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Le 14 octobre 2019
Poutine et Assad prêts à récupérer leur mise
Un accord global entre la Russie et la Turquie semble être à l’œuvre pour la domination du Nord-Est syrien.
À court terme, ils ne pouvaient pas rêver d’un meilleur scénario. Le régime syrien et son parrain russe sont déjà les grands gagnants, d’un point de vue stratégique, de l’offensive turque dans le Nord syrien. L’évolution des événements dans la journée d’hier a largement confirmé cette tendance. Le secrétaire américain à la Défense Mark Esper a annoncé dans une interview à la chaîne CBS que jusqu’à 1 000 soldats américains allaient se retirer au plus vite du nord de la Syrie. Il n’a toutefois pas précisé si ces soldats allaient être évacués vers le sud ou si Washington comptait retirer totalement ses hommes de Syrie. Quelques heures plus tard, les médias prorégime affirmaient que l’armée syrienne allait entrer dans les prochaines 48 heures dans les villes de Manbij et de Kobané, actuellement aux mains des Kurdes et dont les Américains se sont retirés hier, après un accord avec les Forces démocratiques syriennes (FDS), une coalition politique noyautée par les Kurdes syriens du PYD (Parti de l’union démocratique). Le site prorégime al-Watan assurait hier que l’armée syrienne était entrée à Manbij. Les FDS ont confirmé dans la soirée être parvenues à un accord avec le régime. Si Damas a condamné dans son langage habituel l’offensive turque dans le Nord syrien, il ne la voit en réalité pas d’un si mauvais œil. Et pour cause : Moscou serait à la manœuvre. « Cette offensive s’inscrit dans un deal complet entre Moscou et Ankara. Les Turcs donneront Idleb à Bachar comme ils lui ont donné auparavant Alep et, en échange, Moscou laisse agir les Turcs contre les Kurdes comme le démontre le veto de Moscou au Conseil de sécurité (la Russie a bloqué vendredi une résolution appelant la Turquie à cesser son offensive) », affirme à L’OLJ un homme d’affaires proche du régime.
L’opération turque en Syrie, débutée le 9 octobre, est, dès le départ, perçue comme une opportunité pour la Russie. D’abord parce qu’elle implique le retrait, sinon le repli, des forces occidentales qui occupent l’est de la Syrie et qui constituaient, à long terme, le principal obstacle à la victoire de l’axe russo-irano-syrien. Ensuite, parce qu’elle accentue les tensions entre les Occidentaux, alliés des Kurdes syriens et la Turquie, dont Moscou pourrait tirer profit en se présentant comme un allié plus fiable et plus compréhensif pour Ankara. Enfin, parce que l’offensive turque jette les Kurdes dans les bras du régime et qu’elle pourrait faciliter une reprise de contact direct entre Ankara et Damas. Cerise sur le gâteau, la violence de l’attaque et les exactions commises par les rebelles syriens qui accompagnent l’armée turque pourrait avoir pour effet, aux yeux des opinions publiques, de relativiser les crimes perpétrés par le régime et ses alliés dans l’Ouest syrien.
« La Russie préfère voir le Nord-Est syrien contrôlé par les Turcs, avec qui elle entretient un dialogue plus ou moins efficace, que par les Kurdes syriens, qui ont été réticents à coopérer avec Damas », confirme à L’OLJ Timur Akhmetov, expert de la Turquie au Russian International Relations Councils. Moscou tente depuis deux ans de trouver un compromis entre Damas et les Kurdes. Le régime, qui a longtemps opprimé les Kurdes, a toujours répété qu’il comptait récupérer l’ensemble du territoire syrien et qu’il ne permettrait pas la création d’une entité autonome kurde. Les négociations avaient cessé depuis mars 2018, au moment de l’offensive turque, avalisée par la Russie, sur la ville d’Afrine, qui était aux mains des Kurdes. Ces derniers avaient été écartés des dernières négociations politiques.
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Si l’armée syrienne a annoncé hier envoyer des troupes dans le Nord-Est syrien pour « contrer l’offensive turque », il y a fort à parier qu’il n’y aura pas de combat entre les deux armées. C’est plutôt une répartition du contrôle des zones, sous l’égide des Russes, qui semblent être à l’œuvre. Les Turcs, qui s’apprêtent à poursuivre leur opération vers le Sud, selon Mark Esper, devraient prendre le contrôle de la zone entre Tal Abyad, conquise ce week-end, et Ras el-Aïn où les combats se poursuivent. Le régime avance à l’ouest à Manbij et à Kobané et pourrait renforcer sa présence à l’est, dans la région de Qamechli et de Hassaké. « Le régime a commencé à mettre en place des check-points à Qamichli
Note : je serais vraiment étonné que les Syriens s’attaquent aux Turques, qui restent des alliés de la Russie. La Russie est aussi le seul pays qui pourrait vraiment faire pression sur Ankara (rappelons que la Turquie vient d’aguerrir des S400 russes)
DIRECT. Syrie : les forces du régime se rapprochent de la frontière avec la Turquie
L'offensive turque dans le nord de la Syrie entre, lundi 14 octobre, dans son sixième jour. A la tête d'une armée qui progresse dans les territoires tenus par les Kurdes, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a répété sa détermination à poursuivre l'offensive, malgré les protestations de Paris et de Berlin. "Ceux qui pensent pouvoir nous contraindre à reculer avec ces menaces se trompent", a-t-il lancé, tandis que la violence des combats fait rage.
Les soldats turques approchent de la ville de Tukhar, au nord de la Syrie. © Aref TAMMAWI / AFP
L'armée syrienne se rapproche de la frontière turque. Les forces du régime syrien se sont rapprochées lundi de la frontière avec la Turquie, où les troupes d'Ankara et des supplétifs syriens mènent toujours des combats contre une milice kurde. Les forces sont déployées à la périphérie de Tal Tamr, au sud de la ville frontalière de Ras al-Aïn où se déroulent des combats. L'agence officielle Sana a confirmé l'arrivée "des unités de l'armée arabe syrienne" à la localité de Tal Tamr.
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Les Kurdes s'allient au régime de Damas. Afin de s'opposer à l'avancée rapide des troupes turques et de leurs alliés, les Kurdes de Syrie avaient annoncé dimanche avoir conclu un accord avec Damas pour le déploiement de l'armée syrienne dans le nord du pays. Le régime de Bachar Al-Assad, qui entretient des rapports tendus avec la minorité kurde mais dénonce l'opération d'Ankara, a annoncé l'envoi de troupes dans le nord pour "affronter" l'"agression" turque.
Les forces turques progressent. L'offensive d'Ankara devait d'abord se concentrer sur une bande de territoire frontalière, entre les villes de Tal Abyad et Ras Al-Aïn, distantes d'environ 120 km. Dimanche, les forces turques et leurs alliés syriens ont conquis Tal Abyad, selon l'agence turque Anadolu et une ONG, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Ras al-Aïn échappe encore aux forces turques, mais celles-ci se sont emparées de 40 villages depuis mercredi et "ont conquis toute la région frontalière, de Tal Abyad jusqu'à l'ouest de Ras al-Aïn", selon l'ONG.
Un convoi de civils et de journalistes pris pour cible. Un convoi comprenant des journalistes a été attaqué dimanche à Ras al-Aïn, rapporte une équipe de France 2 qui se trouvait sur place. Dix personnes sont mortes dans ce raid mené par l'aviation turque, selon l'OSDH. Parmi eux figure le correspondant d'une agence locale de presse kurde.
Plus de 130 000 déplacés. Dimanche, les combats et les bombardements turcs ou de leurs supplétifs ont été violents, tuant au moins 26 civils selon l'OSDH. Depuis mercredi, 104 combattants kurdes et plus de 60 civils ont été tués dans les violences, selon un dernier bilan de l'OSDH. Plus de 130 000 personnes ont été déplacées d'après l'ONU. De son côté, la Turquie a annoncé la mort de quatre soldats en Syrie et de 18 civils dans la chute de roquettes kurdes sur des villes frontalières turques.
Macron et Merkel réclament la fin de l'opération. Le président français et la chancelière allemande ont appelé la Turquie à cesser son opération, qui "risque de créer une situation humanitaire insoutenable et d'aider" le groupe EI "à réémerger". Dimanche soir, la France a annoncé qu'elle allait intensifier "ses efforts diplomatiques" pour obtenir "la cessation immédiate de l'offensive turque", après une réunion du Conseil de défense et de sécurité nationale présidée par Emmanuel Macron.
Une équipe de France 2 était sur place et raconte l'attaque.
: Bonjour @Benoit, un convoi dans lequel se trouvaient des civils et des journalistes a en effet été la cible d'une attaque près de la frontière turque en Syrie. Le dernier bilan dont nous disposons fait état de 14 morts et une vingtaine de blessés dont des journalistes, mais à notre connaissance, aucun confrère français n'a été tué. J'essaie d'en savoir plus sur les victimes.LIRE AUSSI : «Des confrères sont morts»: une équipe de France 2 échappe de justesse à un bombardement turc
LIRE AUSSI: Plusieurs civils, dont 3 journalistes étrangers, tués dans un raid aérien turc en Syrie, selon les médias
Le président turc Recep Tayyip Erdogan salue la décision des Etats-Unis qui vont retirer jusqu'à 1 000 soldats du nord de la Syrie, où Ankara mène une offensive contre une milice kurde. "C'est une approche positive", a déclaré le président Erdogan lors d'une conférence de presse
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Le chef du Pentagone reconnaît que les forces américaines sont prises dans un étau en Syrie
En Syrie, les militaires américains sont pris en tenaille entre les forces turques attaquant les Kurdes et l’armée syrienne, a déclaré sur Fox News le secrétaire américain à la Défense, Mark Esper.
«Les troupes américaines se sont retrouvées dans un piège entre l’armée syrienne qui se dirige vers le nord pour riposter à l’armée turque qui se dirige vers le sud», a-t-il signalé, ajoutant que «la situation empire d’heure en heure».
Il a indiqué que les États-Unis ne s’étaient pas «engagés» à combattre la Turquie «au nom» des Kurdes syriens et a reconnu que Washington n’avait pas suffisamment de forces dans la région pour arrêter l’offensive turque.
Dimanche 13 octobre, l’agence syrienne Sana a annoncé que des unités de l’armée syrienne se dirigeaient vers le nord du pays pour faire face à l’«agression turque». Les autorités kurdes ont de leur côté déclaré s’être mises d’accord avec Damas sur le déploiement de forces syriennes le long de la frontière turque pour repousser l’offensive.
Après le retrait des Etats-Unis, que va faire la France dans le nord-est-de la Syrie ?
Dans un communiqué publié le 13 octobre, après une réunion du Conseil de défense et de sécurité nationale à Paris dirigée par le chef de l'Etat Emmanuel Macron, la présidence française a annoncé des mesures visant à «assurer la sécurité des personnels français militaires et civils présents» dans le nord-est de la Syrie. Ce communiqué, qui ne livre pas de détails sur le contenu de ces mesures, est publié alors que l'actualité dans cette région du monde s'est accélérée ces derniers jours. En effet, après l'annonce d'une offensive militaire turque contre les milices kurdes, ex-alliées des Etats-Unis, Washington a choisi de retirer des troupes de la zone. Laissés pour compte, les combattants kurdes ont ensuite conclu un accord avec le gouvernement syrien, qui a déployé ses forces à la frontière pour contrer Ankara.
Retrait ou consolidation de la présence française en Syrie ?
Quid de la position française dans le jeu international qui se joue à la frontière turco-syrienne ? Dans son communiqué, Paris appelle une nouvelle fois à la «cessation immédiate de l'offensive turque en cours» et assure que dans ce but, «la France accentuera ses efforts diplomatiques, en étroite coordination avec ses partenaires de la coalition [menée par Washington] contre Daesh dans le cadre de» l'Union européenne, de l'ONU mais également... de l'OTAN, dont font également partie la Turquie et les Etats-Unis.
Mais la France a-t-elle les moyens de ses ambitions diplomatiques ? Selon des sources diplomatiques françaises citées par l'agence Reuters, sous couvert d'anonymat, le retrait par Washington d'un millier de soldats pourrait forcer les forces spéciales françaises à «quitter [cette zone], vu leur dépendance au soutien logistique américain». Paris se préparerait ainsi, toujours selon les sources de l'agence de presse, à «retirer plusieurs centaines de forces spéciales [qui] opèrent en étroite collaboration avec les forces menées par les Kurdes». Pourtant, selon Le Figaro, Paris souhaiterait plutôt «protéger son armée» et donc, encadrer sa présence sur place, malgré le départ de son principal allié sur le terrain.
LIRE AUSSI : Mélenchon appelle la France à «aider» l'armée syrienne contre «l'invasion de l'armée d'Erdogan»
Trump menace la France et l'Allemagne du retour des djihadistes originaires d'Europe
Lors d'un sommet à Washington, Donald Trump s'en est pris à la France et à l'Allemagne, à propos des prisonniers de l'Etat Islamique, détenus par les Kurdes et qui, en raison de l'offensive turque, peuvent s'échapper.

A ce propos, il a fait un long discours sur l'implication des soldats américains et estimé que ses soldats justement, ne pouvaient pas "garder la frontière entre la Turquie et la Syrie", référence au retrait des forces américaines déployées dans le nord de la Syrie qu'il a décidé. "Nous avons tué l'EI, nous les avons battus. Nous avons fait le boulot, et nous rentrons à la maison", a-t-il déclaré. "Nous avons eu 100% de l'Etat Islamique, nous en avons combattus beaucoup. Nous en avons tués, beaucoup. Des combattants. Ils n'ont pas montré de drapeau blanc (...) Ils n'abandonneront jamais, c'est une idéologie", dit-il.
Puis de menacer la France et l'Allemagne : "La plupart de ces combattants viennent d'Europe. Ils viennent d'Allemagne, de France et de nombreux pays d'Europe. Ce sont leurs citoyens. Je les ai appelés, et j'ai dit : 'vous devez ramener vos combattants chez nous. Ils n'ont pas voulu. Ils ne veulent pas d'eux. Alors je leur ai dit : 'Vous ne comprenez pas, nous n'allons pas les prendre, nous n'allons pas les enfermer à Guantanamo ou dans nos prisons. Je les ai rappelés et dit : 'Vous devez les reprendre ou nous allons les laisser se diriger tout droit vers vos satanées frontières" mais [ces pays] ne veulent pas. (...) Nous en avons des centaines'", a lancé Trump.
Le cheikh iranien Ebad Mohammadtabar : Quand l’Imam caché viendra, le monde entier se convertira à l’islam ou mourra
Le cheikh iranien Ebad Mohammadtabar a déclaré, dans un sermon prononcé le 7 septembre 2019 et diffusé sur la chaîne Hamoon (Iran), que lorsque l’Imam caché viendra, le monde entier devra se convertir à l’islam ou mourir. Il a ajouté que les musulmans affronteront les juifs, et qu’ils humilieront et vaincront le sionisme. Extraits :
Ebad Mohammadtabar : Dieu accordera un immense pouvoir à Ses chiites et à Ses musulmans, car lorsque l’Imam caché viendra, tout le monde devra se convertir à l’islam sous sa bannière ou mourir. […]
Si Dieu le veut, lorsque l’Imam caché viendra, nous tous, musulmans, affronterons, sous sa direction, le plus grand ennemi de l’islam, les juifs. Selon un verset du Coran, les juifs sont les plus grands ennemis de l’islam. Nous les affronterons et nous humilierons et vaincrons l’ignoble sionisme, qui agit avec tant de perfidie envers les musulmans du monde entier. Ô Dieu, au nom du Maître des Martyrs [l’imam Hussein], et du mois du muharram, puissions-nous tous avoir le privilège de voir le rédempteur du monde [l’Imam caché] de nos propres yeux.
Note ; propagande typiquement musulmane. L’imam caché est le Mahdi, une sorte de Messie islamique inventé par Mahomet, D’après les textes religieux musulmans, ce Mahdi arrivera à la fin des temps et précédera Jésus pour sauvé les musulmans et les guidés vers la victoire final (Jésus lui ne reviendrais que pour tuer l’antichrist et pour détruire la croix !!)
En fait vu que Jésus annonce son retour, MAHOMET à lui aussi annoncer le sien, mais sous forme de "réincarnation" non avoué, je vous laisse jugés :
Il s'appellera Muhammad ibn Abdullah ; selon un des hadiths du Prophète : « Le Mahdi portera le même nom que moi, et son père aura le même nom que celui de mon père (Abdullah) ». Selon un hadith du Prophète Mahomet rapporté par Al-Tirmidhî : « S’il ne restait qu’un jour avant la fin de ce monde, Allah allongerait ce jour jusqu’à ce qu’une personne de ma famille, dont le nom sera le même que le mien, gouverne le monde. »
D'après d'autres hadiths les caractéristiques du Mahdi seraient :
- Il ressemblera moralement et non en nature au Prophète Mahomet.
- Il aura belle allure avec un nez aquilin et un front clair.
- Il sera de la famille de Mahomet.
- Il aura un caractère semblable à celui de Mahomet.
- Il aura quarante ans au moment de son émergence ou aura atteint la maturité du discernement, comme Mahomet, selon certaines sources.
- Il recevra le Savoir grâce à Dieu au cours d'une nuit.
Présidentielle en Tunisie : "Peu aurait parié sur une victoire de Kaïs Saïed il y a 1 mois"
Le Conseil central islamique suisse organise un camp de « survie » où l’on apprend à manier le couteau

Le Conseil central islamique suisse a organisé un camp de survie réservé aux jeunes hommes. Ces derniers ont notamment appris à manier l’arme blanche.
Le Conseil central islamique suisse (CCIS) a proposé fin septembre un week-end de survie réservé aux hommes durant lequel les participants devaient apprendre notamment «la psychologie dans des situations d’urgence» et le «maniement du couteau».
[…]
Pologne : la droite anti-immigration du PiS remporte largement les élections législatives et conserverait la majorité absolue

14/10/19
Les conservateurs nationalistes au pouvoir en Pologne ont remporté les élections législatives et devraient conserver la majorité absolue, selon les résultats officiels quasi-complets portant sur 81% des bureaux de vote annoncés lundi matin.
Autre résultat marquant de ce scrutin, la gauche retourne au Parlement après une pause de quatre ans et l’extrême droite anti-système y fait son entrée.
Avec 45,16% des suffrages, le parti Droit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski, populaire en province notamment grâce à de généreux transferts sociaux, devrait obtenir une majorité confortable dans la chambre basse qui compte 460 sièges, selon les résultats portant sur 82,79% des bureaux de vote, publiés par la Commission électorale nationale.
Attaque à la préfecture de police de Paris : interpellation de cinq personnes dans l'entourage de Mickaël Harpon, dont l'un des imams de Gonesse
Cinq personnes dans l'entourage de Mickaël Harpon ont été interpellées dans la nuit de dimanche à lundi à Gonesse et Sarcelles, dont un des imams de Gonesse (Val-d'Oise), Ahmed Hilali, a appris franceinfo de sources proches du dossier lundi 14 octobre 2019. Mickaël Harpon a tué quatre de ses collègues jeudi 3 octobre à la préfecture de police de Paris.
Ahmed Hilali a été interpellé vers minuit par la DGSI. Il ne s'agit pas du principal imam de la mosquée de Gonesse, mais d’un des imams qui a été "écarté" de cette mosquée la semaine dernière. Mickaël Harpon fréquentait cette mosquée.
Soupçonné d'être radicalisé, l’imam Ahmed Hilali a affirmé mercredi 9 octobre à franceinfo n'avoir "jamais parlé" avec Mickaël Harpon. "Il était très discret, je ne connais pas son nom, ni où il travaille, ni où il habite, je n'ai jamais parlé avec lui, mais des fois il me sert la main", avait-il affirmé. Il s'était également défendu de tout radicalisme religieux : "Jamais je n'ai été convoqué par la police, ni par les renseignements généraux, jamais." Il avait même assuré qu'il soutenait le combat d'Emmanuel Macron contre le terrorisme : "On est avec lui pour combattre l'hydre islamiste, parce que c'est un monstre."
Un imam licencié par les dirigeants de la mosquée de Sarcelles
Cet imam, qui officiait auparavant à Sarcelles, avait fait l'objet en 2015 d'une mesure d'obligation de quitter le territoire français demandée par les services de renseignement, en raison notamment de ses prêches radicaux et de ses fréquentations. Cette mesure n'a jamais été appliquée. Les dirigeants de la mosquée de Sarcelles où il officiait avaient tout de même fini par le licencier.
Zohra Bitan : « Les musulmans, vous êtes victimes de quoi ? On va arrêter de chialer un peu ! J’en ai marre ! »
Coup de gueule de @ZohraBitan : "Les musulmans, vous êtes victimes de quoi ? On va arrêter de chialer un peu ! J'en ai marre !" #GGRMC DE NOMBREUSES VDIEO ICI
Note : a 100% d'accords, les musulmans sont tout le temps en train de se plaindre et de chialé mais ne manifeste jamais leurs mécontentement sur les dégâts engendrer par leurs croyance. Au contraire ils se contentent de nier et de crier au complot ou a l'oppression
66% des Français sont favorables à l’interdiction du port de signes religieux ostensibles aux parents d’élèves lors d’une sortie scolaire
66% des Français sont favorables à l’interdiction du port de signes religieux ostensibles (ex : voile) aux parents d’élèves accompagnant bénévolement les enfants lors d’une sortie scolaire
Chambéry : Il décède, poignardé de 40 coups de couteau dans le dos, une soirée antifa se déroulait à proximité

Un homme de 31 ans a été retrouvé mort dans la rue la nuit dernière dans le quartier populaire du Biollay à Chambéry en Savoie.
La victime qui gisait devant la porte d’entrée d’un immeuble avait été poignardée de 40 coups de couteau dans le dos. Ce Chambérien, inconnu des services de police, a été retrouvé par une personne qui rentrait d’une soirée. L’auteur des coups de couteau est en fuite. Le parquet a indiqué qu’il ne privilégiait aucune piste à ce stade de l’enquête. Quelqu’un en voulait-il à cet homme ? Est-ce le crime d’un déséquilibré ?
(…) D’après d’autres voisins, une soirée « anti fasciste » était organisée non loin de là. « Il y avait beaucoup de bruit et certainement beaucoup d’alcool, on s’est couchés assez tard » explique ce jeune couple. Un autre riverain explique avoir vu un groupe de jeunes avec des bouteilles d’alcool dans le même secteur vers 2 heures du matin. Cela ne veut pas dire que ces événements soient liés à l’homicide.
Et ces témoignages n’ont évidemment aucune valeur d’indices à l’heure qu’il est pour les enquêteurs qui recherchent le fuyard à l’origine de cet horrible meurtre.
L'ANGLE MORT Bande Annonce (2019) Fantastique, Romance
Note : pas habituel pour moi de poster une bande-annonce de film, mais cela est pour moi l’occasion de dénoncer une propagande médiatique venant des USA qui a été reprise, comme d’habitude par les médias français (cinéma et TV)
Après l’homosexualité quasiment omniprésente dans 9 séries sur 10 au USA, c'est maintenant l'arrivé (depuis 3 ou 4 ans) du multiculturalisme, sous forme de couples mixe ( blanc et noir)
Un peut sa vas, mais maintenant ont n'en bouffe dans pratiquement toute les séries ou films (walking dead - voir lien - -the 100 - Supergirl - Parenthood, Glee, The Flash - Spider-Man: Homecoming. etc etc)
Personnellement qu'il est de (véritables) mariages mixes ne me dégenre par, l'amour n'a pas de frontière ni de couleur (je suis moi mm marié avec une Asiatique) mais la propagande médiatique dans le but de manipuler le peuple occidental pour qu'ils se mélangent, et acceptent les migrants, sa passe mal. Parce que cette manipulation mentale a bien des buts d'apprécier les personnes d'autres continents et de se mélanger sans compté. Sauf qu'a se petit jeux on finira par être perdent
De plus ne pas oublié que du temps que nous on se mélange, les autres ne se mélange pas (et l’Afrique sera encore africaine dans 30 ans)
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