Quatre personnes ont été interpellées le 16 août dernier, à Perpignan (Pyrénées-Orientales), après un refus d’obtempérer, ont indiqué les policiers, mardi après-midi. Ce soir-là, des agents de la Brigade anticriminalité, incognitos car vêtus de tenues civiles, étaient verbalement apostrophés, à un feu rouge, par le conducteur d’un véhicule haut de gamme. A l’intérieur de la voiture, se trouvaient deux autres hommes et une jeune femme.

Rapidement, les policiers découvrent que ce véhicule avait été volé, quelques heures plus tôt, à Narbonne (Aude). L’automobiliste est soupçonné d’avoir fui, à vive allure, et d’avoir pris des risques inconsidérés pour leur échapper. Il terminera sa course dans une vigne.

Le suspect est accusé d’avoir pris la fuite à pied, à travers les champs, en jetant des pierres sur les policiers, sans les atteindre. En vain. L’homme a été rattrapé et interpellé, non sans mal. Décrit comme « violent et très agressif » par les forces de l’ordre, l’homme est accusé de s’en être pris physiquement à eux. L’un des policiers a été blessé.

Les quatre occupants du véhicule ont finalement été placés en garde à vue. Deux passagers, âgés de 31 et 32 ans, étaient en situation irrégulière sur le territoire français. Ils ont été conduits au centre de rétention administrative de Perpignan. Quant au conducteur, il a été laissé libre, sous contrôle judiciaire, en attendant son procès, en 2024.

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Note; et oui, en France les policiers sont en prison en attendant leurs procès, et la racaille (migrante et étrangère, en situation de fraude) est laissée libre !  Et que dire de nos policiers qui se font maltraiter par la racaille, ou ce suicide à cause de leurs hiérarchies.

Le grand nombre de policiers qui se suicide en France démontre que la France va très mal, et qu'elle est gangrénée par des gouvernements pourris jusqu'à l'os

Le mis en cause, qui avait donné rendez-vous à la victime en gare de Versailles – Chantiers, lui a assené un coup de couteau avant de se refugier dans un train du RER C.

Un rendez-vous qui a très mal tourné. La victime, un homme âgé de 29 ans, a été violemment agressée au gaz lacrymogène avant de recevoir un coup de couteau à l’arrière de la cuisse.

Les policiers, qui étaient à la recherche d’un individu de forte corpulence et armé d’un couteau, sont rapidement tombés sur le mis en cause. L’homme était assis dans la rame d’un RER de la ligne C et attendait le départ du train, une bombe lacrymogène dans la main et un couteau caché sous son siège. Interpellé, il était alors identifié par la victime.

On ignore pour l’heure les motivations, mais il semblerait que les deux individus se connaissaient depuis quelque temps.

Le Figaro

MàJ 23/08/2023

Elle est décédée des suites de ses blessures. La jeune femme de 27 ans victime d’une très violente agression à l’arme blanche dans la nuit de lundi à mardi à Montpellier est morte quelques heures plus tard, vers 19 h, a-t-on appris ce mercredi 23 août. Une autopsie doit être pratiquée dans la journée.

Midi libre

22/08/2023

Une jeune femme de 28 ans a été grièvement blessée à l’arme blanche, à Montpellier (Hérault), dans la nuit de lundi à mardi, a appris Actu17. La victime, mère de quatre enfants, a été conduite à l’hôpital alors que ses jours étaient en danger, indique une source proche de l’affaire. Son pronostic vital était toujours engagé en début d’après-midi ce mardi, nous indique le vice-procureur de la République de Montpellier, Laurent Fekkar.

Les policiers ont été alertés vers 00h40. Une femme gravement blessée venait d’être retrouvée dans la rue Bernard-Giraudeau, située dans le quartier Bologne, dans l’ouest de la ville. “Elle présentait des plaies par arme blanche sur le corps, notamment à la gorge”, confie la même source.

Selon les premiers éléments, un différend aurait éclaté entre la victime et le suspect, alors qu’ils se trouvaient ensemble dans une voiture. La situation aurait dégénéré et les deux protagonistes seraient sortis du véhicule. La victime a alors été poignardée à plusieurs reprises avant d’être laissée pour morte dans la rue. Les policiers ont découvert un couteau sur le lieu des faits, durant leurs constatations.

actu17.fr

Vers 4 heures du matin, dans la nuit du samedi 19 au 20 août, à Nousseviller-Saint-Nabor, un jeune homme s’est fait agresser alors qu’il rentrait chez lui après la fête du village. Il a dû être hospitalisé.

Un homme de 21 ans a été victime d’une violente agression dans la nuit du 19 au 20 août à Nousseviller-Saint-Nabor. L’agression s’est déroulée en marge de la fête « Nouss fête l’été ». Vers 4 heures du matin et alors que le jeune homme quittait la fête qui se poursuivait jusque tard dans la nuit, un groupe de plusieurs personnes aurait molesté le jeune homme.

La victime a été retrouvée inconsciente par des membres de l’organisation qui ont prévenu les sapeurs-pompiers. Transporté à l’hôpital, l’homme a dû être placé temporairement dans le coma, dont il était sorti ce dimanche midi. Il souffrirait notamment de multiples fractures au niveau du visage.

www.republicain-lorrain.fr

Le juge Patrick Robinson, qui avait présidé le procès de l’ancien président yougoslave Slobodan Milošević, a déclaré que le sujet des réparations liées à l’esclavage évoluaient très rapidement ces dernières années et a exhorté le Royaume-Uni à modifier sa position actuelle sur la question.

« Ils ne peuvent pas continuer à ignorer les plus grandes atrocités, qui témoignent de l’inhumanité de l’homme envers l’homme. Des réparations ont été payées pour d’autres torts et évidemment bien plus rapidement, bien plus rapidement que les réparations pour ce que je considère comme la plus grande atrocité et le plus grand crime de l’histoire de l’humanité : l’esclavage transatlantique », a déclaré Robinson. « Je crois que le Royaume-Uni ne pourra pas résister à ce mouvement vers le paiement des réparations : c’est l’exigence de l’histoire et c’est l’exigence de la loi. »

Robinson s’est entretenu exclusivement avec le Guardian avant la Journée de l’UNESCO en mémoire de la traite transatlantique des esclaves et de son abolition. Il devrait prononcer le discours d’ouverture mercredi au bureau du maire de Londres pour marquer cette journée.

L’événement fait suite au rôle clé joué par Robinson dans la rédaction et la compilation du rapport du groupe Brattle sur les réparations pour l’esclavage transatlantique, publié en juin. Le rapport, qui a été décrit comme l’analyse des réparations d’État à État la plus complète, identifie les réparations qui sont dues pour 31 pays dans lesquels l’esclavage transatlantique a été pratiqué. (…) Le rapport utilise (…) tient compte la richesse et le PIB accumulés par les pays qui ont asservi les Africains .

Lorsqu’on lui a demandé si les chiffres élevés étaient une surprise, Robinson a répondu non. « Ces calculs ne s’étendent pas sur une période de 5 ou 10 ans. Ils couvrent toute la durée de l’esclavage transatlantique, ce qui signifie qu’ils couvrent des centaines d’années. Qui plus est, les réparations n’ont jamais été versées. Les calculs commencent donc à partir du premier jour de l’esclavage transatlantique, soit des centaines d’années ; et cela seul explique les chiffres élevés.

Pour répondre aux chiffres, Robinson a déclaré que le rapport proposait que les paiements soient effectués sur une période plus longue, entre 10 et 25 ans, plutôt qu’instantanément. (…)

Robinson a déclaré : “J’ai la plus haute estime pour le Premier ministre du Royaume-Uni, mais je pense que la position qu’il a adoptée est regrettable et j’espère vraiment qu’il la reconsidérera. La marée est en train de changer, la marée politique, la marée mondiale est en mouvement. Le Royaume-Uni (…) doit prendre en compte le fait qu’un mouvement est un mouvement en faveur des réparations. L’esclavage transatlantique est la plus grande atrocité de l’histoire de l’humanité, sans précédent par sa brutalité, sans parallèle par sa durée de plus de 400 ans, sans parallèle par sa rentabilité.”

Robinson est né à Sheffield, en Jamaïque, en 1944. Après avoir obtenu son diplôme universitaire, il a travaillé comme procureur en Jamaïque. Il a travaillé brièvement au ministère des Affaires étrangères et pendant 26 ans au ministère du Procureur général. (…)

The Guardian

QUANTIFICATION OF REPARATIONS FOR TRANSATLANTIC CHATTEL SLAVERY, Rapport Brattle