulté les ambulances à leur passage et ont mis une voiture en travers de la route pour empêcher leur passage, a ajouté la police qui a interpellé deux personnes de 32 et 25 ans.
[…]

« Les agents ont dû établir un périmètre autour de la résidence pour contrôler un groupe d’une cinquantaine de personnes« , a ajouté la police, selon laquelle deux engins explosifs artisanaux ont été lancés sur les forces de l’ordre et des poubelles brûlées. Ces jeunes ont « provoqué, menacé et insulté la police et ceux qui déplaçaient les malades », a dit le porte-parole.
[…]

« Il y a une ambiance tendue car ceux qui font des trafics illégaux de tabac ou de haschich ne peuvent rien faire, ne peuvent pas sortir de chez eux sans justification », a souligné le porte-parole de la police
[…]

Sud-Ouest

 

 

 

GB : Une guerre des gangs sanglante explose dans les rues de Halifax, des voyous en voiture saisissent une victime sans défense et la traînent sur la route

 

Des images d’une guerre des gangs sanglante à Halifax, dans le West Yorkshire, ont été filmées mardi
Les voisins ont commencé à filmer quand une Audi rouge a été caillassée.
es pierres ont été lancées sur le véhicule avant qu’une bagarre massive ne s’ensuive dans la ville
Un homme a ensuite été traîné dans une rue après avoir été tiré dans l’Audi rouge

LIEN ET VIDEO

 

Immigration clandestine : l’effet dissuasif du coronavirus

 

Tunisie – Face à la flambée épidémique de ce virus, les «harragas» hésitent de plus en plus à mettre le cap sur Lampedusa. Ce n’est sûrement que partie remise.

[…] «C’est tant mieux», s’écrie un père de famille résidant à Raoued. «Le coronavirus est pour moi un cadeau du ciel, dans la mesure où il a eu un effet dissuasif auprès des jeunes tentés par l’aventure de la mer. Mon fils qui en était obnubilé a finalement compris, ces jours-ci, qu’il vaut mieux mourir ici que d’aller attraper le virus macabre en Europe».

Même son de cloche, selon des sources policières, chez les repris de justice qui constituent, on le sait, l’épine dorsale de l’ensemble de nos harragas. «Ils se sont subitement assagis, en adoptant — sans doute la mort dans l’âme —un profil bas, tout en se cramponnant à l’espoir de jours meilleurs».

Revers de la médaille : en renonçant à prendre le large, ils sont obligés de… jouer les prolongations dans nos murs et, par conséquent, s’adonnent au vol et à divers types de trafics. […]

La Presse

 

 

Libye : le responsable de la Commission libyenne des droits de l’homme appelle à fermer les camps de rétention et à rapatrier les migrants vers leurs pays d’origine

 

La Commission nationale des droits de l’homme en Libye a appelé, vendredi 20 mars, les autorités libyennes et la communauté internationale à agir pour fermer les centres de rétention de migrants en Libye, en raison du coronavirus.

Tous les migrants qui tentent la traversée de la Méditerranée sans y parvenir sont interceptés par les garde-côtes libyens et échouent dans ces centres de rétention où les conditions de vie sont épouvantables. Selon l’agence de l’ONU pour les réfugiés (HCR), rien qu’au mois de janvier dernier, 1 040 migrants et réfugiés ont été interceptés en mer et ramenés dans des camps de rétention en Libye.[…]

Et le responsable de la Commission libyenne des droits de l’homme en appelle à la communauté internationale. « Elle doit absolument réagir. Il faut absolument aider ces gens. Il faut fermer ces camps de concentration de la mort – ces prisons humaines – et aider à rapatrier ces gens vers leur pays. Ou bien, évidemment, aider certains à obtenir un asile en Europe, selon les lois et les conventions internationales qui sont connues de tous », prévient Walid Elhouderi.

rfi.fr

 

 

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