Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

___________________________

Le 27 novembre 2019

 

 

 

 

Mali : ce que l'on sait de la mort des treize militaires dans une collision d'hélicoptères

 

L'accident est survenu lundi peu avant 20 heures dans le Liptako, dans la région de Ménaka, pendant une "opération de combat".

Treize militaires français de la force Barkhane sont morts, lundi 25 novembre, au Mali, lors d'une collision entre deux hélicoptères, a annoncé la présidence de la République, dans un communiqué diffusé mardi. Ils participaient à une attaque contre des jihadistes.

Un hélicoptère Tigre de l\'armée française (à gauche), le 27 mars 2019 dans une base de la région de Gourma, au Mali.
Un hélicoptère Tigre de l'armée française (à gauche), le 27 mars 2019 dans une base de la région de Gourma, au Mali. (DAPHNE BENOIT / AFP)

 

Franceinfo revient sur ce que l'on sait de l'accident.

Que s'est-il passé ?

L'accident est survenu dans le Liptako, dans la région de Ménaka, aux confins du Mali, du Niger et du Burkina Faso, dans le cadre d'une opération de Barkhane, qui mobilise 4 500 militaires au Sahel depuis 2013. Le général François Lecointre, chef d'état-major des Armées, a précisé que "des commandos parachutistes avaient observé, lundi vers 17h15, un groupe d'ennemis équipé d'un pick-up et de plusieurs motos".

 
 

"Ils sont entrés en contact par le feu avec cet ennemi (...) et ont fait appel à des moyens aériens", a-t-il ajouté. Deux hélicoptères Tigre et un Cougar sont arrivés rapidement sur zone.

"Pendant cette opération de reconnaissance de nuit, pour repérer le pick-up qui s'enfuyait vers le Nord, les commandos au sol ont entendu deux explosions. Ils ont pensé qu'elle était due à une collision en vol entre deux appareils. L'information est confirmée rapidement par le Tigre qui reste en vol", a ajouté le général.

"Ils sont intervenus dans des conditions opérationnelles très exigeantes" et, étant des engins militaires, n'étaient pas équipés de dispositifs anticollision, a précisé le général Leointre. L'accident a été fatal aux treize soldats qui étaient à bord des deux appareils.

 

Qui sont les victimes ?

L'accident d'hélicoptères a fait treize victimes. C'est l'un des plus lourds bilans humains essuyé par l'armée française depuis l'attentat du Drakkar, à Beyrouth (Liban), en 1983.

Parmi les victimes se trouvent les capitaines Nicolas Mégard, Benjamin Gireud et Clément Frisonroche, les lieutenants Alex Morisse et Pierre Bockel (fils de l'ancien ministre et actuel sénateur centriste français Jean-Marie Bockel), l'adjudant-chef Julien Carette, et le brigadier-chef Romain Salles de Saint-Paul, appartenant tous au 5e régiment d'hélicoptères de combat de Pau. 

Le capitaine Romain Chomel de Jarnieu, le maréchal des logis-chef Alexandre Protin, les maréchaux des logis Antoine Serre et Valentin Duval, du 4e régiment de chasseurs de Gap (Hautes-Alpes), comptent aussi parmi les victimes, tout comme le maréchal des logis-chef Jérémy Leusie, du 93e régiment d'artillerie de montagne de Varces (Isère) et le sergent-chef Andreï Jouk, du 2e régiment étranger de génie de Saint-Christol (Vaucluse).

Cet accident porte à 38 le nombre de militaires français tués au Mali, depuis le début de l'intervention française, en 2013.

Lire la suite

 

 

 

Soldats tués au Mali : quel hommage pour les militaires en France ?

 

 

 

 

Mali : la difficile mission sécuritaire de l'opération Barkhane

 

 

 

 

"Face aux djihadistes, le G5 Sahel est en échec"

 

 

 

«Il faut créer les conditions pour que nous puissions partir» du Mali, affirme Alexis Corbière

 

Le député La France insoumise Alexis Corbière a préconisé le départ des militaires français du Mali. Cette déclaration prononcée le 27 novembre en direct sur BFM TV et RMC intervient deux jours après la mort de 13 soldats dans ce pays africain.

Invité de Jean-Jacques Bourdin ce 27 novembre, pour BFM TV et RMC, le député La France insoumise de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière a donné son avis quant à la présence des militaires français sur le sol malien.

«Je ne crois pas que du jour au lendemain nous pourrons en partir, ce serait folie […]. Par contre, je pense qu'il faut le plan politique de ce que nous faisons là-bas et créer les conditions pour que nous puissions partir», a déclaré le député, qui est aussi membre de la commission de la Défense à l'Assemblée nationale et vice-président du groupe d'amitié France-Mali.

Lire la suite

 

 

 

 

Général Dominique Trinquand : « Des djihadistes entraînés au Mali peuvent parfaitement s’infiltrer chez nous »

 

"Des djihadistes entraînés au auraient la capacité de commettre des attentats en France.
Ils peuvent parfaitement s'infiltrer chez nous."

Contrôle des frontières + lutte contre l'immigration massive = diminution des risques d'infiltration des djihadistes en Europe ... !

VIDEO

 

 

 

 

Israël réplique à des roquettes tirées de la bande de Gaza

 

L’armée israélienne a visé mercredi matin « des cibles terroristes » du Hamas, dont un site de fabrication d’armes et des infrastructures souterraines.

 

Deux semaines se sont écoulées depuis le dernier épisode de violences entre l’Etat hébreu et le Jihad islamique à Gaza. Deux roquettes ont été tirées, mardi 26 novembre, de la bande de Gaza vers le sud d’Israël, a fait savoir l’armée israélienne, qui a répliqué avec une série de tirs ciblant le Hamas. « Des avions de chasse ont frappé des cibles terroristes du Hamas dans la bande de Gaza », a précisé tôt mercredi l’armée israélienne dans un communiqué.

Un site de fabrication d’armes et des infrastructures souterraines faisaient partie des cibles visées, selon les forces de l’Etat hébreu. Au moins deux sites du Hamas, mouvement islamiste palestinien au pouvoir à Gaza, ont été frappés, ainsi qu’un site contrôlé par le Jihad islamique, autre groupe armé palestinien, a rapporté une source proche des services de sécurité à Gaza.

Lire la suite

 

 

 

 

Au Sahel ou au Lac Tchad, «les empreintes des djihadistes du Levant sont déjà là»

 

On n’en connaît pas le nombre, mais leurs empreintes sont déjà là. Au Sahel ou au Lac Tchad, l’avènement des terroristes du bourbier syrien ou irakien ne fait plus de doute. Il se manifeste par leur mode opératoire et une capacité de nuisance décuplée, relève le chef de la mission de l’ONU au Mali, Mahamat Annadif, dans un entretien à Sputnik.

Mahamat Saleh Annadif est, depuis décembre 2015, le représentant spécial pour le Mali du secrétaire général des Nations unies. À ce titre, il est aussi le chef de la Mission multidimensionnelle de stabilisation intégrée des Nations unies au Mali (Minusma).

Après avoir été secrétaire d’État à l’agriculture pendant les deux dernières années de la présidence de Hissène Habré (1989-1990), cet ingénieur de formation fait son retour dans les affaires sous Idriss Déby par la voie des Télécommunications internationales du Tchad (TIT) puis de l’ONTP (Office national des Postes et Télécommunications) en tant que directeur général. Une fonction qu’il occupera de 1995 à 1997, année où il est promu ministre des Affaires étrangères. C’est le début d’une longue carrière diplomatique qui s’est déclinée à l’échelle internationale, avec néanmoins deux parenthèses (2004-2006 et 2010-2012) à la présidence de la République, en tant que proche collaborateur d’Idriss Deby.

Lire la suite

 

L’Ukraine, nouveau sanctuaire de djihadistes?

 

Les services de sécurité ukrainiens on indiqué qu’Al Bara Shishani se trouvait en Ukraine depuis près de deux ans et qu’il avait obtenu un faux passeport lui permettant de se rendre de Syrie en Ukraine en passant par la Turquie. Selon Vera Mironova, experte des cellules djihadistes et consultante à l’université de Harvard, des «centaines de djihadistes» du califat auraient trouvé refuge en Ukraine.

Comment expliquer une telle convergence de djihadistes vers ce pays? Plusieurs éléments entrent en compte: le pays est en proie à une instabilité politique continue depuis 2013, il y a, à tous les niveaux, une corruption galopante et les services de sécurité ne sont pas des plus efficaces. Cerise sur le gâteau pour les djihadistes issues de la région du Caucase, ils peuvent profiter d’une proximité linguistique, pour peu qu’ils aient une maîtrise élémentaire du Russe. L’addition de ces éléments fait que l’Ukraine est une destination de choix pour le crime organisé, mais aussi pour les individus de la nébuleuse djihadiste.

 

«L’arrestation de l’un des hauts gradés de Daech à Kiev même, sous notre nez, suggère bien que de nombreux individus, parmi les plus dangereux de ce monde, pensent que l’Ukraine peut être un sanctuaire pour eux. La corruption dans tous les corps de l’État –la police, les tribunaux, les procureurs– ouvre la porte à toutes formes d’abus», explique Katerina Sergatskova, journaliste basé à Kiev ayant enquêté longtemps sur le cas d’Al Bara Shishani.

 

Le plus inquiétant est sans doute le profil de ces djihadistes qui ont trouvé refuge en Europe. Pour The Independent, Vera Mironova expliquait que ce sont les djihadistes les plus redoutables qui s’y trouvent, car le voyage est beaucoup plus risqué que celui jusqu’à la Turquie:

 

«Les djihadistes qui se trouvent en Ukraine ne s’y trouvent pas par hasard. Les plus lents s’arrêtent au moment où ils arrivent en Turquie. Après tout, c’est une opération de plusieurs étapes de se rendre en Ukraine. Et ceux qui s’y rendent sont les plus dangereux», explique l’experte du djihadisme.

 Une image embarrassante pour les services de sécurité ukrainiens dont ils essayent tant bien que mal de se débarrasser. Interrogé par le quotidien britannique dans le cadre de son enquête, le SBU a indiqué que les considérer comme laxistes face à cette situation est «un jugement fondamentalement incorrect». Une réponse à prendre avec des pincettes tout de même, car, comme l’explique Vera Mironova:

«Je connais plein de djihadistes ici qui vivent une vie normale. Ils sont chauffeurs Uber par exemple...»

Source

 

 

 

 

 

Afghanistan : deux lanceurs d’alerte arrêtés pour avoir dénoncé plus de 500 actes pédophiles

 

Membres d’une organisation de défense des droits humains, Mohammed Musa et Ehsanullah Hamidi ont été arrêtés par les services de renseignement afghans le 21 novembre

[…]

Les deux hommes venaient de révéler l’existence d’un réseau de pédophiles ayant commis des agressions sexuelles et des viols sur au moins 546 écoliers dans la province de Logar, à l’est du pays.

[…]

Ces actes auraient été perpétrés par des enseignants, des directeurs d’école et des membres des autorités locales dans six établissements scolaires. À l’échelle nationale, ils pourraient concerner des milliers d’enfants.

[…]

Esclavage sexuel

Les agressions sexuelles masculines restent très répandues en Afghanistan, où une tradition séculaire d’esclavage sexuel perdure.

Le bacha bazi, qui signifie littéralement «jouer avec les garçons» en persan afghan, est une pratique encore répandue chez les hommes influents: ils obligent de jeunes garçons à s’habiller en fille, à danser puis à avoir un rapport sexuel avec eux.

[…]

Slate

 

 

 

Etats-Unis : la députée démocrate Ilhan Omar accusée d’intelligence avec le Qatar, l’Iran et la Turquie au cours d’un procès

 

La députée Ilhan Omar (Minnesota) aurait été recrutée par un gouvernement étranger, reçu des fonds d’un gouvernement étranger et transmis des informations sensibles à l’Iran par le biais d’intermédiaire selon une déposition sous serment dans un tribunal de Floride.

Les affirmations ont été présentées au cours du témoignage de l’homme d’affaires canadien Alan Bender, né Koweïtien, qui témoignait lors du procès du cheikh Khalid bin Hamad al-Thani. Le frère de l’émir qatarien est accusé d’avoir ordonné à son garde du corps américain de tuer deux personnes et d’avoir pris en otage un citoyen américain. Sa déposition, obtenue par Al Arabiya English, a été authentifiée par l’avocat des plaignants, selon la publication.
[…]

D’après sa déposition sous serment, les trois fonctionnaires lui ont dit : « Sans notre argent, Ilhan Omar ne serait qu’une autre réfugiée somalienne noir en Amérique, qui va chercher de l’aide sociale et sert les tables le week-end. »

Bender a témoigné que les fonctionnaires lui auraient demandé de recruter des politiciens et des journalistes américains comme outils pour le Qatar, et que lorsqu’il s’y était opposé, on lui aurait répondu que plusieurs personnalités étaient déjà rémunérées. Omar a été décrit comme le « joyau de la couronne », a-t-il dit.

Le Qatar « a recruté Ilhan Omar bien avant qu’elle n’ait songé à devenir fonctionnaire du gouvernement… Ils l’ont préparée et ont aménagé la fondation, le terrain, pour qu’elle puisse se lancer en politique bien avant même qu’elle ne manifeste son intérêt. Ils l’ont convaincue », a-t-il ajouté.

La déposition montre en outre qu’il a déclaré à la Cour que, lors d’une réunion en 2017 avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, Omar lui aurait juré allégeance. À l’époque, elle était une représentante subalterne de l’État au Minnesota.

Omar aurait également transmis des informations au Qatar, qui les aurait ensuite transmises à l’Iran, et aurait participé activement au recrutement d’autres politiciens américains pour travailler également pour ce pays islamique d’Asie occidentale, a déclaré Bender.
[…]

« Depuis le jour de son élection, les trolls et les porte-voix de l’Arabie saoudite ont ciblé Omar avec de fausses informations et des théories conspirationnistes », a écrit une porte-parole de la députée dans une déclaration au Jerusalem Post.
[…]

The Jerusalem Post

 

 

 

 

 

Pays-Bas : attentat islamiste déjoué, arrestation de 2 suspects qui auraient prévu de commettre des attaques à la bombe fin décembre

 

 

 

 

 

Italie : la justice donne raison à Salvini, «que les ONG débarquent dans leurs pays»

 

Le Tribunal des ministres sur l’affaire des migrants: le pays de premier contact est celui du bateau

La responsabilité d’assigner un «port sûr» aux navires de réfugiés secourus en mer incombe au «pays de premier contact», qui peut toutefois être difficile à déterminer. Cependant, voulant suivre «à la lettre» les indications des différents accords et conventions, «le pays de premier contact ne peut être identifié que comme celui du navire qui a  procédé au sauvetage». Donc, si une embarcation qui a recueilli des naufragés bat pavillon allemand, c’est à l’Allemagne qu’elle doit s’adresser pour obtenir un lieu d’accostage.

C’est la décision du tribunal des ministres à Rome, qui pour ce motif également, a classé les accusations de manquements et d’abus administratifs à l’encontre de l’ancien ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, et de son chef de Cabinet Matteo Piantedosi, pour le refus de débarquement des 65 migrants qui se trouvaient à bord du bateau allemand Alan Kurdi de l’ONG Sea Eve, en avril dernier […].

Pas de délit, donc, et pas de procès […].

corriere.it

Merci à Damien

 

 

 

Ces anciens musulmans qui fustigent l’islam accusés de « flirter avec l’extrême-droite » (MàJ)

 

Déjà structuré à l’étranger, le mouvement #ExMuslim émerge en France. Deux journalistes de l’Obs ont enquêté sur le sujet pour en déduire que ce courant initié par d’anciens musulmans critiques de l’islam flirte avec… l’extrême droite. Un raccourci qui interroge.
[…]

Leur article, paru dimanche dans l’hebdomadaire, a suscité de vives réactions. De la part de Waleed Al-husseini notamment. L’écrivain a fustigé sur ses réseaux sociaux le « manque de soutien » de la part de ce « journal de gauche » aux ex-musulmans qui ont souffert lorsqu’ils ont quitté l’islam et qui sont pour la plupart encore recherchés. « C’est de pire en pire. Avant même notre rencontre, ce journaliste de l’Obs avait déjà ses conclusions en tête, et tout ce que je lui avais dit pendant l’entretien n’y a rien changé, a-t-il ajouté sur le réseau social. A chaque fois que j’ai l’espoir que cette gauche ouvre les yeux, je suis déçu encore un peu plus. Si les discours de défense des libertés et de la laïcité des ex-musulmans sonnent d’extrême droite aux oreilles de l’Obs, ce n’est pas parce qu’on a été récupérés par la fachosphère mais parce qu’on a été abandonné par le gauchosphère … » Le message a été partagé plus de 400 fois sur Twitter et plus de 1100 fois sur Facebook.

Est-il surprenant de la part d’un journal de gauche de porter le sujet des #Exmuslim sur leur prétendue proximité avec l’extrême droite plutôt que d’envisager l’exclusion ou les menaces qu’ils reçoivent chaque jour de la part de la communauté musulmane ? « Ce qui me met en colère c’est que l’Obs suit sa ligne gauchiste et est dans une logique de collaboration intellectuelle avec l’islamisme, portant atteinte aux valeurs de la République française, s’indigne Waleed Al-husseini auprès de Valeurs actuelles. Quiconque s’écarte de cette ligne est taxé d’être dans la « fachosphère » ou de flirter avec l’extrême droite ».
[…]

Si Waleed Al-husseini s’est réfugié en France, c’est à cause de l’islam et de l’islamisme. « C’est parce j’étais en danger » confie-t-il. […]

Valeurs Actuelles

 

 

 

L. Alexandre : « En France, la majorité des croyants seront musulmans (…) Il faut calmer le jeu ». Zemmour : « Calmer le jeu, c’est se soumettre à la loi du nombre »

 

 

Débat Zemmour VS Alexandre
Alexandre:
"A la fin du siècle nous allons avoir une majorité des croyants qui seront musulmans en France...il faut calmer le jeu".

Zemmour:
"Ce que vous appelez "calmer le jeu", c'est se soumettre à la loi du nombre, se soumettre aux vainqueurs..."

875 personnes parlent à ce sujet (Vidéo)

 

La vidoé du 25 novembre

 

 

En France la communauté musulmane « est de l’ordre de 8 à 10 millions, soit plus de 10 % des Français. Elle sera encore plus nombreuse en 2050 : il n’y a qu’à compulser le registre des naissances dans les mairies »

 

Personnalité associée du Conseil économique, social et environnemental (Cese, section du travail et de l’emploi), Ibrahima Diawadoh N’Jim plaide pour une refondation de l’islam de France : Depuis trente ans, les politiques et les médias parlent d’une communauté musulmane comprise entre 5 et 6 millions de personnes, occultant les vrais chiffres dans une volonté délibérée de la sous-estimer. Elle est, en fait, de l’ordre de 8 à 10 millions, soit plus de 10 % des Français. Et elle sera encore plus nombreuse en 2050. Pour s’en rendre compte, il n’y a qu’à compulser le registre des naissances dans les mairies. […]

L’Opinion

 

 

 

 

Un Soudanais renvoyé par la Belgique obtient l’asile en France

 

Un migrant soudanais a été reconnu comme réfugié par la France car il a dû comparaître en Belgique dans le cadre de la mission d’identification menée en coopération avec le gouvernement soudanais

(…) La décision française indique que l’individu en question, placé en centre fermé, a dû remplir un formulaire sur ses proches au Soudan. Quand il a comparu devant la délégation soudanaise faisant partie de cette mission d’identification, celle-ci disposait de ce formulaire et l’a interrogé à ce propos. Le jour du renvoi du migrant par la Belgique, les autorités belges ont appris que l’homme avait demandé l’asile en France et que sont dossier y était en cours de traitement.

La France avait dans un premier temps refusé cette demande mais le tribunal français en charge de l’asile a reconnu en juillet dernier que la situation au Soudan et son exposition aux autorités soudanaises, dans le cadre de la mission d’identification en Belgique, représentait un risque pour le migrant en cas de retour.

7sur7

 

 

 

 

 

Quimper (29) : un réfugié soudanais en costume religieux agresse un enfant de 4 ans et 3 femmes, il est condamné à 15 mois de prison ferme

 

 

L’audience de comparution immédiate, mardi 26 novembre 2019, au tribunal correctionnel de Quimper (Finistère) a commencé par un quiproquo. L’avocat du prévenu allait demander un renvoi lorsque son client, par l’intermédiaire de son interprète en arabe, a dit qu’il voulait être jugé tout de suite pour violences à l’encontre d’un mineur de moins de 15 ans, violences avec arme et actes de rébellion.

Les premiers faits remontent au 31 octobre dernier à Quimper. Vers 16 h, une maman et son fils de 4 ans attendent le bus, rue de Pont-l’Abbé quand le prévenu s’en prend à son fils. Il simule alors un pistolet avec ses doigts et frappe l’enfant sur le front. « Sans raison », précise la maman à la barre.

Cela fait maintenant près d’un mois que cela s’est passé mais mon fils continue de se réveiller la nuit à cause de cauchemars.

Le coup porté a occasionné l’équivalent d’un jour d’interruption temporaire de travail.  (…)

Second épisode de violences : dimanche 24 novembre, toujours à Quimper. A 7 h 25, le prévenu prend à partie un groupe de trois jeunes femmes, rue Le Déan. Ces dernières sont en train de rentrer d’une soirée. L’individu, vêtu d’un habit religieux et en état d’ivresse, commence par les insulter puis les menace avec un couteau à pain. « La lame faisait 20 cm », indique la présidente du tribunal.

L’homme, âgé de 28 ans, est de nationalité soudanaise. Réfugié politique, il est arrivé en France en 2016. Son titre de séjour court jusqu’en 2028. Son casier judiciaire ne comporte qu’une seule condamnation à 7 mois de prison avec sursis pour une agression commise avec un bout de verre. Ces faits remontent à décembre 2018 au Havre (Seine-maritime).

 

Note : pas d’expulsion !!

 

 

 

 

Vichy (03): Abasse B. et Abbendi B. condamnés pour avoir fracturé le crâne d’un homme en lui enfonçant un pinceau dans le nez

 

Deux hommes étaient jugés en comparution immédiate, mardi après-midi, devant le tribunal correctionnel de Cusset (Allier), pour des faits de violences aggravées.

[…]

Un homme d’une quarantaine d’années avait été roué de coups, notamment au visage. Un pinceau lui avait été enfoncé dans le nez, lui occasionnant de multiples fractures du crâne

[…]

Abasse B., 44 ans, à sept ans de prison dont un avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans. Abbendi B., 53 ans, a écopé de trois ans de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans.

[…]

La Montagne

 

 

Commenter cet article