Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Tensions dans le Cachemire : le Pakistan ferme son espace aérien et propose des « négociations » à l’Inde
Mardi, l'Inde avait annoncé avoir mené des frappes dans le nord du Pakistan, contre un camp d'entraînement du groupe islamiste Jaish-e-Mohammad (JeM), qui avait revendiqué l'attentat-suicide ayant tué au moins 40 paramilitaires indiens le 14 février, dans la partie indienne du Cachemire.
Mercredi, la situation reste très confuse dans la région : l’Inde a annoncé y avoir abattu un avion pakistanais lors d’un affrontement au cours duquel un de ses propres avions a été abattu par le Pakistan. De son côté, Islamabad affirme avoir abattu deux avions indiens dans son espace aérien et arrêté deux pilotes indiens.
Le premier ministre pakistanais, Imran Khan, a proposé de négocier avec l'Inde, au cours d'un bref discours télévisé. Il a notamment fait référence à l'arsenal militaire (et nucléaire) des deux pays : "Pouvons-nous nous permettre le moindre mauvais calcul avec le genre d'armes que vous avez et que nous avons ?".
Côté indien, cette crise est très liée à la politique intérieure indienne. Les élections ont lieu dans quelques semaines et elles s’annoncent très serrées. Or, à chaque campagne électorale, Narendra Modi mentionne le Pakistan pour projeter de lui une image de leader fort et intransigeant. Ce moment est crucial pour ses chances de réélection et il n'est pas certain, à ce stade, qu'il souhaite négocier.
L'espace aérien pakistanais a été fermé, y compris aux vols commerciaux. Les plus de 200 vols qui traversaient le pays (notamment ceux faisant le lien entre l'Europe et l'Asie du Sud-Est) ont dû changer de route. L'Inde a également fermé pendant plusieurs heures neuf aéroports du nord du pays en raison de la situation au Cachemire mais les a rouverts depuis.
L’organisation djihadiste a mené environ 180 attaques en Syrie depuis décembre 2018, faisant craindre une résurgence du groupe.
Dans l’esprit des propagandistes de l’organisation Etat islamique (EI), le sort de Baghouz n’a plus d’importance. Dans sa dernière parution, l’hebdomadaire du groupe djihadiste, Al-Naba, a choisi d’ignorer le dernier réduit du « califat » territorial qu’il avait proclamé le 29 juin 2014 – un territoire aujourd’hui réduit à moins de 1 % de ce qui couvrait autrefois de vastes régions de la zone irako-syrienne. La semaine précédente, le village syrien n’avait été mentionné que très brièvement, pour souligner les « pertes ennemies ».
Alors que la propagande du groupe connaît un regain d’activité sur Internet, ce quasi-silence contraste avec l’attention accordée à l’activité des franchises de l’EI au Nigeria et en Egypte, mais aussi en Irak et dans les autres régions de Syrie où l’organisation attaque quotidiennement ses adversaires dans les territoires qu’elle a perdus.
« Nous avons vaincu l’EI en Syrie, ma seule raison d’être là-bas durant la présidence Trump », tweetait le président américain le 19 décembre 2018. Or, le groupe djihadiste a mené quelque 180 attaques dans le pays dans les huit semaines qui ont suivi cette déclaration. Plus de 600 personnes ont été tuées ou blessées, dont quatre Américains morts à Manbij, dans le nord du pays, d’où l’organisation avait pourtant été chassée à l’été 2016.
Syrie : de nombreux Français encore dans les rangs des combattants de Daesh
Emmanuel Macron dément l'existence d'un "programme de retour des jihadistes" français
Le président a démenti l'existence d'un programme de retour des jihadistes français détenus au Levant, il a néanmoins rappelé que ces derniers étaient "en droit de demander la protection consulaire".
Emmanuel Macron a affirmé ce mardi qu'il n'existait pas actuellement de programme de retour des jihadistes français détenus en Syrie ou en Irak, qui seront "d'abord judiciarisés" dans ces pays.
"La France a toujours eu la même doctrine, qui consiste à dire que ceux qui, dans un théâtre de guerre, ont été incarcérés, en l'espèce par les FDS (Forces démocratiques syriennes) en Syrie et/ou par les autorités irakiennes, sont d'abord et avant toute chose judiciarisés dans ces pays lorsqu'on reconnait la justice", a déclaré le chef de l'État devant les élus du Grand Est réunis pour le grand débat à l'Élysée.
S'assurer "que les droits de la défense sont bien assurés"
"Contrairement à ce que j'ai pu lire ou entendre, il n'y a pas de programme de retour des jihadistes", a-t-il précisé.
Paris interviendra en faveur de ses djihadistes jugés en Irak s'ils sont condamnés à mort
Nicole Belloubet, invitée ce matin au micro de RMC/BFMTV, a précisé que la France laisserait les djihadistes français être jugés par la justice irakienne, mais qu’elle interviendrait en cas de condamnation à mort «pour demander que cette peine ne soit absolument pas exécutée».
Revenue sur le cas des djihadistes français de Daech* arrêtés en zone irako-syrienne, Nicole Belloubet a indiqué sur RMC/BFMTV que ces derniers seraient jugés en Irak, selon la loi irakienne.
«Ce n'est pas la première fois que nous avons ce cas de figure puisqu'il y a déjà des Français qui ont été jugés en Irak. C'est la contrepartie de la question de la responsabilité. […] Il y a des adultes français qui sont sciemment partis sur les terrains de combat. Il n'est pas illogique qu'ils soient responsables de leurs actes, là où ils les ont commis», a souligné la garde des Sceaux.
Cependant, a-t-elle tenu à préciser, la France veillera à ce que «les droits de la défense soient assurés, et d'autres part que les Français concernés bénéficient de la protection consulaire».
Une avocate accuse Paris de « laisser crever » les enfants des djihadistes français en Syrie
« Que fait la France pour ces enfants, qui sont ses enfants, depuis 18 mois ? C’est un désastre humanitaire » a déclaré l’avocate.
Après l’annonce de la remise de 13 djihadistes français aux autorités irakiennes ce lundi, les défenseurs des familles djihadistes reviennent à a charge sur l’épineux dossier des enfants de Daech. L’avocate Marie Dosé, qui défend des familles de djihadistes français en Syrie, a accusé mardi Paris de laisser « crever des enfants en zone de guerre », au mépris de toutes les règles de protection de l’enfance. « Ces gosses de moins de cinq ans sont en train de crever en zone de guerre. Que fait la France pour ces enfants, qui sont ses enfants, depuis 18 mois ? C’est un désastre humanitaire », a déclaré à l’AFP l’avocate.
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25 000 enfants de 30 nationalités en détention
Au total, plus de 2 500 enfants de 30 nationalités ont été capturés avec leurs familles au fil de la déroute de l’EI et placés dans trois camps du nord-est de la Syrie, selon l’ONG Save the Children.
Benjamin Cauchy (Gilet Jaune) répond à Macron : «Quand on dénonce l’antisémitisme et qu’on rapatrie des centaines de Jihadistes, qui est “complice du pire” ?»
Muhammad Tahir Anam, politique yéménite pro-houthistes : Notre haine des juifs nous vient du Coran
Dans une interview accordée à la chaîne Al-Hawyah (Yémen) le 17 février 2019, Muhammad Tahir Anam, homme politique salafiste yéménite pro-houthistes, a déclaré que la réticence du peuple yéménite à normaliser ses relations avec Israël reflétait ses origines islamiques et panarabes. Il a affirmé que la haine des juifs découle du Coran, qui enseigne clairement qu’ils sont les ennemis d’Allah, et évoque leur méchanceté et leur malice.
Anam a déclaré que les dirigeants saoudiens et émiratis ne représentaient ni les sunnites ni l’islam et les a critiqués pour leur volonté de s’allier aux juifs, aux chrétiens et à quiconque sert leurs intérêts. Il a cité un verset du Coran disant que les juifs sont les plus hostiles aux musulmans. Al-Hawyah est une chaîne pro-houthistes émettant depuis la ville de Sanaa, sous leur contrôle. Extraits :
Animateur : [La normalisation des relations avec Israël] était une ligne rouge à ne pas franchir et elle continuera de l’être.
Muhammad Tahir Anam : Absolument. Cela reflète l’affiliation panarabe du peuple yéménite, ainsi que son origine islamique. Nous haïssons les juifs, pas seulement parce qu’ils ont colonisé la terre arabe appelée Palestine. Non, la haine des juifs vient du Coran. Le Coran nous enseigne dans de nombreux versets… Plus de 40 ou 50 versets coraniques nous mettent en garde contre les juifs, leur caractère néfaste et leur malice, et affirment qu’ils sont les ennemis d’Allah. […]
Les dirigeants saoudiens et émiratis ne représentent ni les sunnites ni l’islam. Ils ne représentent que les intérêts des trônes convoités par Muhammad Bin Salman et Muhammad Bin Zayed. Pour y accéder, ils sont disposés à s’allier aux juifs, aux chrétiens, aux bouddhistes et à quiconque sert leurs intérêts. Nos sources d’autorité sont le Coran et la Sunna du Prophète, et elles indiquent très clairement qui est notre véritable ennemi. Allah dit : « Tu trouveras certainement que les juifs et les associateurs sont les ennemis les plus acharnés des croyants’. (Coran 5.82) »
Note ; enfin, une goutte de vérité dans un océan de mensonges
L’Autriche s’oppose au retour des djihadistes : « Il est inacceptable de rapatrier ces bombes à retardement »
Autriche – « Nous avons déjà assez de cas problématiques de ce genre chez nous », estime le ministre de l’Intérieur Herbert Kickl (FPÖ), qui considère qu’il est « inacceptable » de rapatrier les djihadistes de nationalité autrichienne actuellement emprisonnés en Syrien ou en Irak. Cela vaut aussi pour les femmes des djihadistes, déclare le ministre dans une interview.
Tous les gouvernements européens sont confrontés à ce problème après le démantèlement de l’Etat islamique en Syrie et en Irak : de nombreux combattants djihadistes, citoyens d’un pays européen, veulent retourner en Europe.
« 30 à 60 individus voudraient rentrer en Autriche », dit le ministre de l’Intérieur Kickl, selon les analyses de ses experts. Il dit : « Ils y sont allés volontairement, puis se sont battus pendant des mois pour une organisation terroriste, et veulent ensuite retourner dans un pays qu’ils veulent détruire ».
Le ministre est en faveur d’une ligne claire sur la question du retour des djihadistes : « La protection de notre propre population est la priorité. Il est donc inacceptable de reprendre ces bombes à retardement en Autriche (…) Nous avons déjà nous-mêmes un nombre suffisant de cas problématiques de ce type en Autriche ».
(…)
« Qui, parmi les partisans de l’accueil des djihadistes, assumera la responsabilité si l’une de ces bombes à retardement explose ? »
Entretien, dîner, visites... Le programme du sommet entre Trump et Kim au Vietnam
Les deux dirigeants sont désormais arrivés à Hanoï, où se tient le sommet entre les États-Unis et la Corée du Nord. Ils se rencontrent en tête-à-tête mercredi soir avant d'aller dîner avec leurs conseillers.
Donald Trump est impatient de s'entretenir avec Kim Jong-un. Les dirigeants américain et nord-coréen sont arrivés à Hanoï (Vietnam), où se tient leur deuxième sommet commun mercredi soir et jeudi, huit mois après leur première poignée de main à Singapour. Le président américain a ainsi déclaré mercredi midi (heure du Vietnam) que Kim Jong-un voulait aboutir à quelque chose de formidable. Les deux hommes vont d'abord discuter en tête-à-tête mercredi soir au Sofitel Legend Metropole, un luxueux établissement situé en plein cœur de la capitale. Un dîner est ensuite prévu avec quelques proches conseillers.
Le reste du programme de ces deux jours reste flou. En attendant de rencontrer son homologue nord-coréen, Donald Trump a déjeuné mercredi midi avec le premier ministre vietnamien, Nguyen Xuan Phuc, et d'autres représentants. Auparavant, il avait été reçu en grande pompe par le président Nguyen Phu Trong. Une rencontre qui a donné lieu à la signature d'un contrat entre les compagnies aériennes vietnamiennes Vietjet, Bamboo Airways et Vietnam Airlines avec l'avionneur américain Boeing.
Les modérateurs de Facebook finissent traumatisés et complotistes
C’est l’une des nombreuses entreprises à qui Facebook a délégué sa modération. Son nom ? Cognizant. Elle emploie plusieurs milliers de contractuels pour contrôler chaque jour les contenus du réseau social aux 2,3 milliards d’utilisateurs. Dans une vaste enquête menée auprès d’une douzaine de collaborateurs, le site spécialisé The Verge détaille à quel point les recrues finissent traumatisées par l’expérience. Contrat précaire, isolement, travail surveillé, exposition continue à du contenu choquant laissent les salariés dans un piteux état. « On les incite à ne pas discuter du poids émotionnel que leur travail leur impose, même avec leurs proches », explique notamment le journaliste.
(…) Face à cette pression constante et aux atrocités publiées sur Facebook, certains salariés finissent à bout de nerfs. Ainsi, The Verge révèle comment des modérateurs de Cognizant ont été retrouvés en pleine relation sexuelle dans les cages d’escalier, le garage, et même la salle d’allaitement réservée aux mères. D’autres racontent fumer régulièrement du cannabis pour décompresser, y compris pendant le travail. Enfin, la plupart s’adonnent à la pratique de l’humour noir pour extérioriser leur mal-être, quitte à enchaîner les blagues racistes ou sexistes ou les allusions au suicide.
Devant la prolifération des théories conspirationnistes en ligne, plusieurs contractuels ont avoué douter de plus en plus des versions officielles. Un salarié se balade dans le bâtiment en expliquant que la Terre est plate. Un ancien raconte qu’il a commencé à se poser des questions sur certains aspects de l’Holocauste. Un autre, qui dort avec une arme à feu, a déclaré que l’attentat du 11 septembre 2001 n’était sûrement pas une attaque terroriste.
« Hijab de running » : face à la polémique, Decathlon renonce à sa commercialisation en France (MàJ)
Une initiative qui était loin de faire l’unanimité. Comme Nike auparavant, la marque française Decathlon a voulu lancé un « hijab de running ». Si le produit est actuellement vendu au Maroc, celui-ci devait être prochainement disponible dans l’Hexagone.
« Nous prenons effectivement décision, en toute responsabilité, en ce mardi soir de ne pas commercialiser à l’heure qu’il est ce produit en France », a annoncé mardi 26 février sur RTL, le directeur de la communication de l’enseigne sportive, Xavier Rivoire. Le groupe français avait fait savoir qu’il allait commercialiser en France cet accessoire pour permettre aux femmes voilées de pratiquer la course à pied notamment.
Nous ne souhaitons pas entrer dans les polémiques, nous entendons ce qui est dit, et nous sommes ouverts au dialogue. »
Une annonce qui a provoqué un tollé, des réactions de haine sur les réseaux sociaux mais aussi des appels au boycott de la part de plusieurs responsables politiques. Pour Aurore Bergé, porte-parole de La République en marche, « le sport émancipe. Il ne soumet pas. Mon choix de femme et de citoyenne sera de ne plus faire confiance à une marque qui rompt avec nos valeurs ».
Tariq Ramadan porte plainte contre ses accusatrices
Tariq Ramadan contrattaque. Cible de plaintes pour viols de la part de trois femmes, l’islamologue controversé a à son tour porté plainte contre ses accusatrices pour «dénonciations calomnieuses», estimant que les relations sexuelles étaient consenties.
Selon RTL, les dépôts de plainte ont été effectués à Montpellier, Rouen et Lille, les villes de résidence de Henda Ayari, «Christelle» et Mounia Rabbouj, les plaignantes.
Belgique : la ville d’Anvers compte désormais plus d’immigrés que d’autochtones (MàJ : le Vlaams Belang veut « interdire l’immigration »)
27/02/2019
Pour le Vlaams Belang, le fait qu’Anvers compte désormais officiellement plus de personnes issues de l’immigration que de Belges de souche est une conséquence de la politique de la ville. « Le conseil municipal n’a pas retardé, et encore moins inversé, cette évolution de la population au cours des dernières années, et il n’a jamais eu l’intention de le faire ». Le parti d’extrême droite plaide à nouveau en faveur d’une « interdiction de l’immigration ».
« Les habitants flamands d’Anvers sont maintenant officiellement une minorité dans leur propre ville », déclare Filip Dewinter, chef du parti VB à Anvers.
« Le rêve de la gauche se réalise : réaliser la société multiculturelle par la surpopulation. Cette politique est une stratégie consciente visant à créer un peuple aussi diversifié que possible. L’immigration de masse avec la fuite des Blancs qui en résulte est le levier pour réaliser cette politique. Seul un arrêt de l’immigration peut changer cela »
Pour la première fois, la ville d’Anvers compte plus d’habitants d’origine immigrée que d’origine autochtone. C’est ce qui ressort clairement des données les plus récentes du City Monitor.
Chez les moins de 25 ans, l’origine migratoire dépasse même 70 %. Selon les données disponibles, les Nord-Africains constituent le groupe d’immigrants le plus important, mais les Asiatiques et les Européens de l’Ouest sont également fortement représentés.
Plus tôt ce mois-ci, le sociologue Jan Hertogen était déjà arrivé à des chiffres similaires dans son Bericht uit het Gewisse (npdata) :
Anvers : 53,2 % d’origine étrangère
En 2018, 53,2 % de la population anversoise aurait été d’origine étrangère selon des extrapolations, contre 46 % en 2014, soit une différence de 3,1 % avec le Buurtmonitor Antwerpen. Dans le cas des données npd, cette différence est légèrement amplifiée parce que tous les habitants d’origine étrangère sont inclus dans le calcul, mais selon une méthode différente.
Note: non, mais le grand remplacement c'est des balivernes ! Mdr
Valérie Pécresse : « La situation des banlieues est explosive ! (…) Mais stopper l’immigration ne résoudra pas les problèmes » (MàJ)
Mais que dites-vous sur la politique d’immigration ?
Je suis pour une réduction de l’immigration, le renvoi des clandestins et l’instauration de quotas. Il faut arrêterd’aggraver le problème d’intégration. Mais stopper l’immigration ne résoudra pas les problèmes actuels des banlieues. Nous devons partir de la réalité. De nombreux Français issus de l’immigration y vivent déjà. C’est en construisant de nouveaux quartiers avec une vraie mixité sociale que l’on pourra mettre fin au communautarisme. Certains maires de gauche trouvent visiblement leur compte à cette ghettoïsation puisqu’ils continuent de demander encore plus de HLM dans leurs villes.
La présidente LR de la région Île-de-France dénonce le problème non résolu des cités. Elle évoque les menaces et propose des solutions d’urgence pour éviter le drame des émeutes de 2005.
LE FIGARO. – Pourquoi la situation des cités sensibles franciliennes vous semble-t-elle explosive ?
Valérie PÉCRESSE. – La dernière fois que j’ai rencontré Emmanuel Macron, je lui ai dit qu’il existait une crise des banlieues masquée par celle des « gilets jaunes ». La situation est explosive. 80 lycées ont été attaqués en décembre. Ces attaques étaient perpétrées par des bandes cagoulées, organisées et extrêmement violentes. Elles visaient à mettre le feu aux poubelles, aux voitures, aux lycées… Des enseignants ont été aspergés d’essence. J’ai vécu cela comme un signal d’alerte. Pour la première fois, un mouvement dirigé contre l’institution scolaire n’avait aucune revendication politique. Le seul objectif était la destruction et le chaos.
Avez-vous eu le sentiment que l’autorité pouvait être dépassée par ces événements ?
Oui. Je me suis dit que les émeutes de 2005 pouvaient se reproduire à tout moment. Il suffirait d’une étincelle. Un lycéen est resté durant 45 minutes en urgence vitale à Saint-Ouen.
Note : En fait, elle nous explique que lorsqu'il a une inondation dans un quartier, pour stopper la montée des eaux il faut ouvrir plus de robinets !!
Saint-Quentin (02): « Allah Akbar » Un homme écroué après avoir menacé des militaires à proximité du « village de Noël » (MàJ : 10 mois de prison avec sursis)
Sauf que les mots lancés sur le ton de la plaisanterie laissent bientôt place à une bordée d’insultes. « Je vais vous égorger et vous défoncer. Allahou akbar », répète-il à l’encontre des militaires qui maîtrisent rapidement l’individu. « Ils n’avaient rien d’autre à faire alors ils se sont défoulés sur moi », indique le Saint-Quentinois à court d’argument. Particulièrement agité, l’homme est emmené dans les locaux de la police municipale où les injures redoublent d’intensité. « Négro, tu n’es qu’un esclave de la France », lance-t-il à l’adresse d’un soldat d’origine malgache tandis que deux autres sont traités de « mécréants ».
Des insultes qui ne laissent que peu de doute sur la qualification des faits pour le ministère public. « La combinaison des menaces d’égorgement, du terme mécréant et de la phrase Allahou akbar constitue une apologie des actes de terrorisme », tance le procureur de la République avant de requérir huit mois de prison dont quatre mois ferme.
Mais malgré ces éléments et l’état de récidive légal du prévenu, le jeune homme a été relaxé du chef de prévention d’apologie de terrorisme et écope finalement d’une peine de dix mois avec sursis.
Un sondage donne Macron à près de 40% d'opinion positive auprès des Français
Emmanuel Macron a poursuivi en février sa remontée dans l'opinion entamée en janvier. Selon un sondage Harris Interactive pour LCI, 39% des Français disent faire confiance au Président. La cote de popularité d'Édouard Philippe est également en hausse. Pourtant, d'autres sondages donnent des chiffres plus faibles.
Les cotes de confiance d'Emmanuel Macron et d'Édouard Philippe poursuivent leurs hausses en février pour le deuxième mois consécutif, selon un sondage Harris Interactive pour LCI publié mardi.
Note:c’est pour cela que le coq est l’emblème de la France, c'est le seul animal qui aime chanter les pieds dans la merde
Fiscalité : Nouvelle hausse à venir de la taxe sur les cabanes de jardin
La valeur forfaitaire qui sert de base de calcul à cette taxe créée en 2012, a été revalorisée de près de 4% pour l’année 2019 après avoir déjà grimpé de 3% en 2018.
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La valeur forfaitaire servant de base au calcul de cette taxe vient d’être revalorisée, comme chaque fois en début d’année. Après avoir grimpé de 3% en 2018, elle progresse cette fois-ci de près de 4% (3,8%), selon un décret publié dans le Journal officiel. On apprend ainsi que le montant fixé pour l’année 2019 hors Ile-de-France s’élève à 753 euros par m² contre 726 euros en 2018. En Ile-de-France, la hausse est identique: la somme s’élève à 854 euros le m² contre 823 euros l’année dernière.
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