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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 17 mai 20237

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'Iran et la Russie cherchent à contourner les sanctions ensemble..

 

L’ESSENTIEL

  • Londres veut bâtir une « coalition internationale » pour aider l’Ukraine à obtenir des avions de combat F-16, a indiqué Downing Street mardi à l’issue d’une rencontre en Islande entre le Premier ministre britannique Rishi Sunak et son homologue néerlandais Mark Rutte.
  • Dans la nuit de lundi à mardi, l’Ukraine a affirmé avoir repoussé un nouveau déluge de feu en abattant six missiles hypersoniques russes Kinjal - ce que Moscou a affirmé faux - et 12 autres engins dont des missiles de croisière Kalibr, antiaériens S-400 et balistiques Iskander, mais aussi des drones de fabrication iranienne. La Russie a assuré au contraire avoir « touché toutes les cibles », dont des « points de déploiement des forces armées ukrainiennes » et des dépôts de munitions et d’armes occidentales.
  • L’Ukraine a affirmé mardi avoir repris 20 km2 aux forces russes ces derniers jours au nord et au sud de la ville dévastée de Bakhmout, épicentre des combats depuis des mois dans l’est de son territoire où elle a mis la Russie en difficulté. Les troupes russes continuent toutefois d’avancer au sein de cette cité, « détruisant complètement la ville à l’aide de l’artillerie », selon la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar.

 

14h20 : L'Iran et la Russie cherchent à contourner les sanctions ensemble

De plus en plus proches depuis le début de la guerre en Ukraine, l'Iran et la Russie ont signé mercredi un accord pour ouvrir une route commerciale Nord-Sud visant à contourner les voies maritimes traditionnelles et les sanctions internationales. Signe de l'importance donnée à l'événement, la signature de l'accord à Téhéran a été supervisée par les deux présidents, l'Iranien Ebrahim Raissi et le Russe Vladimir Poutine, présent par visioconférence.

Il s'agit d'« une étape stratégique dans la coopération entre la République islamique d'Iran et la Fédération de Russie», s'est félicité le président iranien. En discussion depuis le début des années 2000, cet accord bilatéral porte sur la construction d'une ligne ferroviaire d'une longueur de 164 km dans le nord-est de l'Iran, entre les villes d'Astara, située à la frontière avec l'Azerbaïdjan, sur la mer Caspienne, et Rasht.

De Rasht, les produits russes seront transportés par rail jusqu'aux ports du sud, comme Bandar Abbas ou Chabahar, d'où ils pourront être expédiés vers l'Asie à l'est, la péninsule arabique à l'ouest ou l'Afrique orientale au sud. L'objectif est de mener à bien l'ambitieux projet de corridor Nord-Sud, un réseau de routes maritimes, ferroviaires et terrestres de 7.200 km de long, qui vise à redessiner les circuits de la mondialisation et contrer l'hégémonie occidentale selon ses promoteurs.

 

 

13h16 : L’Europe et les pays du G7 lancent un registre des dommages provoqués par la Russie

Les Etats-Unis, le Japon, le Canada et la quasi-totalité des pays européens ont signé mercredi un registre des dommages de guerre provoqués par l’invasion russe en Ukraine, prélude à des demandes de réparations et des poursuites visant Moscou, a annoncé le Conseil de l’Europe réuni en Islande. Lancé mardi à l’occasion d’un sommet de chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation paneuropéenne, ce recensement se veut un premier pas en vue des demandes de réparations adressées à Moscou pour les milliers de victimes et les milliards d’euros de destructions.

Au pointage de mercredi matin, « nous avons environ 40 Etats membres qui ont signé, et tous les pays du G7 sur trois continents », a déclaré la secrétaire générale du Conseil de l’Europe, Marija Pejcinovic Buric, au deuxième jour du sommet. « Nous voulions une justice centrée sur les victimes », a déclaré la dirigeante de l’organisme à vocation juridique, plus connu pour sa Cour européenne des droits de l’homme, en saluant un « premier pas nécessaire et urgent ».

L’initiative, portée par la présidence islandaise de l’organisation, vise à montrer que le dossier de la « justice pour l’Ukraine » avance, quand la perspective d’un possible tribunal spécial pour les crimes de guerre commis lors de l’invasion reste lointaine.

 

11h32 : La Russie gèle les comptes bancaires de l’ambassade de Finlande, selon Helsinki

Le ministre finlandais des Affaires étrangères, Pekka Haavisto, a annoncé mercredi que la Russie a gelé les comptes bancaires de son ambassade à Moscou et de son consulat à Saint-Pétersbourg.

« Les comptes des missions finlandaises en Russie sont gelés et ne peuvent être utilisés pour le moment », a affirmé Pekka Haavisto lors d’une conférence de presse, ajoutant que la Finlande était en contact avec les autorités russes.

 

 

06h20 : Le chef de Wagner annonce la mort d’un Américain au front

Le chef du groupe paramilitaire Wagner, Evgueni Prigojine, a annoncé mardi la mort d’un volontaire américain engagé aux côtés des troupes de Kiev, dans l’Est de l’Ukraine.

Dans une vidéo relayée par des blogueurs militaires russes, il montre le corps d’un soldat qu’il dit être américain, dans les décombres d’un bâtiment. Dans cette courte vidéo, on le voit déambuler avec ses hommes la nuit et l’on entend des bruits sourds d’explosions autour, sans pouvoir déterminer avec exactitude où la scène se déroule ni quand.

Se tenant debout à côté du corps de ce soldat allongé sur le dos torse nu, une plaie dans le ventre, il dit sur un ton solennel et ironique : « Il est venu à notre rencontre. Citoyen des Etats-Unis d’Amérique ». « Nous le rendrons aux Etats-Unis. On le mettra dans un cercueil (avec) le drapeau américain. Avec du respect, car il n’est pas mort dans un lit de grand-père mais à la guerre », affirme l’homme d’affaires dont le groupe paramilitaire est en première ligne côté russe dans la bataille sanglante pour Bakhmout.

 

 

 

HIER

20h36 : Macron veut que l’Europe installe une centaine de « centres de santé mentale » en Ukraine

Le président français a appelé mardi le Conseil de l’Europe à contribuer à l’installation d’une centaine de « centres de santé mentale » en Ukraine pour faire face aux traumatismes de la guerre.

« Je propose que nous puissions lancer un grand projet pour que (la banque de développement du Conseil de l’Europe) puisse au plus vite intervenir et appuyer l’installation d’une centaine de centres de santé mentale en Ukraine », a-t-il dit à l’ouverture d’un sommet de l’organisation à Reykjavik.

 

20h34 : Macron annonce la création d’un registre international des dommages de guerre de l’invasion russe

Le Conseil de l’Europe a créé mardi un « registre international des dommages causés par l’agression de la Russie contre l’Ukraine », a annoncé le président français Emmanuel Macron à l’ouverture d’un sommet de l’organisation de 46 Etats membres en Islande.

« Le Conseil montre de nouveau la voie au côté des victimes de l’agression », a-t-il déclaré, en appelant « tous les Etats à y adhérer et à contribuer activement à son élaboration ».

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine: La Russie assure avoir détruit un lanceur de missiles Patriot dans son attaque "exceptionnelle" sur Kiev

 

  • Un système Patriot a été abattu par des missiles Kinjal affirme la Russie.
    Un système Patriot a été abattu par des missiles Kinjal affirme la Russie. dpa - Axel Heimken

Une pluie de missiles Kinjal s'est abattue sur Kiev, dans la nuit de ce lundi à mardi. La Russie revendique avoir neutralisé un système antiaérien Patriot envoyé à l'Ukraine par les Etats-Unis.

L'Ukraine a affirmé, ce mardi, avoir abattu au cours de la nuit six missiles hypersoniques russes Kinjal, une arme pourtant présentée par Moscou comme quasiment impossible à intercepter.

Les autorités ukrainiennes n'avaient jusqu'à présent jamais revendiqué une telle interception d'une volée entière de missiles hypersoniques. Si cette annonce était confirmée, elle prouverait l'efficacité des systèmes de défense antiaérienne fournis par les Occidentaux et récemment déployés par les Ukrainiens.

Un système Patriot détruit

Mais, dans le même temps, la Russie a au contraire déclaré avoir détruit un système Patriot de conception américaine au coût faramineux d'un milliard de dollars. C'est à l'aide d'un Kinjal que le Patriot a été détruit, rapporte Zvezda, publication spécialisée dans le domaine militaire, précisant que ces tirs visaient des unités de combat ukrainiennes et des dépôts de munitions.

Ces six Kinjal font partie de 18 missiles tirés dans la nuit par la Russie contre Kyiv, une attaque d'une intensité "exceptionnelle" selon l'armée ukrainienne, qui affirme les avoir tous interceptés.

Les sirènes d'alerte ont retenti dans quasiment toute l'Ukraine au cours de la nuit. Elles ont fonctionné pendant plus de trois heures à Kyiv et dans sa région.
Le ciel de la capitale ukrainienne s'est illuminé d'éclairs à chaque interception de missiles, avec des pluies de débris.

Selon le chef d'état-major de l'armée ukrainienne, Valéry Zaloujny, la Russie a tiré six missiles hypersoniques Kinjal à partir de bombardiers stratégiques, neuf missiles de croisière depuis des navires en mer Noire et trois missiles Iskander depuis le sol.
Tous ces missiles ont été abattus, ainsi que six drones Shahed de fabrication iranienne et trois drones de reconnaissance, a-t-il affirmé sur la messagerie Telegram.

"La mission de l'ennemi est de semer la panique et de créer le chaos. Cependant, dans la zone opérationnelle Nord (dont Kyiv), tout est parfaitement sous contrôle", a dit le général Serhiy Naev, commandant des forces conjointes des forces armées.

Attaque "exceptionnelle"

Les autorités municipales à Kyiv ont fait état de trois personnes blessées par des chutes de débris.
"C'était exceptionnel en terme d'intensité - le plus grand nombre d'attaques de missile en un temps réduit", a déclaré le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Serhiy Popko, via la messagerie Telegram.

Reuters n'a pas été en mesure de vérifier ces informations de manière indépendante.
L'Ukraine avait déjà revendiqué il y a quelques jours l'interception pour la première fois d'un missile Kinjal au-dessus de Kyiv à l'aide d'un Patriot américain.
Le président russe Vladimir Poutine a régulièrement présenté le Kinjal comme la preuve de la supériorité des équipements militaires de son pays vis-à-vis de l'Otan.

Ce missile d'une portée de 2.000 km, dont le nom signifie "poignard", peut transporter des ogives conventionnelles ou nucléaires et vole à 10 fois la vitesse du son. La Russie l'a utilisée pour la première fois l'an dernier dans le cadre du conflit en Ukraine, contre laquelle elle a lancé en février 2022 une "opération militaire spéciale", et elle n'a reconnu en avoir tiré qu'en quelques occasions.

La Russie multiplie ses attaques

Alors que l'Ukraine ne cache pas sa volonté de déclencher une vaste contre-offensive dans les semaines à venir, la Russie a repris fin avril ses tirs de missiles à longue portée et multiplié ces derniers jours ses attaques aériennes, principalement contre Kyiv. L'Ukraine dit être parvenue à repousser la majorité de ces attaques.

Les forces ukrainiennes ont déjà accompli au cours de la semaine écoulée leurs plus importantes avancées depuis novembre dernier, reprenant plusieurs kilomètres carrés de territoires au nord et au sud de Bakhmout, ville de l'Est de l'Ukraine que les Russes s'efforcent de conquérir depuis des mois.

La Russie a reconnu que certaines de ses unités s'étaient repliées dans ce secteur mais elle dément que ses lignes soient en train de s'effondrer.
L'Ukraine déclare que ces percées sont localisées et ne constituent pas le début de sa contre-offensive à proprement parler, qu'elle espère pouvoir mener avec les nombreux chars et véhicules blindés livrés par ses soutiens occidentaux depuis le début de l'année.

Source

 

 

 

Kiev affirme avoir abattu six missiles Kinjal, la Défense russe commente

 
 

Le ministre russe de la Défense a réagi aux déclarations de Kiev selon lesquelles l’Ukraine aurait abattu six missiles hypersoniques russes Kinjal.

Les déclarations des autorités ukrainiennes sur six missiles hypersoniques russes abattus n’ont rien à voir avec la réalité, a déclaré ce mardi 16 mai le ministre russe de la Défense.

« Nous ne lançons pas tant de Kinjal qu’ils n’en abattent par leurs déclarations. Le nombre de ces missiles interceptés par l’Ukraine – et il n’est pas encore clair qui manie les systèmes américains – est trois fois supérieur à celui que nous tirons », a indiqué le ministre.

Par ailleurs, Kiev se trompe toujours à propos des types de missiles, ce qui explique ces tirs ratés, a ajouté Choïgou.

Plus tôt dans la journée, le ministère russe de la Défense avait annoncé avoir mené une frappe massive sur des points de déploiement de l’armée ukrainienne, ainsi que sur des dépôts d’armes, de munitions et d’équipements occidentaux. Pendant cette frappe, un missile hypersonique Kinjal avait notamment détruit un système de défense antiaérienne américain Patriot à Kiev.

Missile hypersonique Kinjal

Vladimir Poutine avait dévoilé le missile hypersonique Kinjal ainsi que d’autres systèmes d’armes russes de pointe lors de son discours de 2018 devant l’Assemblée fédérale.

Le missile est capable d’atteindre une vitesse de Mach 10. Il peut surmonter tous les systèmes de défense antiaérienne et antimissile existants, en transportant des ogives nucléaires et conventionnelles à une distance d’environ 2000 kilomètres.

source : Sputnik Afrique

 

 

L’Ukraine révèle combien d’avions F-16 elle veut recevoir de l’Occident

 

Kiev s'attend à recevoir 40 à 50 chasseurs F-16 des pays occidentaux pour former trois ou quatre escadrons pour protéger son ciel, a déclaré un conseiller du ministre ukrainien de la Défense à Politico. Pour l’Ukraine, "le sujet est mûr pour la discussion", bien que Washington reste réticent.

L’Ukraine ne lâche pas le sujet de livraison d’avions de chasse F-16. Kiev n'a actuellement "rien pour arrêter" les avions russes, a déclaré à Politico Yuriy Sak, conseiller du ministre ukrainien de la Défense, en marge de la récente tournée européenne de Volodymyr Zelensky.

"Tout le monde comprend que le sujet est mûr pour la discussion. Personne n'a dit que c'était impossible. Si vous comparez cela avec il y a trois mois, lorsque nous luttions encore pour obtenir des chars, aujourd'hui tout le monde parle de la coalition des avions, c'est un signe très prometteur", a-t-il déclaré, ajoutant que la défense aérienne ukrainienne "ne sera pas complète sans F-16".

Ainsi, le pays s'attend à recevoir 40 à 50 chasseurs F-16 des pays occidentaux pour former trois ou quatre escadrons.

À l'ordre du jour des sommets du G7 et de l’Otan

Volodymyr Zelensky veut que le sujet des avions de combat figure en tête de l'ordre du jour du sommet du G7 à Hiroshima, puis de nouveau lors du sommet annuel de l'Otan en Lituanie en juillet, selon Yuriy Sak. Le Président ukrainien avait reçu des "assurances" des dirigeants occidentaux lors de sa dernière tournée européenne qu'ils discuteraient de la question dans les jours à venir.

Bien que le Royaume-Uni, l'Italie, la France et l'Allemagne n'aient pas de F-16 à proposer, le conseiller militaire ukrainien a déclaré que ces pays "ont une voix importante dans la coalition internationale" et que l'Ukraine aimerait qu'ils "encouragent" des alliés tels que les États-Unis et la Turquie.

Le 15 mai, John Kirby, coordinateur des communications stratégiques au Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, a déclaré que les États-Unis n'avaient pas encore changé d’avis concernant leur décision de ne pas fournir de F-16 à l'Ukraine.

Spoutnik

 

 

 

Ukraine : Qui veut la guerre mondiale ?

 

par TV Libertés

À la Une de ce journal, la guerre en Ukraine est-elle arrivée au seuil d’une nouvelle phase. Alors que les médias glosent sur la contre-offensive de Kiev, certains alliés du camp occidental semblent délibérément mettre le feu aux poudres. Emmanuel Macron, lui, maintient la stratégie du « en même temps ».

Nous reviendrons également sur les questions économiques et sociales évoquées lors de l’entretien du président sur TF1. Un président qui multiplie les prises de parole mais pour ne rien dire.

Et puis nous évoquerons la possible candidature de François Ruffin en 2027 qui agite un peu la gauche. Un personnage qui se voudrait plus rassembleur.

 

source : TV Libertés

 

 

 

 

La Chine riposte à Liz Truss "lavée" sur le discours de Taïwan

Vers une guerre de religion, infos du 17 mai 2023

Truss est devenu le politicien britannique le plus important à se rendre à Taïwan depuis que l'ancienne Premier ministre britannique Margaret Thatcher s'est rendue sur l'île dans les années 1990.

L'ancienne Première ministre britannique Liz Truss a exhorté son successeur Rishi Sunak à désigner la Chine comme une "menace" pour la sécurité nationale de son pays.

Dans un discours prononcé mercredi à Taipei, la capitale de Taïwan, Truss a appelé le Premier ministre britannique à tenir le langage qu'il a utilisé lors de la course à la direction du Parti conservateur l'été dernier. À l'époque, il décrivait la Chine comme la "plus grande menace à long terme pour la Grande-Bretagne", tout en s'engageant à fermer tous les instituts Confucius de Pékin au Royaume-Uni.

« Il avait raison et nous devons voir ces politiques promulguées de toute urgence. L'examen intégré du Royaume-Uni doit être modifié pour indiquer clairement que la Chine est une menace. Les Instituts Confucius doivent être fermés immédiatement. Au lieu de cela, le service pourrait être fourni par des organisations avec le soutien de ressortissants de Hong Kong et de ressortissants taïwanais qui sont venus gratuitement au Royaume-Uni », a souligné l'ancien Premier ministre britannique.

Elle a mis en garde l'Occident contre toute collaboration avec la Chine, dans sa condamnation des "régimes totalitaires". "Nous savons ce qui arrive à l'environnement ou à la santé mondiale sous des régimes totalitaires qui ne disent pas la vérité - vous ne pouvez pas croire un mot de ce qu'ils disent", selon Truss.

L'ancien Premier ministre britannique a affirmé que la Chine "entreprend le plus grand renforcement militaire de l'histoire en temps de paix" et qu'"ils ont déjà fait leur choix quant à leur stratégie", ajoutant "le seul choix que nous avons est : devons-nous apaiser et accepter cette stratégie ? ou agissons-nous maintenant ?"

Sur Taïwan, elle a appelé à une « approche plus coordonnée » pour que l'île « ait la défense dont elle a besoin » face à une potentielle « invasion » chinoise. Elle a ajouté que les pays occidentaux "n'ont pas besoin de s'engager dans un nouveau dialogue économique avec la Chine tant qu'elle adopte cette position agressive".

 
 

Les remarques interviennent alors que le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a déclaré aux journalistes que "les politiciens britanniques délabrés utilisent Taiwan pour attirer l'attention sur eux", dans un clin d'œil apparent à Truss.

La déclaration fait suite à la déclaration de l'ambassade de Chine sur la visite de Truss à Taïwan comme un "spectacle politique dangereux qui ne fera que nuire au Royaume-Uni".

"Cette mesure provocatrice a provoqué une forte indignation parmi le peuple chinois et sera fermement rejetée par les personnes conscientes de tous les horizons", a souligné l'ambassade.

Selon les diplomates chinois, "En jouant la" carte de Taiwan "et en s'engageant dans des spectacles politiques, Truss et autres sont de connivence avec les forces sécessionnistes" de l'indépendance de Taiwan "pour provoquer la confrontation et aggraver les tensions à travers le détroit de Taiwan. Ce qu'ils ont fait a pleinement ont révélé leurs sinistres intentions

 

La visite de Truss à Taïwan fait d'elle la politicienne britannique la plus connue à s'être rendue sur l'île depuis le voyage de l'ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher dans les années 1990. La visite de cinq jours du prédécesseur de Sunak à Taïwan intervient alors que les relations entre Pékin et Londres sont à leur pire depuis des décennies.

Un nouvel examen complet de la sécurité, de la défense et de la politique étrangère du Royaume-Uni, en particulier, fait référence à la Chine comme une menace pour Taïwan.

Les tensions entre la Chine continentale d'une part, et Taïwan et les pays qui renforcent la coopération avec l'île d'autre part, se sont intensifiées après que la présidente de la Chambre des États-Unis, Nancy Pelosi, s'est rendue sur l'île début août 2022. Pékin a condamné le voyage de Pelosi, qu'il considérait comme un geste de soutien au séparatisme et a organisé des exercices militaires à grande échelle dans les environs de l'île en guise de représailles.

Pékin perçoit Taiwan, gouverné de manière indécente depuis 1949, comme une partie inaliénable du territoire souverain de la Chine et s'oppose à tout contact officiel entre l'île et d'autres pays. Taipei insiste sur le fait qu'il s'agit d'une nation autonome mais s'arrête avant de déclarer son indépendance.

Pékin s'oppose à tout contact officiel d'États étrangers avec Taipei et considère la souveraineté chinoise sur l'île comme indiscutable.

Spoutnik

 

 

La Syrie officiellement réintégrée dans la Ligue arabe

 
 

Une réunion préparatoire du sommet de la Ligue arabe s’est tenue à Djeddah, retransmise en direct par la chaîne de télévision El-Ekbariya.

Le ministre des Finances saoudien, Mohamed Al-Jaddan, a chaleureusement accueilli la délégation syrienne. Celle-ci comprenait le ministre des Affaires étrangères et des Expatriés, Fayçal Miqdad, le ministre de l’Information, Boutros Al-Hallaq, le ministre adjoint des Affaires étrangères et des Expatriés, Ayman Soussan, ainsi que le directeur du bureau du ministre des Affaires étrangères, Jamal Najib.

Le président syrien, Bachar al-Assad, a été invité au sommet auquel plusieurs dirigeants occidentaux devraient participer.

La reconnaissance de la victoire de la République arabe syrienne sur les djihadistes soutenus par l’Occident et sa réintégration dans la Ligue des États arabes marque la fin de la domination étrangère sur la région.

source : Réseau Voltaire

 

 

Lavrov: en Afrique on "en a ras le bol" de la pression occidentale relative aux sanctions antirusses

 

Certains pays d’Afrique et d’Amérique latine se plaignent d’être harcelés par l’Occident qui réclame qu’ils se joignent aux sanctions antirusses, selon le ministre russe des Affaires étrangères. En échange, l’Occident promet de ne pas les punir.

L’Occident casse les pieds aux pays d’Afrique et d’Amérique latine en exigeant d’eux qu’ils se joignent aux sanctions contre la Russie, estime le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.

Vers une guerre de religion, infos du 17 mai 2023

"[Les pays occidentaux] menacent directement et punissent. Certains de mes amis en Afrique et en Amérique latine se plaignent d’en avoir ras le bol des exigences occidentales de se joindre aux sanctions. Je leur ai demandé ce qui leur a été proposé en échange d’un point de vue économique et financier. Ils avouent en baissant les yeux qu’en échange, on leur promet de ne pas les punir. En voilà une diplomatie", a fait savoir le ministre dans une interview accordée à la chaîne de télévision Tsargrad.

Le nombril du monde

Selon lui, les déclarations de l’Occident d’après lesquelles il "a isolé" la Russie témoignent du fait qu’il se prend pour le nombril du monde.

"C’est l’unique explication à sa politique actuelle", avance le ministre.

"Les tentatives de l’Occident de contraindre les pays du Sud global -comme nous les appelons maintenant- à se joindre aux sanctions antirusses se heurtent à la volonté de la majorité écrasante des pays en développement de mener leur politique sur la base de leurs intérêts nationaux, des besoins de leur économie et de leurs problèmes sociaux", a ajouté M.Lavrov.

Les raisons de l’opération en Ukraine décortiquées par Poutine

Il a précisé que Vladimir Poutine avait expliqué dans le menu détail les causes du début de l’opération militaire spéciale: le coup d’État en Ukraine, le refus de Kiev d’honorer les accords de Minsk, les opérations militaires contre les civils du Donbass pendant huit ans.

"[Le Président russe] a démontré que nous n’avons pas eu d’autre choix. D’aucuns peuvent ne pas l’accepter. L’Occident ne l’a pas accepté. Que les autres décident par eux-mêmes de qui a raison, qui a tort et quelle position occuper: pour, contre ou neutre. Mais on ne les laisse pas faire. Ils sont pressés de jour en jour, on leur dicte, on les force à se joindre à quelque chose d’antirusse. Ceux qui sont sûrs d’avoir raison ne se comportent pas de cette façon", a conclu le ministre.

 

 

Nicolas Sarkozy condamné en appel à 3 ans de prison, dont un ferme dans l’affaire des écoutes et à 3 ans de privation de ses droits civiques. Il se pourvoit en cassation

INFO EUROPE 1 - Les coulisses du déjeuner entre Nicolas Sarkozy et Eric Zemmour

Deux ans après une condamnation sans précédent pour un ancien chef de l’État, la cour d’appel de Paris a confirmé ce mercredi matin la condamnation de Nicolas Sarkozy à trois ans d’emprisonnement, dont un an ferme, pour corruption et trafic d’influence, dans l’affaire dite “Bismuth”.

Condamné ce mercredi en appel à Paris à trois ans de prison, dont un an ferme avec la mise en place d’un bracelet électronique, l’ancien chef de l’État Nicolas Sarkozy va se pourvoir en cassation. Reconnu coupable de corruption et trafic d’influence dans l’affaire des écoutes, il est également privé de ses droits civiques pour une durée de trois ans, ce qui le rend inéligible et lui interdit de voter.

France Bleu

 

 

Enquête du Figaro sur le groupuscule ultraviolent Jeune Garde, proche de cadres et députés LFI

Les policiers lui ont conseillé de porter plainte. Mais le jeune Lyonnais a refusé, et il a même hésité à nous rencontrer. Guillaume* se souviendra toute sa vie de la «violente agression» dont il dit avoir été victime. «Se faire tabasser par des antifas, c’est un risque courant quand on est militant royaliste, et je me dis que ça ne sert à rien de témoigner. Mais maintenant que je vois mon agresseur parader à l’Assemblée nationale, je ne peux plus me taire, il faut bien qu’on dise qui ils sont.»

L’homme qu’il accuse d’être son agresseur est Raphaël Arnault. Porte-parole officiel de la Jeune Garde, mouvement antifa agissant dans plusieurs grandes villes en France, celui-ci a été invité le 3 avril dernier à un débat «sur la lutte contre le terrorisme d’extrême droite» à l’Assemblée nationale malgré les pratiques de son propre groupuscule. Une venue qui n’a pas manqué de faire réagir divers élus de droite, comme le président des Républicains Éric Ciotti.

La Jeune Garde ne semble pourtant pas mal à l’aise avec l’usage de la violence, à en croire le témoignage des personnes qui s’en disent victimes. Le mode opératoire de ces militants antifascistes est bien connu des militants de droite, comme le raconte Guillaume. «Ils repèrent nos visages sur les réseaux sociaux, font des fiches, des listes et nous cherchent ensuite en sillonnant le Vieux Lyon à scooter. Un jour, Raphaël Arnault m’a reconnu dans le métro. Comme il était seul, il m’a simplement menacé. Mais une autre fois, il était avec un autre antifa, Safak Sagdic (cofondateur de la Jeune Garde, NDLR), et ils me sont tombés dessus à deux contre un et m’ont tabassé à coups de casque. Comme je suis tombé inconscient, ils se sont enfuis, de peur de m’avoir tué et d’avoir de gros ennuis, et je me suis réveillé dans l’ambulance.»

Violence assumée

Les agresseurs iraient parfois jusqu’à suivre leurs cibles pour repérer leur domicile. […]

Un des cadres du groupe, Hamma Alhousseini, a été condamné en août 2020 pour une agression dans un bar du vieux Lyon. Le même a été l’objet d’une enquête pour apologie du terrorisme après avoir relayé sur les réseaux sociaux un soutien à Boko Haram et une approbation implicite de la décapitation de Samuel Paty. […]

Jean-Luc Mélenchon lui-même, qui s’est affiché à plusieurs reprises avec Raphaël Arnault et d’autres membres du groupuscule, a encouragé le groupe antifa, appelant lors d’un meeting ses militants à «s’organiser» contre l’extrême droite, «avec des méthodes… impactantes». […]

Le Figaro

 

 

 

Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CRNS, menacée de mort et attaquée par des universitaires islamo-gauchistes pour son livre sur les Frères musulmans (MàJ : Un homme en garde à vue après avoir publié un tweet de menace)

 

INFO BFMTV – Un individu soupçonné d’avoir envoyé un tweet de menace à la chercheuse du CNRS Florence Bergeaux-Blackler sur les réseaux sociaux a été interpellé lundi à Pau.

Un homme de 36 ans, soupçonné d’avoir publié en mars dernier un tweet menaçant envers la chercheuse Florence Bergeaux-Blackler, a été interpellé à Pau lundi matin, peu après 7 heures, a appris BFMTV. En janvier 2023, cette anthropologue et chercheuse au CNRS a été la cible d’une cabale sur les réseaux sociaux, après la publication d’un livre sur les Frères musulmans intitulé Le Frérisme et ses réseaux, l’enquête.

Selon nos informations, l’homme interpellé lundi est connu des services de police mais inconnu du renseignement. Pendant sa garde à vue, il a reconnu avoir publié ce tweet, sans toutefois expliquer ses motivations.

[…]

 

BFMTV


10/05/23

Sa conférence à la Sorbonne « suspendue » pour « des raisons de “sécurité” »


09/05/23

Auteure du livre « Le Frérisme et ses réseaux », la chercheuse menacée de mort et sous protection policière, a vu sa prochaine conférence annulée par la doyenne de la faculté parisienne.

Le rendez-vous était pourtant prévu de longue date. Ce mardi 9 mai, sur ses réseaux sociaux, la chercheuse Florence Bergeaud-Blackler a indiqué que la doyenne de la faculté de Lettres de la Sorbonne avait demandé la suspension d’une conférence qu’elle devait tenir sur les frères musulmans. Prévu le 12 mai, son intervention entre les murs de l’université parisienne devait lui permettre de présenter son dernier livre : « Le frérisme et ses réseaux, l’enquête » (Odile Jacob), paru en janvier dernier.

Une décision qu’elle juge totalement inadaptée car des dispositions avaient déjà été prises. « Les organisateurs avaient choisi de le faire en soirée à 18 heures, pour éviter que la conférence ne soit perturbée par des étudiants. Le public était plus âgé, plus large et plus averti qu’à l’accoutumée » explique-t-elle à Marianne.

[…]

 

« La réalité, c’est qu’il y a une très forte montée de la cancel culture dans l’ensemble des facultés. Parmi les menaces dont je suis victime, il y a une partie non négligeable qui provient de là. La Sorbonne a renié ses valeurs, son rayonnement, en refusant d’organiser la conférence. C’est une université multicentenaire qui cède face aux menaces et recule alors qu’elle a apporté tant de connaissances par le passé », s’est-elle indignée auprès de Marianne émue de ne pas avoir reçu d’appel de la doyenne pour la prévenir de cette décision.

[…]

 

Marianne

 

 

La DILCRAH dissout son conseil scientifique car il souhaitait entendre un groupe de pédopsychiatres qui dénonce la chirurgie transgenre sur les mineurs (màj : Laure Adler accusée de relayer un mouvement sectaire transphobe)

 

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