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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 29 novembre 2018

 

 

 

Comment Trump vend l'atome à l'Arabie saoudite

 

L'administration américaine négocie depuis 2017 avec Riyad la fourniture de réacteurs nucléaires, qui pourraient aboutir à la fabrication de la bombe atomique.

 
Le president americain Donald Trump, se vantant de l'etendue des ventes americaines d'armes a l'Arabie saoudite, en recevant le prince heritier saoudien Mohammed ben Salmane, dans le Bureau ovale, le 20 mars 2018.

Pour justifier ses hésitations à incriminer le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS), soupçonné par la CIA d'avoir commandité l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, Donald Trump n'hésite pas à mentionner les 110 milliards de contrats d'armes que les États-Unis ont conclus avec l'Arabie saoudite en 2017. Selon le président américain, ces signatures représenteraient la création de près d'un million d'emplois. Pourtant, les experts s'accordent à dire que, pour l'heure, seuls 14,5 milliards de dollars de contrats auraient été effectivement signés entre Riyad et Washington, ce qui n'a abouti, pour l'instant, qu'à 500 nouveaux emplois américains.

Cependant, il existe un tout autre aspect de la relation stratégique américano-saoudienne que le pensionnaire de la Maison-Blanche s'est bien gardé d'évoquer au cours des dernières semaines. D'après le New York Times , l'administration Trump serait en négociation avec l'Arabie saoudite pour lui vendre des réacteurs nucléaires. Conduites depuis 2017 par le département américain de l'Énergie, ainsi que le département d'État, les discussions porteraient sur un montant avoisinant 80 milliards de dollars (65 milliards d'euros).

16 réacteurs nucléaires

« Un réacteur nucléaire produit du combustible qui est ensuite introduit dans des centrifugeuses afin d'être enrichi à 3 ou 3,5 % dans un but civil », explique au Point François Géré, président de l'Institut français d'analyse stratégique (Ifas) et expert de la question du nucléaire. « Pour ce faire, il est nécessaire de développer toute une industrie nucléaire civile, ou alors d'acheter clé en main l'ensemble du complexe – réacteur nucléaire et usine d'enrichissement d'uranium – qu'il ne reste plus qu'à faire tourner. Cette dernière solution est la plus rapide, commode et onéreuse, et il semble que c'est celle-ci qui ait été choisie par l'Arabie saoudite. »

Le 5 novembre dernier, le prince héritier saoudien a posé en grande pompe, à la Cité des sciences de Riyad, la première pierre du premier réacteur de recherche nucléaire du royaume. Selon l'agence de presse officielle SPA, seize réacteurs sont prévus au cours des deux prochaines décennies. Afin de prévenir la fin annoncée des hydrocarbures, et face aux besoins grandissants de sa population de 30 millions d'habitants – dont 20 millions de Saoudiens et 10 millions d'expatriés –, le royaume al-Saoud entend diversifier ses sources d'énergie, qui reposent pour l'heure principalement sur le pétrole et le gaz naturel.

Négociations secrètes

Cette « politique nationale sur le programme de l'énergie atomique » a été officiellement approuvée par le gouvernement saoudien en mars dernier. Riyad projette de commencer la construction de ses premiers réacteurs dès l'année prochaine, pour une mise en service en 2027. À terme, la pétromonarchie souhaiterait produire 17,6 gigawatts d'électricité d'ici à 2040, soit 10 % de la production nationale, ce qui en fait un des programmes nucléaires les plus ambitieux au monde.

Négociations secrètes

Cette « politique nationale sur le programme de l'énergie atomique » a été officiellement approuvée par le gouvernement saoudien en mars dernier. Riyad projette de commencer la construction de ses premiers réacteurs dès l'année prochaine, pour une mise en service en 2027. À terme, la pétromonarchie souhaiterait produire 17,6 gigawatts d'électricité d'ici à 2040, soit 10 % de la production nationale, ce qui en fait un des programmes nucléaires les plus ambitieux au monde.

D'après le New York Times, la construction des deux premiers réacteurs serait confiée à la firme américaine Westinghouse, qui opérerait sur place par le biais d'entreprises sud-coréennes. Secrètes, les négociations sont conduites par le secrétaire d'État à l'Énergie Rick Perry, qui s'est rendu à Riyad fin 2017, affirme le quotidien américain. En février dernier, il était à Londres pour discuter d'un accord de non-prolifération nucléaire de type 1-2-3, sur le modèle de ceux qui ont déjà été conclus avec la Corée du Sud, l'Inde et les Émirats arabes unis. Il prévoit la fourniture à l'Arabie saoudite de combustible sur une durée de dix à quinze ans. Mais problème : les Saoudiens ont d'ores et déjà refusé.

Enrichissement d'uranium

Le ministre saoudien de l'Énergie, Khalid al-Falih, a indiqué que le royaume al-Saoud souhaitait enrichir lui-même l'uranium, qu'il possède dans son sous-sol, alors qu'il lui coûterait moins cher d'importer le combustible depuis l'extérieur. « Il ne serait pas naturel pour nous de faire venir de l'uranium enrichi depuis un pays étranger », a-t-il déclaré en mars à l'agence de presse Reuters. À faible niveau d'enrichissement (3,5 %), ce procédé permet de produire le combustible nécessaire pour fabriquer de l'électricité ou pour la production d'isotopes médicaux, qui servent à diagnostiquer certains cancers. Mais, s'il est enrichi à 90 %, l'uranium peut servir à fabriquer la bombe atomique, ce qui est formellement interdit en vertu du traité de non-prolifération nucléaire (TNP), que l'Arabie saoudite a signé – mais pas ratifié.

C'est justement la découverte d'un programme d'enrichissement d'uranium secret en Iran, en 2002, qui a provoqué la crise du nucléaire iranien

(..)

« Si l'Iran développait une bombe nucléaire, nous suivrions sans attendre »

Les déclarations officielles saoudiennes ne font qu'alimenter la suspicion. En mars dernier, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a assuré, dans une interview à la chaîne américaine CBS, que « l'Arabie saoudite ne veut pas acquérir la bombe nucléaire ». Non sans ajouter : « Sans aucun doute, si l'Iran développait une bombe nucléaire, nous suivrions sans attendre. »

(..)

Vers une course à la bombe au Moyen-Orient  ?

« Si les raisons pour lesquelles l'Arabie saoudite souhaite se doter d'une industrie nucléaire posent question, nous sommes encore loin d'une bombe saoudienne », souligne le spécialiste du nucléaire François Géré. « Car l'Arabie saoudite ne dispose aujourd'hui ni des infrastructures ni des compétences humaines (ingénieurs, chimistes, techniciens, ouvriers, NDLR) indispensables à la fabrication de centrifugeuses suffisamment solides pour tourner rapidement et enrichir à un degré supérieur, ce qui ne se trouve pas du jour au lendemain. »

Néanmoins, à l'heure où Donald Trump fait preuve de certaines largesses vis-à-vis de son allié moyen-oriental, englué dans l'affaire Khashoggi, au nom des intérêts commerciaux des États-Unis, nombreux sont ceux qui se demandent si le président américain ne serait pas en train d'ouvrir la voie à une nucléarisation prochaine de l'Arabie saoudite, prélude à une course à la bombe généralisée au Moyen-Orient.

Dans une lettre envoyée fin octobre au pensionnaire de la Maison-Blanche, rapportée par Reuters, cinq influents sénateurs américains, démocrates et républicains, ont exhorté Donald Trump à suspendre les négociations nucléaires en cours avec Riyad, menaçant d'utiliser leur veto dans le cas contraire (ils auraient besoin de la majorité dans les deux chambres). « Les révélations en cours au sujet du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, ainsi que certaines actions saoudiennes relatives au Yémen et au Liban, ont suscité de sérieuses inquiétudes quant à la transparence, la responsabilité et le jugement des dirigeants actuels en Arabie saoudite », écrivent les élus.

Source Le Figaro

 

 

Porochenko accuse Moscou de vouloir annexer l’Ukraine et appelle l’Otan à l’aide

 

Suite à la récente provocation ukrainienne dans le détroit de Kertch, le Président ukrainien appelle les États-Unis à prendre de nouvelles sanctions contre Moscou, accuse Vladimir Poutine de vouloir annexer l’Ukraine et invite des navires de l’Otan en mer d’Azov.

Le Président ukrainien Piotr Porochenko a appelé les pays membres de l'Otan à se tenir prêts à envoyer leurs navires en mer d'Azov (que le détroit de Kertch sépare de la mer Noire), dans une interview au quotidien allemand Bild accordée suite à l'incident entre les marines russe et ukrainienne dans le détroit de Kertch dimanche dernier.

Piotr Porochenko

«L'Allemagne est l'un de nos alliés les plus proches et nous espérons que l'Otan sera désormais prête à transférer des navires de guerre dans la mer d'Azov afin d'aider l'Ukraine à en assurer la sécurité», a-t-il déclaré.

«La chancelière Merkel est une grande amie de l'Ukraine», a encore affirmé M.Porochenko. «En 2015, elle a déjà sauvé notre pays», a-t-il ajouté.

Le Président a également accusé son homologue russe, Vladimir Poutine, de chercher à annexer l'Ukraine.

«Nous avons immédiatement besoin de nouvelles sanctions face à l'incroyable agression russe», a encore lancé le numéro un ukrainien.

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Lire aussi: Merkel appelle Kiev à user d’une «approche intelligente» suite aux tensions en mer Noire

 

 

Berlin fait la sourde oreille aux appels US à abandonner le Nord Stream 2

 

Les énièmes appels US invitant les pays européens à abandonner le projet Nord Stream 2 suite à l’incident de Kertch n’ont pas persuadé Berlin.

L'incident survenu dans le détroit de Kertch n'a pas eu de répercussions sur la position de Berlin à l'égard du gazoduc Nord Stream 2. Selon le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seibert, Berlin reste disposé à participer au projet.

«J'ai entendu les critiques, mais notre position de principe à l'égard du projet économique qu'est le Nord Stream 2 reste inchangée», a déclaré l'officiel cité par l'agence Reuters.

Dans le même temps, il a souligné que la réalisation du projet en question ne devait pas empêcher le transit du gaz russe via le territoire ukrainien.

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Une compagnie de sécurité britannique attaquée à Kaboul, dix morts

 

Une double-attaque des Taliban visant une compagnie de sécurité britannique, G4S, en Afghanistan a fait au moins dix morts et 19 blessés. L'attaque survient le jour d'une réunion ministérielle sur l'Afghanistan à Genève.

Au moins 10 personnes ont été tuées dans la double-attaque revendiquée par les Taliban le 28 novembre dans l'est de Kaboul contre une compagnie de sécurité britannique, selon les autorités afghanes. «10 morts et 19 blessés ont été évacués», a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère de la Santé, Wahid Majroh. Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a confirmé le bilan, sans pouvoir préciser la nationalité des victimes.

«Une voiture piégée a explosé à proximité des locaux de la compagnie G4S», a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police, Basir Mujahid. «Il y eu des échanges de tirs», a-t-il ajouté.

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Pacte de l’ONU sur les Migrations : l’Italie n’ira pas à Marrakech, le texte sera soumis au Parlement italien (MàJ : la loi anti-migrants adoptée)

 

Le 28 novembre

L’Italie a adopté aujourd’hui un décret-loi controversé durcissant sa politique d’immigration, voulu par Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et chef de la Ligue (extrême droite). La Chambre des députés a adopté le texte (après le Sénat début novembre et dans les mêmes termes) par 396 oui contre 99 non.

Le gouvernement populiste formé par la Ligue et le Mouvement 5 Etoiles (M5S, antisystème) avait posé la question de confiance dans les deux chambres sur ce décret-loi. Quatorze députés du M5S n’ont pas pris part au vote aujourd’hui.

Le texte durcit la politique italienne en matière d’immigration. Il remplace en particulier les permis de séjour humanitaires, actuellement octroyés à 25% des demandeurs d’asile et d’une durée de deux ans, par divers autres permis, comme « protection spéciale », d’une durée d’un an, ou « catastrophe naturelle dans le pays d’origine », d’une durée de six mois, entre autres. Il prévoit une procédure d’urgence afin de pouvoir expulser tout demandeur se montrant « dangereux ».

Il réorganise aussi le système d’accueil des demandeurs d’asile, qui étaient encore 146.000 fin octobre et seront regroupés dans de grands centres par mesures d’économies. Dans le volet sécurité, il généralise l’utilisation des pistolets électriques et facilite l’évacuation des bâtiments occupés.

Le Figaro

Salvini : « L’Italie ne signera pas le Pacte »

Le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a déclaré ce mercredi que l’Italie ne participerait pas le mois prochain à la conférence intergouvernementale de Marrakech, où doit être adopté le Pacte des Nations Unies pour des Migrations sûres, ordonnées et régulières.

« Comme les Suisses, qui ont soutenu le Pacte jusqu’à hier et puis ont dit « stop, tout le monde », le Gouvernement italien ne signera rien et n’ira pas à Marrakech », a annoncé Salvini devant la Chambre basse.
[…]

ANSA

 

 

 

La Bosnie, pays de transit des migrants vers l’UE ?

 

Dans le nord-ouest de la Bosnie-Herzégovine, des milliers de migrants vivent dans des conditions très précaires en attendant de tenter de franchir illégalement la frontière extérieure de l’UE, en direction de la Croatie.

 

Québec : le nouveau premier ministre veut réduire l’immigration et interdire le port de signes religieux pour les fonctionnaires

 

 
[…] Le premier ministre du Québec, François Legault, a réitéré mercredi 28 novembre son intention de réduire l’immigration dans la province. « On veut réduire les seuils d’immigration pour avoir les moyens de mieux intégrer les immigrants au marché du travail, à la majorité francophone et au partage de nos valeurs communes », a dit M. Legault, chef de la Coalition Avenir Québec (CAQ, centre-droit) lors d’un discours de politique générale marquant la reprise des travaux à l’Assemblée nationale à Québec.

Ancien indépendantiste converti au fédéralisme canadien et porté au pouvoir avec une majorité de sièges aux législatives québécoises du 1er octobre, M. Legault a fait campagne en défendant la nécessité de réduire de plus de 20 % le nombre d’immigrants et de réfugiés que le Québec accueille chaque année, actuellement d’environ 50.000. [..]

Abordant « la laïcité de l’Etat et les signes religieux », il a rappelé que « cette question traîne depuis plus de dix ans maintenant » et que « les Québécois en ont assez ». « Le port de signes religieux va être interdit pour les employés de l’Etat en position d’autorité », a-t-il déclaré, jugeant cette position « raisonnable ». « On va être ferme et on va bouger rapidement », a-t-il indiqué, un projet de loi à ce sujet devant être présenté en février prochain. […]

Le Monde

 

 

 

Rotherham (Angleterre) : Un violeur pakistanais membre d’un grooming gang obtient un droit de visite pour voir son enfant né d’un viol

 

 

La victime d’un violeur récidiviste, choquée d’apprendre que son agresseur avait obtenu le droit de visite à son fils, appelle à un changement de législation.

Scandalisée par la possibilité offerte à son violeur d’obtenir un droit de visite de l’enfant né de son crime, une Britannique a appelé à un changement de législation.

Le quotidien «The Times» affirme qu’Arshid Hussain, condamné à 35 ans de prison en 2016 pour de multiples agressions sexuelles contre des jeunes filles, s’est vu proposer par les autorités locales de la ville de Rotherham (nord de l’Angleterre) d’obtenir un droit de visite de son fils, sur lequel il n’exerce pas d’autorité parentale, dans le cadre d’une procédure de placement de l’enfant.

Membre d’un gang pakistanais

L’agresseur faisait partie d’un gang d’hommes originaires du Pakistan, dont plusieurs membres, notamment ses frères et son oncle, ont été condamnés à de lourdes peines d’emprisonnement dans un contexte plus vaste d’abus contre des mineures à Rotherham, qui avaient causé une grande émotion au Royaume-Uni.

Sammy Woodhouse a révélé mardi dans une vidéo postée sur Twitter être la mère de l’enfant, conçu lors de son viol à 15 ans. Elle était l’un des témoins clés de l’enquête policière.

(…)

20 minutes Suisse

 

 

Des parlementaires britanniques définissent l’islamophobie comme un type de racisme

Vers une guerre de religion, infos du 29 novembre 2018

Un groupe parlementaire multipartite (constitué au Parlement du Royaume-Uni et composé de députés de tous les partis politiques) sur les musulmans britanniques a récemment rendu un rapport sur l’islamophobie.

Cette enquête, menée pendant six mois auprès d’organisations musulmanes, d’universitaires et d’experts, propose une nouvelle définition du terme.

« L’ islamophobie est enracinée dans le racisme et est un type de racisme qui vise les musulmans ou les musulmans perçus comme tels », indique le rapport.

Jusque là, la dernière définition de l’islamophobie remontait il y a près de vingt ans. Un groupe de réflexion britannique sur l’égalité raciale, le Runnymede Trust, le définissait comme un mot permettant « de faire référence à à la crainte ou à la haine de l’islam, et par conséquent, à la peur ou au mépris de tous ou de la plupart des musulmans ».

Dans son étude, l’APPG estime que l’islamophobie est un vrai problème de société concernant tous les britanniques et souligne l’importance d’apporter une définition claire et précise.

« Le gouvernement n’a pas tenté d’adopter une définition de l’islamophobie en dépit de l’impact considérable que le problème a sur les communautés musulmanes britanniques », regrette le groupe parlementaire. […]

Le groupe a rencontré hier Sajid Javid, le ministre de l’Intérieur, dans le but de faire adopter leur nouvelle définition par le gouvernement.

Le Muslim Post / The Independent

 

Note ; L'Islamophobie du racisme !! Mdr ! alors des personnes comme Majid Oukacha ou Aldo Sterone sont racistes !?

Vivement que les gouvernements européen changent !

Encore quelque année et le droit de ne pas aimé UNE religion (l'Islam) nous seras interdit !

 

 

La police allemande veut un « permis à points » pour les migrants multirécidivistes (Ex. : expulsion après le 60e vol)

 

 

[…] Ce sont surtout les délinquants intensifs – c’est-à-dire les gens qui commettent des délits en série – qui font que les citoyens remettent en cause le système d’asile allemand.

Pour repérer plus rapidement les parcours criminels des migrants, la police veut maintenant instituer un système d’alerte précoce. […] Les autorités policières des Länder, la police fédérale et le BKA [Office fédéral de la police criminelle] veulent rassembler les données des délinquants condamnés et des suspects. À l’aide d’un catalogue de points à l’intérieur de ce fichier, les migrants délinquants seraient évalués en fonction de la gravité du délit. […]

Ce système fait penser au Fichier des contrevenants au code de la route de Flensbourg […]

À partir de 60 points, les délinquants devront quitter l’Allemagne […] Le magazine [Der Spiegel] cite Holger Münch, président du BKA : « Le but, c’est d’identifier les multirécidivistes et, si possible, de leur faire quitter le pays ». Il a l’intention de présenter ce projet sous le nom de « Optimisation du processus visant à l’expulsion des délinquants étrangers » cette semaine à la conférence des ministres de l’Intérieur de Magdebourg.

Comme le rapporte le « Spiegel », les points de pénalité seraient ainsi répartis :

Un point pour des délits n’entraînant pas de peine de prison, comme le vol

Dix points pour les délits entraînant au moins un an de prison, comme les formes particulièrement graves de trafic de drogue

70 points pour des actes passibles de prison à perpétuité, comme le meurtre

[…]

(Traduction Fdesouche)

Focus

 

Note : un seul délit devrait suffire  a se débarrasser d'un nuisible

 

Tracfin dévoile ses statistiques sur le financement du terrorisme

 

 

 

 

Macomer (Italie) : Le palestinien Alaji Amin préparait un attentat utilisant du poison ou des armes chimiques

 

Alaji Amin, un Palestinien de 38 ans, préparait une attaque en Italie avec des armes chimiques. Le procureur national anti-mafia et anti-terrorisme, Federico Cafiero De Raho, a annoncé que l’homme était devenu membre de l’association terroriste ISIS. Après son arrestation, il a été emmené à la prison de Badd’e Carros à Nuoro.

(…)

Selon les hypothèses des forces de l’ordre, il préparait un attentat, probablement en Italie, utilisant du poison ou des armes chimiques.

L’agence AdnKronos rapporte que le terroriste présumé voulait frapper une caserne de l’Armée. « Sa présence à Macomer, où est stationné le 5ème Régiment de Sapeurs du Génie de la Brigade Sassari, ne pourrait ainsi pas être due au hasard », écrivent les correspondants. Quant aux modalités de l’attaque, il semble que le plan ait été de fabriquer un dispositif chimique-biologique pouvant empoisonner des bassins aquifères, réservoirs ou aqueducs. […]

L’arrestation est intervenue dans l’avenue principale de la petite ville, qui se trouve dans la zone centre-ouest de la Sardaigne. Les agences de presse rapportent que l’individu est de nationalité palestinienne, tandis que d’après le site de La Nuova Sardegna il s’agirait d’un citoyen marocain.

(…)

Il Giornale

 

Attentats du 13 novembre : Jawad Bendaoud craque complètement à son procès en appel

Vers une guerre de religion, infos du 29 novembre 2018

Jawad Bendaoud, pris d’un coup de colère, a provoqué une suspension de séance ce mercredi 28 novembre au Palais de justice de Paris

 

« Depuis tout à l’heure vous dites des trucs, je ne dis rien, mais faites attention, à un moment, ça va péter monsieur le juge!« , a-t-il lancé au président de la cour au bout de trois heures d’audition, alors qu’il avait déjà été rappelé à l’ordre plusieurs fois pour avoir coupé la parole à celui qui l’interrogeait. « Ne me traitez pas de menteur, je ne suis pas un menteur! » a-t-il crié, alors qu’il était entendu à la barre, devant un micro.
[…]

Voyant Jawad Bendaoud s’agiter, son avocat Xavier Nogueras se lève de son banc pour lui prendre le bras. « Calme-toi », lui glisse-t-il. Mais Jawad Bendaoud hurle et tape sur son pupitre, le visage rouge, des larmes dans les yeux. « Depuis 8 mois, je me démerde tout seul! Mettez moi six ans! Vous pensez que vous allez me faire peur? J’ai plus rien à perdre! Voilà ce que j’en fais du RSA! », a-t-il lâché, avant de cracher à deux reprises sur son pupitre.

Du fond de la salle, plusieurs policiers s’approchent de lui. « Qu’est-ce que vous voulez vous deux là? » leur lance-t-il en s’agitant. Son avocat lui tient le visage, lui demande encore de se calmer, avant de le rasseoir sur le banc.

On entend encore Jawad Bendaoud, en pleurs et le visage rouge, crier: « Ma mère la reine des putes si je mens, ça va ou pas? Ils peuvent faire 45.000 articles, j’ai pas hébergé des terroristes! » Il est finalement escorté par son avocat et les policiers à l’extérieur de la salle.
[…]

Jugé pour « recel de malfaiteurs terroristes », relaxé en première instance en février, Jawad Bendaoud comparait libre.

huffingtonpost.fr

 

 

Les Gilets Jaunes battent un record de popularité à 84%, le mouvement étant même soutenu par la moitié des sympathisants LREM (Odoxa)

 

« Gilets jaunes » : le soutien des Français au mouvement gagne sept points (84%) malgré les annonces d’Emmanuel Macron sur l’écologie, selon un sondage

Près de huit Français sur dix n’ont pas trouvé le président convaincant lors de son intervention mardi.

Le discours d’Emmanuel Macron sur la transition écologique mardi n’a pas réussi à atténuer le soutien des Français aux « gilets jaunes », selon un sondage Odoxa-Dentsu consulting pour franceinfo et Le Figaro publié mercredi 28 novembre. Bien au contraire, ils sont plus nombreux que jamais à soutenir le mouvement : 84% le trouvent « justifié », soit sept points de plus que la semaine dernière.

Les « Gilets Jaunes » sont toujours aussi soutenus par les sympathisants d’extrême gauche (90%), de la gauche traditionnelle (90% au PS), d’extrême droite (96%), de la droite traditionnelle (75%), mais aussi par un sympathisant LREM sur deux (50%).

Emmanuel Macron n’a pas convaincu

66% des Français indiquent avoir écouté le discours d’Emmanuel Macron mardi. Parmi eux, 78% n’ont pas trouvé le chef de l’État convaincant. C’est le pire niveau enregistré après une intervention ou annonce d’Emmanuel Macron. La parole présidentielle ne semble plus imprimer dans l’opinion.

(…)

France Info

 

La France championne des taxes et des impôts, c'est grave ?

 

Comme en 2016, l’Hexagone reste en 2017 le pays européen le plus taxé, avec un taux de prélèvements obligatoires de 48,4 % selon Eurostat

Victoire ! Repoussant gaillardement l’offensive de quinze Etats membres de l’Union européenne ayant augmenté leurs impôts l’année dernière, le pack français a tenu bon. L’Hexagone conserve ainsi son titre de pays le plus taxé d’Europe. Une deuxième étoile sur le maillot « Bleus contribuables »… qui risque de nourrir la colère rouge des Gilets jaunes.

Selon les données d’Eurostat, le taux de prélèvements obligatoires (PO) tricolore a atteint 48,3 % du PIB en 2017. Un niveau, sensiblement supérieur aux 45,3 % affichés par l’Insee, qui ne prend pas en compte les crédits d’impôts. Ce faisant, la France coiffe une nouvelle fois au poteau ses deux principaux adversaires : la Belgique (47,3 %) et le Danemark (46,5 %), respectivement médailles d’argent et de bronze. Suivent la Suède (44,9 %), la Finlande (43,4 %), l’Autriche et l’Italie (42,4 % chacun) ainsi que de la Grèce (41,8 %). En bas de tableau, on trouve l’Irlande avec un piètre taux de 23,5 %, suivi par la Roumanie (25,8 %), la Bulgarie (29,5 %).

(…)

L’Opinion

La France reste championne d’Europe des impôts

(…)

La moyenne de l’UE s’élève à 40,2 % du PIB en 2017, en hausse de 0,3 % par rapport à 2016. L’Irlande reste le pays à la fiscalité la plus avantageuse, avec un taux de prélèvement obligatoire de 23,5 %. Un niveau exceptionnellement faible au sein du Vieux Continent, plus de deux fois moins élevé que celui de la France.

Dans le détail, la France doit sa première place à l’importance des cotisations sociales (18,8 % du PIB, contre 13,3 % en moyenne dans l’UE). Quant aux impôts pesant sur les revenus des ménages et leur patrimoine, ils pèsent moins lourd en France qu’en moyenne dans l’UE.

(…)

Le Figaro

France insoumise : Turbulences en série

Une vague de départs vient égratigner l’image du mouvement de Jean-Luc Mélenchon.

À la France insoumise, on n’a pas trop pour habitude de laver son linge sale en public. Les désaccords sont traités en interne, loin des lumières médiatiques, pour ne pas prêter le flanc, comme le font tant de partis, à la critique facile. C’est la tactique de la tortue romaine : tous groupés ! Alors, quand se fait entendre une voix discordante, l’oreille extérieure se fait attentive. Et c’est peu dire que depuis quelques jours, les critiques fusent et les portes claquent. Bruyamment.

Djordje Kuzmanovic, compagnon de route depuis plus de dix ans, conseiller diplomatique de Jean-Luc Mélenchon, a ainsi rendu son départ public dans une tribune à Marianne. Quelques jours auparavant, c’est Corinne Morel-Darleux, une des figures écologistes du mouvement, qui l’égratignait aussi et prenait ses distances. Tout comme il y a quelques semaines, l’ex-étoile montante marseillaise Sarah Soilihi, depuis passée chez Benoît Hamon. Cet été, c’est Liem Hoang-Ngoc, économiste et aussi proche de Mélenchon, qui mettait les voiles. Ça fait beaucoup.

(…)

Le Parisien

 

«Loi anti-fessée»: où s’arrête le rôle de l’État?

 

Le 29 novembre, l'Assemblée va se prononcer sur la «loi anti-fessée», portée par Maud Petit, du Modem. À but pédagogique, cette loi ne comprendra aucune sanction pénale. Il est évident que tout enfant a le droit à une éducation sans violences, mais est-ce le rôle de l'État de s'immiscer autant dans l'intimité de ses citoyens? Reportage.

Les députés vont devoir se prononcer le 29 novembre sur ce projet de loi qui stipule qu'un enfant a le droit à une éducation sans violences. Elle mentionne que les titulaires de l'autorité parentale ne peuvent user sur leurs enfants de moyens d'humiliation tels que la violence physique (gifles, pincements, secousses, tirage de cheveux…) ou verbale (moqueries, cris, injures, propos humiliants…), ni de châtiment, punition corporelle ou encore souffrance morale (menaces, mensonges, chantage…).

Si cette loi sonne donc comme une évidence pour certains, elle est surtout symbolique. En effet, elle ne s'accompagne d'aucune sanction pénale. Un parent qui voudrait punir son enfant dans l'intimité de sa maison pourrait donc le faire et ainsi braver la loi sans risque. Alors pourquoi voter cette loi maintenant? Et est-ce le rôle de l'État de dicter à chacun comment éduquer son enfant? La question fait débat au sein de la population.

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