Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le ministre russe de la Défense a inspecté les troupes sur le front...
L’ESSENTIEL
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi une nouvelle aide de 400 millions de dollars, lors de la visite à Washington du chancelier allemand Olaf Scholz. La nouvelle aide inclut des munitions, notamment pour le système de roquettes Himars que les forces ukrainiennes ont utilisé avec un effet dévastateur contre les troupes et les lignes logistiques russes.
Sur le terrain, le groupe paramilitaire russe Wagner a affirmé avoir « pratiquement encerclé » Bakhmout, ville symbole de l’est, et appelé le président Volodymyr Zelensky à sonner le retrait de ses troupes.
Le bilan de la frappe du 2 mars sur un bâtiment résidentiel de Zaporojie monte à 7 morts. Les équipes de secours ont sauvé 11 personnes, et poursuivent leurs recherches dans les décombres.
08h42 : Sergueï Choïgou a mené une inspection sur le front
Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a inspecté un « poste de commandement » sur le front dans l’est de l’Ukraine, a indiqué samedi son ministère, au moment où fait rage la bataille pour la ville symbole de Bakhmout, sans préciser le lieu exact ni la date de cette visite.
08h35 : Joe Biden annonce une nouvelle aide militaire
400 millions d’euros supplémentaires vont être délivrés à l’Ukraine, a annoncé le président américain, lors d’une visite de son homologue Olaf Scholz à Washington. L’aide militaire occidentale à l’Ukraine a été cruciale pour permettre à Kiev de résister aux assauts des troupes russes et même de regagner du terrain, mais le Kremlin a déclaré que cette aide ne ferait que « prolonger le conflit et aurait de tristes conséquences pour le peuple ukrainien ».
La Russie crée un nouveau type d’opérations militaires utilisant des armes nucléaires pour se protéger contre une éventuelle agression américaine
Le magazine Pensée militaire publié par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a évoqué ce développement prometteur.
«Les États-Unis, perdant leur leadership dans le monde, envisagent de vaincre la Russie au cours d’une « opération stratégique multi-sphères ». Cela inclut la défaite instantanée de jusqu’à 70% des forces nucléaires stratégiques de la Russie, la neutralisation des transporteurs restants et lancés à l’aide de la défense antimissile, puis une frappe nucléaire sur le territoire russe», écrit le journal.
À son tour, l’armée russe développe une opération de force de dissuasion stratégique qui sera en mesure de supprimer les systèmes de défense antimissile américains et d’infliger des dommages inacceptables à l’ennemi.
«Une attaque américaine peut être évitée si la Russie démontre de manière convaincante sa capacité à dissuader au moins une des étapes de l’opération américaine », note le magazine.
Des soldats US en Ukraine: une mission de la CIA démasquée par un ex-conseiller du Pentagone
Pour aider les forces ukrainiennes à utiliser les armes de l’Otan, les services secrets des États-Unis envoient des militaires en Ukraine, les faisant passer pour des soldats sous contrat, affirme un ancien conseiller du Pentagone.
La Central Intelligence Agency (CIA) envoie des militaires américains en Ukraine, prétextant que ce sont des soldats sous contrat, afin d’aider l’armée de ce pays à manier les équipements de l’Otan, a déclaré le colonel Douglas McGregor, ancien conseiller du Pentagone.
"Nous recrutons autant de mercenaires que possible. Ils sont parrainés par la CIA par le biais d'organisations fictives. Cela indique à quel point nous sommes désespérés", a-t-il indiqué sur une chaîne YouTube.
Incapables d’utiliser les armements occidentaux?
Selon lui, ces mercenaires, qui portaient hier encore des uniformes américains, arrivent en Ukraine. Sans eux, les soldats ukrainiens ne seraient pas en mesure d’utiliser la plupart des équipements occidentaux.
M.McGregor ajoute que les forces ukrainiennes ne seront pas capables non plus de contrôler les nouveaux chars promis par l’Otan. Il serait donc prévu d'envoyer en Ukraine des instructeurs européens de République tchèque, d'Allemagne, de Lettonie, de Lituanie, de Norvège et du Royaume-Uni.
"L'Ukraine est sous notre contrôle total, y compris son gouvernement et son armée […]. Nous avons décidé de diriger ce bateau jusqu'au bout, peu importe le nombre d'icebergs qu'il a sur son chemin. Je pense qu'il en a déjà rencontré et qu'il est en plein naufrage", a-t-il conclu.
Moscou a plusieurs fois déclaré aux pays occidentaux que leur assistance militaire ne présageait rien de positif pour Kiev et ne faisait que prolonger le conflit.
L’UE a décidé de produire des munitions comme en temps de guerre
La Commission européenne avec sa présidente, Ursula von der Leyen a décidé de faire en sorte que le conflit en Ukraine prenne une dimension spéciale pour produire des munitions comme en temps de guerre. L’industrie de l’armement veut profiter de cette offre commerciale et les responsables politiques de l’UE vont dans ce sens pour leur offrir les contrats juteux au risque de détruire l’Europe, voire la Planète en cas d’un embrasement incontrôlé du conflit.
L’UE n’est plus la paix. « La Commission européenne a l’intention de faire passer l’Europe des temps de paix aux temps de guerre », annonce Der Spiegel qui évoque « un plan en trois étapes » où est prévu « une augmentation massive de la production de munitions ». Ainsi, « Ursula von der Leyen présente aux États membres [de l’UE] un plan qui assurera non seulement l’approvisionnement de l’Ukraine dans la défense contre l’invasion russe, mais aussi la reconstitution des stocks dans les pays de l’UE ». « La Commission européenne a pour objectif de produire des munitions comme en temps de guerre », note aussi le média autrichien, eXXpress, faisant remarquer : « L’Union européenne était autrefois considérée comme le garant de la paix. Ces temps semblent révolus maintenant ».
Der Spiegel affirme avoir obtenu le document, et a fait savoir que la Commission européenne doit présenter aux ambassadeurs des pays membres ce jeudi le plan qui contient trois piliers. L’hebdomadaire germanophone donne quelques informations sur le contenu du document :
« Le premier pilier prévoit une augmentation immédiate de la fourniture de munitions, en particulier d’obus d’artillerie de 155mm, à l’Ukraine » ; « Le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, proposera bientôt un programme de soutien supplémentaire d’une valeur de 1 milliard d’euros pour la fourniture de munitions, principalement des grenades de 155mm » ;
« Le deuxième pilier prévoit un achat conjoint de munitions de 155mm par l’Agence européenne de défense EDA afin de combler les lacunes dans les stocks des pays de l’UE et d’assurer l’approvisionnement de l’Ukraine à long terme » ;
« Le troisième pilier vise à assurer l’augmentation à long terme des capacités européennes de production de munitions afin de tenir compte de l’évolution de la situation sécuritaire ».
La Commission européenne crée, ainsi, une demande pour l’industrie de l’armement. « L’aide d’urgence du premier pilier doit suivre le schéma déjà établi : les États de l’UE approvisionnent l’Ukraine et reçoivent en retour de l’argent de la Facilité européenne pour la paix (EPF). Sa couverture financière a déjà été augmentée à trois reprises de 500 millions d’euros chacune, et en décembre, il a été décidé de la porter à 2 milliards d’euros. Dès qu’il sera réalisé, le milliard d’euros supplémentaires que Borrell va proposer viendra ». « Le deuxième pilier du plan contient un message clair : le temps où l’on croyait la paix en Europe assurée est révolu. La situation a fondamentalement changé avec l’attaque de la Russie contre l’Ukraine, et les États de l’UE devraient en tenir compte – en acquérant de plus grandes quantités de munitions à long terme » et « les pays membres et l’Ukraine devraient mettre en balance leurs besoins collectés afin de passer une commande massive et donner à l’industrie un signal de demande clair », signale Der Spiegel. Ainsi, « selon la Commission européenne, ce n’est que si l’industrie est sûre qu’il existe une telle demande qu’elle sera disposée à augmenter ses capacités de production à long terme ».
L’approvisionnement pourrait s’inspirer de l’agence d’approvisionnement Occar, qui a déjà géré des projets d’armement conjoints tels que l’avion de transport militaire A400M. Les États pourraient y enregistrer leurs besoins, et l’agence négocierait alors les contrats. Alternativement, une « nation dirigeante » pourrait assumer ce rôle et acheter des munitions pour les autres pays impliqués, indique le document. « Pour la partie qui est livrée à l’Ukraine, il devrait alors y avoir une compensation de l’EPF ». La Commission européenne espère également que la commande conjointe se traduira par des prix sensiblement plus bas qu’auparavant. 25 des 27 pays de l’UE et la Norvège ont déjà exprimé leur intérêt à participer au projet, qui durera sept ans.
Le media autrichien ne s’y trompe pas. « Alors que de plus en plus de personnes en Europe veulent des négociations de paix entre la Russie et l’Ukraine, les politiciens européens, avec la figure de proue Ursula von der Leyen, prennent une direction complètement différente. Il semble que l’Union européenne veuille s’approprier ce conflit », c’est-à-dire rentrer directement dedans en prenant le relais des États-Unis qui ont déjà clairement fait savoir que leurs priorités se trouvent en Asie avec Taïwan.
Observateur Continentalrapportait que « les États-Unis vont abandonner l’Europe et l’Ukraine pour Taïwan » laissant les pays de l’UE seuls dans ce conflit ukrainien qui est devenu un nouveau bourbier vietnamien.
« Les États-Unis ont exhorté leurs alliés à accélérer les livraisons de munitions », souligneBloomberg, confortant leur volonté de laisser les Européens se débrouiller avec le conflit en Ukraine et apportant la preuve que, derrière Ursula von der Leyen, le commanditaire sont, bien, les États-Unis. Les peuples européens ne veulent pas de ce conflit, mais les élites de l’UE les y poussent que pour les intérêts des États-Unis. La politique de Ursula von der Leyen est très incohérente car c’est bien elle qui a lancé des plans pour le climat, la réduction de la consommation du CO2 et fait la promotion de Greta Thunberg. Les citoyens de l’UE doivent réduire leurs déplacements, mais les soldats doivent les augmenter.
D’ailleurs, ce document de Ursula von der Leyen, donne une réponse à une question d’Observateur Continental : La France se prépare-t-elle à envoyer ses troupes en Ukraine ?
Prise de conscience anglo-saxonne de l’émergence d’un nouvel ordre mondial
par Dominique Delawarde
Dans un article daté du 3 mars 2023, la revue britannique : The Spectator fait une découverte intéressante. Il était temps…
Washington perd, Poutine gagne !
Pourquoi ? Parce que l’Ordre mondial change en sa faveur.
The Spectator écrit qu’en dehors des purs satellites des États-Unis, personne au monde n’est allé contre la Russie. Et cela peut déjà être considéré comme une défaite pour Washington.
Les revers en Afghanistan et l’idée que la guerre en Ukraine était due à l’expansion de l’OTAN ont alimenté la sympathie des pays émergents pour l’idée que Poutine s’oppose simplement à un Occident tyrannique.
Moscou se présente comme un bastion de stabilité dans un monde devenu fou. Et Moscou est de plus en plus perçu comme tel.
Tant va la cruche à l’eau (de l’expansion de l’OTAN, des sanctions, de la coercition tyrannique des occidentaux pour maintenir quoi qu’il en coûte une hégémonie déclinante), qu’à la fin, elle se casse…
Nous y sommes !
Quant à la France, ses élites politiques et ses journalistes semblent bien avoir un temps (une guerre ?) de retard. Espérons qu’ils se réveillent avant qu’il ne soit trop tard. Le désastre économique et la débâcle militaire qui s’annonce s’inscriront au débit de ceux qui n’ont jamais cessé de mentir sur les accords de Minsk, sur le gazoduc North Stream 2, sur Butcha, sur notre capacité à l’emporter, et même sur la Covid….etc. Il faudra bien que la population paye les erreurs de sa gouvernance (Inflation, ruine et déclassement du pays), lorsque la partie sera terminée.
Il convient de rappeler ici que 4 généraux d’Armée français (2S) se sont exprimés sur le sujet de la guerre en Ukraine
1.Le général d’Armée (2S) Pierre de Villiers, ancien chef d’état-major des armées, a clairement fait savoir, en novembre dernier, que cette guerre n’était pas la notre, que nous n’avions pas les moyens de la faire et que les intérêts états-uniens n’étaient pas ceux de la France. Chacun notera que ce général n’a jamais été réinvité sur les plateaux de télévision depuis 4 mois. On y préfère les bienheureux Goya, Yakovlev et consorts dont les propos épousent la doxa macronienne.
2. Le général d’Armée (2S) Elrik Irastorza, ancien chef d’état-major de l’Armée de Terre, dont je retiens la conclusion parfaitement cohérente avec l’article du journal britannique The Spectator.
Le monde né de l’effondrement du pacte de Varsovie, il y a 30 ans, est en train de disparaître sous nos yeux. 2023 pourrait bien nous offrir l’esquisse de ce que sera celui de demain…
3. Le général d’Armée (2S) Jean René Bachelet, ancien inspecteur général des armées a posté en mai 2022 un article sous le titre :« La guerre en Ukraine et le crépuscule de l’Occident ».En voici la conclusion :
« Je pensais pour ce qui me concerne que l’Europe, après avoir pris sa part au cours des siècles passés à une semblable hypocrisie, avait désormais pour vocation et destin de remettre l’Occident sur le droit chemin, seule voie susceptible d’assurer, dans le nouveau monde qui émerge, la pérennité de notre civilisation, mieux encore, d’en favoriser la renaissance et, pour cela de se dégager de l’emprise de son avatar d’outre-Atlantique.
Au lieu de cela, nous voilà revenus au banc des rameurs de la galère américaine, pour un naufrage de concert programmé…
Douloureuse perspective au soir de nos vies… »
4. Le général d’Armée (2S) Jean-Marie Faugère, ancien major général des Armées, dit lui aussi que les intérêts US ne sont pas les nôtres et que nous n’avons pas les moyens de mener la guerre, même à 27 contre 1. Il pose les bonnes questions.
En conclusion, les bateaux « UE » et « France » coulent, mais l’orchestre macronien continue de jouer et le chœur des médias français continuent de chanter.
Note; oui le monde change, et de nouvelles aliances se formes. Les américains sont en train de nous menez a notre propre perte
La Finlande entame la construction d’une clôture à sa frontière avec la Russie
Après l’ordre de “mobilisation partielle” donné par Vladimir Poutine en septembre, Helsinki avait fermé sa frontière face à l’afflux de Russes. Et peu après, le gouvernement avait décidé l’érection d’un “mur” sur plusieurs centaines de kilomètres.
La Première ministre, Sanna Marin, l’avait annoncé en octobre dernier. La Finlande a lancé mardi 28 février la construction d’une clôture le long de sa frontière avec la Russie. Le chantier a commencé par des travaux de défrichage au point de passage de Pelkola, près d’Imatra, dans le sud-est du pays, précise la BBC sur son site Internet. Suivront la construction d’une route et l’installation de la clôture, qui sera équipée de caméras infrarouges, de projecteurs et de haut-parleurs. À ce jour, la clôture en place, beaucoup plus rudimentaire, vise avant tout à empêcher les animaux de passer.
“Le projet pilote de trois kilomètres à Imatra doit être achevé d’ici à la fin du mois de juin”, précise le média britannique en s’appuyant sur un communiqué des gardes-frontières finlandais. À terme, entre 130 et 260 kilomètres, sur les 1 340 kilomètres de frontière avec la Russie, seront ainsi dotés d’une clôture haute de trois mètres et surmontée de fil de fer barbelé, rapporte CNN. Un budget de 380 millions d’euros y a été alloué. Les autorités finlandaises avaient indiqué ne pas vouloir ériger une clôture sur la totalité de la frontière mais se concentrer sur les postes-frontières et les zones à risque
Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, la Finlande comme la Suède ont décidé de rompre avec des années de neutralité et de rejoindre l’Otan. Helsinki, qui rencontre moins d’obstacles que Stockholm, entend y parvenir avant les élections d’avril. “Le Parlement finlandais a commencé mardi [28 février] l’examen du texte visant à accélérer la candidature du pays, avec un vote prévu mercredi”, explique la BBC.
Göteborg (Suède) : une petite fille de 9 ans poignardée au cri d’«Allah Akbar» par un multirécidiviste d’origine iranienne (MàJ)
03/03/2023
Milad Salari est le nom de l’homme qui a poignardé hier une fillette de neuf ans d’Amsterdam qui rendait visite à ses grands-parents à Göteborg. Il a 36 ans, est né en Iran et a commis 52 crimes en Suède depuis 2002. Samnytt peut vous le dire aujourd’hui.
Milad Salari est venu en Suède avec sa mère, son père et ses deux frères et sœurs aînés en juillet 1989. La famille est originaire de la ville de Shiraz en Iran. Le mois suivant, ils obtiennent un permis de séjour temporaire.
Au printemps 1990, la famille Salari – malgré la soi-disant décision Lucia du gouvernement Ingvar Carlsson sur une politique d’immigration considérablement renforcée – reçoit un permis de séjour permanent en Suède. Quelques années plus tard, le père décède.
Premiers débuts criminels
En septembre 1994, la mère de Milad envoie une demande de citoyenneté suédoise pour son fils. La demande a été acceptée un peu plus de quatre ans plus tard, fin octobre 1998.
En mai 2002, Milad Salari vient d’avoir 15 ans et devient un criminel. Il commet alors le premier crime pour lequel il est condamné – un vol. Le tribunal se contente de laisser les services sociaux « assurer les soins nécessaires ».
Pas même un an ne s’écoule avant que Milad ne soit à nouveau arrêté en février 2003. Cette fois pour un énième vol et tentative de détournement de moyens d’approvisionnement. La sanction sera désormais un peu plus sévère ; 50 heures de service jeunesse et “soins nécessaires” avec les services sociaux.
Après cela, la carrière criminelle de l’adolescent s’intensifie. Dégâts, délits stupéfiants, conduite illégale, tentative de vol, toujours plus de délits stupéfiants et de nombreux appels aux services sociaux. Il est connu pour un total de 24 crimes avant d’atteindre l’âge de 18 ans.
Prison
En mai 2006, à l’âge de 19 ans, Milad Salari est condamné pour la première fois à la prison. Avec un copain et armé d’un pistolet factice, il a cambriolé le showroom de Vodafone à Nordstan à Göteborg.
Le vendeur raconte l’horreur quand Milad l’attrape et le traîne dans une pièce à l’intérieur du magasin. Il pense qu’il va être tué. La peine pour ce vol brutal est d’un an et demi de prison.
En 2011, Milad a été condamné à un an de prison pour un autre braquage, et dans la même affaire à un autre mois de prison pour menaces illégales.
En 2013, Milad a été arrêté par la police de Copenhague pour intrusion. Il est enfermé pendant six jours avant d’être renvoyé en Suède. Il ne se présente jamais au procès où il est condamné à payer 3 000 couronnes danoises d’amende.
En 2014 et 2015, Milad a été condamné pour d’autres vols et délits liés à la drogue. A chaque fois, le tribunal estime qu’il est plus approprié que Milad soit condamné à la probation plutôt qu’à la prison.
Voler un magasin d’or
Lucia Day 2015, Milad Salari commet son pire crime à ce jour, malgré le surveillant désigné pour l’empêcher. Armé d’un “objet semblable à une arme automatique”, il vole Jarl Sandin Ur & Guld sur Kungsgatan à Göteborg.
Sous la menace, les clients et le personnel sont forcés de pénétrer dans l’atelier et Milad vole des montres d’une valeur de plus de deux millions de couronnes.
Un chasseur témoin du vol court après l’agresseur. Il s’est immédiatement rendu compte que l’arme n’était pas réelle, mais une soi-disant arme à air comprimé souple en plastique.
– J’avais prévu de l’emmener déjà dans le magasin, mais il y avait trop de monde là-bas, explique le chasseur en interrogatoire.
Le voleur corpulent ne supporte pas de fuir le chasseur et renonce. Après un peu de persuasion, le chasseur parvient alors à persuader la première patrouille de police alertée, qui doute de l’authenticité de l’arme, d’arrêter le braqueur.
– Je suis moi-même chasseur et je possède une arme et j’ai tout de suite vu que ce n’était pas une vraie arme, dit-il.
Crime continu
Milad Salari est condamné à trois ans de prison pour, entre autres, vol qualifié. En janvier 2018, il sera libéré sur parole.
Bien qu’il ait été condamné pour de nouveaux crimes, voies de fait et vol pendant la période probatoire, le triple braqueur n’a pas à purger le reste de la peine de prison. Au lieu de cela, le tribunal se contente de la probation deux fois de suite.
En 2019, le criminel en série iranien commet sept autres crimes, dont le vol, le grand vol et la conduite en état d’ébriété, en 2020, il est à nouveau condamné pour vol et en 2021 pour un autre vol à l’étalage contre Naturkompaniet.
“Effroyable amélioration”
Après avoir commis 51 crimes au total, Milad Salari a de nouveau été jugé l’année dernière après avoir volé un ordinateur portable à l’intérieur de l’Elgiganten, dans le centre de Göteborg.
Malgré le fait que Milad a été reconnu coupable d’un vol à l’étalage similaire pas plus tard que l’année précédente, et vit avec son frère aîné qui est également reconnu coupable d’un crime, le tribunal estime qu’une “amélioration significative s’est produite dans sa situation personnelle et sociale” .
Par conséquent, l’homme de 36 ans évite à nouveau la prison et est plutôt condamné à la probation.
Milad Salari est désormais inscrit au registre des charges pour un total de 52 crimes depuis qu’il a fait ses débuts criminels à l’âge de 15 ans. Il est maintenant soupçonné de la tentative de meurtre brutale d’hier contre une fillette de neuf ans venue des Pays-Bas.
Une Néerlandaise (9 ans) a été poignardée jeudi vers 12h30 par un homme de 36 ans dans un parc de la ville suédoise de Göteborg. Elle a été transportée à l’hôpital avec des blessures graves. Son état est maintenant stable, a déclaré un porte-parole de la police.
Le porte-parole de la police a déclaré que l’homme avait été arrêté après avoir été poignardé. Il ne connaissait pas la fille. “Elle était probablement une victime au hasard.” Selon le site d’information Fria Tider , l’agresseur, un homme de 36 ans au casier judiciaire, aurait crié “Allahu akbar”. “L’homme a été reconnu coupable de plusieurs délits tant en Suède qu’à l’étranger, notamment de vol et d’avoir menacé une personne avec un couteau”, écrit Fria Tider .
Caen : « Attention à votre cœur qui risque de se faire planter par une arme blanche » ; une enseignante menacée de mort à son domicile, le rectorat lui demande ne plus aller en cours
03/03/2023
Une enquête a été ouverte à Caen après les menaces de mort reçue par une enseignante en collège. Elle a reçu une lettre à son domicile en début de semaine. Le rectorat a également une ouvert une enquête interne, et a demandé à l’enseignante de ne plus aller en cours pour l’instant.
C’est une affaire prise très au sérieux par la justice et par les autorités éducatives dans le Calvados. Une enseignante de collège a reçu en début de semaine dans sa boîte aux lettres personnelle une lettre la menaçant de mort. Selon nos confrères du JDD qui révèlent l’information, les menaces sont très explicites. « Je vous déteste, attention à votre cœur qui risque de se faire planter par une arme blanche. »
L’enseignante, professeure d’arts plastiques qui travaille sur un collège de Caen et un autre situé dans l’agglomération, en a immédiatement avisé sa hiérarchie. Le rectorat a déposé un signalement au directeur départemental de la sécurité publique. Et l’enseignante a porté plainte au commissariat de Caen ce mercredi. Le procureur de Caen confirme l’ouverture d’une enquête.
Épernay (51) : une professeure reçoit une lettre remplie de menaces à son domicile ; il y a quelques mois, un élève l’avait déjà menacée, lui disant qu’elle “finirait comme Samuel Paty”
03/03/2023
Une enseignante du lycée Stéphane-Hessel a reçu dans sa boîte aux lettres une missive remplie de violentes menaces. Elle a porté plainte. L’académie et les syndicats prennent cette affaire au sérieux. À l’automne, un élève l’avait menacée, lui disant qu’elle finirait comme Samuel Paty.
Qui en veut à cette enseignante en langues étrangères ? Mardi matin, cette professeure du lycée Stéphane-Hessel d’Épernay a reçu une violente lettre de menaces dans la boîte aux lettres de son domicile. Choquée, elle a porté plainte et s’est mise en arrêt. Prévenus, les syndicats se réunissent aujourd’hui pour savoir quelle suite donner à cette affaire. L’académie quant à elle prend « très au sérieux toute menace exercée à l’encontre des enseignants de notre académie. Nous apportons tout notre soutien à l’enseignante concernée et sommes fermement à ses côtés. »
(…) Il faut dire que la victime a un passif : à l’automne dernier, un élève à qui elle venait de mettre un 0 lui a dit qu’elle « finirait comme Samuel Paty », l’enseignant de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), tué sauvagement le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste. Elle avait alors porté plainte, classée sans suite. L’élève a écopé d’une exclusion avec sursis. Il n’est plus dans sa classe à ce jour
Malheur aux voyageurs des trains régionaux, sur lesquels ces adolescents niçois jetaient leur dévolu, animés de bien mauvaises intentions.
C’est dans un TER Nice-Grasse du 19 février au soir qu’un trio de mineurs (un “leader” de 17 ans, deux acolytes de 14 ans) a commencé son périple de sauvageons.
En gare de Ranguin à Cannes-la-Bocca, l’un d’eux descend soudain du train à l’arrêt, et force l’entrée de la cabine de pilotage inoccupée en queue de convoi, puis y fait entrer ses deux copains.
Les voilà qui vident l’extincteur anti-incendie et vandalisent le site, pour un préjudice qui sera estimé à 5.000 euros par la SNCF.
Mais le train redémarre, et l’infernal trio erre à travers les wagons, jusqu’à tomber sur un autre adolescent accompagné de sa copine.
Le couple commence à être importuné, claques, coups de pied commencent à pleuvoir, jusqu’au terminus de Grasse.
(…) Tandis qu’il est placé en garde à vue au commissariat de Cannes, ses deux comparses continuent leurs méfaits avec une nouvelle agression sur un jeune homme qui attendait son train en gare de Cagnes-sur-Mer, auquel ils tentent de dérober son téléphone sous la menace d’un couteau.
(…) Déjà connus de la justice (surtout le principal auteur âgé de 17 ans), ils ont été déférés au parquet de Nice ce vendredi, en vue d’une présentation devant un juge pour enfants.
La justice annule une subvention de 100 000 € octroyée en 2019 à SOS Méditerranée par la Ville de Paris pour avoir interféré dans “la conduite de la politique extérieure de la France” (MàJ)
03/03/2023
03/03/2023
La Cour administrative d’appel de Paris a annulé ce vendredi une subvention de 100.000 euros octroyée en 2019 par la Ville de Paris à l’ONG SOS Méditerranée, jugeant que la mairie avait interféré avec la politique étrangère de la France.
En accordant cette aide, «le conseil de Paris doit être regardé comme ayant entendu prendre parti et interférer dans des matières relevant de la politique étrangère de la France et de la compétence des institutions de l’Union européenne, ainsi que dans des différends, de nature politique, entre États membres», jugent les magistrats.
Depuis 2015, SOS Méditerranée a régulièrement affrété des bateaux en Méditerranée pour sauver des migrants tentant de rejoindre l’Europe par la mer. Ses expéditions, et celles d’autres ONG, ont été la source de brouilles diplomatiques entre États membres de l’UE, qui se sont renvoyé la responsabilité d’accueillir les migrants secourus.
En juillet 2019, la mairie de Paris, dirigée par la socialiste Anne Hidalgo, avait décidé d’octroyer une aide de 100.000 euros à SOS Méditerranée et de décorer les capitaines d’un navire humanitaire d’une autre ONG, poursuivies par la justice en Italie pour aide à l’immigration clandestine. Cette décision avait outré l’extrême droite italienne, notamment le ministre de l’Intérieur de l’époque, Matteo Salvini.
Le tribunal parisien rappelle qu’«une collectivité territoriale ne saurait (…) méconnaître les engagements internationaux de la France ni, en attribuant une subvention, prendre parti dans un conflit ou un différend international de nature politique ou interférer dans la conduite de la politique extérieure de la France».
Or, «les responsables de l’association ont, aussi, publiquement critiqué, et déclaré vouloir contrecarrer par leur action les politiques définies et mises en œuvre par l’Union européenne et les États membres en matière d’immigration et d’asile», notent les magistrats. «Le Conseil de Paris a entendu s’approprier les critiques de cette association à l’encontre de ces politiques migratoires», ajoutent-ils, citant la teneur des débats à ce sujet en son sein. Jointe par l’AFP vendredi après-midi, la mairie de Paris n’était pas en mesure de commenter la décision.
La délibération de soutien à l’ONG qui affrète l’Ocean Viking est portée par deux adjoints d’Anne Hidalgo. Si cette aide est votée depuis plusieurs années déjà, elle prend un relief particulier cette année. Le groupe LR s’y oppose.
Jeudi, pas moins de 5 élus de la gauche et des écologistes se sont inscrits pour défendre au Conseil de Paris la délibération de soutien à l’ONG SOS Méditerranée qui vient en assistance aux migrants. Une subvention de 100 000€ devrait sans problème leur être accordée au vu des rapports de force politiques à Paris. Le groupe Changer Paris des LR va en revanche, s’y opposer fermement. La subvention est octroyée chaque année depuis 2016 mais prend cette année une teinte particulière du fait de l’arrivée controversée à Toulon le 11 novembre de leur navire humanitaire, l’Ocean Viking, chargé de 234 personnes.
Ian Brossat « assume à 1000% »
La délibération en faveur de SOS Méditerranée est portée par deux adjoints d’Anne Hidalgo, le communiste Ian Brossat, en charge du Logement à Paris mais aussi du dossier des migrants et Arnaud Ngatcha, qui porte les relations internationales. Ian Brossat rappelle que cette aide dont il est « fier » et qu’il assume « à 1000% » est votée « depuis plusieurs années déjà ». Elle était portée avant 2020 par une autre adjointe d’Anne Hidalgo, la centriste Dominique Versini, ancienne secrétaire d’État sous Jacques Chirac. À hauteur moindre cependant. Brossat assure que cette délibération « n’est pas votée en catimini. De nombreux Conseillers de Paris vont prendre la parole ».
Commenter cet article