Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Échange de tirs entre la coalition internationale et l'armée syrienne
Un échange de tirs s’est produit entre des forces de la coalition internationales et des forces syriennes pro-gouvernementales à Qamichli, a annoncé un porte-parole de la coalition, le colonel Myles B.Caggins. Selon Sana, les tirs des militaires américains ont fait des victimes.
Un porte-parole de la coalition internationale, le colonel Myles B.Caggins, a annoncé ce 12 février que ses hommes patrouillant dans la région de Qamichli s'étaient heurtés à des forces de l'armée syrienne qui «occupaient» un poste.
Selon lui, «la patrouille est devenue la cible de tirs aux armes légères par des inconnus» et les militaires de la coalition ont riposté par des tirs.
Syrie: Ankara met en garde Damas, un hélicoptère du régime abattu
Ankara a adressé mardi une sévère mise en garde à Damas après la mort de cinq de ses soldats dans le nord-ouest de la Syrie, où deux pilotes du régime ont été tués dans le crash de leur hélicoptère après un tir attribué aux forces turques.
Les menaces de la Turquie, qui soutient des groupes rebelles et dispose de positions militaires dans cette région, interviennent alors que les forces syriennes loyalistes ont poursuivi leur progression, reprenant le contrôle du dernier tronçon d'une autoroute clé reliant Damas à Alep.
Dans ce contexte de vive tension, marqué par une crise humanitaire majeure selon l'ONU, le président turc Recep Tayyip Erdogan s'est montré intransigeant mardi, assurant que le régime syrien paierait "très cher" toute nouvelle attaque contre les forces d'Ankara.
Dans la matinée, un hélicoptère de l'armée syrienne a été abattu par un tir de roquettes des forces turques au sud-est de la ville d'Idleb près du village de Qaminas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), qui a précisé que les deux pilotes étaient décédés. Ankara a évoqué un "crash", sans en revendiquer la responsabilité.
L'agence officielle syrienne Sana, citant une source militaire, a indiqué que "l'avion a été visé par un missile hostile dans la région d'Al-Nayrab, dans le sud d'Idleb, entrainant la chute de l'appareil et la mort de son équipage".
Sur le site où l'appareil s'est écrasé, un correspondant de l'AFP a vu les dépouilles des deux pilotes ainsi que des débris de l'appareil.
Les forces du régime ont par la suite bombardé des zones près d'un poste d'observation turc dans le même village, ont indiqué l'OSDH et le correspondant de l'AFP.
Au moins trois personnes ont péri dans ces bombardements, d'après l'Observatoire qui n'était pas en mesure de préciser dans l'immédiat s'il s'agissait de soldats turcs ou de combattants rebelles alliés.
Sur le plan humanitaire, près de 700.000 personnes ont fui l'offensive militaire lancée en décembre par le régime et son allié russe dans la région d'Idleb.
"C'est, selon notre analyse, le plus grand nombre de personnes déplacées sur une même période depuis le début de la crise en Syrie il y a bientôt neuf ans", a souligné mardi le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (Ocha).
La Turquie, qui dispose de 12 postes d'observation dans le nord-ouest syrien, y avait envoyé des renforts ces derniers jours.
L'armée syrienne a réaffirmé mardi sa disposition "à répondre aux agressions de l'armée turque".
Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a apporté mardi un franc soutien à la Turquie.
"Les agressions en cours par le régime d'Assad et la Russie doivent cesser", a-t-il écrit sur Twitter.
Il a annoncé dépêcher en Turquie l'envoyé spécial américain pour la Syrie James Jeffrey "pour coordonner les mesures de réponse".
Celui-ci est arrivé mardi soir, pour des entretiens prévus mercredi. Dès son arrivée il a assuré aux journalistes que Washington voulait soutenir la Turquie "autant qu'il est possible".
Pour éviter une plus grande escalade, Ankara multiplie les contacts avec Moscou, principal allié du régime de Damas avec qui il avait conclu un accord pour une "zone démilitarisée" sous contrôle russo-turc dans cette région, resté lettre morte.
Note : si la Turquie veux évité l’escalade, elle a cas dégagé, c'est aussi simple que cela. La Turquie n'a rien a foutre en Syrie
Erdogan: la Turquie déterminée à faire partir les forces syriennes d'Idlib
Recep Tayyip Erdogan a promis de repousser les forces gouvernementales syriennes au-delà des postes d’observation turcs à Idlib d'ici à la fin février. En outre, il a déclaré que la Turquie était prête à riposter «partout» en cas d’attaques contre ses militaires.
Le Président turc s’est prononcé ce mercredi 12 février sur la situation tendue dans la zone de désescalade d’Idlib et a donné sa vision quant au développement possible des événements.
«Nous sommes déterminés à faire partir les forces du régime [l’armée gouvernementale syrienne, ndlr] au-delà des postes d’observation turcs à Idlib d'ici à la fin février, pour cela nous allons faire tout le nécessaire dans les airs ainsi qu’au sol», a déclaré le Président turc.
Il a également ajouté qu’«en cas d’attaques contre nos militaires», Ankara allait riposter «partout», même hors de la zone de désescalade d’Idlib.
L’épidémie due au coronavirus, désormais officiellement appelée « Covid-19 », montre des signes timides de stabilisation en Chine. Quatre-vingt-dix-sept nouveaux décès ont été annoncés mercredi 12 février, contre 108 la veille, portant le total à 1 114 morts en Chine continentale – et toujours seulement deux dans le reste du monde, à Hongkong et aux Philippines. Un décès suspect a toutefois été signalé en Iran. Dans son bulletin quotidien, la Commission nationale de la santé chinoise a également fait état pour les dernières vingt-quatre heures de 2 015 nouveaux cas de contamination, une baisse par rapport aux jours précédents. Au total, 81 % des nouveaux cas l’ont été dans le Hubei, l’épicentre de l’épidémie – où le nombre journalier de personnes nouvellement déclarées infectées est passé pour la première fois depuis le 2 février en dessous de la barre des 2 000, et 44 653 personnes ont désormais été infectées en Chine continentale.
Plusieurs officiels de la santé du Hubei ont été limogés mardi. La province continue de pâtir d’un effet de rattrapage – les hôpitaux ayant rejeté en masse des patients dans les premières semaines de l’épidémie. Dans un entretien à l’agence Reuters mardi, le professeur Zhong Nanshan, l’expert de la commission nationale de la santé chargé d’annoncer le 20 janvier la transmission du virus d’homme à homme, a dit espérer voir l’épidémie plafonner d’ici à la fin février puis baisser, pour, anticipe-t-il, se terminer en avril. Mais « nous ne savons pas pourquoi ce virus est si contagieux, et c’est un gros problème », a expliqué depuis Canton le professeur de 83 ans, connu pour son rôle lors de l’épidémie du SRAS en 2003.
Coronavirus: les «deux tiers de la population mondiale pourraient être atteints»
Le professeur Gabriel Leung, de l’université de Hong Kong, a anticipé de manière très pessimiste la propagation du coronavirus. Il a en effet indiqué au Guardian que 60% de la population mondiale pourrait être atteint si l’épidémie n’était pas contrôlée.
Dans une interview accordée au Guardian, le professeur Gabriel Leung, président de la faculté de médecine de l’université de Hong Kong, a prévenu que si l’épidémie de coronavirus n’était pas contrôlée, les «deux tiers de la population mondiale» pourraient être touchés. Une prédiction qui semble quelque peu exagérée, d’autant que le nombre de nouveaux cas détectés quotidiennement a diminué depuis une semaine.
«60% de la population est un chiffre affreusement élevé», a admis le spécialiste, qui est parvenu à cette estimation en considérant que chaque personne atteinte par le virus le transmettra en moyenne à 2,5 autres individus. Il souligne que la priorité sera de déterminer à quelle échelle l’épidémie sera en mesure de se propager.
Une seconde priorité sera de découvrir si les mesures drastiques mises en place par la Chine ont fonctionné. Si c’est le cas, les autres pays devraient adopter les mêmes, a-t-il affirmé. Il craint que d’autres grandes villes dans le monde ne deviennent des centres importants de propagation. En cause, des personnes qui auraient voyagé et auraient pu rentrer dans leur pays en ne présentant encore aucun symptôme, ou quand aucune mesure de santé publique n’avait encore été mise en place.
Une "chance réelle de stopper" le virus qui a fait plus de 1.100 morts en Chine
L'Organisation mondiale de la santé a estimé mardi qu'il y avait une "chance réaliste de stopper" la propagation dans le monde du nouveau coronavirus, qui reste une "très grave menace" et a dépassé la barre des mille morts en Chine.
Ce sont au total 1.110 personnes qui ont perdu la vie en Chine continentale (hors Hong Kong et Macao) depuis que la première mort imputée au nouveau coronavirus y a été rendue publique le 11 janvier, ont annoncé mercredi les autorités de la province du Hubei, épicentre de l'épidémie, où 94 nouveaux décès ont été répertoriés.
Plus de 44.200 personnes ont été contaminées dans tout le pays, selon des chiffres du gouvernement.
Mardi, les autorités sanitaires avaient indiqué que le virus, apparu en décembre à Wuhan (centre) et désormais appelé le "COVID-19" - et non plus le "2019-nCoV", un nom adopté à titre provisoire -, avait provoqué 108 nouveaux décès en 24 heures, le plus lourd bilan sur une telle durée enregistré à ce jour.
En revanche, comme à plusieurs reprises depuis la semaine dernière, le chiffre des nouveaux cas quotidiens (2.478) avait diminué par rapport à la veille.
"Si nous investissons maintenant (...) nous avons une chance réaliste de stopper cette épidémie", a déclaré mardi à Genève le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
"Cela reste une grande urgence" pour la Chine, "mais cela constitue aussi une très grave menace pour le reste du monde", avait-il déclaré plus tôt, au cours d'une conférence réunissant jusqu'à mercredi 400 scientifiques dans cette ville suisse.
A l'ouverture de la réunion, qui passera en revue les moyens de combattre l'épidémie, il a appelé tous les pays à faire preuve de "solidarité" en partageant leurs données.
Les ministres européens de la Santé se retrouveront jeudi à Bruxelles pour discuter de mesures coordonnées.
«Nous allons effacer Tel Aviv de la surface de la Terre»: l’ex-chef des Gardiens de la révolution menace Israël
L’ex-commandant du Corps des Gardiens de la révolution islamique, Mohsen Rezaei, a assuré que son pays cherchait un prétexte pour détruire la capitale de l’État hébreu.
L’Iran souhaite trouver un prétexte pour «effacer Tel Aviv de la surface de la Terre», a affirmé l’ancien commandant des Gardiens de la révolution islamique Mohsen Rezaei.
Dans un entretien accordé à la chaîne al-Mayadeen, liée au Hezbollah libanais, il a assuré que l’Iran tiendrait sa promesse de frapper Israël en cas de guerre avec les États-Unis.
«N’ayez aucun doute, nous allons effacer Tel Aviv de la surface de la Terre. Nous cherchons toujours un prétexte pour le faire», a déclaré M.Rezaei, considéré selon The Times Of Israel comme une figure influente de la scène politique iranienne.
Israël a refusé de tuer Khomeini pour ne pas avoir «le monde entier contre nous», selon un ex-agent du Mossad
Israël a eu raison de ne pas éliminer Khomeini, a affirmé un ancien agent du Mossad à Sputnik, estimant que dans ce cas-là, le monde n'aurait jamais réalisé l'ampleur du problème que présente «le régime de l'ayatollah».
Comme chaque année, cet ancien agentdu Mossad et chef de l’agence israélienne de renseignement en Iran va observer les festivités qui se dérouleront à Téhéran pour marquer la fin du règne du chah et l'instauration de la République islamique en février 1979.
Pourtant, dans une interview accordée à Sputnik, Eliezer Tsafrir s’est souvenu de temps meilleurs où les Israéliens étaient les bienvenus en Iran et où Téhéran «ne menaçait pas d’effacer Israël de la face de la Terre».
L’Indonésie ne veut pas rapatrier ses ressortissants qui ont rejoint l’EI
Les autorités indonésiennes ont affirmé ne pas avoir l’intention de rapatrier leurs quelque 700 ressortissants qui ont rejoint le groupe djihadiste Etat islamique (EI) au Moyen-Orient, sauf peut-être quelques enfants, par peur de compromettre la sécurité du pays.
Cette question a fait l’objet de débats virulents dans le pays qui compte la plus importante population musulmane au monde alors que le président Joko Widodo s’est prononcé contre le rapatriement des djihadistes et de leurs familles partis en Syrie ou dans d’autres pays.
«Nous avons décidé que le gouvernement devait fournir des garanties de sécurité aux 267 millions de citoyens indonésiens», a déclaré mardi soir le ministre coordinateur de la Sécurité Mahfud MD, à l’issue d’une rencontre avec le président près de la capitale Jakarta. «Si ces combattants terroristes étrangers revenaient à la maison, ils pourraient devenir un virus dangereux», a-t-il ajouté. (…)
Un nuage de criquets grand comme le Luxembourg arrive en Ouganda - images
Des essaims de criquets pèlerins qui ont traversé la Corne de l'Afrique sont arrivés en Ouganda dimanche, a annoncé un ministre ougandais au moment où le Premier ministre tenait une réunion d'urgence sur les moyens de lutter contre ce fléau, raconte l'AFP.
«Les crickets sont entrés dans le pays aujourd'hui» dimanche, en provenance du Kenya, a précisé le ministre chargé de la région frontalière du Karamoja (nord-est) où les insectes ont été repérés, Moses Kizige.
Des essaims de criquets ont dévasté l'approvisionnement alimentaire du Kenya, de l'Éthiopie et de la Somalie, et l'Organisation de l'Onu pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estime que la situation est la pire depuis vingt-cinq ans.
L'invasion de criquets a été déclarée «urgence nationale» en Somalie, dans l'une des régions les plus pauvres et les plus vulnérables du monde.
D'épais nuages de crickets affamés se sont répandus depuis l'Éthiopie et la Somalie jusqu'au Kenya, où la FAO a estimé qu'un seul de ces essaims couvrait une surface de 2.400 km2, la taille du Luxembourg.
Double explosion aux Pays-Bas: la police soupçonne deux colis piégés, un ministre néerlandais juge les explosions « préoccupantes »
Une explosion s’est produite mercredi matin dans le service interne de courrier d’une entreprise à Amsterdam, a indiqué la police néerlandaise, qui soupçonne une lettre piégée. Aucun blessé n’est à déplorer. Un peu plus tard, une deuxième explosion a eu lieu dans un centre de tri à Kerkrade.
Les Blancs d’aujourd’hui devraient-ils payer les crimes de leurs pères et mères ? (La Dépêche d’Abidjan)
C’est un fait bien connu que les blancs tout au long de l’histoire ont violé, volé et assassiné des autochtones et volé nos terres. Le problème est que les enfants de ces criminels croient qu’ils ne sont pas responsables parce qu’ils n’ont «physiquement rien fait». Sont-ils responsables du viol, du vol qualifié et du meurtre de leur père?
C’est une question d’une grande importance et il y a beaucoup de débats à ce sujet. (…)
Pour mémoire, bien que j’ai proposé la question: « Les Blancs d’aujourd’hui devraient-ils payer pour les crimes de leurs pères et mères? «, Personnellement, je n’attends rien des Blancs (coupables ou non), vous non plus. Il n’y a rien qu’ils puissent faire pour moi ou pour nous qui soit égal ou supérieur à ce que nous pouvons manifester de nos propres esprits mélangés.
ZemmourVs Yann Moix : « Vous ne voyez pas le drame de ceux qui subissent les migrants (…) Vous défendez des envahisseurs ! »
Note : je vais m'empresser de visionner cette vidéo, car se débat est avec Yann Moix , un personnage que je déteste autant que Mélenchon
Sid Ahmed Ghlam, accusé d’avoir assassiné Aurélie Châtelain et fomenté un attentat contre une église dont il voulait massacrer les fidèles, sera jugé en octobre
L’homme âgé de 27 ans, accusé d’avoir assassiné Aurélie Châtelain en 2015, sera jugé avec neuf personnes du 5 octobre au 6 novembre 2020 devant la cour d’assises spéciale de Paris.
Un troisième grand procès de terrorisme islamiste se tiendra cette année. Après celui des attentats de janvier 2015, qui aura lieu de mai à juillet à Paris, et avant celui de l’attaque du Thalys audiencé du 16 novembre au 12 décembre, le projet d’attentat de Villejuif (Val-de-Marne) aura lieu à la rentrée, toujours devant la cour d’assises spéciale de Paris, du 5 octobre au 6 novembre, dates récemment communiquées aux avocats.
Détenu depuis 2015, Sid Ahmed Ghlam, 27 ans, sera le principal des dix accusés. Cet étudiant algérien doit être jugé pour avoir voulu attaquer et massacrer les fidèles d’une église de Villejuif, le 19 avril 2015.
(…) Son périple s’est malheureusement révélé meurtrier puisque le djihadiste téléguidé par Daech est accusé d’avoir tué Aurélie Châtelain, une professeure de fitness de 32 ans, abattue dans sa voiture sur un parking de Villejuif.
Note : un tel énergumène devrait être déchu de sa nationalité française et expulsé . Mais il restera et sera libéré à la moitié de sa peine
Toulouse : il avait pris la fuite durant son procès, Rédouane Ikil retrouvé en Algérie
Le fugitif Rédouane Ikil condamné pour sa complicité dans deux braquages à Toulouse a été arrêté en Algérie
En cavale depuis 7 mois, Rédouane Ikil a été arrêté ce dimanche à Oran par la police algérienne. En juillet 2019, ce cadre de la poste à Toulouse avait été condamné en appel à 18 ans de prison pour avoir orchestré deux braquages de banques, il avait pris la fuite avant la fin de son procès.
Nantes : un animateur éducatif, ex conjoint d’une adjointe (PS) au maire écroué pour agressions sexuelles et détention d’images pédopornographiques
Un animateur éducatif a été mis en examen le 17 janvier à Nantes pour agressions sexuelles, agressions sexuelles sur enfants et détention d’images pédopornographiques
[…]
Il s’agit de l’ancien compagnon de l’adjointe au maire de Nantes en charge de l’éducation, Myriam Naël (PS).
La victime, un hommed’une trentaine d’années a été pris à partie par un groupe de 4 à 5 personnes. Contrairement à ce qui a été annoncé dans un premier temps, il n’est pas décédé mais se trouve entre la vie et la mort à l’hôpital Edouard-Herriot de Lyon.
(…) Un homme d’une trentaine d’années a été pris à partie par un groupe de 4 à 5 personnes. Au terme de l’altercation, deux blessés ont été retrouvés par les sapeurs-pompiers.
(…) Selon un témoignage recueilli sur place, la victime était venue rendre visite à un ami. « ll était présent au mauvais endroit et au mauvais moment », raconte un voisin. La victime a reçu plusieurs coups de marteau à la tête.
Note : combien de blanc se font assassiné par des magrébins et cela tous les ans
Un homme reconnu handicapé à 80% passé à tabac pour une cigarette à Charleville-Mézières
Un homme de 37 ans reconnu handicapé à 80 % s’est fait agresser vendredi soir dans le quartier de la Citadelle à Charleville-Mézières. L’homme ne s’est rendu aux urgences du centre hospitalier Manchester et chez l’ophtalmologue le Dr Eric Gallichet seulement hier. « Il avait honte », explique sa sœur. « Il venait chez moi. Il est reparti vers 22 h 30. Un individu lui a demandé une cigarette. Il n’en avait pas. Puis, plusieurs personnes se sont ruées sur lui pour le frapper », poursuit Sabrina Lobry. La victime a plusieurs fractures au visage.
Affaire Mila : Macron réaffirme le « droit au blasphème »
Emmanuel Macron réaffirme le « droit au blasphème » et à « critiquer les religions » défendant Mila à qui « on doit une protection » .
« Dans ce débat, on a perdu de vue que Mila est une adolescente » a estimé Emmanuel Macron, interrogé sur la polémique. « On lui doit donc une protection à l’école, dans sa vie quotidienne, dans ses déplacements. L’Etat a pris ses responsabilités » a-t-il ajouté.
Selon le président, les enfants doivent « être mieux protégés » contre les « nouvelles formes de haine et de harcèlement en ligne. »
« Je sépare cet impératif de la question sur la critique des religions. La loi est claire: nous avons droit au blasphème, à critiquer, à caricaturer les religions » a souligné Emmanuel Macron.
« L’ordre républicain n’est pas l’ordre moral » a-t-il insisté, avant de préciser : « Ce qui est interdit, c’est l’appel à la haine, l’atteinte à la dignité. »
Louis de Raguenel : « Des associations comme SOS Racisme ont empêché de mettre des mots sur le mal (…) on est en train de payer les conséquences de 20 ans de lâcheté »
Vol à main armée à Molenbeek-Saint-Jean (Belgique) : la police diffuse un avis de recherche
Le vendredi 13 décembre 2019 vers 19h40, à Molenbeek-Saint-Jean, un vol à main armée a été commis au magasin « Okay » située Chaussée de Ninove.
Deux individus font des allers et retours devant le commerce. Ils observent les lieux et attendent le moment opportun pour commettre leur délit. Une dizaine de minutes plus tard, le premier auteur pénètre dans le magasin, suivi directement par le second. Le premier se dirige vers les caisses et menace l’employé avec une arme à feu.
Il monte sur le comptoir et menace également de son arme une cliente et sa jeune fille. Toutes deux décident alors de quitter les lieux mais l’auteur les suit en les pointant de son arme.
L’employé est ensuite contraint sous la menace d’ouvrir les caisses une à une, et le second auteur se charge de retirer leur contenu.
Une fois le butin en leur possession, les auteurs prennent la fuite en s’encourant.
Le 1er auteur est d’origine nord-africaine. Il est droitier armé d’un pistolet noir. Il porte une veste de training noire à capuche munie d’une tirette blanche et de cordons blancs, d’un pantalon de sport noir et de chaussures noires.
Le 2ème auteur est également d’origine nord-africaine et est âgé d’une vingtaine d’années. Il a les yeux foncés et les sourcils prononcés. Il porte des vêtements noirs.
Nîmes : de nouveaux tirs de kalachnikov lundi soir à Pissevin, trois blessés
Les rafales de kalachnikov ont été confirmées dans la soirée du lundi 10 février dans le quartier Pissevin, à Nîmes. Trois personnes sont blessées.
Lundi 10 février au soir, vers 21 h 30, des habitants du quartier Pissevin, à Nîmes, ont entendu des détonations s’apparentant aux précédents épisodes de tirs de kalachnikov qui se sont produits dans cette Zup il y a peu. Selon le témoignage de l’un d’eux : « C’était dans le même secteur que la dernière fois (galerie Wagner, NDLR). J’ai entendu quelqu’un crier « aidez-moi !« .
Une taxe sur chaque connexion aux réseaux sociaux pour remplacer la redevance TV… et identifier les internautes
Dans une question adressée au ministère de la Culture, Laurent Garcia, député apparenté au groupe MoDem, revient sur le sujet de la contribution à l’audiovisuel public (CAP). (…)
Le parlementaire a une autre piste, toujours sous couvert de revendications exprimées par des « concitoyens » non identifiés : « une taxation minime sur chaque connexion à un réseau social ». Rien n’est dit sur le montant envisagé, mais une taxe sur l’accès à Twitter, Facebook, etc. impliquerait des moyens de contrôle très poussés.
Peu importe. L’élu estime qu’un tel mécanisme aurait un effet indirect non négligeable : il « permettrait d’identifier les usagers et par conséquence limiter les attaques racistes, antisémites, sexistes et homophobes sous couvert d’anonymat ». Avant de demander au gouvernement de révéler ses pistes de réforme, il concède toutefois qu’une telle taxe « semble difficilement applicable ». CAP ou pas CAP ?
« C’est une rebeu et elle fait la Française. » : des jeunes de Mantes-la-Jolie interrogés sur Zineb El Rhazoui
Vénissieux (69) : le youtubeur Bassem Braiki violemment frappé la nuit dernière (MàJ : l’agresseur toujours en liberté, des douilles retrouvées sur place)
Toujours en liberté, Sadek continue de s’exprimer sur les réseaux sociaux.
D’après l’avocat, ces derniers étaient aussi munis de “barres de fer et a priori d’armes à feu puisque des douilles ont été retrouvées sur place”. Les agresseurs de Bassem Braiki encourent jusqu’à dix ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende.
« L’appel au calme » de Bayrem Braiki, le frère de Bassem
« Pour moi, ce qui s’est passé ce matin est une tentative de meurtre. Un groupe de cinq personnes, dont le rappeur Sadek, est venu se faire vengeance suite à l’annulation d’un concert à Saint-Priest, qui a été imputé à mon frère. C’est un règlement de comptes par armes blanches. On ne vient pas de Paris pour rien. La préméditation est là, aggravée par le fait que la scène a été filmée et répandue sur les réseaux sociaux. C’est une honte ! », réagit le frère de Bassem, élu à Vénissieux (PCF).
Et de poursuivre : « Heureusement, mon frère va mieux, son état n’est plus critique. Il est conscient et nous a raconté ce qu’il s’est passé. Il rentrait de son travail chez Carbone Savoie. Après avoir garé sa voiture, il arrivait à 5 heures à son immeuble quand il a été pris à partie, battu presque à mort. Par instinct de survie, il a réussi à monter chez lui, où ma mère l’a récupéré et appelé les pompiers.
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