Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Attaque au couteau à Paris : qui est Abdoul Hakim A., l’ami de Khamzat Azimov entendu à la DGSI ?
INVESTIGATIONS - Interpellé dimanche à Strasbourg, Abdoul Hakim A., un ami de Khamzat Azimov, le terroriste qui a fait un mort samedi à Paris, était toujours entendu au siège de la DGSI ce mardi après-midi. LCI revient sur le profil de ce proche qui intéresse tout particulièrement les enquêteurs.
Khamzat Azimov, l’auteur de l’attaque au couteau samedi soir à Paris, a-t-il bénéficié de complicités ? C’est pour répondre à cette question que les gardes à vue de ses parents et d’un de ses amis, Abdoul Hakim A, ont été prolongées lundi. Les enquêteurs s’intéressent tout particulièrement à ce dernier. Né en 1997, il a effectué sa terminale ES à Strasbourg dans la même classe que Khamzat Azimov. Les deux garçons sont devenus amis. D’origine tchétchène également, le jeune homme était dans le collimateur des services de renseignement français depuis son mariage religieux avec Inès Hamza, une Francilienne radicalisée de 19 ans qui avait tenté vainement de partir en Syrie.
C’est d'ailleurs en raison de ses liens avec Abdoul Hakim A. que Khamzat Azimov avait été entendu par la Brigade criminelle de Paris le 6 avril 2017. Fiché S et inscrit au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation islamiste (FSPRT), il se trouvait dans le radar des services de renseignement en raison de "ses relations" plus que de "son propre comportement", a expliqué une source proche de l’enquête. Contrairement à Khamzat Azimov, Abdoul Hakim A. faisait, lui, l’objet d’un suivi accru des services antiterroristes, son profil étant jugé comme un "objectif intéressant".
L'ami de Khamzat Asimov, Abdoul Hakim A., interpellé après l'attaque au couteau qui a fait un mort samedi à Paris était employé en CDD à l'Offi (Office français de l'immigration et de l'intégration) à Strasbourg, a indiqué le directeur général de l'Office, Didier Leschi. Abdoul Hakim A. "travaillait depuis janvier en CDD à l'accueil de l'Ofii, un poste qui n'était pas à responsabilités, et son contrat avait été renouvelé jusqu'à décembre", a indiqué M. Leschi, en précisant qu'il avait été mis à pied lundi.
Lors de son embauche "tous les contrôles légaux ont été effectués, notamment la vérification du casier judiciaire" mais il "n'avait pas de casier", a-t-il ajouté.
EN DIRECT. Bain de sang à Gaza: Netanyahou refuse les «leçons de morale» de la Turquie
L’essentiel :
Le bilan s’alourdit : on recense désormais 60 morts dans les rangs palestiniens, la plupart touchés par des tirs israéliens. Parmi eux, 1 personne a succombé ce mardi à de nouveaux tirs.
Réunion en urgence du conseil de sécurité de l’ONU.
18h15. Israël ordonne au consul général turc de partir. Une réaction sans surprise après les différentes critiques émises par la Turquie et son président Erdogan.
17h21
Après le transfert de l’ambassade américain à Jérusalem, le roi du Maroc Mohammed VI a adressé une lettre au chef de l’État palestinien, Mahmoud Abbas, pour lui exprimer son soutien et sa «profonde inquiétude» face à la décision de Donald Trump. (source)
16h40. Avec les compliments des Etats-Unis ! Israël « a fait preuve de retenue » lors des événements lundi à la frontière avec la bande de Gaza, déclare l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, qui dénonce également le comportement du Hamas, selon elle « satisfait des résultats d'hier ». Pour la diplomate américaine, l’attitude du mouvement palestinien a favorisé les violences. « Les Etats-Unis déplorent les morts mais il y a beaucoup de violence dans la région », estime-t-elle encore.
16h15. La Belgique convoque l'ambassadrice d'Israël et appelle à une enquête internationale sous les auspices de l'ONU sur les violences dans le territoire palestinien.
16 heures. Nouveaux tirs mortels à la frontière : 1 mort. Selon le ministère de la Santé, un Palestinien a été tué aujourd’hui par de nouveaux tirs israéliens tandis que les abords de la frontière sont le théâtre de heurts sporadiques qui n’ont toutefois rien de comparables avec ceux de la veille. Nasser Ghorab, 51 ans, aurait été atteint par balle à l'est du camp de réfugiés d'al-Bureij.
15h55. Le conflit s’invite à l’Assemblée nationale. Dans l’hémicycle, le député LREM Belkhir Belhaddad dénonce l’escalade de la violence au Proche-Orient et appelle la France et l’Union Européenne à « prendre leur responsabilité » pour retrouver la voix du dialogue.
15h50. Reporters Sans Frontières saisit la Cour pénale internationaleconcernant des « crimes de guerre commis par l'armée israélienne contre des journalistes palestiniens », fait savoir l’ONG.
15h45. En France, Le Pen d’accord avec la défense des frontières à tout prix. « Israël a envoyé un message clair sur l’inviolabilité de sa frontière : on peut le juger excessivement, inutilement brutal, mais c’est un message clair », estime sur LCP la présidente du FN. Quant à Donald Trump, qu’elle a jadis grandement soutenu, « il a pris une responsabilité en allumant une allumette près d’une station-essence », concède-t-elle à propos de sa décision de déménager l’ambassade américaine.
Gaza : nouvelle journée à haut risque, réunion d'urgence du Conseil de sécurité
14h50. L’Arabie fâchée par le transfert de l’ambassade US à Jérusalem. « Cette démarche constitue un acte d’une grande partialité contre les droits des Palestiniens qui ont été garantis par les résolutions internationales », a affirmé le conseil des ministres d’Arabie saoudite, réuni autour du roi Salmane.
Note : retournement de situation, alors que l'Arabie saoudite ne sait jamais opposé a l’ouverture de cette embrassade, voilà qu'elle change d’avis ! (lorsque la guerre viendra elle se rangera du côté de l’Iran, quoiqu'elle ait toujours considéré ce pays comme l'ennemie chiite à abattre)
14h30. Netanyahou v. Erdogan.Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou refuse les propos du président turc Recep Tayyip Erdogan qui a qualifié Israël « d’Etat terroriste ». « Erdogan est parmi les grands supporters du Hamas et il ne fait aucun doute qu’il comprend parfaitement le terrorisme et les massacres. Je suggère qu’il ne nous donne pas de leçons de morale », a-t-il accusé dans un communiqué.
14h28. Deuil national… en Turquie. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a décrété trois jours de deuil national et annoncé pour vendredi un vaste rassemblement de protestation.
14h15. Des manifestations en Turquie et en Afrique du Sud. Des opposants à la politique d’Israël se font entendre dans plusieurs pays. A Ankara (Turquie), des manifestants ont lancé des œufs et des pierres sur l’ambassade d’Israël. Au Cap (Afrique du Sud), des pro paix appellent à boycotter les produits venant d’Israël.
14h05. Des blessés à Bethléem.Selon le quotidien Haaretz, douze personnes ont été blessées dans la ville de Bethléem par des balles en caoutchouc tirées par des soldats israéliens. Plus d’une trentaine ont été incommodées par des gaz lacrymogènes, selon le ministère palestinien de la Santé.
14 heures. Dix membres du Hamas tués hier. Parmi les personnes abattues lundi par l’armée israélienne, ou qui ont succombé à leurs blessures, dix apparaissent comme des membres de la sécurité intérieure du Hamas, selon les images des « martyres » diffusées par l’autorité palestinienne.
13h05. L’appel de la Turquie aux pays musulmans. Par la voix de son Premier ministre, la Turquie a appelé les pays musulmans qui entretiennent des relations avec Israël à les « reconsidérer ». « Le monde musulman doit agir d’une manière collective et parler d’une seule voix face à ce massacre », a ajouté Binali Yildirim lors d’une réunion du groupe parlementaire du parti au pouvoir. Il a enfin émis le souhait qu’un sommet extraordinaire de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) ait lieu vendredi.
12h30. Les manifestations vont recommencer. A travers toute la bande de Gaza, les Palestiniens enterrent les leurs tués la veille. Les Gazaouis devraient à nouveau prendre la direction de la barrière de sécurité israélienne dans l’après-midi. Khalil al-Hayya, l’un des responsables du Hamas, le groupe islamiste qui dirige Gaza, a assuré lundi soir que le mouvement allait se poursuivre.
12h20. Des heurts disparates. A Hebron près d’El Bireh, des Palestiniens se sont confrontés à l’armée israélienne. Deux Palestiniens ont été légèrement blessés par balle, l’un au ventre, l’autre à l’épaule, et hospitalisés.
Note: Hebron est la ville a surveillée
C 8 - Q 16
Au lieu que HIERON fait la nef fabriques. Si grand deluge sera & si subite, Qu'on n'aura lieu ne terre s'attaquer, L'onde monter Fesulan Olympique.
Au lieu du sanctuaire religieux (Hébron) fabriqué (état d'Israël 1948). Sera si grande révolution & si subite, Qu'il n'aura ni lieu ni territoire qui ne serons attaquées, L'onde montera jusqu’à Fiesole (Toscane Italie) - au jeux Olympique !?.
10h40. Le FN défend Israël. Le député Louis Aliot, compagnon de la présidente du FN Marine Le Pen, a estimé mardi qu’Israël avait « défendu (sa) frontière » lundi. « Le Hamas a poussé les masses palestiniennes à franchir la frontière », a-t-il affirmé sur Sud Radio. Le Front national défend la reconnaissance d’un Etat palestinien en même temps que la garantie, par les Nations arabes, des frontières israéliennes.
9h25. Cerfs-volants explosifs. Selon le journal Yedioth Ahronoth, l’armée israélienne a recensé 25 cerfs-volants envoyés depuis Gaza vers Israël, dont 17 étaient porteurs de produits inflammables.
9h20. Le bilan des manifestations. Lundi, 40 000 personnes ont manifesté en treize villes des territoires palestiniens.
9h10. 3 000 policiers à Jérusalem. Craignant la contagion, les autorités israéliennes ont, selon la presse locale, déployé 3 000 policiers dans la « ville sainte » si disputée.
Gaza : nouvelle journée à hauts risques, le Conseil de sécurité se réunit en urgence
Les soldats israéliens ont tué, hier, 55 Palestiniens lors de heurts et de manifestations contre l'inauguration de l'ambassade américaine à Jérusalem.
Faut-il craindre un nouveau bain de sang ? Au lendemain des affrontements violents à la frontière entre la bande de Gaza et Israël, qui ont fait 55 morts parmi les Palestiniens -dont un bébé qui a inhalé du gaz lacrymogène- on peut le craindre.
Hier, était le point culminant d'une mobilisation, la "marche du retour" qui a vu, depuis le 30 mars des milliers de Gazaouis se rassembler le long de la frontière pour revendiquer le droit des Palestiniens à retourner sur les terres dont ils ont été chassés ou qu'ils ont fuies à la création d'Israël en 1948.
L'inauguration de l'ambassade américaine à Jérusalem, hier, a attisé davantage la colère des Palestiniens.
Ces heurts sanglants pourraient se poursuivre ce mardi pour les 70 ans de la Nakba, la "catastrophe" qu'a constituée pour les Palestiniens la création d'Israël en 1948 et qui a été synonyme d'exode pour des centaines de milliers d'entre eux. Des appels ont été lancés pour une grève générale et à la mobilisation.
Réunion du Conseil de sécurité
Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir mardi. Organisée à l'initiative du Koweït, la réunion est programmée à 14 heures GMT, selon des sources diplomatiques. Ces événements ont suscité une vive inquiétude internationale.
La Turquie et l'Afrique du Sud ont décidé de rappeler leur ambassadeur en Israël.
Les adversaires d'Israël et des organisations de défense des droits de l'Homme ont de nouveau condamné l'Etat hébreu pour usage disproportionné de la force.
Les ONG Amnesty International est allé jusqu'à évoquer des "crimes de guerre".
L'Union européenne et Londres ont appelé à la retenue, Paris a "condamné les violences".
L'Iran a dénoncé un "jour de grande honte".
La Turquie a accusé Israël de "terrorisme d'Etat" et de "génocide", estimant que les Etats-Unis partageaient la responsabilité du "massacre" à Gaza.
L'Etat hébreu réfute le caractère proclamé pacifiste de la mobilisation àGazaet dit qu'elle sert de couverture aux tentatives du Hamas de s'infiltrer en Israël.
Selon l'armée israélienne, au moins trois équipes d'hommes en armes ont essayé de disposer des explosifs le long de la barrière et plusieurs membres du Hamas se sont déguisés en civil pour se fondre parmi les manifestants. Israël a bombardé lundi plusieurs positions du mouvement islamiste.
Ankara invite l'ambassadeur israélien à quitter le territoire turc
Alors que la situation dans la bande de Gaza empire, le ministère turc des Affaires étrangères a convoqué l'ambassadeur israélien à Ankara et lui a proposé de quitter le territoire turc.
Ankara désire que l’ambassadeur israélien en Turquie quitte le pays et l’a informé de son souhait, a appris l’agence Sputnik auprès d’un représentant du ministère turc des Affaires étrangères.
Il «a été informé du rappel de l’ambassadeur turc à Tel Aviv pour consultation. En outre, il a été invité à regagner son pays», a informé l’interlocuteur de l’agence.
Ouverture de l’ambassade US à Jérusalem: Riyad prend le parti des Palestiniens
Au lendemain de l’ouverture de l’ambassade américaine à Jérusalem, le Conseil des ministres saoudiens a fustigé cette mesure en la qualifiant d’«acte d'une grande partialité». Lundi des dizaines de milliers de Palestiniens ont protesté contre le transfert de l’ambassade.
Le Conseil des ministres saoudiens a dénoncé mardi le transfert de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, informe l'agence de presse saoudienne SPA.
«Cette démarche constitue un acte d'une grande partialité contre les droits des Palestiniens qui ont été garantis par des résolutions internationales», écrit l'agence en se référant à un communiqué du Conseil des ministres.
Le Kremlin se prononce sur la situation à la frontière de la bande de Gaza
Moscou a exprimé sa préoccupation au sujet du sang qui coule à flots du côté palestinien de la frontière entre la bande de Gaza et Israël après le transfert de l'ambassade des États-Unis à Jérusalem. Selon le Kremlin, il faut éviter «toute action provoquant de telles tensions».
Les Houthis du Yémen ont tiré un missile sur la base militaire de Jizan, a annoncé la chaîne Al-Masirah. Pour le moment, les autorités saoudiennes s'abstiennent de tout commentaire.
Les miliciens chiites Houthis ont tiré une roquette mardi en direction de la base militaire du roi Faiçal à Djizan dans le sud de l'Arabie saoudite, a rapporté la chaîne de télévision Al Massirah, qui est contrôlée par les Houthis.
Note: Vidéo venant de la chaine iranienne Press TV.
Je pensais que les Iraniens aller démentir les craintes américaines, mais au contraire les Iraniens demandent aux Américains de partir de la Syrie pour éviter le pire
Un coup de couteau dans le dos: pourquoi le Pantsir-S1 en Syrie a été pris au dépourvu
A la guerre tous les moyens sont bons s'ils mènent à la victoire, mais sur la vidéo publiée par Tsahal récemment on remarque que le Pantsir syrien n'était pas en mode opérationnel. En d'autres termes, les Israéliens ont détruit le véhicule non pas lors d'un combat aérien, mais en lui tirant «dans le dos».
Très peu d'informations sont disponibles pour l'instant et il n'est donc pas possible de tirer des conclusions définitives sur la frappe israélienne contre un véhicule de défense antiaérienne Pantsir-S1 en Syrie, estime le quotidien Gazeta.ru.
A en juger par la vidéo diffusée par l'armée israélienne, le Pantsir n'était pas en mode opérationnel au moment de l'attaque et n'était pas du tout camouflé. Le véhicule antimissile n'était donc absolument pas paré au combat, et était en mode non-déployé.
Voici une photo du couple ( Cette photo de famille doit remonter à deux ou trois ans. et de ses quatre enfants qui ont participé aux attentats islamistes contre les trois églises de Suramaya, et qui y ont tous perdu la vie. C’est le père, Dita Oepriarto (46 ans), qui a conduit son épouse Puji Kuswati, 42 ans, et leurs deux fillettes sur le lieu d’un des trois attentats, avant d’aller se faire exploser dans son véhicule contre la Pentecost Central Church. La mère s’est fait exploser, avec ses deux fillettes, devant l’église catholique Santa Maria, tandis que les deux garçons à moto ont pris pour cible l’Indonesian Christian Church… Horreur !
L’origine tchétchène du terroriste au cœur des interrogations (Màj)
Pour l’iman Tchétchène de Nice: « il ne faut pas faire d’amalgames »
[…] « Selon la Direction générale de la sécurité intérieure, de 7 à 8 % "des Français" impliqués dans les filières djihadistes syro-irakiennes sont d’origine tchétchène, qu’ils soient candidats au départ, combattants ou simples soutiens, rappelle Jean-Charles Brisard, président du Centre d’analyse du terrorisme. Il s’agit d’une proportion significative. » « Plus de 60.000 Tchétchènes sont aujourd’hui installés en France, un certain nombre sont sensibles à l’État islamique, c’est un sujet sur lequel nos services de renseignement sont alertés », affirme la sénatrice UDI Nathalie Goulet. Toutefois, tempère Alain Chouet, ancien chef de service à la Direction générale de la sécurité extérieure, « il n’y a pas vraiment ce qu’on peut appeler une filière. Mais il y a le fait que, à la suite de la guerre en Tchétchénie, l’Europe occidentale a accueilli un grand nombre de réfugiés, dont un certain nombre ont dérapé. » ...
La famille du terroriste n’a pas été protégée par l’Ofpra qui a rejeté sa demande. Elle a obtenu son statut de réfugié en faisant appel de cette décision devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA)
CNews | l’heure des pros | 14-5-2018
(…) Né en novembre 1997 en Tchétchénie, Khamzat Azimov est arrivé en France avec ses parents au début des années 2000, période à laquelle cette république musulmane russe du Caucase traversait une deuxième guerre, après celle des années 1990. Il grandit à Nice, puis à Strasbourg, dans le quartier populaire d’Elsau, où vit une importante communauté tchétchène, selon une source proche du dossier. En 2004, la famille bénéficie du statut de réfugié, avant que la mère n’obtienne la nationalité française six ans plus tard, permettant ainsi la naturalisation de son fils, alors âgé de 13 ans. La demande de naturalisation du père, séparé de sa femme, est, elle, refusée.
Selon les informations du Monde, cette famille n’a pas été protégée par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) qui a rejeté sa demande. Elle a obtenu son statut de réfugié dans un second temps en faisant appel de cette décision devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).
Attentat à Paris : Le Drian condamne les propos du leader de Tchétchénie, Ramzan Kadyrov
La France a dénoncé lundi la posture "franchement insupportable" du dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, qui a imputé à la France la "responsabilité" de l'attaque commise samedi à Paris par Khamzat Azimov, un Français originaire de Tchétchénie.
Rennes: Une femme menace des passants avec une arme en criant «Allahou akbar»
La scène s’est déroulée lundi matin, square Charles Dullin, à Rennes. A deux pas de la caserne de gendarmerie située boulevard Clémenceau. Une femme âgée de 28 ans a sorti une arme de type pistolet qu’elle a braquée sur des passants en lançant plusieurs «Allahou akbar».
Alertés par les passants, les policiers ont envoyé une patrouille sur place. Souffrant visiblement de troubles psychologiques, la femme a braqué son arme vers les policiers, avant de la poser à terre et d’être interpellée. Après vérification, l’arme s’est révélée factice, précise un enquêteur. Il s’agissait d’une réplique fonctionnant avec des billes.
Placée en hôpital psychiatrique
La femme n’a pas pu être entendue. Le médecin a jugé son état incompatible avec la garde à vue. Elle a été transportée à l’hôpital psychiatrique Guillaume-Régnier. Elle est déjà connue des services de police.
Propagande turque à l’école primaire en Suisse. (MàJ : « C’est ainsi que l’on crée des sociétés parallèles avec un islam agressif »)
14/05/2018
Des politiciens suisses craignent de voir le régime turc influencer la scolarité de sa diaspora hors de ses frontières. Ils exigent des mesures.
[…] Berne risque d’avoir fort à faire durant les mois à venir. Selon la SonntagsBlick, le ministère des Turcs de l’étranger a lancé un important programme d’enseignement turc dans 15 pays, dont la Suisse, afin d’empêcher l’assimilation de ses jeunes expatriés. Il s’agit d’enseigner durant le week-end l’histoire turque sous le prisme de l’islam et de l’empire ottoman. Selon certaines sources, Ankara aimerait ouvrir en Suisse une dizaine de classes.
Le conseiller national Peter Keller (UDC/NW) ne cache pas son inquiétude. «C’est ainsi que l’on crée des sociétés parallèles avec un islam agressif. Nous n’en voulons pas en Suisse.» Il exige des mesures concernant les LCO, notamment sur le contenu et les enseignants.
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