Un obus guidé russe Krasnopol a démantelé une base de drones des terroristes dans la province d'Idlib, en Syrie, a fait savoir le ministère russe de la Défense.
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Le 13 janvier 2018
Israël poursuit son expansion coloniale, la France condamne
Israël a donné son feu vert à la construction de plus de 1 100 logements de colons dans les Territoires palestiniens. Selon l'organisation La Paix Maintenant, le gouvernement israélien a approuvé mercredi 10 janvier la construction prochaine de 1 122 unités d'habitations dans différentes colonies israéliennes de Jérusalem-Est. La France a immédiatement condamné cette décision qui nuit à la recherche d'une paix juste et durable et entrave la solution des deux Etats selon le ministère des Affaires étrangères français qui demande l'arrêt de la colonisation.
Destruction d’un entrepôt de drones de terroristes à Idlib, en Syrie (vidéo)
L'artillerie russe a neutralisé un entrepôt de drones terroristes dans la province syrienne d'Idlib, a annoncé vendredi le ministère russe de la Défense.
«Les services russes de renseignement militaire ont découvert dans la province d'Idlib le lieu de l'assemblage et de stockage de drones par les terroristes. L'entrepôt a été détruit par une frappe d'un obus guidé de haute précision Krasnopol», a indiqué un représentant du ministère.
Le ministère a souligné que les moyens employés par les terroristes n'avaient pu leur être fournis que par un pays avancé technologiquement. Il a également mis en garde contre d'éventuelles attaques de ce genre dans n'importe quel autre pays du monde.
L'origine des puissants explosifs utilisés dans l'attaque à Hmeimim établie
Les militaires russes ont établi d’où pourraient provenir les puissants explosifs utilisés par les terroristes lors de la récente attaque aux drones contre des sites russes en Syrie, selon l'État-major général des forces armées russes.
Les puissants explosifs utilisés sur les drones qui ont attaqué dans la nuit du 5 au 6 janvier des sites russes à l'aérodrome syrien de Hmeimim sont produits dans plusieurs pays dont l'Ukraine, a annoncé jeudi Alexandre Novikov, chef du département pour la construction et le développement des drones de l'État-major général russe.
«Les premières éléments de l'enquête ont démontré qu'il s'agissait du tétranitrate de pentaérythritol (PETN), plus puissant que l'hexogène (RDX). Cet explosif est produit dans plusieurs pays et notamment en Ukraine, à l'usine de réactifs chimiques de Chostka. On ne peut pas fabriquer cet explosif de manière artisanale ou l'extraire d'autres munitions», a noté M.Novikov.

Le responsable a en outre déclaré que les terroristes avaient lancé leur attaque avec un type d'avions sans pilote qu'ils n'avaient jamais utilisé.
«Les terroristes ont jusqu'ici utilisé les drones pour des missions de reconnaissance et presque jamais pour effectuer des frappes», a noté M.Novikov.
Chacun des treize drones ayant attaqué la base de Hmeimim transportait 10 bombes de 400 grammes bourrées de billes en métal, a-t-il précisé.
«Les munitions utilisées sur les drones sont dignes d'attention. C'étaient des bombes artisanales d'environ 400 grammes dotées de billes en métal dont la portée était de 50 mètres. Chaque drone engagé dans cette attaque était muni de 10 munitions de ce type», a indiqué M.Novikov.
Notes : combien de temps avant que des terroristes attaquent une ville européenne avec se style d'attaque ?
Une deuxième division de S-400 mise en service en Crimée samedi
Une division de missiles sol-air S-400 destinée à protéger l'espace aérienne à la frontière russo-ukrainienne sera implantée dans la péninsule de Crimée.

Selon une source contactée précédemment par Sputnik, la nouvelle division aura notamment pour mission de contrôler l'espace aérien à la frontière russo-ukrainienne. Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a pour sa part souligné que l'implantation de S-400 en Crimée ne devait pas être considérée comme une menace adressée à qui que ce soit.
Birmanie : l’armée reconnaît pour la première fois l’existence d’un charnier de Rohingya
L’armée birmane a admis, mercredi 10 janvier, son implication dans le massacre de dix Rohingya. Pour la première fois, elle a aussi reconnu l’existence, dans l’Etat de l’Arakan (nord), d’un charnier de membres de cette minorité musulmane victime d’exactions depuis des mois.
Dans un message publié sur Facebook par le bureau du chef de l’armée sur Facebook, ce dernier reconnait que le 2 septembre 2017 dans l’Etat de l’Arakan, « Des habitants du village d’Inn Din et des membres des forces de sécurité » ont tué dix Rohingya. Dans son compte rendu, l’armée précise que les forces de sécurité ont d’abord fait prisonniers les dix personnes évoquées avant de les tuer « dans un cimetière ».
Iran : Trump reste dans l’accord sur le nucléaire mais lance un ultimatum
"C'est la dernière chance", a déclaré le président américain, exigeant un "accord" avec les Européens pour "remédier aux terribles lacunes" du texte
Les Etats-Unis restent pour l’instant dans l’accord historique de 2015 sur le nucléaire iranien mais Donald Trump a lancé vendredi un ultimatum aux Européens afin qu’ils l’aident à le durcir dans les prochains mois s’ils veulent éviter un retrait pur et simple de Washington.
Le président américain a confirmé la suspension des sanctions économiques contre l’Iran levées dans le cadre de cet accord conclu avec Téhéran et les autres grandes puissances (Chine, Russie, France, Allemagne et Royaume-Uni). Mais la Maison Blanche a prévenu qu’il s’agit « de la dernière suspension ».
« C’est la dernière chance », a lancé Donald Trump dans un communiqué, exigeant un « accord » avec les Européens pour « remédier aux terribles lacunes » du texte, que tous les autres signataires défendent mordicus car il est censé empêcher l’Iran de se doter de l’arme atomique.
« En l’absence d’un tel accord » avec les Européens, les Etats-Unis réimposeront les sanctions liées au nucléaire iranien, a-t-il prévenu, ce qui signerait la mort immédiate du pacte conclu il y a deux ans et demi à Vienne. « Et si à tout moment j’estime qu’un tel accord n’est pas à notre portée, je me retirerai de l’accord » de 2015 « immédiatement », a-t-il menacé.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a aussitôt dénoncé « des tentatives désespérées de saboter un accord multilatéral solide » qui, a-t-il insisté, « ne peut être renégocié ».
Concrètement, l’ultimatum américain laisse 120 jours, jusqu’à la prochaine échéance de suspension des sanctions, pour trouver une entente avec les Européens sur « un accord de suivi » visant à durcir les conditions du texte initial, a expliqué un haut responsable de l’administration américaine. Et ce, sans inclure dans le processus les Iraniens, pourtant signataires de l’accord de Vienne.
Parallèlement, Donald Trump a appelé une nouvelle fois le Congrès américain à adopter une loi durcissant unilatéralement les exigences à l’égard de l’Iran et permettant à Washington de rétablir automatiquement les sanctions sur le nucléaire si Téhéran ne respecte pas ces conditions.
Les « pays de merde » réclament des excuses à Donald Trump
Une nouvelle fois, le président américain a choqué au-delà de ses frontières. Les ambassadeurs du groupe africain aux Nations unies (ONU) ont exigé, vendredi 12 janvier, dans un communiqué au langage très fort, des « rétractations » et des « excuses » à Donald Trump. Après une réunion d’urgence qui a duré quatre heures, le groupe se dit à l’unanimité « extrêmement choqué » et « condamne les remarques scandaleuses, racistes et xénophobes » de Donald Trump « telles que rapportées par les médias ».
Le groupe est « préoccupé par la tendance continue et grandissante de l’administration américaine vis-à-vis de l’Afrique et des personnes d’origine africaine à dénigrer le continent, et les gens de couleur » ; se déclarant « solidaire du peuple haïtien et des autres qui ont également été dénigrés » tout en remerciant « les Américains de toutes origines qui ont condamné ces remarques ». « Pour une fois, on est unis », a souligné un ambassadeur à l’Agence France-Presse (AFP), sous couvert d’anonymat.
Jérôme Fourquet : « L’islam est désormais perçu comme une menace par une frange importante des chrétiens »
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN – Avec À la droite de Dieu, Jérôme Fourquet décrit le grand retour des catholiques à la politique. Manif Pour Tous, primaires de la droite, chrétiens d’Orient… le directeur du Département opinion et stratégies d’entreprise de l’IFOP nous plonge au cœur de la «cathosphère».
Vous estimez également qu’il y a eu un changement dans la perception qu’ont les catholiques de l’islam?
Même si on ne peut jamais dater précisément un tel changement, il semble que l’assassinat du Père Hamel dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray ait cristallisé cette évolution. On observait déjà un bruit de fond auparavant: les agressions sexuelles survenues à Cologne, les attentats terroristes ou encore les meurtres de populations chrétiennes commis par Daesh ont provoqué un raidissement des catholiques sur la question de l’islam. Puis dans un second temps, les catholiques ont progressivement pris conscience qu’ils étaient minoritaires dans leur propre pays. En face, une population musulmane cohabite désormais avec eux sur un territoire qui a de plus en plus de mal à revendiquer ses racines chrétiennes.
Le choc des images est important: on voit d’un côté des églises fréquentées par des personnes de plus en plus âgées, et qui ne sont plus remplies, tandis que de l’autre côté la population musulmane est plus jeune, et surtout, elle est confinée dans des salles de prière qui ne suffisent plus à contenir toute la communauté. Cette concurrence visible inquiète de plus en plus une partie des catholiques. Quand le Père Hamel meurt assassiné en juillet 2016, l’islam est désormais perçu non plus comme une religion concurrente mais comme une menace par une frange importante des chrétiens. Cette menace physique potentielle se rappelle régulièrement à eux: les catholiques peinent à accepter de devoir se rendre à la messe de Noël sous la vigilance de soldats en armes. Symboliquement, le message qu’ils ressentent est très fort.
(…) Le Figaro
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Le 11 janvier 2018
A Bruxelles, les Européens répètent leur soutien à l’accord nucléaire avec l’Iran
Alors que Donald Trump pourrait décider de nouvelles sanctions, la « troïka » juge que le texte de 2015 garantit « la préservation de la paix »
A la veille d’une possible décision de Donald Trump sur le rétablissement de sanctions économiques contre l’Iran, les responsables européens ont voulu redire, jeudi 11 janvier, leur soutien très ferme à l’accord sur le nucléaire conclu en 2015 avec Téhéran, sous l’égide des Etats-Unis, de la France, de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne, de la Chine et de la Russie.
Lire notre éditorial : Divisions transatlantiques sur l’Iran
A l’issue d’une réunion convoquée à la hâte avec les ministres français, britannique et allemand des affaires étrangères, la haute représentante Federica Mogherini a déclaré que l’accord avec Téhéran « marche ». « Il rend le monde plus sûr et empêche une course à l’armement nucléaire potentielle dans la région, a-t-elle indiqué après une rencontre de la « troïka » européenne avec le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif. Nous attendons de toutes les parties qu’elles continuent de pleinement mettre en œuvre cet accord. »
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Pourquoi Pyongyang a soudainement décidé d’entamer les négociations avec Séoul
Pour la première fois depuis deux ans, des représentants de Pyongyang et de Séoul se sont réunis à la frontière entre les deux Corées pour convenir de la participation des athlètes nord-coréens aux Jeux olympiques de Pyeongchang et évoquer l'établissement d'un dialogue bilatéral au niveau militaire.
Le quotidien Izvestia analyse la situation actuelle sur la péninsule de Corée marquée par la première réunion depuis deux ans des représentants de la Corée du Nord et celle du Sud.

Moscou et Pékin l'ont salué, tandis que les Japonais et les Américains ont affiché leur méfiance vis-à-vis de ce contact entre le Nord et le Sud. Les observateurs y voient une étape préliminaire avant une éventuelle normalisation des relations entre les deux pays. En acceptant soudainement d'établir le contact avec Séoul, Pyongyang pourrait sciemment chercher à diviser l'alliance militaro-politique entre les USA et la Corée du Sud.
Le secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah : Je ne suis pas inquiet de la situation en Iran ; j’ai rencontré le Fatah et d’autres factions palestiniennes pour discuter du soutien à l’Intifada ; une guerre à grande échelle sera l’occasion de libérer Jérusalem
Extrait :
Si Trump ou Netanyahou veulent pousser la région dans une guerre à grande échelle, nous devrions étudier et examiner [les options], et nous préparer… Pourquoi ai-je parlé d’« au-delà de la Galilée » ? Puisse cette guerre à grande échelle qui nous sera imposée devenir une occasion de libérer Jérusalem, et pas seulement la Galilée. […]
J’ai déclaré que dans la prochaine guerre, nous aurions des centaines de milliers [de combattants], et quelques jours plus tard, Abdul-Malik Al-Houthi a déclaré en direct à la télévision, que lui et les forces djihadistes yéménites étaient prêts à participer à cette guerre. En outre, dans le cadre de nos contacts, j’ai reçu un message direct, après mon discours et avant qu’Abdul-Malik Al-Houthi ne l’annonce à la télévision. Le message était : en cas de guerre, et si vous avez besoin de forces, nous sommes prêts à envoyer des dizaines de milliers de combattants, même si la guerre saoudo-américaine contre nous n’est pas finie. […]
J’ai dit aux moudjahidines de la résistance : préparez-vous au jour où le commandement de la résistance vous demandera peut-être d’entrer en Galilée, ou de la libérer. Car ce qui se trouve au-delà de la Galilée est relié à l’idée générale. Si une guerre à grande échelle éclate dans la région, tout sera possible. […]
Peu importe le nombre de missiles que nous possédons, croyez-moi : nul besoin de 100 000 à 200 000 missiles pour vaincre l’ennemi israélien.
Note : encore une fois, les prophéties de Nostradamus font bien comprendre qu'il va se passer quelque chose de soudain et brutal en Israël et que cela se propagera au reste du monde
Après le meurtre du rabbin, Friedman accuse les Palestiniens d’empêcher la paix
L’ambassadeur américain en Israël, David Friedman a lancé une virulente attaque contre les Palestiniens et leurs dirigeants mercredi, les tenant pour responsables de l’absence de paix avec Israël.
« Un Israélien père de six enfants a été tué de sang-froid hier soir par des terroristes palestiniens », a écrit M. Friedman sur Twitter mercredi après la mort du rabbin Raziel Shevach, un père de 6 enfants, âgé de 35 ans, tué par balles en Cisjordanie mardi soir.
« Le Hamas tresse les louanges des meurtriers et les lois de l’Autorité palestinienne vont récompenser financièrement les auteurs de l’attaque. Ne cherchez pas plus loin pour voir pourquoi il n’y a pas de paix », a ajouté le diplomate.
Les Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée de l’organisation terroriste palestinienne du Hamas, ont salué l’attaque.
« Je tiens à féliciter l’ambassadeur américain Friedman qui a tweeté une vérité, sans fard et sans détour », a déclaré Benjamin Netanyahu mercredi aux journalistes étrangers lors d’une réception du Nouvel An organisée par le Bureau de presse du gouvernement à Jérusalem.
Attaque contre Hmeimim: Moscou détecte d’où les drones étaient lancés
Les drones qui avaient attaqué la base militaire russe Hmeimim en Syrie, ont été tirés depuis le sud-ouest de la zone de désescalade d'Idlib, contrôlée par l'«opposition modérée», a annoncé mercredi le journal Krasnaya Zvezda, organe officiel du ministère russe de la Défense.
«Il a été établi que le lancement des drones avait été effectué à partir de la localité de Muazar, située dans la partie sud-ouest de la zone de désescalade d'Idlib contrôlée par les formations armées de l'opposition soit disant "modérée"», indique le communiqué.
Le ministère russe de la Défense a envoyé des lettres au chef d'état-major turc Hulusi Akar et au chef de l'Organisation nationale turque du renseignement, Hakan Fidan.
Troisième nuit de heurts en Tunisie, des centaines d'arrestations
Tunis - Des heurts ont éclaté pour une troisième nuit consécutive entre forces de l'ordre et jeunes dans plusieurs villes de Tunisie, où plus de 600 personnes ont été arrêtées depuis lundi, a indiqué jeudi le ministère de l'Intérieur.
Les autorités ont toutefois jugé que l'intensité des violences, alimentées par une grogne sociale, avait diminué.
Les troubles ont éclaté lundi alors que s'approche le septième anniversaire de la révolution tunisienne, qui réclamait travail et dignité et a chassé du pouvoir le dictateur Zine el Abidine Ben Ali le 14 janvier 2011.
Ils interviennent également à quelques mois de la tenue prévue d'élections municipales, attendues de longue date pour consolider la transition démocratique.
Israël : trois Français, dont le neveu d'Edouard Philippe, poignardés à Eilat et rapatriés en France
Info du 9 janvier
Trois Français, dont le neveu du Premier ministre Edouard Philippe, ont été poignardés jeudi 4 janvier à Eilat, station balnéaire du sud d'Israël, selon la correspondante de franceinfo sur place. Ils auraient été touchés au niveau du bas du corps.
Selon le Quai d'Orsay, qui ne confirme pas l'identité des victimes, les trois hommes ont été rapatriés en France vendredi 5 janvier "après avoir reçu l'assistance consulaire appropriée".
Les suspects en fuite
"Une enquête policière est toujours en cours" pour connaître les circonstances de cet incident, précise à franceinfo Micky Rosenfeld, porte-parole de la police israélienne. "Les suspects ont fui la scène immédiatement après l'agression", explique-t-il.
Pour enrayer son déclin, l'armée britannique fait du pied aux musulmans, aux femmes et aux gays
L’armée du Royaume-Uni fait campagne pour attirer de nouvelles recrues. Confrontée à un déficit de personnel et souhaitant accroître la diversité de ses troupes, elle a produit des vidéos s’adressant aux homosexuels, aux femmes et aux minorités.
Notes ; du temps que les musulmans se tapent dessous et renforcent leurs savoir faire militaire, les anglais eux veulent une armée de gays et de musulmans !
Rennes : l'étudiante radicalisée voulait frapper des lieux festifs
Son profil, particulièrement atypique, n'en finit pas d'étonner policiers et magistrats. Selon nos informations, une étudiante de 19 ans, inscrite à la Sorbonne à Paris, projetait de commettre un attentat dans des lieux festifs à Rennes (Ille-et-Vilaine). Son arrestation ainsi que celle d'un autre jeune radicalisé à Villeurbanne (Rhône) avaient été révélées par Le Figaro, le 28 décembre dernier.
Née à Toulouse et domiciliée à Épinay-sous-Sénart (Essonne), la jeune femme n'avait jamais attiré jusqu'à présent l'attention des services antiterroristes. Elle a été identifiée alors qu'elle tentait de se procurer un fusil d'assaut kalachnikov via l'application de messagerie cryptée Telegram. Placée en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la jeune femme, qui vivait en couple, a reconnu d'emblée être « une islamiste convaincue, fière des attentats commis en France », revendiqués par l'organisation État islamique.
Nicolas Bay à une grand reporter : «Le premiers demandeurs d’asile sont les Albanais. Ils ne fuient pas la guerre.»
Nicolas Bay (FN) à Elsa Freyssenet (grand reporter aux Echos) : «Les chiffres officiels du gouvernement montrent que ceux qui viennent en France, viennent pour l’immense majorité d’entre eux pour des raisons économiques. Est-ce que vous savez par exemple que le premier pays “pourvoyeur” de demandeurs d’asile vers la France est l’Albanie ? Donc ils ne fuient pas la guerre, ils fuient des situations économiques difficiles. Le deuxième pays, vous savez lequel c’est ? C’est Haïti. Ils fuient pas la guerre, ils fuient des situations économiques. Et la Syrie arrive bien après !»
– LCI, 10 janvier 2018, 21h19
Le reste de l'actualité sur le site français de souche
Les chrétiens persécutés sur christianophobie.fr
L’avancé de l’Islam en France sur islamisation.fr
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