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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 24 mars 2020

 

 

EN DIRECT - Coronavirus: nouveau vol militaire pour transférer des malades de Mulhouse vers la Bretagne

 

Plus de 700 migrants évacués d'un camp au nord de Paris

Plusieurs centaines de migrants, qui vivaient dans un campement insalubre de la banlieue parisienne, dont l'hygiène et la promiscuité faisaient polémique sur fond de coronavirus, ont été mis à l'abri mardi matin.

Agglutinés en file indienne tout près du terrain vague d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) où ils avaient posé leurs tentes, plus de 700 exilés, pour l'essentiel des hommes originaires d'Afrique subsaharienne, certains drapés dans des couvertures et leurs effets rassemblés dans des sacs en plastique, sont montés dans des bus qui les ont emmenés vers des gymnases et des hôtels. «On agit pour des raisons sanitaires, ce sont des personnes qui sont en promiscuité très forte», a expliqué à l'AFP Anne-Claire Mialot, préfète déléguée à l'égalité des chances, pendant l'opération.

 
 

En Espagne, 514 personnes sont mortes en 24 heures

L'Espagne a enregistré un nouveau record de morts dues au coronavirus en 24 heures avec 514 décès supplémentaires entre lundi et mardi, ce qui porte le bilan total à 2696, selon les annonces du ministère de la Santé. Le nombre total de cas confirmés s'approche lui des 40.000 avec 39.673 alors que les autorités multiplient les tests.

 

Il existe des risques de «ruptures» dans la chaîne d'approvisionnement, prévient Système U

Dans les rayons des supermarchés, certains produits pourraient manquer durablement. Le patron de Système U, Dominique Schelcher, a réaffirmé mardi qu'il n'y aurait «pas de pénurie brutale» dans les magasins de la grande distribution alimentaire mais a ajouté que l'on observait «un certain nombre de ruptures» dans la chaîne d'approvisionnement. (..)

 

Un Américain décède après avoir ingéré du phosphate de chloroquin

Âgé d'une soixantaine d'années, l'homme avait consommé l'équivalent d'une cuillère à café de phosphate de chloroquine pour se protéger contre le virus. Hospitalisée pour les mêmes raisons, sa femme a expliqué au micro de NBC News avoir eu cette idée après avoir entendu Donald Trump vanter les mérites de la chloroquine contre le coronavirus.

Deux jours plus tôt, lors d'un point presse, le président des États-Unis avait fait part de ses espoirs dans la chloroquine pour traiter le Covid-19. «C'est un traitement fort, c'est un médicament puissant», avait-il déclaré. 

Note : geste stuppide, la chlroquine n'est pas du siros pour la toux
 
 

L'exécutif ne ferme pas la porte à un traçage numérique

Le dispositif est déjà mis en oeuvre en Israël, en Russie, ou en Corée du Sud. C'est maintenant la France qui s'intéresse au traçage numérique, qui doit permettre d'identifier des personnes en contact avec celles infectées par le coronavirus. Un groupe de chercheurs doit être installé par l'exécutif cet après-midi afin d'étudier l'opportunité de ce «backtracking».

Présidé par Francoise Barré-Sanoussi, virologiste à l'Institut Pasteur/Inserm, ce groupe assurera «le suivi des études thérapeutiques autorisées en France et les essais engagés sur des traitements à l’étranger», précise l'Élysée dans un communiqué. En outre, il «accompagnera la réflexion des autorités sur la doctrine et la capacité à réaliser des tests ainsi que sur l’opportunité de la mise en place d’une stratégie numérique d’identification des personnes ayant été au contact de personnes infectées», selon la présidence.

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Le coronavirus mettra-t-il l'Union européenne KO? «Une faillite totale»

 

Critiquée depuis le début de la crise du coronavirus, l'UE a du mal à faire face. Devant l'hécatombe, l'Italie a dû demander de l'aide à des pays comme la Chine, la Russie ou Cuba. L'impuissance de Bruxelles pourrait-elle mener à l'explosion de l'UE? Florian Philippot, président des Patriotes, livre son analyse à Sputnik.

«Cette crise montre la faillite totale de l'Union européenne

Florian Philippot, président des Patriotes, parti politique pro-Frexit, rend l'Union européenne en partie responsable de la situation catastrophique qui est actuellement celle de plusieurs pays européens. Dans le sillage d'une épidémie de coronavirus qui a déjà fait plus de 15.000 morts à travers le monde, dont une nette majorité sur le Vieux Continent, de nombreuses voix s'élèvent pour critiquer le manque de réaction de l'Union européenne. Pour Florian Philippot, l'UE a même été un facteur aggravant de la crise:

«Les politiques de l'Union européenne nous ont clairement rendu vulnérables par rapport à cette épidémie. Tout d'abord car l'UE c'est l'austérité et donc des systèmes de santé qui ont été très affaiblis ces dernières années dans plusieurs pays dont la France. Ensuite, Bruxelles prône l'ouverture des frontières, ce qui a fait prendre du retard concernant leurs fermetures, mesure pourtant essentielle prise par la quasi-totalité des pays qui ont agi sérieusement pour lutter contre l'épidémie.»

Tous les regards tournés vers Rome

La réponse européenne concernant la situation italienne est sous le feu des critiques. Pays le plus touché au monde par l'épidémie de coronavirus avec plus de 5.400 morts, la Botte est quasiment à l'arrêt depuis le 10 mars et le début du confinement. Les conséquences sanitaires comme économiques sont désastreuses pour Rome. «Nous sommes absolument prêts à aider l'Italie pour tout ce dont elle aura besoin. C'est de la plus haute importance. Ce pays est gravement touché par le coronavirus. Par conséquent [...], nous répondrons à tous leurs besoins», déclarait le 13 mars Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne.

Mais pour le moment, la concrétisation de ces paroles en actes semble patiner. Si Bruxelles a annoncé suspendre temporairement le respect de plusieurs règles de discipline budgétaire, en premier lieu desquelles figure la fameuse obligation d'avoir un déficit public inférieur à 3% du produit intérieur brut, l'Italie souhaite qu'elle agisse davantage. Rome a demandé à l'UE de faire tout ce qui était en son pouvoir afin d'aider le pays. L'Italie a proposé à ses partenaires européens la création de «corona bonds», des obligations mutualisant les dettes des pays de la zone euro. Un tel système avait déjà été envisagé par le passé, mais il s'était heurté à l'opposition de plusieurs pays du nord de l'Europe, l’Allemagne en tête.

Le recours au Mécanisme Européen de Stabilité (MES), outil qui a vu le jour en 2012 lors de la crise de la dette et doté d'une capacité de prêt de 410 milliards d'euros, a également été évoqué. Le Premier ministre italien Giuseppe Conte a dans un entretien au Financial Times daté du 20 mars appelé l'Union européenne à utiliser «toute la puissance» de ce fonds afin de répondre à la crise «sans précédent» du coronavirus. Pour le moment rien n'a été décidé. Pour le président des Patriotes, le mal est déjà fait:
 

Vers une guerre de religion, infos du 24 mars 2020

«Les européistes répondent que l'Union européenne n'a pas de compétence en matière de santé ce qui est totalement fallacieux. Elle a bien une compétence: celle de flinguer tous les services publics en vous poussant à privatiser, à faire des économies et à mettre en place l'austérité. Je rappelle que plusieurs pays européens ont supprimé des milliers de postes dans l'hôpital public ces dernières années et ils l'ont fait pour répondre aux critères imposés par Bruxelles et du fait de leur appartenance à l'Union européenne et à la zone euro.»

Rome a demandé de l'aide à plusieurs pays hors Union européenne comme à la Chine, au Venezuela ou encore à Cuba. Quant à la Russie, elle a envoyé pas moins de 10 avions de transports militaires en Italie contenant notamment des médecins militaires russes et de l'équipement médical. Le 10e avion a décollé ce 23 mars de l'aéroport Chkalovsky à destination de la base militaire italienne de Pratica di Mare, à 30 kilomètres au sud-ouest de Rome. Le 21 mars, c'est Cuba qui dépêchait une équipe de 52 médecins et infirmiers qui, pour une partie, a déjà lutté contre le virus Ebola en Afrique. Quant à la Chine, elle a déjà envoyé plusieurs spécialistes et du matériel médical tels que des masques, des respirateurs et autres électrocardiographes.

«Le côté malfaisant de l'Union européenne a été révélé au grand jour ainsi que son inutilité face à cette crise. Nous voyons bien que les espaces de solidarité mis en place ne sont pas là où on pouvait les attendre. La solidarité peut se faire entre nations au niveau international comme on le voit avec la Chine, la Russie et Cuba qui viennent en aide à l'Italie. Il est idiot de confiner la solidarité sur un seul continent», pointe Florian Philippot.

Exemple frappant du manque de coordination dans la lutte contre le coronavirus au niveau européen: la saisie le 17 mars de 680.000 masques et d'appareils respiratoires dans un entrepôt d'une entreprise privée de Lovosice, au nord de Prague en République tchèque. D'abord présenté comme une opération visant à lutter contre le trafic de marchandises, le gouvernement tchèque a dû concéder que «malheureusement, après des investigations plus poussées, il s'est avéré qu'une plus petite partie de cette saisie était un don chinois pour l'Italie». Afin de régler la situation, Prague a annoncé le 23 mars avoir expédié 110.000 masques vers l'Italie.

«L'Union européenne, en poussant aux délocalisations, notamment en Chine, nous a mis en danger. Aujourd'hui, nous ne sommes même plus en mesure de fabriquer des masques en quantité suffisante, même chose pour les médicaments. Bruxelles nous a expliqué pendant des années que la mondialisation était formidable. Nous voyons aujourd'hui le résultat», constate Florian Philippot.

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Coronavirus: «nous sommes au début des révélations des mensonges du gouvernement, ça va grossi

 

Samuel Lafont, porte-parole du média de mobilisation Damoclès, a lancé une pétition signée par 40.000 personnes pour voir Agnès Buzyn et Édouard Philippe jugés par la Cour de justice de la République. Ces ministres ont-ils manqué à une obligation de sécurité et de prudence?

Face à la pandémie de coronavirus, le chef de l’État et son gouvernement sont-ils à la hauteur de l’enjeu? C’est ce que semble estimer une majorité de Français, selon certaines études: 54% estiment que le gouvernement gère bien l’épidémie, selon un sondage Yougov/Huffington Post. La cote de popularité d’Emmanuel Macron semble aussi le refléter: la voici qui a gagné 13 points, pour atteindre les 51%, selon un sondage Harris Interactive-Epoka.

La pénurie de masques en France fait-elle mentir Sibeth N’Diaye?...

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Perte d’odorat : le nouveau coronavirus suspecté de pouvoir infecter le système nerveux central

 

Le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, l’a déclaré dans son compte-rendu du vendredi 20 mars : la perte d’odorat (ou anosmie) peut figurer au nombre des premiers symptômes du Covid-19. Négligé depuis l’irruption de la maladie, ce signe clinique est désormais relevé dans de nombreux pays et pourrait être expliqué par la capacité du nouveau coronavirus à infecter le système nerveux central des malades – notamment les zones du cerveau traitant les informations olfactives.

Cette hypothèse est étayée par deux récents articles de recherche. Le premier, tout juste publié par des chercheurs chinois dans le Journal of Clinical Virology s’appuie sur des données acquises sur d’autres coronavirus que le SARS-CoV-2, étudiés de plus longue date ; le second, publié presque simultanément dans la revue Chemical Neuroscience, propose des mécanismes d’action susceptibles d’expliquer cette faculté potentielle du virus à infecter le système nerveux central.

« L’article [des chercheurs chinois] est intéressant car il se fonde sur des observations cliniques, interprétées grâce à une synthèse de ce que l’on sait sur les coronavirus, estime la biologiste Christine Prat, du consortium European Virus Archive Global. Cependant, il reste beaucoup à comprendre sur l’impact que peuvent avoir certains virus sur le système nerveux central, qui est une zone très particulière : le système immunitaire ne peut pas y opérer comme ailleurs dans l’organisme puisqu’il doit lutter contre l’infection en évitant de détruire les cellules neuronales, qui ne se renouvellent pas, ou très peu. »

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L’OMS a trouvé une explication au grand nombre de morts en Italie du Covid-19

 

Le taux de létalité élevé parmi les Italiens infectés par le coronavirus ne tient pas seulement aux particularités démographiques du pays, mais aussi à la façon de tester la population, selon Corriere della Sera.

Le grand nombre de morts des suites du coronavirus en Italie pourrait être expliqué par l’insuffisance de tests sur les personnes suspectes, relate le journal Corriere della Sera.

«Le taux de létalité en Italie est plus élevé car, en plus d'avoir une population plus âgée, les cas moins graves ne sont pas testés (et par conséquent isolés)», a déclaré le directeur général adjoint de l'OMS Bruce Aylward cité par le quotidien.

Au fur et à mesure que l’épidémie a gagné en ampleur, l’Italie a modifié le système des tests.

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Coronavirus : ces politiques convaincus par l’infectiologue Didier Raoult... avant les médecins

 

«Je ne suis pas un outsider, je suis en avance», assurait samedi dernier Didier Raoult à La Provence . Le directeur de l'IHU de Marseille est convaincu d'avoir trouvé le traitement contre le coronavirus. Il préconise le recours à la chloroquine, un antipaludique. Didier Raoult s'appuie notamment sur un test auprès de 24 patients. Les trois quarts ont été guéris au bout de six jours. Ses méthodes agacent toutefois le corps médical. Nombreux rappellent qu'aucun essai clinique n'a été réalisé et qu'il était donc beaucoup trop tôt pour crier victoire.

«On n'a pas le temps d'expérimenter sur des souris»

Qu'importe, l'espoir est né. Plusieurs personnalités politiques ont même insisté pour que l'exécutif s'attarde rapidement sur les travaux de ce médecin. Testé positif au coronavirus, Christian Estrosi a lui-même souhaité avoir recours à la chloroquine. «Je l'ai vécu parfaitement bien. J'ai le sentiment d'être guéri. Je suis en pleine forme. J'ai décidé de faire confiance au professeur Raoult,a-t-il indiqué lundi sur BFM TV, soit six jours après avoir commencé le traitement. Quand, comme dit le président de la République, la guerre est déclarée, on n'a pas le temps d'expérimenter sur des souris pendant six mois. À partir du moment où il y a une solution testée sur un certain nombre de patients qui semblent porter ses fruits, je ne vois pas pourquoi la France se priverait» de ce médicament.

Dans un courrier adressé lundi à l'Élysée, queLe Figaro a pu consulter, sept députés LR pressent aussi Emmanuel Macron à s'emparer de la question. «Serons-nous les derniers à nous décider à lutter efficacement contre la maladie ?», ont-ils interrogé.

Accessible «aux équipes médicales qui le souhaitent»

Dès dimanche, Bruno Retailleau, le président du groupe LR au Sénat, a lui demandé au gouvernement de ne pas «prendre de retard». «La chloroquine, pourquoi ne l'utilise-t-on pas ?», a-t-il demandé sur France Inter. «Elle a un avantage, elle n'est pas chère. Est-ce que c'est parce que les grands labos aimeraient se faire de l'argent sur le dos de nos concitoyens ?», avait suspecté l'élu de Vendée. «Il faut que le directeur général de la Santé dise à tous les hôpitaux de France : allez-y ! De toute façon, qu'est-ce qu'on risque ? Les gens meurent», a-t-il voulu rappeler.

Les voix s'élèvent en revanche moins à gauche. Nombreux appellent surtout à la prudence. «Donc le monde entier parle et met en pratique les travaux du professeur Raoult mais en France on le met sous haute surveillance... C’est quoi le loup là-dedans ?», s'est seulement indigné, pour l'heure, Julien Dray, l'ancien député socialiste, proche de François Hollande.

Finalement, le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé lundi soir que la chloroquine serait accessible «aux équipes médicales qui le souhaitent». Le Haut conseil de santé publique a cependant recommandé de ne pas l'utiliser, sauf pour des formes graves. Le débat sur cet antipaludique ne fait que commencer...

SOURCE - VOIR VIDÉO (très instructive)

 

 

LIRE AUSSI : Coronavirus : la France tente de modifier sa stratégie de dépistage

 

Coronavirus : quatre questions sur la chloroquine, présentée par le professeur Raoult comme la meilleure arme contre le Covid-19

 

Des spécialistes s'insurgent contre la promotion, par le professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses à Marseille, de ce médicament antipaludique.

Le professeur Didier Raoult, directeur de l\'IHU Méditerranée Infection, dans son bureau à Marseille, le 26 février 2020.
Le professeur Didier Raoult, directeur de l'IHU Méditerranée Infection, dans son bureau à Marseille, le 26 février 2020. (GERARD JULIEN / AFP)

La chloroquine, un remède miracle contre le coronavirus ? Spécialiste des maladies infectieuses à Marseille, le professeur Didier Raoult le proclame partout, après avoir testé ce médicament antipaludique sur 24 patients. Selon lui, les trois quarts étaient guéris au bout de six jours.

Ce chercheur, qui fait partie du conseil scientifique chargé d'éclairer l'exécutif sur la pandémie, a d'ailleurs convaincu le gouvernement de tester plus largement ce médicament. Et le ministre de la Santé, Olivier Véran, a donné son feu vert, le 17 mars, "pour qu'un essai plus vaste par d'autres équipes puisse être initié dans les plus brefs délais sur un plus grand nombre de patients". Lundi 23 mars, le ministre a annoncé qu'il allait prendre un arrêté pour "encadrer" l'utilisation de la chloroquine, qui sera "accessible aux équipes médicales hospitalières" uniquement pour traiter des "formes sévères" et sur "décision collégiale des médecins".

Mais sans recul ni étude validée, certains scientifiques ne comprennent pas que la chloroquine soit déjà présentée comme l'arme suprême pour lutter contre le coronavirus. Explications.

 

(..)

2 Pourquoi le professeur Didier Raoult estime-t-il que ce médicament est efficace ?

Se présentant comme une "star mondiale dans son monde", Didier Raoult affirme à La Provence que, sur 24 patients qu'il a suivis dans son essai clinique, "après six jours de traitement", "75% des patients sont guéris du virus". Interrogés sur les "25% de cas" qui sont toujours positifs, il affirme  "n'avoir pas eu d'aggravation dans les cas traités". Les données de son étude sont publiées ici (en anglais).

Sauf que si on entre davantage dans les détails, Didier Raoult prône, en fait, l'association de deux médicaments : le chloroquine (hydroxychloroquine, connu sous son nom de médicament, le Plaquenil) , et un antibiotique appelé l'azithromycine. Sur franceinfo, un membre de son équipe, Philippe Parola, chef du service des maladies infectieuses de l'IHU à Marseille, estime que les essais cliniques en cours sur une large échelle doivent tester l'association des deux produits : "Cela marche encore mieux", expose-t-il. Il ajoute :  "Il faut savoir que ces molécules, la chloroquine comme l'azithromycine, sont utilisées depuis des années et qu'on en connaît les effets secondaires, y compris de cette association."

 

3 Pourquoi son efficacité est-elle sujette à caution ?

Pour une raison simple : il n'y a pas encore d'étude conduite dans les règles de l'art qui viennent prouver cette efficacité. Tout en autorisant des essais plus larges, le 17 mars, le ministre de la Santé, Olivier Véran, l'a rappelé : "Il est absolument fondamental d'asseoir toute décision de politique publique en santé sur des données scientifiques validées, et les processus de validation, on ne peut pas négocier avec." Autrement dit, "il est pour le moment difficile de se prononcer sur l’efficacité d’un traitement antipaludique à base de chloroquine contre le coronavirus", résume l'Inserm, sur sa page contre les "Fake news".

"Si la possibilité de pouvoir utiliser des traitements antipaludiques sûrs, déjà bien connus et peu coûteux chez les patients atteints de coronavirus est intéressante, il est primordial d’avoir une visibilité sur des données issus d’essais cliniques impliquant des patients infectés par SARS-Cov-2, publiées et donc rendues accessibles à la communauté scientifique internationale", poursuit l'Inserm. En clair : il est trop tôt pour se prononcer.

 

VIDEO

Pour le même motif, Karine Lacombe, infectiologue et cheffe de service à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, explique à France 2, "écœurée", que le Dr Raoult "expose les gens à un faux espoir".  "Cet essai est contestable et ne montre absolument rien sur le plan scientifique, s'indigne-t-elle. Ce qui se passe à Marseille est scandaleux. Utiliser un médicament comme ça hors autorisation de mise sur le marché en exposant les personnes qui le prennent à des complications sans avoir vérifié les conditions d'utilisation de base, c'est en dehors de toute démarche éthique. Même si ce médicament peut potentiellement avoir une activité (...), on ne peut pas le donner comme ça à n'importe qui dans n'importe quelles conditions, hors base scientifique correcte. Il faut faire extrêmement attention."

A le lire attentivement, le professeur Raoult pointe lui-même les limites de son étude. Dans son interview à La Provence, il dit ainsi n'avoir pas eu affaire à des cas graves : "Nous n'avons pas eu d'aggravation dans les cas traités, mais nous ne voyons pas de gens dans des états graves. Pour l'instant, les cas graves sont ceux qui ne sont ni détectés, ni traités et qui arrivent avec une insuffisance respiratoire très grave. Ils vont directement en réanimation et ils vont mourir là-bas." D'où le danger de brandir un médicament miracle. Une démarche qui risque aussi de dissuader les gens de prendre les précautions nécessaires (gestes barrière, distance de plus d'un mètre, etc.).

Quand saura-t-on si ça marche ?

L'étude sur la chloroquine menée en France ailleurs qu'à Marseille donnera des résultats d'ici à quinze jours, selon le ministère de la Santé. Elle s'inscrit dans le cadre d'un essai clinique européen destiné à évaluer quatre traitements expérimentaux pour lutter contre le coronavirus. Baptisée "Discovery", cet essai "a pour but d’analyser l’efficacité et la tolérance des options thérapeutiques pour les patients dans un temps limité", explique l'Inserm dans un communiqué, dimanche 22 mars. 

Outre la chloroquine, cet essai européen doit évaluer le remdesivir, le lopinavir en combinaison avec le ritonavir, ce dernier traitement étant associé ou non à l’interféron bêta. Dans son volet français, l'essai inclura au moins 800 patients atteints de formes sévères du coronavirus. Au total, quelque 3 200 patients européens seront inclus dans l'étude qui associe la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Espagne. Les données obtenues seront partagées avec un autre essai international baptisé "Solidarity", conduit sous l'égide de l'Organisation mondiale de la Santé. Il convient donc désormais d'attendre les résultats validés.

Lire l'article dans son ensemble

 

Note : cette article oublie de parler des milliers de cas de guérison en  chine !!

 

LIRE AUSSI :[Juillet 2003] Didier Raoult : « La France apparaît comme l’ « un des moins bien préparés à un problème d’épidémie massive »

 

 

 

#Zemmour : «Avec le #coronavirus... je constate que ce Pr. #Raoult présente des résultats. Qu'il suscite l'hostilité de ses paires et il y a conflit avec , patron de l' et mari de .
Et il est climatoréaliste, c'est mal vu... »#Cnews #Facealinfo #FaceAFace https://twitter.com/Fr_Conservateur/status/1242159300740616197 

#Zemmour : «Avec le #coronavirus... La #chloroquine est un vieux médicament et le Professeur #Raoult l'ajoute à un antibiotique et ça fait beaucoup de bruit ... J'observe la bataille surréaliste autour de Raoult... »#Cnews #Facealnfo #FaceAFace https://twitter.com/Fr_Conservateur/status/1242158582616948739 

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Le vidéo  plus bas

 

I

 

 

« Il y a déjà des pénuries » : le cri d’alerte des malades du lupus sous chloroquine

 

Depuis que la molécule a été présentée comme potentiel traitement du Covid-19, les malades du lupus peinent à en trouver dans leur pharmacie.

(…) Le Parisien

 

 

La chloroquine désormais autorisée en France pour traiter les "formes graves" du coronavirus

 

Pour le moment, le comité scientifique "exclut toute prescription dans la population générale ou pour des formes non sévères", a assuré Olivier Véran.

La chloroquine pourra être administrée aux malades souffrant de "formes graves" du coronavirus, a statué lundi le Haut conseil de santé publique, selon le ministre de la Santé Olivier Véran. "Le Haut conseil recommande de ne pas utiliser ce traitement en l’absence de recommandation, à l’exception de formes graves, hospitalières, sur décision collégiale des médecins et sous surveillance stricte", a annoncé le ministre lundi soir lors d’un point presse sur l’évolution du coronavirus en France.

Le comité scientifique "exclut toute prescription dans la population générale ou pour des formes non sévères à ce stade, en l’absence de toute donnée probante", a-t-il souligné. Un arrêté encadrant précisément le recours à ce traitement, qui fait polémique, sera pris "dans les prochaines heures", a précisé le ministre.

Utilisation "non contrôlée"

De son côté, l’AP-HP, qui réunit les 39 hôpitaux de la région parisienne, a mis en garde à son tour lundi soir contre "une utilisation désordonnée de multiples molécules sans contrôle et surtout sans possibilité de tirer des conclusions valides". L’AP-HP écrit, dans un communiqué signé notamment de son directeur général Martin Hirsch, "s’est déjà engagée dans plusieurs études, certaines utilisant l’hydroxy-chloroquine et la comparant à d’autres traitements".

"Pour être utiles, ces études doivent avoir des critères d’inclusion précis, correspondant aux différentes situations cliniques qui peuvent ou doivent être étudiées s’agissant de patients hospitalisés, de patients suivis en ambulatoires, de populations spécifiques", est-il précisé. Par conséquent, "elle met solennellement en garde contre des utilisations non contrôlées de médicaments qui conduiraient non seulement à retarder le moment où il sera possible de trancher sur leur efficacité thérapeutique ou non (…) mais qui pourraient également compromettre toutes les autres études conduites ou à lancer".

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LIRE AUSSI : Coronavirus : la France tente de modifier sa stratégie de dépistage

 

Coronavirus : l'Afrique du Sud ordonne le confinement, le Sénégal et la Côte d'Ivoire proclament l'état d'urgence

 

Ces mesures sont toutefois difficiles à appliquer dans un continent où sortir travailler est parfois une question de survie.

Des policiers sud-africains patrouillent à Johannesbourg le 21 mars 2020.
Des policiers sud-africains patrouillent à Johannesbourg le 21 mars 2020. (MICHELE SPATARI / AFP)

L'Afrique se confine petit à petit face au coronavirus. Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a imposé lundi 23 mars un confinement strict de trois semaines dans son pays, le plus touché par l'épidémie en Afrique subsaharienne. Le Sénégal et la Côte d'Ivoire ont pour leur part proclamé l'état d'urgence assorti d'un couvre-feu. Ces mesures sont toutefois difficiles à appliquer dans un continent où sortir travailler est parfois une question de survie.

Après plusieurs pays d'Europe et d'Amérique latine notamment, l'Afrique, le continent le plus pauvre de la planète, adopte très progressivement le confinement, une mesure destinée à sauver des vies mais qui paralyse l'économie.

Les militaires déployés à Johannesburg

Un total de 402 cas de Covid-19 ont été confirmés jusqu'à présent en Afrique du Sud, un nombre "multiplié par six en seulement huit jours", a insisté le chef de l'Etat. "Sans action décisive, le nombre de personnes infectées va passer rapidement de quelques centaines à des dizaines de milliers et, d'ici quelques semaines, à des centaines de milliers. C'est une décision indispensable pour sauver des millions de Sud-Africains de l'infection", a-t-il expliqué.

Pour faire respecter ce confinement total, le président Ramaphosa a décidé de recourir à l'armée. Et dès lundi après-midi, des militaires ont été déployés dans la capitale économique Johannesburg.

En Afrique de l'Ouest, deux chefs d'Etat, le sénégalais Macky Sall et l'Ivoirien Alassane Ouattara ont annoncé lundi soir des mesures similaires: instauration de l'état d'urgence et couvre-feu nocturne.

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Coronavirus en Espagne : des cadavres retrouvés dans des maisons de retraite

 

Des militaires espagnols ont découvert des personnes âgées abandonnées, parfois même mortes dans leur lit, dans des maisons de retraite frappées par l’épidémie de coronavirus, a révélé ce lundi 23 mars la ministre de la Défense à Madrid.

« Nous allons être implacables et inflexibles avec la façon dont les personnes sont traitées dans ces résidences », a assuré Margarita Robles à la télévision. Le parquet général a annoncé qu’il ouvrait des « enquêtes visant à déterminer la gravité des faits« .

Plusieurs médias espagnols ont expliqué qu’en cas de suspicion de coronavirus, le protocole prévoit que les cadavres ne soient pas touchés jusqu’à l’arrivée du médecin et des pompes funèbres. Mais, avec la multiplication des décès, les services funéraires, débordés, tarderaient parfois à intervenir.

L’armée a été chargée d’intervenir et de désinfecter des maisons de retraite, après que des dizaines de décès ont été signalés dans plusieurs établissements, notamment à Madrid et dans la région de Castille, dans le centre du pays.

 

 

La Belgique aurait détruit son stock de six millions de masques FFP2 l’an dernier car périmé, sans le renouveler par souci d’économie

 

L’an dernier, la Belgique a procédé à la destruction d’un stock stratégique de plusieurs millions de masques de protection de type FFP2 qui étaient parvenus à leur date de péremption, mais sans procéder à leur renouvellement par souci d’économie, rapporte lundi Le Vif sur son site internet.
[…]

Depuis l’émergence du coronavirus SARS-CoV-2 en Europe, les autorités belges cherchent tous azimuts à se procurer des masques de protection, notamment de type FFP2 lesquels font cruellement défaut auprès du personnel médical appelé à soigner les personnes atteintes, ou soupçonnées d’être atteintes, par la maladie.
[…]

Maggie De Block réagit

Le stock stratégique fédéral de masques de protection FFP2 qui a été détruit était devenu inutilisable, et un plan a bien été lancé ensuite pour constituer un nouveau stock, mais géré de manière différente, précise lundi soir le cabinet de la ministre de la Santé publique Maggie De Block, en réaction à l’information relayée par Le Vif.

Le cabinet De Block donne une autre version des faits, lundi soir. « L’ancien stock stratégique était stocké à la Défense mais pas dans de bonnes conditions. Les masques étaient ainsi devenus inutilisables », rappelle-t-il. Le stock a donc été détruit « en 2017 », mais cela n’est pas resté sans suite, affirme-t-il.
[…]

LaLibre.be

 

Coronavirus : l’ONU suspend les relocalisations et invite les États européens à laisser passer les migrants aux frontières (MàJ)

 

L’ONU a annoncé mardi la suspension jusqu’à nouvel ordre des relocalisations de réfugiés, craignant qu’ils ne se retrouvent victimes des limitations imposées à l’entrée sur le territoire de nombreux pays pour faire face à la propagation du coronavirus.

Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a demandé aux États européens de veiller à la protection des réfugiés en adoptant des mesures de dépistage et de quarantaine pour les laisser passer les frontières et demander l’asile, tout en veillant à lutter contre la pandémie de coronavirus.

“Les mesures [de lutte contre le coronavirus] ne devraient pas entraîner la fermeture de routes vers l’asile, ou forcer les populations à retourner vers des situations de danger », a alerté jeudi 19 mars Filippo Grandi, Haut commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR), cité par l’AFP.

[…]infomigrants.net

 

 

 

 

 

Coronavirus : Belloubet vise la libération de 5000 détenus

 

La garde des Sceaux Nicole Belloubet a annoncé lundi aux organisations syndicales du ministère de la Justice qu’elle visait la libération de 5000 détenus, afin de désengorger les prisons en cas de propagation du coronavirus, a appris l’AFP de sources syndicales.

«Des ordonnances vont être prises permettant la libération anticipée des détenus en fin de peine. Ce qui permettra la libération d’environ 5000 détenus», a tweeté FO-Pénitentiaire, syndicat majoritaire chez les personnels pénitentiaires.

 

Note : j'avais déjà anticipé cette action, hier dans un de mes massages. Parce que cette décision était tellement prévisible. Pourtant les détenues sont déjà isolées des autres habitants, comme je disais il suffisait (dès le début de cette épidémie) d’interdire toutes visites et qu'ils n'aient aucun contact avec les gardiens (qui viennent de l'extérieur) . Ils pouraient très bien être aussi (les prisonniers) maintenus dans leurs cellules, puisqu'ils y ont des toilettes, repas servi devant leurs portes. Mais le gouvernement préféré faire des économies en libèrent des gangsters, des violents et des islamistes (majoritairement maghrébins)

 

 

 

Coronavirus : le couvre-feu « n’est pas une réponse adaptée » en Seine-Saint-Denis ; la ville de Trappes (78) renonce elle aussi à appliquer un couvre-feu

 

Le couvre-feu a été instauré à Nice (Alpes-Maritimes) ou dans les Hauts-de-Seine à Colombes. En Seine-Saint-Denis, la préfecture s’en démarque : « Ce n’est pas une réponse adaptée à la situation, car la population adhère au confinement et la grande majorité des maires ne sont pas demandeurs. Cela n’apportera pas une sécurité supplémentaire. […]

Le Parisien

Alors que Guy Malandain, le maire DVG de Trappes disait dimanche vouloir instaurer un couvre-feu dans sa ville à compter de ce lundi soir, 22 heures – conséquence du non-respect des consignes de confinement par une partie de la population -, la décision a finalement été « suspendue », comme l’indique un court communiqué de la mairie. […]

Le Parisien

 

 

 

Coronavirus : fin du confinement le 8 avril à Wuhan, foyer de l’épidémie en Chine

 

12h25. « C’est jour de fête » à Wuhan. La Chine annonce la levée imminente du bouclage de la province du Hubei, épicentre du Covid-19, au grand soulagement de plus de 50 millions d’habitants bloqués depuis deux mois. Fin janvier, les autorités avaient décrété une quarantaine qui empêchait les gens de sortir de la commune où ils se trouvaient. C’était notamment le cas du chef-lieu provincial Wuhan, où le coronavirus est apparu en décembre. Mais ce confinement sera levé le 8 avril à Wuhan.

(…) Le Parisien

 

 

Un virologue chinois explique combien de temps pourrait prendre la victoire sur le Covid-19 en Europe

 

Les pays européens pourraient avoir besoin de deux ans pour venir à bout de la pandémie de coronavirus, selon le chef du groupe d’experts de Shanghai sur le Covid-19 Zhang Wenhong. Le virus pourrait même réapparaître après sa disparition.

Le virologue chinois Zhang Wenhong estime que l'Europe doit se faire à l'idée que la pandémie du Covid-19 ne se terminera pas prochainement et se préparer à un combat qui pourrait durer jusqu'à deux ans.

«Ne vous reposez pas sur l’idée que la pandémie prendra fin en Europe dans un prochain avenir... Ce serait tout à fait normal que le virus disparaisse et réapparaisse, cela durera un an ou deux», a déclaré M.Zhang lors d’une conférence vidéo organisée par le consulat chinois de Düsseldorf et dont le contenu a été reproduit par le South China Morning Post.

Le pic entre avril et juin

Le spécialiste prévoit un pic de l’épidémie pour la période entre avril et juin, alors qu’à l’été le virus reculera pour regagner de la vigueur à l’automne et en hiver.

Selon lui, les delais dans lesquels la pandémie sera circonscrite dépendent d’efforts communs. «Pour être efficaces, les mesures doivent être extrêmement radicales.»

Un confinement pendant un mois serait nécessaire

Il a rappelé que la Chine était parvenue à stopper la propagation du virus après avoir confiné rapidement son épicentre, Wuhan, car la flambée initiale avait coïncidé avec les vacances du Nouvel An lunaire, lorsque les écoles et les entreprises devaient de toute façon fermer.

«Si seulement le monde entier pouvait cesser de bouger pendant quatre semaines, la pandémie pourrait être stoppée», a-t-il signalé.

Source

 

 

Michel Onfray sur le début de la crise : « pas de stratégie, c’est la stratégie libérale, laissez faire, laissez passer, pas de frontières »

 

 

 

 

Zemmour : « On nous a menti (…) Depuis des semaines, on nous dit que les masques et les tests ne servent à rien. Aujourd’hui, Véran dit l’inverse »

 

 

 

L’ UE craint de voir le coronavirus atteindre les camps de réfugiés

 

Le risque d’épidémie accroît la pression sanitaire dans les camps de réfugiés déjà surpeuplés dans les îles grecques.

 

 

Migrants : selon l’OIM, certaines femmes africaines contractent une grossesse pour s’assurer une meilleure prise en charge en Europe

 

En Côte d’Ivoire, plus de 7 000 migrants ont été assistés dans leur retour volontaire par l’OIM entre janvier 2017 et octobre 2019

[…]D’après un rapport de l’organisme onusien publié fin 2019, ces femmes (Ivoiriennes, ndlr) ont majoritairement moins de 35 ans (81%) et sont généralement célibataire (66%) avec au moins un enfant à charge lorsqu’elles prennent la route (75%). Elles ont également reçu, en grande majorité (82%), une éducation allant, dans un cas sur deux, jusqu’au niveau secondaire alors même que le taux net de scolarisation de l’enseignement secondaire en Côte d’Ivoire était de 30% pour les filles en 2016. Il s’agit donc d’un public relativement instruit.

Plus facile de migrer en tant que femme ?

Les raisons principales avancées par les Ivoiriennes pour justifier leur départ, en dépit des dangers connus de l’immigration illégale, sont d’ordre économique, en vue d’améliorer leurs conditions de vie ainsi que celles de leur famille restée au pays, selon l’enquête de l’OIM. S’ajoute l’influence de l’entourage : 60 % des femmes interrogées connaissent une personne ayant migré, « ce qui a tendance à [les] inciter » à prendre la route à leur tour, pointe le rapport, bien que la prise de décision soit, dans un cas sur deux, réalisée seule. En outre, « ayant entendu parler de la protection dont la femme pourrait bénéficier si elle arrive enceinte en Europe en tant que personne vulnérable, certaines femmes ont décidé de contracter une grosse au cours de leur voyage [ou juste avant de partir] pour s’assurer une meilleure prise en charge », ajoute l’OIM. Plusieurs Ivoiriennes rencontrées par InfoMigrants ont d’ailleurs rapporté avoir entendu des rumeurs via des passeurs ou des « coxeurs » selon lesquelles les femmes arrivant enceintes en Italie se voient attribuer un logement, de l’argent et un travail.

[…]infomigrants.net

 

Note: cela expliquerait pourquoi elles ont tous le gros ventre lorsqu'elles sont sur les bateaux (mais tout le monde l'avait déja compris, car ces personnes viennent surtout pour proffiter du system)

 

 

 

Tours : un propriétaire change les serrures de son bien squatté par des migrants, les associations parlent d’un « acte malveillant » et portent plainte

 

Alors que depuis le 17 mars 2020, la vingtaine de jeunes migrants qui dormaient au squat le plan B à Tours avaient été pris en charge par la DDCS (Direction Départementale de la Cohésion Sociale), les bénévoles du collectif qui vient en aide aux mineurs étrangers non accompagnés sont inquiets.

En effet ils ont découvert que les serrures du squat ouvert depuis fin 2018 dans le quartier Velpeau ont été changées, visiblement par le propriétaire des lieux. Ce dernier aurait en effet profité de l’absence d’occupation des locaux pour faire changer les verrous, empêchant les jeunes et les bénévoles d’y revenir et ce malgré la présence d’affaires personnelles encore dedans.

Pour les bénévoles du collectif de soutien, cette action relève d’un « acte malveillant » et les bénévoles expliquent avoir déposer une plainte. Ils s’appuient notamment sur le fait que les lieux étaient occupés, et qu’une procédure judiciaire est actuellement en cours (l’audience qui avait été renvoyée se tiendra normalement le 7 mai).

(…) Info Tours

 

Note ; il faudra bien un jour  se débarrasser de ses associations, elles sont encore plus nuisibles que le coronavirus

 

Turquie : Flambée de l’antisémitisme face à la propagation de coronavirus

 

Des journalistes et politiques turcs ont réagi à la propagation mondiale du COVID-19, plus connu sous le nom de Coronavirus, en l’imputant aux Juifs et à des acteurs politiques non spécifiés, et en affirmant que le virus ne pouvait se transmettre dans les mosquées. Le 13 mars, Dr Yavuz Dizdar, médecin turc, a affirmé que 60 % de la population turque était déjà infectée par le virus et que le ministère de la Santé, pour dissimuler ce fait, ne fournissait pas de kits de dépistage [1].

« Ce virus sert les objectifs du sionisme de réduire le nombre de personnes » – « De toute façon, les Juifs sont une race maudite »

Fatih Erbakan, chef du parti Refah et fils de feu Necmettin Erbakan, politicien islamiste et ancien Premier ministre turc, généralement considéré comme le mentor politique du président Recep Tayyip Erdogan, a évoqué le virus dans un discours rapporté le 6 mars 2020 : « Bien que nous n’ayons pas de preuves certaines, ce virus sert les objectifs du sionisme de réduire la population et d’empêcher son augmentation, et d’importantes recherches le disent. […] Le sionisme est une bactérie vieille de cinq mille ans, cause de la souffrance des gens. » [2]

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