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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 28 février 2020

 

Actualité a suivre ....

 

La menace internationale que représente le coronavirus est désormais «très élevée», selon l’OMS

 

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a évalué le risque de la propagation du virus Covid-19 comme «très élevé» au niveau international.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé vendredi 28 février avoir porté à «très élevé» le niveau de la menace liée au nouveau coronavirus, qui a contaminé quelque 79.000 personnes en Chine et plus de 5.000 dans le reste du monde.

«Nous avons maintenant augmenté notre évaluation du risque de propagation et du risque d'impact du Covid-19 à un niveau très élevé au niveau mondial», a déclaré le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en conférence de presse.

Détails à suivre

 

 

 

La France se range du côté de la Turquie après les tensions en Syrie

 

Après qu’une trentaine de militaires turcs ont trouvé la mort et qu'une trentaine d’autres ont été blessés dans une attaque à Idlib, le Quai d’Orsay s’est dit solidaire avec Ankara et a appelé à une désescalade dans la région.

La diplomatie française a offert ses condoléances et affirmé sa solidarité à la Turquie, à la suite de la mort de 33 soldats turcs dans une frappe dans le gouvernorat d’Idlib.

«La Russie doit poursuivre les négociations avec la Turquie afin d’aboutir à une désescalade à Idlib et permettre la relance du processus politique», a estimé dans un communiqué Jean-Yves Le Drian, à l'issue d'un entretien avec son homologue turc, Mevlut Cavusoglu.

Le ministre français a également «salué les efforts déployés par les voisins de la Syrie, et la Turquie en particulier, pour porter assistance aux réfugiés syriens» avant de réaffirmer sa «détermination à mobiliser une assistance humanitaire renforcée, à titre national et avec l’Union européenne et ses États membres».

Tensions accrues

Dans la nuit du 27 au 28 février, l’armée syrienne a contre-attaqué les forces turques, tuant au total 33 militaires et en blessant une trentaine d’autres. Les soldats turcs se trouvaient aux côtés de terroristes, a constaté la Défense russe.

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La Turquie lance une riposte contre les forces syriennes

 

Les forces turques ont riposté après qu'une trentaine de leurs soldats sont morts jeudi dans les frappes syriennes dans le gouvernorat d'Idlib.

Après avoir déploré la mort d'une trentaine des leurs à Idlib, les militaires turcs ont riposté en frappant les positions syriennes.

«Avec le soutien de nos forces armées, des attaques aériennes et terrestres ont été lancées contre les positions du régime [syrien,ndlr], et nous continuerons de frapper davantage», a déclaré dans un communiqué le directeur de la communication du Président turc, Fahrettin Altun.

«Nos valeureux soldats seront vengés», a déclaré M.Altun.

Cibles hostiles

«La Turquie reconnaît dorénavant tous les militaires [gouvernementaux syriens,ndlr] comme des cibles ennemies», a lancé le porte-parole du Parti de la justice et du développement (AKP) Omer Celik, cité par le journal Sabah.

Les annonces surviennent après que 33 soldats turcs ont trouvé la mort dans une frappe aérienne dans le gouvernorat d'Idlib. 32 autres restent hospitalisés, leur pronostic vital n'est pas engagé.

Le gouverneur de la province de Hatay, Rahmi Dogan, a exprimé ses condoléances aux proches des victimes.

Source

 

 

 

Des migrants massés à la frontière avec la Grèce après la décision d’Ankara de les laisser passer en Europe

 

Des réfugiés sont massés à la frontière turco-grecque à Edirne au lendemain de la décision prise par Ankara de ne plus retenir les demandeurs d’asile qui tentent de gagner l’Europe. Des migrants arrivent aussi par bateau de Turquie sur l'île de Lesbos.

Des migrants souhaitant se rendre en Grèce se sont rassemblés ce vendredi 28 février dans la ville frontalière turque d’Edirne, alors qu'Ankara change sa politique de contrôle des frontières.

D’autres demandeurs d’asile arrivent actuellement par bateau de Turquie sur l'île de Lesbos.

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LIRE AUSSI : Des réfugiés embarquent dans des bus en Turquie pour gagner l'Union européenne - vidéo exclusive

 

 

 

 

L'Otan peut-elle intervenir en Syrie au côté de la Turquie? Lavrov répond

 

Pour le chef de la diplomatie russe, il est peu probable que l’Alliance atlantique s’immisce dans la situation à Idlib où l’armée turque fait face aux forces syriennes.

L’évolution de la situation dans la zone d’Idlib en Syrie ne correspond à aucun article de la charte de l’Otan, estime le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

«Je ne crois pas que ce qui se passe aujourd’hui en Syrie corresponde à une des situations prévues par le traité de Washington qui a entériné le caractère purement défensif de l’Alliance atlantique et prévoit des mesures de rétorsion en cas d’attaque visant un pays membre de l’Otan», a indiqué le chef de la diplomatie russe.

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La Turquie libère des prisonniers afghans et la police les conduit à la frontière pour qu’ils rejoignent l’Europe

 

« Je suis resté un mois en prison en Turquie. Aujourd’hui, ils m’ont dit que j’étais libre. Je vais aller en Europe (…) La police nous a amenés à la frontière »

❝1 ay Türkiye'de cezaevinde kaldım, bugün serbest bıraktılar 'gidin' dediler. Avrupa'ya gideyim kendimi kurtarayım. Sınıra bizi polis getirdi❞

Türkiye’nin mültecilerin Avrupa’ya geçişine izin vereceği açıklamasının ardından bir grup sığınmacı, Pazarkule sınır kapısına geldi.

VOIR VIDEO ICI

 

 

 

 

 

La Turquie ouvre ses frontières avec l’Europe, et « ne retiendra plus » les migrants

 

Selon les médias turcs, la décision a été prise pendant un conseil de sécurité extraordinaire présidé par le chef de l’Etat, Recep Tayyip Erdogan. La Grèce a annoncé avoir renforcé ses patrouilles à la frontière.

Des migrants marchent jusqu’à Edirne, ville turque limitrophe de la Bulgarie et de la Grèce, vendredi 28 février 2020.
Des migrants marchent jusqu’à Edirne, ville turque limitrophe de la Bulgarie et de la Grèce, vendredi 28 février 2020. AP

Après la mort d’au moins trente-trois militaires turcs dans une frappe aérienne dans la région d’Idlib (nord-ouest de la Syrie) jeudi, Ankara a menacé l’Europe d’ouvrir la porte aux réfugiés syriens hébergés en Turquie. « Nous ne retiendrons plus ceux qui veulent se rendre en Europe », a déclaré, vendredi 28 mars, un haut responsable turc sous couvert d’anonymat.

Selon plusieurs médias turcs, des groupes de migrants en Turquie se dirigeaient vendredi vers les frontières avec les pays européens voisins. La télévision d’Etat TRT et la chaîne privée NTV montraient des groupes de dizaines de personnes présentées comme des migrants en train de marcher le long d’une route en direction de la frontière avec la Grèce, chargées de sacs. L’agence de presse DHA a rapporté qu’environ 300 migrants syriens, irakiens ou encore iraniens étaient arrivés dans la province d’Edirne, frontalière de la Grèce.

Peu après cette annonce, la Grèce a annoncé avoir renforcé ses patrouilles à la frontière avec la Turquie. Selon une source policière grecque, le nombre de patrouilles a été doublé et un appel à la mobilisation générale a été passé en interne. « Tout est sous contrôle, il n’y a pas de raison de s’inquiéter », a toutefois assuré cette source.

Selon le quotidien proche du pouvoir turc Sabah (« Matin »), la décision d’ouvrir les frontières avec l’Europe a été prise pendant un conseil de sécurité extraordinaire présidé par le chef de l’Etat, Recep Tayyip Erdogan, dans la nuit de jeudi à vendredi. Cette réunion a été convoquée après que des frappes aériennes attribuées par Ankara au régime syrien ont tué au moins 33 militaires turcs dans la région d’Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie.

Pression sur l’Union européenne

Jeudi soir, un officiel turc avait déclaré à l’agence de presse Reuters que la police, les garde-côtes et les garde-frontières avaient reçu l’ordre de ne pas empêcher les réfugiés d’atteindre l’Europe par voie terrestre ou maritime. « Tous les réfugiés, dont les Syriens, sont désormais invités à pénétrer dans l’Union européenne », avait confié ce responsable, estimant que le fardeau était « trop lourd à porter pour un seul pays ».

Le porte-parole d’Erdogan (AKP, islamo-conservateur), Omer Celik, a ensuite tempéré ces déclarations, expliquant que la politique à l’égard des réfugiés syriens resterait inchangée, mais qu’il était de plus en plus difficile de « retenir » les aspirants au départ.

Dans le passé, la Turquie a plusieurs fois menacé d’« ouvrir les portes » de l’Europe aux migrants, les observateurs y voyant une manière de faire pression sur les pays de l’Union européenne encore traumatisés par la crise migratoire de l’été 2015. Plusieurs centaines de milliers de personnes, fuyant en majorité les conflits au Proche-Orient, s’étaient alors rendues en Europe en transitant par la Turquie.

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Tensions en Syrie : «L'armée syrienne a le droit et le devoir de libérer son territoire»

 

 

Syrie : la tension monte dans la province d'Idleb

 

La Turquie a décidé de bombarder des bases syriennes, après que des tirs du régime aient causé la mort de près de 30 soldats turcs dans la région d'Idleb. 

La frappe syrienne qui a causé la mort de près de 30 soldats turcs dans la région d’Idleb a mis le feu aux poudres dans une zone déjà déchirée par les combats et la brouille diplomatique entre Ankara et Moscou. Le conflit menace désormais l’accord noué entre la Turquie et l’UE autour de la question des réfugiés. En représailles de l'attaque des forces de Bachar Al-Assad, la Turquie a choisi de bombarder les positions du régime syrien dans la région.

Intensifications des combats 

À Hatay (Turquie), le long de la frontière, des dizaines de victimes sont à déplorer. C'est le plus lourd bilan subi par Ankara depuis le début du conflit dans lequel la Turquie s'oppose au régime syrien, lui-même soutenu par la Russie. Les combats se sont intensifiés depuis le début du mois de février. La Turquie a prévenu qu'elle anticipait un nouvel afflux de réfugiés et qu'il ouvrirait ses frontières.

Source et video

 

 

 

Syrie. Réunion d’urgence de l’OTAN après la mort de 33 soldats turcs, la Russie envoie 2 navires de guerre en Méditerranée

 

 

La Turquie accuse le régime syrien d’avoir tué ses soldats dans un raid aérien jeudi. Cette escalade illustre la tension grandissante entre Ankara et Moscou.

(…) Le Figaro

La Russie a annoncé vendredi l’envoi en mer Méditerranée de deux frégates via le détroit du Bosphore

(…) Le Figaro

 

Note ; imaginé que la guerre arrive d'ici quelques jours alors que le coronavirus est en Europe ! c'est la catastrophe ! Et ces millions de sauterelles qui dévorent en ce moment même les ressources nutritives d'Afrique;

Voir : L'Ethiopie renforce ses efforts de lutte contre une invasion de sauterelles

ET : Les criquets pèlerins arrivent en RDC et menacent d’autres pays d’Afrique centrale (Des proportions "bibliques" - Si le phénomène n’est pas contrôlé, la population de criquets pourrait se multiplier par 500 d’ici à juin prochain )

 

Et tout cela arrivant au même moment (sans parler du climat dévastateur de ces derniers mois)
Il a quelque chose d'anormal dans l'apparition de ce virus en Chine, et en plus en plein nouvel an chinois, la période où le Chinois voyage aux quatre coins du monde
J'oubliais, aussi la crise des migrants qui gangrène l’Europe, les migrants et cette nouvelle forme de conquête par les migrations .

 

 

 

 

 

 

Syrie : au moins 33 soldats turcs tués près d'Idleb, Erdogan annonce des représailles contre le régime de Bachar Al-Assad

 

Avec le soutien de l'aviation russe, le régime syrien a déclenché en décembre une offensive pour reprendre le dernier bastion rebelle et jihadiste d'Idleb.

Des rebelles syriens soutenus par les Turcs tirent des missile anti-aériens, le 24 février 2020, dans la province d\'Idleb. 
Des rebelles syriens soutenus par les Turcs tirent des missile anti-aériens, le 24 février 2020, dans la province d'Idleb.  (OMAR HAJ KADOUR / AFP)

Escalade brutale entre la Turquie et le régime syrien. Au moins 33 soldats turcs ont été tués, jeudi 27 février, dans des raids de Damas sur la province d'Idleb (nord-ouest de la Syrie), selon un bilan communiqué dans la nuit par le gouverneur de la province turque de Hatay, frontalière de la Syrie. Outre les 33 morts, une trentaine de militaires turcs ont été blessés dans les frappes aériennes. Ils ont été rapatriés en Turquie pour être hospitalisés. L'armée turque a immédiatement annoncé le bombardement de plusieurs positions du régime de Bachar Al-Assad en représailles.

"Des militaires turcs, se trouvant au sein d'unités combattantes de groupes terroristes, ont été pris sous le feu des soldats syriens", a affirmé vendredi le ministère russe de la Défense. Celui-ci affirme que la Turquie n'avait pas communiqué la présence de ses troupes dans la zone concernée et qu'elles "n'auraient pas dû s'y trouver". "Les forces aériennes de la Russie n'ont pas été utilisées dans cette zone", poursuit son communiqué. 

Le ministère assure qu'aussitôt que la Russie a été informée de la présence des militaires turcs dans la zone, elle a pris "toutes les mesures pour un cessez-le-feu total de la partie syrienne, assurant l'évacuation des morts et des blessés en toute sécurité vers le territoire de la Turquie".

La communauté internationale s'inquiète

Le porte-parole des Nations unies, Stephane Dujarric, a appelé "à un cessez-le-feu immédiat"

Lors d'une conversation téléphonique avec le chef de la diplomatie turque, le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, a condamné les frappes aériennes "aveugles du régime syrien et de son allié russe". Il a "exhorté toutes les parties à une désescalade" et "à éviter que ne s'aggrave davantage la situation humanitaire épouvantable dans la région", selon un porte-parole de l'alliance nord-atlantique. Vendredi matin, Jens Stoltenberg a annoncé une réunion en urgence des ambassadeurs des 29 pays membres de l'organisation. 

"Nous soutenons notre allié de l'Otan, la Turquie, et continuons d'appeler à un arrêt immédiat de cette offensive odieuse du régime d'Al-Assad, de la Russie et des forces soutenues par l'Iran", a déclaré pour sa part un porte-parole du département d'Etat américain.

Des semaines d'escalade à Idleb

Le président de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan, a convoqué un conseil de sécurité extraordinaire à Ankara. Signe que la situation risque d'empirer, la présidence a annoncé que l'armée turque bombardait dans la nuit de jeudi à vendredi des positions du régime de Bachar Aal-Assad. "Toutes les positions connues du régime ont été prises sous le feu de nos unités terrestres et aériennes", a affirmé le directeur de la communication de la présidence, Fahrettin Altun, dans un communiqué. 

Par ailleurs, le président turc a exhorté la communauté internationale – y compris la Russie et l'Iran  – à "prendre [ses] responsabilités" pour "faire cesser les crimes contre l'humanité que commet le régime". Vendredi, Ankara a exhorté la communauté internationale à mettre en place une zone d'exclusion aérienne dans le nord-ouest de la Syrie, pour empêcher les avions du régime syrien et de son allié russe de mener des frappes.

Ces lourdes pertes essuyées par Ankara interviennent après des semaines d'escalade à Idleb. Avec le soutien de l'aviation de Moscou, le régime syrien a déclenché en décembre une offensive pour reprendre le dernier bastion rebelle et jihadiste d'Idleb. Ces dernières semaines, la Turquie a dépêché plusieurs milliers d'hommes et du matériel lourd dans cette région du nord-ouest de la Syrie pour épauler les rebelles pro-turcs, qui cherchent à repousser l'offensive menée par les forces gouvernementales syriennes.

Menaces de crise migratoire

Si la Turquie s'intéresse d'aussi près à Idleb, c'est notamment parce qu'elle redoute un nouvel afflux de réfugiés sur son sol, où quelque 3,6 millions de Syriens vivent déjà. Dans le cadre d'un accord conclu en 2016 avec l'Union européenne, Ankara s'était engagé à empêcher les passages de migrants vers l'Europe, notamment via la Grèce.

Mais la Turquie utilise depuis des années la crise migratoire comme un argument de négociations avec Bruxelles. Vendredi, un haut responsable turc a assuré à l'AFP que la Turquie n'empêcherait plus les migrants essayant de se rendre en Europe de franchir la frontière. La décision d'"ouvrir les portes" a été prise lors du conseil de sécurité extraordinaire présidé par Recep Tayyip Erdogan dans la nuit. 

Selon les médias turcs, des groupes de migrants se dirigeaient vendredi matin en direction de la frontière avec la Grèce dans l'ouest de la Turquie. L'agence de presse DHA a ainsi rapporté qu'environ 300 migrants syriens, irakiens ou encore iraniens étaient arrivés dans la province d'Edirne, à la frontière grecque.

Source

LIRE AUSSI : Poutine et Erdogan se sont entretenus par téléphone après les bombardements à Idlib

 

 

 

 

La Russie affirme que les militaires turcs tués à Idlib se trouvaient avec les terroristes

 

Les militaires turcs tués le 27 février dans la zone de désescalade d’Idlib étaient avec les terroristes, a déclaré le ministère russe de la Défense.

Des militaires turcs qui se trouvaient le 27 février aux côtés de formations terroristes près du village de Bekhoun en Syrie ont été pilonnés par l’armée syrienne, indique un communiqué du ministère russe de la Défense diffusé le 28 février.

Selon les informations transmises par Ankara, aucune unité de l'armée turque «n'était présente et n'aurait dû se trouver dans la zone concernée», souligne le ministère.

La Russie assure l'évacuation

Selon la Défense russe, ayant appris que des militaires turcs avaient été blessés dans l’attaque, la partie russe a pris des mesures pour que les troupes syriennes cessent le feu et pour assurer une évacuation sécurisée des militaires tués et blessés à Idlib vers le territoire turc.

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EN DIRECT - Virus - Nouveaux cas en Haute Savoie et à Nice ce matin - Bruno Le Maire appelle à "éviter la panique économique" - Le Salon de l'auto de Genève en Suisse annulé

 

13h06: Le point sur la situation à la mi-journée

Le premier cas de coronavirus en Afrique subsaharienne a été confirmé vendredi au Nigeria, alors que la crainte d’une pandémie fait sombrer les Bourses mondiales et entraîne l’adoption de mesures draconiennes.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a appelé tous les pays encore épargnés à se préparer à l’arrivée du Covid-19, avertissant que se croire à l’abri de la maladie serait une «erreur fatale».

Un Italien revenu de Milan le 25 février a été hospitalisé après avoir été testé positif au coronavirus dans l’Etat de Lagos, devenant le premier malade en Afrique subsaharienne, a annoncé le ministère nigérian de la Santé.

«Le patient est dans un état clinique stable et ne présente pas de symptômes inquiétants», a précisé le ministère dans un communiqué.

Deux autres cas de contamination ont été recensés ces derniers jours en Afrique, en Egypte et en Algérie. Ce très faible nombre de malades détectés dans les pays africains, aux systèmes de santé fragiles, intrigue les épidémiologistes, alors que plus de 83.000 cas ont été signalés dans quelque 50 pays.

En Chine, où le virus est apparu en décembre, le nombre de nouveaux décès et contaminations continue de diminuer grâce aux mesures de quarantaine visant plus de 50 millions de personnes dans les zones les plus touchées.

Mais d’autres pays deviennent des sources de propagation du Covid-19, au premier rang desquels la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie.

«Nous sommes à un moment décisif», a déclaré le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, soulignant qu’au cours des deux derniers jours, le nombre quotidien de nouvelles personnes contaminées dans le monde avait été supérieur à celui enregistré en Chine.

«Aucun pays ne doit penser qu’il n’aura aucun cas chez lui. Ce serait une erreur fatale, littéralement. Le virus ne respecte pas les frontières», a-t-il averti.

Dans ce contexte d’incertitude, les Bourses asiatiques ont piqué du nez vendredi, dans le sillage de Wall Street: Shanghai (-3,71%), Tokyo (-3,67%) ou Hong Kong (-2,42%) ont terminé dans le rouge.

Le Dow Jones et le Nasdaq avaient plongés de plus de 4% jeudi.

Les marchés financiers asiatiques auront connu une de leurs pires semaines depuis la crise financière de 2008-2009, où l’économie mondiale avait connu la récession.

Les cours du pétrole continuaient de chuter vendredi, le Brent de la mer du Nord et le baril américain de WTI abandonnant chacun plus de 2,5%.

Des plans d’urgence sont prêts à être déployés, notamment par le Fonds monétaire international (FMI), pour venir en aide aux pays face à la crise sanitaire.

Aux Etats-Unis, le président Donald Trump a toutefois minimisé le risque d’une épidémie majeure sur le sol américain.

Certains pays inspirent davantage d’inquiétude.

Notamment l’Italie, où le coronavirus a déjà contaminé 650 personnes, dont 17 mortellement. Le pays devient une plateforme de diffusion du Covid-19, les premiers cas enregistrés en Amérique du Sud (Brésil) et en Afrique subsaharienne (Nigeria) étant des personnes arrivées de la péninsule italienne.

Rome a pris des mesures drastiques pour enrayer l’épidémie sur son territoire, comme la fermeture des écoles, l’annulation d’événements sportifs ou culturels et la mise en quarantaine de 11 communes du Nord, poumon économique du pays.

De nombreux Etats européens se préparent à une hausse des contaminations sur leur sol.

Vendredi, la Corée du Sud, principal foyer d’infection en dehors de Chine, a fait état de 571 contaminations supplémentaires, portant le total à 2.337 (dont 13 morts).

L’Iran a fait état vendredi de la mort de huit personnes infectées parmi 143 nouveaux cas détectés ces dernières 24h, portant le bilan à 34 morts et le nombre de cas à 388. C’est le plus lourd bilan en termes de décès hors de Chine, où la situation s’améliore.

Les autorités chinoises ont publié vendredi un bilan de 327 nouveaux cas, le nombre le plus faible dans le pays depuis le 24 janvier, et de 44 morts. Au total, 78.824 cas et 2.788 morts ont été recensés en Chine continentale (hors Hong Kong et Macao) depuis le début de l’épidémie.

 

11h12: Le Pakistan suspend tous les vols directs avec l'Iran, deux jours après la détection de ses deux premiers cas du nouveau coronavirus, des voyageurs récemment revenus de la République islamique

10h33: Le chien d’une femme atteinte du coronavirus a été placé en quarantaine à Hong Kong après que des échantillons prélevés sur l’animal ont été testés positifs au coronavirus, ont annoncé les autorités, même si aucun risque de contagion de l’animal de compagnie à l’homme n’est avéré.

Le chien ne présente aucun symptôme de la maladie, a souligné le ministère hongkongais de l’Agriculture, des Pêches et de la protection de l’environnement.

Mais des échantillons prélevés dans les cavités nasales et orales ont été testés faiblement positifs au virus du Covid-19, a déclaré un porte-parole qui n’a pas précisé ce qui avait initialement poussé les autorités à réaliser des tests sur l’animal.

DIRECT

LIRE AUSSI : Le coronavirus ralentit en Chine, le seuil des 2000 cas franchi en Corée du Sud

ET : Comment se protéger du coronavirus ?

LIRE AUSSI : Ce qu'a révélé l'autopsie du premier malade tué par le coronavirus

 

 

 

 

Incident diplomatique : le Mali rappelle son ambassadeur et envoie un ministre à Paris

 

 

Un destroyer chinois a touché avec un laser un avion militaire américain, affirme le Pentagone

 

La Marine chinoise a touché avec un laser un avion militaire américain qui survolait l'espace aérien international, a affirmé le Pentagone. La Chine n’a pas encore commenté cette information.

La Marine chinoise a pointé un laser sur un avion de patrouille maritime et de lutte anti-sous-marine américain P-8A Poseidon, le 17 février, alors qu'il survolait les eaux internationales à environ 380 milles à l'ouest de Guam, a fait savoir le 27 février la Flotte américaine du Pacifique.

Le P-8A se trouvait ainsi dans l'espace aérien international «conformément aux règles et réglementations internationales». Les actions du destroyer de la Marine chinoise étaient «dangereuses et non professionnelles», affirme le communiqué de la Flotte.

Un outil dangereux

Le laser, qui n'était pas visible à l'œil nu, a été détecté par un capteur à bord du P-8A. Les lasers de qualité militaire pourraient potentiellement causer de graves dommages aux équipages et aux marins, ainsi qu'aux navires et aux aéronefs, font ressortir les militaires américains.

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Grèce : Nouvelle manifestation contre les camps de migrants, les commerçants et les syndicats appellent à poursuivre la grève

 

Plus d’un millier d’habitants de Lesbos ont manifesté jeudi à Mytilène, chef-lieu de l’île, contre un nouveau camp de migrants, le gouvernement appelant au dialogue au lendemain de violents affrontements entre manifestants et policiers.

Plusieurs associations de commerçants de Lesbos et des syndicats proches du parti communiste grec, à l’origine de la manifestation, ont également appelé à la poursuite de la grève sur l’île. Les magasins étaient fermés jeudi pour la deuxième journée consécutive.

« Ni de camp fermé, ni de camp ouvert sur les îles », scandaient les manifestants qui ont marché pacifiquement.

Sur l’île proche de Chios, des centaines de personnes ont également manifesté jeudi et poursuivi la grève.

(…) Orange.fr

(…) Sur les vitrines des magasins, des pancartes signalaient qu’ils étaient « fermés pour cause de trahison ». Sur les îles de la mer Egée face à la Turquie, qui accueillent près de 38 000 demandeurs d’asile dans des camps insalubres prévus pour 6 200 personnes, la situation est devenue explosive.

Après plusieurs semaines d’impasse dans les négociations entre les autorités locales et le gouvernement grec, la décision d’envoyer lundi soir des forces antiémeute à Lesbos et Chios, pour entamer les travaux de construction des nouveaux camps fermés, a déclenché la colère des insulaires. Déjà très remontés par la réquisition forcée de terrains pour installer ces nouvelles structures, les résidents ont créé des barrages sur les lieux où elles doivent être établies.

(…) Le Monde

 

 

 

 

Suède : un Afghan condamné à 2 ans et demi de prison pour avoir violé une jeune fille de 11 ans à la piscine, il ne sera pas expulsé

 

Suède – Ahmad Motmain, 51 ans, était à la piscine et avait proposé à une fillette de 11 ans de lui apprendre à nager. Il l’a ensuite attaquée.

Il a été condamné par un tribunal pour le viol de la jeune fille.

L’attaque s’est produite dans une piscine juste à l’extérieur de Göteborg. En mai 2016, la jeune fille nageait avec ses amis, lorsque l’homme lui a proposé de lui apprendre à nager.

La jeune fille s’entraînait à faire des mouvements de jambes, lorsque l’homme l’a agressée. Lors d’un entretien avec la police, la jeune fille a déclaré qu’il lui avait demandé « peux-tu faire l’amour » pendant le viol.

(…) L’individu est arrivé d’Afghanistan en Suède en 2003 lorsqu’il a demandé l’asile. Sa demande a été rejetée en 2008, mais il a été temporairement autorisé à rester en 2009 parce qu’il avait un emploi. En août 2013, il a obtenu la résidence permanente en Suède.

(…) Il a été condamné à 2 ans et 5 mois de prison et il ne sera pas expulsé de Suède.

Samnytt.se

Samnytt rapporte que ce migrant était président d’une association afghane en Suède qui aurait reçu des subventions publiques.

Cette organisation est engagée dans différentes activités culturelles et aide notamment à empêcher les expulsions de demandeurs d’asile afghans déboutés.

 

Note : et le prochain post explique cette indifférence aux crimes commis par des migrants ou autres enfants ou petits enfants d'immigrés

 

 

Zemmour face à Philippe Bilger : « Les magistrats ne jugent plus au nom du peuple français mais au nom de leur idéologie »

 

Face à l’info – Débat

Face à l’info – 1ère partie

 

rappelle deux phrases d'Erdogan aux Turcs de France :
"Ne faites pas deux enfants, faites-en cinq".
"L'assimilation est un crime contre l'humanité".
Un musulman qui a le "mérite" de ne pas se cacher.

 

Note : et je me rappele trés bien ces paroles d'Erdogan que j'avais dénoncées sur mon blog

 

 

 

 

Une ex-ministre norvégienne : « Les explosions, les attaques à la grenade, les écoles incendiées… La situation en Suède est hors de contrôle »

 

Norvège – Sylvi Listhaug, ancienne ministre norvégienne de l’Immigration, a déclaré que la situation en Suède était « hors de contrôle ».

Dans un éditorial pour VG, Sylvi Listhaug parle des problèmes en Suède, tout en avertissant que tenter d’éviter d’en parler ne servira à rien.

« En Suède, il est admis qu’on ne peut pas parler de ces problèmes parce que cela peut être stigmatisant. Aujourd’hui, la situation en Suède est complètement hors de contrôle avec des centaines de voitures incendiées, des écoles incendiées, des centaines d’attaques à la bombe, des assassinats en plein jour et des attaques coordonnées à l’arme automatique ou à la grenade. »

Selon Sylvi Listhaug, les statistiques de la criminalité en Norvège, en Suède et au Danemark « montrent que les jeunes migrants sont surreprésentés parmi les criminels violents. »

VG.no

 

 

Ligue du LOL : « la chute de ces journalistes de gauche, employés par des médias donneurs de leçons, ou de “mâles blancs de plus de 50 ans”, nous a réjouis et a actionné nos biais de confirmation : nous avions envie d’y croire »

 

(…) Des propos partagés par le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances collectives, qui voit dans cette affaire un cas d’école du biais de confirmation:

« Chez certains journalistes qui ont enquêté comme chez nous, lecteurs, la chute de ces journalistes de gauche, employés par des médias donneurs de leçons, ou de “mâles blancs de plus de 50 ans”, nous a réjouis et a actionné nos biais de confirmation : nous avions envie d’y croire.

L’histoire était trop belle, pleine de stéréotypes. Or la question qu’on doit se poser avant de se forger une opinion rationnelle est “Que crois-je savoir a priori ?”. Nos lectures et enquêtes ne doivent pas seulement valider ce que nous pensions déjà savoir. Notre bonne foi se mesure donc au temps passé à lire des informations qui viennent contredire nos a priori. »

 

 

 

Éric Zemmour : « La démographie, c’est le destin »

 

CHRONIQUE – Dans Le Choc démographique, Bruno Tertrais admet l’importance de la démographie dans le bouleversement du monde. Mais il se perd dans ses contradictions à force de vouloir combattre les peurs.

On connaît tous le docteur Pangloss. Le célèbre personnage de Voltaire dans Candide incarne à jamais un providentialisme béat qui considère que tout ce qui arrive – même les pires catastrophes – est bel et bon pour l’humanité. En matière d’immigration, depuis quarante ans, qu’ils soient démographes, politiques, universitaires, journalistes, patrons, les Pangloss sont légion. Notre dernier Pangloss en titre a pour nom Bruno Tertrais.

Dans son livre Le Choc démographique, le politologue s’emploie à réfuter les thèses qu’il juge catastrophistes, en gros celle du «grand remplacement» (…)

(…) Le Figaro

 

 

Montpellier : 17 pharmacies cambriolées et 72 « mineurs étrangers non accompagnés » interpellés depuis le début du mois

 

Depuis le début du mois de février, pas moins de 17 pharmacies ont été cambriolées par effraction, dans divers quartiers de Montpellier, proches de l’Ecusson.

Des mineurs non accompagnés -MNA– ont été interpellés quasiment en flagrant délit pour quelques vols dans des officines -dont celles du Pirée, de Saint-Priest et un salon de coiffure aux Aubes-, d’autres méfaits sont imputables à des MNA, comme le « casse » avec la fouille de la pharmacie du Verdanson, place Albert 1er, grâce au visionnage des caméras de vidéosurveillance par les policiers de la brigade des atteintes aux biens et du groupe d’appui judiciaire de la sûreté départementale de l’Hérault.

(…) Les voleurs recherchent de l’argent, comme les fonds de caisse certes, mais également et surtout du Rivotril ou Clonazépam, un puissant antiépileptique aux effets secondaires destructifs pour la santé et entraînant des comportements violents, en cas d’ingestion. Or, les MNA se trouvent souvent sous Rivotril, quand ils sont arrêtés.

(…) On ne peut pas dire que les policiers de la Sécurité publique du commissariat central de Montpellier sont inactifs dans le domaine du phénomène des MNA : depuis le début de ce mois de février, ils ont interpellé 72 adolescents, dont le plus jeune avait 12 ans, selon nos informations. Au total, en fait, ce sont 56 auteurs qui ont été placés en garde à vue sur ce chiffre de 72, car, certains sont des récidivistes.

(…) Actu.fr

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