Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Syrie : Erdogan, Merkel, Macron et Poutine réunis à Istanbul (EN CONTINU)
Un sommet réunissant l'Allemagne, la France, la Russie et la Turquie se tient à Istanbul ce 27 octobre. En ligne de mire, la pérennisation du fragile accord conclu en septembre entre la Russie et la Turquie sur la démilitarisation d'Idleb.
Israël lance des raids aériens suite à des tirs de roquettes depuis Gaza (VIDEOS)
Des dizaines de roquettes ont été tirées depuis Gaza sur Israël dans la nuit du 26 au 27 octobre, après la mort de cinq Palestiniens au cours de la dernière Grande marche du retour. Israël a lancé une série de raids aériens en représailles.
Dans la nuit du 26 au 27 octobre, l'armée israélienne a lancé une offensive aérienne de grande envergure en riposte à des roquettes tirées sur Israël depuis Gaza. Tsahal a ainsi déclaré avoir touché 80 cibles du Hamas en représailles à l'envoi de 30 roquettes depuis Gaza, elles-mêmes lancées en réponse à la mort de cinq Palestiniens lors de manifestations plus tôt dans la journée.
Diplomate russe: «les États-Unis préparent une guerre»
Intervenant lors d'une réunion de la Première commission désarmement et sécurité internationale de l'Assemblée générale des Nations unies, Andreï Belooussov, chef adjoint de département au ministère russe des Affaires étrangères, a fait la lumière sur la différence d’attitude envers la guerre en Russie et aux États-Unis.
Vendredi 26 octobre, la Première commission désarmement et sécurité internationale de l'Assemblée générale a voté contre un projet de résolution russe sur le Traité FNI auquel les États-Unis veulent mettre fin.
«Les États-Unis ont récemment annoncé que la Russie se préparait à la guerre. Oui, la Russie se prépare à une guerre, je le confirme. Oui, nous nous préparons à défendre notre patrie, notre intégrité territoriale, nos principes, notre peuple. Nous nous préparons à une telle guerre. Mais il existe d'importantes différences entre nous et les États-Unis. Sur le plan linguistique, la différence ne réside que dans un mot, que ce soit en russe ou en anglais», a déclaré Andreï Belooussov, chef adjoint du département de la non-prolifération et du contrôle des armements au ministère russe des Affaires étrangères lors d'une réunion de la Première commission de l'Assemblée générale.
«La Fédération de Russie se prépare à une guerre et les États-Unis préparent une guerre», a-t-il précisé.
Colis piégés : le FBI interpelle un fan de Trump au passé criminel
Cesar Sayoc Jr., 56 ans, a été interpellé dans un restaurant de Plantation, à l'ouest de Fort Lauderdale en Floride. Le FBI a préféré le neutraliser hors de chez lui, de crainte qu'il n'ait piégé ou fortifié son domicile, situé à une demi-heure de là. Il a été inculpé de cinq chefs d'accusation l'exposant à 48 ans de prison, en particulier «envoi illégal d'explosifs» et «menaces contre d'anciens présidents et d'autres responsables officiels».
On peut dire que Sayoc a facilité la tâche des policiers. Cet homme de 1,80 mètre pour 98 kilos, brun aux yeux marrons et portant une cicatrice sur le bras gauche, possède un long casier judiciaire remontant au début des années 1990. Il a notamment été condamné pour vol, fraude et possession de stupéfiants. Il avait été arrêté en 2002 après avoir menacé d'attaque à la bombe une compagnie d'électricité voulant lui couper le courant.
Le fait qu'aucun des engins artisanaux n'ait explosé a permis d'y relever des indices ayant conduit les enquêteurs directement au suspect, fiché par la police de Floride. Le laboratoire du FBI à Quantico a notamment identifié une empreinte sur l'une des enveloppes et prélevé des traces d'ADN sur deux des 13 «engins explosifs improvisés», tels que les a désignés le directeur du FBI, Christopher Ray, affirmant qu'il ne s'agissait «pas de fausses alertes».
Lors de sa dernière arrestation en 2015, Cesar Sayoc avait mentionné la profession de «manager». Dans une déclaration de faillite en 2012, il disait habiter chez sa mère et ne posséder «aucun meuble». Enregistré comme électeur républicain, Sayoc ne faisait pas mystère de son soutien à Donald Trump: il possède un van blanc aux fenêtres recouvertes d'autocollants pro-Trump, de photos du président et du vice-président, ainsi qu'un sticker contre CNN. Le véhicule a été saisi par le FBI. Le ministre de la Justice, Jeff Sessions, s'est refusé à spéculer sur les mobiles du suspect.
Cette arrestation a eu lieu alors que des colis piégés continuaient d'être découverts. Vendredi, la sénatrice de Californie Kamala Harris, le sénateur du New Jersey Corey Booker, l'ancien directeur du renseignement national James Clapper et le milliardaire Tom Steyer, qui finance une campagne demandant la destitution de Donald Trump, se sont ajoutés à la liste des cibles. Celle-ci comprenait déjà, entre autres, l'ex-président Barack Obama, l'ancien vice-président Joe Biden, l'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton, l'ex-directeur de la CIA John Brennan et l'acteur Robert De Niro - tous des démocrates critiques de l'actuel président.
Celui-ci a salué «le travail incroyable des forces de l'ordre», assurant qu'«on ne doit jamais permettre à la violence politique de prendre racine en Amérique». Trump s'est toutefois plaint d'être «plus attaqué que n'importe qui dans le pays».
Note , un fan, ou plutôt un crétin qui va nuire a Trump et va rendre service aux Démocrates
Ferjou : «Les Démocrates ont alimenté la violence, financé les Antifa, ils sont devenus un parti haineux, sans propositions, obsédé par Trump»
Jean-Sébastien Ferjou (Atlantico) : « L’Establishment Démocrate a lui aussi alimenté la violence en finançant des mouvements Antifa extrêmement violents. Par nature, l’Establishment démocrate considère que Donald Trump est illégitime (…) Hillary Clinton avait parlé de “deplorables”, les électeurs de Trump étant selon elle pathétiques parce qu’ils envisageaient de voter pour un candidat populiste. Il y a de la violence de part et d’autre (…) Les sondages sont ces dernières semaines plutôt favorables aux Républicains parce que les Démocrates n’ont plus de propositions, c’est un parti qui est devenu haineux, c’est un parti qui ne sait même plus quoi dire en matière de politique économique, parce qu’il est devenu obsédé par Donald Trump. »
– France 24, 27 octobre 18, 00h52
Trump est en passe de gagner son pari économique
Selon la première estimation du département du Commerce, le PIB des États-Unis a crû au rythme annuel de 3,5 % de juillet à septembre. Après les 4,2 % réalisés au deuxième trimestre, l’Amérique est donc en passe d’atteindre l’objectif de 3 % sur l’année que s’est fixé Donald Trump. De bon augure à dix jours des élections clés de mi-mandat.
Une fois de plus les consommateurs américains font figure de locomotives. Leurs dépenses qui représentent plus des deux tiers du PIB augmentent au rythme de 4 %, contre 3,8 % d’avril à juin. On explique cette flambée d’abord par les 1 500 milliards de dollars de baisses d’impôts effectives depuis l’hiver qui ont libéré du pouvoir d’achat. Le surplus de consommation induit par la chute du chômage, au plus bas depuis 1969, et la création mensuelle moyenne de 208.000 emplois sont aussi responsables de cette performance unique parmi les grands pays industriels.
Les baisses d’impôts accordées aux entreprises et la déréglementation en cours ont en outre créé des conditions favorables à l’embauche. La décision de Donald Trump de s’accommoder d’une hausse du déficit budgétaire en laissant filer les dépenses publiques, notamment militaires, est un élément clé des «Trumponomics». Le trou des finances fédérales s’est agrandi de 17 % durant l’année fiscale 2018, achevée le 1er octobre. À 779 milliards de dollars, le déficit budgétaire représente désormais 3,9 % du PIB américain. […]
Poutine et Macron évoquent la tenue d'un sommet russo-américain à Paris
Les dirigeants russe et français ont évoqué une éventuelle réunion entre Vladimir Poutine et Donald Trump à Paris, a annoncé le Kremlin dans un communiqué de presse diffusé suite à un entretien téléphonique entre MM.Poutine et Macron.
«Les chefs d'État ont discuté de la participations du Président russe aux événements à l'occasion du 100e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale prévus le 11 novembre prochain à Paris. Les deux parties ont également évoqué la tenue d'un sommet russo-américain dans la capitale française», indique le Kremlin.
Une prédiction de Kim Jong-un sur les sanctions révélée par des médias
Selon les pronostics du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, en 2019 les sanctions contre son pays seront levées, a annoncé Rossiïskaïa Gazeta.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un estime que les sanctions contre son pays seront levées l'année prochaine, à en croire des médias sud-coréens.
Selon la presse sud-coréenne, des fonctionnaires et représentants d'entreprises nord-coréens tiennent depuis le mois de septembre des consultations intenses avec les autorités chinoises afin d'intensifier la coopération.
Une source a confié que le dirigeant nord-coréen avait ordonné de se préparer à la levée des sanctions.
«L'année prochaine les sanctions à notre encontre seront levées. Soyez prêts. Celui qui réussira ne le regrettera pas et recevra une récompense, mais aussi le titre de héros. Agissez vite», aurait-il affirmé à ses subalternes.
Achat d’avions F-35 américains par la Belgique : un camouflet pour la défense européenne
(…)La Belgique a en effet opté, jeudi 25 octobre, pour le chasseur F-35 américain, au détriment d’une solution européenne. Cette décision est un très mauvais coup porté à une défense européenne encore balbutiante. L’Union européenne (UE) commençait tout juste à prendre enfin conscience que son salut passait par une plus grande autonomie vis-à-vis d’une protection américaine de moins en moins sûre.
Pour remplacer ses F-16 vieillissants à partir de 2023, la Belgique va acheter au groupe américain Lockheed Martin 34 avions de combat. Malgré les contorsions du gouvernement pour justifier sa décision, la rationalité économique et technologique de ce choix est discutable. Le F-35 est un avion qui ne vole pas encore et dont le coût de fabrication n’a cessé de grimper au fur et à mesure que le projet rencontrait des problèmes techniques. Donald Trump pestait il y a quelques mois encore contre un projet « hors de contrôle ».[…] Les pays qui ont déjà acheté l’appareil se plaignent des coûts cachés, de sa fiabilité et des retombées industrielles moins importantes que celles promises par les Américains.
C’est donc, de toute évidence, une logique politique qui a primé pour écarter les deux concurrents du F-35 : le Rafale du français Dassault et le Typhoon du consortium européen Eurofighter. Le choix belge est d’autant moins compréhensible qu’il résonne comme une allégeance à une administration américaine unilatéraliste, qui, ces derniers temps, n’a exprimé que menaces et mépris pour les Européens.
L’achat de F-35 par la Belgique démontre à l’envi que, si M. Trump tance ses alliés pour qu’ils augmentent leur contribution financière à leur propre défense, c’est surtout pour mieux leur vendre la technologie et le matériel américains, siphonnant ainsi leur budget militaire afin de les tenir davantage sous tutelle.[…]
La Belgique rejoint ainsi quatre autres pays de l’UE qui avaient déjà opté pour le F-35 : le Royaume-Uni, l’Italie, les Pays-Bas et le Danemark. Or, sans aviation de combat autonome, il est difficile d’envisager à terme une émancipation militaire du Vieux Continent, avec des répercussions scientifiques et économiques considérables.[…]
Tour du monde des pays touchés par la vague du populisme
[…] Ces dernières années, d’autres élus ont été qualifiés de populistes en Inde, au Mexique, au Pakistan ou, plus récemment encore, au Québec. Jouant largement sur les controverses qu’ils suscitent, ces dirigeants partagent en commun le souhait de «renverser le système».
Le mot de «populiste» fait débat parmi les politologues, certains le trouvant trop flou, d’autres bêtement dépréciatif. D’autres termes pouvant en partie recouvrir le même phénomène font florès, comme «démocratie illibérale» voire «démocrature». Au-delà du vocable et malgré d’évidentes différences culturelles selon les pays, des problématiques communes émergent en matière de sécurité, d’immigration, de paupérisation des classes moyennes, de peur de la mondialisation. «À certains égards, on peut parler d’une vague national-populiste planétaire», déclarait récemment le politologue Jacques Rupnik au Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po. À l’occasion des élections au Brésil, nous vous proposons un tour du monde des pays que l’on peut qualifier, avec plus ou moins de certitude, de populiste.[…]
Et si le Niger devenait une « plateforme de débarquement » imaginée par l’Union européenne pour filtrer les profils de migrants avant leur arrivée en Europe? Le pays tente déjà avec le soutien de l’UE, de stopper sur son sol, la migration clandestine.
Note : remarquez ici le mensonge et la manipulation, a la 0:46 mn, un "pauvre" passeur qui doit nourrir sa famille, sauf que ce pauvre homme roule dans un Toyota 4 portes, modèle siège cuir , un modèle haut de gamme et beaucoup plus cher qu'une autre marque !
Le coiffeur syrienviolait son apprentie dans la cave.« Je viens d’une autre culture. J’ai cru qu’elle se retenait parce qu’elle était timide »…
Une affaire particulièrement lourde a été traitée mardi par le Tribunal cantonal de Zurich. Sur le banc des accusés: un Syrien de 31 ans. Il était accusé d’avoir harcelé sexuellement plusieurs fois par jour son apprentie, aujourd’hui âgée de 22 ans. Selon 20 Minuten, il ne cessait de lui toucher les fesses tout comme la partie intime. Il l’aurait aussi violée à trois reprises dans la cave du salon de coiffure.
Selon l’acte d’accusation, les agressions ont débuté en septembre 2016. La jeune femme venait alors de commencer sa 3e année d’apprentissage. Son patron aurait profité de chaque occasion pour lui mettre la main aux fesses. Un jour, il lui aurait demandé de le suivre à la cave. La victime a expliqué aux enquêteurs que le trentenaire lui a soudainement baissé le pantalon avant de se coucher sur elle et de la violer. A chaque fois, les viols ont eu lieu un jeudi, jour où la formatrice ne travaillait pas.
«Je viens d’une autre culture»
Lors du procès en 1re instance, qui s’est tenu en juin 2017, le prévenu avait avoué avoir eu des rapports sexuels avec l’apprentie. Selon lui, ils étaient consentis. Mardi, lors de son procès en appel, le Syrien est néanmoins quelque peu revenu sur ses déclarations. Il a avoué qu’il aurait dû «mieux interpréter» les signes de refus de la jeune femme. J’ai cru qu’elle se retenait parce qu’elle était timide», a-t-il ensuite expliqué. Pour finir, il a précisé à la cour qu’il était amoureux d’elle.
Pour finir, les juges ont confirmé la peine prononcée en première instance. Ils l’ont condamné à 4 ans de prison pour viol, tentative de contrainte sexuelle et harcèlement sexuel. Le tribunal a estimé que l’accusé avait profité de sa situation pour assouvir ses besoins.
Fribourg-en-Brisgau (All.) : une jeune femme de 18 ans violée collectivement, sept migrants syriens arrêtés
Après un viol collectif à Fribourg-en-Brisgau, la police allemande a arrêté et placé en détention huit hommes. Ils sont accusés d’avoir violé une jeune femme de 18 ans, selon les indications fournies vendredi par la police et le parquet de Fribourg. Sept des suspects sont de nationalité syrienne et sont âgés de 19 à 29 ans, le huitième est un allemand de 25 ans.
Selon la police, la jeune femme s’est fait offrir une boisson par un inconnu dans une discothèque de Fribourg dans la nuit du 14 octobre. Vers minuit, elle a quitté la discothèque en compagnie de cet homme. Selon la victime, elle aurait tout d’abord été agressée sexuellement par l’un des huit individus dans un buisson. Les sept autres ont ensuite abusé d’elle à tour de rôle.
L’ONG allemande Mission Lifeline s’apprête à envoyer en Méditerranée un nouveau bateau de « secours en mer »
L’organisation d’aide « Mission Lifeline » (Dresde) a acheté un nouveau bateau de sauvetage pour des missions en Méditerranée. Le prix d’achat, 100 000 euros environ, a été couvert par des dons, nous a déclaré Axel Steier, le porte-parole de l’association. Une nouvelle mission doit débuter dans les prochains jours devant la côte libyenne. Le nouveau bateau doit appareiller sous pavillon allemand. Selon Steier, cet enregistrement en Allemagne permet à l’association de contourner des obstacles bureaucratiques à Malte et en Italie. Le premier bateau de sauvetage avait été confisqué cet été par les autorités maltaises. Il naviguait sous pavillon néerlandais.
L’intervention annoncée devant la Libye serait la septième de ces gens de Dresde qui viennent à l’aide des réfugiés. Ils veulent se concentrer sur le repérage et le signalement des naufragés, a fait savoir l’équipage. Le précédent bateau de sauvetage, le « Lifeline », […] avait été confisqué début juillet à Malte. Les secouristes en mer avaient auparavant vécu en Méditerranée une odyssée de plusieurs jours avec 244 réfugiés à bord et ils s’étaient retrouvés au centre d’un débat dans l’ensemble de l’Europe sur le sauvetage des réfugiés.
Claus-Peter Reisch, le capitaine bavarois, est actuellement jugé à Valette (Malte). Les autorités lui reprochent d’avoir fait un faux enregistrement du « Lifeline ». […]
Le capitaine Reisch conteste les reproches qui lui sont faits. Il encourt une peine pouvant aller jusqu’à un an de prison. Le procès doit reprendre le 19 novembre. […]
Créteil (94) : en août, le lycéen qui a braqué sa prof s’était battu avec un policier
Deux mois avant de menacer sa professeure avec une arme factice, l’adolescent de 15 ans avait frappé un gardien de la paix en plein commissariat de Créteil
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