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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 2 mai 2023

 

 

 

 

La Finlande s’apprête à accueillir des bases militaires US sur son territoire

 
 

Partageant avec la Russie une frontière de près de 1300 kilomètres, la Finlande pourrait bientôt accueillir des bases militaires US sur son territoire, selon un haut responsable du ministère des Affaires étrangères du pays.

La Finlande, qui vient d’adhérer à l’Alliance atlantique, se prépare à signer un accord de coopération en matière de défense avec les États-Unis, rapporte le journal Helsingin Sanomat se référant à Mikael Antell, chef adjoint du département politique du ministère finlandais des Affaires étrangères.

Le document prévoit notamment le déploiement d’armes et d’équipements militaires américains en Finlande, ce qui signifie de facto la mise en place de bases militaires.

« L’accord permet aux troupes d’entrer dans le pays, de rester sur son territoire, d’y déployer et stocker du matériel, et d’investir dans les infrastructures avec des fonds fournis par le Congrès au Pentagone », a fait savoir Antell.

Bien que les détails du l’accord ne soient pas encore été finalisés, on sait déjà qu’il ne portera pas sur les armes nucléaires.

Finlande, 31ème membre de l’OTAN

Début avril, le pays nordique est devenu le 31ème membre de l’Alliance atlantique. La Finlande, qui partage avec la Russie une frontière de près de 1300 kilomètres, avait décidé de renoncer à son statut neutre après le début de l’opération spéciale russe en Ukraine.

En réaction, Moscou a dénoncé une nouvelle escalade de la situation, l’élargissement de l’OTAN constituant une « atteinte » à la sécurité de la Russie. Moscou se réserve le droit d’appliquer des « contre-mesures » et promet de surveiller le déploiement d’infrastructures et d’armes otaniennes dans ce pays.

source : Sputnik Afrique

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La CEDH condamne la Russie pour les sévices infligés aux prisonniers « parias »...

 

L’ESSENTIEL

  • Une émissaire américaine de haut rang se rend au Brésil dans l’espoir de renouer le dialogue avec le président Luiz Inacio Lula da Silva, dont les propos controversés sur le conflit en Ukraine avaient provoqué la colère de Washington.
  • Les services de renseignement américains estiment que 20.000 combattants russes ont été tués en Ukraine depuis décembre, et 80.000 autres blessés au combat. John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, a en revanche refusé de se prononcer sur les pertes subies par l’Ukraine.
  • La contre-offensive ukrainienne annoncée depuis des semaines approche. « Les préparatifs touchent à leur fin », a déclaré le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov au sujet de la grande attaque que son pays veut lancer pour reconquérir les territoires occupés dans l’est et le sud par la Russie. « L’équipement a été promis, préparé et partiellement livré. Au sens large, nous sommes prêts », a-t-il affirmé.

 

 

14h56 : « Pas d’alternative » à la médiation russe sur le Karabakh, affirme Moscou

Moscou a affirmé mardi qu’il n’y avait « pas d’alternative » à sa médiation entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan sur la région disputée du Nagorny Karabakh, au moment où Washington accueille des négociations entre les deux pays.

« A ce stade, il n’y a pas d’autres bases juridiques qui contribueraient au règlement (du conflit). Il n’y a pas d’alternative à ces documents tripartites », a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, en référence au cessez-le-feu signé en 2020 entre Bakou et Erevan sous l’égide de Moscou.

« Toute aide pouvant aider à la résolution [du conflit] peut être bienvenue », a-t-il poursuivi, disant toutefois se méfier des « tentatives qui brouillent les bases en vue d’un règlement » pacifique. A l’issue d’une courte guerre qui a vu à l’automne 2020 l’Azerbaïdjan reprendre des territoires de cette région séparatiste à majorité arménienne, Bakou et Erevan ont signé un cessez-le-feu promu par la Russie.

 

14h38 : François Fillon auditionné sur ses liens avec la Russie

François Fillon de retour à l’Assemblée : l’ancien Premier ministre est auditionné à partir de 17h30 ce mardi sur ses liens avec Moscou et sa présence un temps au sein de deux conseils d’administration de multinationales russes. L’ex-candidat à la présidentielle va se présenter devant la commission d’enquête initiée par le Rassemblement national (RN) et consacrée aux « ingérences politiques, économiques et financières de puissances étrangères ».

Cette commission, qui planche depuis plusieurs semaines et doit achever ses travaux début juin, fait polémique à l’Assemblée : les autres camps reprochent à l’extrême droite une stratégie de « diversion » face aux accusations de proximité entre le RN et le Kremlin. Depuis sa défaite à l’élection présidentielle de 2017, François Fillon s’est reconverti dans le privé et a notamment siégé aux conseils d’administration des entreprises russes Sibur (pétrochimie) et Zarubeshneft (hydrocarbure).

Le 24 février 2022, au moment même où l’armée russe envahissait l’Ukraine, l’ancien Premier ministre s’était attiré de vives critiques après avoir déploré « le refus des Occidentaux » d’entendre les revendications de Moscou concernant l’Otan. Le lendemain, il avait annoncé démissionner de ses mandats russes.

 

13h48 : La CEDH condamne la Russie pour les sévices infligés aux prisonniers « parias »

La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné mardi la Russie pour n’avoir pas empêché les traitements inhumains ou dégradants infligés en prison à des détenus « parias », situés en bas de la hiérarchie informelle des prisonniers. La Cour avait été saisie par onze ressortissants russes, qui purgeaient des peines de prison après avoir été reconnus coupables de diverses infractions.

Ces détenus se plaignaient du traitement que leur infligeaient d’autres prisonniers, en raison de leur appartenance à la catégorie des « parias », décrite comme la plus basse des quatre castes régissant les relations entre détenus dans le système carcéral russe.

Ces « parias » étaient affectés à des « tâches dégradantes », et, en cas de « manquement », étaient exposés à des violences ou des sévices sexuels. Ils auraient été affectés à des quartiers d’habitation séparés et ont soutenu que ces pratiques étaient cautionnées par le personnel pénitentiaire russe.

 

13h45 : Hausse surprise de l’inflation en Europe, la BCE sous pression

L’inflation en Europe est repartie à la hausse en avril, interrompant une série de cinq reculs mensuels consécutifs, une mauvaise nouvelle qui devrait inciter la Banque centrale européenne à poursuivre ses hausses de taux d’intérêt au risque de freiner l’économie. La progression des prix à la consommation dans la zone euro s’est légèrement accélérée, à 7 % en avril après 6,9 % en mars, a annoncé mardi Eurostat. Le chiffre a surpris les analystes de Factset et Bloomberg qui tablaient sur une stagnation à 6,9 %.

« Il s’agit d’une invitation claire pour la BCE de continuer à augmenter les taux d’intérêt », a estimé Carsten Brzeski, économiste pour la banque ING. Il s’attend à une hausse de 25 points de base lors de la réunion de l’institution prévue jeudi à Francfort. D’autres anticipent même 50 points de base, comme Andrew Kenningham pour Capital Economics.

En relevant les taux, les banquiers centraux réduisent la demande de crédit et donc l’investissement et la consommation des ménages comme des entreprises, avec pour effet un ralentissement de la croissance. Le pic de l’inflation avait été atteint en octobre, à 10,6 %, après un an et demi de hausse ininterrompue, accélérée par la guerre en Ukraine.

DIRECT

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Face à la crainte d'une contre-offensive ukrainienne d'ampleur, la Russie a bâti des fortifications jusque dans son propre territoire

 

 

  • L'armée russe a construit des tranchées défensives en prévision de la contre-offensive ukrainienne.
    L'armée russe a construit des tranchées défensives en prévision de la contre-offensive ukrainienne. EPA - ANATOLY MALTSEV

La contre-offensive ukrainienne de printemps semble désormais imminente.

Annoncée depuis des mois, la contre-offensive ukrainienne de printemps semble désormais toute proche. "Au sens large, nous sommes prêts", a indiqué ce vendredi Oleksii Reznikov, le ministre de la Défense ukrainien.

 

Si la date du lancement de cette offensive n'est pas encore précisément connue, l'objectif de l'Etat-major ukrainien est clair : récupérer les territoires occupés dans l'est et le sud du pays par Moscou.

L'armée ukrainienne se met en ordre de bataille pour cette contre-attaque depuis plusieurs mois. Les alliés occidentaux de Kiev lui ont fourni du matériel militaire et ont assuré la formation des soldats ukrainiens.

"Profonde inquiétude des dirigeants russes face à la possibilité d'une percée majeure de l'Ukraine"

Pour faire face à cette offensive, la Russie a construit des fortifications. Ces dernières ont été dressées non seulement près de la ligne de front, mais aussi "loin en profondeur", rapportent les services de renseignement britanniques dans leur dernier point de situation sur le conflit.

Des centaines de kilomètres de tranchées ont ainsi été creusées "à l'intérieur du territoire russe internationalement reconnu, notamment dans les régions de Belgorod et de Koursk", précise le ministère britannique de la Défense.

Ce qui "témoigne de la profonde inquiétude des dirigeants russes face à la possibilité d'une percée majeure de l'Ukraine".

Source

 

 

 

Guerre au Soudan : 100 000 réfugiés et plus de 300 000 déplacés depuis le début des combats

 

  • La guerre au Soudan a contraint 100.000 personnes à fuir vers les pays voisins.
    La guerre au Soudan a contraint 100.000 personnes à fuir vers les pays voisins. MAXPPP - RUSSIAN DEFENCE MINISTRY PRESS SERVICE / HANDOUT

"Si nous n'arrêtons pas les combats maintenant, l'impact sur le plan humanitaire sera massif", a averti Michael Dunford, directeur pour l'Afrique de l'Est du Programme alimentaire mondial.

La guerre au Soudan a contraint 100.000 personnes à fuir vers les pays voisins, a déclaré mardi le HCR (Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés). Le conflit a fait également plus de 334.000 déplacés à l'intérieur des frontières depuis le début des affrontements entre l'armée régulière et les Forces de soutien rapide (FSR) le 15 avril, a indiqué l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), lors d'un même point de presse à Genève.

En dépit d'un nouveau cessez-le-feu, des coups de feu et des explosions retentissaient mardi à Khartoum, la capitale, d'où s'élevait un nuage de fumée noire. Des frappes aériennes ont touché Bahri et des affrontements ont éclaté à Omdourman, deux villes jouxtant la capitale, selon des témoins. Des centaines de personnes ont trouvé la mort dans les combats qui opposent l'armée, dirigée par le général Abdel-Fattah el Bourhan, et les FSR du général Mohamed Hamdan Dagalo, également connu sous le nom de Hemedti, qui s'accusent mutuellement d'enfreindre la trêve.

"Si nous n'arrêtons pas les combats maintenant, l'impact sur le plan humanitaire sera massif"

Les pays voisins du Soudan font face à une crise de réfugiés et les combats bloquent les voies d'acheminement de l'aide dans un pays où les deux tiers de la population dépendent déjà d'une aide extérieure. Des fonctionnaires de l'Onu ont déclaré que le coordonnateur des secours d'urgence de l'Onu, Martin Griffiths, avait l'intention de se rendre au Soudan mardi, mais la date n'a pas encore été confirmée.

Le Programme alimentaire mondial (Pam) a déclaré lundi qu'il reprenait ses activités dans les régions les plus sûres du pays, après une pause au début du conflit, lorsque certains de ses employés ont été tués. "Le risque est qu'il ne s'agisse pas seulement d'une crise soudanaise, mais d'une crise régionale", a déclaré Michael Dunford, directeur pour l'Afrique de l'Est du Pam. "Si nous n'arrêtons pas les combats, si nous n'arrêtons pas maintenant, l'impact sur le plan humanitaire sera massif", a-t-il averti.

Source

 

 

 

Les élites occidentales n’en peuvent plus de cette odieuse liberté d’expression

 
 

En France, pays de la Liberté et des Droits de l’Homme, on peut tout dire à condition de chuchoter ce qui pourrait agacer, et seulement à des oreilles qui l’acceptent. Sinon, on s’attire de gros problèmes : la Liberté et les Droits de l’Homme, c’est très bien tout ça, mais faut pas pousser.

C’est ainsi qu’apostropher le Chef de l’État en lui reprochant plus ou moins vertement sa politique et la façon dont son gouvernement gère les affaires courantes, ce n’est pas très bien vu et cela peut même vous mener au tribunal. Rien ne crie plus fort « Démocratie ! » qu’embastiller ceux qui ne vous montrent pas de respect, n’est-ce pas.

Eh oui : alors que la liberté d’expression fut jadis un pilier des démocraties, il apparaît que la France – qui n’a jamais fait vraiment l’effort d’en être une particulièrement appliquée – est maintenant en pointe pour bien faire comprendre à tous ses citoyens que la question va se poser dans des termes très différents à mesure que les mois vont passer.

C’est ainsi qu’on apprend de source de moins en moins officieuse qu’au prétexte de lutter contre la haine en ligne, le gouvernement envisage de plus en plus sérieusement des mesures coercitives pour éliminer certains internautes des réseaux sociaux.

Bien évidemment et comme d’habitude pour faire passer ce qui apparaît de plus en plus comme une atteinte constitutionnelle grave au droit d’expression fondamental, il s’agira d’enrober la mesure dans une bonne couche de sécurité : afin de conserver les réseaux sociaux propres sur eux, on va en bannir les harceleurs et autres cybercriminels. Il suffira de s’appuyer sur la nouvelle bordée de directives et de règlements en cours d’application dans l’espace européen empaquetées dans le nom de « Digital Service Act », vaste fourre-tout sécuritaire où tout pourra être prétexte à restreindre et limiter les allers et venues des internautes européens.

Comme à chaque entourloupe liberticide, le principe exposé est d’une simplicité biblique : on va lutter contre les méchants et les vilains, appelés cyberharceleurs et cybercriminels par exemple. Ensuite, d’un mois à l’autre, et en vertu de lois anti-terroristes ou de « Salut Public » (après tout, ça a bien marché une fois, pourquoi pas une nouvelle ?), on redéfinira la notion même de cyberharceleur ou de cybercriminel.

Tout le monde imagine sans mal le cyberharceleur comme l’une de ces hyènes emplies de haine s’acharnant sur internet à moquer et harceler l’un ou l’autre pauvre adolescent qui fera commodément la une des journaux lorsqu’il se sera suicidé. Personne n’imagine pour le moment qu’un cyberharceleur puisse être quelqu’un qui envoie quelques e-mails à son maire, son député ou au président de la République pour leur demander des comptes.

Pourtant, rien n’empêche cette définition très large et, compte-tenu de la tendance actuelle, on peut même garantir qu’elle sera utilisée. En somme, *tous* les Français (ou à peu près) pourront être poursuivis pour cyberharcèlement dès que le pouvoir le jugera bon.

Même si on peut raisonnablement imaginer que l’application pratique de cette nouvelle forme de censure aura un succès équivalent à celui de la Hadopi (tant les moyens d’esquiver sont nombreux et faibles sont les capacités technologiques de nos dirigeants), il n’en reste pas moins que cette restriction de plus en plus ferme du droit fondamental d’expression est une tendance pour laquelle la France est en avance mais qui touche en réalité toute l’Union européenne : cette dernière entend en effet faire de l’internet européen une zone millimétriquement contrôlée, dans laquelle des non-élus comme Thierry Breton viendront distribuer la bonne parole et retirer la leur à ceux qui lui auront été désagréable.

Là encore, il suffira de camoufler cette censure dictatoriale derrière une « lutte contre les abus de la BigTech » et, moyennant l’aplaventrisme total de médias complètement inféodés aux subsides étatiques, ça passera comme un email d’Hadopi une lettre à la poste.

En effet, il faut bien comprendre que nos élites, européennes comme Breton ou même françaises comme Ernotte, l’actuelle DG de France Téloches, n’en peuvent plus de ces (pourtant rares) réseaux sociaux où les internautes peuvent effectivement échanger des informations qui ne sont pas contrôlées par le pouvoir en place. Ces élites n’en peuvent plus de voir leur propagande sabotée à coups de mèmes rigolos, d’aphorismes cinglants, de mises-en-boîte bien croustillantes dans lesquelles elles sont brocardées et montrées sous leur vrai jour, celui de petits dictateurs furibards à l’idée qu’on se moque de leurs petites personnes.

Ces élites savent que leurs idées finalement totalitaires ne pourront s’appliquer que dans le silence imposé aux peuples. Des individus turbulents, qui discutent entre eux et débattent des options, qui découvrent les supercheries et la pauvreté des argumentaires proposés, c’est une très mauvaise affaire pour ceux qui entendent les embobiner dans des programmes mondiaux, impératifs et indiscutables sur le climat, la santé, la nourriture et j’en passe.

Ceci n’est pas une exagération : chaque jour qui passe, on découvre de nouvelles idées (loufoques et liberticides) de la part de ces élites trépignantes de colère à l’idée qu’on puisse penser et agir différemment de ce qu’elles avaient choisi, alors que, c’est pourtant évident, elles savent et vous, les gueux, ne comprenez rien, pardi !

Par exemple, il ne suffit déjà plus de vouloir censurer les propos qualifiés de haineux sur les réseaux sociaux : il faut maintenant passer aussi aux textes échangés sur les applications de messages personnels comme WhatsApp, Signal, Telegram et j’en passe.

Pourquoi croyez-vous que le gouvernement français (et, derrière lui, toute l’Union européenne) pousse si fort la mise en place d’une identité numérique qui, dans un futur de plus en plus proche, servira à vous autoriser sur internet ? Pourquoi croyez-vous que les politiciens cherchent à tout prix à faire disparaître l’anonymat ?

Comprenez-vous que la différence entre les dictatures chinoise ou nord-coréenne n’est plus qu’une différence de degré et plus de nature ? Que le chemin pris est bien celui qui amène à terme ceux qui se sont échangés des paroles un peu vives sur Messenger ou Instagram, odieux dissidents, dans les goulags républicains de rééducation citoyens, tolérants, inclusifs et festifs ?

Tortillez les faits comme vous voulez, niez si vous voulez que la trajectoire est celle-ci, il n’en restera pas moins que dans quelques mois, vous pourriez être poursuivi pour avoir pensé de travers une fois de trop.

source : Hashtable

 

 

Les Etats-Unis, la Chine, le Japon, le Brésil, la Norvège, la Suède, le Danemark, la Russie, l’Iran, la Tunisie, le Venezuela, etc critiquent la France à l’ONU pour racisme et/ou violences policières

Un grand nombre de pays, y compris les États-Unis, la Chine, mais aussi la Russie et l’Iran, ont notamment critiqué les violences de la police en marge des manifestations.

Un grand nombre de pays, y compris les États-Unis mais également la Tunisie, ont appelé la France à accroître ses efforts pour lutter contre les violences et les discriminations raciales. «Nous recommandons à la France d’intensifier ses efforts pour lutter contre les crimes et les menaces de violence motivés par la haine religieuse tels que l’antisémitisme et la haine antimusulmane», a déclaré la représentante américaine, Kelly Billingsley.

«Il y a une augmentation du racisme et de la xénophobie», a accusé le représentant chinois, qui a appelé la France à cesser de prendre «des mesures qui violent les droits des migrants».

Le Brésil, ainsi que le Japon, ont critiqué «le profilage racial par les forces de sécurité» et l’Afrique du Sud a appelé les autorités françaises «à prendre des mesures pour garantir des enquêtes impartiales par des organes extérieurs à la police dans tous les cas d’incidents racistes impliquant des policiers».

Le Figaro

 

 

« Cette route se termine par un génocide » : conférence au Parlement européen sur le wokisme et ses origines par le Dr James Lindsay

 

 

Afflux de migrants en Alpes-Maritimes : un hôtel à Châteauneuf-Grasse saisi, des migrants se disant mineurs ont des “sorties en bord de mer”, des nuisances rapportées ; le maire affirme qu’on lui avait avancé un projet pour des Ukrainiens

Depuis plus d’un mois, une association conventionnée par le département maralpin s’occupe d’une quarantaine de mineurs non accompagnés dans un hôtel Campanile à Châteauneuf-Grasse. Le maire de la commune regrette de ne pas avoir été consulté.

Depuis plus d’un mois, la petite pièce s’est transformée en bureau pour gérer l’hébergement d’urgence de mineurs non accompagnés (MNA). À Châteauneuf-Grasse (Alpes-Maritimes), ils sont une quarantaine à occuper l’hôtel Campanile de cette commune de l’arrière-pays. Au total, 21 chambres sur 47 les hébergent.

Des activités sont proposées aux migrants, comme des parties de football ou des sorties en bord de mer. « Il ne faut pas croire que c’est une colonie de vacances ! », nuance une encadrante. Certains de ces jeunes logent dans cet hôtel depuis trois semaines en attendant que leur minorité soit vérifiée par les services de la protection de l’enfance – une compétence départementale.

(…)  il ne s’agit pas pas d’une réquisition préfectorale. Selon les informations du Figaro, le Département conventionne l’association Pierre-Valdo pour prendre en charge des MNA dans cet hôtel. Contacté, le directeur général des services confirme ce contrat pour faire face à la crise migratoire dans les Alpes-Maritimes.

Le cas du Campanile ne serait pas isolé. D’autres établissements accueilleraient actuellement des MNA encadrés par l’association, selon l’une de ses membres. À Châteauneuf-Grasse, le maire regrette un manque de transparence et de concertation. (…) Selon ses dires, les riverains se plaignent de nuisances. 

Au début, on m’a quand même dit que c’était pour recevoir 40 Ukrainiens ! Depuis, ni le Département ni la préfecture ne m’ont contacté.

Emmanuel Delmotte, maire de Châteauneuf-Grasse

Depuis plusieurs années, David Nakache, président de l’association Tous Citoyens, demande la mise en place de nouvelles structures pérennes pour éviter la prise en charge en urgence des mineurs isolés dans des établissements privés. « Ça craque de tous les côtés car il y a plus d’arrivées qu’avant (…) »

[…] Le Figaro

 

 

Présidentielle en Turquie : des violences signalées à Bordeaux, Marseille et Paris (MàJ)


1/05/23

Plusieurs incidents ont émaillé ce lundi 1er mai le vote pour la présidentielle des expatriés turcs à Marseille. Partisans et opposants au président sortant Erdogan se sont affontés à l’extérieur d’un bureau de vote installé dans le parc Chanot, dans le quartier du Prado (8e arrondissement). Plusieurs dizaines de policiers casqués et armés sont intervenus, tirant des gaz lacrymogènes. Un homme a été blessé.

Le bureau a été fermé vers 17h45. Une première bagarre a éclaté en début d’après-midi. Quatre hommes ont été légèrement blessés. Ils ont été transportés à l’hôpital, a précisé le bataillon des marins-pompiers. Une enquête a été ouverte.

A deux semaines du scrutin qui doit avoir lieu en Turquie, les Turcs de France sont appelés à voter depuis le 27 avril pour départager le président Erdoğan et son adversaire du Parti républicain du peuple, Kemal Kiliçdaroglu.

[…] France 3 Régions

Deux personnes ont été interpellées. Une enquête a été ouverte.

[…] BFMTV

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