Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Russie dit avoir « détruit » deux navires militaires ukrainiens en mer Noire…
L’ESSENTIEL
Le sommet des Brics s’ouvre ce mardi à Johannesburg. Le président sud-africain Cyril Ramaphosa va accueillir les dirigeants du Brésil, de Russie, d’Inde, de Chine à partir de ce midi et jusqu’à jeudi. Sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine participera en visioconférence.
Les Etats-Unis ont approuvé lundi un contrat géant d’armement incluant la vente de 96 hélicoptères d’attaque Apache avec la Pologne, pays allié de Washington et soutien majeur de l’Ukraine dans la guerre.
L’Ukraine a repris en une semaine 3 km2 aux forces russes près de Bakhmout, dans l’est du pays, tandis que sur le front sud, il n’y a pas eu de « changement significatif », a indiqué lundi la vice-ministre de la Défense, Ganna Maliar, assurant que les forces ukrainiennes avaient repris 43 km2 depuis juin.
13h43 : La Russie dit avoir repoussé de son territoire une incursion armée venue d’Ukraine
La Russie a affirmé mardi avoir repoussé une nouvelle incursion armée venue d’Ukraine dans la région frontalière de Briansk, mais n’a apporté aucune information quant au bilan des combats.
« Grâce aux actions coordonnées et héroïques des gardes-frontières du FSB de la région de Briansk, du ministère de la Défense et d’unités spéciales de la garde nationale de la région de Briansk, l’attaque a été repoussée », a indiqué sur Telegram le gouverneur régional, Alexandre Bogomaz, accusant des « saboteurs ukrainiens », alors que ce type d’opérations se multiplient.
12h42 : La Russie dit avoir « détruit » mardi un deuxième navire militaire ukrainien en mer Noire
La Russie a affirmé mardi avoir « détruit » une vedette de fabrication américaine transportant des militaires ukrainiens près de l’île des Serpents, en mer Noire, après avoir revendiqué plus tôt celle d’un navire de reconnaissance.
« Vers 11h, à l’est de l’île des Serpents, une vedette rapide Willard Sea Force de fabrication américaine transportant un groupe de débarquement des forces armées ukrainiennes a été détruite par un avion des forces armées russes », a indiqué le ministère de la Défense sur Telegram.
06h30 : Moscou dit avoir « détruit » un navire de reconnaissance ukrainien en mer Noire
La Russie a affirmé ce mardi matin avoir « détruit » un navire de reconnaissance de l’armée ukrainienne en mer Noire, lieu où les attaques, tant russes qu’ukrainiennes, se sont multipliées depuis le retrait de Moscou en juillet d’un important accord céréalier.
« Cette nuit, l’équipage d’un Su-30cm (un avion de combat) de l’aviation navale de la Flotte de la mer Noire a détruit un navire de reconnaissance des forces armées ukrainiennes dans la zone d’installations russes de production de gaz dans la mer Noire », a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram. Il n'a par contre pas fourni plus de détails sur cet incident.
06h20 : Lors du sommet des Brics, Poutine va pouvoir compter ses soutiens
Le 15e sommet des Brics s’ouvre ce mardi à un moment où les divisions sur la scène internationale ont été accentuées par l’invasion russe de l’Ukraine. L’Afrique du Sud, la Chine et l’Inde n’ont pas condamné Moscou depuis le début du conflit et le Brésil a refusé de se joindre aux pays occidentaux pour envoyer des armes à Kiev ou imposer des sanctions à la Russie.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a en outre réitéré avec force dimanche sa politique de « non-alignement », affirmant que l’Afrique du Sud « ne se laissera pas entraîner dans une compétition entre puissances mondiales ».
HIER
19h34 : La Grèce propose de former des pilotes ukrainiens aux F-16
La Grèce a proposé de former des pilotes ukrainiens au pilotage des chasseurs F-16 que leur pays doit bientôt recevoir, a annoncé lundi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, au cours d’une visite surprise à Athènes.
« Aujourd’hui nous avons obtenu un résultat important pour la coalition aérienne : la Grèce va participer à la formation de nos pilotes sur F-16. Merci pour cette proposition », a-t-il déclaré à la presse, à côté du Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis.µ
La Corée du Nord met en garde le Japon contre son intention de lancer un satellite du 24 au 31 août
TOKYO (Sputnik) - La Corée du Nord a averti le Japon de son intention de lancer un missile balistique avec un satellite entre le 24 et le 31 août, ont annoncé mardi les garde-côtes japonais.
"Information urgente. Lancement d'un missile avec un satellite. Avertissement de vigilance lors de la navigation dans les zones de la mer Jaune, de la mer de Chine orientale et de l'île de Luzon à partir de 00h00 le 24 août [15h00 GMT le 23 août] jusqu'en août 31", a indiqué l'agence, ajoutant que Pyongyang avait informé que des fragments du missile risquaient de tomber dans ces zones.
Dans le même temps, le Premier ministre japonais Fumio Kishida a ordonné aux structures gouvernementales d'être en état d'alerte totale en raison du projet de lancement du satellite par la Corée du Nord.
« Instructions du Premier ministre en réponse à la notification selon laquelle la Corée du Nord envisage de lancer un missile balistique, appelé « satellite ».
1. Exécuter toutes les mesures possibles pour recueillir et analyser les informations grâce à la coopération des ministères et agences concernés et fournir des informations au public de manière appropriée.
2. En coordination avec les États-Unis d'Amérique, la République de Corée et d'autres pays concernés, exhorter vivement la Corée du Nord à faire preuve de retenue et à s'abstenir de procéder à un lancement.
3. Prendre toutes les mesures possibles pour assurer la sûreté et la sécurité du peuple japonais, y compris en se préparant pleinement aux imprévus", a déclaré le bureau du Premier ministre sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter. Kishida a déclaré plus tard aux journalistes que tirer un missile balistique même pour lancer un Le satellite viole les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU.
"Au cas où [le missile] tomberait sur le territoire de notre pays, les mesures nécessaires ont déjà été prises : les destroyers des forces d'autodéfense équipés du système Aegis… ainsi que les systèmes de missiles anti-aériens Patriot [ont été déployés]. En plus de collecter des informations et de maintenir notre vigilance, nous agirons en coopération avec les États-Unis et la Corée du Sud", a ajouté Kishida.
La chaîne de télévision japonaise a rapporté que le missile pourrait survoler l'archipel des îles Sakishima, dans la préfecture d'Okinawa, dans le sud du Japon, dans les 10 minutes suivant son lancement s'il réussit.
« Je suis 100% sûr que nous allons gagner en Ukraine, puis nous irons dans les autres pays qui ont insulté le Saint Coran » Kadyrov, leader tchétchène
Kadyrov, leader tchétchène et vassal de Poutine :
« Je suis 100% sûr que nous allons gagner en Ukraine, puis nous irons dans les autres pays qui ont insulté le Saint Coran »
C’est bon les « patriotes », vous avez compris la nécessité que l’Ukraine gagne là, ou toujours pas ? https://t.co/ed0CNdTrPA
Note : c'est ce que je disais, il a de cela quelques jours. Nous sommes près d'une guerre mondiale qui se transformera en guerre de religion, et les musulmans vont en profiteront pour se venger du "blasphème"
Ces corans brulés arrivent à un très mauvais moment, et pour moi, rien n'arrive par hasard. (le mal existe et il réunit ces troupes pour le dernier conflit)
Niger : La Turquie contre l’intervention militaire de la CEDEAO
La Turquie s’est opposée à une intervention militaire de la CEDEAO visant à rétablir l’ordre constitutionnel au Niger. Alors que la menace d’une telle intervention se fait de plus en plus pressante, le président turc a exprimé ses préoccupations quant à la crise qui secoue le pays depuis le coup d’État du 26 juillet.
Il a regretté que jusqu’à présent, aucune solution n’ait été trouvée pour résoudre cette situation difficile dans le Sahel.
«Nous travaillons actuellement sur la manière dont nous pouvons jouer notre rôle clé ici avec notre ministère des affaires étrangères, et nous continuerons à le faire, et nous espérons trouver une solution au Niger. J’espère que le Niger, pays ami et frère, parviendra à un ordre constitutionnel et à une gouvernance démocratique le plus rapidement possible», a poursuivi Erdogan.
Sur la question d’une intervention militaire, le dirigeant Turc se dit opposé à cette approche. «Je ne trouve pas juste la décision de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest d’intervenir militairement au Niger. À la suite de cette décision, le Mali et le Burkina Faso ont également averti qu’une telle intervention militaire au Niger reviendrait à leur faire la guerre. Une intervention militaire au Niger signifierait que l’instabilité s’étendrait à de nombreux pays d’Afrique», a indiqué Recep Tayyip Erdogan.
Les États-Unis testent l’arme hypersonique ARRW pour la première fois depuis l’échec de mars
WASHINGTON (Sputnik) - L'armée de l'air américaine a effectué le premier tir d'essai de l'arme hypersonique à réponse rapide à lancement aérien (ARRW) depuis l'échec d'un test en mars, a déclaré un porte-parole de l'armée de l'air dans une déclaration à Sputnik.
"Le test a été effectué le 19 août au large des côtes du sud de la Californie", indique le communiqué lundi.
"Un B-52H Stratofortress a récemment effectué un test de l'arme à réponse rapide à lancement aérien All-Up-Round AGM-183A. Ce test a lancé un prototype complet de missile hypersonique opérationnel et s'est concentré sur les performances de bout en bout de l'ARRW."
L'Air Force a déclaré avoir acquis de nouvelles informations précieuses sur les capacités du missile.
L'US Air Force n'a pas fourni d'informations sur le succès du dernier test; cependant, le service a indiqué qu'il avait réussi à obtenir de nouvelles informations « précieuses » sur les capacités de l'ARRW.
"Bien que nous ne discuterons pas des objectifs spécifiques du test, ce test a permis d'acquérir des données précieuses et uniques et était destiné à faire progresser une série de programmes tels que ARRW et HACM", indique le communiqué. "Nous avons également validé et amélioré nos capacités de test et d'évaluation pour poursuivre le développement de systèmes hypersoniques avancés."
Après l'annonce du test du 13 mars, l'armée de l'air a gardé le silence sur la question de savoir si elle avait atteint ses objectifs. Le 28 mars, le secrétaire de l'Air Force, Frank Kendall, a déclaré au Congrès que ce n'était "pas un succès".
Le test intervient au milieu de la concurrence entre les États-Unis, la Russie et la Chine pour développer des armes hypersoniques, qui pourraient surmonter les systèmes de défense aérienne traditionnels.
La flotte iranienne Zolfaqar a bloqué un porte-hélicoptères américain, menaçant d’abattre tous les hélicoptères et de couler le navire
Le Corps des gardiens de la révolution islamique d’Iran (CGRI) a signalé un incident naval avec les États-Unis dans le détroit d’Ormuz. Cet incident est survenu peu après l’envoi par les États-Unis de plus de 3000 marines dans le golfe Persique pour protéger les pétroliers commerciaux contre d’éventuels actes de piraterie de la part de l’Iran.
Selon les responsables du CGRI, leurs bateaux, alors qu’ils patrouillaient, ont repéré un porte-hélicoptères américain dans les eaux du détroit, d’où plusieurs hélicoptères ont décollé. L’Iran a réagi en envoyant des forces supplémentaires vers le navire, notamment des drones qui ont repéré l’avion américain et la flottille Zolfaqar.
Lorsque les forces iraniennes ont encerclé le porte-hélicoptères américain, le commandement du CGRI a exigé que l’équipage du navire ramène immédiatement sur le pont les hélicoptères qui avaient décollé. Face à la menace de tirs de défense aérienne sur ces hélicoptères, le navire américain s’est empressé d’accéder aux demandes des Iraniens.
Cet incident souligne l’impuissance totale des États-Unis dans la région.
L’incident s’est produit le jeudi 17 août, près de l’île Hengam, dans le détroit d’Ormuz, un passage maritime crucial pour le transport mondial du pétrole situé dans le Golfe. Alors que Washington est resté silencieux, les médias proches des Gardiens de la révolution ont diffusé, dimanche 20 août, une vidéo de “deux navires de guerre américains interceptés” par les forces iraniennes.
Selon ces images aériennes, apparemment prises par un drone, la marine de l’armée idéologique de la République islamique a notamment lancé un avertissement à un porte-hélicoptères américain en train de traverser la zone.
On peut entendre la voix d’un membre des Gardiens de la révolution avertir le navire américain que son hélicoptère s’est approché d’un champ pétrolier et des eaux territoriales iraniennes. L’officier menace alors d’“ouvrir le feu” sur l’appareil s’il ne retourne pas au navire.
Ce lundi 21 août, une image du même porte-hélicoptères est à la une du journal Javan, proche des Gardiens. “À ta place !”, titre-t-il, se réjouissant que l’Iran ait “humilié l’ennemi”.
“L’hélicoptère américain a obéi à l’ordre des Gardiens et est retourné sur le pont du navire”, ajoute le journal.
Ces derniers mois, cette zone maritime stratégique a été le théâtre d’incidents, avec notamment la saisie de plusieurs pétroliers par l’Iran....
Le ministre iranien de la Sécurité assure que son pays détient des agents à la solde de la France, la Suède et la Grande Bretagne
par Al Manar
Le ministre iranien de la Sécurité a révélé dimanche 20 août que les services de sécurité iraniens de son pays retiennent des espions recrutés par la France, la Suède, la Grande-Bretagne et d’autres pays, soulignant que la confrontation et les récentes arrestations ont contribué à contrecarrer les tentatives de déstabilisation du pays.
Lors d’une rencontre avec des dirigeants du Corps des Gardiens de la Révolution iranien, à l’occasion de la célébration annuelle des émeutes que son pays a connues, cheikh Ismail Khatib, a assuré que certains de ces agents ont été exécutés malgré les pressions exercées par ces pays.
«L’ennemi prévoyait de déstabiliser la sécurité et la stabilité de l’Iran», a-t-il souligné.
Accusant les États-Unis d’être impliqués dans la création de l’organisation terroriste jihadiste takfiriste Daech, et évoquant les liens de ses éléments avec l’entité sioniste, Khatib a déclaré que l’entrée de 200 éléments de cette organisation a été repérée.
«Ils préparaient des actions nuisibles et de déstabilisatrices en Iran et dans la région, y compris l’Irak pendant la commémoration de l’Arbaïn» qui célèbre le martyre de l’imam Hussein (s).
«Lors de la récente confrontation et des arrestations, nous avons pu neutraliser la plupart de ces éléments», a-t-il affirmé.
Il a également souligné que le ministère iranien de la Sécurité, ainsi que les gardiens de la révolution, mettaient tout en œuvre pour affronter l’ennemi et ses organisations terroristes et séparatistes.
Le 15 août dernier, au moins deux personnes ont été tuées et une dizaine d’autres ont été blessées, lors d’une attaque terroriste armée contre le sanctuaire d’Ahmed ben Moussa Al-Kazim, à Chiraz, dans le sud de l’Iran. Les autorités judiciaires iraniennes ont indiqué que le principal élément à l’origine de cet attentat revendiqué par Daech détient la nationalité tadjike.
La banque des BRICS examine les demandes d'adhésion de 15 pays: jusqu'à 5 seront approuvés
La Nouvelle Banque de développement des BRICS prévoit de commencer à prêter en monnaies locales. Le plan vise à réduire la dépendance au dollar et à promouvoir un système financier international davantage multipolaire. C’est ce qu’a déclaré Dilma Rousseff, qui a également détaillé l’adhésion de nouveaux membres au groupe.
Dilma Rousseff, ancienne Présidente brésilienne et actuelle présidente de la Nouvelle Banque de développement (NDB) des BRICS, a exposé au Financial Times les objectifs de l’institution qu’elle dirige depuis mars dernier.
La BND prévoit notamment de commencer à prêter en monnaies nationales, plus particulièrement sud-africaine et brésilienne, dans le cadre d'un plan visant à réduire la dépendance au dollar et à promouvoir un système financier international multipolaire.
Alternative au système unipolaire
Mme Rousseff a déclaré que les prêts en monnaies locales permettraient aux emprunteurs d'éviter le risque de change et les variations des taux d'intérêt américains.
"Les monnaies locales ne sont pas des alternatives au dollar. Ce sont des alternatives à un système. Jusqu'à présent, le système était unipolaire, il va être remplacé par un système davantage multipolaire", a-t-elle expliqué.
"Notre objectif est d’atteindre environ 30% de tout ce que nous prêtons en monnaies locales", a-t-elle détaillé.
Pas de conditions politiques préalables
La présidente de la banque a également expliqué en quoi son institution se distinguait de la Banque mondiale et du FMI. La NDB ne fixe pas de conditions politiques préalables.
"Souvent, un prêt est accordé à la condition que certaines politiques soient menées. Nous ne faisons pas cela. Nous respectons les politiques de chaque pays."
Selon elle, la banque examine actuellement les demandes d’adhésion d’environ 15 pays, bien qu’elle ne soit susceptible que d’en approuver quatre ou cinq.
Elle a refusé de nommer ces pays, mais a déclaré qu'il était prioritaire pour la NDB de diversifier sa représentation géographique.
Une banque pour les pays en développement
Mme Rousseff a signalé que la NDB, la plus récente des banques de développement du monde, avait beaucoup de possibilités.
"Nous allons nous transformer en une banque importante pour les pays en développement et les marchés émergents. Notre objectif doit être le suivant: une banque créée par les pays en développement pour eux-mêmes", a-t-elle conclu.
Les BRICS ont créé cette banque en 2015 en guise d’alternative aux institutions financières dominées par les États-Unis, telles que le FMI et la Banque mondiale.
Le sommet des BRICS commence le 22 août à Johannesburg. Il est la plus grande rencontre de l’histoire des chefs d’État et de gouvernement du monde non occidental. Le sommet réunit plus de 60 États du Sud global qui s’opposent tous, dans une mesure ou une autre, à la domination occidentale et cherchent des mécanismes de coopération alternatifs.
Participez et suivez le déroulement de la journée sur Telegram, TikTok, Odysee, Facebook*, X et Threads* à l'aide du hashtag #BRICS2023. L’équipe de Sputnik est présente sur place pour vous livrer des reportages, interviews et analyses.
*Meta (Facebook et Instagram) est interdit en Russie pour activités extrémistes.
Nîmes : Un enfant de 10 ans tué dans une fusillade (MàJ : la famille, “victime collatérale”, n’était “pas connue de la justice”)
22/08/2023
« Ça fait 40 ans qu’on fait de l’urbanisation… c’est un échec. »
Cette famille s’est trouvée “au mauvais endroit au mauvais moment”, a expliqué en conférence de presse la procureure de la République
La famille de l’enfant tué à Nîmes lundi soir dans une fusillade visant une voiture est une victime collatérale et “n’est absolument associée d’aucune façon” à des faits punissables par la justice, a affirmé mardi la procureure de Nîmes Cécile Gensac.
Elle “a eu pour seul malheur de passer au mauvais endroit au mauvais moment“, a affirmé la magistrate, lors d’un point sur place dans le quartier nîmois de Pissevin, précisant que la fusillade a bien eu lieu “en lien” avec la guerre pour le trafic de drogues.
Un enfant de 10 ans a été tué dans une fusillade survenue dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 août à Nîmes d’après les informations d’Actu17 et confirmer par la suite par France Bleu Gard Lozère et FranceInfo.
Des faits qui se sont déroulés dans le sud-ouest de la ville, dans le quartier de Pissevin, aux alentours de 23 heures. Un homme vivant dans le quartier rentrait chez lui en voiture avec ses deux neveux quand la fusillade a éclaté. D’après les témoins, au moins quatre tireurs ont ouvert le feu aurait affirmé une source policière aux journalistes de FranceInfo.
Le conducteur qui était en train de se garer a immédiatement redémarré pour se diriger vers l’hôpital. Son neveu de 10 ans est décédé peu de temps après à cause d’une blessure par balles au niveau du dos. L’autre neveu est quant à lui indemne. Des suspects qui n’ont pas pu être interpellés et qui ont pris la fuite.
Deux agressions au hachoir à Bordeaux et Talence : un appel à témoins lancé pour retrouver cet individu qualifié de « très dangereux »
22/08/2023
La police lance un appel à témoins dans le cadre de l’enquête sur les agressions commises dans la nuit du 9 au 10 août
Deux agressions au même mode opératoire avec une arme blanche en l’espace de trente-cinq minutes ont été commises au cours de la nuit du mercredi 9 au jeudi 10 août. Un seul et même homme semble avoir sévi place Nansouty à Bordeaux et à 1 kilomètre de là, à Talence, rue de la République. À chaque fois, l’agresseur, armé d’un hachoir de type feuille de boucher, a pris pour cible un passant pour lui dérober son téléphone portable.
Béziers (34) : un migrant algérien sous OQTF menace les usagers de la gare avec un couteau en criant « Allah Akbar » ; la police tire avec leur Taser, mais la djellaba de l’assaillant bloque les impulsions électriques
22/08/2023
Ce mardi matin, un homme a été interpellé par la police dans la gare de Béziers, a appris CNEWS de source policière. Armé d’un couteau, il avait menacé les usagers en criant «Allah Akbar».
« Je vais vous tuer ». Ce mardi matin, les forces de l’ordre ont interpellé un homme armé d’un couteau, qui menaçait les usagers de la gare de Béziers, a appris CNEWS de source policière.
L’homme habillé d’une djellaba a menacé les usagers de la gare avec son arme. Les policiers présents sur les lieux ont tiré sur lui à deux reprises à l’aide de leur Taser mais la tenue de l’assaillant l’a empêché de ressentir le choc électrique.
« Rien dans ce que je dis n’est faux » : polémique après les propos du député et dirigeant des Démocrates de Suède, Richard Jomshof, qui qualifie l’islam de « religion-idéologie antidémocratique, fondée par le marchand d’esclaves Mahomet »
22/08/2023
Alors que les menaces contre le royaume se multiplient, poussant Stockholm à relever le niveau d’alerte terroriste, les Démocrates de Suède attaquent l’islam et les musulmans.
[…]
Ainsi, le 27 juillet, dans un tweet, le député Richard Jomshof qualifiait l’islam de « religion-idéologie antidémocratique, misogyne et faisant l’apologie de la violence, fondée par le chef de guerre, meurtrier de masse, marchand d’esclaves et voleur Mahomet ». Il dénonce aussi régulièrement « l’islamisation » de la Suède et propage la théorie complotiste du « grand remplacement ».
[…]
Pour les partis d’opposition, Richard Jomshof représente un risque supplémentaire pour la sécurité du pays. « Il contribue à aggraver la situation dans un contexte déjà très grave », observait récemment Morgan Johansson, ancien ministre de la justice social-démocrate.
Le dirigeant du SD, Richard Jomshof, a été critiqué après ses déclarations controversées sur l’islam et le prophète Mahomet. Maintenant, il répond aux critiques pour la première fois en dehors de la chaîne web des Démocrates suédois Riks. « Il n’y a rien dans ce que je dis qui soit faux. Il n’y a personne qui puisse pointer des erreurs factuelles », a-t-il déclaré à TV4 News.
Il y a eu une tempête autour du président de la commission de la justice, Richard Jomshof (SD), après sa déclaration controversée sur l’islam et le prophète Mahomet sur la plate-forme de médias sociaux X, anciennement appelée Twitter. Dans l’un des messages, Jomshof appelle le prophète Mahomet « meurtrier de masse » et « marchand d’esclaves ».
Suite à cette déclaration, une opposition unie a exigé sa démission. Les sociaux-démocrates, le Parti de gauche, le Parti du centre et le Parti vert estiment qu’il est intenable pour Jomshof de rester président de la commission de la justice.
« Ses actions mettent en péril la sécurité de la Suède », a déclaré Ardalan Shekarabi (S).
Répondre aux critiques
Maintenant, le haut du SD choisit de commenter ses déclarations pour la première fois dans les médias traditionnels. Il estime que la menace pour la sécurité de la Suède existe depuis « de très nombreuses années » et que les critiques que son poste a suscitées sont « injustifiées ».
« Bien sûr, le fait qu’un député tweete quelque chose ne signifie rien », a déclaré Jomshof à TV4 News, et a poursuivi:
« La seule chose que j’ai faite est de défendre notre liberté d’expression, et j’ai l’intention de continuer à le faire.
Rejette les critiques du premier ministre
Le Premier ministre Ulf Kristersson a critiqué les déclarations de Jomshof et l’a exhorté à réfléchir à la façon dont il s’exprime dans la situation sécuritaire tendue en Suède.
« Je pense que tout le monde en Suède, y compris Jomshof, devrait réfléchir à la façon de s’exprimer. Tout ce qui est légal à dire n’est pas approprié à dire, surtout dans une situation où il existe de graves menaces à la sécurité dirigées contre la Suède, a déclaré le Premier ministre lors d’une conférence de presse sur la situation sécuritaire.
Mais Richard Jomshof n’est pas d’accord avec la critique.
« Si nous avions eu la discussion calmement, elle serait restée sur Twitter, bien sûr. Nous devons être capables d’avoir des opinions, fortes aussi. C’est l’un des fondements de la démocratie, dit-il.
Jomshof ne croit pas non plus que ses déclarations sur l’islam affectent la coopération avec le gouvernement.
« Nous ne faisons pas partie du gouvernement. Nous sommes un parti coopératif. Je pense que la coopération a très bien fonctionné, mais il y a des questions individuelles sur lesquelles nous ne sommes pas d’accord. C’est toujours comme ça. Nous ne pouvons pas être d’accord sur tout.
Situation en matière de sécurité
Malgré les appels du Premier ministre face à la détérioration de la situation sécuritaire et à l’augmentation de la menace terroriste contre la Suède, Richards Jomshof n’a pas l’intention de s’arrêter à ses déclarations critiques sur l’islam.
« Il n’y a rien dans ce que je dis qui soit faux. Personne ne peut citer d’erreurs factuelles dans ce que je dis. Je trouve cela intéressant, parce que ce que je dis est vrai.
« L’alternative est que nous nous laissions réduire au silence », ajoute-t-il
Vous parlez de guerre mondiale, de guerre de religion, que de bien normal dans ce monde où les Hommes vivent! Le mieux serait d'en prendre conscience et de lutter pour éviter de nouvelles tueries, car vous aurez toujours une trompette pour massacrer des milliards d'individus.<br />
A moins de croire que vous soyez programmé pour vous autodétruire, auquel cas vos dogmes politiques et religieux ne serait qu'un prétexte.
"Vous aurez aussi à entendre parler de guerres et de rumeurs de guerres; voyez, ne vous alarmez pas: car il faut que cela arrive" <br />
"Lorsque vous verrez Jérusalem investie par des armées, alors comprenez que sa dévastation est toute proche .... Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là! Car ce seront des jours de vengeance, pour l'accomplissement de tout ce qui est écrit "<br />
"mais le jour où Lot sortit de Sodome, une pluie de feu et de souffre tomba du ciel, et les fit tous périr. Il en sera de même le jour où le Fils de l'homme paraîtra."<br />
<br />
<br />
http://www.troisiemeguerremondiale.net/article-evangiles-jesus-christ-prophetie-112477984.html
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