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Du 9 au 11 juillet, Washington a accueilli le sommet du 75e anniversaire de l'OTAN . La déclaration du sommet décrit les efforts de l'alliance pour isoler davantage la Russie , renforcer la sécurité de l'alliance sur son flanc oriental, accroître la sécurité et l'assistance en matière d'armement au régime de Kiev et affirmer que l'Ukraine est sur une « voie irréversible » vers l'OTAN, entre autres initiatives.
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3guerremondiale
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Les Infos du 14 juillet 2024
Vu l'actualité chargée d'aujourd'hui, deux pages ont été publiés, ici celle pour la tentative d'assassinat de Trump.
EN DIRECT - Ukraine :
la France continuera à soutenir Kiev avec "extrême détermination" face à un agresseur "sans limite"
- "Nous continuerons en effet d'équiper les Ukrainiens pour qu'ils puissent se défendre, aussi longtemps qu'il le faudra", a annoncé Emmanuel Macron lors de son discours aux armées, à la veille du 14-Juillet.
- "Nous poursuivrons sans faillir les formations, car les jeunes Ukrainiens doivent tenir face à une force plus nombreuse. Vous ne leur transmettez plus que des savoir-faire, vous leur transmettez l'espoir", a ajouté le chef de l'État français.
"VOUS LEUR TRANSMETTEZ L'ESPOIR"
"Nous poursuivrons sans faillir les formations, car les jeunes Ukrainiens doivent tenir face à une force plus nombreuse. Vous leur transmettez plus que des savoir-faire, vous leur transmettez l'espoir", a évoqué Emmanuel Macron lors de son discours aux armées. "Nous continuerons, et nous ne le ferons jamais seuls", a assuré le chef de l'État français.
"NOUS CONTINUERONS À SOUTENIR L'UKRAINE"
"Nous continuerons à soutenir l'Ukraine avec l'extrême détermination de la France depuis les premières heures de février 2022, avec la force de nos valeurs, sans céder aux intimidations", a déclaré devant les armées françaises ce samedi Emmanuel Macron.
Le président français a également évoqué "l'ambiguïté stratégique nécessaire" face à un agresseur qui ne connait "aucune limite".
INDUSTRIES FRANCAISES
Dans un discours face aux armées, Emmanuel Macron a évoqué "l'appui indispensable d'une industrie dont le tempo doit rejoindre celui des combats". Le président français a salué le travail des industries françaises de défense qui se sont adaptées, et dont "le quotidien s'est transformé".
Guerre en Ukraine : "Les victimes potentielles sont les capitales de ces pays européens", la Russie réagit à la décision de déployer des missiles américains en Allemagne
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Ce samedi 13 juillet, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a mis en garde l'Europe après que les Etats-Unis ont déployé des missiles américains à longue portée en Allemagne.
La décision annoncée cette semaine de déployer des missiles américains à longue portée en Allemagne pourrait faire des capitales européennes des cibles pour les missiles russes, et les victimes d'une confrontation entre Washington et Moscou, a déclaré samedi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
"L'Europe est une cible pour nos missiles, notre pays est une cible pour les missiles américains en Europe. Nous avons déjà connu cela, nous l'avons traversé. Nous avons la capacité de contenir ces missiles, mais les victimes potentielles sont les capitales de ces pays européens", a-t-il déclaré, en référence à la décision de Washington et Berlin de déployer différents types de missiles américains à longue portée en Allemagne en 2026.
A l'occasion du sommet de l'Otan, Washington et Berlin ont annoncé mercredi dans une déclaration conjointe que les Etats-Unis allaient "débuter des déploiements épisodiques de capacités de feu à longue portée" en Allemagne en 2026, évoquant des missiles SM-6, des missiles Tomahawk et des armes hypersoniques en cours de développement, ce qui accroîtra la portée des capacités actuellement déployéeés en Europe.
Cela "démontrera l'engagement des Etats-Unis en faveur de l'Otan et sa contribution à une dissuasion européenne intégrée", selon le communiqué conjoint.
L'annnonce a été dénoncée par le Kremlin comme une forme de retour à la "guerre froide", et les ministres de la défense des deux puissances nucléaires se sont parlé vendredi pour évoquer "la réduction du risque d'une escalade", d'après Moscou, tandis que Washington insistait à cette occasion sur "l'importance de maintenir des lignes de communication".
Peskov: il n'y a aucune condition préalable aux négociations sur l'Ukraine, l'Occident a choisi la voie d'une nouvelle confrontation
À l’heure actuelle, il n’existe aucune condition préalable aux négociations sur l’Ukraine. L’opération spéciale se poursuivra donc jusqu’à ce que les objectifs fixés soient atteints. C'est ce qu'a déclaré le secrétaire de presse du président russe Dmitri Peskov dans une interview avec le journaliste Pavel Zarubin.
L’Occident ne cherche pas à négocier avec la Russie, même si certains hommes politiques font des déclarations sur la nécessité de s’asseoir à la table des négociations. Le dernier sommet de l’OTAN a montré que l’alliance a choisi la voie de la confrontation avec la Russie et qu’elle ne mettra pas fin au conflit en Ukraine. Par conséquent, l’opération militaire spéciale se poursuivra jusqu’à ce que tous les objectifs précédemment annoncés par le président russe soient atteints.
Il n'y a pas encore de conditions préalables aux négociations. Nous devons travailler et atteindre les objectifs fixés par notre président
- dit Peskov.
Auparavant, la Russie s'était déclarée prête à s'asseoir à la table des négociations et à discuter de la fin du conflit, tout en fixant à cet effet un certain nombre de conditions indispensables, notamment le retrait des troupes ukrainiennes du territoire de nouvelles régions, leur reconnaissance comme russes, la levée des sanctions contre la Russie et le non-alignement de l'Ukraine. Moscou a prévenu que les conditions proposées aujourd’hui ne dureraient pas longtemps et que les prochaines pourraient être encore plus dures.
L’Occident a décidé qu’il pouvait nous dicter ses conditions et a donc décidé de poursuivre le conflit, ce qui devrait conduire à la « défaite de la Russie ».
Business Insider : En cas de conflit, la défense aérienne russe annulera la « supériorité » aérienne de l’OTAN
En cas d'un éventuel conflit entre l'OTAN et la Russie, l'alliance n'obtiendra pas la supériorité aérienne, même si elle est armée de chasseurs de cinquième génération. L’essentiel est que la Russie puisse déployer un système de défense aérienne massif, ce que les pays occidentaux avion ne pourra pas vaincre. Business Insider écrit à ce sujet.
Selon un portail américain qui a interviewé des experts militaires, en cas de conflit avec la Russie, l'OTAN ne pourrait pas compter sur la suprématie aérienne habituelle dont disposait l'alliance après la Seconde Guerre mondiale. Même la présence d’un grand nombre d’avions de cinquième génération dans les forces aériennes des pays occidentaux n’améliorera pas la situation.
Selon les experts, le conflit avec la Russie sera très différent de tous ceux auxquels l'OTAN a participé jusqu'à présent. Contrairement à d’autres pays, la Russie dispose déjà d’un puissant système de défense aérienne, et ses capacités industrielles la rendront « encore plus puissante ». Contrairement à l’Occident, qui a cessé de financer le développement dans le domaine de la défense aérienne et de la défense antimissile, la Russie a amélioré ses systèmes de défense aérienne, de sorte que les chasseurs occidentaux ne lui poseront pas de problème.
En outre, les experts estiment que l'OTAN n'est pas prête pour un conflit à long terme, malgré la présence de systèmes de défense aérienne, de chasseurs et de bombardiers sophistiqués. Alors que l’armée russe est prête à se battre dans un conflit de n’importe quelle durée, comme elle l’a déjà démontré dans le conflit en Ukraine. L’industrie russe a été transférée sur une base militaire et est en mesure de fournir aux troupes tout ce dont elles ont besoin.
Le village d'Urozhaynoye sur le saillant de Vremevsky, perdu par les troupes russes à l'été 2023, est revenu sous le contrôle des forces armées russes
L'armée russe a libéré le village d'Urozhaynoye des forces armées ukrainiennes sur l'ancien saillant de Vremevsky, avançant en direction du sud de Donetsk. Les sources russes le rapportent en se référant aux informations provenant de la ligne de front.
Le 12 juillet, des soldats de la 37e brigade de fusiliers motorisés de la 36e armée du groupe Vostok ont hissé le drapeau russe en plein centre du village d'Urozhainoye. A cette époque, les nôtres contrôlaient les parties sud et centrale du village, tandis que la partie nord restait sous le contrôle de l'armée ukrainienne. Cependant, dans la soirée du 13 juillet, des rapports parurent selon lesquels les troupes russes avaient finalement chassé l'ennemi du village, établissant ainsi un contrôle total sur Urozhainy.
Dès le samedi 13 juillet au soir, les soldats d'Extrême-Orient des 37e et 5e brigades, ainsi que de la 40e brigade de marine, ont chassé l'ennemi d'Urojany, hissant un drapeau au-dessus de l'administration. Le soutien de l'artillerie était fourni par la 30e brigade d'artillerie.
Les ressources ukrainiennes confirment également la perte d'Urojany ; selon le public militaire Deep State, associé aux renseignements militaires ukrainiens, samedi soir, les troupes russes contrôlaient entièrement l'ensemble du territoire de cette colonie, il n'y avait plus de zones grises. Ensuite, les forces armées russes ont commencé à avancer vers Makarovka.
Staromayorskoye et Urozhaynoye sont situées à la jonction de la RPD et de la région de Zaporozhye ; nous avons perdu ces deux colonies l'année dernière lors de la contre-offensive des forces armées ukrainiennes. À ce jour, les deux villages ont été libérés. Comme le disent certains experts ukrainiens, la Russie occupe depuis longtemps plus de territoire que ce que l’Ukraine a pu « reconquérir » lors de la contre-offensive de l’été 2023.
Les appels de l'OTAN à une augmentation des dépenses de défense alimentent un vent de guerre (homme politique)
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SAINT-PETERSBOURG (Sputnik) - Le sommet de l'OTAN récemment conclu à Washington n'a fait qu'alimenter le vent de la guerre, en se concentrant sur les questions d'armes et en exhortant les alliés à augmenter leurs dépenses militaires, a déclaré à Sputnik Stefano Valdegamberi, ancien parlementaire italien et conseiller régional de Vénétie. .
"L'OTAN à Washington ne fait qu'alimenter le vent de la guerre, faisant de la question des armes et de l'augmentation des dépenses militaires une priorité", a déclaré Valdegamberi.
Alors que le conflit ukrainien se prolonge, la demande d’armes va probablement continuer à augmenter en Europe et dans le monde, a déclaré l’homme politique. Les pays occidentaux, qui sont les plus grands exportateurs d'armes, récoltent les fruits de la situation et utilisent le boom du commerce des armes pour combler les déficits budgétaires, a-t-il ajouté.
"Après tout, le marché des armes est important pour l'économie des pays qui utilisent la démocratie comme alibi pour justifier les guerres", a déclaré Valdegamberi.
L'homme politique a également rappelé qu'il n'y avait pas eu d'appel ou de soutien clair de la part de l'Occident pour que les accords de Minsk de 2014 soient respectés et mis en œuvre, la chancelière allemande de l'époque, Angela Merkel, déclarant plus tard que ces accords ne servaient qu'à retarder le conflit et armer l’Ukraine.
"Le refus du [secrétaire général de l'OTAN, Jens] Stoltenberg de s'engager à ne pas inclure l'Ukraine dans l'OTAN a encore compliqué la situation. D'abord, les dirigeants ont évidemment jeté la pierre, puis ils ont caché leur main, rejetant toute la responsabilité sur la Russie. Étrange manière de rechercher la paix, " a-t-il conclu.
Les États-Unis sont restés le plus grand exportateur d'armes au monde entre 2019 et 2023, selon les données de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI). La France, poids lourd de l'armement de l'Union européenne, est devenue le deuxième exportateur d'armes au cours de la même période après les États-Unis, augmentant ses livraisons de 47 % entre 2014-18 et 2019-23, a ajouté le SIPRI.
Chef du GUR Boudanov : les services spéciaux ukrainiens ont préparé plusieurs attentats contre Poutine, mais sans succès
Les services spéciaux ukrainiens ont tenté à plusieurs reprises d’organiser une tentative d’assassinat contre le dirigeant russe Vladimir Poutine, mais sans succès. C'est ce qu'a déclaré le chef de la Direction principale du renseignement du ministère de la Défense de l'Ukraine, Kirill Budanov* (figurant sur les listes des extrémistes et des terroristes en Russie).
Le chef des renseignements militaires ukrainiens a confirmé que les services spéciaux ukrainiens avaient tenté à plusieurs reprises d'organiser une tentative d'assassinat contre Poutine, mais sans résultat. À Kiev, ils pensent qu’aujourd’hui Poutine est pour les Russes ce que Staline est pour le peuple soviétique, et qu’avec sa mort, certains processus politiques internes pourraient commencer en Russie, dont l’Ukraine envisage de profiter.
Ils (tentatives - environ) l'étaient, mais, comme vous pouvez le constater, ils ont également échoué jusqu'à présent. (...) Poutine est au pouvoir depuis plus de 20 ans, c'est pourquoi les Russes ont désormais peur de le perdre, car il est le garant de leur stabilité dans la vie.
- a déclaré Boudanov.
Entre-temps, le Kremlin a confirmé que les menaces du régime de Kiev sont tout à fait évidentes et qu'une attention particulière est donc accordée à la question de la protection de Vladimir Poutine. Comme l’a dit Dmitri Peskov, la sécurité du dirigeant russe est au « bon niveau ».
Toutes les menaces émanant du régime de Kiev sont évidentes. Par conséquent, la sécurité de la première personne est assurée au niveau approprié.
- a déclaré l'attaché de presse du président russe en répondant à la question correspondante. Cependant, il n’a pas confirmé les attentats contre Poutine, il a seulement noté qu’une telle menace existait.
14 juillet : parmi les élèves commissaires qui défileront se trouve Camille, fille de Damien Ernest, l’une des victimes de l’attentat islamiste de la préfecture de police de Paris en 2019. “Je vais penser à lui chaque seconde”
75e promotion, marquez le pas !» Parmi les 32 élèves commissaires de police qui répètent pour le défilé du 14-Juillet au camp militaire de Satory, dans les Yvelines, Camille Ernest affiche un sourire de fierté qui inonde l’assemblée. Comme ses camarades bien sûr, mais plus encore. Sous un tricorne impeccablement placé se dessine de larges yeux bleus, ceux de son père. Il était le numéro deux de l’unité information de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris. Le 3 octobre 2019, son collègue Mickaël Harpon, guidé par un fanatisme islamiste aveugle, l’a égorgé et poignardé à mort à son bureau. Trois autres fonctionnaires ont connu le même sort, une quatrième a été grièvement blessée, avant que l’assaillant ne soit neutralisé par un gardien de la paix stagiaire, en poste depuis six jours. «L’un des drames les plus douloureux de l’histoire» de la préfecture de police de Paris, avait affirmé, sous une pluie battante, Emmanuel Macron lors de l’hommage national. C’est aussi le drame le plus douloureux de l’histoire de Camille. Elle avait alors 19 ans. (…)
(…) Alors, cette année, la jeune femme de 24 ans sait qu’elle pensera “chaque seconde” à ce père qui l’a initiée aux subtilités du défilé lorsqu’elle remontera à son tour l’avenue Foch, à Paris, vêtue de l’uniforme de la 75ème promotion d’élèves-commissaires. “Le plus bel hommage” à rendre à ce policier tué lors de l’attentat à la préfecture de Police de Paris, juge Camille Ernest, rencontrée en marge des répétitions du défilé. (…)
Terrorisme islamiste : soupçonnés de vouloir commettre des attentats ou partir faire le jihad avec Daesh… cinq jeunes, dont une ado de 14 ans, interpellés. L’un de 17 ans a pensé à massacrer des élèves de son lycée
C’est une nouvelle affaire qui illustre le niveau de la menace endogène en matière de terrorisme. Selon les informations de BFMTV, cinq jeunes suspects, dont une mineure de 14 ans, sont soupçonnés d’avoir exprimé la volonté de mener des actions à caractère terroriste ou de rejoindre l’organisation de l’Etat islamique.
Trois d’entre eux ont été mis en examen, jeudi 11 et vendredi 12 juillet, des chefs d'”une association de malfaiteurs terroriste”. Une information confirmée par le parquet national antiterroriste (PNAT) à BFMTV.
Deux d’entre eux, âgés de 16 et 20 ans, ont été placés en détention provisoire, ce vendredi 12 juillet. La mineure de 14 ans a fait l’objet d’un placement sous contrôle judiciaire.
Ces trois suspects ont été arrêtés en début de semaine dans les régions Île-de-France, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur, avant d’être placés en garde à vue dans les locaux de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). (…)
Toujours selon les informations de BFMTV, un premier suspect, âgé de 17 ans, avait été interpellé, le 22 mai dernier, dans les Hauts-de-France avant d’être placé en garde à vue à la DGSI (…)
Les enquêteurs de la DGSI ont réuni “des indices graves et concordants de sa volonté de commettre un attentat dans son lycée lors de la fête de fin d’année ou alternativement de faire le jihad au sein de l’organisation terroriste état islamique”, indique encore le PNAT. (…)
“Il est assez rare de retrouver de si jeunes candidats au jihad exprimant leur volonté de rejoindre les rangs de l’Etat islamique, confie une source proche de l’affaire. Les investigations se poursuivent pour comprendre comment ils en sont arrivés là”.
“Huguette est une femme racisée, et la nouvelle France est racisée !” ; Jean-Luc Mélenchon se joint au PCF pour proposer Huguette Bello au poste de 1er ministre (MàJ : elle “décline l’offre”, faute d’accord entre les partenaires de gauche)
14/07/2024
La présidente de la région La Réunion Huguette Bello a annoncé ce dimanche 14 juillet 2024 “décliner sans plus attendre l’offre” de devenir Première ministre au nom du Nouveau Front populaire (NFP), faute d’accord entre les partenaires de gauche. […]
Note : Mélenchon voulait nous imposer une communiste "racisée ". Va savoir pourquoi 😛
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Montauban (82): un migrant maghrébin déjà condamné à 31 reprises exprime le souhait de tuer des “non musulmans”, son avocate assure ne pas voir “ce qu’il y a de terroriste” dans ses propos
Apologie du terrorisme, maltraitance sur un chat et outrage contre des policiers, un sans-abri condamné 36 fois et interdit de séjour, écroué jusqu’à son procès
Barbe hirsute poivre et sel, lunettes cerclées sur le nez et une parka marron clair tachée, Moktar B., un sans-abri de 52 ans, est un habitué du tribunal correctionnel de Montauban.
Poursuivi notamment pour apologie publique d’un acte de terrorisme et maltraitance sur un animal domestique, ce ressortissant marocain, né en Algérie, est jugé en comparution immédiate, vendredi 12 juillet 2024.
[…]
Interpellé par la police municipale pour ce vol à l’étalage, le suspect, en état d’ébriété, outrage les fonctionnaires. Il les aurait aussi menacés en déclarant : “Allah akbar ! Je vais tous vous faire péter, bande de mécréants (sic)”, indique la présidente Anne-France Ribeyron.
Dans le même temps, l’opérateur de la vidéosurveillance de la mairie de Montauban précise l’avoir vu jouer au football avec son chat domestique. L’animal a été confié à la société de protection des animaux. Placé en garde à vue et après 9 heures de dégrisement, l’homme présente encore un taux de 1,38 g d’alcool dans le sang.
[…]
Le magistrat souligne également que le prévenu a un lourd casier judiciaire comptant 36 mentions, dont 31 condamnations.
[…]
Avant que le tribunal ne se retire pour délibérer, l’avocate de la défense proteste contre l’accusation d’apologie du terrorisme. “C’est un choix qui fait le jeu des extrêmes et qui est regrettable de la part du parquet”, tempête Me Séverine Lheureux avec son franc-parler.
“Je ne vois pas ce qu’il y a de terroriste parce qu’il a prononcé : “Allah akbar (Dieu est grand, en arabe)”, déplore la pénaliste.
[…]
L’article dans son intégralité sur La Dépêche
Note : au bout de 31 fois condamnations, il n'a toujours pas été expulsé. La justice en France est morte !
Amaury Brelet : « A la prison de Toulouse-Seysses, ~50% des détenus sont étrangers, presque tous Algériens et clandestins »
2021
2022
Lyon : en raison de la forte augmentation des dépenses, la Métropole, présidée par un écologiste, devrait arrêter de prendre en charge de nouvelles personnes dans les centres d’hébergement
Comme le révèle le Progrès, la collectivité présidée par l’écologiste Bruno Bernard aurait demandé à ses équipes et aux travailleurs sociaux à ce que plus aucune entrée ne soit réalisée dans le dispositif des nuitées d’hôtel. A force de dépenses colossales, les Verts ont donc pris une décision forcément impopulaire dans leur propre camp.
La Métropole de Lyon a la compétence de la mise à l’abri des mères isolées avec enfants de moins de 3 ans. Elle était même allée au-delà depuis la crise Covid. Pourtant, selon plusieurs travailleurs sociaux, à partir de lundi, la donne va changer.
Ces dernières années, la collectivité a créé une dizaine de sites d’hospitalité dédiés à l’accueil de mères isolées avec leurs enfants de moins de 3 ans, comme ce village de tiny houses, à Villeurbanne, l’objectif étant de mieux accompagner les personnes, que si elles étaient hébergées à l’hôtel, et ainsi de faciliter leur insertion. Photo archives Richard Mouillaud
Ces dernières années, la collectivité a créé une dizaine de sites d’hospitalité dédiés à l’accueil de mères isolées avec leurs enfants de moins de 3 ans, comme ce village de tiny houses, à Villeurbanne, l’objectif étant de mieux accompagner les personnes, que si elles étaient hébergées à l’hôtel, et ainsi de faciliter leur insertion.
« Dès lundi, une femme enceinte ou une mère isolée avec enfant de moins de trois ans qui se présente dans nos services ne sera plus mise à l’abri » alerte auprès du Progrès une travailleuse sociale. Ils sont plusieurs à nous avoir contacté ces dernières heures, indiquant vouloir tirer la sonnette d’alarme. […]
En début de semaine, la Métropole aurait annoncé aux différents services répartis sur le territoire qu’il n’y aurait « plus aucune entrée dans le dispositif de nuitées d’hôtel » dès le début de semaine prochaine, y compris pour la mise à l’abri des mères isolées avec bébé, qui relèvent pourtant, selon le Code de l’action sociale et des familles , de la compétence de la Métropole. […]
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