Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Netanyahou évoque une guerre imminente au Proche-Orient
Selon Benyamin Netanyahou, qui est actuellement en pleine campagne électorale, Israël pourrait être «contraint» à lancer une guerre contre le Hamas dans la bande de Gaza.
L’État hébreu pourrait être contraint à lancer une guerre contre la bande de Gaza dans un proche avenir, a déclaré le 12 septembre le Premier ministre israélien.
«Il n’y aura probablement pas d’autre choix que de lancer une opération, une guerre contre les forces terroristes à Gaza», a déclaré Benyamin Netanyahou lors d’une interview accordée à la radio publique Kan (Société de radiodiffusion publique israélienne), laquelle a lancé un blitz médiatique cinq jours avant les élections nationales.
«Il n’y aura probablement pas d’autre choix que de renverser le régime du Hamas. Le Hamas n’exerce pas sa souveraineté dans la bande de Gaza et n’empêche pas les attaques» de roquettes contre Israël, a précisé M.Netanyahou, cité par le Times of Israel.
Les tirs de roquettes sont fréquents
Des roquettes ont en effet été tirées contre des localités israéliennes à plusieurs reprises au cours de la semaine dernière. La plupart d'entre elles ont été interceptées par le système de défense aérienne Dôme de fer ou sont tombées dans des zones ouvertes, entraînant des frappes aériennes israéliennes à titre de représailles.
«Les Arabes veulent tous nous détruire» : Netanyahou se défend après un message sur Facebook
Après un message virulent diffusé sur Facebook, le Premier ministre israélien a nié son implication, rejetant la faute sur un employé de son parti. La firme américaine a suspendu l'accès à sa messagerie automatisée à quelques jours des législatives.
Alors que les élections législatives israéliennes, prévues pour le 17 septembre, arrivent à grands pas, un message diffusé par le Premier ministre, Benjamin Netanyahou, incitant ses partisans à se déplacer le jour du scrutin a fait scandale : un texte d’une dizaine de lignes appelant ses soutiens à «déterminer l’avenir du pays».
«Nous ne pouvons pas avoir un gouvernement de gauche dangereux avec Lapid, Odeh, Gantz et Lieberman […] Un gouvernement de gauche laïque, faible, qui s'appuie sur des Arabes qui veulent tous nous détruire – femmes, enfants et hommes», est-il précisé. Cet appel au vote a été diffusé par chatbot (messagerie automatisée) et apparaissait sur l’écran de chaque personne qui tentait d’accéder à la page Facebook officielle du dirigeant israélien. Le texte laissait également entendre qu’en cas de victoire de la gauche, ses dirigeants «permettront un Iran nucléaire qui anéantira» la population de l’Etat hébreu. Il a depuis été supprimé.
Irak : les États-Unis bombardent une île «infestée» par Daech
Trente-six tonnes de bombes ont été larguées mardi par l'armée américaine sur l'île de Qanus, au nord du pays.
L'armée américaine a publié mardi une vidéo dans laquelle elle bombarde l'île de Qanus, en Irak, dans la province de Salah al-Din. Sur les images publiées sur Twitter, on aperçoit de nombreuses bombes exploser sur cette petite langue de terre sur le fleuve Tigre, au nord du pays. «Voici ce qui arrive quand nos F-15 et F-35 larguent 36 tonnes de bombes sur une île infestée par Daech», a commenté un porte-parole de l'opération américaine en Irak et en Syrie sur le réseau social.
Officiellement, cette frappe doit permettre à la coalition et aux services antiterroristes irakiens de battre l'État islamique sur cette zone. «L'île est connue pour être un centre de transit et un havre de paix pour Daech», a indiqué l'USAFCENT, la Force aérienne des États-Unis, dans un communiqué. «La coalition applique des normes rigoureuses en matière de ciblage et fait des efforts extraordinaires pour protéger les non-combattants», a-t-on ajouté. Selon les médias américains, aucun civil n'habitait la zone, même si aucun bilan officiel n'a été publié.
Iran : Trump disposé à rencontrer le président Rohani « sans conditions préalables »
Le 11 septembre
L’idée d’un dialogue direct avait resurgi fin août lors du G7 en France, où le milliardaire républicain avait évoqué la possibilité d’autoriser l’ouverture d’une « ligne de crédit » limitée à l’Iran
L’arme nucléaire pour la Turquie? Un eurodéputé français avertit d’un risque majeur
«Chaque pays qui a l’arme nucléaire en plus, c’est toujours un risque en plus». L’eurodéputé Thierry Mariani a commenté le souhait d’Ankara de se procurer l’arme nucléaire.
La course aux armements représente «un danger pour tout le monde» et chaque pays «en plus» qui a l’arme nucléaire, c’est «toujours un risque en plus», a estimé à Sputnik l’eurodéputé Thierry Mariani. Il a ainsi réagi à la récente déclaration du Président turc qui a qualifié d’«inacceptable» la situation où son pays n’est pas encore une puissance nucléaire.
«L’ensemble des pays se sont mis d’accord à un moment pour limiter la prolifération des armes nucléaires et essayer de faire en sorte qu’il n’y ait pas d’autres pays qui aient l’arme nucléaire. Chaque pays qui a l’arme nucléaire en plus, c’est toujours un risque en plus», a souligné l’eurodéputé. Et de préciser:
«On ne peut pas à la fois bloquer l’Iran et autoriser la Turquie, et comme chacun le sait, qui ne sont pas les meilleurs amis au monde. Dans cette région qui est quand même déjà très sensible, je pense que la course aux armements est un danger pour tout le monde.»
Ankara renforce son potentiel défensif
Auparavant, intervenant dans la ville de Sivas, le chef d'État turc avait qualifié d’«injuste» le fait que la Turquie soit privée de la possibilité de développer sa propre arme nucléaire. D’après lui, il n’existe aujourd’hui «presque pas» de pays développés qui ne disposent pas de l’arme nucléaire.
Recep Tayyip Erdogan a également souligné que son pays était en train d’œuvrer pour le renforcement de ses capacités militaires. À titre d’exemple, il a cité le récent achat de systèmes de missiles russes S-400 en dépit des pressions américaines.
Pour rappel, la Turquie est depuis 1980 signataire du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).
«Deeply troubling», a d’abord réagi le Foreign Office samedi aux images satellites montrant le pétrolier iranien, Adrian Darya-1 accoster au port de Tartous en Syrie. Après cet euphémisme tout britannique, Londres a haussé le ton mardi accusant l’Iran d’avoir «enfreint ses assurances» et qualifiant de «violation inacceptable des normes internationales» la livraison de pétrole «au régime meurtrier d’Al-Assad», selon le communiqué du ministère britannique. La boucle ou le piège se referme sur le feuilleton naval à rebondissements de l’été qui a ajouté aux tensions déjà très vives entre l’Iran et les pays occidentaux.
L’odyssée du navire alors dénommé Grace 1 commence le 4 juillet au large de Gibraltar. Des commandos de la Marine britannique arraisonnent le tanker iranien battant pavillon panaméen qui transportait 2,1 millions de barils de pétrole. La cargaison du tanker est soupçonnée d’être destinée à la Syrie, en violation des sanctions imposées par l’Union européenne au régime de Bachar al-Assad. Téhéran nie l’accusation et dénonce un acte de «piraterie». La polémique s’envenime, d’autant que les Etats-Unis appuient la saisie du bateau pour violation de leurs sanctions unilatérales contre les exportations de pétrole iranien.
Trump a « du mal à croire » qu’Israël ait espionné la Maison Blanche
Un média américain affirme que l'Etat hébreu a intercepté des communications téléphoniques via un «IMSI-catcher»
Trump ne croit pas une seconde que celui qu’il appelle souvent son « ami Bibi » ait pu l’espionner. Le site Politico a rapporté qu’Israël aurait mis en place en 2017 un système d’interception des communications portables dans la zone autour de la Maison Blanche, au coeur de Washington. « Ces appareils devaient sûrement servir à espionner le président Donald Trump » et ses conseillers, a expliqué un responsable américain cité par le journal.
« Je n’y crois pas. Je ne pense pas que les Israéliens nous espionnaient. J’aurais du mal à y croire », a déclaré le président des Etats-Unis. « Tout est possible mais je n’y crois pas », a-t-il insisté. Israël a vigoureusement nié cette accusation.
IMSI-catcher
Un démenti réaffirmé jeudi par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, qui a dénoncé une histoire « montée de toutes pièces ». « J’ai une ligne directrice : pas d’espionnage aux Etats-Unis », a-t-il assuré. « Elle est respectée à la lettre, sans exceptions », a-t-il martelé.
Trump dévoile la principale «erreur» de son ex-conseiller Bolton
Donald Trump a révélé avoir limogé John Bolton parce que celui-ci avait suggéré que le «modèle libyen» soit utilisé par les États-Unis pour faire face à Kim Jong-un, ce qui n’aurait pas manqué d’irriter le dirigeant nord-coréen.
Le Président américain a déclaré que l’idée de son ex-conseiller à la sécurité nationale John Bolton de travailler avec la Corée du Nord selon le modèle libyen était erronée.
«John est un homme avec qui j’entretenais de bonnes relations. Mais il a fait quelques erreurs. Il a proposé d’agir avec la Corée du Nord comme avec la Lybie. Ce n’est pas une très bonne déclaration, étant donné ce qui est arrivé à Kadhafi [le chef de l’État libyen assassiné, ndlr]. Il [Bolton] était un gars très dur», a indiqué Donald Trump aux journalistes.
Il a en outre ajouté qu’il n’en voulait pas à Kim Jong-un de ne pas avoir voulu avoir affaire à John Bolton et qu’il n’était pas «trop intelligent» d’avoir proposé l’approche libyenne dans les pourparlers avec Pyongyang.
France: 10 mois de prison avec sursis pour une fille du roi d’Arabie saoudite pour violences
La princesse Hassa bint Salmane, fille du roi d'Arabie saoudite, a été condamnée à Paris à 10 mois de prison avec sursis pour menaces et violences contre le plombier auquel elle reprochait des photos volées.
La fille du roi d’Arabie saoudite, la princesse Hassa bint Salmane, a été condamnée jeudi 12 septembre à Paris à 10 mois de prison avec sursis pour des violences infligées par son personnel à un artisan dans une résidence royale dans la capitale en 2016. Elle devra également verser une amende de 10.000 euros.
La princesse, sœur du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, qui était visée par un mandat d'arrêt depuis décembre 2017, a été jugée par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir demandé à son agent de «protection rapprochée» de menacer, frapper et humilier le plombier auquel la princesse reprochait des photos volées.
Elle était absente lors du délibéré, ainsi que de l'audience qui s'est déroulée en juillet.
Peine pour le garde du corps
Le garde du corps a été condamné à huit mois de prison avec sursis et a écopé d’une amende de 5.000 euros, a précisé Reuters.
Selon l’artisan, qui travaillait en 2016 dans une résidence royale à Paris, la princesse avait lancé: «Il faut tuer ce chien, il ne mérite pas de vivre».
L'artisan avait expliqué aux enquêteurs qu’il avait pris avec son portable des clichés de la salle de bain où il devait travailler. Faisant irruption dans la pièce, la princesse a affirmé qu’il avait pu «capter son reflet dans le miroir» et a appelé son agent de sécurité.
La procureure, qui avait requis la peine qui a été infligée au garde du corps, avait longuement décrit les souffrances de l'artisan qui gardera un «traumatisme profond» de cet épisode. «M.Saïdi est là quasiment en permanence. C'est lui qui noue les liens, les détache, le surveille», avait-elle déclaré.
Marseille : « Il a dit qu’il fallait tuer tous les chrétiens. Ils l’ont déclaré fou mais quand il a crié Allah Akbar, il avait l’air de savoir ce qu’il faisait » (MàJ)
"Il a commencé à m'étrangler et à me rouer de coups.
Il m'a dit : 'je suis musulman, allah akbar, il faut tuer les chrétiens !'
J'étais ensanglantée." - Témoignage de Sandra, cantinière poignardée à Marseille (VIDEO)
11/09/2019
Vendredi 6 septembre, un homme de 17 ans s’est introduit à l’aube dans une école marseillaise et l’a poignardée. Sandra, 44 ans, raconte pour la première fois.
(…) « Il m’a arraché le téléphone des mains, a levé les bras au ciel, a commencé à dire qu’il faisait la prière, qu’il était musulman et qu’il fallait tuer tous les chrétiens. Il m’a étranglée si fort… J’ai tenté de me débattre, puis il m’a regardé avec ses yeux révulsés et m’a dit : Aujourd’hui, c’est toi qui vas mourir ! ».
(…) « Il m’a frappée puis a attrapé des ciseaux sur mon bureau, m’a poignardée trois fois, dans l’abdomen. Puis une fois dans la jambe, avec un couteau de cantine attrapé sur un chariot. À chaque fois qu’il a lâché la gorge, j’ai crié, mais personne n’a entendu. Ça m’a paru une éternité. »
(…) Dans l’école, « les ciseaux ont été retrouvés devant les toilettes, ça veut dire qu’il était tout près de moi », frissonne Sandra, qui ne comprend pas bien que le parquet antiterroriste ne se soit finalement pas saisi. « OK, il a 17 ans. OK, ils l’ont déclaré fou. Mais quand il a crié Allahou Akbar et qu’il a attrapé des ciseaux plutôt qu’un des multiples crayons que j’avais sur mon bureau, là il avait l’air de savoir ce qu’il faisait », ironise-t-elle. Il a été hospitalisé en psychiatrie.
(…) « Marseille, je ne peux plus, je ne veux plus ça pour mes enfants, on va partir ! », promet-elle en espérant pouvoir être mutée en Corse, dont elle est originaire.
« La femme blessée à l’arme blanche a indiqué aux enquêteurs que l’intéressé aurait préféré ‘Allah Akbar’ ce qui reste à confirmer dans le cadre par ailleurs de propos qui restent confus », a indiqué le magistrat. (LCI)
[…]
…la double agression qui a blessé deux employées municipales et semé un vent de panique dans l’école de La Pauline (9e), ce matin vers 06h40, pourrait être l’œuvre d’un mineur déséquilibré. A l’aube, un jeune homme âgé de 17 ans s’était rué « comme un fou », glisse une source policière, à l’intérieur du groupe scolaire du boulevard Romain Rolland.
[…]
Peu après, l’auteur des faits, torse nu et en short, avait également tenté de s’en prendre à un automobiliste. Il a finalement été interpellé à quelques rues de l’école par les forces de l’ordre
« Quoi qu’on fasse en son nom, l’islam est intouchable »
Pour le philosophe, sociologue et professeur émérite des Universités Shmuel Trigano, le déni médiatique et politique face au caractère islamiste de l’attaque au couteau commise à Villeurbanne trahit la faiblesse de la République face au terrorisme commis au nom d’Allah. Pire: par ce déni, la victime disparaît derrière le bourreau, juge-t-il.
L’acte terroriste de Villeurbanne nous donne l’occasion d’une analyse à ciel ouvert d’un syndrôme étonnant, et inexplicable rationnellement, qui obère la psychologie collective et le système de communication symbolique propre à la politique française.
Il était très «instructif» (et ô combien accablant) de suivre pendant deux ou trois jours les chaînes réputées «informatives» et d’observer comment se déploie un exercice d’égarement collectif sous la houlette des journalistes et de leaders d’opinion. Pendant des heures et des heures, ces aréopages ont trituré dans tous les sens l’événement en se demandant pourquoi le meurtrier avait commis ce crime répugnant… Ils n’ont pas encore trouvé. Et malheur à celui qui évoquait la religion du meurtrier. Il se voyait vertement repris par l’assemblée des égarés, offusqués par le scandale que cela représentait.
Même les représentants du RN mirent en avant la condition de migrant, et pas d’islamiste, de l’assassin. Mais il était clair, pour les béotiens que sont les téléspectateurs, que c’était ce que les débatteurs avaient sur le bout de la langue et qu’ils s’interdisaient de dire. La longueur vaine de tous ces débats n’avait d’ailleurs pour finalité que de faire durer ce plaisir malsain, quasi érotique, de prononcer ce mot tout en se l’interdisant.
Et pourtant l’origine afghane de l’assassin induisait nécessairement le souvenir des Talibans et plus généralement l’islamisme. Effectivement, des échos de l’enquête ont filtré: il aurait entendu des voix d’Allah qui lui dictaient la vengeance, une des victimes attaquées se serait sauvée en proclamant «Allah Akbar». […]
Migrants : l’aide au départ volontaire portée à 2500€ (et billet d’avion offert)
L’aide au départ volontaire pour les sans-papiers et les demandeurs d’asile déboutés en première instance est portée de 650 à 2 500 € jusqu’à la fin 2019 alors que les expulsions coûtent très cher et sont peu efficaces.
Le gouvernement continue de manier la carotte et le bâton contre les migrants en France. Le ministère de l’Intérieur va accorder une prime exceptionnelle aux étrangers qui acceptent de rentrer volontairement dans leur pays d’origine.
L’aide au retour d’un montant de 650 € qui peut déjà être portée à 1 850 € dans le cadre d’opérations ponctuelles passe à 2 500 € jusqu’à la fin de l’année.
L’aide au départ volontaire pour les sans-papiers et les demandeurs d’asile déboutés en première instance est portée de 650 à 2 500 € jusqu’à la fin 2019 alors que les expulsions coûtent très cher et sont peu efficaces.
Cette enveloppe exceptionnelle ne concerne que les ressortissants de pays soumis à visa. Les étrangers qui n’ont pas besoin de visa pour venir en France comme les Albanais ou les Roumains n’ont le droit qu’à 300 €. La France prend aussi en charge le billet d’avion. […]
Pour la première fois depuis la crise des migrantsil y a quatre ans, la France pourrait accueillir autant de demandeurs d’asileque l’Allemagne
Les derniers chiffres de l’asile ressemblent à une bombe à retardement pour le gouvernement. Pour la première fois depuis la crise des migrants il y a quatre ans, la France pourrait accueillir autant de demandeurs d’asile que l’Allemagne en 2019, voire même dépasser son voisin si la tendance actuelle se confirme.
La France a enregistré 91 372 demandes d’asile depuis le début de l’année, soit seulement 767 de moins que l’Allemagne, d’après un document provisoire du Bureau européen d’appui en matière d’asile (BEAA) que nous avons pu consulter.
Les migrants de plus en plus nombreux à tenter de traverser la Manche, par peur du Brexit
A quelques semaines du Brexit, le phénomène s’intensifie. Dans le port de Zeebrugge, la police fédérale et la police locale ont organisé lundi une action de contrôle contre le trafic d’êtres humains, qui tente de faire passer des migrants en Grande-Bretagne. Deux fois plus de migrants tentent la traversée de la Manche par rapport à l’année 2018. Les rumeurs d’augmentation de contrôles à l’approche du Brexit y seraient pour quelque chose…
PSG : Draxler et Diallo en visite dans une école parisienne
PSG : Mbappé sur le terrain, Draxler et Diallo à l’école.
La star parisienne a retrouvé la pelouse du camp des Loges ce mercredi. Le milieu et le défenseur se sont rendus dans le XIXe arrondissement, dans l’une des écoles de la Fondation. […]
À l’occasion de la rentrée, Abdou Diallo et Julian Draxler ont eux prolongé la journée par une visite à l’école Rouge & Bleu du XIXe arrondissement de la capitale. Cette structure mise en place par la fondation du club, PSG Children first, mêle soutien scolaire et pratique sportive. Les deux joueurs ont remis des équipements aux enfants et ont participé à des ateliers dans la bonne humeur.
Suède : Un rappeur suédois appelle à tuer les Blancs. « Abattez-les. Nous prendrons leurs femmes, leur argent. Les Noirs deviendront n°1 »
Suède – « Si un Blanc ou une Blanche essaie de vous embêter, abattez-le », c’est ce qu’exhorte JCBUZ, un compte populaire sur YouTube, dans un groupe fermé sur les réseaux sociaux.
Le rappeur d’origine nigériane Jesse Ekene Nweke Conable, qui se fait appeler JCBUZ, a publié une diatribe dans un groupe fermé d’Instagram où il propage le racisme et appelle à tuer les blancs, rapporte le journal Samhällsnytt.
Selon Samhällsnytt, le compte d’Instagram Barasvarta (« Les Noirs seulement« ) n’est ouvert qu’aux Noirs et compte plusieurs centaines de disciples. Il est dirigé par Conable lui-même et comporte des slogans tels que « Black Power in Sweden » et « F*** White People ». Dans l’une des vidéos, l’artiste de Lund fait appel à ses « frères et sœurs noirs » pour « continuer la guerre ».
Selon Conable, « nous, les Noirs » deviendrons « numéro un et prendront le contrôle de ces Blancs ».
« Comme ces Blancs nous ont pris comme esclaves, nous devrions les prendre comme esclaves et les traiter encore plus mal », a dit Conable dans sa diatribe.
Selon lui, les Noirs deviendront « les meilleurs en tout ».
« Nous prendrons leurs femmes et nous prendrons leur argent », a poursuivi Conable. « Nous sommes des guerriers africains, ils ne sont pas à notre niveau ».
A la suite de l’article de Samhällsnytt, le rappeur a mis en garde ses fans contre « un mouchard parmi nous », qu’il s’est engagé à « supprimer ».
Jesse Ekene Nweke Conable ou JCBUZ compte près de 280.000 abonnés sur ses deux comptes YouTube. Cet individu de 22 ans a immigré du Nigéria en 2008.
Il vit maintenant à Lund et a la nationalité suédoise.
La Deutsche Bank prédit l’effondrement financier de l’Europe
La Banque centrale européenne a rendu son verdict ce jeudi 12 septembre, annonçant qu’elle abaissait encore une fois son taux sur les dépôts. Des mesures qui «ruinent le système financier», selon le PDG de la Deutsche Bank.
La baisse par la Banque centrale européenne (BCE) de son taux sur les dépôts, à 0,50%, est un lourd fardeau pour les établissements financiers et de crédits et leurs clients, a affirmé le PDG de la Deutsche Bank, Christian Sewing.
«À long terme, ces taux bas ruinent le système financier», a-t-il affirmé.
La banque allemande a par ailleurs fait remarquer, selon Bloomberg, qu’un tel taux risquait de provoquer des pertes de centaines de millions d’euros rien que cette année.
«Les taux négatifs conduisent à la situation absurde où les banques ne veulent plus avoir de dépôts de leurs clients», avait expliqué début septembre Sergio Ermotti, patron de la banque suisse UBS.
Cette politique de la BCE coûte très cher aux banques européennes: plus de 23 milliards d'euros depuis 2014, dont 7,5 milliards sur la seule année 2019, a précisé l’agence Scope Ratings.
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