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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 21 avril 2018

 

Syrie : les experts de l'OIAC ont fait des prélèvements à Douma

 

L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a annoncé le 21 avril que ses experts avaient prélevé des échantillons dans la ville syrienne de Douma, théâtre d'une attaque chimique présumée le 7 avril, selon les Casques blancs et le groupe armé Jaïch al-Islam.

«La mission d'enquête de l'OIAC s'est rendue sur l'un des sites à Douma aujourd'hui [le 21 avril] pour prélever des échantillons», a déclaré dans un communiqué l'OIAC, ajoutant qu'une «autre visite pourrait être effectuée à Douma».

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Une escadre russe traverse la Manche

 

Après avoir quitté dimanche dernier leur port d’attache en mer Baltique, les bâtiments d’un groupe naval russe ont mis le cap sur la Méditerranée.

Des navires de la Flotte russe de la Baltique sont entrés dans la Manche pour rejoindre l'Atlantique, a annoncé le service de presse de la Flotte. Les bâtiments, dont le patrouilleur Yaroslav Moudri et le navire-citerne Lena, traversent actuellement la Manche, ajoute-t-il.

«Une escadre de la Flotte de la Baltique, qui compte notamment le patrouilleur Yaroslav Moudri et le navire-citerne Lena, qui effectue une mission au long cours passent par la Manche reliant la mer du Nord à l'Atlantique», détaille la Flotte dans un communiqué.

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Macron à Washington, acte II de sa lune de miel avec Trump

 

Neuf mois après le défilé du 14-Juillet et le "dîner entre amis" en haut de la Tour Eiffel, Emmanuel Macron entame lundi une visite d'Etat à Washington, acte II de sa lune de miel avec Donald Trump qui pourrait être mise à rude épreuve dans les prochaines semaines avec des échéances cruciales sur l'Iran et le commerce.

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Corée du Nord: Le monde salue la décision de Kim Jong-un de mettre fin à ses essais nucléaires

 

Les Etats-Unis, la Corée du Sud et la Chine ont salué « une très bonne nouvelle », tandis que le Japon affiche sa prudence

La Corée du Nord en a fini avec ses essais nucléaires et balistiques. C’est ce qu’a annoncé Kim Jong-un, samedi, en promettant la fermeture prochaine des sites de test. Si Donald Trump salue « une très bonne nouvelle pour le monde », des experts avertissent que l’annonce signifie sans doute que Pyongyang se considère désormais comme une puissance nucléaire. En clair, rien ne dit que le régime soit prêt à rendre son arsenal après avoir passé des années à le développer.

« A partir du 21 avril, la Corée du Nord va cesser ses essais nucléaires et les lancements de missiles balistiques intercontinentaux », écrit l’agence officielle nord-coréenne KCNA., citée dans un premier temps par l’agence sud-coréenne Yonhap. « Le nord va fermer un site d’essais nucléaires dans le nord du pays afin de prouver son engagement à suspendre les essais nucléaires », a ajouté KCNA, citant le dirigeant nord-coréen.

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Note: Le monde se fit a des belles paroles. La Corée du nord ne cherche  qu'a gagné du temps 

 

 

La Corée du Nord suspend ses programmes nucléaire et balistique
 

 
Kim Jong-un a déclaré qu’il allait fermer un site d’essais nucléaires, une décision aussitôt saluée par Washington et Séoul mais jugée insatisfaisante par Tokyo
Kim Jong-un, le 21 avril à Pyongyang (image diffusée par l’agence de presse officielle nord-coréenne)
La Corée du Nord suspend ses activités nucléaires et ses essais de missiles balistiques intercontinentaux. Annoncée par l’agence officielle KCNA, puis par la télévision officielle, la décision effective samedi 21 avril a été prise lors d’une réunion du Comité central du Parti du travail au pouvoir, réuni le 20 avril pour la première fois en six mois.

Dans une résolution consacrée à « la grande victoire de la ligne de suivi simultané du développement économique et de la construction d’une force nucléaire », Pyongyang signale son intention de « démanteler le site d’essais nucléaires situé dans le nord du pays pour démontrer de manière transparente la suspension des tests nucléaires ».

La décision s’accompagne d’engagements en faveur du développement économique du pays, conformément à la politique dite de « byongjin » prévoyant un développement en parallèle du nucléaire et de l’économie.

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Un second petit Syrien évoque le tournage de la vidéo sur «l'attaque chimique» à Douma

 

Un petit Syrien de Douma a évoqué devant les journalistes de Sputnik le tournage des scènes de la présumée attaque chimique du 7 avril dans cette ville de la banlieue est de Damas. Il y a participé pour avoir des biscuits et des pommes de terre.

Le petit Moustafa

Le petit Moustafa, 10 ans, habite dans la ville syrienne de Douma. Au début, il ne voulait pas parler aux correspondants de Sputnik parce que les membres de Jaych al-Islam répétaient ces dernières années que ceux qui habitent les territoires sous contrôle de l'armée syrienne haïssent les enfants et veulent les tuer. Moustafa refuse net de poser devant la caméra et ne permet de prendre que de loin une photo de lui.

Mais peu à peu, il s'habitue et se libère de sa peur. Il confie à Sputnik qu'il aime étudier, mais que son école est détruite.

«Vous ne me tuerez pas si je vous dis ce que nous avons fait?», lance-t-il tout à coup.

Et il nous raconte comment des hommes de Jaych al-Islam ont promis aux enfants des dattes s'ils exécutaient leurs ordres.

«Les enfants ont été rassemblés aux abords de l'hôpital. Ils [les membres de Jaych al-Islam, ndlr] nous ont dit que nous aurions des biscuits et des pommes de terre si nous suivions toutes leurs consignes […] On a commencé à nous asperger d'eau avec des tuyaux. Puis les adultes nous ont pris par la main et nous ont entraînés à l'intérieur de l'hôpital où nous avons été pris en photo. Enfin, on nous a distribué les aliments promis et on nous a dit qu'on pouvait jouer parce qu'on avait été sages.»

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Mauvaise hâte: les Casques blancs jettent leurs accessoires de tournage à la décharge

 

masque à gaz

Un habitant de Douma a découvert à la décharge publique des masques à gaz, dont ceux fabriqués dans les pays occidentaux, des vêtements et … des casques blancs, symboles de l’organisation éponyme. Son témoignage a été diffusé par la chaîne russe Zvezda.

Oumar, habitant de la ville syrienne de Douma où le 7 avril a été prétendument effectuée une attaque chimique, a raconté à des journalistes russes de la chaîne de télévision Zvezda qu'il avait découvert les accessoires de tournage dont se sont débarrassés les radicaux.

«Un camion des terroristes s'est arrêté à la décharge. Deux individus vêtus de l'uniforme de Jaych al-Islam en sont sortis et ont laissé plusieurs sacs. Après qu'ils sont partis, j'ai décidé d'y aller pour regarder qui ils ont exécuté cette fois et jeté à la décharge, ce qui s'était souvent passé pendant les dix jours avant leur départ de Douma. Lorsque j'ai ouvert ces sacs, j'ai vu des masques à gaz et une certaine poudre», a-t-il dit.

Selon la chaîne russe, il pourrait s'agir des accessoires utilisés par les Casques blancs lors du tournage de la vidéo de la présumée attaque chimique du 7 avril.

De nombreux habitants de Douma ont déclaré que l'attaque chimique ne pouvait pas avoir réellement eu lieu.

«Le lieu où, selon eux, a été perpétrée l'attaque chimique se trouve près de ma maison. Si cette attaque s'était vraiment produite, elle aurait eu des répercussions sur nous… Même si nous n'étions pas morts, nous aurions été intoxiqués ou nous aurions senti quelque odeur. Mais nous n'avons rien senti et nous sommes tous sains», a confié aux journalistes russes Abou Azzab qui habite à Douma avec sa femme et ses quatre enfants.

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Les inspecteurs de l’OIAC ne veulent pas rencontrer les résidents de Douma

 

16:37 20.04.2018

Les experts de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), qui sont arrivés en Syrie le 14 avril, refusent de rencontrer des résidents de la ville syrienne de Douma dans le cadre de l'enquête sur l'attaque chimique présumée survenue le 7 avril, rapporte un correspondant de Sputnik.

Les experts de l'OIAC ne sont pas encore arrivés à Douma, annonce un correspondant de Sputnik sur les lieux. Ils n'ont pas visité l'hôpital dans cette ville, où les «victimes» de l'attaque chimique présumée auraient reçu de l'aide médicale. Selon le correspondant, les représentants de l'organisation refusent de rencontrer les habitants de Douma à Damas, y compris le père du jeune Hassan Diab, qui avait déclaré sa volonté de témoigner qu'aucune arme chimique n'avaient pas été utilisées dans cette ville de la banlieue est de Damas.

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Le Pentagone précise dans quel cas les USA pourraient de nouveau frapper la Syrie

 

Les États-Unis sont prêts à mener de nouvelles actions militaires contre la Syrie, si le Président syrien Bachar el-Assad néglige le message de la frappe du 14 avril, a déclaré le secrétaire américain à la Défense James Mattis.

«Il est mal avisé de négliger le message de la communauté internationale et nous sommes prêts à prendre toutes les mesures qui s'imposeront dans l'avenir», a martelé le chef du Pentagone lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue japonais Itsunori Onodera.

Il a mis en avant le soutien universel de ce qu'il a qualifié d'«attaque regrettable mais nécessaire» contre les sites de la production présumée des armes chimiques.

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Opération turque à Manbij: les USA s’engagent à riposter contre toute attaque

 

Un commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS) a affirmé à Sputnik que les habitants de la ville de Manbij, dans le nord-est de la Syrie, étaient en état d'alerte en raison de l'opération militaire turque prévue dans la région, tout en soulignant que la situation actuelle dans la ville restait stable.

«Il n'y a pas longtemps, nous débattions d'une attaque éventuelle de la part de la Turquie contre la ville de Manbij, où des troupes américaines ont pris leurs quartiers et promettent de riposter à toute attaque contre la ville», a indiqué à Sputnik Ebu Adil, commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS).

Il a précisé que les soldats de la coalition sous la houlette des États-Unis était stationnés dans la ville depuis qu'elle avait été libérée des terroristes de Daech* il y a deux ans.

M.Adil a ajouté qu'après les déclarations d'Ankara au sujet d'une éventuelle opération militaire turque à Manbij, les militaires américains patrouillaient le territoire autour de la ville 24 heures sur 24.

«Nous, habitants de Manbij, sommes également prêts à défendre notre ville jusqu'au bout en cas d'attaque. Nous avons pris au sérieux les menaces proférées par la Turquie et effectué tous les préparatifs nécessaires pour repousser une attaque éventuelle», a-t-il tenu à souligner.

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La révélation de l’attaque de drone reflète la menace immédiate qu’est l’Iran

 

Netanyahu a promis d'empêcher l'Iran d'établir une présence militaire en Syrie – mais Moscou pourrait rendre ce défi auquel fait face Israël toujours plus complexe

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu tient un morceau du drone iranien abattu dans l'espace aérien israélien au troisième jour de la 54e conférence sécuritaire de Munich organisée à l'hôtel Bayerischer Hof , dans le sud de l'Allemagne, le 28 février 2018 (Capture d'écran)

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a longtemps mis en garde contre le danger que représenterait pour Israël l’armement nucléaire de l’Iran dans quelques années. Depuis vendredi soir, les Israéliens envisagent mieux le danger que représente à l’heure actuelle un Iran non nucléaire qui cherche à s’imposer en Syrie.

Deux mois après qu’un hélicoptère israélien Apache a abattu 30 secondes après sa traversée dans l’espace aérien israélien un drone iranien envoyé depuis la Syrie, les censeurs militaires israéliens ont finalement autorisé les médias locaux à rapporter que le drone ne faisait pas que capturer des images de surveillance mais qu’il était également muni d’explosifs et se préparait à attaquer et endommager une cible non spécifiée en Israël.

La révélation – qui était accompagnée de la publication d’images de l’armée de l’air israélienne illustrant l’Apache abattant le drone iranien – survient alors qu’une puissante attaque a été menée avant l’aube lundi et aurait causé d’importants dégâts sur la base aérienne T-4 que construisait l’Iran dans le centre de la Syrie, et à partir de laquelle ce drone a été lancé le 10 février.

Alors que Jérusalem est resté silencieux, le raid de lundi a été attribué à Israël de toutes parts – par la Russie, la Syrie, l’Iran et certains responsables américains. Au moins sept militaires iraniens auraient été tués dans le raid. L’Iran a menacé de représailles. Un haut conseiller iranien du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a averti que l’Iran pourrait détruire Haïfa et Tel Aviv.

Le président russe Vladimir Poutine a demandé à Netanyahu de ne pas causer une déstabilisation de la situation en Syrie. Ainsi, si quelqu’un se demandait toujours pourquoi Israël prendrait le risque de répercussions suite à un raid comme celui de lundi, les révélations de vendredi en ont fourni la réponse :

L’Iran est maintenant suffisamment confiant pour s’attaquer directement à Israël. L’attaque du drone en février a été la première confrontation directe de l’Iran avec Israël, après plusieurs années pendant lesquelles la République islamique s’est attaquée à Israël seulement par l’intermédiaire d’organisations terroristes libanaises et palestiniennes depuis le Liban, la Cisjordanie et Gaza. Cette récente attaque a coûté cher à Israël, qui a perdu un F-16 lors de raids de représailles plus tard la même journée.

Concernant la base T-4, en Syrie, des sources militaires ont indiqué vendredi que l’Iran y avait construit une base aérienne entièrement fonctionnelle, sur laquelle ne manquait plus que des avions de combat. Il se serait agi du centre opérationnel de l’Iran pour ses drones d’attaque. On y trouvait des systèmes de défense antimissile sol-air et toutes sortes d’autres protections.

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La Russie change de position sur la fourniture de S-300 à Damas

 

L’attaque occidentale contre la Syrie libère la Russie ses engagements de ne pas fournir de complexes de missiles sol-air S-300 à la Syrie, a indiqué à Sputnik le chef de la diplomatie russe.

Après la frappe de missiles réalisée par les États-Unis et ses alliés contre la Syrie, la Russie n'a plus d'engagements moraux de ne pas fournir à Damas de systèmes de missiles sol-air S-300, a déclaré dans une interview à Sputnik le ministre russe des Affaires étrangères.

«Nous avions des engagements moraux, nous avions promis de ne pas le faire il y a environ dix ans, je pense, à la demande de nos partenaires que vous connaissez bien, et nous avons pris en compte leurs arguments selon lesquels cela pourrait déstabiliser la situation, bien que ce moyen soit purement défensif, mais néanmoins nous avons exaucé leurs demandes; à présent, nous n'avons plus cet engagement», a indiqué Sergueï Lavrov.

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Les démocrates US portent plainte contre Moscou, l’équipe de campagne de Trump, WikiLeaks

 

Le Parti démocrate américain a intenté un procès contre la Russie, l’état-major de campagne de Donald Trump et WikiLeaks suite à l’élection présidentielle aux États-Unis, selon The Washington Post.

The Washington Post vient d'annoncer que le Parti démocrate américain a intenté des poursuites en justice contre la Russie, l'état-major de campagne de Donald Trump et WikiLeaks, les accusant de collusion en vue d'ingérence dans l'élection présidentielle de 2016.

«Au cours de la campagne de 2016, la Russie a lancé une attaque globale contre notre démocratie et a trouvé des partenaires consentants [pour collaborer, ndlr] parmi ceux qui travaillaient pour la campagne de Donald Trump», a affirmé Thomas Perez, président du Comité national démocrate.

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Juliette, étudiante à Tolbiac : « Le racisme antiblanc est une invention, il n’existe pas »

 

 

Il n’y a pas d’oppression des racisés envers les Blancs, dans notre société, qui soit systématique

Juliette, 19 ans, étudiante en histoire et en droit à Tolbiac

24H PUJADAS, L’info en questions – 20/04/18

 

Note; Ménard aurait dû lui poser des questions sur les viols des petites blanches par des gangs pakistanais au Royaume-Uni ! Ces viols ont été impuni pendant des années à cause de la même mentalité que cette petite écervelée

 

Ramadan : polémique sur la venue de centaines d’imams étrangers

 

A ce jour», alors que le ramadan commence autour du 15 mai, «entre 250 et 300» d’entre eux sont attendus en France, «tous sous visa d’un mois», précise à l’AFP une source proche du dossier. Ces psalmodieurs-récitateurs s’ajoutent aux 300 «imams détachés» en permanence par la Turquie (150 environ), l’Algérie (120) et le Maroc (une trentaine).

Des voix se sont élevées ces derniers jours dans la classe politique, à droite et jusque dans la gauche laïque. Le sujet a pris un tour polémique< strong> alors qu’Emmanuel Macron entend enraciner un «islam de France» moins lié aux influences des États musulmans, afin de mieux lutter contre les discours rigoristes et radicaux dans un pays où le terrorisme islamiste a fait 245 morts depuis 2015. […]

Les responsables musulmans, eux, se veulent rassurants. «Ces imams ne font pas de prêche mais de la psalmodie, ils n’ont pas d’autre mission religieuse que de respecter la tradition du ramadan et d’enluminer les veillées dans les mosquées», affirme Slimane Nadour, l’un des responsables de la grande mosquée de Paris, relais des 119 récitateurs algériens qui seront accueillis en France entre la mi-mai et la mi-juin. […]

Le Figaro

 

Oussama Atar, l’un des commanditaires des attentats de Paris et de Bruxelles

 

L’enquête de Paris Match dévoile les dessous de la libération d’Oussama Atar qui pourrait bien être une affaire d’État.

Tombé aux mains de l’armée américaine le 24 février 2005, il a été arrêté sous l’identité d’Ali Saleh Mohamed à Ramadi, l’un des bastions de la rébellion affiliée à Al Qaida. Condamné à perpétuité en mai 2005 pour « crimes terroristes », sa peine a été ramenée à dix ans de détention en février 2007, au simple motif de franchissement illégal de la frontière avec la Syrie où il se trouvait dès 2004.

(…)

Une question lancinante subsiste cependant : pour quelles raisons les plus hautes autorités belges ont-elles tout fait, à partir de 2006, pour sortir de sa geôle irakienne celui qui allait devenir le superviseur présumé des carnages parisien et bruxellois ? Car c’est bien ce que montrent les documents et les témoignages de première main collectés par Paris Match.

(…)

Est-on là face à un plantage magistral des services de sécurité et de renseignement ou doit-on suspecter autre chose ?

(…) Paris Match

 

 

Europe: l’élève Macron gentiment remis à sa place par la maîtresse Merkel

 

Le charme est rompu. Emmanuel Macron et Angela Merkel se sont rencontrés, ce jeudi 19 avril au Humboldt Forum de Berlin. Objectif? Élaborer une feuille de route commune en préparation du Conseil européen des 28 et 29 juin prochain. Si E. Macron s’est montré à nouveau entreprenant et enthousiaste, A. Merkel a tempéré ses ardeurs.

«Son ardeur européenne est aujourd'hui moins importante que celle d'Emmanuel Macron qui n'est Président de la République que depuis un an et qui a montré qu'il avait une forte ambition européenne, notamment à travers ses discours de la Sorbonne et d'Athènes»

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