Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Deux jours après la libération des otages français, cinq fidèles et un prêtre ont été tués durant une messe à Dablo, dans le nord du Burkina Faso.
Deux jours après la libération des otages au Burkina Faso, une vingtaine de terroristes ont surgi dimanche matin pendant la messe dans une église catholique de Dablo, toujours dans le nord du pays, tirant sur les fidèles. Les assaillants ont tué six personnes, dont le curé, avant de mettre le feu au bâtiment. «Ils ont incendié l’église, puis des boutiques et un maquis [petit restaurant, ndlr] avant de se rendre au centre de santé où ils ont fouillé le local et incendié le véhicule de l’infirmier chef de poste», a expliqué à l’AFP le maire de Dablo, Ousmane Zongo. Dans la ville règne un climat de panique. Les gens sont terrés chez eux, aucune activité n’est fonctionnelle. Les boutiques et magasins sont fermés. C’est pratiquement une ville morte.»
Le nord du Burkina Faso est plongé dans la violence depuis quatre ans. Les islamistes armés qui s’y sont implantés ont transformé la zone en terrain d’affrontements intercommunautaires. Les attaques y sont de plus en plus fréquentes et meurtrières, attribuées à des groupes jihadistes, dont Ansarul Islam, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) et l’organisation Etat islamique au grand Sahara (EIGS). Fin mars, six personnes avaient été tuées lors de l’attaque de l’église protestante de Silgadji. Mi-mars, l’abbé Joël Yougbaré, curé de Djibo, a été enlevé par des individus armés. Plusieurs imams ont également été assassinés par les jihadistes dans la même région. Selon des sources sécuritaires, ceux-ci étaient «considérés comme pas assez radicaux», ou «accusés de collaborer avec les autorités».
Militaires français tués au Burkina Faso : un hommage national sera rendu mardi aux Invalides
Un porte-avions US dans le Golfe «augmente le risque d’une guerre», selon la Marine iranienne
Le commandant en chef de la Marine iranienne a affirmé que Washington cherchait à «augmentent le risque d’une guerre» dans la région, appelant les États-Unis à quitter le Moyen-Orient.
Le commandant en chef de la Marine iranienne, Hussein Khanzadi, a réagi à la décision américaine d’envoyer un porte-avions dans le Golfe, appelant les militaires américains à se retirer de la région.
«Cette présence [des États-Unis dans la région, ndlr] approche de son terme et ils doivent la quitter», a-t-il indiqué, cité par l’agence de presse iranienne Isna.
«Les propos concernant l’envoi d’un porte-avions dans la région du Golfe ne sont pas nouveaux, [les États-Unis, ndlr] cherchent à augmenter le risque d’une guerre», a-t-il ajouté.
Le Pentagone a annoncé le vendredi 10 mai l'envoi au Moyen-Orient d'un navire de guerre transportant des véhicules, notamment amphibies, et d'une batterie de missiles Patriot, s'ajoutant au déploiement dans la région d'un porte-avions.
Le président iranien Rohani : L’Iran va cesser la vente de l’excédent d’uranium enrichi et d’eau lourde – Cela nous coûte désormais trop cher de stopper le flux de migrants en direction de l’Europe
Le président de la République islamique d’Iran Hassan Rohani a déclaré dans un discours diffusé le 8 mai 2019 sur IRINN TV que, conformément à la décision du Conseil suprême de sécurité nationale, il avait envoyé des lettres aux dirigeants des cinq pays restants du PAGC (Plan d’action globale commun, JCPOA en anglais), annonçant que son pays cesserait de vendre l’excédent d’eau lourde et d’uranium enrichi à un « certain pays », geste qui devait permettre aux cinq pays d’entamer des négociations sur le pétrole et le secteur bancaire. Il a expliqué que l’Iran avait vendu plus de 130 tonnes d’eau lourde à un « certain pays », et que tout excès d’uranium dépassant les 300 kg avait été vendu à « un certain pays » en échange de yellowcake. Rohani a affirmé que, si un accord n’était pas trouvé dans les 60 jours, l’Iran ne respecterait plus la limite d’enrichissement de 3,67 % prévue par le PAGC et reprendrait la construction du réacteur à eau lourde d’Arak, conformément aux plans de construction antérieurs au PAGC.
Rohani a également affirmé qu’il y aurait une prorogation de 60 jours supplémentaires durant cette seconde phase, suite à laquelle de nouvelles actions seraient prises. Il a déclaré que les lettres mettaient en garde que, si les cinq pays renvoyaient le dossier au Conseil de sécurité, ils seraient confrontés à une « mesure très décisive », détaillée selon lui dans ces lettres. Il a ensuite rappelé aux amis de l’Iran que si l’Iran n’avait pas « rempli son rôle », les terroristes déambuleraient actuellement dans les capitales européennes, les immigrants afflueraient en Europe et de grandes quantités de drogue y seraient en circulation. Il a ajouté que le PAGC avait été un accord « win-win » et que s’il devenait un accord « win-lose », comme les Etats-Unis le souhaitent selon lui, l’Iran le transformerait
Riyad déplore des «actes de sabotage» contre deux pétroliers saoudiens au large des Émirats
Parmi les quatre navires de commerce attaqués le 12 mai près des eaux territoriales des Émirats arabes unis, deux sont des pétroliers saoudiens, a annoncé le ministre saoudien de l'Énergie en déplorant «des actes de sabotage».
Le ministre saoudien de l'Énergie, Khalid al-Falih, a annoncé lundi 13 mai que des «actes de sabotage» avaient été perpétrés contre deux pétroliers saoudiens au large des Émirats arabes unis, a rapporté l'agence de presse officielle saoudienne SPA.
«Deux pétroliers saoudiens ont fait l'objet d'actes de sabotage dans la zone économique exclusive des Émirats arabes unis, au large des côtes de l'Émirat de Fujaïrah, alors qu'ils étaient sur le point de pénétrer dans le golfe d'Arabie», a indiqué SPA en citant le ministre.
Syrie : au moins cinq civils tués dans une attaque terroriste
Selon l'agence de presse syrienne Sana, au moins cinq civils, dont quatre enfants, ont été tués ce 12 mai dans des frappes menées par des terroristes sur une localité située dans la province de Hama, où continue d'opérer Hayat Tahrir al-Sham.
Le Sri Lanka bloque les réseaux sociaux après des violences de groupes chrétiens contre des musulmans
Plus moyen d’aller Facebook, WhatsApp et plusieurs autres réseaux sociaux lundi au Sri Lanka après que le pays a bloqué leur accès, à la suite d’émeutes antimusulmanes dans plusieurs villes, quelques semaines après les attentats de Pâques qui avaient notamment visé des églises. Des groupes chrétiens ont attaqué dimanche des magasins tenus par des musulmans dans la ville de Chilaw, dans le nord-ouest, en réaction à un commentaire posté sur Facebook par un commerçant, a précisé la police. Les forces de sécurité ont tiré en l’air pour disperser la foule, mais d’autres villes ont été le théâtre d’actes de violence visant des musulmans, bien que ceux-ci se soient désolidarisés avec force des extrémistes.
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Appel de dons du Hezbollah pour l’armement de la résistance : « Nous avons obtenu 2 millions de dollarssur les réseaux sociaux en quelques semaines »
Le 23 mars 2019, le Hezbollah a mis en ligne un appel de dons sous forme de vidéo. Celle-ci souligne qu’avec un seul dollar donné à la résistance islamique, on devient partenaire de la victoire. Elle contient également des extraits d’un discours prononcé par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah (voir MEMRI TV clip n° 7077), expliquant que la majeure partie des fonds du Hezbollah provient de citoyens ordinaires et que c’est le nombre de petites donations qui est déterminant.
Nasrallah annonce dans la vidéo que le Hezbollah a collecté 2 millions de dollars de dons sur les réseaux sociaux en quelques semaines à peine. Il appelle les citoyens à adresser leurs dons aux organisations de soutien de la résistance islamique pour aider à armer et protéger les combattants du Hezbollah. La vidéo montre ensuite un combattant du Hezbollah se préparer à charger un fusil AK-47. Extraits :
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Israël a choisi un emplacement pour la colonie Trump sur le Golan
Benyamin Netanyahou a annoncé ce dimanche 12 mai qu’Israël avait choisi un emplacement pour la colonie qui sera nommée en l’honneur du Président états-unien, rapporte la chaîne locale i24News. Le pays entend ainsi remercier Donald Trump pour la reconnaissance de la souveraineté israélienne sur le Golan.
Le Premier ministre israélien a déclaré ce dimanche 12 mai, au cours d’un conseil des ministres, que le lieu où sera implantée la colonie qui portera le nom de Donald Trump avait été choisi, informe la chaîne israélienne i24News.
«J’ai promis que nous construirions une colonie en l’honneur du Président Trump. Je vous informe par la présente que nous avons déjà choisi un endroit sur le Golan où cette nouvelle colonie sera construite», a-t-il annoncé.
Une Franco marocaine volontaire pour un attentat kamikaze mise en examen en France après avoir été expulsée de Turquie
Une femme de 27 ans qui avait rejoint la Syrie en 2014 a été mise en examen et placée en détention provisoire en France la semaine dernière après avoir été expulsée de Turquie.
L’enquête a permis de retracer le parcours de la jeune femme. Sur place, Sihame I. a épousé un combattant tunisien, avant de se retrouver veuve, sans enfants. Elle a travaillé dans un hôpital à Raqqa puis vécu dans différentes villes de Syrie, à Hajin en 2017, et dernièrement à Idlib.
Sur des écoutes téléphoniques, elle se disait fière d’être une veuve de martyr, de vivre dans un pays où la charia était appliquée, et exprimait son désir de réaliser une opération kamikaze. L’exploitation de supports numériques a montré qu’elle posait en photo aux côtés de kalachnikovs. Elle s’était aussi inscrite sur une liste de volontaires pour commettre un attentat-suicide.
Réfugié en Allemagne avec trois femmes et 13 enfants, il ne travaille pas : « J’ai hâte qu’on devienne allemand ».
L’une de ses femmes attend un 14ème enfant.
Abboud Sweid (40 ans) est un réfugié syrien qui a obtenu l’asile en Allemagne en 2015. Il a trois femmes et 13 enfants. Puisqu’il ne travaille pas, l’État allemand lui verse environ 3800 euros par mois pour subvenir aux besoins de l’homme et de sa grande famille. En plus de ces revenus, les 17 Syriens (bientôt 18) ont trois appartements payés par l’Etat à leur disposition. Dans une interview au journal allemand « Bild », le polygame déclare : « Je serais heureux si nous pouvions devenir Allemands ».
En 2006, il a épousé sa première femme Raeiaa (45 ans). Avec elle, il a eu quatre enfants âgés entre 9 et 14 ans. Moins de trois ans plus tard, il s’est remarié avec Ebtisam (33 ans), avec qui il a eu six enfants. En 2013, deux ans avant son émigration vers le pays d’Angela Merkel, il a épousé sa troisième femme [NDLR : Avec laquelle il aura bientôt quatre enfants].
La question de la polygamie a récemment fait la une des journaux en Allemagne, après que le ministère de la Justice eut bloqué un amendement de loi sur la citoyenneté qui aurait empêché des polygames comme Sweid d’obtenir le passeport allemand. Ainsi, Sweid et sa famille pourront obtenir légalement la nationalité allemande.
Le Syrien raconte fièrement au journal Bild que chaque soir, conformément au Coran, il passe la nuit avec une autre épouse et fait des enfants avec elles.
Le Syrien réside dans trois appartements payés par l’Etat, répartis entre deux maisons, tandis que les bénéficiaires de l’aide sociale allemande doivent vivre sur des campings ou, comme une retraitée près de Heidelberg, dans une cabine d’arbitre sans fenêtre.
« La discussion sur la reconnaissance de la polygamie en Allemagne est une question politique », poursuit BILD, qui disserte ensuite sur l’histoire mouvementée de la fondation du harem d’Abboud :
Lorsque la famille est arrivée en Allemagne après avoir prétendument fui l’Etat islamique en 2015, Sweid s’est dit étonné que les autorités n’aient pas voulu reconnaître ses trois mariages. Il n’a été forcé de s’inscrire qu’auprès de sa première femme. Par la suite, les autorités allemandes ont modifié cette pratique et aujourd’hui, ses trois épouses, comme ses enfants, sont reconnus par les autorités. Et dans quelques années, les 18 membres de cette famille seront en mesure d’acquérir la citoyenneté allemande. D’après le journal Bild, ils vivent à présent dans « trois appartements différents, dont deux se situent dans la même maison ». Le troisième est à quelques minutes de là.
Jusqu’à présent, personne ne travaille dans cette grande famille. Selon le mari , la famille reçoit un total de 3785 euros de l’Office, composé de Hartz IV (aide sociale et chômage) et des allocations familiales. Le loyer des appartements est payé par l’Etat.
L’immigration est le sujet de préoccupation n°1 des Français dans un sondage Harris Interactive qui place le RN en tête des intentions de vote aux Européennes
Selon le sondage Harris Interactive du jour, le Rassemblement National reste en tête des intentions de vote aux Européennes devant En Marche, et le sujet de préoccupation n°1 des Français reste l’immigration, devant le pouvoir d’achat, les impôts, l’environnement et le terrorisme.
– 12 mai 2019
Européennes : « Tête de liste, j’aurais davantage réfléchi » admet Éric Zemmour après la proposition du Rassemblement national de devenir colistier
La présidente du Rassemblement national dément avoir proposé la tête de liste au polémiste, mais précise lui avoir proposé la place numéro 3
Marine Le Pen aurait aimé convaincre Eric Zemmour. Selon L’Express, la présidente du Rassemblement national a proposé au polémiste d’intégrer la liste du parti aux élections européennes. D’abord pour en prendre la tête puis, après avoir fait le choix de placer Jordan Bardella en numéro 1, pour être en troisième position. (…)
De son côté, Eric Zemmour affirme qu’il aurait « davantage réfléchi » si la tête de liste RN lui avait été proposée. (…)
« Des hommes jeunes qui agissent en bande », une étude dresse le portrait-robot des agresseurs homophobes
Qui agresse les personnes LGBT (lesbiennes, gay, bi et trans) ? A cette question d’apparence simple, il était jusqu’à présent impossible de fournir une réponse un peu étayée, en l’absence de données. Un vide que vient combler l’étude réalisée par la fondation Jasmin Roy-Sophie Desmarais et l’IFOP, en partenariat avec la fondation Jean-Jaurès et la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), présentée mardi 14 mai. Un LGBT sur six interrogés confie avoir été agressé récemment, au sein d’un panel de 1 229 personnes homosexuelles, bisexuelles et transgenres, extrait d’un échantillon représentatif de la population métropolitaine âgée de 18 ans et plus.
Et 7 % rapportent avoir subi des violences physiques (gifles, coups, bousculade…) au cours de l’année écoulée. Fait alarmant, ce pourcentage a plus que doublé par rapport à une étude semblable réalisée en 2018, où seuls 3 % en faisaient état. Pour les autres expériences de violence, les chiffres sont globalement stables.
Des hommes agissant en groupe
D’après le portrait-robot que les victimes dressent à grands traits, les agresseurs sont majoritairement des hommes, de 18 à 30 ans, et agissant en groupe. […]
Invités à décrire librement les caractéristiques de l’auteur des violences, les victimes mentionnent en premier lieu son sexe (masculin à 78 %), son comportement (vulgaire, agressif, voyou…) puis certaines caractéristiques physiques, comme sa taille et sa corpulence. La couleur de peau et la description de l’origine ethnique supposée n’arrivent spontanément qu’en sixième et septième positions. 2 % évoquent alors une personne de couleur noire, 4 % de couleur blanche, 6 % une personne arabe ou maghrébine.
« Ces descriptions vont à rebours d’un discours complètement délirant, qui a cours aujourd’hui, tendant à faire croire que les agressions seraient le fait de groupes ethniques spécifiques », se réjouit Flora Bolter. « Les chiffres nécessiteraient d’être approfondis mais ils démontrent un degré d’ethnicisation des LGBTphobies assez faible », confirme François Kraus, de l’IFOP.
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Le réfugié en Allemagne avec trois femmes et 13 enfants a de quoi interpellé, mais il est peut être un cas exagéré... avez-vous des statistiques sur ces réfugiés polygames (sur-)vivant avec des aides sociales?
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