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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 30 octobre 2018

 

 

 

La Turquie va lancer une opération d’envergure contre les Kurdes à l’est de l’Euphrate

 

Recep Tayyip Erdogan a annoncé, le 30 octobre, le lancement d’une opération d’envergure contre des positions des Unités kurdes de protection du peuple (YPG), une organisation considérée comme terroriste en Turquie, situées à l'est de l'Euphrate.

La Turquie lancera dans les jours à venir une opération d’envergure contre les Kurdes sur la rive est de l’Euphrate, a annoncé ce mardi le Président turc au cours d'un discours devant les parlementaires de son parti (AKP).

«Nous ne permettrons pas la création d'une structure terroriste à l'est de l'Euphrate, nous la détruirons. Pas à pas, nous nettoierons la zone colline après colline. Nous avons terminé les préparatifs, et nos objectifs sont définis. Dans un proche avenir, nous entamerons une opération d'envergure contre les formations armées kurdes à l'est de l'Euphrate», a déclaré Recep Tayyip Erdogan.

Des forces turques à Ayn al-Arab, en Syrie

Fin septembre, Recep Tayyip Erdogan a réaffirmé que la Turquie accordait «une grande importance à ce que les terroristes soient éliminés des régions contrôlées par le Parti de l'Union démocratique (PYD) et les Unités kurdes de protection du peuple (YPG)». Il a également exprimé l'espoir que la Russie soutiendrait la Turquie dans son combat contre le PYD et les YPG, bien que Moscou ne les considère pas comme terroristes.

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Les USA installent des bases dans l'est syrien pour faire durer le conflit, selon Damas

 

Sous prétexte de protéger les Kurdes, les États-Unis mettent en place des bases et aérodromes militaires dans l'est de la Syrie, une preuve de leur tentative pour ajourner la fin de la guerre, estime le ministre syrien des Affaires étrangères Walid al-Mouallem.

Les États-Unis s'emploient à installer des bases militaires, dont aériennes, dans l'Est syrien sous prétexte de protéger les forces kurdes, a déclaré le chef de la diplomatie syrienne Walid al-Mouallem, cité par l'agence SANA.

«La tâche principale de telles actions est de soutenir Daech* dans sa lutte contre l'armée syrienne», a-t-il précisé lors d'une réunion d'une délégation conjointe de la Fédération de la jeunesse démocratique et du comité international sur la paix.

Des radicaux syriens dans le gouvernorat d'Idlib (image d'illustration)

De même, les forces américaines utilisent leur base dans la ville d'Al-Tanf sur la frontière syro-irakienne pour réentraîner des membres restant de Daech* et ensuite les intégrer dans les groupes combattant les troupes gouvernementales syriennes, a-t-il ajouté.

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Tsahal affirme avoir attaqué la Syrie depuis l'incident de l'Il-20 russe

 

Les forces israéliennes ont réalisé plusieurs attaques contre la Syrie depuis que l’Il-20 russe a été accidentellement abattu le 17 septembre, a appris Reuters d’un haut responsable israélien.

Tsahal a effectué de nouvelles frappes contre la Syrie après l'incident de l'Il-20 russe en septembre dernier, a déclaré à l'agence Reuters un haut responsable israélien, qui a souhaité garder l'anonymat.

«L'Armée de défense d'Israël a mené des attaques contre la Syrie, y compris après que l'avion russe aété abattu», a-t-il affirmé, ajoutant que «la coordination militaire avec les Russes se poursuit comme auparavant».

Le 17 septembre dernier la défense antiaérienne syrienne avait ciblé par erreur un Il-20 avec 15 militaires à son bord. L'appareil se dirigeait vers la base aérienne de Hmeimim et a été abattu à 35 km des côtes syriennes....

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Israël conclut un grand accord avec le «meilleur ami» de l'Iran

 

La visite inopinée du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Oman, qui n'entretient pas de relations diplomatiques avec l’État hébreu, a créé la surprise.

Visite du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Oman

Et cet étonnement découle moins du fait qu'il s'agissait du premier contact officiel avec le sultanat depuis 1996 que de l'appel d'Oman à «reconsidérer le statut d'Israël» adressé à ses voisins arabes. Un ancien diplomate américain a déclaré que la visite de Benjamin Netanyahu pourrait être un «signal pour l'Iran», sachant qu'Oman est considéré comme son «meilleur ami» dans le Golfe, écrit le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

«On ignore ce qui se cache réellement derrière cette visite. Certains communiqués ont rapporté que le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas s'était rendu à Mascate quelques jours avant la venue de Netanyahu. Compte tenu de l'aide d'Oman dans les contacts américano-iraniens il y a quelques années, quand était évoqué l'accord sur le nucléaire iranien, on pourrait se demander si le sultan Qabous ibn Saïd ne chercherait pas à jouer un rôle similaire pour relancer les négociations israélo-palestiniennes», déclare l'ancien représentant du département d'État américain pour la transition politique en Syrie Frederic Hof. Toutefois, compte tenu de la réputation d'Oman en tant que «meilleur ami» de l'Iran dans le Golfe, le geste du premier ministre pourrait viser un tout autre but.

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Pascal Le Pautremat : l'OTAN semble s'attacher à l'idée de «menace russe» par pur opportunisme

 

Le géopolitologue Pascal Le Pautremat a livré ce 29 octobre à RT France son analyse sur les dernières manœuvres de l’OTAN en Norvège. Selon lui, les dirigeants de l'Alliance souhaitent promouvoir une image d'une «Russie potentiellement dangereuse».

L’OTAN a lancé le 25 octobre son plus grand exercice militaire depuis la fin de la guerre froide. 50 000 soldats, 10 000 véhicules, 65 navires et 250 aéronefs de 31 pays sont engagés dans le cadre de l'exercice «Trident Juncture 18», dont l’objectif est de s’entraîner contre un «ennemi imaginaire».

Pour Pascal Le Pautremat, géopolitologue et spécialiste des crises et des conflits, cette énième démonstration de force de l'Alliance atlantique semble clairement s’adresser à la Russie : «Compte tenu de la nature même de l’OTAN, évidemment cela nous renvoie à toute l’histoire de la guerre froide et on peut penser de façon plus ou moins subliminale [que cette action est menée] dans l’éventualité hypothétique d'une action militaire de la Russie à l’égard d’un pays baltique ou scandinave.»

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Combien la Chine possède-t-elle de missiles capables d'atteindre les USA?

 

La Chine a accueilli négativement la «proposition intéressante» du président américain Donald Trump de conclure un traité international sur le démantèlement des missiles à portée intermédiaire en remplacement du traité russo-américain sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI).

Cette réaction de Pékin est logique: les Chinois ont déjà mis au point des missiles sans équivalent dans le monde, écrit le quotidien Vzgliad. De quoi s'agit-il exactement et combien de missiles «transgressant» le traité FNI compte l'arsenal balistique chinois?

Pékin est fermement opposé aux accusations infondées des USA visant à justifier leur retrait du traité FNI. Selon le porte-parole du ministère de la Défense Wu Qian, les autorités chinoises resteront «fermement attachées à la politique militaire défensive» du pays, «protégeront avec détermination leurs intérêts légitimes de sécurité nationale» et «ne toléreront aucun chantage».

Le traité FNI, conclu il y a 30 ans, peut être considéré comme mort et enterré. Du moins, le président américain Donald Trump parle déjà de la sortie des USA de cet accord-cadre russo-américain — qui avait mis un terme à la Guerre froide — comme d'un fait accompli.

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La Chine dévalue le yuan face au dollar jusqu’à son niveau le plus bas depuis 2008

 

Sur fond de tensions commerciales avec les États-Unis et les inquiétudes autour de possibles nouveaux droits de douane américains, le yuan a perdu 0,28 % de sa valeur face au dollar, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis dix ans.

Dollar et yuan

La banque centrale chinoise (PBOC) a fixé mardi le taux de yuan à son plus bas niveau depuis près de dix ans, la valeur de la monnaie locale poursuivant sa baisse, sur fond d'inquiétudes autour du ralentissement de la croissance intérieure et de l'anticipation de nouvelles baisses dans les mois à venir.

Le taux de change a été fixé le 30 octobre au niveau de 6,9574 yuans pour un billet vert, soit une hausse de 195 points par rapport au taux établi la veille, indique Reuters.
Ce geste de la banque centrale intervient alors que le dollar s'est raffermi face à ses rivaux, du fait des craintes de nouvelles tensions commerciales sino-américaines.

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Caravane des migrants américains : violents affrontements à la frontière entre le Guatemala et le Mexique

 

Un migrant de 26 ans a perdu la vie dans les affrontements avec les garde-frontières mexicains. Six d’entre eux ont été blessés.

 

Lire aussi: Etats-Unis : Donald Trump envoie 5 000 soldats à la frontière mexicaine pour stopper la caravane des migrants

 

 

Attentat avorté en Allemagne : des inconnus ont tenté de faire dérailler un TGV, une lettre de menace en arabe retrouvée sur les rails

 

Allemagne : des inconnus ont tenté le 7 octobre de faire dérailler un train à grande vitesse (ICE) sur la ligne Nuremberg – Münich.

Le train a en effet percuté un câble en acier tendu en travers de la voie et un barrage fait de morceaux de bois a été construit sur les rails, apparemment sans dommages.

Des documents ainsi qu’une lettre de menace en arabe ont été retrouvés sur les lieux de l’incident. La cellule anti-terroriste est chargée de l’enquête.

« La lettre a été traduite, elle liée à l’attaque contre le TGV et contient des menaces abstraites » déclare un enquêteur.

(…) N-tv.de

 

 

Bruges (Bel.) : Le marché de Noël devient le « marché d’hiver ». « Ils veulent voir disparaître nos traditions » dénonce un sénateur.

 

Le « marché d’hiver » fait déjà énormément polémique avant même d’avoir ouvert ses portes.

Ca y est, l’hiver est à nos portes. Et qui dit hiver dit bien entendu les célèbres et tant attendus marchés de Noël. Mais à Bruges, cette année, ce n’est pas un marché de Noël (« kerstmarkt » en Néerlandais) qui s’installera sur la grand place de la Venise du Nord mais bien un marché d’hiver (« wintermarkt »).

Mais cela ne fait pas que des heureux, loin de là. La N-VA a déjà réagi, via la voix de son sénateur Pol Van Den Driessche qui a exprimé son incompréhension sur Twitter. « C’est incroyable de voir comment certains veulent voir disparaître nos traditions les plus anciennes au nom du soi-disant concept de ‘tolérance' »; a-t-il écrit.

Du côté de la fédération des commerçants de Bruges, on ne comprend pas cette polémique naissante.

« Avec cette dénomination, nous voulons adopter une position neutre, a expliqué Piet Vanderyse au quotidien flamand Het Laatste Nieuws , c’est déjà la deuxième année que nous utilisons cette appellation et nous ne comprenons pas d’où vient cette soudaine indignation ». 

(…) LaLibre.be

 

 

Nogent (94) : un Afghan poignarde ses quatre copains pendant leur sommeil dans un appartement appartenant à une association qui loge des migrants

 

L’agresseur, un trentenaire de nationalité afghane, a été interpellé et placé en garde à vue.

Ce samedi à 6 h 20 du matin, dans un appartement appartenant à une association qui loge des migrants, au 7, rue du Maréchal-Joffre à Nogent, un jeune homme a poignardé ses copains. Ils étaient six personnes à dormir lorsque brutalement un homme se lève, s’arme d’un couteau de cuisine et poignarde « sans motif apparent », selon les témoignages des victimes, quatre de ses amis qu’il avait invités à passer la nuit. (…)

 

 

Lorient (56) : énième rixe entre migrants. « On ne les compte plus » précise le journaliste

 

On ne les compte plus ! Une énième rixe a éclaté, le vendredi 26 octobre, en début d’après-midi, dans la galerie du centre commercial L’Orientis, du côté de la gare, à Lorient. Deux ressortissants étrangers, âgés de 20 et 22 ans, en sont venus aux mains. Le plus âgé a été légèrement blessé.

Interpellés, les deux hommes ont livré des versions contradictoires lors de leur garde à vue au commissariat de police de Lorient. L’objet du différend reste flou. La police a ouvert une enquête préliminaire, le temps d’entendre des témoins : des passants et des agents de sécurité notamment. L’enquête se poursuit, en vue d’éclaircir les circonstances de cette bagarre.

Débat Zemmour-Weil : les chercheurs ont-il vocation à intervenir dans les médias ? Quatre d’entre eux répondent.

 

Ce mardi 23 octobre 2018, le polémiste Éric Zemmour a une nouvelle fois créé la polémique et enflammé les réseaux sociaux. Invité par BFM TV, il faisait face à l’historien Patrick Weil, directeur de recherche au CNRS, président de « Bibliothèque sans frontières » et auteur du livre « Le sens de la République » sur le plateau de Nathalie Levy dans l’émission « News et Compagnie ». Un bandeau prévient les téléspectateurs. Qu’on se le tienne pour dit, il s’agira de discuter les thèses d’un seul des deux invités : « Zemmour : sa défense de Pétain. » Très vite, Éric Zemmour disqualifie d’emblée le chercheur qui, bien heureusement, s’est expliqué : « Il n’y a pas de neutralité de l’historien. Vous êtes engagé politiquement, toute votre vie vous avez été à gauche, ce n’est pas une infamie mais il faut le dire aux gens. » Avant d’enchaîner plus tard dans l’émission : « Nous ne sommes plus dans l’immigration, certifie l’intéressé, nous avons une invasion et une colonisation (…) Le grand remplacement, il a déjà commencé, dans toutes nos banlieues. » Le tout non étayé, non chiffré, non prouvé, non argumenté.

Derrière ces échanges forcément controversés du fait des propos et de la présence même d’Éric Zemmour, se cachent des enjeux bien plus profonds qu’il n’y paraît sur la relation des chercheurs aux médias et leur rôle au sein de l’espace médiatique. Pour tenter de comprendre les dynamiques à l’oeuvre et revenir sur cette séquence, quatre chercheurs ont accepté d’analyser les tensions sous-jacentes tout en élargissant le propos à l’intervention des experts dans l’espace médiatique pour tenter de déconstruire les biais cognitifs en pleine action. Dans l’ordre alphabétique, il s’agit de :

  • Bruno Cautrès, politiste, chercheur CNRS au CEVIPOF, Centre de recherches politiques de Sciences Po, professeur à Sciences Po Paris.
  • Pierre Lefébure, maître de conférences en science politique à l’université Paris 13, chercheur au laboratoire Communication et politique (LCP-IRISSO, UMR 7170), spécialiste de communication politique, des comportements de participation et du rapport des citoyens aux médias.
  • Julien Longhi, professeur des universités en sciences du langage, à l’Université de Cergy-Pontoise (IUT de Cergy-Pontoise), centre de recherche AGORA, membre junior de l’institut universitaire de France promotion 2018. Spécialisé en analyse du discours et en sémantique, ses recherches portent sur les mécanismes de construction du sens dans les discours, en particulier politiques et médiatiques.
  • Claire Sécail, Docteure en histoire contemporaine, chercheuse CNRS (LCP-IRISSO). Ses recherches portent notamment sur les rapports entre médias et politique, la médiatisation des campagnes électorales et, en particulier, le rôle des meetings politiques compris à la fois comme dispositifs stratégiques de communication et espaces médiatiques à part entière.

(….) Le débat entre l’historien Patrick Weil et Eric Zemmour est la dernière illustration d’une impossibilité à « débattre » quand les interlocuteurs ne partagent pas le même régime de parole. Le régime de parole du premier, c’est la vérité du savoir et des connaissances scientifiques ; celui du second, c’est le domaine de l’opinion masquée derrière une pseudo-scientificité. Les historiens contemporains sont des animaux empiriques. Leurs travaux reposent avant tout sur le contact critique avec des archives. Leurs résultats et leurs raisonnements sont tributaires de ce matériau et leur pensée ne s’aventure généralement pas sur des considérations hors sol.

(…)

Les biens des Églises de Terre sainte sont-ils menacés ?

 

Un projet de loi israélien pourrait permettre d’exproprier les biens immobiliers des institutions religieuses chrétiennes de Jérusalem qui bénéficient d’un statut spécial en vigueur depuis l’époque ottomane.

Les chefs des Églises catholique romaine, arménienne et grecque orthodoxe en Terre sainte dénoncent depuis plusieurs mois des tentatives de remise en cause du statut spécial des institutions religieuses chrétiennes de Jérusalem en vigueur depuis l’époque ottomane. Les ecclésiastiques s’inquiètent d’un projet de loi qui pourrait permettre, s’il n’est pas bloqué par le gouvernement israélien, d’exproprier les biens immobiliers des Églises. En février, ils avaient dû batailler pour obtenir l’abandon par la municipalité de la Ville sainte de la taxation de leurs activités commerciales liées au pèlerinage et au tourisme. Un secteur qui permet aux congrégations de s’autofinancer et de venir en aide aux chrétiens d’Orient.

(…) Le Figaro

 

 

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