Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Melilla (Espagne) : Les images spectaculaires de l’assaut de la frontière pardes migrants subsahariens ne datent pas de la semaine passée (MàJ : Erratum)
Contrairement à ce qu’indique le journal espagnol « La Razon », cette vidéo ne peut dater de la semaine passée. En effet, on retrouve la meme vidéo datée de 2018 sur youtube.
La circulation des personnes, qui semble désordonnée, est parfaitement coordonnée en colonnes pour attaquer la clôture à différents endroits. Les images correspondent à la région de Rostrogordo.
Actuellement, selon des sources dans les villes autonomes, autour de Melilla, il y a environ 1.700 personnes prêtes, une fois que les mafias de l’immigration leur auront donné le signal, à essayer d’entrer illégalement en Espagne : 1.200 dans des embarcations et 500 par la barrière.
En ce qui concerne Ceuta, ces mafias, afin d’échapper à la vigilance des forces de sécurité marocaines, ont mis en place un nouveau système pour rapprocher les Subsahariens de la barrière.
Note; après on vous raconte que l'invasion migratoire musulmane c'est de la fabulation venant de personne raciste et islamophobe
Le Qatar met en garde contre une guerre dans le Golfe
Soulignant la nécessité de résoudre les conflits par le biais du dialogue et de respecter le droit international, le président du parlement qatari a mis en garde contre une guerre dans le Golfe.
Intervenant le 24 septembre à Nour-Soultan, au Kazakhstan, le président du Conseil consultatif (parlement) qatari, Ahmed ben Abdallah al-Mahmoud, a déclaré que son pays craignait qu’une guerre n’éclate dans le Golfe.
«Le Qatar exprime sa profonde préoccupation suite à l’escalade des tensions dans la zone du Golfe. Nous ne voulons pas que ceci débouche sur un conflit militaire, le monde n’étant pas en mesure de supporter une nouvelle confrontation dans cette région. Nous appelons au contrôle des émotions et au renoncement à toute ingérence militaire», a-t-il lancé, intervenant lors d’une réunion des présidents des parlements de pays eurasiatiques.
Et de souligner que tout différend devait être résolu par le biais d’un dialogue et en respectant les normes du droit international, faute de quoi «des conséquences catastrophiques pour la stabilité régionale» s’ensuivraient.
Macron, Merkel et Johnson accusent l’Iran d’être responsable des attaques en Arabie Saoudite
Dans un communiqué rendu public lundi soir, Emmanuel Macron, Angela Merkel et Boris Johnson ont indiqué qu’il est «clair pour nous que l’Iran porte la responsabilité» des attaques contre les installations pétrolières saoudiennes du 14 septembre dernier.
Les dirigeants français, allemand et britannique, Emmanuel Macron, Angela Merkel et Boris Johnson, ont accusé lundi l’Iran d’être «responsable» de l’attaque du 14 septembre contre des installations pétrolières saoudiennes et l’ont exhorté à «s’abstenir de toute nouvelle provocation».
Trump balaie la médiation de Macron sur l'Iran, aucune rencontre prévue "à ce stade" avec Rohani
Le 23 septembre
Emmanuel Macron, en première ligne sur le dossier des relations entre Washington et Téhéran, rencontre les présidents américain et iranien au cours de son déplacement à New York.
INTERNATIONAL - Merci mais non merci, encore une fois. Ce lundi 23 septembre, Donald Trump a balayé la médiation de la France sur le conflit entre les États-Unis et l’Iran, tout en assurant qu’aucune rencontre avec le président iranien Hassan Rohani n’était prévue ”à ce stade” en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies.
Alors qu’Emmanuel Macron rencontre les deux chefs d’État au cours de son déplacement à New York avec comme objectif la poursuite des avancées du G7 de Biarritz, le président américain a assuré que les États-Unis n’avaient “pas besoin de médiateur”. ”L’Iran veut faire quelque chose et je ne pense pas que nous ayons besoin d’un médiateur. C’est un de mes amis, mais nous ne cherchons pas de médiateur”, a déclaré Donald Trump à propos d’Emmanuel Macron.
Lire la suite
Bachar el-Assad commente la création du Comité constitutionnel syrien
Le Comité constitutionnel pour la Syrie a finalement été créé grâce aux efforts coordonnés de Damas, Moscou et Téhéran, malgré l’opposition des pays qui soutiennent le terrorisme, s’est félicité Bachar el-Assad.
Etats-Unis : les élus démocrates annoncent l'ouverture d'une enquête en vue d'une destitution de Donald Trump
La présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a annoncé, mardi 24 septembre, l'ouverture d'une enquête en vue d'une destitution de Donald Trump. Le chef d'Etat américain est soupçonné d'avoir poussé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky d'enquêter sur Joe Biden, ancien vice-président et candidat à l'investiture démocrate pour la campagne présidentielle de 2020. "Les actes du président jusqu'à ce jour ont violé la Constitution, a accusé Nancy Pelosi face à la presse.Le président doit rendre des comptes. Personne n'est au-dessus de la loi."
L'affaire a éclaté lorsqu'un mystérieux lanceur d'alerte, membre des services de renseignement américains, a fait en août un signalement à sa hiérarchie concernant une conversation téléphonique de Donald Trump avec Volodymyr Zelensky. Les démocrates soupçonnent le président américain d'avoir exercé des pressions sur son homologue ukrainien lors de cet échange. Il aurait mis dans la balance une aide militaire destinée à son pays, pour inciter le chef d'Etat ukrainien à enquêter sur Joe Biden et sur son fils Hunter. Le président américain a admis publiquement avoir mentionné Joe et Hunter Biden lors de la conversation controversée, mais dément fermement avoir fait pression sur l'Ukraine.
Trump dénonce une "chasse aux sorcières"
Cette procédure d'"impeachment" a toutefois peu de chances d'aboutir à la destitution de Donald Trump. La Chambre, à majorité démocrate, sera chargée de mener l'enquête et, s'il y a lieu, rédigera et votera à la majorité simple des motifs de mise en accusation. Mais c'est le Sénat, contrôlé par les républicains qui restent en majorité fidèles au milliardaire, qui serait chargé du "procès". La décision de culpabilité doit être prononcée à la majorité des deux tiers.
Donald Trump a réagi à l'annonce de l'ouverture de cette enquête pour "impeachment" sur Twitter. "Une journée si importante aux Nations unies, tant de travail, tant de succès, et les démocrates ont décidé de tout gâcher avec une nouvelle (...) chasse aux sorcières de caniveau", a-t-il tweeté.
Israël: le résultat définitif des élections donnent à Nétanyahou un siège supplémentaire
La commission électorale israélienne a publié mercredi les résultats définitifs des législatives du 17 septembre, qui octroient un député en plus au Likoud, le parti de Benyamin Nétanyahou, sans pour autant offrir un nouvel horizon à Israël dans l'impasse politique.
Le Likoud de droite envoie ainsi 32 députés à la Knesset, le Parlement israélien, et le parti «Bleu blanc» du centriste Benny Gantz récolte 33 sièges. Mais avec le jeu des alliances, ni Benyamin Nétanyahou, qui réunit 55 soutiens ou Benny Gantz qui a rassemblé 54 députés, n'est en mesure de former un gouvernement, la majorité absolue étant fixée à 61 sièges. Le président israélien, Reuven Rivlin, qui a une semaine pour désigner celui qui sera en charge de former une coalition, cherche à convaincre Benyamin Nétanyahou et Benny Gantz de se mettre d'accord pour créer un gouvernement d'unité.
Un message de Poutine aux pays de l’Otan dévoilé par la presse
Alors que le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) semble définitivement enterré, le Président russe s’est adressé à des dizaines de pays, et notamment à ceux de l’Alliance du nord, en leur proposant d’interdire le déploiement de missiles à courte et moyenne portée en Europe.
Vladimir Poutine a proposé aux dirigeants de plusieurs dizaines de pays, dont les membres de l’Otan, d’imposer un moratoire sur le déploiement de missiles à courte et moyenne portée en Europe, relate le journal russe Kommersant, citant une source d’un des États destinataires qui a pu consulter le document.
Burkina Faso : les chrétiens du nord du pays chassés par les islamistes
Selon des sources proches de la Fondation AED, la population chrétienne est en train d’être systématiquement chassée de chez elle par des extrémistes musulmans dans le nord du Burkina Faso.
Les habitants des localités Hitté et Rounga, dans le nord du Burkina Faso, sont les derniers en date à avoir reçu un ultimatum des terroristes leur enjoignant de se convertir à l’Islam ou de quitter leurs maisons. «Ils ne sont pas les seuls dans ce cas, mais font partie du programme des djihadistes qui sèment la terreur, assassinent des membres des communautés chrétiennes et font fuir les derniers chrétiens après leur avoir notifié qu’ils reviendraient dans les trois jours et qu’ils ne voudraient pas trouver de chrétiens ni de catéchumènes» assurent des sources proche de la Fondation AED (Aide à l’Eglise en détresse).
La première localité attaquée fin mai a été Toulfé, quand des djihadistes ont tué cinq personnes, dont un catéchiste, pendant une célébration religieuse, et blessé un autre catéchiste. «De Touflé, les extrémistes ont avancé vers la ville de Babo, qui a également reçu un ultimatum. Beaucoup d’habitants ont fui, ceux qui sont restés ont vu les terroristes assassiner trois personnes, dont Jean-Paul qui, en tant que responsable de la communauté, était resté sur place et organisait des groupes de prière». […]
Royaume-Uni : une «activiste musulmane» brigue la mairie de Birmingham sous les couleurs du Parti travailliste
Salma Yaqoob, 48 ans, activiste musulmane d’origine pakistanaise et psychothérapeute de formation, est candidate à la mairie de Birmingham sous les couleurs du Parti travailliste.
[…] Adoubée par Jeremy Corbyn, le leader du Labour Party et chef incontesté de l’opposition, Salma Yaqoob nourrit une grande ambition, parfaitement légitime au regard de sa trajectoire et de son investissement sur le terrain : se voir remettre les clés de sa bonne ville de Birmingham. […]
Sous son hijab qui, contrairement à la France, n’en fait ni une paria de la société, ni une pasionaria de l’islam politique – le magazine Harper’s Bazaar l’a classée parmi les « Femmes qui façonnent la Grande-Bretagne » aux côtés de l’actrice Kate Winslet, entre autres – Salma Yaqoob fait plus que s’autoriser à rêver d’un grand destin municipal. Elle met toutes les chances de son côté pour obtenir l’investiture officielle de son parti, un préalable indispensable. […]
Et c’est submergée par l’émotion qu’elle songe alors à ses parents qui, il y a 40 ans de cela, posèrent leurs bagages dans la ville dont elle écrira peut-être demain une nouvelle page, en sa qualité de maire. La première maire de confession musulmane et voilée…
Qui est Jennifer Clain, la femme de djihadiste de retour en France avec ses enfants ?
La nièce de Fabien et Jean-Michel Clain est rentrée en France ce mardi 24 septembre. Elle est accompagnée de ses cinq enfants, sa belle-mère, sa belle-sœur et les quatre enfants de celle-ci. Arrêtées en Turquie, elles ont été renvoyées dans l’Hexagone. Jennifer Clain fait partie de la deuxième génération d’une famille de djihadistes de l’Orne.
Neufs enfants de djihadistes français sont arrivés à Roissy ce mardi 24 septembre, accompagnées de leurs mères et grand-mère. Les trois femmes ont été arrêtées en Turquie en juillet dernier, alors qu’elles tentaient de fuir la Syrie.
Interpellées par les autorités turques, elles ont été renvoyées vers la France avec leurs enfants ce mardi. Elles ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle »et écrouées, tandis que les mineurs ont été pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance de la Seine-Saint-Denis.
L’une de ces femmes est Jennifer Clain, la nièce de Fabien et Jean-Michel Clain, deux djihadistes originaires de l’Orne et tués en février dernier en Syrie. Elle a été interceptée avec ses cinq enfants et sa belle-mère, Christine Allain. Le nom de la seconde mère arrêtée n’est pas connu mais il s’agit de l’épouse de Thomas Collange, djihadiste condamné à la peine de mort en Irak.
En réalité, il s’agit d’une même famille élargie. Thomas Collange est le demi-frère de Kévin Gonot, le mari de Jennifer Clain. Tous sont partis ensemble en Syrie en 2014.
Une famille de l’Orne au cœur de la filière d’Artigat
Âgée de 28 ans, Jennifer Clain fait partie de la deuxième génération de la famille. C’est la première fille de Anne-Diana Clain, elle-même aînée de Fabien et Jean-Michel. La famille est d’origine réunionnaise, très catholique. Ils s’installent dans l’Orne alors que les enfants sont encore jeunes.
Les deux frères font du rap pendant leur adolescence. Puis, mère et enfants se convertissent à l’islam dans les années 1990. Jean-Michel Clain se marie avec Dorothée Maquere, qui a grandi à Argentan et se convertit en 1999. Fabien Clain épouse quant à lui une camarade d’école d’Alençon, Mylène Foucré, avec qui il a trois enfants.
La décennie suivante est celle de la radicalisation de l’ensemble de la famille. Les frères s’installent à Ambax près de Toulouse en 1998. Ils fréquentent les frères Merah et l'« émir blanc » Olivier Corel, à l’origine de la filière djihadiste dite d’Artigat, démantelée dans les années 2000.
Note : et une famille des plus radicalisé de retour en France !
Des journalistes refusés à une réunion avec Marion Maréchal car «agressifs et dénigrants»
Les journalistes des quotidiens Libération et L’Opinion ainsi que de l’hebdomadaire ont été privés d’accréditation pour couvrir la « convention de la droite » organisée par des proches de Marion Maréchal parce que jugés « agressifs et dénigrants » à leur égard, a-t-on appris mardi de sources concordantes.
Ces journalistes n’ont pas reçu d’accréditation « pour des raisons de personnes, rien à voir avec leurs médias respectifs », a expliqué l’un des organisateurs de l’événement, Jacques de Guillebon, rédacteur en chef du mensuel L’Incorrect.
Ces journalistes « ont été systématiquement agressifs et dénigrants à notre sujet, pour certains en trahissant leur parole parfois. Nous avons donc jugé inopportun de les inviter pour qu’une fois encore ils nous maltraitent comme à l’habitude », a ajouté Jacques de Guillebon, par ailleurs co-président du conseil scientifique de l’école de sciences politiques fondée à Lyon par l’ancienne députée Front national (devenu Rassemblement national) Marion Maréchal. « Nous ne sommes pas masochistes et ce sont des choses qui relèvent en rien de la liberté d’informer », selon lui.
Immigration : «La France ne peut pas accueillir tout le monde», affirme Macron
À cinq jours du débat sur l’immigration à l’Assemblée, le président de la République estime qu’il faut corriger les excès, du droit d’asile, de l’AME, réparer « l’échec » des reconduites à la frontière, conditions sine qua non pour « accueillir mieux ».
Il y a du Rocard dans ces mots-là. Emmanuel Macron estime que « la France ne peut pas accueillir tout le monde si elle veut accueillir bien », et qu'elle ne doit pas être « un pays trop attractif » pour « continuer à accueillir tout le monde dignement », au sujet de l'immigration, dossier inflammable qu'il a rouvert devant les parlementaires de sa majorité il y a dix jours.
La phrase sonne comme écho à celle de Michel Rocard, mentor à gauche, avec Jean-Pierre Chevènement, d'Emmanuel Macron au début de son engagement politique. « Nous ne pouvons pas héberger toute la misère du monde. La France doit rester ce qu'elle est, une terre d'asile politique […] mais pas plus », avait déclaré l'ancien Premier ministre en 1989.
Dans un entretien à Europe 1 enregistré à New York et diffusé ce mercredi, le chef de l'Etat dit « croire au vrai en même temps sur la politique migratoire aussi ». Il faut « être humains et efficaces » mais « sortir de certaines postures dans lesquelles nous sommes enfermés », entre « bonne conscience » et « faux durs ». Une sorte de crête philosophique donnée à l'Assemblée, qui va en débattre le 30 septembre, et au Sénat, qui poursuivra le 2 octobre.
«Notre droit d'asile détourné de sa finalité»
À six mois des municipales surgit donc le sujet, ultrasensible, que la majorité avait exclu des thématiques du Grand débat national l'an dernier. En décembre dernier, le mouvement des Gilets jaunes avait été marqué par des incidents xénophobes. À la lumière des positions de figures du mouvement, la question se posait de savoir pour qui votaient les manifestants. Le sujet avait été renvoyé à la rentrée.
Commenter cet article